Casablanca, Editions d'art Paul Bory, 1944, pt in-4°, 253 pp, 19 bois hors texte dont 8 en couleurs et 1 en bleu, lexique à l'usage des non-berbérisants in fine (4 pp.), broché, non coupé, couv. illustrée, chemise et étui, bon état. Edition originale tirée à 975 ex. numérotés seulement, celui-ci un des 300 ex. sur vergé numérotés de 201 à 500 (n° 436) auxquels il a été ajouté une suite tirée en noir et une couleur des huit premières planches. Exemplaire signé par l'auteur et l'illustrateur
"... Ces romans sont considérés à l’époque comme des oeuvres importantes et parfois primées de la littérature «marocaine». Les écrivains publiés s’efforcent avec une certaine bonne volonté de restituer un Maroc traditionnel que leur activité professionnelle ou leur pratique personnelle leur a permis de connaître. L’oeuvre la plus empathique est peut-être celle de Marie Barrère-Affre, dans son roman "Le village de Toub" (1938), centré sur le monde berbère féminin, de même qu’un autre roman pour lequel elle recevra le prix du Maroc en 1941, "Timmimit ksourienne"." (Jean-Robert Henry, À propos de la collection «Les romans marocains», BledMag, 2010)