83 books for « rien que toi »Edit

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‎COLLECTIF‎

Reference : RO50047268

(1943)

‎MARJOLAINE + J'AI PLEURE SUR TES PAS + LE VAGABOND + ETRE MAMAN + ARAGONAISE + UN SOUVENIR + LA GUITARE A CHIQUITA + LE MARCHAND DE FLEURS + RIEN QUE TOI + LES PLUS BEAUX SERMENTS + MON COEUR EST TOUJOURS PRES DE TOI + MON EGLISE+MON BEAU PETIT DIABLE...‎

‎PAUL BEUSCHER. 1943. In-4. En feuillets. Etat d'usage, Livré sans Couverture, Dos abîmé, Déchirures. 50 pages de partitions environ. Tampon sur le premier plat. Déchirure sur la première page ainsi que sur la dernière page altérant la lecture pour le dernier titre. Quelques rousseurs.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions‎


‎P.B.6227. / MARJOLAINE + J'AI PLEURE SUR TES PAS + LE VAGABOND + ETRE MAMAN + ARAGONAISE + UN SOUVENIR + LA GUITARE A CHIQUITA + LE MARCHAND DE FLEURS + RIEN QUE TOI + LES PLUS BEAUX SERMENTS + MON COEUR EST TOUJOURS PRES DE TOI + MON EGLISE+MON BEAU PETIT DIABLE + MON GRAND + IL SUFFIT D'UNE FOIS + FEU DU CIEL + LE DISQUE USE + Y'AURA TOUJOURS DES MOTS D'AMOUR + QUERIDA + TOTOR EST UN TETU + DEPUIS QUE LES BALS SONT FERMES + C'ESTAIT UNE HISTOIRE D'AMOUR. Classification Dewey : 780.26-Partitions‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR39.80 (€39.80 )

‎CHABRAN P.‎

Reference : RO50061964

‎DOLORITA - MOUSTACHE...ADIEU - VOUS EN SOUVENEZ-VOUS, MADAME ? - MARELLIA - SEPARATION - TOUJOURS SUR TERRE - FLORIA! - MOI, ON M'DIT - LA RONDE D'AMOUR - JE N'AI RIEN QUE TOI - AS-TU TON ELEPHANT ? - SOUS LE CIEL DE FRANCE - REVIENS A PARIS - LE BATARD..‎

‎NON PRECISE. NON DATE. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 15 pages de partitions - clé de sol - Illustration sur le premier plat.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions‎


‎On a r'trouve son pantalon - Le petit Meunier - Aime - Moi j'suis une bonne nature - Ne me fais pas de peine - il y avait un p'tit soldat - Coeur de trottin - Ma belle Rosa - Les chansons de Paris - Les coeurs et les joujoux - Mina, c'est a Paris - J'ai l'accent - Parce que je t'aimais - Germaine - Pour toi que j'aime - Dis-moi petit mon frere - Paquita - t4es rosse Marie - Derniere lettre - Soir delicieux - La jolie petite Anne - Les choses ont une ame - Lucie - Faut s' rendre comppte - Ninetta - La fille du bon coin - C'est la belle michelle - Dans mon Pat'lin - A constantine - On ne peut rien me refuser - Rosita - Coquina - Un quart d'heure d'amour Classification Dewey : 780.26-Partitions‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR24.90 (€24.90 )

‎LUCIEN BRULE‎

Reference : RO50044477

(1927)

‎4° ALBUM LUCIEN BRULE - MARGUERITE + THE COLLIE WALK + MARY + TEEDLE DEEDLE DUM + ADIEUX A FATOU + J'AI QU'CA + YA DES SOIRS + MARAKECK + TOI, TOI ET RIEN QUE TOI..‎

‎FOUCRET FILS. 1927. In-Folio. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos fané, Intérieur acceptable. 51 pages de partitions. Premier plat illustré en couleur par Jack Roberts. Tampon sur le premier plat , sur la table des matières, ainsi que sur la première page. Protection plastique transparente.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions‎


‎A.L.B.4 Classification Dewey : 780.26-Partitions‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR99.00 (€99.00 )

‎[Girbal Gaston ] - ‎ ‎Rudeau René - Hermite Maurice - Lemarchand Louis‎

Reference : 21506

(1927)

Phone number : 06 12 41 09 89

EUR6.00 (€6.00 )

‎[ Vandamme Ch.] - ‎ ‎Roger Michel - Brunet O. - Valenry‎

Reference : 5718

(1948)

‎Partition de la chanson : Toi rien que toi ma chérie Feuillet détaché ‎

‎ Lardy Andrée 1948‎


‎ Abîmé Petit format ‎

Phone number : 06 12 41 09 89

EUR4.00 (€4.00 )

‎BARRIS CHUCK‎

Reference : R160168722

(1974)

‎RIEN QUE TOI, RIEN QUE MOI‎

‎PRESSES DE LA CITE. 1974. In-8. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Mouillures. 219 Pages - Traces de mouillures sans conséquence pour la lecture. Avec Jaquette. . . Classification Dewey : 843.085-Le roman sentimental‎


‎ Classification Dewey : 843.085-Le roman sentimental‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR49.50 (€49.50 )

‎HERMITTE‎

Reference : RO50060317

‎RIEN QUE TOI, RIEN QUE MOI, RIE QUE NOUS! - POUR LILY‎

‎ENOCH ET CIE. NON DATE. In-8. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 4 pages dont 2 de partitions - clé de sol - illustration sur le 1er plat en monochrome. Tampons. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions‎


‎E&C 8569 Classification Dewey : 780.26-Partitions‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR14.80 (€14.80 )

‎ - Reed Les,Mason Barry - Pascal André‎

Reference : 24811

(1967)

‎Partition de la chanson : Je ne suis rien sans toi I'm coming home ‎

‎ Francis Day 1967‎


‎ Bon état Format Coquille ‎

Phone number : 06 12 41 09 89

EUR6.00 (€6.00 )

‎Rivers Dick - Rodgers Richard - Annoux Jean-Claude‎

Reference : 23339

(1963)

‎Partition de la chanson : Rien que toi You'll never walk alone ‎

‎ Chappell 1963 approx.‎


‎ Etat moyen Format Coquille ‎

Phone number : 06 12 41 09 89

EUR8.00 (€8.00 )

‎[Grassiant Harcourt] - ‎ ‎Claveau André - Durand Paul - Rodor Jean,Poterat Jacques‎

Reference : 1504

(1942)

‎Partition de la chanson : Rien que toi ‎

‎ Beuscher Paul 1942‎


‎ Bon état Petit format ‎

Phone number : 06 12 41 09 89

EUR6.00 (€6.00 )

‎Mariano Luis - Van Parys Georges - Hornez André‎

Reference : 4114

(1946)

‎Partition de la chanson : Rien que toi Histoire de chanter ‎

‎ Salvet Robert 1946‎


‎ Etat moyen Petit format ‎

Phone number : 06 12 41 09 89

EUR5.00 (€5.00 )

‎[ Chevert Lucienne] - ‎ ‎Marjane Léo - Porter Cole - Delanoé Pierre‎

Reference : 4307

(1931)

‎Partition de la chanson : Rien sans toi ‎

‎ Salabert 1931‎


‎ Bon état Petit format ‎

Phone number : 06 12 41 09 89

EUR6.00 (€6.00 )

‎Sully Hélène - Cloërec René - Asso Raymond‎

Reference : 6309

(1942)

‎Partition de la chanson : y'a rien que toi ‎

‎ Salabert 1942‎


‎ Bon état Petit format ‎

Phone number : 06 12 41 09 89

EUR6.00 (€6.00 )

‎Raiter Léon - Raiter Léon - Koger Géo‎

Reference : 12386

(1927)

‎Partition de la chanson : Je ne sais rien de toi ‎

‎ Raiter Léon 1927‎


‎ Bon état Petit format ‎

Phone number : 06 12 41 09 89

EUR6.00 (€6.00 )

‎Candido Maria - Cana José - Havet Pierre‎

Reference : 19646

(1955)

‎Partition de la chanson : Je ne peux rien sans toi ‎

‎ Plante Jacques 1955‎


‎ Bon état Petit format ‎

Phone number : 06 12 41 09 89

EUR6.00 (€6.00 )

‎[Grassiant ] - ‎ ‎Aubert Jeanne,Berry Guy,Claveau André,Lumière Jean - Durand Paul - Rodor Jean,Poterat Jacques‎

Reference : 21505

(1942)

‎Partition de la chanson : Rien que toi ‎

‎ Beuscher Paul 1942‎


‎ Bon état Petit format ‎

Phone number : 06 12 41 09 89

EUR6.00 (€6.00 )

‎ - Henderson Ray,De sylva Buddy,Brown Lew - Poterat Louis‎

Reference : 26203

(1930)

Phone number : 06 12 41 09 89

EUR12.00 (€12.00 )

‎Mariano Luis - Van Parys Georges - Hornez André‎

Reference : 88951

(1946)

‎Partition de la chanson : Rien que toi Histoire de chanter ‎

‎ Bernstein 1946‎


‎ Etat moyen Grand format Piano ‎

Phone number : 06 12 41 09 89

EUR6.00 (€6.00 )

‎LUCIEN LUPI‎

Reference : R130004053

‎DISQUE VINYLE 33T PETIT FORMAT / LES GITANS / LE MONDE ET NOTRE AMOUR / L'ORAGE / RIEN POUR TOI / POUR L'AMITIE / DANSONS, MON AMOUR / FAIS TA PRIERE / QUAND L'AMOUR / DORMI-DORMI-DORMI / LES GUEULES NOIRES‎

‎LA VOIX DE SON MAITRE / PATHE MARCONI. non daté. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Pochette en couleurs.. . . . Classification : 410-33 Tours‎


‎FDLP1086M Classification : 410-33 Tours‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR19.80 (€19.80 )

‎CLAUDE LEVEILLEE‎

Reference : R130010157

‎DISQUE VINYLE 33T LA GRANDE VIE, ON EST TOUS MAL PRIS, LES APRES-MIDI D'HIER, PREMIER HIVER (INSTRUMENTAL), FILS DE LA LIBERTE, LES ANNEES FOLLES, CE N'ETAIT RIEN (INSTRUMENTAL), TOI QUI N'AS PLUS 20 ANS, LE COYOTE, LE VIEUX PIANOS.‎

‎DISQUES ADES. non daté. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Pochette en couleurs, une photo en couleurs dérrière la pochette.. . . . Classification : 410-33 Tours‎


‎Disque n° PPC-17.102 Classification : 410-33 Tours‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR14.90 (€14.90 )

‎COLLECTIF‎

Reference : RO80138707

(1951)

‎Rien que toi N°161 : Un singulier mariage de Max du Veuzit - L'ombre de mon péché de Jess Bowler ...‎

‎DES QUATRE POINTS CARDINAUX. 14 avril 1951. In-4. Broché. Etat d'usage, 2ème plat abîmé, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. Revue de 24 pages, illustré en noir et blanc. Manque un coin sur la dernière page, altérant la lecture du texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎ Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR14.90 (€14.90 )

‎RAITER LEON‎

Reference : RO50038925

‎JE NE SAIS RIEN DE TOI‎

‎LEON RAITER. non daté. In-8. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Non paginé, environ 4 pages. Partition pour chant seul + paroles. Photo en rouge et blanc de Léon RAITER sur le premier plat.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions‎


‎Paroles de Géo KOGER. Classification Dewey : 780.26-Partitions‎

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EUR14.90 (€14.90 )

‎JACQUES REVAUX / GILBERT ROUSSEL.‎

Reference : RO50041982

(1959)

‎SOUVENIR DU MOIS DE MAI / RIEN POUR TOI.‎

‎RAY VENTURA.. 1959. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Partitions d'Orchestre.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions‎


‎Paroles de Daniel Hortis pour les deux titres de partitions. EMRV 1390 ter / E.M.R.V .1400 ter. Classification Dewey : 780.26-Partitions‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR24.90 (€24.90 )

‎PRACHE Léonce‎

Reference : 8879

‎Rien que toi ‎

‎ "Le Livre de Poche" (4° série) n° 276 - Editions Tallandier (1932) - In-16 broché de 64 pages - Couverture en couleurs non signée - Très bon état‎


Phone number : 06 15 22 89 43

EUR15.00 (€15.00 )

‎BART, Léo ; BART, Jean ; BART, Charlemagne‎

Reference : 55268

(1915)

‎Belle correspondance personnelle et originale, adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917. Jean Bart fut successivement matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car pour l'essentiel non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917‎

‎94 cartes et LAS, auxquelles nous joignons quelques photos et quelques lettres postérieures. Belle correspondance personnelle adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917, adressée à Jean Bart, matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917‎


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