Solar. 1947. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 310p, coiffes frotteés, illustré de dessins noir et blanc et photos dans et hors texte. . . . Classification Dewey : 365-Prisons
"Envoi de l'auteur, préface de A. Gillois. "" J'ai été arréte pa r la Gestapo, à Paris le 29 mars 1941 et condamné le 30 avril 1945 à Bayreuth par l'armée américaine."" Classification Dewey : 365-Prisons"
1947 Monte-Carlo, Raoul Solar, 1947 in-8, relié, demi toile bradel, pièce de titre cuir rouge, titre doré, couverture conservée, 308pp, illustrations hors-texte. - bel exemplaire bien relié
les prisons allemandes de 1941 à 1945.
1947 / 308 pages. Broché. Editions Raoul Solar.
Pied de dos rogné, intérieur frais. Bon état.
Paris, Raoul Solar, 1947 16 x 25, 320 pp., broché, bon état
Monte-Carlo, Raoul Solar, 1947 ; in-8, broché. 308pp.-6ff. -2 ff. d'illustrations hors-texte.
Récit de 4 années d'enfermement dans les prisons allemandes de 1941 à 1945.
Monte-Carlo, Solar, 1947 gr. in-8, 308-[10] pp., ill. in et h. t., index, broché, sous jaquette illustrée. Jaquette abîmée.
Paris, 1947, in-8, 308pp, broché, jaquette, Bel exemplaire! 308pp
Raoul Solar Editeur 1947
in8, broche, 308p, 1947, etat correct, bords couverture frottes, dechirure sans manque haut quatrieme de couverture, dos legerement insoles, tranches jaunies, interieur jauni mais propre avec petit cahier d'illustrations en noir et blanc en debut d'ouvrage, Raoul Solar Editeur
1947 Raoul Solar éditeur - 1947 - Fort in-8, broché - 308 p. - Quelques illustrations in-texte en N&B, ainsi que quelques reproductions photographiques hors-texte en N&B en début d'ouvrage
Bon état - Menus frottements sur la couverture et ses bords - Dos très légèrement insolé
SOLAR RAOUL. 1947. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 308 pages - quelques illustrations en noir et blanc dans le texte - 1 planche en noir et blanc - nombreux manques sur la jaquette.. Avec Jaquette. . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
PREFACE D'ANDRE GILLOIS. Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Couverture souple. Broché. 308 pages. Papier bruni. Légèrement défraîchi. Envoi de l'auteur.
Livre. Préface d'André Gillois. Editions Raoul Solar, 1947.
Monte-Carlo, Raoul Solar, 1947, gr. in-8°, 308-(10) pp, préface d'André Gillois (pseud. de Maurice Diamant-Berger, frère de l'auteur), 4 pl. hors texte, illustrations et fac-similés dans le texte, 10 pp d'index, broché, bon état
"Chirurgien dans une clinique parisienne, Lucien Diamant-Berger est convoqué par les autorités d'occupation à la suite d’un trafic illicite de cinq bidons d'essence dont il n'était ni l'acteur ni l'instigateur. Arrêté le 29 mars 1941, il est très lourdement condamné le 30 avril par un tribunal militaire allemand à quatre ans de prison. Abasourdi par une situation qu'il comprend à peine : l'arrestation, l'incarcération à la Santé, le procès (en langue allemande), l'incurie de ses avocats, Lucien Diamant-Berger ne trouve qu'une explication : "l'activité radiophonique de [s]es frères" (p. 13) et son statut de juif auraient ainsi décidé de son sort. Il est de suite remis à l'administration française de la prison de Fresnes où son métier va considérablement influer sur son sort. Sa santé déclinante et son affaiblissement général le conduisent à l'infirmerie et, une fois rétabli, il y reste comme médecin, soignant aussi bien les détenus que les gardiens qui lui permettent de circuler "librement" dans la prison. S'il choisit dans un premier temps de se remémorer ce qu'il a vécu jusqu'alors (notamment à travers des poèmes et des chansons), il peut ensuite, grâce à sa situation privilégiée, écrire un journal de juin 1942 au 29 juillet 1943. De lecture agréable, le foisonnement des descriptions de sa vie quotidienne et la richesse des portraits offrent ainsi une restitution très précise de la vie à Fresnes en 1942-1943, où se mêlent des détenus de toute sorte arrivés ici pour des raisons diverses : résistance civile (propos antiallemands, diffusion de tracts, port de cocardes tricolores, aide aux soldats alliés, etc.) mais aussi des dénonciateurs, des droits communs ou des espions. Il ne manque pas d'expliquer le fonctionnement de l'infirmerie, le dévouement des sœurs religieuses (notamment de Sœur Joséphine) et les nombreux trafics et pots-de-vin entre détenus et gardiens. Cet enfermement, somme toute supportable, s'interrompt brusquement le 29 juillet 1943 lorsqu’en deux heures il est remis aux autorités allemandes et dirigé vers l'Allemagne le lendemain. Conduit avec un petit groupe de Français, il fait halte quatre jours à la prison de Mannheim puis à celle de Ludwigshafen avant de rejoindre la prison de Sarrebruck. Son dossier portant le mot "fatidique" de "jude" (p. 239), Lucien Diamant-Berger reçoit une veste avec une étoile jaune et, à son grand désespoir, est conduit dans une cellule d'isolement où "en aucun coin de la pièce il n'était possible de se tenir debout" (p. 239). Conduit par la suite à la prison de la ville de Deux-Ponts, il est enfermé avec les jeunes alors que les autres détenus, astreints au travail forcé, sont amenés à sortir souvent de la prison. Quant à lui, il est employé comme sellier-bourrelier et, parce qu'il est juif, ne reçoit aucune cigarette, est privé de douche, de promenade avec les autres et subit les pires brimades des gardiens. À partir du printemps 1944, le détenu reprend espoir comme beaucoup d'autres à l'attente de la Libération. La multiplication des bombardements conduit à l'évacuation de la prison vers celle de Bayreuth en septembre 1944. (...) Au mois d'avril 1945, Bayreuth est bombardée et la prison est évacuée le 13 avril, les prisonniers sont dirigés vers les troupes américaines..." (Françoise Passera, « Ecrits de Guerre et d’Occupation » EGO 1939-1945)
Monte-Carlo, Solar, 1947. in-8, 308pp.-6ff. Broché.
Édition originale. 2 planches de reproductions, quelques dessins in-texte. Index des noms. - Très frais, non coupé.
Paris, Raoul Solar, 1947, In huit, 308 pp, + index, broché, sans jaquette illustrée,couverture avec des manques,
Préface d'André Gillois. Quelques illustrations.