41 books for « pour bien se porter »Edit

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‎Ravina Jean (professeur)‎

Reference : RO40029094

ISBN : 270720000x

‎Guide de la femme enceinte - Collection pour bien se porter‎

‎Massin Charles. Non daté. In-8. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 156 pages.. . . . Classification Dewey : 610-Sciences médicales. Médecine‎


‎Collection pour bien se porter, dirigée par le docteur Richard Kohn. Classification Dewey : 610-Sciences médicales. Médecine‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR14.90 (€14.90 )

‎Thomas Aleth‎

Reference : 10389

(2006)

ISBN : 9782859222154

‎Limitez sel et sucre pour bien vous porter‎

‎Delville santé 2006 214 pages in8. 2006. broché. 214 pages. Le sel et le sucre sont partie intégrante de notre alimentation. Nous savons tous que leur consommation en excès est préjudiciable à la santé mais dans quelles proportions exactement ? Quels sont les vrais risques encourus ? Autant de questions sur lesquelles règne un certain flou. L'auteur diététicienne nutritionniste y répond en présentant ces deux produits (origines historique symbolique etc.) et leur fonction dans le corpshumain avec les troubles que leur excès peut susciter (problèmes cardio-vasculaires obésité diabète caries troubles digestifs...) Que faire alors ? D'abord bien connaître les aliments pour mieux les choisir en fonction de leur composition en sels (rôle du sel sur l'hypertension ou l'obésité) et sucres (influence des glucides sur l'obésité ou les diabètes de type I et II). On privilégiera les aliments riches en fibres et amidon à index glycémique faible et haute densité nutritionnelle. Un chapitre fait le point sur les faux sels et édulcorants de synthèse. Il faudra ensuite adopter un nouveau comportement alimentaire suggéré par l'auteur par exemple intégrer des aliments bien choisis dans des repas structurés user et abuser des condiments épices et aromates se méfier des plats préparés savoir lire les étiquettes... La seconde partie de cet ouvrage très pratique propose un grand nombre de recettes adaptées à une consommation équilibrée en sodium et saccharose. Elles sont répertoriées en soupes salades plats à base de viandes de poissons d'œufs et de légumes desserts et enfin boissons. Les mélanges d'épices d'herbes et d'aromates vous permettront de diminuer en douceur l'apport de sel.Nantis de ces conseils vous pourrez présenter sur votre table pour votre santé et celle de vos proches des repas à la fois équilibrés... et savoureux‎


‎Pages et couverture quasiment neuves - Envoi rapide et soigné dans une enveloppe à bulle depuis la France‎

Démons et Merveilles - Joinville

Phone number : 07 54 32 44 40

EUR6.00 (€6.00 )

‎Dr. CHAUVOIS L.‎

Reference : ROD0030745

(1932)

‎Ce qu'il faut connaître de soi pour bien se porter‎

‎Boivin & Cie. 1932. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur bon état. 159p.. . . . Classification Dewey : 614-Santé publique, médecine préventive‎


‎Se bien connaitre - se bien conduire - Classification Dewey : 614-Santé publique, médecine préventive‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR14.90 (€14.90 )

‎GAUTHEY-URWYLER Jacqueline‎

Reference : 98263

(1984)

‎Manger sainement... pour bien se porter Tome I: Manger et guérir. Recette diététiques élaborées d'après les enseignements du Dr C. Kousmine‎

‎ 1984 Delachaux et Niestlé - 1984 - In-8 broché - 216 pages‎


‎Bon état, coins émoussés, légères pliures de lecture sur le dos, léger jaunissement de la couverture ‎

Phone number : 04 78 38 32 46

EUR8.00 (€8.00 )

‎Marc-Hély,Chepfer Georges,Ferny Jacques,Herbert Michel,Paco Léonce,Weil Paul,Martini,Remongin,Mario Alcid - Pearly Fred,Gabaroche Gaston,Mario A.,Mercier René,Piccolini Henri,Turcy Georges,Heckmann Léon - Chepfer Georges,Weil Paul‎

Reference : 93712

(1920)

Phone number : 06 12 41 09 89

EUR20.00 (€20.00 )

‎COLLECTIF‎

Reference : RO80187150

(1911)

‎POUR BIEN SE PORTER - FEMINA BIBLIOTHEQUE‎

‎PIERRE LAFITTE & CIE. 1911. In-8. Broché. A relier, Plats abîmés, Dos abîmé, Quelques rousseurs. 318 Pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte. Quelques rousseurs sans conséquence pour la lecture. Couverture abimé. Livre désolidarisé. VENDU EN L'ETAT. . . . Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires‎


‎Preface de Mme Nicole Girard-Mangin Classification Dewey : 848-Ecrits divers, citations, journaux intimes, souvenirs, mémoires‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR29.80 (€29.80 )

‎Devalde Jean - Van Parys Georges,Parès Philippe - Marchès Léo,Lignereux Georges‎

Reference : 9373

(1927)

Phone number : 06 12 41 09 89

EUR6.00 (€6.00 )

‎DOCTEUR GAMMA (Dr Georges Détré).‎

Reference : 38587

‎Conseils pour bien se porter. [5e édition.]‎

‎Montrouge, Impr. moderne ; Paris, Editions de France, 20, avenue Rapp. (S. M.), (20 mars 1936.) in-12°, 379 pp., broche, couv.- RARE.‎


‎Bel exemplaire, non coupé. Qqs rares rousseurs sur la couverture. [NV-28] ‎

Phone number : 07 80 01 72 79

EUR49.00 (€49.00 )

‎BOUQUET (Dr. Henri).‎

Reference : 77401

‎Pour bien se porter.‎

‎Paris, Hachette, 1941. 1 vol. in-12°, 224 pp., broché‎


‎Dos un peu usagé sinon bel exemplaire, non coupé. [LP-9] ‎

Phone number : 07 80 01 72 79

EUR10.88 (€10.88 )

‎GAUTHEY-URWYLER Jaqueline ‎

Reference : 207895

(1988)

‎Manger sainement pour bien se porter. Les recettes du docteur C. Kousmine.‎

‎Couverture souple. Broché. 215 pages.‎


‎Livre. Editions Delachaux et Niestlé, 1988.‎

Librairie et Cætera - Belin-Beliet

Phone number : +33 (0) 5 56 88 08 45

EUR7.20 (€7.20 )

‎Jacqueline Gauthey Urwyler‎

Reference : 31983

(1988)

ISBN : 2603005316

Phone number : 04 78 30 94 84

EUR15.00 (€15.00 )

‎BOUQUET Henri Dr‎

Reference : 002727

(1930)

‎Pour Bien Se Porter‎

‎Paris Hachette 1930 In 12 Une analyse qui remonte à la préhistoire , le moyen âge jusqu'au XX° siècle . L'importance de l'hygiène et en dernière partie - autour de l'art de guérir . Médecine . - 224 p. , 350 gr.‎


‎Couverture rigide Très Bon État . 1° édition‎

Phone number : 04 67 98 96 91

EUR15.00 (€15.00 )

‎BOUQUET Dr HENRI‎

Reference : RO40111714

(1930)

‎POUR BIEN SE PORTER‎

‎Hachette. 1930. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos frotté, Non coupé. 224 pages.. . . . Classification Dewey : 615-Pharmacologie et thérapeutique‎


‎Les maladies dont on parle. Les thérapeutiques d'aujourd'hui. Questions d'hygiène... Classification Dewey : 615-Pharmacologie et thérapeutique‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR29.80 (€29.80 )

‎BOUQUET Henri ‎

Reference : 93282

(1930)

‎Pour bien se porter.‎

‎Couverture souple. Broché. 224 pages. Papier bruni. Couverture défraîchie.‎


‎Livre. Editions Hachette, 1930.‎

Librairie et Cætera - Belin-Beliet

Phone number : +33 (0) 5 56 88 08 45

EUR9.90 (€9.90 )

Reference : 56945

(1911)

‎Pour bien se porter‎

‎Pierre laffitte 1911 in8. 1911. Cartonné. 318 pages. Etat Passable couverture avec auréole dos fané en l'état‎


Livres-sur-sorgue - Isle-sur-la-sorgue

Phone number : 04 90 26 49 32

EUR5.00 (€5.00 )

‎[SANTÉ] - THOMAS (Aleth) - ‎

Reference : 201500275

‎Limitez sel et sucre pour bien vous porter. ‎

‎Paris, Delville , 2006; in-8, 217 pp., br.‎


‎.‎

Phone number : 03 89 24 16 78

EUR8.00 (€8.00 )

‎COLLECTIF‎

Reference : R300186269

(1992)

‎AGIR EN AQUITAINE N°37 JANVIER 1992 - SAFIR une solution contre la dependance - diététique bien manger pour mieux se porter - vacances 1992 2e semestre - les demoiselles de Sigiriya vous connaissez ? - vacances organisées départ de Bordeaux etc.‎

‎AGIR EN AQUITAINE. 1992. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 19 pages agrafées - quelques illustrations en couleurs dans le texte.. . . . Classification Dewey : 908.447-Régionalisme : Aquitaine‎


‎SOMMAIRE : SAFIR une solution contre la dependance - diététique bien manger pour mieux se porter - vacances 1992 2e semestre - les demoiselles de Sigiriya vous connaissez ? - vacances organisées départ de Bordeaux - séjours à l'étranger départ de Bordeaux etc. Classification Dewey : 908.447-Régionalisme : Aquitaine‎

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EUR14.90 (€14.90 )

‎RHEIMS, Maurice‎

Reference : 50665

(1960)

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR150.00 (€150.00 )

‎COLLECTIF‎

Reference : RO20066903

‎POUR VIVRE EN BONNE SANTE. BIEN SE PORTER. BIEN VIVRE.‎

‎Editions agence Gutenberg. non daté. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos frotté, Papier jauni. 142 pages.. . . . Classification Dewey : 610-Sciences médicales. Médecine‎


‎Recettes, régimes naturels et pratiques, Guide pour une vie saine et heureuse. Classification Dewey : 610-Sciences médicales. Médecine‎

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EUR14.90 (€14.90 )

‎COLLECTIF‎

Reference : RO40271903

(1993)

ISBN : 2709804182

‎BONNES RECETTES POUR UNE BONNE SANTE // SOMMAIRE : BIEN MANGER ET BIEN SE PORTER - SOUPES ET POTAGES - PATES ET CEREALES - CUISINE POUR DEUX - DESSERTS - PAINS ETC‎

‎SELECTION DU READER'S DIGEST. 1993. In-4. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 336 pages augmentées de nombreuses photos en couleur dans et hors texte. . . . Classification Dewey : 641.5-Cuisine, art culinaire‎


‎ Classification Dewey : 641.5-Cuisine, art culinaire‎

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EUR29.80 (€29.80 )

‎BART, Léo ; BART, Jean ; BART, Charlemagne‎

Reference : 55268

(1915)

‎Belle correspondance personnelle et originale, adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917. Jean Bart fut successivement matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car pour l'essentiel non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917‎

‎94 cartes et LAS, auxquelles nous joignons quelques photos et quelques lettres postérieures. Belle correspondance personnelle adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917, adressée à Jean Bart, matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917‎


‎Passionnant ensemble, à analyser en profondeur. Prix de l'ensemble, non séparable.‎

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‎[s.n.] - ‎ ‎DUMAS FILS, Alexandre ; [ DIETZ, David ]‎

Reference : 56068

(1871)

‎[ Copie d'une lettre d'Alexandre Dumas Fils adressée à M. Veschoutre de Metz évoquant la condamnation à mort du communard Louis Rossel ] Puys, (Seine Inférieure) 18 août 1871. Monsieur, Rossel sera certainement condamné à mort, il ne peut pas ne pas l'être. Il a déserté, il a passé à l'ennemi, il a combattu des chefs et des camarades ; la loi militaire est formelle, et l'acquittement de Rossel serait du plus mauvais et du plus dangereux effet. Pour le principe, et surtout en des moments comme les nôtres, il faut que Rossel soit condamné à mort, et si j'étais un de ses juges, je n'hésiterais pas une seconde ; mais une fois la condamnation prononcée, je demanderais sa grâce et de cette grâce je ne doute pas un moment. Rossel excite déjà de grandes sympathies et c'est au maréchal Mac-Mahon qu'il doit de n'avoir pas été fusillé sommairement. S'il ne prend pas devant le conseil de guerre une mauvaise attitude, il aura pour lui toutes les indulgences possibles. Je ne suis pas dans le Secret des Dieux, mais je crois pouvoir vous rassurer d'avance sur le sort de votre ami. Du reste, le moment venu, je ferai de mon mieux et je ne serai pas le seul. Je retournerai justement à Versailles pour cette affaire là. Très affectueusement à vous". A. Dumas. On joint le numéro 106 du "Courrier de la Moselle" du samedi 3 septembre 1870 (qui évoque "M. Dietz, le directeur bien connu des ateliers de Montigny" ainsi que l'enterrement de sa mère, de religion réformée, à l'enterrement de laquelle au cimetière du Sablon l'autorité catholique avait voulu porter obstacle), ainsi qu'un prospectus : "Discours prononcé dans la réunion de la Salle Chaynes le 30 août 1893 par le Citoyen Dietz, ancien ingénieur en chef de Chemins de Fer, Président honoraire des Patriotes de la Moselle" à Paris, en soutien au candidat républicain Delattre.‎

‎1 lettre recto verso, avec la mention en haut à gauche, de la main de l'ingénieur des chemins de fer et Président honoraire des "Patriotes de La Moselle" David Dietz : "Lettre adresse à Mr. Veschoutre de Metz. J'ai vu l'original". [ Copie d'une lettre d'Alexandre Dumas Fils adressée à M. Veschoutre de Metz évoquant la condamnation à mort du communard Louis Rossel ] Puys, (Seine Inférieure) 18 août 1871. Monsieur, Rossel sera certainement condamné à mort, il ne peut pas ne pas l'être. Il a déserté, il a passé à l'ennemi, il a combattu des chefs et des camarades ; la loi militaire est formelle, et l'acquittement de Rossel serait du plus mauvais et du plus dangereux effet. Pour le principe, et surtout en des moments comme les nôtres, il faut que Rossel soit condamné à mort, et si j'étais un de ses juges, je n'hésiterais pas une seconde ; mais une fois la condamnation prononcée, je demanderais sa grâce et de cette grâce je ne doute pas un moment. Rossel excite déjà de grandes sympathies et c'est au maréchal Mac-Mahon qu'il doit de n'avoir pas été fusillé sommairement. S'il ne prend pas devant le conseil de guerre une mauvaise attitude, il aura pour lui toutes les indulgences possibles. Je ne suis pas dans le Secret des Dieux, mais je crois pouvoir vous rassurer d'avance sur le sort de votre ami. Du reste, le moment venu, je ferai de mon mieux et je ne serai pas le seul. Je retournerai justement à Versailles pour cette affaire là. Très affectueusement à vous". A. Dumas On joint le numéro 106 du "Courrier de la Moselle" du samedi 3 septembre 1870 (qui évoque "M. Dietz, le directeur bien connu des ateliers de Montigny" ainsi que l'enterrement de sa mère, de religion réformée, à l'enterrement de laquelle au cimetière du Sablon l'autorité catholique avait voulu porter obstacle), ainsi qu'un prospectus : "Discours prononcé dans la réunion de la Salle Chaynes le 30 août 1893 par le Citoyen Dietz, ancien ingénieur en chef de Chemins de Fer, Président honoraire des Patriotes de la Moselle" à Paris, en soutien au candidat républicain Delattre.‎


‎Très intéressant ensemble réunissant la copie d'une lettre d'Alexandre Dumas fils évoquant la condamnation à mort de Rossel (malgré l'optimisme de Dumas fils, Louis Rossel sera fusillé le 28 novembre 1871) et le numéro 106 du "Courrier de la Moselle" du samedi 3 septembre 1870 (qui évoque "M. Dietz, le directeur bien connu des ateliers de Montigny" ainsi que l'enterrement de sa mère, de religion réformée, à l'enterrement de laquelle au cimetière du Sablon l'autorité catholique avait voulu porter obstacle), ainsi qu'un prospectus : "Discours prononcé dans la réunion de la Salle Chaynes le 30 août 1893 par le Citoyen Dietz, ancien ingénieur en chef de Chemins de Fer, Président honoraire des Patriotes de la Moselle" à Paris, en soutien au candidat républicain Delattre.‎

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‎Collectif‎

Reference : R110681750

(2021)

‎GQ n° 150 - En couverture : Kauli Vaast, Comment bien porter le bas de survêtement, Le survet' a travers les ages, Tout pour avoir fière (et vive) allure, Evan Mock, skateur, acteut et égénie des créateurs de mode, John-John Kennedy, l'intrépide, Portrait‎

‎Publications Condé Nast. Juin-Juillet 2021. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 139 pages. Nombreuses illustrations en couleurs dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎


‎Sommaire : En couverture : Kauli Vaast, Comment bien porter le bas de survêtement, Le survet' a travers les ages, Tout pour avoir fière (et vive) allure, Evan Mock, skateur, acteut et égénie des créateurs de mode, John-John Kennedy, l'intrépide, Portrait de Myd, chanteur et producteur de pop et véritable machine a danser Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎

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‎Docteur Goiran J.-P.‎

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‎"Guide de la contraception (Collection ""Pour se bien porter"")"‎

‎Charles Masson. Non daté. In-8. Cartonné. Bon état, Coins frottés, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 175 pages. Quelques rousseurs. Nombreux schémas en noir et blanc, in texte.. . . . Classification Dewey : 618-Autres branches de la médecine‎


‎"Collection ""Pour se bien porter"". Classification Dewey : 618-Autres branches de la médecine"‎

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Reference : RO30317759

(2010)

‎Revue Club Camif- Camif C pour vous- Septembre- Décembre 2010- Sommaire: Culture, Maison et jardin, voyages, croisières, locations vacances, hôtellerie, sprot et bien être, prêt à porter, cadeaux, véhicules.‎

‎Club Camif. 2010. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 58 pages. Nombreuses photos en couleurs, dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire: Culture, Maison et jardin, voyages, croisières, locations vacances, hôtellerie, sprot et bien être, prêt à porter, cadeaux, véhicules. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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