P., Stock, 1976, in-8, br., 345 pp., carte, planches de photos hors-texte. (Alg)
Un "fellagha", comme on disait alors, apporte le témoignage des combattants de "l'autre bord". Témoignage exceptionnel, venant d'un homme que ses frères de combat et les officiers français qui ont eu affaire à lui considèrent comme le chef le plus prestigieux et le plus courageux - il fut blessé treize fois - que l'Algérie ait compté. La carrière de Zerari Rabah, dit Si Azzedine, est fulgurante : maquis de Palestro dès 1955, chef du commando de choc Ali Khodja en 56, commandant militaire de la Wilaya IV ( 8.000 hommes) en 58, membre du C.N.R.A. (Conseil National de la Révolution Algérienne) et, adjoint au chef d'État-Major de l'Armée de Libération Nationale en 60, il prend en main en 1961 la zone autonome d'Alger. Petits manques de papier pp. 211 à 214, sans atteinte au texte