7 books for « nombre et pensee »Edit

‎[Imprimerie de J.-A. Quillot] - ‎ ‎Comité Central Républicain ; BAZE ; BERARD‎

Reference : 33946

(1848)

‎Comité Central Républicain. [ Discours du Candidat Bérard, commissaire du gouvernement et candidat républicain en 1848 ] ... "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté". ‎

‎1 brochure in-8, Imprimerie de J.-A. Quillot, Agen, s.d. (circa 1848), 7 pp.Rappel du titre complet : Comité Central Républicain. [ Discours du Candidat Bérard, commissaire du gouvernement et candidat républicain en 1848 ] ... "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté". ‎


‎Etat très satisfaisant. Très intéressante brochure politique : "Je vous quittai il y a onze ans pour aller à Paris et me préparer à l'école Polytechnique. J'étais pauvre, mes ressources n'étaient pas suffisantes. Mes études en souffrirent. Le dégoût me prit. Aux événements de1840, après la signature du traité du 14 juillet, des menaces de colation étrangères vinrent réveiller la France. Je m'engageai comme soldat ! La guerre ne se fit pas. Grâce à l'amitié de mon colonel, je pus reprendre mes études mathématiques et je fus admis à l'Ecole au nombre des premiers. Messieurs, cette grande Ecole est encore au-dessus de sa réputation patriotique. Avec quel bonheur je trouvai là la vieille tradition républicaine de 94, le culte saint de la patrie, un amour passionné de la gloire ; aussi protestâmes-nous toujours de nos paroles et de nos bourses contre le lâche abandon des Marquises, contre l'infâmie Pritchard et contre cette pensée impie qui ruinait la France en la déshonorant. A la mort du vénérable Jacques Laffitte, je fus désigné par mes camarades pour être, sur sa tombe, l'interprète de leurs regrets."... "La Révolution de Février me trouve à Paris, un fusil sur l'épaule, et trop heureux ne n'avoir pas à m'en servir"... "Messieurs, la Révolution a fait presque tous mes amis hauts et puissants" ... "En matière d'industrie et de commerce, je suis pour la liberté, la libre concurrence, la libre association, les transactions libres." ..."Je suis de ceux qui ne mettent jamais leur drapeau dans leur poche. ... Vous savez par quel louable motif le gouvernement provisoire a créé des ateliers nationaux. Tout cela est bien... mais il ne faut avancer qu'avec beaucoup de prudence dans cette voir semée d'écueils. Si l'Etat se fesait ainsi le banquier de tout le monde, il arriverait bientpot que personne ne voudrait être le banquier de l'Etat ; et que deviendrait alors le crédit de la France, et ses finances, et sa politique ?" ... "Savez-vous ce que nous doit la France nouvelle ? Elle nous doit des institutions républicains à la fois fermes, conciliantes et modérées. " ... "Elle doit décimer ces légions de fonctionnaires parasites dont le nombre allait absorbant de jour en jour la sève si riche de notre pays". ... "Citoyens, si j'étais votre mandataire, j'irais m'asseoir avec M. Baze sur les bancs des députés qui prendront pour devise ces trois mots : République, Ordre, Liberté". ‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR175.00 (€175.00 )

‎La Pensée - revue du rationalisme moderneDirecteurs : Paul Langevin et Georges Cogniot‎

Reference : 48522

Phone number : 04 78 38 32 46

EUR23.00 (€23.00 )

‎DUCHESNE, Mgr Louis‎

Reference : 63950

(1903)

‎[ Lot de 2 lettres autographes signées, à en-tête de l’Ecole Française de Rome ] 1 L.A.S. datée du 21 avril 1903: Mon cher ami, C’est aujourd’hui la Natale di Roma. Cet anniversaire m’a rappelé celui que vous vouliez célébrer dans les Débats, avec ma collaboration. J’en suis navré, mais ayant été submergé tous ces jours-ci, je n’ai pas eu un moment, même pour vous dire non. Maintenant que cette moutarde arriverait longtemps après dîner, je vous offre mes remords, qui sont encore cuisants. Joignons-y, comme fiche de consolation, la pensée que le jubilé de l’Ecole était un faux jubilé, inventé par la bienveillante traîtrise du ministère pour frapper les esprits du bloc et leur amener un plus grand nombre de décorations. Les chronologistes les plus expérimentés s’accordent à dire que l’Ecole a été fondée en mars 1873. On leur ferait de la peine en ne comptant depuis lors que 25 ans. Mais préparez tout de même une jolie tartine; vous la placerez dans vingt ans. Les Débats sont éternels. Si nous n’y sommes plus, ils y seront encore. Ici je vous embrasse avec autant d’effusion qu’il en a débordé, ces jours-ci dans les banquets ministériels»; [ On joint: ] 1 L.A.S. datée du 10 janvier 1910: [ … ] Non, je n’ai pas l’intention de m’occuper de la littérature de Dufourcq, car j’en pense trop de mal et ce n’est pas le moment de le dire à ce brave garçon, que j’aime bien et qui traverse en ce moment un gros ennui professionnel. Quant à Mgr Mignot, oh! mon ami, ne me demandez pas de parler des lires d’évêques. Les évêque me font trop d’effet. De plus celui-là, que j’aime non moins tendrement que Dufourcq se trouve dans une situation très particulière. N’insistons pas. Maintenant, tous mes vœux. Quand je verrai surgir du buisson quelque gibier à ma convenance et à ma portée, je le fusillerai très volontiers à votre intention. Pernot me donnera des conseils. Que n’est-il ici! Que ne suis-je aussi dans le bureau de papa Hébrard pour arrêter au vol les maladroits articles de Tardieu. L’affaire allait bien. Ce animal va la faire manquer. Silence et patience. Mille bonne amitiés».‎

‎2 lettres autographes signées, à en-tête de l’Ecole Française de Rome , à savoir: 1 L.A.S. datée du 21 avril 1903: Mon cher ami, C’est aujourd’hui la Natale di Roma. Cet anniversaire m’a rappelé celui que vous vouliez célébrer dans les Débats, avec ma collaboration. J’en suis navré, mais ayant été submergé tous ces jours-ci, je n’ai pas eu un moment, même pour vous dire non. Maintenant que cette moutarde arriverait longtemps après dîner, je vous offre mes remords, qui sont encore cuisants. Joignons-y, comme fiche de consolation, la pensée que le jubilé de l’Ecole était un faux jubilé, inventé par la bienveillante traîtrise du ministère pour frapper les esprits du bloc et leur amener un plus grand nombre de décorations. Les chronologistes les plus expérimentés s’accordent à dire que l’Ecole a été fondée en mars 1873. On leur ferait de la peine en ne comptant depuis lors que 25 ans. Mais préparez tout de même une jolie tartine; vous la placerez dans vingt ans. Les Débats sont éternels. Si nous n’y sommes plus, ils y seront encore. Ici je vous embrasse avec autant d’effusion qu’il en a débordé, ces jours-ci dans les banquets ministériels»; [ On joint: ] 1 L.A.S. datée du 10 janvier 1910: [ … ] Non, je n’ai pas l’intention de m’occuper de la littérature de Dufourcq, car j’en pense trop de mal et ce n’est pas le moment de le dire à ce brave garçon, que j’aime bien et qui traverse en ce moment un gros ennui professionnel. Quant à Mgr Mignot, oh! mon ami, ne me demandez pas de parler des lires d’évêques. Les évêque me font trop d’effet. De plus celui-là, que j’aime non moins tendrement que Dufourcq se trouve dans une situation très particulière. N’insistons pas. Maintenant, tous mes vœux. Quand je verrai surgir du buisson quelque gibier à ma convenance et à ma portée, je le fusillerai très volontiers à votre intention. Pernot me donnera des conseils. Que n’est-il ici! Que ne suis-je aussi dans le bureau de papa Hébrard pour arrêter au vol les maladroits articles de Tardieu. L’affaire allait bien. Ce animal va la faire manquer. Silence et patience. Mille bonne amitiés».‎


‎Ces deux lettres, remarquables de verve, furent adressées par le très fameux chanoine et historien catholique Louis Duchesne (1843-1922) à André Chaumeix, du Journal des Débats. Son œuvre majeure, l’Histoire ancienne de l’Eglise, sera mise à l’index en 1912. Mgr Duchesne fut le Directeur de l’Ecole Française de Rome au Palais Farnèse, de 1895 à sa mort en 1922.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR250.00 (€250.00 )

‎Valensin Auguste‎

Reference : RO30315419

(1963)

‎Regards- Tome I: Platon, Descartes, Pascal, Bergson, Blondel et Tome III: Dante- Sommaire: Tome I: L'art et la pensée de Platon , Leçons sur Pascal, Bergson ou l'art de faire s'évanouir un certain nombre de problèmes, etc.‎

‎Aubier. 1955-1963. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Non coupé. 326 + 194 pages. Couverture contrepliée.. . . . Classification Dewey : 100-PHILOSOPHIE ET DISCIPLINES CONNEXES‎


‎Tome I: Introduction d'André Blanchet. Sommaire: Tome I: L'art et la pensée de Platon , Leçons sur Pascal, Bergson ou l'art de faire s'évanouir un certain nombre de problèmes, etc. Tome III: Regards sur la vie de Dante, Trois amitiés, La Divine comédie, Comédie Humaine, L'Ulysse Dantesque, ou les limites de la Raison, etc. Classification Dewey : 100-PHILOSOPHIE ET DISCIPLINES CONNEXES‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR49.50 (€49.50 )

Reference : 27221

‎Revue historique - N° 522Sommaire : Léopold GÉNICOT, Sur le nombre des pauvres dans les campagnes médiévales. L'exemple du Namurois - Josette A. WISMAN, L'éveil du sentiment national au Moyen Age: la pensée politique de Christine de Pisan - Alberto TENENTI, Valeurs assurées et valeurs réelles à Raguse vers la fin du XVIe siècle - Michel MORINEAU, Cambrésis et Hainaut: des frères ennemis? - Claude FOHLEN, L'esclavage aux Etats-Unis: divergences et convergences - André CORVISIER, L'étude de la guerre entre la sociologie et l'histoire - Edouard WILL, Histoire grecque [Bulletin historique] - Louis TRENARD, Histoire des sciences de l'éducation (période moderne) [Bulletin historique].‎

‎ PARIS, P.U.F. - Fondée en 1878 par Gabriel Monod, publiée avec le concours du CNRS et de la 6e section de l'Ecole des Hautes Etudes.- Revue historique N° 522, Avril, juin 1980 - In-8, 15,5 x24 cm - Broché - paginé 273-573 - Très frais, comme neuf - Envoi rapide et soigné‎


‎La Revue historique, est une revue dhistoire française créée en 1876 par le protestant Gabriel Monod et le catholique Gustave Fagniez. Cette nouvelle revue s'inscrit en réaction contre La Revue des Questions historiques créée dix ans plus tôt et qui traduisait la pensée d'une droite ultramontaine et légitimiste. La Revue historique ne se réclame d'aucune religion, d'aucun parti, d'aucune doctrineÉditée à Paris par les Presses universitaires de France - ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le prix du supplément de port en fonction du poids et du nombre de livres- Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148 ‎

A l's.p.rance - Brest

Phone number : 06 81 23 31 48

EUR12.00 (€12.00 )

‎Denjoy (Arnaud) sur Henri Poicaré - Paul Painlevé - Henri Lebesgue - Emile Borel - Joseph Fourier - Pascal - Bourbaki - Archimède‎

Reference : 101080

(1964)

‎Hommes, formes et le nombre - Génie A et génie B, le savant disputé de Poincaré à Pascal - La philosophie des oeuvres et des vies - Epoques ? Et si notre Académie se rajeunissait , (Géomètres et géométrie - Henri Poicaré - Paul Painlevé - Henri Lebesgue - Emile Borel - Joseph Fourier - Pascal, le géomètre penseur - Epoques mathématiques : Les mathématiques et les mathématiciens - L'orientation actuelle des mathématiques - Aspects présents de la pensée mathématique - Bourbaki et les mathématiques du jour - Archimède)‎

‎Librairie Scientifique Albert Blanchard à Paris Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1964 Book condition, Etat : Très Bon broché, sous couverture imprimée éditeur blanche, titre en vert et noir grand In-8 1 vol. - 285 pages‎


‎ 1ere édition, 1964 Contents, Chapitres : Le savant, qu'est-il ? - Géomètres, leur esprit, leurs visages - Henri Poicaré - Paul Painlevé - Henri Lebesgue - Emile Borel - Joseph Fourier - Pascal, le géomètre penseur - Epoques mathématiques : Les mathématiques et les mathématiciens, quelle idée le grand public peut s'en faire (1911) - L'orientation actuelle des mathématiques (1914) - Aspects présents de la pensée mathématique (1937) - Bourbaki et les mathématiques du jour (1949) - Archimède - Causerie académique - Arnaud Denjoy, né le 5 janvier 1884 à Auch et mort le 21 janvier 1974 à Paris, est un mathématicien français, auteur d'une théorie de l'intégration originale. - Arnaud Denjoy est le fils d'un marchand de vin de Perpignan, sa mère venait de Catalogne. Il fait ses études secondaires au lycée d'Auch, jusqu'en troisième, puis à Montpellier. Après l'obtention des baccalauréats des lettres et des sciences, il suit la classe de mathématiques spéciales, puis part à Paris où il étudie de 1902 à 1905 à l'École normale supérieure, où il suit les conférences d'Émile Borel et de Paul Painlevé, et à la faculté des sciences de l'université de Paris, où il suit les cours de calcul différentiel et intégral d'Édouard Goursat et ceux de mécanique rationnelle de Paul Appell. Il obtient les licences des sciences mathématiques et physiques en 1904. - Il soutient ses thèses devant la faculté des sciences de l'université de Paris en 1909. Il est ensuite nommé maitre de conférences à l'université de Montpellier. Durant la Grande guerre, il est mobilisé dans le service auxiliaire en raison de sa mauvaise vision et en 1917 est mis en sursis d'appel et envoyé en mission aux Pays-Bas où la chaire de théorie des fonctions de l'université d'Utrecht lui a été proposée. En 1919, il est nommé professeur de mathématiques générales à la faculté des sciences de l'université de Strasbourg, mais est maintenu en mission à Utrecht. En février 1922, il est chargé à la faculté des sciences de l'université de Paris du cours de mathématiques générales (en remplacement de Paul Montel, suppléant Élie Cartan, lui-même suppléant de Paul Painlevé), puis du cours de mécanique analytique et mécanique céleste (chaire de Paul Painlevé), puis nommé maitre de conférences de calcul différentiel et intégral en 1925 en remplacement de Gaston Julia. Il obtient le titre de professeur sans chaire puis succède en 1931 à Gaston Julia comme titulaire de la chaire de mathématiques générales (René Garnier lui succède comme maitre de conférences). Deux ans plus tard, il est transféré dans la chaire de calcul différentiel et intégral, puis en 1933 dans la chaire d'application de l'analyse à la géométrie. Il occupe ensuite de 1940 à 1946 la chaire de géométrie supérieure, puis celle de théorie des fonctions et topologie jusqu'à sa retraite en 1955. Influencé par son professeur, Émile Borel, il se consacre surtout à la théorie des fonctions de la variable réelle. En 1942, il est élu membre de l'Académie des sciences, dont il est président en 1962. Il obtient la médaille Lomonosov en 1970 (source : Wikipedia) bel exemplaire, intérieur frais et propre, exemplaire non coupé‎

Librairie Internet Philoscience - Malicorne-sur-Sarthe
EUR20.00 (€20.00 )

‎Denjoy (Arnaud) sur Henri Poicaré - Paul Painlevé - Henri Lebesgue - Emile Borel - Joseph Fourier - Pascal - Bourbaki - Archimède‎

Reference : 101131

(1964)

‎Hommes, formes et le nombre - Génie A et génie B, le savant disputé de Poincaré à Pascal - La philosophie des oeuvres et des vies - Epoques ? Et si notre Académie se rajeunissait , (Géomètres et géométrie - Henri Poicaré - Paul Painlevé - Henri Lebesgue - Emile Borel - Joseph Fourier - Pascal, le géomètre penseur - Epoques mathématiques : Les mathématiques et les mathématiciens - L'orientation actuelle des mathématiques - Aspects présents de la pensée mathématique - Bourbaki et les mathématiques du jour - Archimède)‎

‎Librairie Scientifique Albert Blanchard à Paris Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1964 Book condition, Etat : Très Bon broché, sous couverture imprimée éditeur blanche, titre en vert et noir grand In-8 1 vol. - 285 pages‎


‎ 1ere édition, 1964 Contents, Chapitres : Le savant, qu'est-il ? - Géomètres, leur esprit, leurs visages - Henri Poicaré - Paul Painlevé - Henri Lebesgue - Emile Borel - Joseph Fourier - Pascal, le géomètre penseur - Epoques mathématiques : Les mathématiques et les mathématiciens, quelle idée le grand public peut s'en faire (1911) - L'orientation actuelle des mathématiques (1914) - Aspects présents de la pensée mathématique (1937) - Bourbaki et les mathématiques du jour (1949) - Archimède - Causerie académique - Arnaud Denjoy, né le 5 janvier 1884 à Auch et mort le 21 janvier 1974 à Paris, est un mathématicien français, auteur d'une théorie de l'intégration originale. - Arnaud Denjoy est le fils d'un marchand de vin de Perpignan, sa mère venait de Catalogne. Il fait ses études secondaires au lycée d'Auch, jusqu'en troisième, puis à Montpellier. Après l'obtention des baccalauréats des lettres et des sciences, il suit la classe de mathématiques spéciales, puis part à Paris où il étudie de 1902 à 1905 à l'École normale supérieure, où il suit les conférences d'Émile Borel et de Paul Painlevé, et à la faculté des sciences de l'université de Paris, où il suit les cours de calcul différentiel et intégral d'Édouard Goursat et ceux de mécanique rationnelle de Paul Appell. Il obtient les licences des sciences mathématiques et physiques en 1904. - Il soutient ses thèses devant la faculté des sciences de l'université de Paris en 1909. Il est ensuite nommé maitre de conférences à l'université de Montpellier. Durant la Grande guerre, il est mobilisé dans le service auxiliaire en raison de sa mauvaise vision et en 1917 est mis en sursis d'appel et envoyé en mission aux Pays-Bas où la chaire de théorie des fonctions de l'université d'Utrecht lui a été proposée. En 1919, il est nommé professeur de mathématiques générales à la faculté des sciences de l'université de Strasbourg, mais est maintenu en mission à Utrecht. En février 1922, il est chargé à la faculté des sciences de l'université de Paris du cours de mathématiques générales (en remplacement de Paul Montel, suppléant Élie Cartan, lui-même suppléant de Paul Painlevé), puis du cours de mécanique analytique et mécanique céleste (chaire de Paul Painlevé), puis nommé maitre de conférences de calcul différentiel et intégral en 1925 en remplacement de Gaston Julia. Il obtient le titre de professeur sans chaire puis succède en 1931 à Gaston Julia comme titulaire de la chaire de mathématiques générales (René Garnier lui succède comme maitre de conférences). Deux ans plus tard, il est transféré dans la chaire de calcul différentiel et intégral, puis en 1933 dans la chaire d'application de l'analyse à la géométrie. Il occupe ensuite de 1940 à 1946 la chaire de géométrie supérieure, puis celle de théorie des fonctions et topologie jusqu'à sa retraite en 1955. Influencé par son professeur, Émile Borel, il se consacre surtout à la théorie des fonctions de la variable réelle. En 1942, il est élu membre de l'Académie des sciences, dont il est président en 1962. Il obtient la médaille Lomonosov en 1970 (source : Wikipedia) bel exemplaire, intérieur frais et propre, exemplaire non coupé, quelques rousseurs sur la tranche centrale sans gravité‎

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