3115 books for « les allemands »Edit

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‎COLLECTIF‎

Reference : R240101895

‎L'ALLEMAND DES ALLEMANDS + INITIATION A L'ALLEMAND DES ALLEMANDS - LOT DE 10 VOLUMES - VOIR NOTICE - LIVRE SANS BANDES MAGNETIQUES.‎

‎EUROVOX. 1969-72. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Lot de 10 volumes initation l'allemand des allemands et l'allemand des allemands - ouvrages en français et en allemand - 218 + 59 + 160 + 207 + 208 + 234 + 242 + 23 + 60 + 37 pages - 3 photos disponibles - livré sans bandes magnétiques.. . . . Classification Dewey : 430-Langues germaniques. Allemand‎


‎Volume 1 : initation a l'allemand des allemands - Volume 2 : l'allemand des allemands premier niveau scènes 1 à 16 guide pratique des exercices sur bandes magnétiques - Volume 3 : l'allemand des allemands 1er volume scènes 1 à 8 - Volume 4 : l'allemand des allemands 2ème fascicule scènes 9-16 - Volume 5 : l'allemand des allemands 3ème fascicule disques 5 et 6 - Volume 6 : l'allemand des allemands 4ème fascicule scènes 25 à 32 - Volume 7 : l'allemand des allemands 5ème fascicule scènes 33 à 40 - Volume 8 : l'allemand des allemands premier niveau initiation à l'allemand l'allemand des allemands sc.1-16 index alphabétique - Volume 9 : initation a l'allemand des allemands guide pratique des exercicex oraux bandes magnétiques minicassettes - Volume 10 : l'allemand des allemands themes oraux sur bandes magnétiques initiation cours. Classification Dewey : 430-Langues germaniques. Allemand‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR249.00 (€249.00 )

‎SANDOZ (Gérard).‎

Reference : 88233

(1995)

‎Ces Allemands qui ont défié Hitler, 1933-1945.‎

‎ Pygmalion, 1995, gr. in-8°, 252 pp, avec le témoignage de Willy Brandt, 12 pl. de photos hors texte, biblio, index, broché, couv. illustrée, bon état‎


‎Le seul livre consacré aux résistants allemands morts en combattant l'hitlérisme. — Ce livre n'a qu'une ambition : démontrer que des dizaines de milliers d'Allemands ont combattu avec acharnement le régime sanguinaire érigé par Adolf Hitler. Il rappelle également aux lecteurs français que ces Allemands-là furent assez courageux pour essayer d'entraver, au péril de leurs vies ou par leurs sacrifices, la démarche meurtrière du Troisième Reich, et que par conséquent, contrairement à ce que l'on pense encore trop souvent, la nation allemande n'en porte pas, dans sa totalité, l'entière responsabilité. Il faut donc prendre acte de cette vérité incontestable : des ouvriers et des bourgeois, des socialistes, des syndicalistes et des communistes, des protestants et des catholiques, des officiers et de nombreux jeunes ont, tout au long du règne hitlérien, risqué leur vie en témoignant d'une "autre Allemagne". Des milliers d'Allemands ont été exécutés pour avoir participé à des actes de "haute trahison". D'autres, bien plus nombreux encore, ont souffert et sont morts dans les prisons et camps de concentration du régime nazi. Lorsque les déportés français sont arrivés dans ces camps, ils y ont rencontré des Allemands. Et pour cause : ils avaient été créés pour y "héberger" les adversaires allemands de la "peste brune". On ne parlera pas pour autant d'un réel mouvement de résistance en Allemagne hitlérienne. De toute manière, un régime totalitaire qui force les citoyens à se soumettre à une discipline de fer au point de les priver de la moindre parcelle d'autonomie, rend impossible la constitution du moindre mouvement de masse. C'est pourquoi ces Allemands étaient exemplaires. Ils méritent, ces inconnus ou méconnus, de ne pas rester confinés dans l'anonymat. ‎

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Phone number : 01 43 54 43 61

EUR20.00 (€20.00 )

‎BART, Léo ; BART, Jean ; BART, Charlemagne‎

Reference : 55268

(1915)

‎Belle correspondance personnelle et originale, adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917. Jean Bart fut successivement matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car pour l'essentiel non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917‎

‎94 cartes et LAS, auxquelles nous joignons quelques photos et quelques lettres postérieures. Belle correspondance personnelle adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917, adressée à Jean Bart, matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917‎


‎Passionnant ensemble, à analyser en profondeur. Prix de l'ensemble, non séparable.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR950.00 (€950.00 )

‎BÉDIER (Joseph).‎

Reference : 22620

(1915)

‎Les crimes allemands, d'après des témoignages allemands.Etudes et documents sur la guerre‎

‎ 1915 Armand Colin, 1915, in-8°, 39 pp, 17 fac-similés, broché, bon état (Etudes et documents sur la guerre)"M. Joseph Bédier établit les Crimes allemands d'après des témoignages allemands. Ces témoignages sont empruntés, dit l'auteur, « principalement à ces Journaux de guerre, que l'article 75 du Règlement de service en campagne de l'armée allemande recommande aux soldats de rédiger en cours de route, et qui ont été saisis par nous, à titre de papiers militaires sur des prisonniers. » Donc, les crimes allemands sont prouvés par des documents allemands, reproduits dans la langue des auteurs mêmes, traduits et souvent photographiés : cette fois, pas de négation possible de la part des malfaiteurs." (Polybiblion, revue bibliographique universelle) ‎


Livres Anciens Komar - Meounes les Montrieux

Phone number : 33 04 94 63 34 56

EUR12.00 (€12.00 )

‎COLLECTIF‎

Reference : R110311831

(1917)

‎LE PAYS DE FRANCE N° 128 - La semaine militaire du 15 au 22 mars, Poste et colis postaux militaires, Le zeppelin abattu a Compiègne, Péronne reprise aux allemands, La retraite des allemands sur l'Oise, Nos troupes entrent a Roye, Les allemands‎

‎LE MATIN. 29 MARS 1917. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 15 pages. Nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 940.3-Première Guerre mondiale 1914-1918‎


‎Sommaire : La semaine militaire du 15 au 22 mars, Poste et colis postaux militaires, Le zeppelin abattu a Compiègne, Péronne reprise aux allemands, La retraite des allemands sur l'Oise, Nos troupes entrent a Roye, Les allemands ne sont plus a Noyon, Bizarre accident d'aviation Classification Dewey : 940.3-Première Guerre mondiale 1914-1918‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR24.90 (€24.90 )

‎COLLECTIF‎

Reference : R300234634

(1914)

‎LA CROIX N°9661 35E ANNEE SEPTEMBRE 1914 - Pourquoi nous devons tenir - retour des cardinaux - sur le front de la grande bataille qui continue les allemands à leur droite ont reculé de 40 km - appel aux catholiques de France etc.‎

‎LA CROIX. 1914. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 4 pages.. . . . Classification Dewey : 940.3-Première Guerre mondiale 1914-1918‎


‎Sommaire : Pourquoi nous devons tenir - retour des cardinaux - sur le front de la grande bataille qui continue les allemands à leur droite ont reculé de 40 km - appel aux catholiques de France - les Allemands dans le Nord - leurs forces deux millions d'allemands - retour offensifdes allemands en Prusse orientale - l'impression en Hollande - le soldat qui a pris le drapeau du régiment de Magdebourg - les allemands auraient bien voulu les Baléares - opinion des soldats anglais sur leurs ennemis - notre merveilleux 75 il est en avance de trente ans sur le canon allemand etc. Classification Dewey : 940.3-Première Guerre mondiale 1914-1918‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR29.80 (€29.80 )

‎Collectif‎

Reference : R320149483

(1967)

‎Documents n°3-4 22e année 1967 - Konrad Adenauer - Le premier chancelier de la RFA - les grandes dates - Konrad Adenauer vu par Ulrich Fran-Planitz - notre dossier juifs et allemands - Ams et A.W.V en marge d'un dossier - un antisemitisme sans juifs ? ...‎

‎Imprimerie Dumas. 1967. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 236 pages.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : Konrad Adenauer - Le premier chancelier de la RFA - les grandes dates - Konrad Adenauer vu par Ulrich Fran-Planitz - notre dossier juifs et allemands - Ams et A.W.V en marge d'un dossier - un antisemitisme sans juifs ? - etre juif en Allemagne occidentale - notre Auschwitz - ressentiments - de l'accoutumance - coexistence entre juifs et allemands - nos rapports avec les juifs - juifs et allemands - les réparations - développement des relations germano-israeliennes - Pfitzer et les pharisiens - l'hebdomadaire allgemeine - le problème de la prescription - l'accord germano israélien sur les réparations - relations culturelles avec Israel - face au conflit du moyen orient - les élections au Landtag - défaite de l'extrême droite ? - conjoncture 1967 - évolution des échanges franco-allemands - Litauische Claviere de Johannes Bobrowski. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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‎COLLECTIF‎

Reference : R110312435

(1914)

‎LE MIROIR N° 39 - Les cosaques de l'Oural qui chassent les allemands devant eux, Les allemands se battent sans conviction, La guerre, Les hordes allemandes dévastent la Belgique, L'armée belge s'est repliée sur Anvers, Les étrangers contre l'Allemagne‎

‎BUREAU DE LA REVUE. 23 AOUT 1914. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages. Nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte. Plats désolidarisés.. . . . Classification Dewey : 940.3-Première Guerre mondiale 1914-1918‎


‎Sommaire : Les cosaques de l'Oural qui chassent les allemands devant eux, Les allemands se battent sans conviction, La guerre, Les hordes allemandes dévastent la Belgique, L'armée belge s'est repliée sur Anvers, Les étrangers contre l'Allemagne et l'Autriche, L'héroïque Moisson des étendards allemands, Les belges font preuve d'un courage admirable Classification Dewey : 940.3-Première Guerre mondiale 1914-1918‎

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‎COLLECTIF‎

Reference : R300234611

(1914)

‎LA CROIX N°9664 35E ANNEE MARDI 15 SEPTEMBRE 1914 - Victoire - la supplication solennelle à Notre Dame de Paris - en France les Allemands hâtent leur retraite vainqueurs de l'Autriche les Russes avancent en Allemagne l'offensive belge etc.‎

‎LA CROIX. 1914. In-Plano. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 4 pages.. . . . Classification Dewey : 940.3-Première Guerre mondiale 1914-1918‎


‎Sommaire : Victoire - la supplication solennelle à Notre Dame de Paris - en France les Allemands hâtent leur retraite vainqueurs de l'Autriche les Russes avancent en Allemagne l'offensive belge - une dépêche du Général Joffre - des deux côtés la bataille était considérée comme décisive - 70 000 hindous en France - le prix de la viande à Berlin - le rapport officiel anglais - les Russes débarassés des Autrichiens en Galicie reprennent l'offensive en Prusse - le paquebot français Lutetia a échappé aux croiseurs allemands - les mines - une sortie de la garnison d'Anvers combat de 4 jours - les atrocités allemandes - l'Espagne affirme sa neutralité - trois princes allemands morts à Bruxelles - le cardinal Andrieu et le nouveau pape - le voeu de Rouen - les prétentions turques vis a vis des capitulations - lettres de nos soldats - les prisonniers allemands etc. Classification Dewey : 940.3-Première Guerre mondiale 1914-1918‎

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‎COLLECTIF‎

Reference : R300234612

(1914)

‎LA CROIX N°9668 35E ANNEE SEPTEMBRE 1914 - Confiance toujours - avant la bataille et après les blessures - la prière des enfants pour le succès de nos armées - les allemands se tenant sur la défensive se sont retranchés de telle manière etc.‎

‎LA CROIX. 1914. In-Plano. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 4 pages.. . . . Classification Dewey : 940.3-Première Guerre mondiale 1914-1918‎


‎Sommaire : Confiance toujours - avant la bataille et après les blessures - la prière des enfants pour le succès de nos armées - les allemands se tenant sur la défensive se sont retranchés de telle manière que la bataille de l'Aisne est un véritable siège - linge pour les soldats - odyssée de trois médecine - le boycottage des allemands en Angleterre - fait prisonnier par son cheval - la reine des Belges à Anvers - Lemberg - la culpabilité allemande comment Guillaume II a déchainé la guerre - comment ils traitent leurs prisonniers - les blessés allemands - les secours aux familles des militaires tués - les allemands à court de canons - Lunéville réocuppée par nos troupes - la disette à Hambourg - le feu sacré - expectants et retardataires - chez les neutres - le président Wilson reçoit la mission belge - un papas grec rejoint son régiment - héroïsme d'un jeune Alsacien - nos blessés - les espions - deux automobilistes tué par une sentinelle - ce qu'est le mortier allemand de 420 etc. Classification Dewey : 940.3-Première Guerre mondiale 1914-1918‎

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‎Collectif‎

Reference : R300270661

(1983)

‎Journaux de Guerre - Lot de 72 numéros + un numéro spécial (COMPLET) du n°1 au n°72 - Une collection unique de journaux de 1939 à 1945 réimprimés intégralement - 3 septembre 1939, la guerre est déclarée - 19 septembre les allemands en Pologne...‎

‎Hachette/ALP. 1983. In-Folio. En feuillets. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 4 à 8 pages environ par numéro avec un journal de l'époque (Paris-Soir, Match, Le Journal, Le petit journal, Le reveil du Nord, L'action française, La libre Belgique, Le Matin, etc..) en fac-similé dans chaque numéro, des affiches, des cartes etc etc - nombreuses photos en noir et blanc dans le texte. Texte sur plusieurs colonnes. N°17 : 1er plat légèrement rongé, impactant le texte au verso.. . . . Classification Dewey : 70.1-Journaux‎


‎"Sommaire : 3 septembre 1939, la guerre est déclarée - 19 septembre les allemands en Pologne - 11 ocotbre 1939 Non à la pais d'Hitler - La drôle de guerre septembre 1939, avril 1940 - 10 mai 1940 les allemands attaquent à l'ouest - 28 mai, 4 juin 1940 Dunkerque - 14 juin 1940 les allemands dans Paris - 22 juin 1940 L'armistice - Juin 1940 la défaite - 10 juillet 1940 les pleins pouvoir à Pétain - 24 octobre 1940 l'entrevue de Montoire - 1940 la naissance de la France libre - 13 décembre 1940 l'arrestation de Laval, 15 décembre 1940 le retour des cendres de l'aiglon - 18 janvier 1941 une entrevue Pétain-Laval - 13 février 1941 Pétain rencontre Franco, 1er mars 1941, Leclerc prend Koufra - 1940-1941 La France de Vichy - 25 février 1941 le gouvernemetn Darlan - 1er mai 1941, le discours de Commentry, avril 1941 l'afrikakorps frappe en Lybie - 11 mai 1941 Darlan rencontre Hitler - 1940-1941 la France des barbelés - 2 juin 1941 le second statut des juifs - 22 juin 1941 ""Barbarossa, Hitler attaque Staline - 11 juillet 1941 la création de la L.V.F. - 1940-1941 le cinéma et la chanson - 27 août 1941 attentat contre Déat et Laval - 26 octobre 1941 la charte du travail - 18 nov. 1941 Weygand limogé - 7 déc. 1941 Pearl Harbor - 24 déc. 1941 les français livres à Saint-Pierre-et-Miquelon - 1er janvier 1942 Jean Moulin parachuté en France - 20 janv. 1942 La police parisienne prête serment - La France au quotidien en 1942 - 4 fév. 1942 création du S.O.L. - 3 mars 1942 La R.A.F. bombarde Billancourt - 26 mars 1942 vers le retour de Laval ? - 1941-42 la résistance s'organise - 18 avril 1942 Pétain rappelle Laval - 5 mai 1942 les anglais attaquent Madagascar - 7 juin 1942 l'étoile jaune - mai, juin 1942 Bir Hakeim - 22 juin 1942 la relève - 14 juillet 1942 la France combattante - 16 juil. 1942 La rafle du Vel'd'Hiv' - Les allemands en France - 19 août 1942 Dieppe - 4 sept. 1942 Le travail devient obligatoire - Sept, Oct. 42 l'affaire Malgache - 8 nov. 1942 les alliés débarquent en Afrique du Nord - 27 nov. 42 la flotte se saborde à Toulon - 24 déc. 42 Darlan assassiné - 24 janv. 43 De Gaulle rencontre Giraud à Anfa - La collaboration - 16 fév. 43 Le S.T.O. - 19 avril 43 L'insurrection du ghetto de Varsovie - 27 mai 43 Première réunion du C.N.R. - La France d'Alger - 21 juin 43, Jean Moulin tombe - 3 sept. 43 à l'assaut de l'Italie - La France sous les bombes - Les camps de concentration - 11 nov. 43 la résistance défile dans Oyonnax - 28 nov. 43 la conférence de Téhéran - 22 fév. 44 execution du groupe Manouchian - Maquis et répression - 26 avril 44 Pétain à Paris - 6 juin 44 Le débarquement - 20 juil. 44 l'attentat contre Hitler - Août 44 Paris libéré - 1er août 44 l'insurrection de Varsovie - nov. déc. 44 Combat pour l'Alsace-Lorraine - Janv. fév. 45 Offensive allemande dans les Ardennes - Mars 45 Les français franchissent le Rhin. Classification Dewey : 70.1-Journaux"‎

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‎GUIDON, André‎

Reference : 65050

(1914)

‎Cahier manuscrit : souvenir de guerre de la mobilisation en août 1914 au 20 octobre 1914 [ Contient notamment : ] [ Il fournit heure par heure les détails de la mobilisation, de l'aiguisage des sabres à 5 h 30 à la perception des armes s'il en est besoin à 18 H 00, donne les noms des membres des escouades. Embarquement à Montauban le 3 août, départ de Lunéville le 10 août à 4 H 00 du matin "pour aller prendre contact de l'ennemi à Froides-Fontaines", pas d'échanges de tir, et retour à Lunéville, "chaleur accablante" [... ] Le 13 août "Plusieurs cavaliers du 15e 20e 10e dragons ont des chevaux allemands, des hommes qu'ils ont tué étant en reconnaissance, car les leurs furent tués sous eux. Heureusement, il n'y a encore pas de morts. J'espère qu'aujourd'hui ou demain j'aurai le baptême du feu et que je pourrai descendre quelques hulans on entend déjà la fusillade, j'espère que cela va chauffer. Nous voilà à notre poste et les boches sont à 1500 mètres de nous. Une patrouille est partie, commandée par le Capitaine, à l'instant en voilà une du 4e dragon qui rentre après avoir essuyé le feu de l'ennemi. Hommes et chevaux sont sains et saufs. Nous sommes dans un verger, à l'ombre, le vent commence à s'élever. Heureusement nous sommes à Beau-Séjour, une ferme en lisière de la forêt des parois qui est abandonnée. Une patrouille du 4e dragon a eu chevaux tués, un homme blessé à la cuisse. Le canon du fort de Manouvillers est en train de déloger les boches des bois voisins avec ses petits pruneaux, c'est épatant [ ...]". Le 14 août, "On entend les canons gronder en avant de nous, je crois que demain ou après il y aura un engagement un peu sérieux, je m'en réjouis car je suis jaloux de ceux qui ont déjà eu l'occasion d'essuyer quelques coups de feu" [ ... Ils cantonnent ensuite à Bénaménil. Le 17 août : ] "Les boches fuient devant nous comme des péteux, abandonnant tout. Je crois que demain ça va chauffer" [... ] [ le 19 août il écrit : ] "Nous sommes à la lisière d'un bois, mon officier m'envoie reconnaître une ferme à 200 m de là avec 3 cavaliers. La 1ère chose fut de nous munir des pains que nous n'avions pas depuis 2 jours. Une patrouille de chasseurs nous passe devant, mais elle ne devait pas aller loin car à 500 mètres plus loin, le sous-off et un homme furent tués, le 3e eut son cheval tué et je vous assure qu'il ne s'amusait pas pour revenir [ ... ] [ le 22 août il assiste au bombardement de Lunéville, le 23 les allemands entrent dans la ville : ] "Ils sont entrés à Lunéville, ont brûlé les casernes et même paraît-il les hôpitaux où il y avait de nombreux blessés. Ce sont de véritables sauvages. Les habitants de Lunéville et des villages voisins fuient devant ce désastre. C'est une véritable procession sur les routes, ça fait pitié, il est grand temps qu'on les arrête [... ] [ Le lendemain 24 août : ] "Nous les tenons dans la souricière il n'y a plus qu'à les démolir ce que nous ferons demain je crois. Il est 6 H notre artillerie canarde les boches qui essayent de se retirer et le Général de Castelnau envoie un officier d'Etat-Major féliciter notre Général de division Coneau. Nous cantonnons à Saint-Rémy-aux-Bois." [ etc. etc...] [ Avec : ] 4 cartes d'adhérent, à l'association "Les Croix de Feu" pour 1935 et 1936, à l'Association de la Salle Mermoz (1937) et au Parti Social Français (1937 et 1938) [ Avec : ] L.A.S. adressée en janvier 1927 à Paul Painlevé, ministre de la guerre, pour obtention d'un emploi civil dans l'armée‎

‎1 cahier format 21 x 16 cm d'environ 50 ff. dont 21 rédigés (fin du texte rédigée au crayon sur feuillet volant de format plus réduit), 1 L.A.S. et 4 cartes d'adhérent : Cahier manuscrit : souvenir de guerre de la mobilisation en août 1914 au 20 octobre 1914 [ Contient notamment : ] [ Il fournit heure par heure les détails de la mobilisation, de l'aiguisage des sabres à 5 h 30 à la perception des armes s'il en est besoin à 18 H 00, donne les noms des membres des escouades. Embarquement à Montauban le 3 août, départ de Lunéville le 10 août à 4 H 00 du matin "pour aller prendre contact de l'ennemi à Froides-Fontaines", pas d'échanges de tir, et retour à Lunéville, "chaleur accablante" [... ] Le 13 août "Plusieurs cavaliers du 15e 20e 10e dragons ont des chevaux allemands, des hommes qu'ils ont tué étant en reconnaissance, car les leurs furent tués sous eux. Heureusement, il n'y a encore pas de morts. J'espère qu'aujourd'hui ou demain j'aurai le baptême du feu et que je pourrai descendre quelques hulans on entend déjà la fusillade, j'espère que cela va chauffer. Nous voilà à notre poste et les boches sont à 1500 mètres de nous. Une patrouille est partie, commandée par le Capitaine, à l'instant en voilà une du 4e dragon qui rentre après avoir essuyé le feu de l'ennemi. Hommes et chevaux sont sains et saufs. Nous sommes dans un verger, à l'ombre, le vent commence à s'élever. Heureusement nous sommes à Beau-Séjour, une ferme en lisière de la forêt des parois qui est abandonnée. Une patrouille du 4e dragon a eu chevaux tués, un homme blessé à la cuisse. Le canon du fort de Manouvillers est en train de déloger les boches des bois voisins avec ses petits pruneaux, c'est épatant [ ...]". Le 14 août, "On entend les canons gronder en avant de nous, je crois que demain ou après il y aura un engagement un peu sérieux, je m'en réjouis car je suis jaloux de ceux qui ont déjà eu l'occasion d'essuyer quelques coups de feu" [ ... Ils cantonnent ensuite à Bénaménil. Le 17 août : ] "Les boches fuient devant nous comme des péteux, abandonnant tout. Je crois que demain ça va chauffer" [... ] [ le 19 août il écrit : ] "Nous sommes à la lisière d'un bois, mon officier m'envoie reconnaître une ferme à 200 m de là avec 3 cavaliers. La 1ère chose fut de nous munir des pains que nous n'avions pas depuis 2 jours. Une patrouille de chasseurs nous passe devant, mais elle ne devait pas aller loin car à 500 mètres plus loin, le sous-off et un homme furent tués, le 3e eut son cheval tué et je vous assure qu'il ne s'amusait pas pour revenir [ ... ] [ le 22 août il assiste au bombardement de Lunéville, le 23 les allemands entrent dans la ville : ] "Ils sont entrés à Lunéville, ont brûlé les casernes et même paraît-il les hôpitaux où il y avait de nombreux blessés. Ce sont de véritables sauvages. Les habitants de Lunéville et des villages voisins fuient devant ce désastre. C'est une véritable procession sur les routes, ça fait pitié, il est grand temps qu'on les arrête [... ] [ Le lendemain 24 août : ] "Nous les tenons dans la souricière il n'y a plus qu'à les démolir ce que nous ferons demain je crois. Il est 6 H notre artillerie canarde les boches qui essayent de se retirer et le Général de Castelnau envoie un officier d'Etat-Major féliciter notre Général de division Coneau. Nous cantonnons à Saint-Rémy-aux-Bois." [ etc. etc...] [ Avec : ] 4 cartes d'adhérent, à l'association "Les Croix de Feu" pour 1935 et 1936, à l'Association de la Salle Mermoz (1937) et au Parti Social Français (1937 et 1938) [ Avec : ] L.A.S. adressée en janvier 1927 à Paul Painlevé, ministre de la guerre, pour obtention d'un emploi civil dans l'armée‎


‎Comme le précise le courrier adressé au ministre, André Guidon est né le 15 mai 1892 à Dommartin-sur-Vraine (Vosges), instruction secondaire au collège de Mirecourt engagé volontaire pour trois ans le 18 août 1912 au 10e dragons, parti en campagne contre l'Allemagne à compter du 2 août 1914, passé au 1er léger le 1er juin 1916, passé au 12e Cuir. à pied le 4 août 1917, disparu le 5 avril 1917 au bois Sénécat (Somme), évadé le 30 mai 1918, rentré en France le 4 juillet 1918 à Boulogne. Il fut blessé deux fois, par éclats d'obus et de grenade. Très intéressant cahier manuscrit (sans doute reporté au propre) détaillant l'état d'esprit dans les 3 premiers mois de la Première Guerre Mondiale d'un jeune Dragon engagé volontaire, ainsi que de nombreuses impressions de terrain (notamment lors de ce qui sera appelé plus tard la bataille de la trouée de Charmes, du 24 au 26 août 1914). ‎

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‎VELING (Capitaine Pierre Guillaume Auguste).‎

Reference : 124543

(1900)

‎Nos Alliés allemands. 1805-1809.‎

‎ P., Fayard frères, s.d. (1900), in-12, 323 pp, reliure demi-basane mordorée, dos à 4 nerfs, pièces d'auteur et de titre basane carmin et noire (rel. de l'époque), coiffes frottées, pt accroc à la coiffe sup., bon état. Rare‎


‎Première série, seule parue. L'auteur, historien militaire réputé et collaborateur du Temps, souhaite rendre hommage aux Allemands qui ont « vaillamment combattu sous nos drapeaux, dans les guerres du premier Empire ». Il s'appuie sur des mémoires militaires allemands relatifs aux campagnes de 1805 à 1809 : Les alliés allemands de la France sous l’Empire ; Campagne de 1805 ; Campagnes de 1806-1807 ; Opérations en Silésie ; 1809 ; Opérations dans le Tyrol. Il a publié, sous son nom ou sous le pseudonyme de P. de Pardiellan, plusieurs ouvrages militaires et historiques concernant surtout l'Allemagne et ses armées. ‎

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Reference : CZC-9806

‎Lettres de quelques Juifs Portugais, Allemands & Polonais à M. de Voltaire.‎

‎Lettres de quelques Juifs Portugais, Allemand & Polonais à M. de Voltaire Cher M. de Voltaire, Nous, quelques Juifs Portugais, Allemands et Polonais, souhaitons prendre la plume pour vous exprimer notre profonde gratitude et admiration pour votre œuvre et votre engagement en faveur de la tolérance religieuse et de la justice sociale. En tant que Juifs vivant dans différents pays européens, nous avons été témoins de la discrimination et de l'oppression qui ont marqué notre histoire. Les préjugés et les persécutions dont nous avons été victimes ont souvent été basés sur des stéréotypes et des idées fausses profondément enracinés. Cependant, nous avons trouvé dans vos écrits une voix de raison et d'éclaircissement. Vos plaidoyers en faveur de la liberté de pensée, de la liberté d'expression et de la liberté religieuse ont été d'une importance capitale pour nous. Votre célèbre affirmation selon laquelle "je ne suis pas d'accord avec ce que vous dites, mais je me battrai jusqu'à la mort pour que vous ayez le droit de le dire" résonne profondément en nous. Cela représente l'esprit même de la tolérance et de la coexistence pacifique. Votre lutte contre l'intolérance et les abus commis au nom de la religion nous a donné espoir. Votre plaidoyer en faveur de la justice et de l'égalité a éclairé nos esprits et renforcé notre résolution à lutter contre les discriminations dont nous sommes victimes. Votre travail a contribué à semer les graines de changement dans nos sociétés et a inspiré des générations de penseurs et de réformateurs. En tant que membres de la communauté juive, nous avons été touchés par votre soutien aux Juifs persécutés, en particulier votre engagement dans l'affaire du capitaine Dreyfus. Votre prise de position courageuse en faveur de la vérité et de la justice, malgré l'hostilité et les attaques dont vous avez été victime, est un exemple qui continue de nous inspirer. Nous voulions simplement vous dire merci. Vos idées ont eu un impact durable sur nos vies et ont contribué à promouvoir la liberté et l'égalité pour tous. Votre héritage en tant que défenseur des droits de l'homme et des principes humanistes est inestimable. Avec tout notre respect et notre gratitude, Les Juifs Portugais, Allemands et Polonais avec un petit commentaire extrait d'un plus grand. Sixième édition, augmentée & corrigée d'après les manuscrits de l'auteur Complet en 3 vols in-8, 20x15, relié demi cuir, qq traces de mouillures anciennes, intérieur bien frais, 588, 425 & 468pp. Ces lettres magnifiques et drôles de mystérieux juifs allemands et polonais, qui répondent aux attaques de Voltaire contre leur peuple,dissimulent, selon les spécialistes, la plume d'Antoine Guénée, grand érudit et précepteur des neveux de Louis XVI. Car Voltaire, à travers ses réfutations de l'Ancien Testament, vise bien évidemment toute la croyance occidentale Paris, chez Méquignon Junior, 1805 ref/25/2‎


Livres & Autographes - La Madeleine

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‎Collectif‎

Reference : RO10026914

(1915)

‎La nature n° 2180 - La guerre navale et la torpille par Blactot, L'épuration de l'hydrogène des ballons, L'essai de conquête du Golfe Persique par les Allemands par Dehérain, L'explosif (trinitrotoluol) des obus allemands, La fabrication des ampoules‎

‎Masson et cie. 10 juillet 1915. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 17 à 32. Quelques gravures en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 500-SCIENCES DE LA NATURE ET MATHEMATIQUES‎


‎Sommaire : La guerre navale et la torpille par Blactot, L'épuration de l'hydrogène des ballons, L'essai de conquête du Golfe Persique par les Allemands par Dehérain, L'explosif (trinitrotoluol) des obus allemands, La fabrication des ampoules à rayons X pendant la guerre par Coustet. Classification Dewey : 500-SCIENCES DE LA NATURE ET MATHEMATIQUES‎

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‎COLLECTIF‎

Reference : RO10066672

(1915)

‎LA FRANCE ILLUSTREE N° 2133 - Dans l'église dévastée d'un village reconquis de champagne, Les prisonniers par Charles Baussan, Les canons allemands a Paris par Louis Desvallées, Péripéties balkaniques par Charles Retezeau, Le bombardement des hopitaux‎

‎Imp. des Orphelins-apprentis. 16 octobre 1915. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 229 à 240. Nombreuses gravures en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique‎


‎Journal hebdomadaire. Sommaire : Dans l'église dévastée d'un village reconquis de champagne, Les prisonniers par Charles Baussan, Les canons allemands a Paris par Louis Desvallées, Péripéties balkaniques par Charles Retezeau, Le bombardement des hopitaux par les allemands, L'éclipse des sous marins allemands, Les combats en Champagne Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique‎

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‎BAST, Oliver.‎

Reference : 1296

‎LES ALLEMANDS ET PERSE PENDANT LA PREMIERE GUERRE MONDIALE, D'APRES LES SOURCES DIPLOMATIQUES FRANcAISES deel 2.‎

‎, Paris, Peeters, 1997, broche, 16x24cm, 208pp. ISBN: 978-90-6831-914-9‎


‎La Perse, partagee en zones d'influence anglaise et russe, declara officiellement sa neutralite peu apres le debut de la guerre de 1914. Elle fut cependant le theatre d'affrontements armes entre les Russes, les Ottomans, les Allemands et les Anglais, relayes par des elements persans nationalistes ou tribaux. Pour les Allemands, plusieurs enjeux justifiaient une action vigoureuse en Perse: destabiliser la puissance coloniale britannique, arreter la production de petrole, d'importance strategique pour la Grande-Bretagne depuis 1912, et surtout etablir un contact avec l'Emir afghan Habibollah pour le persuader de susciter une agitation en Inde. Un agent allemand de cette periode est reste dans la legende, Wassmuss, "le Lawrence allemand". Ce livre etudie, principalement a partir d'archives francaises jusqu'alors ignorees des historiens, une periode confuse de l'histoire de la Perse. Il met en valeur l'originalite de la diplomatie francaise malgre la modestie de ses interets en Perse. Il rassemble une documentation de premiere main, dans les langues europeennes et en persan, qui eclaire d'un jour nouveau les conflits des Occidentaus pour la domination sur le Moyen-Orient. Olivier Bast, allocataire de recherche a l'institut francais de recherche en Iran (Teheran), est a la fois historien et orientaliste. Il acheve son doctorat aux universites de la Sorbonne nouvelle (Paris 3) et de Bamberg (Allemagne‎

ERIK TONEN BOOKS - Antwerpen

Phone number : 0032495253566

EUR25.00 (€25.00 )

‎[E. Dentu, Librairie de la Société des Gens de Lettres] - ‎ ‎TISSOT, Victor‎

Reference : 60887

(1881)

‎Russes et Allemands [ Edition originale - Livre dédicacé par l'auteur ] Les Pères du nihilisme - De l'Education des femmes en Russie - Les Universités Russes - Qu'est-ce que la Russie ? - L'armée russe - La nouvelle Allemagne et la nouvelle Russie - Les Allemands en Russie - Le socialisme allemand et l'état moral à Berlin‎

‎1 vol. in-12 br., E. Dentu, Librairie de la Société des Gens de Lettres, Paris, 1881, 336 pp. et 1 f. Russes et Allemands [ Edition originale - Livre dédicacé par l'auteur ] Les Pères du nihilisme - De l'Education des femmes en Russie - Les Universités Russes - Qu'est-ce que la Russie ? - L'armée russe - La nouvelle Allemagne et la nouvelle Russie - Les Allemands en Russie - Le socialisme allemand et l'état moral à Berlin‎


‎Rare exemplaire dédicacé par l'écrivain suisse et grand voyageur Victor Tissot, "à mon cher [ ... ] son dévoué collaborateur". Etat très satisfaisant (couv. un peu frottée).‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR175.00 (€175.00 )

‎Lacroix P. & Collectif‎

Reference : RO80251324

(1915)

‎Documents sur la Guerre, n°15 (juillet 1915) : L'organisation industrielle de la guerre / Un témoignage allemand sur l'esprit public en France / Les procédés de guerre allemands / La réponse des alliés aux procédés de guerre allemands /...‎

‎Chambre de Commerce de Paris. 1915. In-8. En feuillets. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Papier jauni. 4 pages.. . . . Classification Dewey : 940.3-Première Guerre mondiale 1914-1918‎


‎Sommaire : L'organisation industrielle de la guerre / Un témoignage allemand sur l'esprit public en France / Les procédés de guerre allemands / La réponse des alliés aux procédés de guerre allemands /... Classification Dewey : 940.3-Première Guerre mondiale 1914-1918‎

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Reference : R110394502

(1940)

‎7 jours n° 2 - Comment les allemands sont entrés a Paris, le récit des négociateurs heure par heure, Par la brêche de la Meuse ouverte le 24 mai : les chars allemands foncent vers la mer, Beauvais, le taciturne cherchait un homme par J.O. Curwood, L'homme‎

‎Bureau du journal. 13 octobre 1940. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 23 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎


‎Sommaire : Comment les allemands sont entrés a Paris, le récit des négociateurs heure par heure, Par la brêche de la Meuse ouverte le 24 mai : les chars allemands foncent vers la mer, Beauvais, le taciturne cherchait un homme par J.O. Curwood, L'homme au parapluie renonce Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎

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Reference : R320149484

(1968)

‎Documents n°1 23e année 1968 janv.-février - Ce qu'attendent les allemands des français - un contrat d'association - le traité franco-allemand - mon espoir que le traite continue - une importance determinante - échanges de scientifiques allemands etc.‎

‎Imprimerie Dumas. 1968. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Papier jauni. 147 pages.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : Ce qu'attendent les allemands des français - un contrat d'association - le traité franco-allemand - mon espoir que le traite continue - une importance determinante - échanges de scientifiques allemands et soviétiques - panorama de l'économie allemande - trois romans de la littérature en exil - néo nazi ou extreme droite ? - le financement du npd - évolution du npd - notes en marge d'un programme - l'attitude de la jeunesse - bibliographi sommaire - la Chine dans les manuels scolaires - la conjoncture économique et sociale - le Plan Leber - la République fédérale allemande d'André Mannon et Léa Marcou. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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Reference : R110312604

(1917)

‎LE MIROIR N° 208 - Le premier obus envoyé aux allemands par les artilleurs américains, Les nouveaux lance-flammes des allemands, Les généraux Pershing et Franchet d'Espérey, Nos victoires aériennes au nord de l'Aisne, Les tanks a l'assaut du fort‎

‎BUREAU DE LA REVUE. 18 NOVEMBRE 1917. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages. Nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 940.3-Première Guerre mondiale 1914-1918‎


‎Sommaire :Le premier obus envoyé aux allemands par les artilleurs américains, Les nouveaux lance-flammes des allemands, Les généraux Pershing et Franchet d'Espérey, Nos victoires aériennes au nord de l'Aisne, Les tanks a l'assaut du fort de la Malmaison, Trou fait dans une creute par un obus de 400, L'agitateur Lenine, a cheval, conduit une manifestation pacifiste devant le palais d'hiver Classification Dewey : 940.3-Première Guerre mondiale 1914-1918‎

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Reference : R110312577

(1917)

‎LE MIROIR N° 181 - L'emblème de la révolution sur le monogramme impérial a Tsarkoie-Selo, Bulgares et allemands au travail a Salonique, Deux types d'anciens abris allemands, Les prisonniers de l'offensive de Champagne, Le ministre de la guerre‎

‎BUREAU DE LA REVUE. 13 MAI 1917. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages. Nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 940.3-Première Guerre mondiale 1914-1918‎


‎Sommaire : L'emblème de la révolution sur le monogramme impérial a Tsarkoie-Selo, Bulgares et allemands au travail a Salonique, Deux types d'anciens abris allemands, Les prisonniers de l'offensive de Champagne, Le ministre de la guerre en Champagne, Un entonnoir de mine a Fontaine-lès-Cappy, La Chine contre l'Allemagne : l'occupation de la concession allemande de Tien-Tsin le 16 mars Classification Dewey : 940.3-Première Guerre mondiale 1914-1918‎

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Reference : R110312575

(1917)

‎LE MIROIR N° 179 - L'armée des Etats Unis possède deja des tanks redoutables, Les trois présidents dans la ville de Péronne, Au temps ou les allemands étaient a Reims, Les derniers allemands quittant Reims en 1914, Le bombardement de Vimy par les anglais‎

‎BUREAU DE LA REVUE. 29 AVRIL 1917. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages. Nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 940.3-Première Guerre mondiale 1914-1918‎


‎Sommaire : L'armée des Etats Unis possède deja des tanks redoutables, Les trois présidents dans la ville de Péronne, Au temps ou les allemands étaient a Reims, Les derniers allemands quittant Reims en 1914, Le bombardement de Vimy par les anglais, L'arrivée des troupes portugaises en France, Les soldats canadiens sur la crête de Vimy aussitot après l'enlèvement de la position le 9 avril Classification Dewey : 940.3-Première Guerre mondiale 1914-1918‎

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Reference : R110064110

(1968)

‎DOCUMENTS - REVUE DES QUESTIONS ALLEMANDES 23e ANNEE N°1 - THEO M. LOCH : Ce qu'attendent les Allemands des Français. ANDRE FONTAINE : Un contrat d'association. WOLFGANG BERGSDORF : Echanges de scientifiques allemands et soviétiques.‎

‎AU BUREAU DE LA REVUE. JANV-FEV 1968. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 147 pages.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : THEO M. LOCH : Ce qu'attendent les Allemands des Français. ANDRE FONTAINE : Un contrat d'association. WOLFGANG BERGSDORF : Echanges de scientifiques allemands et soviétiques. HANS L. MERKLE : Panorama de l'économie allemande. ALBERT HOLENSTEIN : Trois romans de la littérature en exil. NOTRE DOSSIER : Une nouvelle “opposition nationale” ?Le NPD Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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