1595 books for « la petite fille »Edit

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‎Brisley J. L.‎

Reference : gm4186

(1975)

‎Les Bonnes idées d'une toute petite fille - Les Découvertes d'une toute petite fille - La Maison d'une toute petite fille - Nouvelles histoires d'une toute petite fille (4 volumes)‎

‎Hachette Bibliothèque Rose Cartonné 1975 Quatre volumes in-12 (12 x 17,2 cm), cartonnés, illustrations en noir et en couleurs, cet ensemble comprend les titres suivants : Les Bonnes idées d'une toute petite fille (124 pp.) // Les Découvertes d'une toute petite fille (120 pp.) // La Maison d'une toute petite fille (118 pp.) // Nouvelles histoires d'une toute petite fille (127 pp.) ; papier bruni, par ailleurs très bon état général. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.‎


Abraxas-Libris - Bécherel
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Phone number : 33 02 99 66 78 68

EUR16.00 (€16.00 )

‎BART, Léo ; BART, Jean ; BART, Charlemagne‎

Reference : 55268

(1915)

‎Belle correspondance personnelle et originale, adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917. Jean Bart fut successivement matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car pour l'essentiel non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917‎

‎94 cartes et LAS, auxquelles nous joignons quelques photos et quelques lettres postérieures. Belle correspondance personnelle adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917, adressée à Jean Bart, matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917‎


‎Passionnant ensemble, à analyser en profondeur. Prix de l'ensemble, non séparable.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR950.00 (€950.00 )

‎Collectif‎

Reference : R300300137

‎Contes et historiettes : L'imprudence - La rougeole - Le bon frère - L'obligeante petite fille - La mouche - La complaisance - La grand'mère aveugle - La paresse - Le loup - Contente de peu - Le conseil - L'obéissance - Le serin - Le feu - La prière - La‎

‎Non renseigné. Non daté. In-12. Relié. Etat d'usage, Livré sans Couverture, Dos abîmé, Quelques rousseurs. 212 pages. Quelques pages désolidarisés. Quelques taches. Page de sommaire troué. Plats muets. Dos manquant.. . . . Classification Dewey : 398.2-Conte populaire‎


‎Sommaire : L'imprudence - La rougeole - Le bon frère - L'obligeante petite fille - La mouche - La complaisance - La grand'mère aveugle - La paresse - Le loup - Contente de peu - Le conseil - L'obéissance - Le serin - Le feu - La prière - La petite maman - Le secours mutuel - Le petit malade - Le colin-maillard - La liberté - Le petit agneau - Le petit taquin - La petite gourmande - Le petit glorieux - Les tartelettes - La petite curieuse - L'enfant trouvé - La petite Louise - Le petit berger - La petite fanchette - L'enfant avisé - La tentation - Le bon petit garçon - La petite ménagère - Le petit colporteur - La petite fille obligeante - Les petits imprudents - La bonne petite soeur - Le ramoneur - La désobéissance - L'ange gardien - La boudeuse - Le petit voleur - La petite paresseuse - L'enfant gâté - L'enfant perdu Classification Dewey : 398.2-Conte populaire‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR10.95 (€10.95 )

‎MUGNIER, Abbé ; (MUGNIER, Abbé Arthur) ; (PIERLOT, Baronne)‎

Reference : 64928

(1894)

‎Correspondance d'environ 80 pièces autographes signées ou signées adressées par l'Abbé Mugnier à la Baronne Pierlot [ 1893 - 1943 ] [ Contient notamment : ] 1 L.A.S. de 5 pp. datée de Paris, le 18 septembre 1893 : "Madame, Mgr l'Archevêque qui a voulu, bien malgér moi, mon avancement hiérarchique, m'a nomme second Vicaire de Notre-Dame des Champs. Cette paroisse n'est pas d'ailleurs trop éloignée de celle que je quitte, et quoique de date assez récente, elle jouit d'un bon renom de piété. J'ai pris un appartement au premier, 46 rue Notre-Dame des Champs, un peu plus haut que Stanislas. Mes nouvelles fonctions m'assujettissent à une plus stricte résidence, on me trouve chez moi à la sacristie tous les jours jusqu'à 4 h. [... ] J'ose espérer, Madame, que nos bons rapports continueront, grâce à cette proximité relative. Un grand voyage que j'ai entrepris, à travers l'Allemagne du Nord, de Cologne à Berlin, en passant par Leipzig et Iéna, m'a seul privé du plaisir de vous saluer avant les vacances de vos enfants. Il n'est pas un champ de bataille dont je n'ai visité les coins et recoins, avec quelle émotion, vous devez le penser ! Et comme la Providence favorise généralement la curiosité, il m'a été donné de rencontrer le Prince de Bismarck se rendant aux eaux de Kissingen. En visiteur décrépit qui saisissait, d'une main avide, les bouquets de fleur qu'on lui offrait... comme de simples provinces françaises [ ... ]". - 1 L.A.S de 4 pp. datée de la Crête, le 13 décembre 1909 : "[ ... ] J'utilise des loisirs forcés en réalisant un vieux rêve qui est de visiter la Grèce, celle d'autrefois, celle d'aujourd'hui. Tant de monuments et de souvenirs me consolent un peu des vilenies humaines. Quelle n'a pas été ma joie, à Colone, près d'Athènes, de voir la stèle qui renferme le coeur de M. Charles Lenormant, le beau-père de votre amie [ .... ]." - 1 L.A.S de 4 pp. sur papier bleu, datée de Paris, le 5 septembre 1910 : "[ ... ] Madame, Voici plus de trois semaines que j'ai quitté Ouchy, rappelé par Monseigneur l'Archevêque qui m'a nomme aumônier des Soeurs de St Joseph de Cluny. Je m'installe, en ce moment, 7 rue Méchain, à côté du couvent. J'ai, dans le voisinage, les hôpitaux et l'Observatoire. Ici on découvre des plaies, là des étoiles. [... ] - 1 carte postale datée du 19 août 1914 : "Chère Madame, j'étais passé rue Cassette pour avoir de vos nouvelles et de celles de vos enfants. Où sont-ils ? Voilà une tragédie qui commence, plus vraie encore que celle de Claudel ! Pauvre humanité qui pourrait être héroïque à moindre frais, si cela savait se contenter des champs-de-bataille de l'âme ! [... ]" - 1 L.A.S. sous enveloppe datée du 2 juillet 1918 : "[... ] Chère Madame, j'arrive de [... ] où j'ai été bénir un mariage, et je trouve le splendide portrait de Barbey d'Aurevilly qui m'attendait. Comme je vous suis reconnaissant de ce souvenir qui vous regarde et vous parle ! Les romantiques avaient du bon. Ils vivaient ailleurs. Corrigeons leurs excès, [... ] leurs fulgurants rayons. Ayons un pied dans tous les systèmes. Mais que je comprend votre présente indifférence à tout ! C'est le lendemain des catastrophes où l'on reste étendu sur la route, avec ou sans le [don ? ] humanitaire. Le voudrait-on d'ailleurs s'il se présentait ? Il nous remuerait trop pour nous soigner corps et âme. Rappelez-vous le mot de Madame de Beaumont souffrante au cher égoïste Chateaubriand : "Il faut laisser tomber les flots". Flots de larmes c'est [certain ? ]. J'ai retrouvé les Aman-Jean [... ]" - 1 L.A.S. de 8 pages sous enveloppe, datée du 13 novembre 1919 : "Chère Madame, j'ai trop donné d'absolutions dans ma vie pour ne pas réclamer la vôtre aujourd'hui. Vous aurez pitié de moi quand vous saurez que [ ... ] 4000 volumes sont à peu près à terre et que j'ai dû faire faire une nouvelle bibliothèque [... ]. [... ] Je ne condamne pas mon temps, certes, j'envie les générations qui montent à l'horizon, votre chère petite fille... Mais je regrette comme vous, de n'avoir pas été un des familiers de Nohant, soit sous Louis-Philippe, soit sous le Second Empire et jusqu'en 1876. Il y a, dans ces lettres, trois ou quatre Sand au moins. Toutes me ravissent, comme des spécimens de cette vertu humaine que j'aime quand elle ne [... ] personne, qu'elle est aimante, un peu romantique et arrière petite fille de Jean Jacques. [ ... ] Je vais tous les ans à Nohant. J'éprouve une invincible mélancolie à n'avoir pas connu ce passé, et je le crie aux vieux arbres du jardin, aux fleurs plantées par elle, à tous les horizons de la Vallée Noire. Presque tout le monde aujourd'hui déteste G. Sand. Barrès m'avouait qu'il ne l'avait pas lu. Paul Valéry ne la goûte pas davantage. Et moi je veux goûter Paul Valéry, Barrès et les autres, sans oublier G. Sand. Ne nous privons d'aucune joie [...]." - 1 L.S. de 4 pp. daté du 7 rue Méchain le 4 mai : " Chère Madame la Baronne, le gâteau est arrivé splendide et savoureux, confectionné selon toutes les règles et toutes les inspirations de Brillat-Savarin. Je félicite l'artiste qui l'a confectionné , je remercie la châtelaine qui me l'envoie [... ]. Ce que vous me dites de Madame de Noailles est exquis ; elle vous aimait et son affection était toujours une forme de l'admiration. En réalité, personne ne l'a remplacée. Qui sait si Claudel ne finira pas par s'humaniser ? Son érudition est magnifique, il parle de la Bible comme un prophète. Je n'oublierai jamais que c'est chez vous que je l'ai rencontré pour la première fois. C'était avant la guerre. La Princesse Bibesco m'a toujours parlé de sa "Connaissance de l'Est". S'il rêve de convertir, c'est qu'il y a peut-être en lui des tendances sacerdotales qui viennent sans doute de ses aïeux. Ah ! Que ce ministère est difficile. Je me demande si le silence de l'exemple ne suffirait pas [... ] -1 carte autographe signée sous enveloppe datée de Noël 1929 : "[... ] Définir un système, le juger, c'est l'arrêter dans son expression. La vie, la vie, c'est l'essentiel. Je crois que l'Académie songe à M. Claudel. Oh ! l'abominable choix qu'elle ferait ! [ ... ]" - 1 carte autographe signée datée du 2 janvier 1927 : "[... ] Voilà Claudel aux Etats-Unis ! C'est le marchepied à l'Académie. Il y entrera, avec toutes les auréoles [... ]. - 1 L.A.S. sous enveloppe datée du 27 mars 1925 : "[... ] m'a dit : Mme la Baronne Pierlot trouve que vous êtes devenu froid à son égard. Je n'en reviens pas, moi qui me croyais toujours le même à votre endroit c'est-à-dire si heureux de vous connaître et de toutes les occasions de vous voir. Je suis quelquefois pressé. J'ai des rendez-vous qui me préoccupent [... ]Quand on a le bonheur de connaître certaines personnes depuis longtemps, on ne se surmène pas en manifestations [ ...]" - 1 carte pneumatique signée : "Madame la Baronne, pas de réponse à mon petit bleu ! M. Claudel est-il parti pour Hambourg ? [ ... ]" - 1 carte autographe signée sous enveloppe, s.d. : " [... ] Vous lisez, j'en suis sûr, et vous découvrez les génies de demain. C'est votre solitude, et j'en ai profité. Rappelez Claudel. Il y a longtemps que Paris ne l'a vu [... ] - 1 billet autographe signé daté du 7 mai 1926 : " [... ] si vous êtes encore en face de la mer frissonnante, dans ce printemps à la Proust, comme vous dites si bien, je vous félicite quand même et vous envie toujours [... ]"‎

‎Ensemble d'environ 80 pièces autographes signées adressées par l'Abbé Mugnier à la Baronne Pierlot [ 1894 - 1943 ] dont nombreux pneumatiques ("petit bleu"), cartes postales ou lettres sous enveloppes affranchies. Contient : Correspondance d'environ 80 pièces autographes signées ou signées adressées par l'Abbé Mugnier à la Baronne Pierlot [ 1893 - 1943 ] [ Contient notamment : ] 1 L.A.S. de 5 pp. datée de Paris, le 18 septembre 1893 : "Madame, Mgr l'Archevêque qui a voulu, bien malgér moi, mon avancement hiérarchique, m'a nomme second Vicaire de Notre-Dame des Champs. Cette paroisse n'est pas d'ailleurs trop éloignée de celle que je quitte, et quoique de date assez récente, elle jouit d'un bon renom de piété. J'ai pris un appartement au premier, 46 rue Notre-Dame des Champs, un peu plus haut que Stanislas. Mes nouvelles fonctions m'assujettissent à une plus stricte résidence, on me trouve chez moi à la sacristie tous les jours jusqu'à 4 h. [... ] J'ose espérer, Madame, que nos bons rapports continueront, grâce à cette proximité relative. Un grand voyage que j'ai entrepris, à travers l'Allemagne du Nord, de Cologne à Berlin, en passant par Leipzig et Iéna, m'a seul privé du plaisir de vous saluer avant les vacances de vos enfants. Il n'est pas un champ de bataille dont je n'ai visité les coins et recoins, avec quelle émotion, vous devez le penser ! Et comme la Providence favorise généralement la curiosité, il m'a été donné de rencontrer le Prince de Bismarck se rendant aux eaux de Kissingen. En visiteur décrépit qui saisissait, d'une main avide, les bouquets de fleur qu'on lui offrait... comme de simples provinces françaises [ ... ]". - 1 L.A.S de 4 pp. datée de la Crête, le 13 décembre 1909 : "[ ... ] J'utilise des loisirs forcés en réalisant un vieux rêve qui est de visiter la Grèce, celle d'autrefois, celle d'aujourd'hui. Tant de monuments et de souvenirs me consolent un peu des vilenies humaines. Quelle n'a pas été ma joie, à Colone, près d'Athènes, de voir la stèle qui renferme le coeur de M. Charles Lenormant, le beau-père de votre amie [ .... ]." - 1 L.A.S de 4 pp. sur papier bleu, datée de Paris, le 5 septembre 1910 : "[ ... ] Madame, Voici plus de trois semaines que j'ai quitté Ouchy, rappelé par Monseigneur l'Archevêque qui m'a nomme aumônier des Soeurs de St Joseph de Cluny. Je m'installe, en ce moment, 7 rue Méchain, à côté du couvent. J'ai, dans le voisinage, les hôpitaux et l'Observatoire. Ici on découvre des plaies, là des étoiles. [... ] - 1 carte postale datée du 19 août 1914 : "Chère Madame, j'étais passé rue Cassette pour avoir de vos nouvelles et de celles de vos enfants. Où sont-ils ? Voilà une tragédie qui commence, plus vraie encore que celle de Claudel ! Pauvre humanité qui pourrait être héroïque à moindre frais, si cela savait se contenter des champs-de-bataille de l'âme ! [... ]" - 1 L.A.S. sous enveloppe datée du 2 juillet 1918 : "[... ] Chère Madame, j'arrive de [... ] où j'ai été bénir un mariage, et je trouve le splendide portrait de Barbey d'Aurevilly qui m'attendait. Comme je vous suis reconnaissant de ce souvenir qui vous regarde et vous parle ! Les romantiques avaient du bon. Ils vivaient ailleurs. Corrigeons leurs excès, [... ] leurs fulgurants rayons. Ayons un pied dans tous les systèmes. Mais que je comprend votre présente indifférence à tout ! C'est le lendemain des catastrophes où l'on reste étendu sur la route, avec ou sans le [don ? ] humanitaire. Le voudrait-on d'ailleurs s'il se présentait ? Il nous remuerait trop pour nous soigner corps et âme. Rappelez-vous le mot de Madame de Beaumont souffrante au cher égoïste Chateaubriand : "Il faut laisser tomber les flots". Flots de larmes c'est [certain ? ]. J'ai retrouvé les Aman-Jean [... ]" - 1 L.A.S. de 8 pages sous enveloppe, datée du 13 novembre 1919 : "Chère Madame, j'ai trop donné d'absolutions dans ma vie pour ne pas réclamer la vôtre aujourd'hui. Vous aurez pitié de moi quand vous saurez que [ ... ] 4000 volumes sont à peu près à terre et que j'ai dû faire faire une nouvelle bibliothèque [... ]. [... ] Je ne condamne pas mon temps, certes, j'envie les générations qui montent à l'horizon, votre chère petite fille... Mais je regrette comme vous, de n'avoir pas été un des familiers de Nohant, soit sous Louis-Philippe, soit sous le Second Empire et jusqu'en 1876. Il y a, dans ces lettres, trois ou quatre Sand au moins. Toutes me ravissent, comme des spécimens de cette vertu humaine que j'aime quand elle ne [... ] personne, qu'elle est aimante, un peu romantique et arrière petite fille de Jean Jacques. [ ... ] Je vais tous les ans à Nohant. J'éprouve une invincible mélancolie à n'avoir pas connu ce passé, et je le crie aux vieux arbres du jardin, aux fleurs plantées par elle, à tous les horizons de la Vallée Noire. Presque tout le monde aujourd'hui déteste G. Sand. Barrès m'avouait qu'il ne l'avait pas lu. Paul Valéry ne la goûte pas davantage. Et moi je veux goûter Paul Valéry, Barrès et les autres, sans oublier G. Sand. Ne nous privons d'aucune joie [...]." - 1 L.S. de 4 pp. daté du 7 rue Méchain le 4 mai : " Chère Madame la Baronne, le gâteau est arrivé splendide et savoureux, confectionné selon toutes les règles et toutes les inspirations de Brillat-Savarin. Je félicite l'artiste qui l'a confectionné , je remercie la châtelaine qui me l'envoie [... ]. Ce que vous me dites de Madame de Noailles est exquis ; elle vous aimait et son affection était toujours une forme de l'admiration. En réalité, personne ne l'a remplacée. Qui sait si Claudel ne finira pas par s'humaniser ? Son érudition est magnifique, il parle de la Bible comme un prophète. Je n'oublierai jamais que c'est chez vous que je l'ai rencontré pour la première fois. C'était avant la guerre. La Princesse Bibesco m'a toujours parlé de sa "Connaissance de l'Est". S'il rêve de convertir, c'est qu'il y a peut-être en lui des tendances sacerdotales qui viennent sans doute de ses aïeux. Ah ! Que ce ministère est difficile. Je me demande si le silence de l'exemple ne suffirait pas [... ] -1 carte autographe signée sous enveloppe datée de Noël 1929 : "[... ] Définir un système, le juger, c'est l'arrêter dans son expression. La vie, la vie, c'est l'essentiel. Je crois que l'Académie songe à M. Claudel. Oh ! l'abominable choix qu'elle ferait ! [ ... ]" - 1 carte autographe signée datée du 2 janvier 1927 : "[... ] Voilà Claudel aux Etats-Unis ! C'est le marchepied à l'Académie. Il y entrera, avec toutes les auréoles [... ]. - 1 L.A.S. sous enveloppe datée du 27 mars 1925 : "[... ] m'a dit : Mme la Baronne Pierlot trouve que vous êtes devenu froid à son égard. Je n'en reviens pas, moi qui me croyais toujours le même à votre endroit c'est-à-dire si heureux de vous connaître et de toutes les occasions de vous voir. Je suis quelquefois pressé. J'ai des rendez-vous qui me préoccupent [... ]Quand on a le bonheur de connaître certaines personnes depuis longtemps, on ne se surmène pas en manifestations [ ...]" - 1 carte pneumatique signée : "Madame la Baronne, pas de réponse à mon petit bleu ! M. Claudel est-il parti pour Hambourg ? [ ... ]" - 1 carte autographe signée sous enveloppe, s.d. : " [... ] Vous lisez, j'en suis sûr, et vous découvrez les génies de demain. C'est votre solitude, et j'en ai profité. Rappelez Claudel. Il y a longtemps que Paris ne l'a vu [... ] - 1 billet autographe signé daté du 7 mai 1926 : " [... ] si vous êtes encore en face de la mer frissonnante, dans ce printemps à la Proust, comme vous dites si bien, je vous félicite quand même et vous envie toujours [... ]"‎


‎Très bel et passionnant ensemble de lettres autographes signées ou beaucoup plus rarement de lettres signées, adressées par l'Abbé Mugnier (1853-11844) à la baronne Pierlot (vers 1852-1941) qui fut une grande amie de Paul Claudel. La belle famille de Claudel était en effet liée anciennement à la baronne, et il dû la rencontrer peu après son mariage en 1906. L'abbé Mugnier évoque plusieurs fois Claudel dans cette correspondance, mais on y croise aussi les figures de George Sand, Anna de Noailles, Maurice Barrès, Paul Valéry, et même le chancelier Otto von Bismarck, croisé par l'abbé Mugnier au bains de Bade ! Bel ensemble non séparable. On joint à cet ensemble un télégramme envoyé par l'abbé Mugnier, une L.A.S. de la baronne Pierlot, la photo d'une tombe et un petit billet autographe signé par l'abbé, datée de mars 1943 et évoquant la figure de la chère disparue.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR950.00 (€950.00 )

‎Collectif‎

Reference : R110541973

(1932)

‎L'étoile Noëliste n° 973 - Porte bonheur, La petite fille du Croisé par René Duverne, Le P. Vincent de Paul Bailly (1832-1912), Le seigneur de la montagne par Marcel d'Entraygues, Le tour du monde d'une petite fille et de trois garçons (suite)‎

‎Maison de la Bonne Presse. 29 décembre 1932. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 801 à 832. Nombreuses illustrations monochromes dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 200-RELIGION‎


‎Sommaire : Porte bonheur, La petite fille du Croisé par René Duverne, Le P. Vincent de Paul Bailly (1832-1912), Le seigneur de la montagne par Marcel d'Entraygues, Le tour du monde d'une petite fille et de trois garçons (suite) par Denisèle Classification Dewey : 200-RELIGION‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR29.80 (€29.80 )

‎Kemf Gévé‎

Reference : xs1406

(1934)

‎3 contes pour tout petits : La petite fille puceron. La petite fille géante. Le Docteur Thermomètre. 3 Tales for Tiny Tots : A Very Little Girl. The Giant Little Girl. Doctor Thermometer‎

‎Kemf Gévé Agrafé 1934 In-4 (29,2 x 23,5 cm, format à l'italienne, agrafé, pièce imitation cuir suir le dos, 3 contes pour enfants en français et en anglais : La petite fille puceron. La petite fille géante. Le Docteur Thermomètre (A Very Little Girl. The Giant Little Girl. Doctor Thermometer), illustrations en couleurs de Ménou Kénardel ; très bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.‎


Abraxas-Libris - Bécherel
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Phone number : 33 02 99 66 78 68

EUR56.00 (€56.00 )

‎Cappe Jeanne‎

Reference : 4473

‎La petite fille aux allumettes et autres contes d'Andersen‎

‎ Casterman, Tournai - Paris, 1945. Reliure Rigide D'origine.illustrée par Huens Jean-Léon , Collection "Les albums de l'âge d'or", 32 pages, on peut y lire ; "La petite fille aux allumettes, la princesse sur un poids, Les fleurs de la petite Ida, Le rossignol et lLe vilain petit canard. "etat superbe , interieur tres frais , angles bon etat ‎


‎RAY F6* ‎

Phone number : 06 12 23 97 16

EUR25.00 (€25.00 )

‎Jean Ray / John Flanders / Hubert Lampo / Andr Goezu [Ill.] , Anne Richter [Intr.]‎

Reference : 5550

‎Jean Ray / John Flanders. La plus belle petite fille du monde. Conte fantastique / De geheimzinnige Meneer Gigus. Fantastisch verhaal.‎

‎, Paris, editions d' Art Agori, 1973., Folio in Uitgeverslipcase, 27.5x37.5cm, ge llustreerd. N 61/80 : Gelimiteerde oplage van 100 exemplaren en 10 originele etsen, gesigneerd en gesigneerd. Dit is n van de 50 exemplaren op Van Gelder Holland. Inleiding Anne Richter, 10 illustraties/ etsen door Andre Goezu,‎


‎Folio emboitage d' editeur, 27.5x37.5cm, illustr . N 61/80 : Tirage limit 100 exemplaires et 10 gravures originales l' eau- forte, sign e et justifi e. Cet exemplaire est l'un des 50 exemplaires sur Van Geldere Holland. Introduction Anne Richter, illustrations Andre Goezu, ensemble avec Jean Ray / John Flanders. La plus belle petite fille du monde. Conte fantastique / De geheimzinnige Meneer Gigus. Fantastisch verhaal.‎

ERIK TONEN BOOKS - Antwerpen

Phone number : 0032495253566

EUR250.00 (€250.00 )

‎EYMERY Alexis‎

Reference : 37939

(1849)

‎Eugénie, ou La Petite fille bien sage. Par Mme de Salvage. Ouvrage orné de six jolies lithographies & d'une charmante couverture en chromo ‎

‎Paris E. Fayé s.d. [1849] in-16 cartonnage ivoire de l'éditeur, plats ornés de décors chromolithographiés, titre poussé dans un cartouche doré au centre du plat supérieur, rest ‎


‎2 ff.n.ch., pp. 5-46, 6 planches hors texte, lithographiées, colorisées et gommées.Absent de Gumuchian. Un seul exemplaire au CCF (BnF). Unique édition, peu commune. Mme de Salvages est l'un des pseudonymes du libraire Alexis Eymery (1774-1854), par ailleurs auteur de nombreux ouvrages religieux ou moralisateurs pour la jeunesse, notamment pour la collection d'éducation dirigée depuis 1834 par sa fille Désirée Eymery.Qui, effectivement, ne rêverait d'être le parent d'une enfant aussi merveilleuse ? "Heureuse la mère qui a une petite fille docile, obéissante, point colère, répondant toujours avec honnêteté et empressement. Telle était la petite Eugénie" ‎

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Phone number : 01 47 70 84 87

EUR480.00 (€480.00 )

‎JEAN RAY - JOHN FLANDERS. Hubert Lampo [Intro.], Andr Goezu [Ill.], Anne Richter [Intr.]‎

Reference : 5549

‎Jean Ray / John Flanders, La plus belle petite fille du monde. Conte fantastique / De geheimzinnige Meneer Gigus. Fantastisch verhaal‎

‎, Paris, Editions d' Art Agori, 1963., In-folio in foudraal, 27,5x37,5cm, katernen losbladig, geillustreerd met 10 originele etsen van Andr Goezu.‎


‎Inleiding van Hubert Lampo, illustratie (etsen) Andre Goezu, samen met la plus belle petite fille du monde. Luxe uitgave van deze twee novellen, gedrukt op 100 exemplaren, werd geillustreerd met 10 orginele koperertsen, getekend en genummerd. Introduction Anne Richter, illustrations Andre Goezu, ensemble avec De geheimzinnige meneer Gigus.Tirage limite a 100 exemplaires et 10 gravures a l' eau- forte, signee et justifiee. ** BEVATTEND een blad letteines en 10 originele koper-etsen getekend en genummerd. Dit is nummer 10/80 en suite in bister op Japon Nacr Torinoko-Kozu. genummerd X/XXX *zonder de etsplaat. / Comprenant une pages de lettrines originale et 10 gravures l'eau-forte. Tirage limit n ; 10/80 en suite en bistre Japon Nacr Torinoko-Kozu. N X/XXX.‎

ERIK TONEN BOOKS - Antwerpen

Phone number : 0032495253566

EUR950.00 (€950.00 )

‎NATHANIEL HAWTHORNE‎

Reference : 400007305

(2008)

‎La petite fille de neige conte d'hiver ill Kiyoko Sakata‎

‎Editions Naïve 2008 2008. Nathaniel Hawthorne: La petite fille de neige conte d'hiver ill. Kiyoko Sakata/ Editions Naïve 2008 . Nathaniel Hawthorne: La petite fille de neige conte d'hiver ill. Kiyoko Sakata/ Editions Naïve 2008‎


‎Très bon état‎

Démons et Merveilles - Joinville

Phone number : 07 54 32 44 40

EUR4.00 (€4.00 )

‎Danielle Mitterrand‎

Reference : 400007307

(2006)

ISBN : 9782841149339

‎Françoise xenakis la petite fille qui voulait être Antigone‎

‎Ramsay 2006 2006. Françoise Xenakis: Danielle Mitterrand la petite fille qui voulait être Antigone/ Editions Ramsay 2006 . Françoise Xenakis: Danielle Mitterrand la petite fille qui voulait être Antigone/ Editions Ramsay 2006‎


‎Très bon état‎

Démons et Merveilles - Joinville

Phone number : 07 54 32 44 40

EUR3.50 (€3.50 )

‎Exbrayat‎

Reference : 400009796

(1978)

‎exbrayat La petite fille à La fenêtre Club des Masques n239‎

‎ 1978 1978. Exbrayat: La petite fille à la fenêtre/ Club des Masques N°239 1978 . Exbrayat: La petite fille à la fenêtre/ Club des Masques N°239 1978‎


‎Bon état‎

Démons et Merveilles - Joinville

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EUR2.00 (€2.00 )

‎Marcel Pagnol‎

Reference : 400019855

(1985)

‎La petite fille aux yeux sombres France loisirs‎

‎ 1985 1985. Marcel Pagnol: La petite fille aux yeux sombres/ France Loisirs 1985 Référence: LMA16S. Marcel Pagnol: La petite fille aux yeux sombres/ France Loisirs 1985‎


‎Bon état‎

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EUR3.00 (€3.00 )

‎collection‎

Reference : 400027130

(1974)

‎Rumer godden La petite fille à La roulotte Collection spirale‎

‎Editions G P 1974 1974. Rumer Godden: La petite fille à la roulotte/ Collection Spirale Editions G.P. 1974 . Rumer Godden: La petite fille à la roulotte/ Collection Spirale Editions G.P. 1974‎


‎Bon état‎

Démons et Merveilles - Joinville

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EUR2.50 (€2.50 )

Reference : 400027822

(1983)

ISBN : 9782221011034

‎John Le carré La Petite Fille au tambour Robert laffont‎

‎Laffont Robert 1983 1983. John Le Carré: La Petite Fille au Tambour/ Robert Laffont 1983 . John Le Carré: La Petite Fille au Tambour/ Robert Laffont 1983‎


‎Bon état‎

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EUR3.90 (€3.90 )

‎Yvonne Meynier‎

Reference : 400069502

(1961)

‎une petite fille attendait‎

‎Editions G P 1961 1961. Yvonne Meynier: une petite fille attendait. / Editions G.P. 1961 . Yvonne Meynier: une petite fille attendait. / Editions G.P. 1961‎


‎Très bon état‎

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Reference : 400077752

‎Histoire d'une petite fille triste qui devient gaie à cause d'une coccinelle‎

‎ Sans date. Histoire d'une petite fille triste qui devient gaie à cause d'une coccinelle . Histoire d'une petite fille triste qui devient gaie à cause d'une coccinelle‎


‎Bon état‎

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‎Margueritte Victor‎

Reference : 400086128

(1921)

‎Paul et Victor margueritte Zette histoire d'une petite fille‎

‎Plon 1921 1921. Paul et Victor Margueritte: Zette (Histoire d'une petite fille)/ Plon 1921 . Paul et Victor Margueritte: Zette (Histoire d'une petite fille)/ Plon 1921‎


‎Bon état‎

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EUR5.00 (€5.00 )

Reference : 400087016

(1989)

‎Joyce l brisley la maison d'une toute petite fille Bibliothèque rose 1989‎

‎ 1989 1989. Joyce L. Brisley: la maison d'une toute petite fille/ Bibliothèque Rose 1989 . Joyce L. Brisley: la maison d'une toute petite fille/ Bibliothèque Rose 1989‎


‎Bon état‎

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‎Pierre Dane‎

Reference : 400126172

(2004)

ISBN : 9782847120400

‎La petite fille au cerceau Editions du Petit pavé‎

‎ 2004 2004. Pierre Dane: La petite fille au cerceau/ Editions du Petit Pavé 2004 . Pierre Dane: La petite fille au cerceau/ Editions du Petit Pavé 2004‎


‎Très bon état‎

Démons et Merveilles - Joinville

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EUR6.00 (€6.00 )

‎COLLECTIF‎

Reference : R110039858

(1976)

‎LES TEMPS MODERNES N° 358 - PRESENTATION. — Une petite fille ça existe .PREFACE. — Les petites filles perdues et retrouvéesELISABETH DE FONTENAY. — Pour Emile et par Emile, Sophie ou l'invention du ménageLEILA SEBBAR-PIGNON.‎

‎PRESSES D'AUJOURD'HUI. MAI 1976. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Mouillures. Paginé de 1765 à 2032.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Revue fondée par Jean-Paul Sartre et Simone de Beauvoir. Sommaire : PRESENTATION. — Une petite fille ça existe .PREFACE. — Les petites filles perdues et retrouvéesELISABETH DE FONTENAY. — Pour Emile et par Emile, Sophie ou l'invention du ménageLEILA SEBBAR-PIGNON. — Mlle Lilli ou l'ordre despoupées .VERONIQUE NAHOUM. — Historiettes pour petites filles ANNE-MARIE, HEDWIGE, LAURE, MARIE-JOSE. — Des livres et des filles ..COLETTE GUTMAN. — Blanche-Neige en trente secondes ..MAHIE-CLAIRE PASQUIER. — Dix petites filles ..PIERRETTE PEZERAT. — La vertu nécessaireEVELYNE LE GARREC. — De fil en aiguille et de mères en filles .MARTINE M. — Les petites filles de l'Etat..NANCY HUSTON, YASMINA SALHI. — Jouer au papa et à l'amant GENEVIEVE FRAISSE. — La petite fille, sa mère et l'institutrice MARTINE STORTI. — Les institutrices au lieu des petites filles GENEVIEVE, JOSETTE, MARTINE. — « Elle n’en est pas moins une femme »..».. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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‎NICOLAS PEYRAC‎

Reference : R130011820

(1976)

‎DISQUE VINYLE 33T : QUAND PLEURE LA PETITE FILLE - Quand pleure la petite fille, Marilyn, Voila ma vie, maria, Habanera, Pour mon anniversaire, Comment t'appelles-tu, Voyage en ballon, Comment font les ruisseaux et les rivières, Ailleurs si j'y suis‎

‎PATHE. 1976. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Pochette en couleurs, photo : TG. Boccon-Gibod. Annotation sur le recto. Quand pleure la petite fille, Marilyn, Voila ma vie, maria, Habanera, Pour mon anniversaire, Comment t'appelles-tu, Voyage en ballon, Comment font les ruisseaux et les rivières, Ailleurs si j'y suis, Il suffirait.. . . . Classification : 410-33 Tours‎


‎Disque n°C 066-14360. Classification : 410-33 Tours‎

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‎ANDERSEN‎

Reference : R200086637

‎CONTES D'ANDERSEN : le sabot et la balle - la petite fille aux allumettes - l'aiguille à repriser - les habits neufs de l'empereur - la bergère et le ramoneur - la rossignol - les fleurs de la petite Ida - la princesse sur un pois - le sapin - etc‎

‎LIBRAIRIE STOCK. NON DATE. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos abîmé, Intérieur frais. 224 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc,dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 890-Littératures des autres langues‎


‎Choisis et nouvellement traduits du danois par Paul Leyssac - Publiés pour la première fois en France avec les illustrations de l'édition originale danoise de Wilhelm Pedersen. SOMMAIRE : le sabot et la balle - la petite fille aux allumettes - l'aiguille à repriser - les habits neufs de l'empereur - la bergère et le ramoneur - la rossignol - les fleurs de la petite Ida - la princesse sur un pois - le sapin - le vilain petit canard - le briquet - l'intrépide soldat de plomb - la vieille maison - la petite sirène - la petite poucette - les cygnes sauvages. Classification Dewey : 890-Littératures des autres langues‎

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‎Collectif‎

Reference : R260253038

(2006)

‎Mes premiers j'aime lire la petite fille de la forêt CP CE1 Sommaire: Les voisins; La petite fille de la forêt; Les jeux de la gerbille; Martin matin alchimiste ...‎

‎Bayard. 2006. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 65 pages augmentées de nombreux dessins en couleurs dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 843.0692-Livres d'enfants‎


‎Sommaire: Les voisins; La petite fille de la forêt; Les jeux de la gerbille; Martin matin alchimiste ... Classification Dewey : 843.0692-Livres d'enfants‎

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