Puf 1967 in12. 1967. Broché.
Bon Etat général
JACQUEMART-ANDRE. 1986. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 515 pages. Nombreuses planches illustrées en noir et blanc et en couleurs.. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Cette exposition est placée sous le haut patronage de Monsieur le Président de la République. Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Presses Universitaires de France Edition originale Première édition 2ème trimestre 1960. 1960. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 128 pages illustrées de quelques dessins en noir et blanc. . . . Classification Dewey : 300-SCIENCES SOCIALES
La première encyclopédie de poche fondée en 1941 par Paul Angoulvent, traduite en 43 langues, diffusée, pour les éditions françaises, à plus de 160 millions d'exemplaires, la collection Que sais-je? est l'une des plus importantes bases de données internationnales, construite pour le grand public par des spécialistes. 3800 titres ont été publiés depuis l'origine par 2500 auteurs. Classification Dewey : 300-SCIENCES SOCIALES
ECONOMIE ET HUMANISME. 1957. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 95 pages. Quelques tableaux et graphiques en noir et blanc, dans le texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
SOMMAIRE : Les visées de l'homme libre et la multiplication des interdépendances dans le monde actuel, par P. Jouguelet / Discours à la jeunesse, par Pie XII / La France offrira-t-elle un avenir à ses jeunes ? , par F. Malley / Les Etats-Unis d'aujourd'hui, par G. D'Haucourt,etc Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Paris, Garnier, 1942,in-8 de (4)-285 pp., illustrations ; br., couverture illustrée.Bon etat.
A Londres, et se trouve à Paris Chez Madame veuve Laurent Prault, 1787. In 8 de IV-224 pp.
"Edition originale. L'auteur de cet ouvrage, resté anonyme, précise dans l'Avant-Propos, être nouvel actionnaire de la Compagnie des Indes non pour agioter mais croyant bien employer ses fonds. « Mais entendant perpétuellement sonner le mot liberté, crier haro après le monopole, par des gens que leur seul intérêt guide ; voyant le public prendre des préjugés sur une question où ceux qui attaquent font grand bruit, et qui ont à se défendre ne disent rien, j'ai pensé qu'en publiant ce petit ouvrage, la question pourrait être mieux entendue et devenir plus à la portée de tout le monde ». Relié à la suite: HASTINGS Warren - Mémoires sur l'Inde. Nouvelle édition, avec des augmentations, & son discours prononcé en présence des Pairs, le 2 Juin 1791, premier jour de sa défense. Traduits par M. de la Montagne, & publiés par M. le Chevalier de P***. A Paris, Chez Royer, 1791. In 8, [2]-18-176-VIII-58 pp. Première édition de la traduction française par M. de La Montagne. De 1772 à 1785, Hastings fut le premier et le plus célèbre gouverneur des Indes où il résidait depuis 1750. Son pouvoir absolu s'étendait de Madras à Bombay. Diplomate, administrateur efficace, parlant les langues locales, aisé à corrompre, il consolida la domination britannique et sauva la Compagnie des Indes de la faillite. À son retour en Angleterre, il fut mis en accusation à la suite d'une campagne des libéraux menée par Burke. Hastings fut accusé d'abus de confiance, « d'avoir sacrifié les intérêts de la Nation, et déshonoré le nom anglais par des actes de prodigalité, de péculat, de corruption, d'extorsion et de désobéissance » (Préface). Le procès s'éternisa sept ans durant jusqu'à son acquittement en 1795. Figure ici la fière première déclaration de l'ex-gouverneur. Ces Mémoires furent écrits durant le retour d'Hastings en Angleterre sans intention de publication. Il y dénonce les failles de l'administration anglaise et les menées sournoises de ses supérieurs, explique les motifs de sa démission et décrit l'état du Gouvernement du Bengale après son administration. En appendice, la vie de Chah-Roukh Mirza, le 4ème fils de Tamerlan, qui régna sur les Indes et la Perse, et négocia avec l'Empereur de Chine pour établir des relations commerciales. Reliés en un volume in 8 demi-basane, dos lisse orné de filets et de fleurons dorés (reliure de l’époque). Bel exemplaire."
Londres, et se trouve à Paris Madame veuve Laurent Prault 1787 in-8 dérelié
iv pp., 224 pp.Kress B 1209 A. Manque à Goldsmith, Einaudi, Pitot, Toussaint et Adolphe, Pardo de Tavera, Robertson, Cordier Japonica, Nipponalia. Édition originale de cette "radiographie" du commerce colonial en Asie et dans l'Océan Indien à la fin du XVIIIe siècle.Concerne la côte orientale de l'Afrique, Madagascar, Bourbon, l'ïle de France, les Îles Rodrigues, Jean de Lisboa, Séchelles et Praslin, la côte de Malabar, l'Hindoustan, la côte de Coromandel, le Bengale et l'occupation anglaise, le commerce du Bengale, Bornéo, les Moluques, Java, Sumatra, les Philippines, les compagnies hollandaises et espagnoles, Japon, Chine, Siam, Cochinchine, Tonkin, Macao, Nouvelle Hollande, etc., etc…L'auteur se livre ensuite à des réflexions sur le statut des compagnies commerciales en Inde: projets pour l'exploitation du commerce, doit-il se faire par une compagnie ou doit-on le laisser libre ? durée de l'exploitation accordées aux compagnies, expéditions en cours, etc…L'auteur est actionnaire de la nouvelle Compagnie des Indes. C'est en effet une période cruciale dans l'histoire de la Compagnie des Indes, liquidée et cédée au roi de France en 1770, quatre ans après l'exécution de Lally. "Les événements politiques qui suivirent tant de revers firent de nouveau rétablir la Compagnie. Le ministre Calonne espéra quelque temps en faire une ressource pour combler les vides dus à sa prodigalité et à ses déprédations. Il parut à cet époque de nombreuses brochures qui s'élevaient avec force contre cette nouvelle mesure administrative et contre le monopole qu'elle établissait. En vain l'abbé Morellet voulut la défendre ; des événements d'une haute importance, précurseurs de la Révolution de 1789, firent ajourner la question de la Compagnie des Indes, qui fut enfin supprimée par un décret de l'Assemblée constituante (14 août 1790). Les bureaux de Paris et de Lorient furent réunis au trésor public, et l'on maintint seulement ceux de Pondichéry et de l'Ile de France jusqu'à la fin de la liquidation.L'abbé Morellet venait de faire paraître, en cette même année 1787, une "Réponse précise au Précis pour les actionnaires de la Compagnie des Indes" (Amst. et Paris, in-8, 39 pp.).