30 books for « je suis la verite »Edit

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‎COLLECTIF‎

Reference : RO40103465

(1961)

‎'JE SUIS LA VERITE'‎

‎A.G.D.E.R.. 1961. In-8. Broché. Etat d'usage, Tâchée, Coiffe en pied abîmée, Intérieur bon état. 96 pages. Illustré de nombreux dessins en noir et blanc. Nombreuses annotations et dessins d'enfants dans le texte. Page de titre se détachant légèrement.. . . . Classification Dewey : 268-Catéchisme‎


‎ Classification Dewey : 268-Catéchisme‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR10.95 (€10.95 )

‎COLLECTIF‎

Reference : RO20028676

(1965)

‎"""JE SUIS LA VERITE"", PROGRAMME BIBLIQUE ET LITURGIQUE, SERIE A"‎

‎A.G.D.E.R.. 1965. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. En deux parties, 103 pages et 35 pages.. . . . Classification Dewey : 368-Assurances‎


‎Orientations pour l'enseignement religieux en 1965. Classification Dewey : 368-Assurances‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR19.80 (€19.80 )

‎ROQUAIS GUY‎

Reference : ROD0109375

(1985)

‎GUIDE DU JEUNE CHRETIEN - JE SUIS LA VERITE.‎

‎DESCLEE. 1985. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 103 pages. Quelques illustrations en noir et blanc dans texte.. . . . Classification Dewey : 230-Christianisme. Théologie chrétienne‎


‎ Classification Dewey : 230-Christianisme. Théologie chrétienne‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR24.90 (€24.90 )

‎Roquais Guy‎

Reference : 135237

‎Guide du jeune chrétien je suis la vérité‎

‎Desclée 105 pages in8. Sans date. Broché. 105 pages.‎


‎Très Bon Etat‎

Un Autre Monde - Val Couoesnon

Phone number : 07.69.73.87.31

EUR12.00 (€12.00 )

‎Roquais Guy‎

Reference : 234753

(1984)

‎Guide du jeune chrétien je suis la vérité‎

‎Desclée 1984 103 pages in12 ob long. 1984. Broché. 103 pages.‎


‎Etat Correct‎

Un Autre Monde - Val Couoesnon

Phone number : 07.69.73.87.31

EUR5.00 (€5.00 )

Reference : 9372

‎Je suis La Vérité.‎

‎ Agder, Angers, 1961. Un cahier pour l'élève, broché de format in 8°de 96 pp.; impression en vert. ‎


‎Bon état, cahier vierge. Une année de catéchisme. Peu courant. ‎

Librairie Daniel Sciardet - Allemans du Dropt

Phone number : 06 87 58 08 12

EUR15.00 (€15.00 )

‎BART, Léo ; BART, Jean ; BART, Charlemagne‎

Reference : 55268

(1915)

‎Belle correspondance personnelle et originale, adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917. Jean Bart fut successivement matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car pour l'essentiel non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917‎

‎94 cartes et LAS, auxquelles nous joignons quelques photos et quelques lettres postérieures. Belle correspondance personnelle adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917, adressée à Jean Bart, matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917‎


‎Passionnant ensemble, à analyser en profondeur. Prix de l'ensemble, non séparable.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR950.00 (€950.00 )

‎ZOLA Emile‎

Reference : 79098

(1888)

‎Lettre autographe signée adressée à Henry Fouquier à propos de La Terre : "Je me suis exténué à faire sortir cette vérité de mon livre, si l'on ne m'a pas compris, la faute en est sans doute à moi."‎

‎Paris 11 février 1888, 13,2x20,5cm, 2 pages sur un double feuillet.‎


‎Lettre autographe signée d'Emile Zola adressée à Henry Fouquier, rédigée à l'encre noire sur un double feuillet.Pliures inhérentes à l'envoi. Cette lettre a été transcrite dans la correspondance complète d'Emile Zola éditée par le CNRS et les Presses de l'Université de Montréal. Belle lettre évoquant La Terre et La Puissance des Ténèbres de Tolstoï. Henry Fouquier (1838-1900) fut critique littéraire et chroniqueur pour de nombreux journaux. Proche ami de Guy de Maupassant, il appuya la candidature d'Emile Zola à l'Académie française. Cette lettre lui a été adressée au lendemain de la représentation de La Puissance des Ténèbres de Tolstoï au Théâtre-Libre. Nous n'avons pu trouver trace d'un article dans lequel le journaliste aurait fait le rapprochement entre le drame russe et La Terre d'Emile Zola, mais ce dernier lui adresse ici des remerciements: «Merci, mon cher Fouquier, de ce que vous voulez bien dire de «la Terre», si attaquée. J'en suis touché vivement, et croyez à toute ma gratitude.» Il faut dire que la critique n'a pas été tendre avec le quinzième volume des Rougon-Macquart qui, dès sa parution en feuilleton dans le Gil Blas, déchaîna les passions. Le 18 août 1887, alors que la fin du roman n'est même pas encore révélée au public, paraît dans Le Figaro le «Manifeste des Cinq», rédigé par Paul Bonnetain, J.-H. Rosny, Lucien Descaves, Paul Marguerite et Gustave Guiches. Ces jeunes auteurs dressent un constat sans appel: «La Terre a paru. La déception a été profonde et douloureuse. Non seulement l'observation est superficielle, les trucs démodés, la narration commune et dépourvue de caractéristiques, mais la note ordurière est exacerbée encore, descendue à des saletés si basses que, par instants, on se croirait devant un recueil de scatologie : le Maître est descendu au fond de l'immondice.[...] Nous répudions ces bonshommes de rhétorique zoliste, ces silhouettes énormes, surhumaines et biscornues, dénuées de complication, jetées brutalement, en masses lourdes, dans des milieux aperçus au hasard des portières d'express. De cette dernière uvre du grand cerveau qui lança L'Assommoir sur le monde, de cette Terre bâtarde, nous nous éloignons résolument, mais non sans tristesse. Il nous poigne de repousser l'homme que nous avons trop fervemment aimé. » Zola, qui mûrissait l'idée d'un roman paysan depuis une dizaine d'années, est profondément touché et bien qu'il n'ait aucune réaction publique à ces accusations, sa correspondance est essaimée d'explications de l'uvre dont seule la brutalité semble avoir retenu l'attention des lecteurs: «Mais vous ajoutez que notre thèse, à Tolstoï et à moi, est la même et peut se résumer en ceci: le travail de la terre est corrupteur. Tolstoï, il me semble, protesterait bien haut, et quant à moi, je vous affirme que je n'ai jamais voulu prouver une telle chose, radicalement fausse à mon avis. Ce que je pense, c'est que la petite propriété, telle qu'elle existe chez nous, c'est que la suite de faits sociaux qui ont abouti à notre forme sociale, nous ont donné notre paysan d'aujourd'hui, avec ses qualités et ses vices. Notre paysan est le prisonnier de sa terre, et non l'homme libre qu'il devrait être. Comment voulez-vous qu'il n'y étouffe pas, dans son ignorance et sa passion unique? Labourer est très sain, mais à la condition qu'on sera le maître de son champ, au lieu d'en être le forçat. Je me suis exténué à faire sortir cette vérité de mon livre, si l'on ne m'a pas compris, la faute en est sans doute à moi.» Très belle lettre du maître du naturalisme révélant une nouvelle facette de l'un des plus brutaux volumes des Rougon-Macquart. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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Phone number : 01 56 08 08 85

EUR3,000.00 (€3,000.00 )

‎Collectif‎

Reference : R110397040

(1988)

‎Télé 7 jours n° 1440 - Mireille Mathieu : ma vérité, Julie Arnold : Sophie me ressemble comme une soeur, La compagnie créole : nous chantons pour tous les enfants du monde, Chamberlain : je suis un agent secret amoureux d'une drole de dame, Mademoiselle‎

‎EDI 7. 2 janvier 1988. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 131 pages. Nombreuses illustrations en couleurs et noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 791.45-Télévision‎


‎Sommaire : Mireille Mathieu : ma vérité, Julie Arnold : Sophie me ressemble comme une soeur, La compagnie créole : nous chantons pour tous les enfants du monde, Chamberlain : je suis un agent secret amoureux d'une drole de dame, Mademoiselle la Tour Eiffel perd du poids et rajeunit sans cesse Classification Dewey : 791.45-Télévision‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR29.80 (€29.80 )

‎Collectif‎

Reference : R200114460

(1995)

‎"VSD - N°915 Mars 1995 - Les confessions d'Edouard Balladur "" je ne suis pas un enfant de choeur"" - sexologie : et si les femmes étaient plus qualifiées pour nous soigner - Bernes : sa vérité sur OM-VA, sur Tapie, comme ue histoire d'amour qui a mal tourné"‎

‎VSD. 1995. In-4. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 106 pages. Nombreuses illustrations en couleur, dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎"Les confessions d'Edouard Balladur "" je ne suis pas un enfant de choeur"" - sexologie : et si les femmes étaient plus qualifiées pour nous soigner - Bernes : sa vérité sur OM-VA, sur Tapie, comme ue histoire d'amour qui a mal tourné... Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues"‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR19.80 (€19.80 )

‎Collectif‎

Reference : R110395743

(1962)

‎Télé 7 jours n° 143 - Comme dans une chanson de Vincent Scotto, Henri Spade vous raconte : la belle histoire d'un bouquet de mariée, 50 millions de téléspectateurs pour Rien que la vérité, Luis Mariano : je suis devenu l'homme a la voix de velours grace‎

‎Télé 7 jours. 15 décembre 1962. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 82 pages. Nombreuses illustrations en couleurs et noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 791.45-Télévision‎


‎Sommaire : Comme dans une chanson de Vincent Scotto, Henri Spade vous raconte : la belle histoire d'un bouquet de mariée, 50 millions de téléspectateurs pour Rien que la vérité, Luis Mariano : je suis devenu l'homme a la voix de velours grace a un vigneron bordelais Classification Dewey : 791.45-Télévision‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR59.25 (€59.25 )

‎San-Antonio‎

Reference : 78233

Librairie Alpha - Romans sur Isère

Phone number : 06 25 54 12 31

EUR18.50 (€18.50 )

‎ - Barnaby Paul - Hornez André,Saint-Granier‎

Reference : 7617

(1931)

Phone number : 06 12 41 09 89

EUR4.00 (€4.00 )

‎SAN-ANTONIO, DARD Frédéric‎

Reference : 25104

‎San-Antonio, tome 4 : En long, en large et en travers ; La Vérité en salade ; Prenez-en de la graine ; On t'enverra du monde ; San-Antonio met le paquet ; Entre la vie et la morgue ; Tout le plaisir est pour moi ; Du sirop pour les guêpes ; Du brut pour les brutes ; J'suis comme ça.‎

‎ Broché, 19X13 cm, 2010, 1233 pages, édition présentée par François Rivière, collection bouquins, éditions Robert Laffont. Bon état.‎


‎ Le magasin est fermé jusqu'au 13 mai inclus, nous reprendrons les expéditions à cette date, merci.‎

Bouquinerie Latulu - Besançon

Phone number : 33 03 81 81 23 66

EUR14.00 (€14.00 )

‎San-Antonio (Dard)‎

Reference : 29650

(1970)

‎Oeuvres Complètes - tome VI : Tango Chinetoque - Des clientes pour la morgue - A tue et à toi - La vérité en salade - J'suis comme ça‎

‎ 1970 in-8 reliure éditeur sans sa jaquette rhodoïde - 1970 - 637p - Ed. Fleuve Noir‎


‎bon état -, tranches très légèrement ternies ‎

Phone number : 04 78 38 32 46

EUR14.00 (€14.00 )

‎Collectif‎

Reference : R110649035

(1931)

‎Ciné-miroir n° 335 - Jean Weber et Simone Vaudry dans l'Aiglon, Robert, frère de Jackie, Suis-je photogénique ?, Les vagabonds magnifiques, Leurs vacances, Rien que la vérité, Partir, Pour décrocher la lune‎

‎Bureau du journal. 4 septembre 1931. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 569 à 584. Nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 791.43-Cinéma‎


‎ Classification Dewey : 791.43-Cinéma‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR29.80 (€29.80 )

‎THIERRY LE LURON‎

Reference : R130004877

‎DISQUE VINYLE 33T IMITATIONS, VIENNE CHANTE ET DANSE, BAMBINO, JE SUIS UN CABOTIN, LA VERITE, LA CHABANISATION, LEMINISTERE PATRAQUE, A RAGARDER LA MER, MON CREDO, VOUS ETIEZ BELLE MADAME, LA COMPLAINTE DES INFIDELES, LA CARAVANIER, A DEMAIN SUR LA LUNE.‎

‎PATHE MARCONI. non daté. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Pochette en couleurs, accompagné au piano ,par JACQUES LESAGE. Introduction dérrière la pochette.. . . . Classification : 410-33 Tours‎


‎Disque n°2 C 062-11521 Classification : 410-33 Tours‎

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EUR19.80 (€19.80 )

‎Collectif‎

Reference : R110511069

(2010)

‎Nexus n° 69 - Karl Zéro : je suis juste curieux, Phénomène ovni : la vérité en face, L'élite de l'aérospatiale se mobilise, Choc psychologique en vue, Vie extraterrestre : assez, Cancer : faut-il réhabiliter priore ?, Les temps fort de l'affaire Priore‎

‎Editions Chantegrel. Juillet-Aout 2010. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 128 pages. Nombreuses illustrations en couleurs et noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 500-SCIENCES DE LA NATURE ET MATHEMATIQUES‎


‎ Classification Dewey : 500-SCIENCES DE LA NATURE ET MATHEMATIQUES‎

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EUR14.90 (€14.90 )

‎COLLECTIF‎

Reference : ROD0070698

(1994)

‎"CHARLIE HEBDO N°117 - LA VERITE SUR LE PASSE DE DELORS ""JE ME SUIS BRANLE AU CATE"""‎

‎Edité au Bureau du Journal. 21 SEPTEMBRE 1994. In-4. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages illustrées de dessins N&B et couleur. Premier plat de couverture illustré par CHARB. . . . Classification Dewey : 70.441-Journaux satiriques anciens‎


‎BERNAR - BIARD - CABU - CAVANNA - CHARB - CYRAN - GEBE - PATRICK FONT - HONORE - KAMAGURKA - LIPOWSKI - LUZ - ONCLE BERNARD - PASQUINI - PLANTU - RENAUD - RISS - SINE - STRELKOFF - TIGNOUS - PHILIPPE VAL - WILLEM - WOLINSKI Classification Dewey : 70.441-Journaux satiriques anciens‎

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EUR29.80 (€29.80 )

‎COLLECTIF‎

Reference : RO20129830

(1988)

ISBN : 2718903708

‎VEUX-TU ETRE MON AMI? CE2 ENFANT DOSSIER ANNEXE. JE SUIS LE CHEMIN, LE VERITE ET LA VIE‎

‎DESCLEE. 1988. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 21 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc et en couleurs, dans le texte et hors texte.. . . . Classification Dewey : 260-Théologie sociale chrétienne‎


‎ Classification Dewey : 260-Théologie sociale chrétienne‎

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EUR10.95 (€10.95 )

‎COLLECTIF‎

Reference : RO20129831

(1988)

ISBN : 2718903716

‎VEUX-TU ETRE MON AMI? CE2 CATECHISME. JE SUIS LE CHEMIN, LE VERITE ET LA VIE‎

‎DESCLEE. 1988. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 106 pages.. . . . Classification Dewey : 260-Théologie sociale chrétienne‎


‎ Classification Dewey : 260-Théologie sociale chrétienne‎

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‎COLLECTIF‎

Reference : RO20129832

(1988)

ISBN : 2718903724

‎INITIATION A LA MESSE. JE SUIS LE CHEMIN, LE VERITE ET LA VIE‎

‎DESCLEE. 1988. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 38 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc et en couleurs, dans le texte et hors texte.. . . . Classification Dewey : 260-Théologie sociale chrétienne‎


‎ Classification Dewey : 260-Théologie sociale chrétienne‎

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‎SAN ANTONIO‎

Reference : R320028394

(1955)

‎OEUVRES COMPLETES - TOME VI : TANGO CHINETOQUE - DES CLIENTES POUR LA MORGUE - A TUE ET A TOI - LA VERITE EN SALADE - J'SUIS COMME CA.‎

‎"FLEUVE NOIR. 1955. In-8. Relié. Etat d'usage, Couv. convenable, Coiffe en pied abîmée, Intérieur acceptable. 637 pages - Auteur, titre, tomaison et Editeur dorés - Contre-plats illustrés façon ""personnages de BD"". SIGNET.. . . . Classification Dewey : 843.0875-Sanantonio"‎


‎ Classification Dewey : 843.0875-Sanantonio‎

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‎SAN-ANTONIO‎

Reference : R240044084

(1985)

ISBN : 2724227034

‎TANGO CHINETOQUE / DES CLIENTES POUR LA MORGUE / A TUE ET A TOI / LA VERITE EN SALADE / J'SUIS COMME CA.‎

‎FRANCE LOISIRS / FLEUVE NOIR. 1985. In-8. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 632 pages.. Avec Jaquette. . . Classification Dewey : 843.0875-Sanantonio‎


‎ Classification Dewey : 843.0875-Sanantonio‎

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‎COLLECTIF‎

Reference : RO30127828

‎JESUS A DIT : JE SUIS LA VOIE, LA VERITE, LA VIE - POUR ALLER AU CIEL JE DOIS SUIVRE JESUS, ECOUTER JESUS, POSSEDER LA VIE DE JESUS + ABREGE DE L'HISTOIRE DE LA RELIGION‎

‎NON PRECISE. NON DATE. In-18. Relié. Etat d'usage, Livré sans Couverture, Dos abîmé, Intérieur frais. 242 pages + pagination de 35* à 62* - couverture et dos manquant - ouvrage non complet (manque pages 1* à 34*) - nombreuses illustrations noir et blanc dans et hors texte. . . . Classification Dewey : 270-Histoire et géographie de l'Eglise‎


‎ Classification Dewey : 270-Histoire et géographie de l'Eglise‎

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