76 books for « hommes de mais »Edit

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‎Collectif‎

Reference : RO10042236

(1966)

‎Sciences et voyages nouvelle série n° 9 - Les hommes du mais par Pierre Ivanoff, Animaux familiers et étranges par René Thevenin, L'ancre de miséricorde par René Arnault, La plus grande mine de cuivre du monde par Antonio Halik, Aventuriers et pirates‎

‎Bureau de la revue. Janvier 1966. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 56 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.4412-Le journal des voyages‎


‎Sommaire : Les hommes du mais par Pierre Ivanoff, Animaux familiers et étranges par René Thevenin, L'ancre de miséricorde par René Arnault, La plus grande mine de cuivre du monde par Antonio Halik, Aventuriers et pirates par Pierre Gauroy, A la découverte du visage humain par P. Durand et R. Rozencwaje Classification Dewey : 70.4412-Le journal des voyages‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR19.80 (€19.80 )

‎Miguel Angel Asturias.‎

Reference : 190

(1967)

‎Hommes de Maïs. ( Avec cordiale dédicace autographe de Miguel Angel Asturias )‎

‎ Editions Albin Michel / Les Grandes Traductions 1967. In-8 broché de 310 pages au format 13 x 20 cm. Couvertures jaunes à rabats. Dos resté assez carré mais légèrement bruni et présentant des petites pliures de lecture. Plats avec brunissures, pâles auréoles et frottis aux bords et aux mors. Intérieur frais. Tranches légèrement brunies, sinon assez bel état général. Deuxième édition de ce roman traduit de l'espagnol par Francis de Miomandre. Exemplaire orné d'une cordiale dédicace autographe, datée et signée, avec la mention " Prix Nobel 1967 " de Miguel Angel Asturias.‎


‎ Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs MoruesLivres‎

Phone number : 06 80 26 72 20

EUR80.00 (€80.00 )

‎WAHBOUN YOUSSEF BINEBINE MAHI‎

Reference : SVBLIVCN-9789954212325

‎HOMMES MEURENT MAIS NE TOMBENT PAS -LES-‎

‎MARSAM‎


‎LIVRE A L’ETAT DE NEUF. EXPEDIE SOUS 3 JOURS OUVRES. NUMERO DE SUIVI COMMUNIQUE AVANT ENVOI, EMBALLAGE RENFORCE. EAN:9789954212325‎

Bookit! - Genève
EUR34.57 (€34.57 )

‎Collectif‎

Reference : CVF7RT

ISBN : 9782908744576

‎Hommes de maïs, coeurs de braise: Cultures indiennes en rébellion au Mexique‎


‎L'Insomniaque Broché D'occasion bon état 26/08/2002 152 pages‎

Phone number : 01 43 29 11 00

EUR10.00 (€10.00 )

‎Asturias Miguel Angel‎

Reference : RO30345049

(1967)

‎"Hommes de maïs (Collection ""Les grandes traductions"")"‎

‎Albin Michel. 1967. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos plié, Papier jauni. 310 pages. Rousseurs.. . . . Classification Dewey : 860-Littératures espagnole et portugaise‎


‎"Collection ""Les grandes traductions"". Traduit de l'espagnol par Francis de Miomandre. Classification Dewey : 860-Littératures espagnole et portugaise"‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR24.90 (€24.90 )

‎MIGUEL ANGEL ASTURIAS‎

Reference : R260116512

(1967)

‎HOMMES DE MAÏS‎

‎ALBIN MICHEL / LES GRANDES TRADUCTIONS. 1967. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos plié, Intérieur frais. 310 pages. Couverture rempliée. Ecritures su la page de garde.. . . . Classification Dewey : 860-Littératures espagnole et portugaise‎


‎Traduit de l'espagnol par Francis de Miomandre. Classification Dewey : 860-Littératures espagnole et portugaise‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR24.90 (€24.90 )

‎ASTURIAS MIGUEL-ANGEL‎

Reference : ROD0101960

(1953)

‎HOMMES DE MAIS.‎

‎ANDRE MARTEL. 1953. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 378 pages. Couverture contrepliée.. . . . Classification Dewey : 860-Littératures espagnole et portugaise‎


‎TRADUCTION DE FRANCIS DE MIOMANDRE. Classification Dewey : 860-Littératures espagnole et portugaise‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR24.90 (€24.90 )

‎ANGEL ASTURIAS MIGUEL‎

Reference : R150190552

(1967)

‎HOMMES DE MAIS‎

‎ALBIN MICHEL. 1967. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 310 pages- 2 annotations au stylo bleu sur la page de garde- 1 bandeau d'éditeur. . . . Classification Dewey : 860-Littératures espagnole et portugaise‎


‎Traduit de l'espagnol par F de Miomandre- Les grandes traductions Classification Dewey : 860-Littératures espagnole et portugaise‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR24.90 (€24.90 )

‎ASTURIAS Miguel Angel‎

Reference : 5805

(1967)

‎Hommes de maïs‎

‎Albin Michel, Paris 1967, 13x20cm, broché.‎


‎Réédition dont il n'a pas été tiré de grands papiers. Envoi autographe signé de Miguel Angel Asturias à François Nourissier. Bel exemplaire. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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Phone number : 01 56 08 08 85

EUR150.00 (€150.00 )

‎ASTURIAS Miguel-Angel‎

Reference : 2097

‎Hommes de maïs. Traduit de l'espagnol par Francis de Miomandre.‎

‎Paris, André Martel, 1953, in-8 cartonnage éditeur, jaquette illustrée, 378 pp. Edition originale. Bon état.‎


‎Roman‎

Phone number : 06 34 99 23 95

EUR15.00 (€15.00 )

‎BART, Léo ; BART, Jean ; BART, Charlemagne‎

Reference : 55268

(1915)

‎Belle correspondance personnelle et originale, adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917. Jean Bart fut successivement matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car pour l'essentiel non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917‎

‎94 cartes et LAS, auxquelles nous joignons quelques photos et quelques lettres postérieures. Belle correspondance personnelle adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917, adressée à Jean Bart, matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917‎


‎Passionnant ensemble, à analyser en profondeur. Prix de l'ensemble, non séparable.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR950.00 (€950.00 )

‎Collectif‎

Reference : R320139154

(1954)

‎Missi n°182 aout septembre 1954 - La souffrance dans le monde - masses amorphes - exaspération athée - humanité captive - 800 millions de crève la faim - alcool - et le reste - les hommes ont besoin de dieu - mais dieu à besoin des hommes etc.‎

‎Missi. 1954. In-4. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Agraffes rouillées, Intérieur acceptable. Paginé de 223 à 254 - une page désolidarisé - quelques illustrations en noir et blanc dans le texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : La souffrance dans le monde - masses amorphes - exaspération athée - humanité captive - 800 millions de crève la faim - alcool - et le reste - les hommes ont besoin de dieu - mais dieu à besoin des hommes - sept zones de solidarité - effort mondial de l'onu - secours catholiques - Viet nam VietMinh que faire . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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‎[s.n.] - ‎ ‎Service Central de l'Ingénieur en Chef Compagnie des Chemins de fer de l'Est ; SAUVAGE ; DIETZ, David‎

Reference : 56071

(1870)

‎[ Dossier de 11 courriers manuscrits adressés à David Dietz, chef d'atelier : La Compagnie des Chemins de Fer de l'Est aux débuts de la Guerre franco-allemande de 1870 ] I : Lettre signée de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 20 juillet 1870, précisant le rôle de leurs services et l'organisation des Corps Francs des Chemins de fer. M. Dietz est nommé dans ce cadre chef du matériel roulant, 2 pp. ; II : Lettre de nomination à ce poste signée du Directeur de la Compagnie M. Sauvage, 1 p. ; III : Lettre signée de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 30 juillet 1870 ; IV : Copie manuscrite de la décision de nomination d'un second, M. Doré ; IV : Lettre signée de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 30 juillet 1870 à M. Dietz, précisant les "divers travaux ou fournitures qu'exigent les transports militaires" qui sont de deux sortes, "les uns qui restent à la charge de la Compagnie, tels que confections de strapontins... les autres directement demandés par l'autorité militaire et restant à la charge de l'Etat" ; V : Lettre signée de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 2 août 1870 à M. Dietz, approuvant notamment les hamacs installés par Dietz [ pour le confort des blessés ] ; VI : Copie conforme signée par Vuillemin d'une réquisition de l'Armée du Rhin ; VII : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef à M. Dietz, datée du 3 août 1870, évoquant la livraison de bidons, d'urinoirs et de deux modèles de hamacs ; VIII : Lettre à en-tête de l'Exploitation de la Compagnie, datée du 4 août 1870 "J'ai immédiatement adressé à Messieurs les médecins de la Cie de l'Est une circulaire pour les inviter à prêter leur concours tant pour le transport que pour la visite des blessés de l'armée" ; IX : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef à M. Dietz, datée du 4 août 1870, relative à l'envoi d'un troisième modèle de hamac, de 30000 pitons, etc. ; X : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef à M. Dietz, datée du 5 août 1870 ; XI : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef signé de Vuillemin à M. Dietz, datée du 5 août 1870 : "J'ai remarqué que pour les transports des blessés militaires, sur vos hamacs dans les wagons N ou autres, il faut un temps assez long pour amener les blessés aux wagons et pour les placer sur les hamacs. En supposant que les gares dans lesquelles doit s'effectuer l'embarquement soient pourvues de hamacs avec les cordes et leurs pitons, nos hommes seraient en mesure de tout disposer dans le premier wagon venu, pour peu qu'ils soient prévenus quelques heures d'avance. Il ne serait donc pas nécessaire de garnir tous nos wagons de pitons, mais il faudrait toujours avoir aux gares d'embarquement des pitons que nos ouvriers placeraient dans les wagons..." ; XII : on joint 3 autres pièces‎

‎Lot de 14 courriers dont 11 adressés à David Dietz, chef d'atelier à la Compagnie des Chemins de Fer de l'Est aux débuts de la Guerre franco-allemande de 1870, du 20 juillet 1870 au 5 août 1870 (en général 1 ou 2 pages par lettres) : I : Lettre signés de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 20 juillet 1870, précisant le rôle de leurs services et l'organisation des Corps Francs des Chemins de fer. M. Dietz est nommé dans ce cadre chef du matériel roulant, 2 pp. ; II : Lettre de nomination à ce poste signée du Directeur de la Compagnie M. Sauvage, 1 p. ; III : Lettre signés de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 30 juillet 1870 ; IV : Copie manuscrite de la décision de nomination d'un second, M. Doré ; IV : Lettre signés de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 30 juillet 1870 à M. Dietz, précisant les "divers travaux ou fournitures qu'exigent les transports militaires" qui sont de deux sortes, "les uns qui restent à la charge de la Compagnie, tels que confections de strapontins... les autres directement demandés par l'autorité militaire et restant à la charge de l'Etat" ; V : Lettre signés de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 2 août 1870 à M. Dietz, approuvant notamment les hamacs installés par Dietz [ pour le confort des blessés ] ; VI : Copie conforme signée par Vuillemin d'une réquisition de l'Armée du Rhin ; VII : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef à M. Dietz, datée du 3 août 1870, évoquant la livraison de bidons, d'urinoirs et de deux modèles de hamacs ; VIII : Lettre à en-tête de l'Exploitation de la Compagnie, datée du 4 août 1870 "J'ai immédiatement adressé à Messieurs les médecins de la Cie de l'Est une circulaire pour les inviter à prêter leur concours tant pour le transport que pour la visite des blessés de l'armée" ; IX : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef à M. Dietz, datée du 4 août 1870, relative à l'envoi d'un troisième modèle de hamac, de 30000 pitons, etc. ; X : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef à M. Dietz, datée du 5 août 1870 ; XI : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef signé de Vuillemin à M. Dietz, datée du 5 août 1870 : "J'ai remarqué que pour les transports des blessés militaires, sur vos hamacs dans les wagons N ou autres, il faut un temps assez long pour amener les blessés aux wagons et pour les placer sur les hamacs. En supposant que les gares dans lesquelles doit s'effectuer l'embarquement soient pourvues de hamacs avec les cordes et leurs pitons, nos hommes seraient en mesure de tout disposer dans le premier wagon venu, pour peu qu'ils soient prévenus quelques heures d'avance. Il ne serait donc pas nécessaire de garnir tous nos wagons de pitons, mais il faudrait toujours avoir aux gares d'embarquement des pitons que nos ouvriers placeraient dans les wagons..." ; XII : on joint 3 autres pièces‎


‎Lot de 14 courriers dont 11 adressés à David Dietz, chef d'atelier à la Compagnie des Chemins de Fer de l'Est aux débuts de la Guerre franco-allemande de 1870, du 20 juillet 1870 au 5 août 1870 (en général 1 ou 2 pages par lettres) [ Dossier de 11 courriers manuscrits adressés à David Dietz, chef d'atelier : La Compagnie des Chemins de Fer de l'Est aux débuts de la Guerre franco-allemande de 1870 ] I : Lettre signée de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 20 juillet 1870, précisant le rôle de leurs services et l'organisation des Corps Francs des Chemins de fer. M. Dietz est nommé dans ce cadre chef du matériel roulant, 2 pp. ; II : Lettre de nomination à ce poste signée du Directeur de la Compagnie M. Sauvage, 1 p. ; III : Lettre signée de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 30 juillet 1870 ; IV : Copie manuscrite de la décision de nomination d'un second, M. Doré ; IV : Lettre signée de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 30 juillet 1870 à M. Dietz, précisant les "divers travaux ou fournitures qu'exigent les transports militaires" qui sont de deux sortes, "les uns qui restent à la charge de la Compagnie, tels que confections de strapontins... les autres directement demandés par l'autorité militaire et restant à la charge de l'Etat" ; V : Lettre signée de l'Ingénieur en Chef de la Compagnie Vuillemin, du 2 août 1870 à M. Dietz, approuvant notamment les hamacs installés par Dietz [ pour le confort des blessés ] ; VI : Copie conforme signée par Vuillemin d'une réquisition de l'Armée du Rhin ; VII : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef à M. Dietz, datée du 3 août 1870, évoquant la livraison de bidons, d'urinoirs et de deux modèles de hamacs ; VIII : Lettre à en-tête de l'Exploitation de la Compagnie, datée du 4 août 1870 "J'ai immédiatement adressé à Messieurs les médecins de la Cie de l'Est une circulaire pour les inviter à prêter leur concours tant pour le transport que pour la visite des blessés de l'armée" ; IX : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef à M. Dietz, datée du 4 août 1870, relative à l'envoi d'un troisième modèle de hamac, de 30000 pitons, etc. ; X : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef à M. Dietz, datée du 5 août 1870 ; XI : Lettre du service central de l'Ingénieur en Chef signé de Vuillemin à M. Dietz, datée du 5 août 1870 : "J'ai remarqué que pour les transports des blessés militaires, sur vos hamacs dans les wagons N ou autres, il faut un temps assez long pour amener les blessés aux wagons et pour les placer sur les hamacs. En supposant que les gares dans lesquelles doit s'effectuer l'embarquement soient pourvues de hamacs avec les cordes et leurs pitons, nos hommes seraient en mesure de tout disposer dans le premier wagon venu, pour peu qu'ils soient prévenus quelques heures d'avance. Il ne serait donc pas nécessaire de garnir tous nos wagons de pitons, mais il faudrait toujours avoir aux gares d'embarquement des pitons que nos ouvriers placeraient dans les wagons..." ; XII : on joint 3 autres pièces‎

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‎QUERANGAL (Pierre-Maurice-Julien de).‎

Reference : 8783

(1803)

‎Lettre autographe signée du commandant Quérangal à l'amiral Duckworth. 21 octobre 1803. « Spanishtown le 21 octobre 1803. Le commodore Querangal, à Monsieur l'amiral Duckworth. Monsieur l'amiral. par la lettre dont vous m'avez honoré en date du 15 de ce mois, je vois avec plaisir et reconnoissance que je --- compter sur mon retour en angleterre par le premier convoi mais je vois avec peine que le nombre des officiers de marine qui doivent jouïr de cette faveur est peu considérable, puisque mon état major ne paroit pas devoir etre compris dans vos dispositions actuelles le nombre en est si petit. Ils ont déjà partis par la voie de l'amérique pour cause de maladie, que j'ose espérer qu'en… … yeux sur la liste que je vous adresse, vous ferez un nouvel effort pour me procurer l'agrément de n'en être pas séparés. Mais s'il vous est impossible Monsieur l'amiral, de m'accorder le passage de tous, je réclame particulièrement Monsieur Belleville mon adjudant, et Monsieur Savery mon agent comptable. Le premier est inséparable de la dignité de mon grade, et le second n'était en quelque sorte que mon premier secrétaire, chargé de la comptabilité générale d'un vaisseau que je commandois depuis cinq ans et demi, il est instant qu'il opere son retour avec moi, afin que je puisse rendre compte à mon gouvernement, remettre les inventaires des morts, et faire toucher aux familles des malheureux prisonniers des secours en a-compte de la solde qui leur est dûe. Quand a Messieurs Corvoisier et Fouquier, tous deux officiers d'infanterie passagers à mon bord pour cause de maladie, l'humanité autant que votre bienveillance… le… faveurs, puisqu'il est constant qu'ils ont toujours été malades depuis leur séjour a la Jamaïque, et qu'ils ne doivent point espérer de se rétablir parfaitement en cette isle. J'ai egalement l'honneur, Monsieur l'amiral, de vous adresser la liste de mes premiers maitres dont je demande avec instance le retour. Ces hommes servent sous mes ordres depuis plusieurs années, et ont acquis des droit à mon estime et a ma sollicitude. Je suis bien sincèrement affecté, Monsieur l'amiral, des difficultés qu'éprouve le retour en france des malheureuses femmes passagères a bord du Duquesne. Je conçois que vos lois s'opposent a ce qu'elles obtiennent leur passage sur les batiments de guerre mais ne seroit-il pas possible qu'elles passent sur les batiments de commerce faisant partie du convoi. Si vous leur refuter cette faveur que deviendront elles, puisqu'elles sont toutes dans l'impossibilité de payer leur passage, même pour l'amerique. Veuillez, Monsieur prendre ma lettre en considération, m'honorer d'une réponse définitive et agréer l'assurance des sentiments avec lesquels j'ai l'honneur d'Etre votre très humble et obéissant serviteur. Querangual ».‎

‎, , 1803. 4 pp. in-8. ‎


‎« Spanishtown le 21 octobre 1803. Le commodore Querangal, à Monsieur l'amiral Duckworth. Monsieur l'amiral. par la lettre dont vous m'avez honoré en date du 15 de ce mois, je vois avec plaisir et reconnoissance que je --- compter sur mon retour en angleterre par le premier convoi mais je vois avec peine que le nombre des officiers de marine qui doivent jouïr de cette faveur est peu considérable, puisque mon état major ne paroit pas devoir etre compris dans vos dispositions actuelles le nombre en est si petit. Ils ont déjà partis par la voie de l'amérique pour cause de maladie, que j'ose espérer qu'en regardant sur la liste que je vous adresse, vous ferez un nouvel effort pour me procurer l'agrément de n'en être pas séparés. Mais s'il vous est impossible Monsieur l'amiral, de m'accorder le passage de tous, je réclame particulièrement Monsieur Belleville mon adjudant, et Monsieur Savery mon agent comptable. Le premier est inséparable de la dignité de mon grade, et le second n'était en quelque sorte que mon premier secrétaire, chargé de la comptabilité générale d'un vaisseau que je commandois depuis cinq ans et demi, il est instant qu'il opere son retour avec moi, afin que je puisse rendre compte à mon gouvernement, remettre les inventaires des morts, et faire toucher aux familles des malheureux prisonniers des secours en a-compte de la solde qui leur est dûe. Quand a Messieurs Courvoisier et Fouquier, tous deux officiers d'infanterie passagers à mon bord pour cause de maladie, l'humanité autant que votre bienveillance… le… faveurs, puisqu'il est constant qu'ils ont toujours été malades depuis leur séjour a la Jamaïque, et qu'ils ne doivent point espérer de se rétablir parfaitement en cette isle. J'ai egalement l'honneur, Monsieur l'amiral, de vous adresser la liste de mes premiers maitres dont je demande avec instance le retour. Ces hommes servent sous mes ordres depuis plusieurs années, et ont acquis des droit à mon estime et a ma sollicitude. Je suis bien sincèrement affecté, Monsieur l'amiral, des difficultés qu'éprouve le retour en France des malheureuses femmes passagères a bord du Duquesne. Je conçois que vos lois s'opposent a ce qu'elles obtiennent leur passage sur les batiments de guerre mais ne seroit-il pas possible qu'elles passent sur les batiments de commerce faisant partie du convoi. Si vous leur refuter cette faveur que deviendront elles, puisqu'elles sont toutes dans l'impossibilité de payer leur passage, même pour l'amerique. Veuillez, Monsieur prendre ma lettre en considération, m'honorer d'une réponse définitive et agréer l'assurance des sentiments avec lesquels j'ai l'honneur d'Etre votre très humble et obéissant serviteur. Querangal ». ‎

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Reference : R110324145

(1947)

‎V MAGAZINE N° 145 - Pour les femmes d'escale, l'aventure vient toujours de la Mer, Alcatraz, la prison dont on ne s'évade pas, Le chien Féo joue les toréadors mais ne chante pas Carmen, L'ail a tué les dieux mais sauvé les hommes, Dans les night clubs‎

‎BUREAU DE LA REVUE. 13 JUILLET 1947. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages. Nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire :Pour les femmes d'escale, l'aventure vient toujours de la Mer, Alcatraz, la prison dont on ne s'évade pas, Le chien Féo joue les toréadors mais ne chante pas Carmen, L'ail a tué les dieux mais sauvé les hommes, Dans les night clubs parisiens, les chanteuses cèdent la place aux championnes du bras roulé, On demande des explorateurs pour les monts de la lune, Danielle Darrieux aime bien les parfums mais préfère encore le whisky Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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Reference : R320149239

(1970)

‎Réalités n°299 décembre 1970 - On annonce la mort de Dieu mais jamais les hommes n'ont autant aspiré au divin pourquoi ? - Suède pas de solution miracle mais des recettes concrètes pour vivre mieux - l'inflation brule les revenus y a t il une tactique...‎

‎Société d'études et publications économiques. 1970. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 156 pages - nombreuses illustrations en couleurs et en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : On annonce la mort de Dieu mais jamais les hommes n'ont autant aspiré au divin pourquoi ? - Suède pas de solution miracle mais des recettes concrètes pour vivre mieux - l'inflation brule les revenus y a t il une tactique pour les défendre ? - peut on encore changer d'existence ou l'enrichir à quarante ans ? - on soigne aussi les malades imaginaires par quelles méthodes et avec quels résultats ? - comment la bureaucratie paralyse la vie des françis - trois clés pour comprendre la mode nouvelle - la détente entre Washington et Moscou n'est elle qu'une pause provisoire ? - pourquoi s'arrache t on Jérusalem ? le témoignage de toris croyants juif, musulman et chrétien - la carte des endroits où l'on s'amuse encore à Paris . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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Reference : RO10087044

(1986)

‎PARIS MATCH N° 1912 - Mireille Mathieu : je n'ai pas envie de me marier mais il y a des hommes dans ma vie, Robert Hossein et Candice Patou : jouer la guéguerre évite de nous battre a la maison, Isabella Rossellini : je me sens plus latine que scandinave‎

‎PARIS MATCH. 17 janvier 1986. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 98 pages augmentées de nombreuses photos et illustrations en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte - 1er plat illustré d'une photo en couleurs. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : Mireille Mathieu : je n'ai pas envie de me marier mais il y a des hommes dans ma vie, Robert Hossein et Candice Patou : jouer la guéguerre évite de nous battre a la maison, Isabella Rossellini : je me sens plus latine que scandinave, Michel Delpech refuse de publier ses notes mais ambitionne d'apprendre la musique par Philippe Bouvard Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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‎Winkler P., Collectif‎

Reference : RO20239802

(1938)

‎Robinson n°126 - 25 Septembre 1938. Sommaire : Luc Bradefer atteint le repaire des Hommes-Oiseaux - L'émouvante exécution de Guy l'Eclair dans la chambre de la mort - Incroyable mais vrai ! - etc.‎

‎Opera Mundi. 25 Septembre 1938. In-Folio. En feuillets. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages de bandes dessinées et de dessins en noir et blanc et en couleurs dans le texte. Mise en page du texte en colonnes. Nombreuses petites déchirures en marge. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎


‎3e Année. L'hebdomadaire des jeunes de tous les âges. Sommaire : Luc Bradefer atteint le repaire des Hommes-Oiseaux - L'émouvante exécution de Guy l'Eclair dans la chambre de la mort - Incroyable mais vrai ! - La Famille Illico Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎

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Reference : R160221044

(1978)

‎Super Picsou Géant n°77 bis - Le voyage de Gullipicsou - où est passé Rapetou timide ? - à toute vapeur sans moteur - le mystère des hommes vert - la sorcière au maïs d'or - Cunégonde a du nez - Donald a la bosse du moto-cross etc.‎

‎Edi-monde. 1978. In-4. Broché. Etat d'usage, Coins frottés, Coiffe en tête abîmée, Papier jauni. 192 pages - nombreux dessins en noir et blanc et en couleurs.. . . . Classification Dewey : 843.061-Albums BD‎


‎Sommaire : Le voyage de Gullipicsou - où est passé Rapetou timide ? - à toute vapeur sans moteur - le mystère des hommes vert - la sorcière au maïs d'or - Cunégonde a du nez - Donald a la bosse du moto-cross - les cochonnets de la table ronde - allumette, gentille allumette - picsourires - collections à dormir debout - le champion des lampions - magic-mélo - le métal flotte - un aller simple pour la lune - phoques otaries et cie - l'angleterre s'en va t en guerre - etc. Classification Dewey : 843.061-Albums BD‎

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Reference : R110385649

(1978)

‎Détective n° 1649 - Il acceptait d'être trompé mais pas sous son toit, La mort de Claude François, Elle aimait trop son amant pour l'épouser, Elle s'offre a un inconnu la veille de ses noces, Prostitutée par haine des hommes, Pour expier sa fuite‎

‎Editions nuit et jour. 16 mars 1978. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 32 pages. Nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎


‎Sommaire : Il acceptait d'être trompé mais pas sous son toit, La mort de Claude François, Elle aimait trop son amant pour l'épouser, Elle s'offre a un inconnu la veille de ses noces, Prostitutée par haine des hommes, Pour expier sa fuite, elle accepte les obsessions de son mari Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎

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Reference : R110385814

(1979)

‎Qui ? Police n° 14 - Le tueur de l'Oise était un gendarme, Torturée toute une nuit par 5 voyous, Il poignarde la jeune fille qu'il voulait s'attacher, Seule dans son bar a la merci d'un sadique, Elle aimait les hommes mais n'acceptait pas de maitre‎

‎Editions nuit et jour. 12 avril 1979. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 32 pages.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎


‎Sommaire : Le tueur de l'Oise était un gendarme, Torturée toute une nuit par 5 voyous, Il poignarde la jeune fille qu'il voulait s'attacher, Seule dans son bar a la merci d'un sadique, Elle aimait les hommes mais n'acceptait pas de maitre, Il perd son épouse en voulant trop l'aimer Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎

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Reference : R320174926

(1961)

‎Paris Match n°647 2 septembre 1961 - Un vrai mur maintenant sépare les deux mondes nos extraordinaires photos de Berlin - pas de semaine sans Brigitte elle tourne vie proivée à Spolète mais la siennce continue à Rome - ces hommes qui font l'événement etc.‎

‎Paris Match. 1961. In-Folio. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement pliée, Agrafes rouillées, Papier jauni. 86 pages agrafées - nombreuses photos en noir et blanc dans et hors texte - manque surles pages 55-56 altérant la lecture - déchirures sur le 1er plat - rousseurs sur le 2ème plat.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : Un vrai mur maintenant sépare les deux mondes nos extraordinaires photos de Berlin - pas de semaine sans Brigitte elle tourne vie proivée à Spolète mais la siennce continue à Rome - ces hommes qui font l'événement par Jean Maquet et Jack Chargelègue - arrêtez le massacre - pourquoi les tueries de la route ? - la fille de Gary Cooper ni voile ni mari - Berlin le mur de la honte - le colonel Johns portait il la guerre dans sa jeep ? - c'est arrivé demain reportage Odette Valeri photos Willy Rizzo - c'est le secret de ce confessional - Belmondo parle d'Elodie sa femme etc. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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‎[Imprimerie G. Rousseaux] - ‎ ‎Capitaine BERNARD Commandant des F.F.I. de Meaux‎

Reference : 60148

(1944)

‎[Affiche originale : ] Forces Françaises de l'Intérieur. Appel à la Population. Meldois. L'heure de la libération a enfin sonné. La Ville de Meaux est aux mains des F.F.I., mais la guerre n'est pas terminée. Nous faisons appel aux sentiments de patriotisme que vous avez manifestés pendant 4 ans. Il faut que tout se passe dans l'ordre et la discipline, notre salut est à ce prix. Tout désordre, tout pillage, toute vengeance personnelle ne pourraient que compromettre l'oeuvre à laquelle nous avons fait le sacrifice de notre vie. Nous ne le tolérerons pas. Par contre, nous prenons l'engagement que la justice implacable suivra son cours. Ceux qui ont aidé les ennemis de notre Patrie, ceux qui sont responsables de la mort ou de l'arrestation de nos compatriotes seront punis. Les femmes et les hommes à qui nous confions l'administration de votre ville ont fait leurs preuves. Tous ont risqué leur existence pour la cause sacrée que nous défendons. Faites-leur confiance, aidez-les, serrez les rangs autour des F.F.I.Vive Meaux, Vive le Général de Gaulle ! Vivent les Alliés, Vive la France immortelle !‎

‎1 afficge format 45 x 55,5 cm, Imprimerie G. Rousseaux, Meaux, s.d. [1944 ]. Rappel du titre complet : [Affiche originale : ] Forces Françaises de l'Intérieur. Appel à la Population. Meldois. L'heure de la libération a enfin sonné. La Ville de Meaux est aux mains des F.F.I., mais la guerre n'est pas terminée. Nous faisons appel aux sentiments de patriotisme que vous avez manifestés pendant 4 ans. Il faut que tout se passe dans l'ordre et la discipline, notre salut est à ce prix. Tout désordre, tout pillage, toute vengeance personnelle ne pourraient que compromettre l'oeuvre à laquelle nous avons fait le sacrifice de notre vie. Nous ne le tolérerons pas. Par contre, nous prenons l'engagement que la justice implacable suivra son cours. Ceux qui ont aidé les ennemis de notre Patrie, ceux qui sont responsables de la mort ou de l'arrestation de nos compatriotes seront punis. Les femmes et les hommes à qui nous confions l'administration de votre ville ont fait leurs preuves. Tous ont risqué leur existence pour la cause sacrée que nous défendons. Faites-leur confiance, aidez-les, serrez les rangs autour des F.F.I.Vive Meaux, Vive le Général de Gaulle ! Vivent les Alliés, Vive la France immortelle !‎


‎Bon état pour cette rare affiche témoignant de la Libération de Meaux, ‎

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Reference : RO10087575

(1996)

‎PARIS MATCH N° 2443 - Eva Herzigova : les hommes me courtisent ? Je ne m'en rends pas compte, Mikhail Gorbatchev : je suis candidat a l'élection présidentielle, contre l'avis de Raïssa, mais avec le soutien de mes petites filles, Margie Sudre nous reçoit‎

‎PARIS MATCH. 21 mars 1996. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 130 pages augmentées de nombreuses photos et illustrations en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte - 1er plat illustré d'une photo en couleurs. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : Eva Herzigova : les hommes me courtisent ? Je ne m'en rends pas compte, Mikhail Gorbatchev : je suis candidat a l'élection présidentielle, contre l'avis de Raïssa, mais avec le soutien de mes petites filles, Margie Sudre nous reçoit chez elle a la Réunion : je n'ai appris le français qu'a l'age de 8 ans, Versace aime les tops Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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Reference : RO10086988

(1984)

‎PARIS MATCH N° 1856 - Les quintuples de Paris Match : chantal goya c'est le père noel, Thierry Lhermitte : S comme ski, soleil et séduction, Jean Claude Brialy : les objets sont ma mémoire, Mireille Darc : je préfère les hommes mais les filles me font‎

‎PARIS MATCH. 21 décembre 1984. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 146 pages augmentées de nombreuses photos et illustrations en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte - 1er plat illustré d'une photo en couleurs. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : Les quintuples de Paris Match : chantal goya c'est le père noel, Thierry Lhermitte : S comme ski, soleil et séduction, Jean Claude Brialy : les objets sont ma mémoire, Mireille Darc : je préfère les hommes mais les filles me font rire, Francine Gomez : je suis enfin avec un homme jaloux Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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