Laffont, 1982, gr. in-8°, 284 pp, préface de Jean Boisson, 8 pl. de gravures hors texte, broché, couv. illustrée, état correct
Qui a tué Napoléon ? A Sainte-Hélène, l'Empereur n'est pas mort d'un cancer : il a été empoisonné à l'arsenic... Cette révélation sensationnelle est fondée sur les recherches d'un médecin suédois, expert en toxicologie : vingt ans d'enquête l'ont conduit à cette certitude. Et il désigne le coupable : un fidèle au-dessus de tout soupçon. C'est l'histoire de ce crime et de sa découverte que racontent ici Ben Weider et David Hapgood...
Laffont, 1982, in-8°, 284 pp, préface de Jean Boisson, 8 pl. de gravures hors texte, broché, couv. illustrée, bon état
Qui a tué Napoléon ? A Sainte-Hélène, l'Empereur n'est pas mort d'un cancer : il a été empoisonné à l'arsenic... Cette révélation sensationnelle est fondée sur les recherches d'un médecin suédois, expert en toxicologie : vingt ans d'enquête l'ont conduit à cette certitude. Et il désigne le coupable : un fidèle au-dessus de tout soupçon. C'est l'histoire de ce crime et de sa découverte que racontent ici Ben Weider et David Hapgood...
Paris, R. Laffont, 1982. 1 vol in-8 broche, couverture illustree, de 284 pages. Cahier d'illustrations hors texte.
Couv. leg. us. sin. bel exemplaire. [FR-4][HI-10]
ROBERT LAFFONT. 1982. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. partiel. décollorée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 283 pages. Premier plat illustré en couleurs.. . . . Classification Dewey : 923-Politiciens, economistes, juristes, enseignants
Classification Dewey : 923-Politiciens, economistes, juristes, enseignants
Robert Laffont. 1982. in-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paris, Robert Laffont, 1982, in 8, broché, planches hors-texte en noir, 283 pp.. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
HM-036 - Lieu d'édition : Paris Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle
Paris, Éditions Robert Laffont, (1982). 24 cm 283, (1) pages, (2) feuillets, illustré. Broché. Pellicule de recouvrement de la couverture se détachant. Envoi signé par Weider à Michel Kinhead, 14 mai 1982.