61 books for « motocycliste »Edit

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‎COLLECTIF‎

Reference : R110153950

(1957)

‎MOTO REVUE N° 1350 - Un pays en pleine évolution motocycliste, le Japon, Le parc motocycliste européen, Il s'en invente, des choses, un dispositif d'auto allumage pour moeurs deux et quatre temps, Un facteur de sécurité : la grosse cylindrée‎

‎BUREAU DE LA REVUE. 20 juillet 1957. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 805 à 830. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : Un pays en pleine évolution motocycliste, le Japon, Le parc motocycliste européen, Il s'en invente, des choses, un dispositif d'auto allumage pour moeurs deux et quatre temps, Un facteur de sécurité : la grosse cylindrée, A Spa, de trop nombreux absents donnent une tournure inattendue aux championnas du monde Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR19.80 (€19.80 )

‎Revue Technique Touristique Motocycliste - Revue mensuelle illustrée - VILLEMINOT, Jacques (Directeur)‎

Reference : 115005

(1958)

‎Revue Technique Touristique Motocycliste N° 137 : Essai de la Combinette Zundapp - L'outillage à main - Notre étude mensuelle, les Tiger-Cub Triumph - Les lois de la route - Clefs de Thiers - Sports et technique 1958 - Calage de la distribution - ...‎

‎ 1958 N° 137 - Juin 1958 - Petit in-4, broché couverture illustrée - 56 pages - Nombreuses illustrations et reproductions photographiques en N&B‎


‎Bon état - Couverture quelque peu frottée ‎

Phone number : 04 78 38 32 46

EUR30.00 (€30.00 )

‎Collectif‎

Reference : xl107

(1953)

‎Revue technique motocycliste n°64, juin 1953‎

‎Revue technique motocycliste Broché 1953 In-4 (21x27 cm), broché, 1er plat illustré, Revue technique motocycliste n°64, juin 1953, 59 pages, photographies noir et blanc dans le texte ; dos, coiffes, coins et bords frottés, pliures aux coins et sur le 1er plat, état très correct. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.‎


Abraxas-Libris - Bécherel
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Phone number : 33 02 99 66 78 68

EUR10.50 (€10.50 )

‎REVUE TECHNIQUE MOTOCYCLISTE. ‎

Reference : 8092

‎Revue Technique Motocycliste. Février 1948 - Novembre 1956.‎

‎ Revue mensuelle in-4°, couverture en couleur, 36pp. ou plus par numéro, illustrée de très nombreux schémas dans ou hors texte en noir, avec publicités en noir ou en couleurs. Ensemble de 60 numéros ( dont 1 double) conservés en 5 reliures cartonnées à crochets, de l'éditeur, de couleur grenat, titre doré au dos. ‎


‎ Ensemble constitué comme suit, à l' intérieur des reliures : VOL. 1: nos 2, 6, 11, 20-21, 14, 27, 28, 32, 33, 34, 13, 35, soit 12 numéros./ VOL. 2 : nos 36 à 42, puis 43, 44, 45, 51, 46, soit 12 numéros. / VOL. 3 : nos 47 à 55, et 57 à 59, soit 12 numéros./ VOL. 4 : nos 98, 99 ( 2 ex.), 100 à 110, soit 14 numéros , dont 1 double. / VOL. 5. : nos 111 à 118, puis 120, 122, soit 10 numéros. Ensemble assez rare de cette revue recherchée. Exemplaire ayant souvent été consulté et utilisé dans un atelier de mécanique. Il a été annoté à l' intérieur des reliures, sur les couvertures ou à l'intérieur des revues, des couvertures ou feuillets sont parfois tachés, avec quelques déchirures ou froissement sans manques. ( CHT13). ‎

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Phone number : 33 (0)2 54 49 05 62

EUR295.00 (€295.00 )

Reference : 18601

(1954)

‎"Revue Technique Motocycliste -Salon 1954"‎

‎"1954. Paris Revue Technique Motocycliste octobre 1954 n°86 - Broché 21 cm x 27 cm 87 pages+ nombreuses publicités photos et ills noir & blanc - Numéro spécial consacré au salon 1954 et particulièrement à la Z 22 C Motobécane la 250 cc Peugeot ...- Très bon état" ‎


Librairie Sedon - Rochefort

Phone number : 06 19 22 96 97

EUR30.00 (€30.00 )

‎Tran-Duc Patrick ; Bussillet ; Jacques‎

Reference : 108486

(2012)

ISBN : 2953266488 9782953266481

‎1913- 2013 Cent ans d'histoire et de passion du sport motocycliste‎

‎RTL, Respectons La Terre 2012 In-4 relié. Jaquette en très bon état. 240 pages. Bon état d’occasion.‎


‎Ouvrage réalisé avec la Fédération Française de Motocyclisme Bon état d’occasion ‎

Librairie de l'Avenue - Saint-Ouen

Phone number : 01 40 11 95 85

EUR27.00 (€27.00 )

‎COLLECTIF‎

Reference : R110153982

(1958)

‎MOTO REVUE N° 1382 - Le code de la route en abrégé, Le sport motocycliste au calendrier, Dans le cadre de la recherche de la protection de série, une marque anglaise aopte le carénage : la 250 cc royal - enfield airflow, En regardant d'un peu plus près‎

‎BUREAU DE LA REVUE. 15 mars 1958. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 251 à 268. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : Le code de la route en abrégé, Le sport motocycliste au calendrier, Dans le cadre de la recherche de la protection de série, une marque anglaise aopte le carénage : la 250 cc royal - enfield airflow, En regardant d'un peu plus près, la 175 guzzi lodola Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR19.80 (€19.80 )

‎COLLECTIF‎

Reference : R110154037

(1959)

‎MOTO REVUE N° 1437 - L'Espagne motocycliste 1959 : une réalité bien vivante, l'industrie, en pleine expansion, s'appuie sur le sport, La Re 250 M.Z. au travers de la saison 1958, Technique cross de début de saison, Le sport, autour du G.P. de France‎

‎BUREAU DE LA REVUE. 18 avril 1959. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 381 à 406. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : L'Espagne motocycliste 1959 : une réalité bien vivante, l'industrie, en pleine expansion, s'appuie sur le sport, La Re 250 M.Z. au travers de la saison 1958, Technique cross de début de saison, Le sport, autour du G.P. de France de vitesse Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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EUR19.80 (€19.80 )

‎COLLECTIF‎

Reference : R110154115

(1960)

‎MOTO REVUE N° 1515 - Les nouveautés du salon, Le cross - Remi Julienne vers les grands prix ?, L'antiparasitage de nos motos, Au musée français de l'automobile, une importante section moto, La plus grande compétition motocycliste hivernale en France‎

‎BUREAU DE LA REVUE. 12 novembre 1960. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 1221 à 1242. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : Les nouveautés du salon, Le cross - Remi Julienne vers les grands prix ?, L'antiparasitage de nos motos, Au musée français de l'automobile, une importante section moto, La plus grande compétition motocycliste hivernale en France, A propos de velocette et de son boss Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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EUR19.80 (€19.80 )

‎Collectif‎

Reference : RO30348788

(1988)

‎Armes Militaria, Spécial n°4, N°31 à 34 + 37. Le fusilier motocycliste de cavalerie, 1939-40, par François Vauvillier - Le soldat soviétique 1941-45, par Gérard Gorokhoff - L'officier de Sturmgeschütze, par Jean de Lagarde - etc‎

‎Histoire et Collections. 1988. In-4. Cartonné. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Papier jauni. 50 + 51 + 51 + 51 + 50 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc et en couleurs, dans et hors texte. Texte sur plusieurs colonnes.. . . . Classification Dewey : 355.021-Militaria‎


‎1 volume. N°31 : Le fusilier motocycliste de cavalerie, 1939-40, par François Vauvillier. N°32 : Le soldat soviétique 1941-45, par Gérard Gorokhoff. N°33 : L'officier de Sturmgeschütze, par Jean de Lagarde. N°34 : Mourmelon 1988, d'une guerre à l'autre, par François Vauvillier. N°37 : Les insignes de la cavalerie d'Afrique, par Jean de Lassalie. Classification Dewey : 355.021-Militaria‎

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EUR49.50 (€49.50 )

‎COLLECTIF‎

Reference : RO30219260

(1937)

‎LE MIROIR DES SPORTS - N° 960 - 24 juillet 1937 / Roger Lapébie, escorté par une troupe cycliste et motocycliste, traverse le pont de Bordeaux / l'abandon, sans précédent, de toute une équipe nationale, à jeté la perturbation sur l'étape de Bordeaux...‎

‎AU BUREAU DE LA REVUE. 1937. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 14 pages - nombreuses photos en noir et blanc dans et hors texte - texte sur plusieurs colonnes. . . . Classification Dewey : 796.1-Sports divers‎


‎Sommaire : Roger Lapébie, escorté par une troupe cycliste et motocycliste, traverse le pont de Bordeaux / l'abandon, sans précédent, de toute une équipe nationale, à jeté la perturbation sur l'étape de Bordeaux / de Bordeaux al a Rochelle sans les Belges... Classification Dewey : 796.1-Sports divers‎

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EUR29.80 (€29.80 )

‎COLLECTIF‎

Reference : R110153503

(1947)

‎MOTO REVUE N° 903 - La tragédie de l'huile, Au salon 1947, Quelques moteurs auxiliaires présentés au Salon, L'orientation actuelle de l'industrie motocycliste par H.P. Borestroke, A Montlhery lors de la journée de l'A.G.A.C.I.‎

‎BUREAU DE LA REVUE. 7 NOVEMBRE 1947. In-4. Broché. Etat passable, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 240 à 255 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte. Manques partiels alterant la lecture de la page 240 à la dernière page.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : La tragédie de l'huile, Au salon 1947, Quelques moteurs auxiliaires présentés au Salon, L'orientation actuelle de l'industrie motocycliste par H.P. Borestroke, A Montlhery lors de la journée de l'A.G.A.C.I. - Les français battent les anglais après un match très spectaculaire Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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EUR10.95 (€10.95 )

‎COLLECTIF‎

Reference : RO30221413

(1928)

‎MATCH L'INTRAN N° 113 - 6 novembre 1928 / football : Amiens a battu le stade français / les sapeurs-pompiers de Paris corps d'élite sportifs jusqu'à l'héroïsme / Robert Houdet grand ailier de rugby / le récent voyage de Sexé motocycliste vendéen...‎

‎AU BUREAU DE LA REVUE. 1928. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 14 pages augmentées de nombreuses photos en noir et blanc et/ou monochrome dans et hors texte. . . . Classification Dewey : 796.1-Sports divers‎


‎Sommaire : football : Amiens a battu le stade français / les sapeurs-pompiers de Paris corps d'élite sportifs jusqu'à l'héroïsme / Robert Houdet grand ailier de rugby / le récent voyage de Sexé motocycliste vendéen... Classification Dewey : 796.1-Sports divers‎

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EUR29.80 (€29.80 )

‎COLLECTIF‎

Reference : R110183278

(1958)

‎L'ACTION AUTOMOBILE ET TOURISTIQUE - Le 40e salon de Turin, Le point sur la construction motocycliste française, La motorisation agricole est un bienfait social, Le tour de Corse, Pour la 1er fois a Paris, s'est couru un grand prix automobile pour enfants‎

‎L'AUTOMOBILE CLUB DE FRANCE. DECEMBRE 1958. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 43 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 629.2-Automobile‎


‎Sommaire : Le 40e salon de Turin, Le point sur la construction motocycliste française, La motorisation agricole est un bienfait social, Le tour de Corse, Pour la 1er fois a Paris, s'est couru un grand prix automobile pour enfants, Vous avez 2 pieds pourquoi 3 pédales? Classification Dewey : 629.2-Automobile‎

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‎COLLECTIF‎

Reference : R300227537

(1988)

‎ARMES MILITARIA MAGAZINE N°31 AVRIL 1988 - Le fusilier motocycliste de cavalerie 1939-40 - le side car Gnome-Rhone type AX2 - la feldmutze de l'armée de terre allemande 1934-42 - les sabres 1822 polonais - dodge story (4) - les zouaves d'aout 1914 etc.‎

‎ARMES MILITARIA MAGAZINE. 1988. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 50 pages - nombreuses illustrations en couleurs et en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 355.021-Militaria‎


‎Sommaire: : Le fusilier motocycliste de cavalerie 1939-40 - le side car Gnome-Rhone type AX2 - la feldmutze de l'armée de terre allemande 1934-42 - les sabres 1822 polonais - dodge story (4) - les zouaves d'aout 1914 - le stahlheim 1915-1918 (1) - les goums marocains et leurs insignes - le pilote de chasse de la 9e air force 1944 . Classification Dewey : 355.021-Militaria‎

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EUR29.80 (€29.80 )

‎COLLECTIF‎

Reference : R300226474

(1979)

‎TAM MAGAZINE DES ARMEES N° 373 MAI 1979 - Archipel 79 j'y étaits - adresse et précision le 1er rallye motocycliste de la gendarmerie des Alpes Maritimes - ski au CRIS - une préparation militaire terre à Epinal - la 33e DMT à Nantes etc.‎

‎TAM. 1979. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 38 pages - quelques illustrations en couleurs et en noir et blanc.. . . . Classification Dewey : 355.021-Militaria‎


‎Sommaire : Archipel 79 j'y étaits - adresse et précision le 1er rallye motocycliste de la gendarmerie des Alpes Maritimes - ski au CRIS - une préparation militaire terre à Epinal - la 33e DMT à Nantes - le peloton de renseignement de la Roche sur Yon - l'assaut du 1er RCA - un saut pour exentia - mirages sur la mer - l'opération amphibie - le 2/11 Vosges à Saint Nazaire - quand les marsouins passent à l'offensive - dans les rangs de la 15e DI - les F1 en reconnaissance - evasion 79 - Manche Océan la longue marche des fusiliers marins - matériels de l'armée de terre etc. Classification Dewey : 355.021-Militaria‎

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EUR24.90 (€24.90 )

‎COLLECTIF‎

Reference : R300227188

(1977)

‎UNIFORMES LES ARMEES DE L'HISTOIRE N° 37 MAI JUIN 1977 - Le motocycliste français 1939-1940 par François Vauvillier - les chasseurs à cheval 1809-1815 par Rigo - l'homme de 1810 le carabinier cuirasse par Michel Pétard - le fantassin du second empire etc.‎

‎UNIFORMES. 1977. In-4. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Mouillures. 46 pages - quelques traces de mouillures à l'intérieur de l'ouvrage sans réelle conséquence sur la lecture - nombreuses illustrations en couleurs et en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 355.021-Militaria‎


‎Sommaire : Le motocycliste français 1939-1940 par François Vauvillier - les chasseurs à cheval 1809-1815 par Rigo - l'homme de 1810 le carabinier cuirasse par Michel Pétard - le fantassin du second empire en crimée et italie 1854-1859 par Louis Delpérier - savoir collectionner par Jean Guilbart - photo figurines. Classification Dewey : 355.021-Militaria‎

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EUR24.90 (€24.90 )

‎Lacome (C)‎

Reference : 5840

‎Vade-mecum du motocycliste‎

‎ moto revue sans date (vers 1950) In8 reliure éditeur 357 pages nombreuses publicité dans le texte‎


‎très bon état ‎

Le Monde à l'Envers - Montargis

Phone number : 02 38 89 39 31

EUR80.00 (€80.00 )

‎BART, Léo ; BART, Jean ; BART, Charlemagne‎

Reference : 55268

(1915)

‎Belle correspondance personnelle et originale, adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917. Jean Bart fut successivement matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car pour l'essentiel non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917‎

‎94 cartes et LAS, auxquelles nous joignons quelques photos et quelques lettres postérieures. Belle correspondance personnelle adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917, adressée à Jean Bart, matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917‎


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