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‎MEYER - RISTELHUBER - GOLBERY, Marie-Philippe-Aimé de.‎

Reference : 403

(1884)

‎Photographie ancienne de Marie-Philippe-Aimé de GOLBERY, accompagnée de sa biographie. Biographies Alsaciennes.‎

‎Colmar Ant. Meyer 1884 In-8 - 15x22,5cm (portrait : 10x13,5cm). Sans reliure. 2ff + 1 Photographie. ‎


‎Photographie originale contrecollée sur carton fort légendé, accompagnée de la biographie du sujet.Portrait réalisé par Antoine Meyer, photographe à Colmar, et extrait de "Biographies Alsaciennes" édité en 1884. Photo d'après une peinture. Marie Philippe Aimé de Golbéry, né à Colmar le 1er mai 1786, mort le 5 juin 1854 à Kientzheim, est un magistrat, historien et homme politique. Président du Collège électoral du Haut-Rhin en 1831, conseiller général du canton de Kaysersberg (1833-1848), secrétaire du Conseil général du Haut-Rhin, etc. Il a écrit de nombreux travaux sur l'histoire, la philologie, l'archéologie et l'architecture. Membre de la Société d'émulation de Colmar dès 1808, il dirige le recensement des édifices historiques d'Alsace. Entre autres, il est nommé Inspecteur divisionnaire des Monuments historiques en 1835.FRAIS POSTAUX DEGRESSIFS POUR L'ENVOI DE PLUSIEURS PHOTOGRAPHIES. Des rousseurs marginales, sinon bel état de conservation. Clients Livre Rare Book : Les frais postaux indiqués sont ceux pour la France métropolitaine et la Corse, pour les autres destinations, merci de contacter la librairie pour connaître le montant des frais d'expédition, merci de votre compréhension. Livre Rare Book Customers : The shipping fees indicated are only for France, if you want international shipping please contact us before placing your order, thank you for your understanding. ‎

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Reference : alb2778a870d21b35c4

‎The Chosen of Destiny-Maria Bashkirtseff. / Le Elule du Destin Marie Bashkirtsef‎

‎The Chosen of Destiny-Maria Bashkirtseff. / Le Elule du Destin Marie Bashkirtseff. In Russian (ask us if in doubt)/Izbrannitsa sud'by-Mariya Bashkirtseva./ LElue du Destin Marie Bashkirtseff.. description: In Russian (ask us if in doubt).Second Edition. In Russian and French. Special Book 2018. 320 p. We have thousands of titles and often several copies of each title may be available. Please feel free to contact us for a detailed description of the copies available. SKUalb2778a870d21b35c4‎


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Reference : albfcfcd64a89330637

‎Dupuy Marie-Bernadette. Orphan in 3 Volumes. Orphan. Soft Soul. In the Palms of ‎

‎Dupuy Marie-Bernadette. Orphan in 3 Volumes. Orphan. Soft Soul. In the Palms of Destiny. In Russian (ask us if in doubt)/Dyupyui Mari-Bernadett. Sirotka v 3 tomakh. Sirotka. Nezhnaya dusha. V ladonyakh sud'by.. description: In Russian (ask us if in doubt).Novels Translated from French by Natalia Chistyukhina. Kharkiv Family Leisure Club 2011, 2012, 2014, 480 + 640 + 704 p. We have thousands of titles and often several copies of each title may be available. Please feel free to contact us for a detailed description of the copies available. SKUalbfcfcd64a89330637‎


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Reference : albee5411f6e7fa1b83

‎Jean-Marie Perouse de Monclos. Versailles. In Russian (ask us if in doubt)/Zhan-‎

‎Jean-Marie Perouse de Monclos. Versailles. In Russian (ask us if in doubt)/Zhan-Mari Peruz de Monklo. Versal'.. description: In Russian (ask us if in doubt).The Great Palaces of the World by M. Slovo / SLOVO 2001 424 p. We have thousands of titles and often several copies of each title may be available. Please feel free to contact us for a detailed description of the copies available. SKUalbee5411f6e7fa1b83‎


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‎[Librairie Le Minotaure] - ‎ ‎CHRISTIN, Anne-Marie ; CLERC, Philippe ; JACNO, Marcel ; LAZAREVSKY, Danièle ; SUBLET, Jacqueline ; TORHOIT, Marie-Noëlle‎

Reference : 53978

(1974)

‎L'Immédiate (Du numéro 1 de novembre 1974 au numéro double 28-29 été-automne 1981 : Complet des 29 parus) [ Détail des 29 numéros ] N° 1, novembre 1974 : Philippe Soupault, Angèle Vannier, Marcel Jacno, Evelyn Ortlieb, Daniel Grojnowski, Jean-Pierre Ghysels, Anne-Marie Christin, Jean-Pierre Jasz, Philippe Clerc, Jacqueline Sublet, Danièle Lazarevsky, Monique Boucher, Georges Couroupos, Marie-Noëlle de Torhout, Ernesto Lopez-Pino, Georgette Simon ; N° 2, hiver 1974-1975 : Elbio Mazet, Julio Moncada, Santenac, Christiane Raiga, Michel Chaudière, Léon Zack, Michel Auphan, André Vigneau, Michelle Thirion, Francine Van Hove, Louis Simon, Abdallah Benanteur, Danièle Lazarevsky, Jean-Marie Durand, Morio Taouroumi, Anne Spiteri, Georges Robert ; N° 3 : printemps 1975 : Dussaut, Jean B. Delahaye, Carlo Berte, Giuliano Modesti, Werner Lambersy, Danièle Lazarevsky, Monique Boucher, Enrique Chifflet, Georges Robert, Jeanne Bessière, Marie-Noëlle de Torhout, Ernesto Lopez-Pino, Marcel Jacno, Angèle Vannier, Georgette Simon, Anna Shanon ; N° 4, été 1975 : L'écriture et l’image dans le monde arabe. Par Jacqueline Sublet. Choix de textes et traduction : Georges Douillet. Calligraphies originales : Ghani Alani ; N° 5, automne 1975 : Les passages de Paris. Daniel Mauroc, Philippe Soupault, Jean-Vincent Verdonnet, Daniel Grojnowski, Geneviève Fourcade, Michelle Bloch, Denise Borias, Anne-Marie Christin, Gaëtan Picon. Danièle Lazarevsky, Photographies ; N° 6, hiver 1975-1976 : Typo-graphies. Guy Lévis-Mano, Adrian Frutiger, Michel Butor, Raymond Gid, René Lamoureux, Marcel Jacno, Jean Larcher, Pierre Duplan, Henri Pichette, Gérard Blanchard, Maximilien Vox, Massin, Jacques Garamond. Réalisation : Marcel Jacno ; N° 7, printemps 1976 : Bertrand Halff, Evelyn Ortlieb, Werner Lambersy, Francine Van Hove, Salbris, Pierre Maillard, Roger Cornaille, Simone Le Bret, Jean-Paul Hameury, Georgette Simon, Paolo Pozzo, Marfaing, Garicia Mulet, Béatrix Balteg, Marie-Noëlle de Torhout, Françoise Mairey, Osolin, Pierre Daboval, Jacques Lepage, Danièle Lazarevsky : N° 8, été 1976 : Sumer. Choix de textes et traductions : Jean-Marie Durand. François Sagnes, Photographies ; N° 9, automne 1976 : Marc Soriano, Bestiaire. Danièle Lazarevsky, Photographies ; N° 10, hiver 1976-1977 :Agnès Vannier, L’écharpe rouge et les chiens bleus ; N° 11-12, printemps-été 1977 : Manifesti. Affiches italiennes. Les élections de juin 1976. Marcel Jacno, Paul-Michel Villa, Enrico Fulchignoni, Boni de Torhout. Paul-Michel Villa, Photographies ; N° 13, automne 1977: Assemblages. Pietro Vanni, Liliane Giraudon, Agathe Eristov Gengis Khan, Alexandre Chem, Françoise Rando, Anne-Marie Christin, Pierre Cordier, Philippe Clerc, André Stas, Françoise Mairey, Lariega, Marcel Bénabou, Paul Fournel, Harry Mathews, Marie-Nöelle de Torhout, Daniel Giffar ; N° 14, hiver 18977-1978: Victor Segalen. Claudine Bouretz, Eliane Formentelli, Photographies et montage ; N° 15-16, printemps-été 1978 : Raymond Gid. Rencontres d’art-thérapie. Avec linogravure et dessin en milieu psychiatrique, présentation et réalisation de Raymond Gid ; N° 17, automne 1978 : Toughra. Paraphes des souverains ottomans. Réalisation Jacqueline ; N° 18, hiver 1978-1979 : Philippe Clerc, Journal mai-décembre 77 ; N° 19, printemps 1979 : Tentativa de Vida y muerte de un espantapajaros [Vie et mort d’un épouvantail] Réalisation Antonio García-Múlet ; N° 20, été 1979 : Chiffres : Roger Excoffon, Jose Mendoza y Almeida, Adrian Frutiger, Jacques Garamond, Claude Mediavilla, Marcel Jacno, Jean Larcher. Réalisation Marcel Jacn ; N° 21, automne 1979 : Denise Borias, Poèmes. Réalisation Evelyn Ortlieb ; N° 22, hiver 1979-1980 : Marc Soriano, Le Doppelgänger. Nouvelle. Danièle Lazarevsky. Photographies. ; N° 23-24, printemps-été 1980 : Fragments d’une musique immédiate de la Modern Art Agency. Milada Cerny, Hermine Vogl-Sernheim, Emmy Stihl, Heidi Wenzel, Andréa Camenisch, Margrit Wyss, Rosalba di Lorenzo, Myriam Seele, Yolanda Myers, Roberto Altmann. Partitions mises en lumière par Brigitte Bürki à la demande de Anne-Marie Christin ; N° 25, automne 1980 : Philippe Treuschel, Écrits-Photos ; N° 26, hiver 1980-1981 : Calligraphie japonaise. Réalisation Elisabeth Frolet ; N° 27, printemps 1981 : Jean Laude, Le dernier mot. Poème. Mechtilt. Noirs ; N° 28-29, été-automne 1981 ; Daniel Giffard, Yves Mairot, Michel Arouimi, Evlyn Ortlieb, Philippe Treuschel, Anne-Marie Christin, Gabrielle di Falco, Antonio García-Múlet, Francine Van Hove, Lucette Pelillo, Hélène Garcia Léon, Georgette Simon, Anne Spiteri, Mechtilt, Jean Laude, Philippe Clerc, Bernard Dubourg, Danièle Lazarevsky, Jean-Pierre Jasz.‎

‎29 numéros (dont 4 doubles) en 24 vol. in-4 br. (thermocollés), Librairie Le Minotaure, 1974-1981. Détail des numéros : N° 1, novembre 1974 : Philippe Soupault, Angèle Vannier, Marcel Jacno, Evelyn Ortlieb, Daniel Grojnowski, Jean-Pierre Ghysels, Anne-Marie Christin, Jean-Pierre Jasz, Philippe Clerc, Jacqueline Sublet, Danièle Lazarevsky, Monique Boucher, Georges Couroupos, Marie-Noëlle de Torhout, Ernesto Lopez-Pino, Georgette Simon ; N° 2, hiver 1974-1975 : Elbio Mazet, Julio Moncada, Santenac, Christiane Raiga, Michel Chaudière, Léon Zack, Michel Auphan, André Vigneau, Michelle Thirion, Francine Van Hove, Louis Simon, Abdallah Benanteur, Danièle Lazarevsky, Jean-Marie Durand, Morio Taouroumi, Anne Spiteri, Georges Robert ; N° 3 : printemps 1975 : Dussaut, Jean B. Delahaye, Carlo Berte, Giuliano Modesti, Werner Lambersy, Danièle Lazarevsky, Monique Boucher, Enrique Chifflet, Georges Robert, Jeanne Bessière, Marie-Noëlle de Torhout, Ernesto Lopez-Pino, Marcel Jacno, Angèle Vannier, Georgette Simon, Anna Shanon ; N° 4, été 1975 : L'écriture et l’image dans le monde arabe. Par Jacqueline Sublet. Choix de textes et traduction : Georges Douillet. Calligraphies originales : Ghani Alani ; N° 5, automne 1975 : Les passages de Paris. Daniel Mauroc, Philippe Soupault, Jean-Vincent Verdonnet, Daniel Grojnowski, Geneviève Fourcade, Michelle Bloch, Denise Borias, Anne-Marie Christin, Gaëtan Picon. Danièle Lazarevsky, Photographies ; N° 6, hiver 1975-1976 : Typo-graphies. Guy Lévis-Mano, Adrian Frutiger, Michel Butor, Raymond Gid, René Lamoureux, Marcel Jacno, Jean Larcher, Pierre Duplan, Henri Pichette, Gérard Blanchard, Maximilien Vox, Massin, Jacques Garamond. Réalisation : Marcel Jacno ; N° 7, printemps 1976 : Bertrand Halff, Evelyn Ortlieb, Werner Lambersy, Francine Van Hove, Salbris, Pierre Maillard, Roger Cornaille, Simone Le Bret, Jean-Paul Hameury, Georgette Simon, Paolo Pozzo, Marfaing, Garicia Mulet, Béatrix Balteg, Marie-Noëlle de Torhout, Françoise Mairey, Osolin, Pierre Daboval, Jacques Lepage, Danièle Lazarevsky : N° 8, été 1976 : Sumer. Choix de textes et traductions : Jean-Marie Durand. François Sagnes, Photographies ; N° 9, automne 1976 : Marc Soriano, Bestiaire. Danièle Lazarevsky, Photographies ; N° 10, hiver 1976-1977 :Agnès Vannier, L’écharpe rouge et les chiens bleus ; N° 11-12, printemps-été 1977 : Manifesti. Affiches italiennes. Les élections de juin 1976. Marcel Jacno, Paul-Michel Villa, Enrico Fulchignoni, Boni de Torhout. Paul-Michel Villa, Photographies ; N° 13, automne 1977: Assemblages. Pietro Vanni, Liliane Giraudon, Agathe Eristov Gengis Khan, Alexandre Chem, Françoise Rando, Anne-Marie Christin, Pierre Cordier, Philippe Clerc, André Stas, Françoise Mairey, Lariega, Marcel Bénabou, Paul Fournel, Harry Mathews, Marie-Nöelle de Torhout, Daniel Giffar ; N° 14, hiver 18977-1978: Victor Segalen. Claudine Bouretz, Eliane Formentelli, Photographies et montage ; N° 15-16, printemps-été 1978 : Raymond Gid. Rencontres d’art-thérapie. Avec linogravure et dessin en milieu psychiatrique, présentation et réalisation de Raymond Gid ; N° 17, automne 1978 : Toughra. Paraphes des souverains ottomans. Réalisation Jacqueline ; N° 18, hiver 1978-1979 : Philippe Clerc, Journal mai-décembre 77 ; N° 19, printemps 1979 : Tentativa de Vida y muerte de un espantapajaros [Vie et mort d’un épouvantail] Réalisation Antonio García-Múlet ; N° 20, été 1979 : Chiffres : Roger Excoffon, Jose Mendoza y Almeida, Adrian Frutiger, Jacques Garamond, Claude Mediavilla, Marcel Jacno, Jean Larcher. Réalisation Marcel Jacn ; N° 21, automne 1979 : Denise Borias, Poèmes. Réalisation Evelyn Ortlieb ; N° 22, hiver 1979-1980 : Marc Soriano, Le Doppelgänger. Nouvelle. Danièle Lazarevsky. Photographies. ; N° 23-24, printemps-été 1980 : Fragments d’une musique immédiate de la Modern Art Agency. Milada Cerny, Hermine Vogl-Sernheim, Emmy Stihl, Heidi Wenzel, Andréa Camenisch, Margrit Wyss, Rosalba di Lorenzo, Myriam Seele, Yolanda Myers, Roberto Altmann. Partitions mises en lumière par Brigitte Bürki à la demande de Anne-Marie Christin ; N° 25, automne 1980 : Philippe Treuschel, Écrits-Photos ; N° 26, hiver 1980-1981 : Calligraphie japonaise. Réalisation Elisabeth Frolet ; N° 27, printemps 1981 : Jean Laude, Le dernier mot. Poème. Mechtilt. Noirs ; N° 28-29, été-automne 1981 ; Daniel Giffard, Yves Mairot, Michel Arouimi, Evlyn Ortlieb, Philippe Treuschel, Anne-Marie Christin, Gabrielle di Falco, Antonio García-Múlet, Francine Van Hove, Lucette Pelillo, Hélène Garcia Léon, Georgette Simon, Anne Spiteri, Mechtilt, Jean Laude, Philippe Clerc, Bernard Dubourg, Danièle Lazarevsky, Jean-Pierre Jasz.‎


‎Très rare série parfaitement complète des 29 numéros (dont 4 doubles) publiés. Créée par le professeur Anne-Marie Christin (1942-2014), normalienne et agrégée de lettres classiques, cette revue interroge en profondeur les relations entre l'image et l'écriture. Bon ensemble (accroc en couv. du numéro 1, bel état par ailleurs) pour cette série introuvable ainsi bien complète.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR1,550.00 (€1,550.00 )

‎Collectif ; BOSSARD ; COLONI ; EYT ; PERNOUD, Régine ; LAURENTIN, René ; etc...‎

Reference : 40890

(1987)

‎Conférences mariales données à Notre-Dame des Victoires 1983-1985 [ Contient notamment : ] Que signifie l'expression "Notre Dame" ? - La Vierge de Vladimir, la Vierge du Don - Brève histoire de la prière du Rosaire - Marie dans l'Eglise antique - Marie, mère de la Réconciliation - Les grands chantres de Marie : Saint Bernard et le courant cistercien - Saint Louis-Marie Grignon de Montfort - Saint Maximilien Kolbe - Péguy - Lourdes - Pontmain - La Salette - Beauraing - Marie et le Père d'Alzon - Marie et Sainte Thérèse de Lisieux - Marie et Don Bosco - Marie et les frères Ratisbonne - Marie et Anne-Marie Javouhey - Marie et Libermann - Marie et le Père Hermann Cohen.‎

‎1 vol. in-8 dactylographié sous reliure spirale, 10/07/87 [ Contient notamment : ] Que signifie l'expression "Notre Dame" ? - La Vierge de Vladimirn la Vierge du Don - Brève histoire de la prière du Rosaire - Marie dans l'Eglise antique - Marie, mère de la Réconciliation - Les grands chantres de Marie : Saint Bernard et le courant cistercien - Saint Louis-Marie Grignon de Montfort - Saint Maximilien Kolbe - Péguy - Lourdes - Pontmain - La Salette - Beauraing - Marie et le Père d'Alzon - Marie et Sainte Thérèse de Lisieux - Marie et Don Bosco - Marie et les frères Ratisbonne - Marie et Anne-Marie Javouhey - Marie et Libermann - Marie et le Père Hermann Cohen.‎


‎Bon état (signature en haut de couv.)‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR89.00 (€89.00 )

‎MARIE-THÈRESE d'Autriche et MARIE-ANTOINETTE.‎

Reference : 121335

(1933)

‎Correspondance entre Marie-Thérèse et Marie-Antoinette. Présentée et annotée par Georges Girard.‎

‎ Grasset, 1933, in-8°, 333 pp, imprimé sur alfax Navarre, reliure demi-chagrin fauve, dos à 4 nerfs soulignés à froid, pièces d'auteur et de titre chagrin vert et vermillon, fleurons dorés, couv. illustrée conservée (rel. de l'époque), bon état‎


‎Correspondance de 1770 à 1780. — "On sait que le seul texte authentique de la correspondance de Marie-Antoinette avec sa mère figure dans le recueil publié d'abord à Vienne en 1864 par le chevalier d'Arneth, et ensuite dans le recueil plus vaste publié en 1874 par MM. d'Arneth et Geffroy (Correspondance secrète entre Marie-Thérèse et le comte de Mercy-Argenteau avec les lettres de Marie-Thérèse et de Marie-Antoinette). M. Georges Girard a cru bon de rééditer la correspondance entre la mère et la fille parce que les publications précédentes sont aujourd'hui difficiles à se procurer, et surtout parce qu'elles ne sont pas absolument complètes. Outre les lacunes dues à la perte de certaines lettres, les éditeurs avaient omis deux lettres, l'une de Marie-Thérèse du 30 juillet 1775, l'autre de Marie-Antoinette du 30 août 1777, et qu'ils avaient en outre supprimé dans les autres certains passages. Le fait est dû à des soucis de convenance : la lettre de Marie-Thérèse est en effet un réquisitoire très vif contre la légèreté de sa fille et les Archives de Vienne n'en avaient pas permis la publication ; celle de Marie-Antoinette annonce à sa mère la consommation de son mariage. Les passages supprimés ailleurs sont la conséquence de l'omission de ces deux lettres. Or ces lacunes ne sont pas indifférentes. La préoccupation d'assurer la succession pour consolider l'alliance hante Marie-Thérèse, et, pour l'explication psychologique du caractère de Marie-Antoinette, la question de ses rapports conjugaux avec le roi est capitale. La publication de M. Georges Girard apporte donc une contribution très intéressante à l'histoire de Marie-Antoinette. Elle rendra service aux historiens et permettra au grand public de pénétrer dans l'intimité d'une des reines de France qui ont le plus suscité la curiosité." (Albert Girard, Revue d’Histoire moderne et contemporaine, 1934) — "Ce livre doit être considéré comme le complément naturel de la magistrale biographie de Marie-Antoinette par Stefan Zweig. Quelque chose comme ce que les érudits appellent un recueil de pièces justificatives. La correspondance de Marie-Thérèse et de Marie-Antoinette, sa fille, que l'on va trouver pour la première fois intégralement publiée ici, est en effet le texte essentiel sur lequel l'éminent écrivain autrichien s'est fondé pour bâtir sa psychologie de la reine de France" (G. Girard) ‎

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EUR60.00 (€60.00 )

‎COLLECTIF. [CARDINAL DE ROHAN, COMTESSE DE LA MOTTE-VALOIS, COMTE DE CAGLIOSTRO, RETAUT DE VILLETTE, FAGES, LE GUAY D'OLIVA, VAUCHER, LOQUE, BETTE D'ETIENVILLE, ETC.]‎

Reference : AMO-3060

(1786)

‎AFFAIRE DU COLLIER DE LA REINE MARIE-ANTOINETTE. RECUEIL DE PIÈCES Cagliostro La Motte Valois‎

‎1. Mémoire pour Dame Jeanne de Saint-Remy de Valois épouse du Comte de La Motte. De l'imprimerie de Cellot, 1786 (1)-46 pages. 2. Mémoire pour le Comte de Cagliostro, accusé ; contre M. le Procureur Général, accusateur ; en présence de M. le Cardinal de Rohan, de la Comtesse de La Motte, et autres Co-assusés. De l'imprimerie de Lottin l’aîné, 1786 (février 1786). (3)-51 pages. 3. Requête au Parlement, [...], par le Comte de Cagliostro, [...] le 24 février 1786. De l'imprimerie de Lottin, Février 1786 7 pages. 4. Recueil de pièces authentiques, secrètes et intéressantes, pour servir d'éclaircissement à l'affaire concernant le Cardinal Prince de Rohan. s.l.n.d. (1786) 32 pages. 5. Mémoire pour la demoiselle Le Guay d'Oliva, fille mineure, émancipée d'âge, accusée, contre le Procureur Général, en présence de M. le Cardinal-Prince de Rohan, de la Dame de La Motte-Valois, du sieur de Cagliostro, et autres tous co-accusés. A Paris, chez P. G. Simon et Nyon, 1786 (1)-46 pages. 6. Défense à une accusation d'escroquerie. Mémoire à consulter et consultation. De l'imprimerie de L. Cellot, s.d. (1786) 30 pages. 7. Second Mémoire à consulter et Consultation pour Jean-Charles de Bette d'Etienville, bourgeois de Saint-Omer, en Artois ; détenu ès prisons du Châtelet, de Paris, accusé. De l'imprimerie de Cailleau, (Paris, 1786) (1)-29 pages. 8. Mémoire pour le sieur de Bette d'Etienville servant de réponse à celui de M. de Fages. A Paris, de l'imprimerie de Cailleau, 1786 (1)-30 pages. 9. Mémoire pour M. le Baron de Fages-Chaulnes, garde du corps de Monsieur, Frère du Roi, accusé, contre les sieurs Vaucher et Loque, marchands bijoutiers, accusateurs, et encore contre Monsieur le Procureur-Général. A Paris, de l'imprimerie de Prault, s.d. (1786) (1)-30 pages. 10. Réponse pour la Comtesse de Valois-La Motte, au mémoire du Comte de Cagliostro. A Paris, de l'imprimerie de Cellot, 1786 48 pages. 11. Second mémoire pour la Demoiselle Le Guay d'Oliva. Analyse et résultat des récolements et confrontations. A Paris, chez P. G. Simon et Nyon, s.d. (1786) 35 pages. 12. Requête au Parlement, par M. le Cardinal de Rohan. S.l.n.d. (1786) 35 pages 13. Mémoire pour les sieurs Vaucher, horloger, et Loque, bijoutier, accusateurs. Contre le sieur Bette-d'Etienville, le Baron de Fages-Chaulnes, et autres accusés. En présence de M. le Procureur Général. A Paris, de l'imprimerie de Prault, 1786 80 pages. 14. Mémoire pour Louis-René-Edouard de Rohan, Cardinal de la Sainte Eglise Romaine, évêque et prince de Strasbourg, landgrave d'Alsace, prince-état d'Empire, grand aumonier de France, commandeur de l'Ordre du Saint-Esprit, Proviseur de Sorbonne, etc., accusé, contre M. le Procureur Général, en présence de la Dame de La Motte, du sieur de Villette, de la Demoiselle D'Oliva, et du Comte de Cagliostro, co-accusés. A Paris, de l'imprimerie de Lottin, 1786 112 pages. 15. Sommaire pour la Comtesse de Valois-La Motte, accusée, contre M. le Procureur Général, accusateur, en présence de M. le Cardinal de Rohan, et autres co-accusés. A Paris, de l'imprimerie de L. Cellot, 1786 49 pages 16. Réflexions rapides pour M. le Cardinal de Rohan, sur le Sommaire de la Dame de La Motte. De l'imprimerie de Cl. Simon, s.d. (1786) 24 pages. 17. Requête pour le sieur Marc-Antoine Rétaux de Villette, ancien gendarme, accusé, contre M. le Procureur Général, accusateur, en présence de M. le Cardinal Prince de Rohan, de la Dame de La Motte-Valois, du sieur Cagliostro, de la Demoiselle d'Oliva et autres co-accusés. A Paris, de l'imprimerie de Simon & Nyon, 1786 14 pages. 18. Requête à joindre au Mémoire du Comte de Cagliostro. De l'imprimerie de Lottin, Mai 1786 8 pages. 19. Arrêt du Parlement du 31 mai 1786. A Paris, de l'imprimerie de Caude Simon, 1786 20 pages. Soit un ensemble de 19 pièces imprimées au format in-4. 2 volumes in-4 (24,5 x 18,5 cm), reliures pleine basane fauve de l'époque, dos à nerfs, pièces de titre et tomaison de maroquin vert. Reliure solides avec quelques petits défauts d'usage (coiffes, coins, épidermures sur les plats, petites galeries de vers). Intérieur du premier volume très frais. Le deuxième volume présente des mouillures marginales claires sans gravité (l'intégrité du papier n'est pas touchée). Collationné complet des pièces énumérées. Les pièces imprimées qui ne comportent pas de page de titre ne doivent pas en avoir.‎


‎Résumé de l'affaire : L'enfance de la comtesse de La Motte avait été des plus misérables. Depuis Henri II, la lignée était descendue au plus bas. Son père avait épousé une paysanne, qu’il laissa bientôt veuve. Jeanne était envoyée mendier sur les chemins par sa mère, en demandant « la charité pour une pauvre orpheline du sang des Valois ». Une dame charitable, la bonne marquise de Boulainvilliers, étonnée par cette histoire, prit des renseignements, et vérifications faites, entreprit les démarches pour lui obtenir une pension du roi, et lui fera donner une bonne éducation dans un couvent situé près de Montgeron. En 1780, Jeanne épouse à Bar-sur-Aube, un jeune officier d’apparence fort recommandable, Nicolas de La Motte, qui sert dans les gardes du corps du comte d’Artois, second frère du roi. Le ménage, peu après, se délivre de sa propre autorité le titre de comte et comtesse de La Motte. Jeanne ne se fait plus désormais appeler que comtesse de La Motte-Valois. À cette date, elle fait un voyage à Saverne, rejoindre Mme de Boulainvilliers qui lui présente son ami le cardinal Louis de Rohan-Guéménée, auquel elle fait appel financièrement pour sortir de la misère avec laquelle elle continue de se débattre plus ou moins. C’est là aussi qu’elle rencontre le mage Giuseppe Balsamo, qui se fait appeler comte de Cagliostro. Celui-ci gravite aussi autour du cardinal de Rohan, en lui soutirant de l’argent en échange de prétendus miracles. Il changerait, entre autres, le plomb en or et la silice en diamant ! Profitant de ce que Versailles est largement accessible au public, Mme de La Motte tente de se mêler à la Cour. Elle parvient à convaincre le cardinal qu’elle a rencontré la reine Marie-Antoinette et qu’elle en est même devenue l’amie intime. Et l’amant de Mme de La Motte, Marc Rétaux de Villette (un ami de son mari), possédant un utile talent de faussaire, imite parfaitement l’écriture de la reine. Il réalise donc pour sa maîtresse de fausses lettres signées Marie-Antoinette de France (alors qu’elle ne signait, bien sûr, que Marie-Antoinette, les reines de France ne signaient que de leur prénom, et en tout état de cause, Marie-Antoinette n’était pas de France mais de Lorraine d’Autriche...). La comtesse va ainsi entretenir une fausse correspondance, dont elle est la messagère, entre la reine et le cardinal dont le but serait de les réconcilier. La reine et le cardinal ont, en effet, un vieux contentieux : en 1773 le cardinal, qui était alors ambassadeur de France à Vienne, s’était aperçu que l'Impératrice Marie-Thérèse, la mère de Marie-Antoinette, jouait un double jeu et préparait en sous main le démantèlement de la Pologne, de concert avec la Prusse et la Russie. Il avait écrit une lettre à Louis XV pour l’en avertir, lettre qui avait été détournée par le duc d’Aiguillon, ministre des Affaires Étrangères, qui l’avait remise à la comtesse du Barry, favorite de Louis XV, détestée par Marie-Antoinette. La comtesse l’avait lue publiquement dans un dîner, et circonstance aggravante, le ton de cette lettre était ironique et très irrespectueux envers l’Impératrice (le cardinal la dépeignait notamment, « tenant d’une main un mouchoir pour essuyer les larmes qu’elle versait à propos du démantèlement de la Pologne, et de l’autre main un couteau pour couper sa part du gâteau »...). D’autre part, la vie dissolue du cardinal à Vienne, ses dépenses effrénées, ses maîtresses affichées, ses parties de chasse fastueuses en tenue laïque, avaient scandalisé la pieuse Marie-Thérèse horrifiée de voir un représentant du Roi Très-Chrétien et surtout un prince de l’Eglise se comporter de cette façon. On l’avait même vu un jour couper à cheval une procession de la Fête-Dieu. L’Impératrice avait demandé à Versailles le rappel de cet ambassadeur peu convenable et l’avait obtenu. Depuis ces épisodes, la reine, fidèle à la mémoire de sa mère, était plus qu’en froid avec le cardinal. Ce dernier se désespérait de cette hostilité. La comtesse de La Motte fit espérer au cardinal un retour en grâce auprès de la souveraine. Ayant de gros besoins d’argent, elle commença par lui soutirer au nom de la reine 60 000 livres (en deux versements), qu’il était trop heureux d’accorder tandis que la comtesse lui fournissait des fausses lettres reconnaissantes, de plus en plus bienveillantes, de la reine, annonçant la réconciliation espérée, tout en repoussant indéfiniment les rendez-vous successifs demandés par le cardinal pour s’en assurer. Or, le comte de la Motte a très opportunément découvert qu’une prostituée, Nicole d’Oliva, opérant au Palais Royal, s’est forgé une jolie réputation due à sa ressemblance étonnante avec Marie-Antoinette. Ses clients l’ont d’ailleurs surnommée la petite reine. Mme de La Motte la reçoit et la convainc de bien vouloir, contre une généreuse somme, jouer le rôle d’une grande dame recevant en catimini un ami, dans le but de jouer un tour. Le 11 août 1784, le cardinal se voit donc enfin confirmer un rendez-vous au Bosquet de Vénus à onze heures du soir. Là, Nicole d’Oliva, déguisée en Marie-Antoinette, le visage enveloppé d’une gaze légère, l’accueille avec une rose et lui murmure un « Vous savez ce que cela signifie. Vous pouvez compter que le passé sera oublié ». Avant que le cardinal ne puisse poursuivre la conversation, Mme de La Motte apparaît, signalant que les comtesses de Provence et d’Artois, belles-soeurs de la reine, sont en train d’approcher. Ce contretemps abrège l’entretien. Le lendemain, le cardinal reçoit une lettre de la « reine », regrettant la brièveté de la rencontre. Le cardinal est définitivement conquis, sa reconnaissance et sa confiance aveugle en la comtesse de La Motte deviennent plus que jamais inébranlables. Jusqu’ici, la comtesse de la Motte se bornait, on le voit, à l’abus de confiance d’assez petite envergure. Mais, désormais toute-puissante sur l’esprit du cardinal, et jouant sur la réputation de passion de la reine pour les bijoux, Mme de La Motte va entreprendre le coup de sa vie, en escroquant cette fois le cardinal pour la somme fabuleuse de 1,6 million de livres. Le 28 décembre 1784, se présentant toujours comme une amie intime de la reine, elle rencontre le bijoutier qui lui montre le collier. Tout de suite elle imagine un plan pour entrer en sa possession. Elle déclare au joaillier qu’elle va intervenir pour convaincre la reine d’acheter le bijou, mais par le biais d’un prête-nom. De fait, le cardinal de Rohan reçoit bientôt une nouvelle lettre, toujours signée « Marie-Antoinette de France », dans laquelle la reine lui explique que ne pouvant se permettre d’acquérir ouvertement le bijou, elle lui fait demander de lui servir d’entremetteur, s’engageant à le rembourser en versements étalés dans le temps – quatre versements de 400 000 livres – et lui octroyant pleins pouvoirs dans cette affaire. En outre la comtesse s’est ménagé la complicité de Cagliostro, dont le cardinal est fanatique (il ira jusqu’à déclarer « Cagliostro est Dieu lui-même! »). Devant le cardinal, le mage fait annoncer par un enfant médium un oracle dévoilant les suites les plus fabuleuses pour le prélat s’il se prête à cette affaire. La reconnaissance de la reine ne connaîtra plus de bornes, les faveurs pleuvront sur la tête du cardinal, la reine le fera nommer par le roi premier ministre. Le 1er février 1785, convaincu, le cardinal signe les quatre traites et se fait livrer le bijou qu’il va porter le soir même à Mme de La Motte à Versailles. Devant lui, elle le transmet à un prétendu valet de pied portant la livrée de la reine (qui n’est autre que Rétaux de Villette). Pour avoir favorisé cette négociation, l’intrigante bénéficiera même de cadeaux du joaillier. Immédiatement les escrocs ont démonté le collier et commencé à revendre les pierres. Rétaux de Villette a quelques ennuis en négociant les siennes. Leur qualité est telle, et, pressé par le temps, il les négocie si en-dessous de leur valeur, que des diamantaires juifs soupçonnent le fruit d’un vol et le dénoncent. Il parvient à prouver sa bonne foi et part à Bruxelles vendre ce qui lui reste. Le comte de La Motte part de son côté proposer les plus beaux diamants à deux bijoutiers anglais de Londres. Ceux-ci, pour les mêmes raisons que leurs collègues israélites, flairent le coup fourré. Ils envoient un émissaire à Paris: mais aucun vol de bijoux de cette valeur n’étant connu, ils les achètent, rassurés. Les dernières pierres sont donc vendues à Londres. Pendant ce temps, la première échéance est attendue par le joaillier et le cardinal pour le 1er août. Toutefois, l’artisan et le prélat s’étonnent de constater qu’en attendant, la reine ne porte pas le collier. Mme de La Motte les assure qu’une grande occasion ne s’est pas encore présentée, et que d’ici-là, si on leur parle du collier, ils doivent répondre qu’il a été vendu au sultan de Constantinople. En juillet cependant, la première échéance approchant, le moment est venu pour la comtesse de gagner du temps. Elle demande au cardinal de trouver des prêteurs pour aider la reine à rembourser. Elle aurait, en effet, du mal à trouver les 400 000 livres qu’elle doit à cette échéance. Mais le bijoutier va précipiter le dénouement. Ayant eu vent des difficultés de paiement qui s’annoncent, il se rend directement chez la première femme de chambre de Marie-Antoinette, Mme Campan, et évoque l’affaire avec elle. Celle-ci tombe des nues et naturellement va immédiatement rapporter à la reine son entretien avec Boehmer. Marie-Antoinette, pour qui l’affaire est incompréhensible, charge le baron de Breteuil, ministre de la Maison du Roi, de tirer les choses au clair. Le baron de Breteuil est un ennemi du cardinal de Rohan. Découvrant l’escroquerie dans laquelle le cardinal est impliqué, il se frotte les mains, et compte bien lui donner toute la publicité possible. La prétendue comtesse, sentant les soupçons, s’est entre-temps arrangée pour procurer au cardinal un premier versement de 30 000 livres. Mais ce versement, d’ailleurs dérisoire, est désormais inutile. L’affaire va éclater aux yeux de la Cour ébahie. Le roi est prévenu le 14 août. Le 15 août, alors que le cardinal – qui est également grand-aumônier de France – s’apprête à célébrer en grande pompe la messe de l'Assomption dans la chapelle de Versailles, il est convoqué dans les appartements du roi. Il se voit sommé d’expliquer le dossier constitué contre lui. Le naïf prélat est atterré de comprendre qu’il a été berné depuis le début par la comtesse de La Motte. Il envoie chercher les lettres de la «reine». Le roi explose: « Comment un prince de la maison de Rohan, grand-aumônier de France, a-t-il pu croire un instant à des lettres signées Marie-Antoinette de France! ». La reine ajoute: « Et comment avez-vous pu croire que moi, qui ne vous ai pas adressé la parole depuis 15 ans, j’aurais pu m’adresser à vous pour une affaire de cette nature ? ». Le cardinal tente de s’expliquer. « Mon cousin, je vous préviens que vous allez être arrêté. », lui dit le roi. Le cardinal supplie le roi de lui épargner cette humiliation, il invoque la dignité de l’Église, le souvenir de sa cousine la comtesse de Marsan qui a élevé Louis XVI. Le roi est assurément ébranlé par cet appel à la clémence, mais se reprend devant les larmes de la reine. Il se retourne vers le cardinal: « Je fais ce que je dois, et comme roi, et comme mari. Sortez. » (Cf. Funck-Brentano, op. cit.) Le cardinal quitte le cabinet du roi et repasse, chancelant et « pâle comme la mort », dans la galerie des Glaces. Au moment où le cardinal paraît, le baron de Breteuil lance : « Qu’on arrête Monsieur le cardinal ! ». La stupéfaction et le scandale sont immenses. Le cardinal est emprisonné à la Bastille. Il commence immédiatement à rembourser les sommes dues, en vendant ses biens propres, dont son château de Coupvray (à la fin du XIXe siècle, les descendants de ses héritiers continueront de rembourser sporadiquement par fractions les descendants du joaillier). La comtesse de La Motte est arrêtée, son mari s’enfuit à Londres avec les derniers diamants, Rétaux de Villette étant déjà en Suisse. On interpelle aussi Cagliostro et Nicole d’Oliva. Le roi laisse au cardinal le choix de la juridiction qui aura à se prononcer sur son cas: ou bien s’en remettre directement au jugement du roi, ou être traduit devant le Parlement de Paris. Ce qui s’avère fort malhabile de la part de Louis XVI: le cardinal décidant de mettre l’affaire dans les mains du Parlement qui est toujours, plus ou moins, en fronde contre l’autorité royale. Le 22 mai 1786, le procès s’ouvre devant le Parlement, qui le 30 rend son verdict. Le cardinal est acquitté. La prétendue comtesse de La Motte, condamnée à la prison à perpétuité à la Salpétrière, après avoir été fouettée et marquée au fer rouge sur les deux épaules du « V » de « voleuse » (elle se débattra tant que l’un des « V » sera finalement appliqué sur son sein). Son mari est condamné aux galères à perpétuité par contumace, et Rétaux de Villette est banni. Enfin, Nicole d’Oliva et Cagliostro sont mis hors de cause, Cagliostro étant cependant invité à quitter le territoire français dans les plus brefs délais. Marie-Antoinette est au comble de l’humiliation. Elle prend l’acquittement du cardinal comme un camouflet. De la part des juges, cet acquittement signifie qu’on ne saurait tenir rigueur au cardinal d’avoir cru que la reine lui envoyait des billets doux, lui accordait des rendez-vous galants dans le parc de Versailles et achetait des bijoux pharaoniques par le biais d’hommes de paille en cachette du roi. C’était sous-entendre que de telles frasques n'auraient rien eu d'invraisemblable de la part de la reine. Et c’est bien dans cet esprit que le jugement fut rendu, et pris dans l’opinion. La reine obtient donc du roi qu’il exile le cardinal de Rohan à l'abbaye de la Chaise-Dieu, l’une des abbayes en commende du cardinal, après l’avoir démis de son poste de grand aumônier. Il restera trois mois dans cette abbaye, après quoi il ira sous des cieux plus cléments, à l’abbaye de Marmoutier près de Tours. Ce n’est qu’au bout de trois ans, le 17 mars 1788, que le roi l’autorisera à retrouver son diocèse de Strasbourg. On ne saurait mieux résumer le résultat de cette affaire que par l'exclamation d'un magistrat du Parlement de Paris au lendemain du verdict : "Un cardinal escroc, la reine impliquée dans une affaire de faux ! Que de fange sur la crosse et le sceptre ! Quel triomphe pour les idées de liberté !"... Bien que Marie-Antoinette ait été, d’un bout à l’autre, absolument étrangère à toute cette affaire, l’opinion publique ne voulut pas croire à l’innocence de la reine. Accusée depuis longtemps de participer, par ses dépenses excessives, au déficit du budget du royaume, elle subit à cette occasion une avalanche d’opprobres sans précédent. Les libellistes laissèrent libre cours aux calomnies dans des pamphlets où la reine se faisait offrir des diamants pour prix de ses amours avec le cardinal. Bien pire, Mme de la Motte, parvenue à s'évader de La Salpêtrière, publie à Londres un immonde récit, dans lequel elle raconte sa liaison avec Marie-Antoinette, la complicité de celle-ci depuis le début de l'affaire et jusqu'à son intervention dans l'évasion. Par le discrédit qu'il jeta sur la Cour dans une opinion déjà très hostile, ce scandale aura indirectement sa part de responsabilités dans la chute de la royauté quatre ans plus tard et dans le déclenchement de la Révolution. "Cet évènement me remplit d'épouvante", écrit Goethe dans sa correspondance, "comme l'aurait fait la tête de Méduse". Peu après, développera-t-il : "Ces intrigues détruisirent la dignité royale. Aussi l’histoire du collier forme-t-elle la préface immédiate de la Révolution. Elle en est le fondement...", (Cf. Le Grand Cophte (1790), pièce inspirée à Goethe par l’histoire de Cagliostro). L'ensemble des pièces imprimées relatives à l'affaire du collier ont fait l'objet de tirages au format in-8 et in-4. Les pièces imprimées au format in-4 sont les plus recherchées et forme une collection intéressante. Bon exemplaire de cet ensemble relatif à l'affaire du collier de la reine Marie-Antoinette.‎

Librairie L'amour qui bouquine - Alise-Sainte-Reine

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EUR1,350.00 (€1,350.00 )

‎MARIE-THÈRESE d'Autriche et MARIE-ANTOINETTE.‎

Reference : 117275

(1933)

‎Correspondance entre Marie-Thérèse et Marie-Antoinette. Présentée et annotée par Georges Girard.‎

‎ Grasset, 1933, in-8°, 333 pp, reliure demi-chagrin fauve, dos à 4 nerfs soulignés à froid, titres dorés, couv. illustrée conservée (rel. de l'époque), bon état‎


‎Correspondance de 1770 à 1780. — "On sait que le seul texte authentique de la correspondance de Marie-Antoinette avec sa mère figure dans le recueil publié d'abord à Vienne en 1864 par le chevalier d'Arneth, et ensuite dans le recueil plus vaste publié en 1874 par MM. d'Arneth et Geffroy (Correspondance secrète entre Marie-Thérèse et le comte de Mercy-Argenteau avec les lettres de Marie-Thérèse et de Marie-Antoinette). M. Georges Girard a cru bon de rééditer la correspondance entre la mère et la fille parce que les publications précédentes sont aujourd'hui difficiles à se procurer, et surtout parce qu'elles ne sont pas absolument complètes. Outre les lacunes dues à la perte de certaines lettres, les éditeurs avaient omis deux lettres, l'une de Marie-Thérèse du 30 juillet 1775, l'autre de Marie-Antoinette du 30 août 1777, et qu'ils avaient en outre supprimé dans les autres certains passages. Le fait est dû à des soucis de convenance : la lettre de Marie-Thérèse est en effet un réquisitoire très vif contre la légèreté de sa fille et les Archives de Vienne n'en avaient pas permis la publication ; celle de Marie-Antoinette annonce à sa mère la consommation de son mariage. Les passages supprimés ailleurs sont la conséquence de l'omission de ces deux lettres. Or ces lacunes ne sont pas indifférentes. La préoccupation d'assurer la succession pour consolider l'alliance hante Marie-Thérèse, et, pour l'explication psychologique du caractère de Marie-Antoinette, la question de ses rapports conjugaux avec le roi est capitale. La publication de M. Georges Girard apporte donc une contribution très intéressante à l'histoire de Marie-Antoinette. Elle rendra service aux historiens et permettra au grand public de pénétrer dans l'intimité d'une des reines de France qui ont le plus suscité la curiosité." (Albert Girard, Revue d’Histoire moderne et contemporaine, 1934) — "Ce livre doit être considéré comme le complément naturel de la magistrale biographie de Marie-Antoinette par Stefan Zweig. Quelque chose comme ce que les érudits appellent un recueil de pièces justificatives. La correspondance de Marie-Thérèse et de Marie-Antoinette, sa fille, que l'on va trouver pour la première fois intégralement publiée ici, est en effet le texte essentiel sur lequel l'éminent écrivain autrichien s'est fondé pour bâtir sa psychologie de la reine de France" (G. Girard) ‎

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‎[Marie Laurencin] - ‎ ‎Marie LAURENCIN (illustratrice). Louis CODET, Jean PELLERIN, Roger ALLARD, André BRETON, Francis CARCO, M. CHEVRIER, F. FLEURET, G. GABORY, Max JACOB, Valery LARBAUD et A. SALMON. ‎

Reference : AMO-4511

(1922)

‎EVENTAIL, dix gravures de Marie Laurencin accompagnées de poésies nouvelles de Louis CODET, Jean PELLERIN, Roger ALLARD, André BRETON, Francis CARCO, M. CHEVRIER, F. FLEURET, G. GABORY, Max JACOB, Valery LARBAUD et A. SALMON.‎

‎Paris, 1922. Editions de la Nouvelle Revue Française. 1 volume petit in-8 (19,5 x 12 cm) broché de 61-(5) pages, avec 10 pointes sèches originales de Marie Laurencin tirées dans le texte au format carré 8,5 x 7,5 cm environ. Couverture rempliée imprimée en couleurs (bleu et rose) formant un éventail. Excellent état. Quelques décharges et ombres à la couverture sinon parfait exemplaire. Tirage unique à 335 exemplaires. Celui-ci, un des 27 exemplaires hors-commerce tirés sur Hollande vergé Van Gelder Zonen. Il a été tiré 300 exemplaires sur ce même papier et 8 exemplaires sur vergé bleuté du dix-huitième siècle avec une double suite des gravures, sur Japon impérial et sur vergé du dix-huitième siècle. Notre exemplaire contient en plus : - 1 état supplémentaire tiré à part de la couverture en couleurs avec l'éventail (sur vergé). - 1 état de l'éventail en couleurs tiré seul avant la lettre (sur vergé). - 1 suite complète des 10 pointes sèches tirées à part sur papier vergé Ingres. Le chiffre du tirage à part de cette suite n'est pas connu mais elle était sans aucun doute réservée aux exemplaires de tête et aux exemplaires de collaborateurs (soit une trentaine d'exemplaires en tout).‎


‎Ce délicieux volume s'ouvre sur un "Petit concert sur l'absence de Marie Laurencin" par Maurice Chevrier (daté de septembre 1920). Viennent ensuite les poèmes de Roger Allard (L'Abbesse d'Aléa), d'André Breton (L'An suave, daté d'avril 1914), de Francis Carco (Le Miroir), de Louis Codet (La Nymphe d'Auteuil), de Fernand Fleuret (Prose pour Pallas Ambigüe, daté de 1911), de Georges Gabory (Qui n'entend qu'une cloche...), de Max Jacob (Olga, petit roman, daté de 1921), de Valery Larbaud (La Rue Soufflot), de Jean Pellerin (Fil de Rêve), enfin d'André Salmon (Elégie Fraternelle, daté de juillet 1921). La page de titre a été composée en calligramme par les élèves de l'Ecole Estienne. Le volume a été achevé d'imprimer le seize janvier 1922, le texte par Coulouma à Argenteuil, les gravures par Vernant et Dollé imprimeurs en taille-douce à Paris. Au début de l'année 1922, Marie Laurencin a 39 ans. Compagne pendant six années du poète Guillaume Apollinaire, Flap, comme la surnomme son premier amant Henri-Pierre Roché, épouse finalement, en 1914, le peintre allemand Otto de Waetjen, un pacifiste qui refuse de prendre les armes contre la France, ce qui lui vaut au déclenchement de la Première Guerre mondiale d'être déchue de sa nationalité, spoliée de tous ses biens et contrainte à l'exil, en Espagne. Divorcée, elle retrouve durant l'Entre-deux-guerres sa position tout en continuant ses amours avec Nicole Groult, relation discrète mais non cachée qui aura duré une quarantaine d'années. Figure internationale, elle portraiture alors les personnages du Tout-Paris. Sous l'Occupation, elle continue cette vie mondaine et renoue avec ses amis allemands tout en aidant Max Jacob, son complice en ésotérisme, sans réussir toutefois à le faire libérer à temps du camp de Drancy. Elle y est internée à son tour à la Libération dans le cadre d'une procédure d'épuration, échappant de peu au sort des tondues?. Dès 1907 elle devenait l'amie du Paris-Artiste. Elle se lie avec Pablo Picasso, André Salmon, Kees Van Dongen, André Derain, Max Jacob, Robert Delaunay, et bien d'autres. "Coco" comme on l'appelle, fréquente tous les artistes du Bateau-Lavoir. Vraie fausse-compagne-muse un moment de Guillaume Apollinaire, elle fait montre d'une grande liberté dans ses moeurs et ses relations homosexuelles sont connues. Marie Laurencin épouse le 21 juin 1914 le baron Otto von Wätjen, dont elle a fait connaissance un an plus tôt dans le milieu artistique de Montparnasse, entre Le Dôme et La Rotonde. Par son mariage, elle devient allemande et baronne, bénéficiaire d'une rente annuelle de 40 000 marks. Le couple est surpris par la déclaration de guerre durant son voyage de noces à Hossegor. Poursuivant en Espagne leur lune de miel contrariée, les époux ne peuvent rentrer à Paris, à cause de leur nationalité. Otto, qui ne veut pas avoir à prendre les armes contre la France, refuse de retourner en Allemagne. Marie Laurencin, comme tout citoyen franco-allemand, est déchue de sa nationalité française.? Au printemps 1915, le couple s'installe à Malaga dans la villa Carmen, avenue de la Rosaleda, puis à la villa Bella Vista, avenue Jorge de Silvela. Marie Laurencin y trouve consolation dans les bras de son amant des vacances 1911, Hanns Heinz Ewers. Au début de mars 1918, le couple répond à l'invitation d'être logé à Madrid en face du Prado dans une maison de Cécile de Madrazo. Marie Laurencin se partage entre cette figure à la fois mondaine et discrète de la haute bourgeoisie anoblie. Fin novembre 1919, au terme d'un mois de voyage de Gènes à Bâle, via Milan et Zurich, au cours duquel elle aura fait la connaissance d'Alexandre Archipenko et Rainer Maria Rilke, Marie Laurencin séjourne à Düsseldorf chez la mère de son mari. Afin de faire avancer le règlement de sa propre situation, elle passe le mois d'avril 1920 à Paris, où elle est hébergée par les Groult. Le 15, Georges Auric l'introduit auprès du jeune diplomate Paul Morand, qui était son voisin à Madrid en 1918, pour entreprendre les démarches qui lui redonneront la nationalité française. Elle peut faire prononcer son divorce le 25 juillet 1921 en renonçant à toute pension. À trente huit ans, financièrement autonome, « Mademoiselle Marie Laurencin » retrouve le 15 avril 1921 définitivement Paris, où en huit ans elle changera trois fois d'adresse. C'est à la fin de l'année 1921 que se prépare l'ouvrage Eventail qui lui rend hommage par la poésie et qu'elle illustre de 10 pointes sèches auto-portraits. Au printemps 1922, Marie Laurencin est hospitalisée pour un cancer de l'estomac. Lors de la chirurgie, elle subit également une hystérectomie. En 1923, convalescente, Marie Laurencin crée des papiers peints pour André Groult, qui vit à l'ombre du succès de la maison de couture de son épouse. À la mi-décembre, accompagnée de Jean Giraudoux et de Gaston Gallimard, elle retrouve Pablo Picasso à l'enterrement de Raymond Radiguet. Portraitiste mondaine du Tout-Paris des Années folles dont elle peint les portraits, Marie Laurencin mène une vie de luxe et de mondanités. Si le portrait est pour elle un expédient lucratif et pour ses modèles un article de mode, elle ne fait pas de cet exercice imposé l'éloge d'une position sociale, masculine ou féminine, qu'il était à l'époque classique. Pendant la deuxième guerre mondiale elle affiche des positions ambigues. Faisant montre en public d'antisémitisme elle aide pourtant son ami Max Jacob. A partir de 1945 et jusqu'à sa mort en 1956 elle mènera une vie retirée et pieuse. Elle aura connu les périodes Dada, cubistes, fauves et tous les autres mouvements modernistes de l'Ecole de Paris qu'elle contribua à façonner par son propre art. Elle laisse une oeuvre immense composée de milliers de peintures, gravures et dessins. « Elle a fait de la peinture au féminin un art majeur. On ne trouve pas de mots pour bien définir la grâce toute française de Mademoiselle Marie Laurencin, sa personnalité vibre d’allégresse. » (Apollinaire) Eventail regroupe, sous ses quelques feuillets et ses jolies estampes, autour de Marie Laurencin, en guise d'hommage à son talent et à sa personne, les noms d'André Breton, Max Jacob, André Salmon, Fernand Fleuret, Valery Larbaud, Francis Carco et quelques autres. La suite des dix pointes sèhes tirées à part sur papier vergé Ingres gris est très rare car tiré à très petit nombre. L'état supplémentaire de la couverture avec la décomposition du motif en couleurs (bleu et rose) ne se rencontre jamais et n'est pas annoncé. Exemplaire de choix très bien conservé de ce petit livre emblématique de son époque.‎

Librairie L'amour qui bouquine - Alise-Sainte-Reine

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EUR5,800.00 (€5,800.00 )

‎[Institut Sainte Marie] - ‎ ‎Collectif ; Société de Marie ; Marianistes‎

Reference : 29372

(1901)

‎Le Messager de la Société de Marie [1897-1902 : 3 Tomes - Complet Suivi de :] L'Apôtre de Marie. Echo des Oeuvres et des Missions de la Société de Marie (Série suivie complète du premier numéro de Mai-Juin 1904 au numéro de Juillet-Septembre 1987 de la Revue "Présence Marianiste", Nouvelle série de l'Apôtre de Marie, en 45 volumes reliés )[ Exceptionnel ensemble, souvent illustré, relatant les progrès des missions marianistes en Europe, Amérique, Afrique, et surtout au Japon - Important and scarce review referring to Marianist missions in the entire world, with focus on american or japanese missions in Urakami, Tokyo, etc. ] ‎

‎48 vol. reliures diverses en demi-percaline bordeaux ou marron ou demi-toile rouge, (Messager de la Société de Marie, Apôtre de Marie, Marianiste et Présence Marianiste), couvertures conservées, Institut Sainte Marie, Nivelles, puis Paris et Colmar, 1904-1987 ;Le Messager de la Société de Marie [1897-1902 : 3 Tomes - Complet Suivi de :] L'Apôtre de Marie. Echo des Oeuvres et des Missions de la Société de Marie (Série suivie complète du n° 1 de Mai-Juin 1904 au dernier numéro n° 398 de Août-Octobre 1958 puis série suivi complète de "Marianistes", Nouvelle série de l'Apôtre de Marie, du n°1 de Novembre 1958-janvier 1959 au dernier numéro n° 54-55 d'août-décembre 1969, puis série complète de "Présence marianiste" du n° 1 de janvier-février 1970 au n°52 de numéro de Juillet-Septembre 1987, en 45 volumes reliés ) [ Exceptionnel ensemble, souvent illustré, relatant les progrès des missions marianistes en Europe, Amérique, Afrique, et surtout au Japon - Important and scarce review referring to Marianist missions in the entire world, with focus on american or japanese missions in Urakami, Tokyo, etc. ] ‎


‎La Revue "l'Apôtre de Marie", qui fait suite aux 3 tomes de la revue "Le Messager de la Société de Marie", laquelle fut interrompue par les expulsions de 1903, se consacre plus particulièrement à la présentation de l'oeuvre missionnaire des marianistes. "Echo des Oeuvres et des Missions de la Société de Marie" puis "Organes des Missions et des Oeuvres", elle propose un panorama tout à fait remarquable et passionnant des développements de ces missions dans le monde entier : par exemple au Mexique (Durango...), en Europe (Autriche, Espagne, Belgique, Italie, Suisse...), avec une prédilection pour l'Amérique et l'Asie. On remarque ainsi les nombreux articles consacrés aux missions d'Asie, celles de Chine et surtout aux missions du Japon (Urakami, Tokyo, ...) ainsi qu'aux missions développées aux Etats-Unis (Dayton, Cleveland, Colombus, Erie, Chicago, Honolulu aux Iles Sandwich futur Hawaï, etc.). Les comptes-rendus de mission, ou les visites pastorales des supérieurs en Asie ou en Amérique sont souvent illustrés et font l'objet d'articles du plus grand intérêt. La revue devient "Marianiste" de 1959 à 1969 puis "Présence Marianiste" à partir de 1970. Etat très satisfaisant (dos frottés et qq. petits accrocs sur certains dos n'affectant pas le texte, anciens cachets et cotes de bibliothèques religieuse en dos) pour cet ensemble très rare, rassemblant l'intégralité de cette impressionnante série suivie des numéros du "Messager de la Société de Marie" et de la revue 'l'Apôtre de Marie" de 1897 à 1987. ‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR2,500.00 (€2,500.00 )

‎Collectif‎

Reference : R320141508

(1977)

‎Unité des chrétiens n°26 avril 1977 - A l'école du Saint-Esprit - un sondage la foi chrétienne et Marie - bref rappel des données bibliques - un catholique interroge les textes bibliques sur Marie - revenir au Christ pour retrouver Marie etc.‎

‎Imprimerie de la Centrale. 1977. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 48 pages agrafées - quelques illustrations en noir et blanc dans le texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : A l'école du Saint-Esprit - un sondage la foi chrétienne et Marie - bref rappel des données bibliques - un catholique interroge les textes bibliques sur Marie - revenir au Christ pour retrouver Marie - réactions et questions - les premières images de la vierge marie - Marie dans les apocryphes - Marie mère de dieu et le concile d'ephèse - la vierge marie point de vue orthodoxe - attitudes anglicanes au sujet de la bienheureuse vierge marie - Marie Servante de l'unité - Marie et les femmes chrétiennes d'aujourd'hui - la vierge marie dans l'église catholique après le concile - jalons sur la route de l'unité. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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EUR24.90 (€24.90 )

‎[ Institut Sainte Marie] - ‎ ‎Collectif‎

Reference : 28972

(1904)

‎Le Messager de la Société de Marie [1897-1902 : 3 Tomes - Complet Suivi de :] L'Apôtre de Marie. Echo des Oeuvres et des Missions de la Société de Marie (Série suivie complète du n° 1 de Mai-Juin 1904 au n° 338 de Septembre-Octobre 1946 en 31 volumes reliés ) [ Exceptionnel ensemble, souvent illustré, relatant les progrès des missions marianistes en Europe, Amérique, Afrique, et surtout au Japon - Important and scarce review referring to Marianist missions in the entire world, with focus on american or japanese missions in Urakami, Tokyo, etc. ] ‎

‎3 vol. relié demi-toile (Messager) et 31 vol. reliés demi-toile à coins rouge ou marron (Apôtre de Marie), couvertures conservées, Institut Sainte Marie, Nivelles, 1904-1946 ;Le Messager de la Société de Marie [1897-1902 : 3 Tomes - Complet Suivi de :] L'Apôtre de Marie. Echo des Oeuvres et des Missions de la Société de Marie (Série suivie complète du n° 1 de Mai-Juin 1904 au n° 338 de Septembre-Octobre 1946 en 31 volumes reliés ) [ Exceptionnel ensemble, souvent illustré, relatant les progrès des missions marianistes en Europe, Amérique, Afrique, et surtout au Japon - Important and scarce review referring to Marianist missions in the entire world, with focus on american or japanese missions in Urakami, Tokyo, etc. ] ‎


‎La Revue "l'Apôtre de Marie", qui fait suite aux 3 tomes de la revue "Le Messager de la Société de Marie", laquelle fut interrompue par les expulsions de 1903, se consacre plus particulièrement à la présentation de l'oeuvre missionnaire des marianistes. "Echo des Oeuvres et des Missions de la Société de Marie" puis "Organes des Missions et des Oeuvres", elle propose un panorama tout à fait remarquable et passionnant des développements de ces missions dans le monde entier : par exemple au Mexique (Durango...), en Europe (Autriche, Espagne, Belgique, Italie, Suisse...), avec une prédilection pour l'Amérique et l'Asie. On remarque ainsi les nombreux articles consacrés aux missions d'Asie, celles de Chine et surtout aux missions du Japon (Urakami, Tokyo, ...) ainsi qu'aux missions développées aux Etats-Unis (Dayton, Cleveland, Colombus, Erie, Chicago, Honolulu aux Iles Sandwich futur Hawaï, etc.). Les comptes-rendus de mission, ou les visites pastorales des supérieurs en Asie ou en Amérique sont souvent illustrés et font l'objet d'articles du plus grand intérêt. Etat très satisfaisant (dos frottés et mouill. sur certains dos n'affectant pas le texte) pour cet ensemble rare, rassemblant l'intégralité des numéros du "Messager de la Société de Marie" et du premier numéro jusqu'au dernier numéro de format identique paru en 1946 de la revue 'l'Apôtre de Marie".‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR1,500.00 (€1,500.00 )

‎"HAMSUN, MARIE.‎

Reference : 31989

(1942)

‎Maskinskrevet brev m. egenhændig underskrift og tilføjelse i pen til ""Frau Marie Hamsun/ Grimstad/ Norwegen"" fra ""Dr. Knapp"", Verlag Albert Langen - Georg Müller Derlay, München. (Maschine-written letter w. autograph signature and four handwritten lin... - [MARIE HAMSUN OG NAZISTERNE]‎

‎Dat. ""10.3.1942"". 1s. 4to. Skrevet på forlagets brevpapir. Brevet er en anmodning fra Dr. Knapp på vegne af en skoleklasse i Tyskland, som ønsker en autograf fra Knut Hamsun på et billede af ham. Brevet slutter således: ""Im allgemeinen suchen wir ja solche belästigungen Herrn/ Knut Hamsun möglichst fern zu halten, aber in diesem rührende/ Fall wollten wir doch eine Ausnahme machen./ Wir danken Herrn Knut Hamsun und Ihnen im voraus herzlich für/ die Erfüllung der kindlichen Bitte./ Mit verehrungsvoller Begrüssung und/ Heil Hitler!/ Ihr sehr ergebener/ Albert Langen - Georg Müller Derlay [stemplet]/ Dr. Knapp [håndskrevet]."" Efter de ca. 15 maskinskrevne linier følger fire håndskrevne linier i Dr. Knapps hånd, hvoraf fremgår, at der alligevel ikke sendes et billede med, som Knut Hamsun kan signere, men en stor plakat. (1p. 4to. Written on paper w. letterhead from the publisher. The letter is a request from Dr. Knapp on behalf of a school-class in Louise, Germany, who wish for an autograph by Knut Hamsun on a photograph. The letter ends: ""Im allgemeinen suchen wir ja solche belästigungen Herrn/ Knut Hamsun möglichst fern zu halten, aber in diesem rührende/ Fall wollten wir doch eine Ausnahme machen./ Wir danken Herrn Knut Hamsun und Ihnen im voraus herzlich für/ die Erfüllung der kindlichen Bitte./ Mit verehrungsvoller Begrüssung und/ Heil Hitler!/ Ihr sehr ergebener/ Albert Langen - Georg Müller Derlay [stamped]/ Dr. Knapp [handwritten]."" Following the ab. 15 machine-written lines is a four lines handwritten notice in the hand of Dr. Knapp, stating that a photograph of Knut Hamsun for him to sign has not been sent with the letter after all, but a large poster. ‎


‎Meget interessant brev fra Nazitidens Tyskland, der både belyser, hvor vigtig Hamsun blev opfattet af tyskerne, og hvilken rolle Marie Hamsun har spillet i hendes mands forhold til nazisterne. Der er ingen tvivl om, at Knut Hamsun var velvilligt indstillet over for nazismen under krigen, men der er ligeledes heller ingen tvivl om, at hans syn på nazismen, eller det, han vidste om den, var noget mere nuanceret end hans kones. ""Sagt mere forenklet: Havde Hamsun oprindelig rakt Marie en tyskvenlig lillefinger, forvandlede hun den i disse år til en fremstrakt naziarm."" (Thorkild Hansen, Processen mod Hamsun, Bd. 2, pp. 76-77). Den aldrende Knut Hamsun var under krigen nærmest døv, og havde utroligt svært ved at følge med i, hvad der foregik i verden, da han ikke kunne høre radio. Han var således fuldstændig udleveret til sin kone og det, hun fortalte ham om, hvad der gik for sig i Tyskland. Marie meldte sig ind i NS og fastholdt sine nazistiske synspunkter til sin dødsdag, Knut tog kategorisk afstand fra nazismen, da det endelig gik op for ham, hvori dens sande karakter bestod. Han vedholdt ikke at have meldt sig ind i NS, og det er betegnende, at det er Marie, der står for stort set hele Hamsun-korrespondencen med nazisterne. Det er hende, der tager på adskillige propagandature i Tyskland i alle krigsårene, og det er hende, der tager rundt og læser op af Knuts bøger for nazisterne, ikke ham. Det er betegnende, at brevet er stilet til Marie og ikke Knut, når det nu er hans autograf, de ønsker, -den gamle mand var nok døv, men han kunne stadig læse, -kontakten gik altid gennem Marie, og det må nok siges at være hende, der sidder tilbage med en stor del af ansvaret for verdens opfattelse af, at den store digter bekendte sig fuldstændigt til nazismen. ""Nu fik hun [Marie] oprejsning for de mange ydmygelser. Hun havde endelig fået overtaget, hun havde ikke alene børnene bag sig, hun havde hele den tyske værnemagt i Norge! Hamsun beklagede sig til fru Stray over, at hun ""trak tyskerne til Nørholm""... Marie var ikke mere bare ""Norges første litterære dame"", hun var også blevet noget i kraft af sig selv... Hans rolle var udspillet. Katastrofen var indtruffet og kærligheden død... I stedet for den lydige selvopofrende hustru havde han fået en ond ånd, der bestemte alt og politiserede løs i hans navn."" (Thorkild Hansen, Processen mod Hamsun, Bd. 2, pp. 78-80). Gennem sin rolle som den store digters hustru, tilkæmpede Marie sig sin egen status, -tyskerne placerede hende atter i rampelyset og lod hende igen hylde af et bifaldende publikum. ‎

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Phone number : +45 33 155 335

DKK3,500.00 (€469.43 )

‎[E. Dentu] - ‎ ‎IMBERT DE SAINT-AMAND, Arthur Léon Georges‎

Reference : 59938

(1891)

‎[ Lot de 5 livres sur Marie-Antoinette ] Les beaux jours de Marie-Antoinette [ On joint : ] Marie-Antoinette et la fin de l'Ancien Régime 1781-1789 [ On joint : ] Marie-Antoinette aux Tuileries [ On joint : ] Marie-Antoinette et l'Agonie de la Royauté [ On joint : ] Les dernières années de Marie-Antoinette‎

‎5 vol. in-12 reliure uniforme demi-maroquin havane, tête doré, E. Dentu, 1891-1893 : [ Lot de 5 livres sur Marie-Antoinette ] Les beaux jours de Marie-Antoinette [ On joint : ] Marie-Antoinette et la fin de l'Ancien Régime 1781-1789 [ On joint : ] Marie-Antoinette aux Tuileries [ On joint : ] Marie-Antoinette et l'Agonie de la Royauté [ On joint : ] Les dernières années de Marie-Antoinette‎


‎Jolie série en reliure uniforme, réunissant les 5 volumes consacrés à Marie-Antoinette par Imbert de Saint-Amand (les deux premiers s'insérant dans la collection des "Femmes de Versailles", les trois derniers dans la collection des "Femmes des Tuileries"). Bons exemplaires (infimes frott., certains dos plus brunis, ex-libris gravé d'Ysabel Sanchez de Movellan) très bien reliés.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR250.00 (€250.00 )

‎MARIE-ANTOINETTE (Reine de France), SONNENFELS (Josef von), RIVALS (Pierre-Alexandre de) traducteur‎

Reference : 38239

(1781)

‎Premier discours prononcé par M. de Sonnenfels, Conseiller, après la mort de Marie-Thérèse, traduit de l'original allemand par M. de Rivals, ancien Garde-du-Corps & Pensionnaire du Roi. (RELIURE AUX ARMES DE MARIE-ANTOINETTE).‎

‎ 1781 In-8 (191 x 120 mm), plein maroquin rouge de l'époque, dos lisse entièrement orné d'une guirlande de fleurons dorés, plats encadrés de triples filets d'encadrement avec fleurons d'angle, armes de Marie-Antoinette dorées au centre, roulette sur les coupes, dentelle sur les chasses, tranches dorées, 24 p., (1) f. blanc. A la Haye; et se trouve à Paris, chez Esprit, libraire, au Palais Royal, 1781.‎


‎Précieux exemplaire aux armes de Marie-Antoinette: léloge funèbre de sa propre mère larchiduchesse dAutriche, dont la reine de France était lune des seize enfants.Fille aînée de lempereur Charles VI, Marie-Thérèse d'Autriche (Vienne, 1717-1780) est entrée dans la mémoire collective comme lune des grandes monarques de son siècle.Lauteur de cet éloge est le juriste et homme de lettres Joseph von Sonnenfels (1732-1817). Issu dune famille juive convertie au christianisme, il est lun des principaux représentants autrichiens de la doctrine du despotisme éclairé. Il avait amorcé une triple carrière denseignant, dhomme de lettres et de juriste sous Marie-Thérèse, qui le nomma au Conseil de Bohême, puis à la Cour dAutriche et au Conseil détude et de censure.Le traducteur Pierre Alexandre de Rivals, ancien Garde du Roi, devint sous-lieutenant de Maréchaussée de Bourgoin en Dauphiné en 1789.(Cf. M.-A. Arnould, "Les oraisons funèbres de Marie-Thérèse" in 'Bulletin de la Classe des lettres et des sciences morales et politiques', T. 66, 1980, p. 455-486).WorldCat ne recense que 5 exemplaires de cet ouvrage dans le monde: un à Harvard, quatre à la BnF. Un de ces exemplaires de la BnF possède une reliure aux armes du comte de Vergennes, dédicataire de cet ouvrage.Les armes frappées ici figurent à lidentique sur les reliures de plusieurs exemplaires appartenant à Marie-Antoinette conservés au château de Versailles dont: 'Les Lacunes de la philosophie', par François Louis dEscherny (1783), reproduites sur le site du château.Quelques infimes épidermures.Très bel exemplaire. ‎

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Phone number : 33 01 47 07 40 60

EUR12,000.00 (€12,000.00 )

‎[ Portraits de Femmes. Publication Artistique bimensuelle] - ‎ ‎Collectif ; [ HENRIOT, Emile )‎

Reference : 61047

(1910)

‎Portraits de Femmes. Publication Artistique bimensuelle (51 Numéros. Du numéro 1 de janvier 1910 au n° 51 de janvier 1913) Diane de Poitiers - Madame Récamier - Sophie Arnould - Mademoiselle George - Ninon de Lenclos - Madame Tallien - Madame de Montespan - Lady Hamilton - La Cencsi - Madame du Barry - La Grassini - Les deux femmes de Rubens - Eve - La femme de Greuze - La Princesse de Lamballe - Mme Vigée-Lebrun - Catherine de Russie - Madame de Sévigné - Madame Roland - Marie-Louise - Les femmes de Rembrandt - Marie Stuart - Marie-Louise - La Duchesse d'Angoulême - Madame Favart - Madame de Pomapdour - Madame Dorval - Mme de Longueville - Marie Dorval - Charlotte Corday - Mlle Duthé - Mme d'Epinay - Marguerite de Valois - Lucile Demoulins - George Sand - Marie-Félicie des Ursins - Pauline Borghèse - Marie-Antoinette - La Vallière - La Duchesse de Berry - Madame de La Vallière - Duchesse de Choiseul - Madame de Tencin - Mme de la Popelinière - Christine de Suède - Mlle Taglioni - Virginie Déjazet - La Reine Hortense - Catherine de Médicis - Mme de Girardin - Jeanne d'Arc - Louise Colet‎

‎51 numéro in-12 br., Portraits de Femmes. Publication Artistique bimensuelle, 1910 - 1913, 8 pp. par numéro. Rappel du titre complet : Portraits de Femmes. Publication Artistique bimensuelle (51 Numéros. Du numéro 1 de janvier 1910 au n° 51 de janvier 1913) Diane de Poitiers - Madame Récamier - Sophie Arnould - Mademoiselle George - Ninon de Lenclos - Madame Tallien - Madame de Montespan - Lady Hamilton - La Cencsi - Madame du Barry - La Grassini - Les deux femmes de Rubens - Eve - La femme de Greuze - La Princesse de Lamballe - Mme Vigée-Lebrun - Catherine de Russie - Madame de Sévigné - Madame Roland - Marie-Louise - Les femmes de Rembrandt - Marie Stuart - Marie-Louise - La Duchesse d'Angoulême - Madame Favart - Madame de Pomapdour - Madame Dorval - Mme de Longueville - Marie Dorval - Charlotte Corday - Mlle Duthé - Mme d'Epinay - Marguerite de Valois - Lucile Demoulins - George Sand - Marie-Félicie des Ursins - Pauline Borghèse - Marie-Antoinette - La Vallière - La Duchesse de Berry - Madame de La Vallière - Duchesse de Choiseul - Madame de Tencin - Mme de la Popelinière - Christine de Suède - Mlle Taglioni - Virginie Déjazet - La Reine Hortense - Catherine de Médicis - Mme de Girardin - Jeanne d'Arc - Louise Colet‎


‎Rare série bien complète des 51 premiers numéros de cette intéressante série publicitaire médicale, dont le texte est rédigé par Emile Henriot. Bon ensemble, quasi complet (manifestement la série ne dépassa pas les 52 numéros).‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR295.00 (€295.00 )

‎HENRIETTE-MARIE de FRANCE.‎

Reference : 115936

(1884)

‎Lettres inédites de Henriette-Marie de France, reine d'Angleterre. Publiées par le comte de Baillon.‎

‎ P., Didier et Cie, 1884, in-12, vi-257 pp, 2e édition revue, un fac similé dépliant hors texte, broché, qqs rares rousseurs, bon état‎


‎Henriette-Marie est la fille de Henri IV et l'épouse de Charles Ier d'Angleterre. Elle naquit au Louvre le 25 novembre 1609, soit un an avant l'assassinat de son père. Elle était la sixième enfant et la troisième fille d'Henri IV et de Marie de Médicis. Elle épouse sur la volonté de son frère Louis XIII, en 1626, Charles Ier d'Angleterre qui était le petit fils de Marie Stuart. Ce fut Buckingham qui vint chercher la jeune reine à Paris pour la présenter à son mari le roi d'Angleterre qui n'avait pas pu se déplacer. C'est au cours de cette cérémonie qui eut lieu au Louvre que se tissèrent les liens mystérieux entre le duc de Buckingham et Anne d'Autriche, raconté à sa façon par Alexandre Dumas dans “Les trois mousquetaires”. La première partie de la vie d'Henriette-Marie, dont le portrait se trouve à l'ambassade d'Angleterre à Paris, fut assez mouvementée, jusqu'au moment où elle fut obligée de fuir l'Angleterre à cause des rivalités entre son mari et Cromwell qui finira par le faire exécuter. Henriette-Marie, qui a donné son nom à un état des États-Unis, le Maryland, sera obligée de quitter l'Angleterre avec ses deux enfants dont l'un Charles, deviendra Charles II, pour échapper aux poursuites de Cromwell. C'est auprès de son frère Louis XIII, qu'elle vivra cette période chaotique de l'Angleterre qui le fut également pour la France, puisque ce fut celle de la Fronde. C'est un miracle pour elle de survivre à l'assassina de son mari, s'assumer la protection de ses enfants, bravant le dénuement le plus complet. Son fils put gagner l'île de Jersey puis l'Écosse et l'Irlande et réussit après la mort de Cromwell à regagner son trône. Mais ceci ne facilita pas la vie d'Henriette-Marie qui malgré la sollicitude d'Anne d'Autriche, était tiraillée entre les tensions de la cour de France notamment au moment de la Fronde. La mort de Cromwell le 13 septembre 1758, va changer sa destinée et le 29 mai 1660 Charles revient triomphalement à Londres, date coïncidant avec le mariage de Louis XIV avec l'infante d'Espagne, Marie-Thérèse. Henriette-Marie se décide alors, accompagnée de sa fille Henriette à rejoindre son fils à Londres. Elle vécut encore pendant dix ans entre Londres et Paris, assez peinée de voir les dilapidations des finances du royaume d'Angleterre par son fils Charles II. Elle devait mourir le 3 août 1669 à l'âge de soixante ans, un deuil général fut ordonné dans toute l'Angleterre et quarante huit heures plus tard, Bossuet montra en chaire pour prononcer l'oraison funèbre d'Henriette-Marie de France, reine d'Angleterre. ‎

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Phone number : 01 43 54 43 61

EUR40.00 (€40.00 )

‎DE SOLMS, Marie ; BONAPARTE WYSE, Marie Laetitia ; [ RATTAZZI, Marie ]‎

Reference : 48591

(1858)

‎L'Amour se change en Haine aussitôt qu'il expire... Proverbe-Idylle en deux tableaux , en vers, par Madame Marie de Solms, née Bonaparte-Wyse [ Livre dédicacé par l'auteur ] [ Edition originale ] [ On joint : ] Les Matinées d'Aix-les-Bains. Première Année N°4 25 Juillet 1858‎

‎Dédié à M. E. Dumas, en remercîment de sa gracieuse interprétation du rôle de Raymond qu'il a créée, 1 brochure in-4 sous couv. verte d'origine, s.d. [ 1858 ], 17 pp. et un numéro in-4 br. 1858, pp. 121-160.Rappel du titre complet : L'Amour se change en Haine aussitôt qu'il expire... Proverbe-Idylle en deux tableaux , en vers, par Madame Marie de Solms, née Bonaparte-Wyse [ Livre dédicacé par l'auteur ] [ Edition originale ] [ On joint : ] Les Matinées d'Aix-les-Bains. Première Année N°4 25 Juillet 1858‎


‎Rare exemplaire du tirage à part, enrichi d'une dédicace par Marie de Solms "à M. E. Dumas, souvenir affectueux". E. Dumas fut le créateur du rôle principal de la présente pièce. On joint le numéro original des Matinées d'Aix-les-Bains dans lequel la pièce fut publiée. Bon état. Voir également dans notre catalogue un manuscrit de Marie de Solms, ainsi que plusieurs séries suivies des "Matinées d'Aix-les-Bains" provenant manifestement de la bibliothèque de cet "E. Dumas" qui a signalé en marge les passages évoquant ses prestations.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR220.00 (€220.00 )

‎MONTHEL (Gérard)‎

Reference : SPN-1027

(2014)

‎L’ÉCRIT ET L'IMAGE : ORDRE DE LA VISITATION SAINTE-MARIE. 1610. Une histoire du livre et de l'iconographie.‎

‎Saint-Just (Ain) : A. Bonavitacola, 2014. Fort volume broché 27,5x22,5cm, couverture noire illustrée, 587 pages très illustrées en noir et couleur, orientation bibliographique. [BE] https://historyofwomenreligious.org/gerard-monthel-ordre-de-la-visitation-sainte-marie-lecrit-et-limage-1610-une-histoire-du-livre-de-liconographie-st-just-editions-bonavitacola-2014/ ‎


‎Très richement renseigné et abondamment illustré sur et d'après des documents originaux (livres, estampes, tableaux, objets...), cet ouvrage de référence présente dans le détail cet "Ordre de Filles" dont la particularité était l'écrit, ordre nouveau dans sa manière de faire vivre en communauté la vocation de chacune (fait inhabituel au 17e siècle), qui allait connaître une expansion exceptionnelle en ce début de Grand Siècle. Contient : Le Saint Concile de Trente, œcuménique et général / Religieuse de l'Ordre de la Visitation Ste Marie / La construction des monastères de la Visitation Ste Marie / François de Sales, Jeanne de Chantal et le livre, la Visitation Ste Marie et l'édition / Le récit de voyage à la Visitation Ste Marie, la fondation des nouvelles maisons / Le livre dans le monastère, le livre relique, le livre mémoire / L'image à La Visitation Ste Marie, son lien harmonieux avec l'écrit / Enseignement à la Visitation Ste Marie : les "sœurs du petit habit" puis les pensionnaires / Le culte du Sacré-Coeur de Jésus / La Révolution à la Visitation Ste Marie.‎

Librairie Bois d'Encre - Moulins la Marche
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Phone number : 02 33 24 76 09

EUR70.00 (€70.00 )

‎Collectif‎

Reference : R110639697

(1975)

‎Cahiers marials n° 97 - Marie au coeur de son peuple, La prière de Marie par J. Cantinat, Marie et la terre d'Israël par H. Cazelles, Au pays de Marie par M. du Buit, Comment présenter Marie aujourd'hui surtout dans les Revues mariales par A. Bossard‎

‎Bureau de la revue. 1er avril 1975. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 65 à 128.. . . . Classification Dewey : 200-RELIGION‎


‎Sommaire : Marie au coeur de son peuple, La prière de Marie par J. Cantinat, Marie et la terre d'Israël par H. Cazelles, Au pays de Marie par M. du Buit, Comment présenter Marie aujourd'hui surtout dans les Revues mariales par A. Bossard, La Mère de Dieu première évangélisatrice du monde par P. Rywalski Classification Dewey : 200-RELIGION‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR19.80 (€19.80 )

‎Collectif‎

Reference : R110509883

(1999)

‎Christus n° 183 - Marie, celle qui a cru, Peut-on encore parler de Marie ? par Bernard Sesboüé, Marie entre catholiques et protestants par Michel Leplay, Marie, versus Israël et mère de l'église par Anne Marie Pelletier, De Cana a la croix par Jean‎

‎Assas éditions. Juillet 1999. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 260 à 382.. . . . Classification Dewey : 200-RELIGION‎


‎Sommaire : Marie, celle qui a cru, Peut-on encore parler de Marie ? par Bernard Sesboüé, Marie entre catholiques et protestants par Michel Leplay, Marie, versus Israël et mère de l'église par Anne Marie Pelletier, De Cana a la croix par Jean Zumstein Classification Dewey : 200-RELIGION‎

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EUR19.80 (€19.80 )

‎COLLECTIF‎

Reference : R240011247

(1965)

‎AGREGATION MARIANISTE n°15 àu n° 30 : Code de la vie intime avec Marie, A l'écoute du fondateur, Pourquoi imiter Marie ?,‎

‎J.B. ARMBRUSTER INSTITUTION SAINTE MARIE. 1964 - 1965. In-8. Cartonné. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Environ 420 pages. Dos toilé rouge avec numéro de classement écrit au stylo .. . . A l'italienne. Classification Dewey : 260-Théologie sociale chrétienne‎


‎Suite du sommaire : Qu'il t'advienne comme tu désire, Masse ou peuple?, Pour votre réflexion, Entre nous, Marie est ntore mère, Dévotion mariale : piété filiale, Enfance spirituelle et vie d'adulte avec Marie, Le pape nosu parle, Témoignage de Génadios Mourany, Mission apostolique de Marie, Les vertus de l'apôtre à l'exemple de Marie, Pour votre réflexion, Adèle de Trenquelléon, Témoignage du Chrétien, Dans la pratique... POur votre réflexion individuelle et collective, Visitation et Apostolat, Mère de tous les hommes, L'avent, La foi de Marie, Jalons : je ne sais pas me confesser, Apostolat marial et Action catholique, Extraits marials de B., La foi de l'apôtre à l'exemple de Marie, Pour votre réflexion, L'humilité de l'apôtre à l'exemple de Marie, Pour votre réflexions et votre enrichissement, Chapitre huit, Dévotion mariale et liturgie, ... De Rome, Fraternité Marianistes, L'appel universel à la sainteté, Groupements de Vie Evangélique, Echanges, La reine des apôtres, Congrès à Saint Domingue, Chapitre général des F.M.I., Classification Dewey : 260-Théologie sociale chrétienne‎

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EUR39.80 (€39.80 )

‎COLLECTIF‎

Reference : R240137203

‎MYSTERES DES CIVILISATIONS DISPARUES - Sur les traces de Marie - Marie contexte historique - Marie dans les écritures - Nazareth l'annonciation - Nazareth la grotte de l'annonciation - Bethléem Marie enfante le divin enfant etc.‎

‎NON PRECISE. NON DATE. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 95 pages - nombreuses illustrations en couleurs dans et hors texte - textes sur deux colonnes.. . . . Classification Dewey : 909-Civilisation‎


‎Sommaire : Sur les traces de Marie - Marie contexte historique - Marie dans les écritures - Nazareth l'annonciation - Nazareth la grotte de l'annonciation - Bethléem Marie enfante le divin enfant - Hérode le massacre des innocents - Jérusalem le Temple - Marie les noces de Cana - Marie mère de plusieurs enfants ? - Mont Sion l'esprit saint et la Dormition etc. Classification Dewey : 909-Civilisation‎

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EUR24.90 (€24.90 )

‎[L'Apôtre de Marie] - ‎ ‎Collectif ; Société de Marie ; Marianistes‎

Reference : 29927

(1946)

‎L'Apôtre de Marie. Echo des Oeuvres et des Missions de la Société de Marie (Série suivie du numéro 335 de Janvier 1946 au numéro 398 d'août-octobre 1958 )‎

‎53 fascicules br. et 1 vol. in-8 relié demi-percaline verte, L'Apôtre de Marie, 1946‎


‎Complet de Janvier 1946 à octobre 1958. Etat satisfaisant (plusieurs fascicules frottés). La Revue "l'Apôtre de Marie", qui fait suite aux 3 tomes de la revue "Le Messager de la Société de Marie", laquelle fut interrompue par les expulsions de 1903, se consacre plus particulièrement à la présentation de l'oeuvre missionnaire des marianistes. "Echo des Oeuvres et des Missions de la Société de Marie" puis "Organes des Missions et des Oeuvres", elle propose un panorama tout à fait remarquable et passionnant des développements de ces missions dans le monde entier : par exemple au Mexique (Durango.), en Europe (Autriche, Espagne, Belgique, Italie, Suisse.), avec une prédilection pour l'Amérique et l'Asie. On remarque ainsi les nombreux articles consacrés aux missions d'Asie, celles de Chine et surtout aux missions du Japon (Urakami, Tokyo, .) ainsi qu'aux missions développées aux Etats-Unis (Dayton, Cleveland, Colombus, Erie, Chicago, Honolulu aux Iles Sandwich futur Hawaï, etc.). Les comptes-rendus de mission, ou les visites pastorales des supérieurs en Asie ou en Amérique sont souvent illustrés et font l'objet d'articles du plus grand intérêt. ‎

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