24 books for « le prix du passage »Edit

‎LE CHARTIER (H.), LEGRAND (Ch.)‎

Reference : 561955

(1889)

‎Guide de France en Océanie et d'Océanie en France. Ouvrage orné de 32 gravures et accompagné d'une carte et du tableau des prix de passage, des distances et de la durée du voyage.‎

‎ P., Jouvet et Cie, 1889. Petit in-8, pleine percaline verte d’éditeur, ornée en noir et titre doré au dos et au premier plat, tranches rouges, [2]ff.-309 pp. + 16 pp (cat. d’éditeur), figures gravées h.-t. et 2 pl. dépliantes (carte et tableau). ‎


‎ Percaline lég. frottée, première charnière fendillée, carte dépliante fragilisée et fendue, sinon bon état intérieur. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €) ‎

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Phone number : +33 (0)3 25 71 67 98

EUR50.00 (€50.00 )

‎CHARTIER H. le & LEGRAND, Ch.‎

Reference : 16133

‎Guide de France en Océanie et d'Océanie en France. Ouvrage orné de 32 gravures et accompagné d'une carte et du tableau des prix de passage, des distances et de la durée du voyage. Furne. Jouvet et Cie. Éditeurs. 1889. ‎

‎1 volume in-12° relié pleine percaline verte, titre doré sur le plat supérieur et sur le dos lisse, filets d'encadrement noirs, une carte dépliante et un tableau dépliant, gravures ht, 300 p., des rousseurs, charnière inférieure intérieure en voie de fissuration progressive sinon bel état. ‎


Phone number : 06.31.29.75.65

EUR50.00 (€50.00 )

‎SEDEL Fred‎

Reference : 2039

(1965)

‎LE PRIX DU PASSAGE .‎

‎ 1965 Presses De France, 1965 ; in-8 (22 x 14), broché, couverture d'éditeur rempliée, 168 pages.‎


‎Légers accrocs à la couverture, intérieur frais . ‎

Betan - Livres anciens - Aix-en-Provence

Phone number : 09 50 05 07 45

EUR20.00 (€20.00 )

‎Collectif‎

Reference : R110647551

(1897)

‎L'illustré, soleil du dimanche n° 31 - Les distributions de prix, un prix de sagesse d'après L. Danty, Les uniformes de Guillaume II, Le retour des cloches par Jean Aicard, Alexis par Alexandre Dumas, Le passage de la Bérésina, d'après le tableau de Falat‎

‎Bureau du journal. 1er aout 1897. In-Folio. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte. Manque pages 11 à 14 (romans).. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎


‎Sommaire : Les distributions de prix, un prix de sagesse d'après L. Danty, Les uniformes de Guillaume II, Le retour des cloches par Jean Aicard, Alexis par Alexandre Dumas, Le passage de la Bérésina, d'après le tableau de Falat, Viande de boucherie par Pierre Loti Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR29.80 (€29.80 )

‎FAURE-DECAMPS Veuve DENTU, Mme Léonie ; BINOT DE VILLIERS‎

Reference : 44465

(1887)

‎[ La fin d'une Dynastie de Libraire-Editeur : Importantes archives réunissant 7 dossiers manuscrits datés de 1887 à 1892 relatifs à la liquidation de la Librairie Edouard Dentu ] I : Mémoire de Madame veuve Dentu [ Mémoire manuscrit autographe de Léonie Dentu, 8 pp. in-folio, circa 1887 : ] "Madame Veuve E. Dentu, mise en cause, en vertu d'insinuations dépourvues de tout fondement lui imputant des dépenses exagérées, et une gestion imprudente de ses biens et revenus personnels, croit devoir protester avec la dernière énergie contre les calomnies dirigées contre elle dans un but intéressé. Elle met ses adversaires au défi de fournir une seule preuve de tous les faits qu'ils ont allégués. Elle n'a pas d'autre réponse à faire que d'exposer la situation désastreuse qui lui a été créée par l'incurie des liquidateurs de la succession de son mari." [Suit tout le détail de la situation, depuis le décès d'Edouard Dentu le 13 avril 1884. On relève quelques passages :] " M. Sauvaître qui avait été institué administrateur judiciaire après le décès de M. Dentu, avait présenté au notaire liquidateur, sans livre, ni écriture de commerce, des inventaires et des bilans qui n'avaient aucun caractère d'authenticité. [...] Il n'a pu ou n'a voulu fournir aucune situation relativement à ses comptes ; il s'est refusé à dresser un nouvel inventaire, à ouvrir les livres exigés par la loi, à remettre aux employés comptables les pièces leur permettant de dresser les états qu'il ne voulait ou ne pouvait faire lui-même. De plus, par son imprévoyance il accumulait de nouvelles et lourdes charges pour la maison de librairie déjà durement éprouvée par la crise commerciale ; enfin il empiétait sur les prérogatives de Mme Dentu en traitant sans mandat les auteurs. Par exemple il faisait imprimer le livre "Le Gaga" et se hâtait de le mettre en vente malgré une défense expresse de Mme Dentu. Déjà blessée par l'attitude outrageante qu'il prenait à son égard, elle ne put se dispenser de le congédier après inutiles remontrances [ ... ] C'est ainsi que la reconstitution entière de la comptabilité et les rectifications d'écriture qui en étaient la conséquence n'ont pu être essayées qu'après le départ de M. Sauvaître à dater du 1er janvier 1886. Elles ont abouti en peu de temps à la constatation de la situation désastreuse qui avait été faite à Mme Dentu. [ Celle-ci se tourne en vain de tous côtés : ] Elle fit plusieurs versements pour une somme totale de 50000 fr. à la caisse de la librairie. Elle essaya en outre de s'associer des capitalistes. Dès le mois de juin 1886 un acquéreur présenté par M. de La Batut étudiait un projet d'achat dans des conditions paraissant avantageuses [ ... mais c'est l'échec. Elle souscrit un emprunt ] Mais malgré ses efforts et en raison des manoeuvres de concurrents et des ennemis acharnés surgissant de tous côtés contre elle, elle n'eut pu suffire à conjurer le péril d'une suspension de paiement si elle n'eût conclu en février 87 un acte d'association qui consacrait presque entièrement tous les avantages et toutes les prérogatives qu'on lui avait attribués lors du partage. Malheureusement la persistance de la crise commerciale et le danger de continuer les opérations qui pouvaient créer pour l'avenir des charges qu'elle n'eût été en état de supporter même partiellement l'obligèrent à conclure de nouveaux arrangements pécuniaires pour partager la responsabilité commerciale avec ceux des associés qui étaient mieux qu'elle en mesure d'en subir les conséquences, puis à se retirer entièrement, et définitivement par acte de cession du 1er octobre 87. [...] Sans entrer dans une discussion de chiffre quelconque, il est facile d'établir quelles sont les causes directes du déficit laissé par Dentu à son décès : ce sont exclusivement les dépenses personnelles engagées depuis l'année 1879 jusqu'à la fin de 1883, notamment l'achat de divers immeubles de plaisance, d'un prix élevé, coûteux d'entretien et sans revenus avec les frais d'aménagement d'installations et d'ameublement (sans parler de l'établissement de Mme de la Batut) ; les sommes déboursées pour ces différentes affaires dépassaient pour cette période 500000 fr., prélevés sur le compte courant du comptoir d'escompte c'est-à-dire les recouvrements effectués sur les clients de la librairie, le véritable actif commercial, qui n'était alors nullement disponible". [ etc.] II : Rapport d'arbitrage par Binot de Villiers daté du 26 novembre 1892. Contestation entre Madame Veuve Dentu Demanderesse d'une part et MM. Hippeau, Curel, Gougis, Richardin d'autre part [ Rapport d'arbitrage de 39 pp. manuscrites in-folio, détaillant avec grande clarté et précision le litige complexe opposant la Veuve Dentu à ses nouveaux associés, liés par divers contrats sur la seule année 1887. Remarquable document sur l'histoire de la librairie et de l'édition à la fin du XIXe siècle. On citera notamment ce passage : ] "Pour obtenir une avance de la librairie Dentu, un auteur promet d'apporter prochainement un manuscrit, et la librairie lui fait cette avance pour qu'il n'aille pas apporter son manuscrit ailleurs et c'est-à-dire pour s'assurer la préférence. Si l'auteur ne remplit pas sa promesse la librairie subit une perte presque toujours irrecouvrable. S'il remplit sa promesse, pas de difficultés si ce n'est qu'à ce moment on lui verse généralement le complément de ses droits d'auteur. Comme la librairie n'a d'espoir d'être remboursé que sur le produit de la vente et c'est ce qu'indique très clairement la convention du 13 octobre 1887, lorsqu'elle est édicte que le remboursement des avances se fera par voie de déduction sur les sommes auxquelles ont droit les auteurs, la librairie commence par déduire des droits d'auteur les avances déjà faites et ne se libère ensuite que contre remise du manuscrit. Elle ne court plus alors que le risque de l'insuccès de l'ouvrage." ; III : Liquidation de la Société Dentu & Cie dissoute le 30 juin 1887. Deuxième Compte [ 8 feuillets in-folio. Le rapport d'arbitrage indique : " à la date du 8 février 1887, une société était formée sous la raison sociale Dentu & Cie entre Mme Veuve Dentu et M. Hippeau, associés en nom collectif et M. Curel simple commanditaire ; mais quelques mois plus tard, c'est-à-dire le 16 juillet 1887, cette société était dissoute avec effet rétroactif aux 30 juin" ] ; IV : Compte Personnel de Mme Vve Dentu du 1er octobre 1887 au 30 Juin 1888 [ 1er et 2e compte, ensemble 4 feuillets in-folio ] ; V : Librairie Dentu. Société Curel Gougis et Cie. Compte Personnel de Madame Vve Edouard Dentu, période du 1er juillet au 8 novembre 1888 [ 4 ff. in-folio] ; VI : Lot d'une cinquantaine de feuillets d'inventaire, essentiellement Inventaire des Magasins de Ségur [ Comme le précise le rapport de l'arbitre, "Le magasin de l'avenue de Ségur n'était pas un magasin de vente était uniquement un lieu de dépôt choisi par Mme dentu dans une maison montée des propriétaires et elle seule avait la clé de ce dépôt où elle avait rassemblé les ouvrages qui n'étaient plus de vente courante."] ; VII : Compte Principal de Madame Dentu chez son mandataire M. Albert Baudry depuis le 10 décembre 1889 [ 4 feuillets in-4 sous chemise, daté du 31 mars 1892 ]‎

‎Important ensemble de 7 dossiers manuscrits datés de 1887 à 1892 relatifs à la liquidation de la Librairie Edouard Dentu ] I : Mémoire de Madame veuve Dentu [ Mémoire manuscrit autographe de Léonie Dentu, 8 pp. in-folio, circa 1887 : ] "Madame Veuve E. Dentu, mise en cause, en vertu d'insinuations dépourvues de tout fondement lui imputant des dépenses exagérées, et une gestion imprudente de ses biens et revenus personnels, croit devoir protester avec la dernière énergie contre les calomnies dirigées contre elle dans un but intéressé. Elle met ses adversaires au défi de fournir une seule preuve de tous les faits qu'ils ont allégués. Elle n'a pas d'autre réponse à faire que d'exposer la situation désastreuse qui lui a été créée par l'incurie des liquidateurs de la succession de son mari." [Suit tout le détail de la situation, depuis le décès d'Edouard Dentu le 13 avril 1884. On relève quelques passages :] " M. Sauvaître qui avait été institué administrateur judiciaire après le décès de M. Dentu, avait présenté au notaire liquidateur, sans livre, ni écriture de commerce, des inventaires et des bilans qui n'avaient aucun caractère d'authenticité. [...] Il n'a pu ou n'a voulu fournir aucune situation relativement à ses comptes ; il s'est refusé à dresser un nouvel inventaire, à ouvrir les livres exigés par la loi, à remettre aux employés comptables les pièces leur permettant de dresser les états qu'il ne voulait ou ne pouvait faire lui-même. De plus, par son imprévoyance il accumulait de nouvelles et lourdes charges pour la maison de librairie déjà durement éprouvée par la crise commerciale ; enfin il empiétait sur les prérogatives de Mme Dentu en traitant sans mandat les auteurs. Par exemple il faisait imprimer le livre "Le Gaga" et se hâtait de le mettre en vente malgré une défense expresse de Mme Dentu. Déjà blessée par l'attitude outrageante qu'il prenait à son égard, elle ne put se dispenser de le congédier après inutiles remontrances [ ... ] C'est ainsi que la reconstitution entière de la comptabilité et les rectifications d'écriture qui en étaient la conséquence n'ont pu être essayées qu'après le départ de M. Sauvaître à dater du 1er janvier 1886. Elles ont abouti en peu de temps à la constatation de la situation désastreuse qui avait été faite à Mme Dentu. [ Celle-ci se tourne en vain de tous côtés : ] Elle fit plusieurs versements pour une somme totale de 50000 fr. à la caisse de la librairie. Elle essaya en outre de s'associer des capitalistes. Dès le mois de juin 1886 un acquéreur présenté par M. de La Batut étudiait un projet d'achat dans des conditions paraissant avantageuses [ ... mais c'est l'échec. Elle souscrit un emprunt ] Mais malgré ses efforts et en raison des manoeuvres de concurrents et des ennemis acharnés surgissant de tous côtés contre elle, elle n'eut pu suffire à conjurer le péril d'une suspension de paiement si elle n'eût conclu en février 87 un acte d'association qui consacrait presque entièrement tous les avantages et toutes les prérogatives qu'on lui avait attribués lors du partage. Malheureusement la persistance de la crise commerciale et le danger de continuer les opérations qui pouvaient créer pour l'avenir des charges qu'elle n'eût été en état de supporter même partiellement l'obligèrent à conclure de nouveaux arrangements pécuniaires pour partager la responsabilité commerciale avec ceux des associés qui étaient mieux qu'elle en mesure d'en subir les conséquences, puis à se retirer entièrement, et définitivement par acte de cession du 1er octobre 87. [...] Sans entrer dans une discussion de chiffre quelconque, il est facile d'établir quelles sont les causes directes du déficit laissé par Dentu à son décès : ce sont exclusivement les dépenses personnelles engagées depuis l'année 1879 jusqu'à la fin de 1883, notamment l'achat de divers immeubles de plaisance, d'un prix élevé, coûteux d'entretien et sans revenus avec les frais d'aménagement d'installations et d'ameublement (sans parler de l'établissement de Mme de la Batut) ; les sommes déboursées pour ces différentes affaires dépassaient pour cette période 500000 fr., prélevés sur le compte courant du comptoir d'escompte c'est-à-dire les recouvrements effectués sur les clients de la librairie, le véritable actif commercial, qui n'était alors nullement disponible". [ etc.] II : Rapport d'arbitrage par Binot de Villiers daté du 26 novembre 1892. Contestation entre Madame Veuve Dentu Demanderesse d'une part et MM. Hippeau, Curel, Gougis, Richardin d'autre part [ Rapport d'arbitrage de 39 pp. manuscrites in-folio, détaillant avec grande clarté et précision le litige complexe opposant la Veuve Dentu à ses nouveaux associés, liés par divers contrats sur la seule année 1887. Remarquable document sur l'histoire de la librairie et de l'édition à la fin du XIXe siècle. On citera notamment ce passage : ] "Pour obtenir une avance de la librairie Dentu, un auteur promet d'apporter prochainement un manuscrit, et la librairie lui fait cette avance pour qu'il n'aille pas apporter son manuscrit ailleurs et c'est-à-dire pour s'assurer la préférence. Si l'auteur ne remplit pas sa promesse la librairie subit une perte presque toujours irrecouvrable. S'il remplit sa promesse, pas de difficultés si ce n'est qu'à ce moment on lui verse généralement le complément de ses droits d'auteur. Comme la librairie n'a d'espoir d'être remboursé que sur le produit de la vente et c'est ce qu'indique très clairement la convention du 13 octobre 1887, lorsqu'elle est édicte que le remboursement des avances se fera par voie de déduction sur les sommes auxquelles ont droit les auteurs, la librairie commence par déduire des droits d'auteur les avances déjà faites et ne se libère ensuite que contre remise du manuscrit. Elle ne court plus alors que le risque de l'insuccès de l'ouvrage." ; III : Liquidation de la Société Dentu & Cie dissoute le 30 juin 1887. Deuxième Compte [ 8 feuillets in-folio. Le rapport d'arbitrage indique : " à la date du 8 février 1887, une société était formée sous la raison sociale Dentu & Cie entre Mme Veuve Dentu et M. Hippeau, associés en nom collectif et M. Curel simple commanditaire ; mais quelques mois plus tard, c'est-à-dire le 16 juillet 1887, cette société était dissoute avec effet rétroactif aux 30 juin" ] ; IV : Compte Personnel de Mme Vve Dentu du 1er octobre 1887 au 30 Juin 1888 [ 1er et 2e compte, ensemble 4 feuillets in-folio ] ; V : Librairie Dentu. Société Curel Gougis et Cie. Compte Personnel de Madame Vve Edouard Dentu, période du 1er juillet au 8 novembre 1888 [ 4 ff. in-folio] ; VI : Lot d'une cinquantaine de feuillets d'inventaire, essentiellement Inventaire des Magasins de Ségur [ Comme le précise le rapport de l'arbitre, "Le magasin de l'avenue de Ségur n'était pas un magasin de vente était uniquement un lieu de dépôt choisi par Mme dentu dans une maison montée des propriétaires et elle seule avait la clé de ce dépôt où elle avait rassemblé les ouvrages qui n'étaient plus de vente courante."] ; VII : Compte Principal de Madame Dentu chez son mandataire M. Albert Baudry depuis le 10 décembre 1889 [ 4 feuillets in-4 sous chemise, daté du 31 mars 1892 ]‎


‎Important ensemble réunissant diverses pièces relatives au "naufrage" de la librairie Dentu, au lendemain du décès du grand éditeur Edouard Dentu. On notera un remarquable rapport d'arbitrage détaillant avec une grande clarté les litiges très complexes qui opposèrent la Veuve Dentu à ses nouveaux associés. L'arbitre plonge dans les arcanes de l'édition et de la librairie parisienne des années 1884-1890. Prix du lot, non séparable.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR1,400.00 (€1,400.00 )

‎BART, Léo ; BART, Jean ; BART, Charlemagne‎

Reference : 55268

(1915)

‎Belle correspondance personnelle et originale, adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917. Jean Bart fut successivement matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car pour l'essentiel non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917‎

‎94 cartes et LAS, auxquelles nous joignons quelques photos et quelques lettres postérieures. Belle correspondance personnelle adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917, adressée à Jean Bart, matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917‎


‎Passionnant ensemble, à analyser en profondeur. Prix de l'ensemble, non séparable.‎

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‎[Vingtrinier, Perrin, etc...] - ‎ ‎Collectif ; DARLES ; REVEL, Léonard ; PERRIN, Théodore ; PERICAUD, Marc-Antoine ; DARESTE DE LA CHAVANNE ; CHAPPUIS, C. ; FABISCH ; DESJARDINS, T. ; TISSEUR, Clair ; GAULOT, M.‎

Reference : 60334

(1850)

‎[ Recueil de 12 titres ] Traité des sept Espèces de Verbes de la Langue Française par M. Darles [ Suivi de : ] Eloge de Socrate. Collège de Vienne. Discours prononcé à la distribution des prix du 26 août 1850 par M. Léonard Revel [ Suivi de : ] De l'influence des Doctrines et de la Civilisation sur la Musique. Discours de réception à l'Académie des Sciences, Belles-Lettres et Arts de Lyon, lu dans la séance publique du 3 juillet 1855, par le Docteur Théodore Perrin [ Suivi de : ] Observations sur l'Histoire de Lyon de M. J. Morin, depuis 1789, par M. Marc-Antoine Péricaud, avocat [ Suivi de : ] Des Affinités de la Poésie et de l'Industrie dans l'Antiquité grecque, par J. Tisseur [ Suivi de : ] Macaulay et l'Histoire contemporaine. Discours prononcé à la rentrée des Facultés, le mercredi 28 novembre, par M. Dareste de la Chavanne [ Suivi de : ] Rapport adressé à M. le Ministre de l'Instruction Publique sur le passage d'Annibal dans les Alpes, par C. Chappuis [ Suivi de : ] De la Dignité de l'Art. Discours de Réception prononcé dans la séance publique de l'Académie impériale des sciences, belles-lettres et arts de Lyon, le 28 février 1860, par M. Fabisch, statuaire [ Suivi de : ] Notice sur l'Hôtel-de-Ville de Lyon, et sur les Restaurations dont il a été l'objet, par T. Desjardins [ Suivi de : ] Deux poètes provençaux par Clair Tisseur [ Suivi de : ] Inauguration de la Statue du Docteur Bonnet à Lyon, le 2 juillet 1862. Discours prononcés à cette cérémonie [ Suivi de : ] Procès-Verbal de l'audience solennelle de rentrée de la Cour Impériale de Lyon le 3 novembre 1863. Des Peines correctionnelles. Discours prononcé par M. Gaulot, procureur général‎

‎1 vol. in-8 reliure demi-basane noire, [ Recueil de 12 titres ] Traité des sept Espèces de Verbes de la Langue Française par M. Darles, 1 vol. in-8 br., Chez l'Auteur et Chez MM. Gibberton et Brun, Lyon, Chez MM. Périsse, Paris, 1847, 16 pp. [ Suivi de : ] Eloge de Socrate. Collège de Vienne. Discours prononcé à la distribution des prix du 26 août 1850 par M. Léonard Revel, 1 vol. in-8, Imprimerie et lithographie de Timon frères, Vienne, 1850, 23 pp. [ Suivi de : ] De l'influence des Doctrines et de la Civilisation sur la Musique. Discours de réception à l'Académie des Sciences, Belles-Lettres et Arts de Lyon, lu dans la séance publique du 3 juillet 1855, par le Docteur Théodore Perrin, 1 vol. in-8, Imprimerie de F. Dumoulin, Lyon, 1855, 39 pp. [ Suivi de : ] Observations sur l'Histoire de Lyon de M. J. Morin, depuis 1789, par M. Marc-Antoine Péricaud, avocat, 1 vol. in-8, Imprimerie d'Aimé Vingtrinier, Lyon, 1857, 15 pp. [ Suivi de : ] Des Affinités de la Poésie et de l'Industrie dans l'Antiquité grecque, par J. Tisseur, 1 vol. in-8, Imprimerie d'Aimé Vingtrinier, Lyon, 1859, 40 pp. [ Suivi de : ] Macaulay et l'Histoire contemporaine. Discours prononcé à la rentrée des Facultés, le mercredi 28 novembre, par M. Dareste de la Chavanne, 1 vol. in-8, Imprimerie d'Aimé Vingtrinier, Lyon, s.d., 24 pp. [ Suivi de : ] Rapport adressé à M. le Ministre de l'Instruction Publique sur le passage d'Annibal dans les Alpes, par C. Chappuis, Imprimerie et Librairie Administratives de Paul Dupont, Paris, 1860, 48 pp. [ Suivi de : ] De la Dignité de l'Art. Discours de Réception prononcé dans la séance publique de l'Académie impériale des sciences, belles-lettres et arts de Lyon, le 28 février 1860, par M Fabisch, statuaire, Imprimerie d'Aimé Vingtrinier, Lyon, 1860, 23 pp. [ Suivi de : ] Notice sur l'Hôtel-de-Ville de Lyon, et sur les Restaurations dont il a été l'objet, par T. Desjardins, Imprimerie d'Aimé Vingtrinier, Lyon, 1861, 44 pp. [ Suivi de : ] Deux poètes provençaux par Clair Tisseur, Imprimerie d'Aimé Vingtrinier, Lyon, 1862, 24 pp. [ Suivi de : ] Inauguration de la Statue du Docteur Bonnet à Lyon, le 2 juillet 1862. Discours prononcés à cette cérémonie, Imprimerie d'Aimé Vingtrinier, Lyon, 1862, 64 pp. [ Suivi de : ] Procès-Verbal de l'audience solennelle de rentrée de la Cour Impériale de Lyon le 3 novembre 1863. Des Peines correctionnelles. Discours prononcé par M. Gaulot, procureur général, Imprimerie de Louis Perrin, Lyon, 1863, 54 pp.‎


‎Bon exemplaire réunissant 12 impressions, souvent peu communes et pour l'essentiel lyonnaises, publiées entre 1847 et 1863. Un excellent aperçu de la production académique lyonnaise sur la période.‎

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EUR450.00 (€450.00 )

‎Collectif‎

Reference : R110425565

(1899)

‎La vie au grand air n° 65 - A la recherche de la peste par le Dr J.T., Le prix de l'élevage par A. de S., Le championnat de lutte par A. Lusciez, Le passage des palombes par P. Mégnin, Une nouvelle voiture électrique par G. Prade, Une révélation par G.‎

‎Pierre Lafitte & Cie. 10 décembre 1899. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 145 à 156. Nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎


‎Sommaire : A la recherche de la peste par le Dr J.T., Le prix de l'élevage par A. de S., Le championnat de lutte par A. Lusciez, Le passage des palombes par P. Mégnin, Une nouvelle voiture électrique par G. Prade, Une révélation par G. de L., Silhouettes d'escrimeurs par L. Perrée, Coralie et Cie par G. Lange, Soixante cerfs en une saison par G.L. Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎

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‎COLLECTIF‎

Reference : R110091638

(2014)

‎LA VIE DU RAIL N° 3471 - Les Grands Prix des Régions 2014, SNCF - L'entreprise a l'écoute du Net 24 heures sur 24, Paca - Le fuseau de passage de la ligne Provence Alpes Cote d'Azur a été arrêté par le ministère, Ile de France - Le tramway T8 en service‎

‎AU BUREAU DE LA REVUE. 11 JUIN 2014. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 51 pages. Nombreuses illustrations en couleur dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : Les Grands Prix des Régions 2014, SNCF - L'entreprise a l'écoute du Net 24 heures sur 24, Paca - Le fuseau de passage de la ligne Provence Alpes Cote d'Azur a été arrêté par le ministère, Ile de France - Le tramway T8 en service dès la fin de l'année Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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‎COLLECTIF‎

Reference : RO30214260

(1923)

‎LE SPORT UNIVERSEL ILLUSTRE - N°1051 - 20 avril 1923 / Longchamp, 15 avril, un passage dans le prix de Guiche / le concours hippique de Paris / le championnat du cheval d'armes 1923 / les grands matches de rugby : France-Irlande...‎

‎AU BUREAU DE LA REVUE. 1923. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. environ 30 pages augmentées de nombreuses photos et gravures en noir et blanc dans et hors texte - texte sur 2 colonnes. . . . Classification Dewey : 796.1-Sports divers‎


‎Sommaire : Longchamp, 15 avril, un passage dans le prix de Guiche / le concours hippique de Paris / le championnat du cheval d'armes 1923 / les grands matches de rugby : France-Irlande... Classification Dewey : 796.1-Sports divers‎

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Reference : RO30218610

(1926)

‎LE MIROIR DES SPORTS - N° 310 - 21 avril 1926 / le but du Portugal menacé par l'équipe de France de football à Toulouse / les sports généraux gagnent le prix d'athlétisme Dezaux / un beau passage du tempoin entre coureurs indiens de relais...‎

‎AU BUREAU DE LA REVUE. 1926. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. paginé de 242 à 256 - nombreuses photos en noir et blanc dans et hors texte - texte sur plusieurs colonnes. . . . Classification Dewey : 796.1-Sports divers‎


‎Sommaire : le but du Portugal menacé par l'équipe de France de football à Toulouse / les sports généraux gagnent le prix d'athlétisme Dezaux / un beau passage du tempoin entre coureurs indiens de relais / une piste de course sur le toit d'un immeuble... Classification Dewey : 796.1-Sports divers‎

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Reference : R110525896

(2001)

‎Pèlerin Magazine n° 6196 - Rencontre avec Olivier Lebel, trésorier de l'eglise, Les incertitudes de la rentrée sociale, Le passage a l'euro fait-il flamber les prix ?, Chrétiens de Kabylie : vivre sa foi en terre d'Islam, Les pays du Nord sur le chemin‎

‎Bayard Presse. 31 aout 2001. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 100 pages. Nombreuses illustrations en couleurs dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 200-RELIGION‎


‎Sommaire : Rencontre avec Olivier Lebel, trésorier de l'eglise, Les incertitudes de la rentrée sociale, Le passage a l'euro fait-il flamber les prix ?, Chrétiens de Kabylie : vivre sa foi en terre d'Islam, Les pays du Nord sur le chemin de la réussite Classification Dewey : 200-RELIGION‎

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Reference : R110548036

(1921)

‎Etudes tome 167 n° 10 - La sainteté et l'enfance, nellie du dieu saint par Victor Poucel, Juste prix, salaire familiale et caisses de compensation par Henri du Passage, L'anglicanisme et les problèmes du temps présent, a propos de la sixième conférence‎

‎Bureaux des Etudes. 20 mai 1921. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 385 à 512.. . . . Classification Dewey : 240-Théologie morale et spirituelle‎


‎Sommaire : La sainteté et l'enfance, nellie du dieu saint par Victor Poucel, Juste prix, salaire familiale et caisses de compensation par Henri du Passage, L'anglicanisme et les problèmes du temps présent, a propos de la sixième conférence de Lambeth (suite et fin) par François Datin Classification Dewey : 240-Théologie morale et spirituelle‎

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‎Sylvain Dominique‎

Reference : 500037253

(2004)

ISBN : 9782878581881

‎Passage du désir - Prix des lectrices ELLE 2005‎

‎Viviane Hamy 2004 300 pages in8. 2004. Broché. 300 pages.‎


‎Très bon état - légères marques de lecture et/ou de stockage mais du reste en très bon état- expédié soigneusement depuis la France‎

Démons et Merveilles - Joinville

Phone number : 07 54 32 44 40

EUR4.00 (€4.00 )

‎Sylvain Dominique‎

Reference : 12703

(2004)

ISBN : 9782878581881

‎Passage du désir - Prix des lectrices ELLE 2005‎

‎Viviane Hamy 2004 300 pages in8. 2004. Broché. 300 pages.‎


‎French édition - très légères marques de lecture et/ou de stockage mais du reste en très bon état. Envoi rapide et soigné dans une enveloppe à bulle depuis la France‎

Démons et Merveilles - Joinville

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EUR5.00 (€5.00 )

‎PARIS-SOIR‎

Reference : RO80086022

‎Photographie du passage de la rivière lors de la Victoire au Prix d'Auteuil , de Fandango IV‎

‎CHEZ L'AUTEUR. Non daté. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Une photographie en noir et blanc, de 15 x 20 cm.. . . . Classification : 1300-Photos Anciennes Situées‎


‎ Classification : 1300-Photos Anciennes Situées‎

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EUR39.80 (€39.80 )

‎COLLECTIF‎

Reference : R110086368

(1882)

‎COSMOS - LES MONDES N° 15 - Prix volta de 50.000 francs, congrès scientifique au Canada, Voyage le plus rapide, Préparation de l'oxygène a froid, Passage de Vénus du 6 décembre, Production annuelle de plomb, Tremblements de terre en 1881‎

‎BUREAUX DU COSMOS-LES-MONDES. 9 DECEMBRE 1882. In-12. Broché. Bon état, Livré sans Couverture, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 561 à 600.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Revue hebdomadaire des sciences et de leurs applications aux arts et a l'industrie. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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EUR24.90 (€24.90 )

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Reference : R110091693

(2015)

‎LA VIE DU RAIL N° 3526 - Voyageurs - Des portillons sur les quais pour barrer le passage aux fraudeurs, Grand Prix des Régions 2015, L'atelier du Tramway sur la piste du tram moins cher, Louis Nègre- Deux milliards vont manquer au ferroviaire chaque année‎

‎AU BUREAU DE LA REVUE. 3 JUILLET 2015. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 51 pages. Nombreuses illustrations en couleur dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎ Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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Reference : R110093217

(1967)

‎L'ASTRONOMIE - 81e ANNEE - Ch. Fehrenbach : André Danjon, son oeuvre scientifique, J. Rosch : Les progrès de l'astronomie, Une nouvelle comète découverte 4 ans après son passage, Prix et médailles décernés par la Société, Nouvelles de la science, Variétés‎

‎SOCIETE ASTRONOMIQUE DE FRANCE. OCTOBRE 1967. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 365 à 404. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte. Annotation sur la couverture.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎ Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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Reference : RO20108107

(1866)

‎LA VIE PARISIENNE 4e année - N° 32 - PASSAGE DE TROUPES, souvenirs d'Allemagne, par MARCELIN - LES TOILETTES DE LA PRINCESSE X - PRUSSIENS ET AUTRICHIENS, SOUVENIRS D'ALLEMAGNE - LA FIN DE L'ANNEE SCOLAIRE ET LA DISTRIBUTION DES PRIX...‎

‎AU BUREAU DU JOURNAL. 11-08-1866. In-4. Broché. Bon état, Livré sans Couverture, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 435 à 448. Nombreuses illustations et gravures en noir et blanc, dans le texte et hors texte. Texte sur deux colonnes.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Revue hebdomadaire (tous les samedis) dirigée par Marcelin. Moeurs élégantes, Choses du jour, Fantaisies, Voyages, Théâtre, Musique, Modes. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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Reference : R320079956

(1913)

‎PAGES FOLLES - 5ème année - N°37 - 14 SEPTEMBRE 1913 -LA COUPE - SELECTION - LES MAITRES HUMORISTES - LE SOSIE DE MUSSET - LA MATRENELLE - LA VOCATION CONTRARIEE - LA NORMANDIE - PETIT GUIDE DE L'ETRANGER A PARIS - PRIX COUTRANT - LE BON PASSAGE A TABAC‎

‎PAGES FOLLES. 1913. In-4. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages - augmentées de nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte - 1er et dernière pages en couleurs par VEL - H. ARMENGOL. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Imprimeur gérant : J. DELABROISE Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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Phone number : 05 57 411 411

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‎Sylvain Dominique‎

Reference : 276031

(2004)

ISBN : 2878581881

‎Passage du désir - Prix des lectrices ELLE 2005‎

‎Viviane Hamy 2004 300 pages in8. 2004. Broché. 300 pages.‎


‎Bon Etat intérieur propre‎

Un Autre Monde - Val Couoesnon

Phone number : 07.69.73.87.31

EUR4.00 (€4.00 )

‎EBEL. - RICHARD.‎

Reference : 82705

Phone number : 41 26 323 23 43

CHF100.00 (€102.35 )

‎HAUTE SAONE SALSA‎

Reference : 11290

Bouquinerie70 - combeaufontaine

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