2657 books for « le lieutenant »Edit

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‎ LANGALLERY (Philippe des Gentils, Marquis de). ‎

Reference : 5947

(1743)

Phone number : 06 12 23 97 16

EUR350.00 (€350.00 )

‎DUCHESNE‎

Reference : 4645

‎Code de la Police, ou Analyse des règlemens de police. Divisé en douze titres. Par M. D****, conseiller du Roi, lieutenant général de police de la ville de .....‎

‎ en Champagne. deuxieme édition revue, corrigée augmentéeÀ Paris, chez Prault père, 1758. in-12 de 507pages, Plein veau fauve marbré de l'époque, dos à nerfs cloisonné et fleuronné, pièce de titre , tranches marbrées Superbe etat , photo sur demande, belle reliure , interieur parfait ‎


‎Ray PF 6 ‎

Phone number : 06 12 23 97 16

EUR250.00 (€250.00 )

‎[GUÉRIN DE FRÉMICOURT (Jean-Nicolas)].‎

Reference : 5612

(1780)

‎Vie militaire de M. Guérin de Frémicourt, chevalier de lordre royale et militaire de Saint-Louis, lieutenant-colonel dinfanterie, major-commandant pour le Roi à LOrient : pour servir dinstruction et dexemple à son fils.‎

‎LOrient [Lorient] ; Imprimerie de L. C. R. Baudoin, 1780. 1780 1 vol. in-8° (215 x 145 mm) de : X (titre, dédicace, avis à mon fils) ; 229 pp. ; [3] ff. (table, errata). (rares tâches, ensemble frais). Étiquette de libraire collée au dos du premier plat : Ouvrage excessivement rare. Plein veau marbré dépoque, dos lisse orné, double-filet doré encadrant les plats, tranches rouges, gardes de papier marbré. (reliure usée, trace de piece de titre).‎


‎Très rare édition originale et unique de cette autobiographie due à Jean-Nicolas Guérin de Frémicourt (1721-1790), militaire français, lieutenant-colonel et commandant de milices de l'Isle de France. Louvrage est illustré dun portrait de l'auteur en frontispice, gravé sur cuivre par Cathelin d'après Philippe. Comme indiqué en début douvrage, cette autobiographie militaire est principalement adressée à son fils et n'était pas vouée à être mise en vente. En effet, il sagit dun ouvrage privé exclusivement destiné à sa famille et à ses amis militaires. « Ce livre aura l'avantage, je crois unique, de ne point faire regretter l'argent que l'on y mettra, car il n'en sera vendu aucun exemplaire. Ceux des militaires qui en désireront, s'adresseront directement à moi, en m'indiquant le moyen de le leur faire parvenir, je distribuerai de même toute l'Edition et m'estimerai trop heureux si je puis laisser après moi des preuves de mon dévouement à ma patrie et à mon état. » Une très importante partie du présent ouvrage concerne l'Isle de France (Ile Maurice) et Lile Bourbon (La Réunion). Il sagit notamment pour lauteur de présenter les dispositions à prendre pour la défense de l'Isle de France. Jean-Nicolas Guérin de Frémicourt, né en 1721, gravit progressivement les échelons de l'armée, passant de lieutenant en second en 1735 à lieutenant en 1743, puis à aide-major en 1744. Il devient par la suite capitaine en 1746, et en 1756, obtient une commission de lieutenant-colonel. En 1756, il est choisi pour commander et discipliner les troupes des Isle de France et de Bourbon. À cet effet, il reçoit un brevet de lieutenant-colonel d'infanterie du roi ainsi qu'un traitement en tant qu'administrateur en second de l'île de France de la part de la Compagnie des Indes. Il séjourne alors sur l'île de France du 13 mars 1757 au 5 octobre 1762 où il est chargé des services de soutien à l'expédition de Lally-Tollendal. Malgré les défis et les difficultés liés à l'état de dénuement de l'île, il a rempli brillamment cette tâche ingrate et complexe. En 1759, il élabore notamment un plan de défense de l'île qui inspirera ceux qui travailleront à la fortification de la colonie après lui. Il conclut sa carrière en tant que commandant au service du roi à Lorient. Bel exemplaire de cette très rare autobiographie privée. 1 vol. 8vo (215 x 145 mm) of : X (title, dedication, " notice to my son ") ; 229 pp. ; [3] ff. (table, errata). (few stains, fresh overall). Bookseller's label affixed to spine of front cover: "Excessively rare work...". Contemporary full marbled calf, ornate smooth spine, double gilt fillet framing the boards, red edges, marbled paper endpapers (binding worn). Very rare first and only edition of this autobiography by Jean-Nicolas Guérin de Frémicourt (1721-1790), a French military officer, lieutenant-colonel and commander of the militia at Isle de France. The work is illustrated with a frontispiece portrait of the author, copper-engraved by Cathelin after Philippe. As indicated at the beginning of the book, this military autobiography is primarily addressed to his son, and was not intended for sale. Indeed, it is a private work intended exclusively for his family and military friends. "This book will have the advantage, I believe unique, of not making anyone regret the money they put into it, as no copy will be sold. I will distribute the entire edition in the same way, and I will be only too happy if I can leave behind me proof of my devotion to my country and my state. A large part of the present work concerns Isle de France (Mauritius) and Ile Bourbon (Reunion Island). In particular, the author presents the measures to be taken for the defense of Isle de France. Jean-Nicolas Guérin de Frémicourt, born in 1721, rose steadily through the ranks of the army, from second lieutenant in 1735 to lieutenant in 1743, then to aide-major in 1744. He became captain in 1746, and in 1756 was commissioned lieutenant-colonel. In 1756, he was chosen to command and discipline the troops on the Isle de France and Bourbon. To this end, he received a brevet as lieutenant-colonel of the king's infantry, as well as a salary as second administrator of the Isle of France from the Compagnie des Indes. He stayed on the Isle of France from March 13, 1757 to October 5, 1762, where he was in charge of support services for the Lally-Tollendal expedition. Despite the challenges and difficulties of the island's destitute state, he performed this complex and thankless task brilliantly. In 1759, he drew up a plan for the island's defense that would inspire those who would work on fortifying the colony after him. He ended his career as a commander in the king's service at Lorient. A fine, well-preserved copy of this very rare private autobiography.‎

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EUR2,800.00 (€2,800.00 )

‎DANOVSK (lieutenant Carl-August von)-[STOLBERG-WERNIGERODE (Christian-Ernest, comte de)].‎

Reference : 5644

(1766)

‎Accurate vorstellung der sämtlichen churfürst trouppen. Accurate Vorstellung der Samtlichen Churfürsts Sächsitz : TROUPPEN. Worinnen zur eigentlichen Kentnis der Uniform von jedem Regimente ein Officier und Semeiner in völliger Montirung und ganzer Statur nach dem Leben abgebildet sind. Nebst beigefügter Nachricht der Urkunde. 1.) Von der Stiftung. 2). denen Chefs 3) der Stärcke und. 4) der in Friedenszeiten habenden Garni?ons jeden Regiments oder separirten corps heraus gegeben und gezeichnet von. Carl Aug. v. Danowsky Lieut. ci devant des Ingen. [Présentation précise de l'ensemble des troupes de l'électorat de Saxe. Dans laquelle, pour la connaissance réelle de l'uniforme de chaque régiment, un officier et un semainier sont représentés en action en tenue complète et en pleine stature. Avec le message joint du certificat. 1.) De la fondation. 2). Des chefs. 3) de force et. 4) De la garnison en temps de paix de chaque régiment ou en corps séparé. Délivré et signé par Carl Aug. V. Danowsky, Lieutenant ci devant Ingénieur.] [[Precise presentation of all the troops of the electorate of Saxony. In which, for the actual acquaintance with the uniform of each regiment, an officer and a weekman are represented in action in full dress and in full stature. With the certificate message attached. 1.) From the foundation. 2). Chiefs. 3) by force and. 4) Of the peacetime garrison of each regiment or separate corps. Issued and signed by Carl Aug. V. Danowsky, Lieutenant Engineer.]‎

‎Sans lieu, 1766. 1766 1 vol in-4° (257 x 160 mm.) manuscrit en langue allemande rédigé à l'encre brune de : [1] f. dépliant (page de titre à lencre rouge et noir dans un encadrement orné d'un blason, de pavillons et d'armes dessinés au lavis d'encre), [33] ff. comportant deux à trois gouaches d'officiers en uniforme pour un total de 67 dessins polychromes titrés surmontant des tableaux explicatifs. Ex-libris armorié gravé " Christian Ernest Grafzustolberg" contrecollé au dos du 1er plat. Plein vélin d'époque, dos lisse, titre doré avec date manuscrite, tranches jaspées de rouge.‎


‎Très beau manuscrit militaire illustré de 67 dessins polychromes présentant l'ensemble des troupes de l'électorat de Saxe en Allemagne, travail exécuté par le lieutenant ingénieur Carl Auguste Von Danowsky très certainement pour le comte Christian de Stolberg-Wernigerode, (1691-1771) dont il porte lex-libris. L'électorat de Saxe était un État du Saint-Empire romain germanique qui joua un rôle majeur dans l'histoire de l'Allemagne, situé au centre du pays. Il est né du duché de Saxe-Wittemberg en 1356, lors de la Bulle dor promulguée par lempereur Charles IV. Il disparaît lors de la dissolution du Saint-Empire en 1806. Lee dernier électeur, Frédéric-Auguste III, allié à Napoléon Ier, devient alors roi de Saxe. Par sa position géographique, cet état a été ainsi souvent été impliqué dans des conflits et doù limportance de son armée. Dans son titre, richement enluminé et surmonté dun blason, le lieutenant Daniovsky annonce son objectif de représenter pour chaque régiment un officier et un semainier (sous-officier) en action en tenue complète et en pleine stature. Chacun des 31 feuillets est consacré à un régiment. Il comporte un titre et deux à trois gouaches d'officiers en uniforme surmontant un tableau explicatif sur 4 colonnes : 1.) De la fondation. 2). Des chefs. 3) Des unités. 4) De la garnison en temps de paix de chaque régiment ou en corps séparé. Chaque portrait a été finement exécuté par cet officier ingénieur aux talents dartiste en coloris trés vifs (gouache, aquarelle, or et argent): Gardes du Corps, Carabiniers, Cuirassiers, Chevaux légers, gardes Suisses, Grenadiers, Infanterie, Fusillers, Mousquetaires, Invalides, Ingénieurs, Artillerie, Canonier et Hussards. Provenance : ex-libris gravé de Christian-Ernest, comte de Stolberg-Wernigerode, (1691-1771), homme politique allemand membre de la Maison de Stolberg. De 1710 à 1771, il gouverne le comté de Wernigerode, ville de Saxe-Anhalt en Allemagne.située dans les montagnes du Harz, qui devient une dépendance de Brandebourg-Prusse en 1714. Chevalier de l'Ordre de l'Aigle noir et Ordre de l'Union parfaite, il sert son cousin du côté de sa mère, le roi Christian VI de Danemark, en tant que conseiller privé de 1735 à 1745. Sous son règne, une grande activité de construction est entreprise dans le comté de Wernigerode. Le Lustgarten (Jardin d'Agrément) à Wernigerode est remodelé dans le style français et une Orangerie est installée. Il est également responsable de la construction du Wolkenhäuschen ("Cabane dans les Nuages"), un petit refuge sur le Brocken, la plus haute montagne du Harz. Il est très probable que ce comte soit le commanditaire du présent manuscrit Précieux document dune prestigieuse provenance demeuré très frais. 1 vol. 4to (257 x 160 mm.) manuscript in German written in brown ink of : [1] folding leaf (title page in red and black ink in a frame decorated with a coat of arms, flags and weapons drawn in ink wash), [33] ff. comprising two to three gouaches of officers in uniform for a total of 67 titled polychrome drawings surmounting explanatory tables. Engraved armorial bookplate "Christian Ernest Grafzustolberg" pasted on the back cover. Full contemporary vellum, smooth spine, gilt title with handwritten date, red speckled edges. Beautiful military manuscript illustrated with 67 polychrome drawings presenting all the troops of the Electorate of Saxony in Germany, work executed by the lieutenant engineer Carl Auguste Von Danowsky most certainly for the count Christian de Stolberg-Wernigerode, (1691-1771) whose ex-libris it bears. The Electorate of Saxony was a state of the Holy Roman Empire which played a major role in the history of Germany, located in the center of the country. It was born from the duchy of Saxony-Wittemberg in 1356, during the Golden Bull promulgated by Emperor Charles IV. It disappeared with the dissolution of the Holy Roman Empire in 1806. The last elector, Frederick-Augustus III, allied with Napoleon I, became King of Saxony. Due to its geographical position, this state was often involved in conflicts and hence the importance of its army. In his title, richly illuminated and surmounted by a coat of arms, Lieutenant Daniovsky announces his objective to represent for each regiment an officer and a semainier (non-commissioned officer) in action in full dress and in full stature. Each of the 31 sheets is dedicated to a regiment. It includes a title and two to three gouaches of officers in uniform surmounting an explanatory table in 4 columns: 1.) Of the foundation. 2). Of the leaders. 3) Units. 4) Of the peacetime garrison of each regiment or separate corps. Each portrait has been finely executed by this engineer officer with artistic talents in very vivid colors (gouache, watercolor, gold and silver): Gardes du Corps, Carabiniers, Cuirassiers, Chevaux légers, Gardes Suisses, Grenadiers, Infantry, Fusillers, Mousquetaires, Invalides, Engineers, Artillery, Canonier and Hussards. Provenance: engraved bookplate of Christian-Ernest, Count of Stolberg-Wernigerode, (1691-1771), German politician and member of the House of Stolberg. From 1710 to 1771, he governed the county of Wernigerode, a town in Saxony-Anhalt, Germany, located in the Harz Mountains, which became a dependency of Brandenburg-Prussia in 1714. Knight of the Order of the Black Eagle and Order of the Perfect Union, he served his cousin on his mother's side, King Christian VI of Denmark, as a privy councillor from 1735 to 1745. During his reign, a great deal of building activity was undertaken in the county of Wernigerode. The Lustgarten (Pleasure Garden) in Wernigerode was remodeled in the French style and an Orangery was installed. He is also responsible for the construction of the Wolkenhäuschen ("Hut in the Clouds"), a small refuge on the Brocken, the highest mountain in the Harz. It is very likely that this count is the sponsor of the present manuscript A precious document of a prestigious provenance that has remained very fresh.‎

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EUR7,500.00 (€7,500.00 )

Reference : 15231

(1903)

‎[Nantes. Journée du 4 mai 1903. Les Pères Prémontrés au Tribunal. Cas du Lieutenant Alphonse de Burgat].‎

‎, , 1903. Ensemble correspondances et copies manuscrites, coupures de presse, photographies et cartes postales classées sous enveloppes. ‎


‎Archives personnelles du lieutenant Alphonse de Burgat chargé du service d'ordre le 4 mai 1903 à Nantes le jour où les Pères Prémontrés étaient convoqués au tribunal. La deuxième expulsion des congrégations religieuses de France menée par le président du Conseil Émile Combes commencée à l'été 1902, s'intensifia avec la loi du 4 décembre qui frappait d'amende ou de prison "toute personne qui après ordonnance de fermeture continuerait les activités de l'établissement ou en favoriserait l'organisation ou le fonctionnement". A Nantes, dans un climat particulièrement tendu, les républicains voulurent appliquer à la lettre les décrets de mars 1880 et interdire tout enseignement aux congrégations. Le 4 mai 1903, les autorisations d'associations religieuses furent refusées ; les pères Prémontrés, ordre religieux installé dans le quartier Saint-Donatien, refusèrent d'obtempérer et furent convoqués au tribunal. Le Maire de la Ville de Nantes, Vu la lettre de M. le Procureur de la République en date du 3 mai et les rapports de M. le Commissaire Central, A l'honneur de le requérir M. le Général Commandant le 11ème Corps d'armée, Commandant d'armes de la place de faire sortir un demi escadron de cavalerie pour stationner sur la Place Louis XVI et ainsi qu'il en sera donné avis par MM. les Commissaires de police, interdire les attroupements tumultueux sur cette place et dans les rues de la ville et en se conformant à leurs indications. Nantes, le 4 mai 1903 Le Maire, Em. Sarradin. [En marge :] Reçu à 10h du matin et transmis pour exécution à Mr le Lieutenant de Burgat. Nantes le 4 mai 1903. Le Capitaine R. de Remy. En vertu de la loi du 10 juillet 1791 concernant la conservation et le classement des places de guerre et postes militaires, le lieutenant de Burgat opposa un mutisme absolu à un commissaire de police venu lui ordonner sans réquisition écrite une manoeuvre place Louis XVI le 4 mai 1903. Malgré un rapport favorable à l'officier, qui établit avec preuves la fausseté du rapport du policier, le lieutenant de Burgat fut puni de 30 jours d'arrêts de forteresse, le lendemain du retour du général Dupuis à Nantes. Alphonse de Burgat né le 28 juin 1862 à Dracy-le-Fort, s'engagea le 21 octobre 1880 au 7e dragons, passa par tous les grades de sous-officier avant d’être nommé sous-lieutenant le 30 octobre 1888 et muté au 12e dragons. Promu lieutenant le 1er novembre 1891, il rejoignit le 3e dragons le 5 octobre 1895. Muté au 13e dragons le 4 juin 1903, il fut promu capitaine le 12 juillet 1903. Il est fait Chevalier de la Légion d’Honneur le 30 décembre 1905. Il reprit du service en 1914 et partit au front mais trahit par sa santé, il dut rejoindre don domicile. Alphonse de Burgat est décédé le 16 décembre 1917. (Informations site "3e régiment de dragons"). L'année même des événements, l'officier réunissait pour mémoire de nombreuses pièces relatives à ce qu'il nomma "l'Affaire de Nantes", classées et inventoriées par ses soins en sept enveloppes chronologiques depuis la prise d'ordre du 4 mai 1903, l'enquête et la condamnation, la détention à la forteresse de Port-Louis, son élargissement, enfin sa nomination au grade de capitaine au mois de juin 1903. Certaines lettres mentionnées par Burgat dans ses bordereaux ne figurent pas dans le dossier. [Inventaire] : I. Bordereau des pièces ayant trait à mon affaire de Nantes 4 Mai 1903. 1. Réquisition du maire de Nantes 2. Note du Général Grisot relative au port du Manteau 3. Réquisition du Commissaire de police Cléro 4. Copie du rapport du commissaire de police (Note de Burgat - Ce rapport a été envoyé : une copie à la mairie de Nantes dans lequel le nom de Mr de Burgat ne figurait pas. Une seconde copie à la Préfecture, sur ce dernier le nom de Mr de Burgat figurait. Ces deux pièces ont été entre mes mains. Burgat.) 5. Copie du rapport adressé au colonel de Seroux chargé de l'enquête prescrite le 16 mai 1903 au sujet de l'incident de la place Louis XVI. 6. Ordre d'Arrêts. Le Général commandant le corps d'armée inflige au Lieutenant de Burgat 30 jours d'arrêt de forteresse - Une lettre (de Feriet) inscrite dans le bordereau de Burgat manqu. II. Coupure de presse et liste de lettres sans pièces jointes.III. Carte de la rade de Lorient (40x30 cm) et 2 photographies de "Port Louis en forteresse" (9 x 6 cm) et 1 photographie de la "Place Louis XVI - mon peloton" (107 x 78 mm).IV. Argus de la Presse le plus ancien Office de coupures de journaux : 50 coupures de presse relatives à l'affaire.V. Correspondance adressée à Burgat relative à Lestapis démissionnaire ; "petit dossier Lestapis".VI. 12 photographies de la manifestation du 4 mai 1903 (12 x 10 cm).VII. Brochure in-32 : Instructions en cas de troubles, d'après les lois et règlements, mises à jour au 1er mars 1893. Paris, Baudoin, 1893. 6 cartes postales de Port louis (dont 3 identiques, Vue générale), 1 coupure de presse et 1 copie de note VIII. 7 courriers adressés à Burgat après sa promotion au grade de capitaine. ‎

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EUR1,000.00 (€1,000.00 )

Reference : bd-5e810188f0bd1487

‎Memories from the Life of Imperial Russian Lieutenant General Johann von Blaramb‎

‎Memories from the Life of Imperial Russian Lieutenant General Johann von Blaramberg. Erinnerungen Aus Dem Leben des Kaiserlich Russischen General-Lieutenant Johann von Blaramberg. Berlin: Verlaag von E.H. Schroeder 1875./Vospominaniya iz zhizni imperatorskogo rossiyskogo general-leytenanta Ioganna fon Blaramberga. Erinnerungen Aus Dem Leben Des Kaiserlich Russischen General-Lieutenant Johann Von Blaramberg. Berlin: Verlaag von E.H. Schroeder 1875.Memories from the Life of Imperial Russian Lieutenant General Johann von Blaramberg. Erinnerungen Aus Dem Leben des Kaiserlich Russischen General-Lieutenant Johann von Blaramberg. Berlin: Verlaag von E.H. Schroeder 1875./Vospominaniya iz zhizni imperatorskogo rossiyskogo general-leytenanta Ioganna fon Blaramberga. Erinnerungen Aus Dem Leben Des Kaiserlich Russischen General-Lieutenant Johann Von Blaramberg. Berlin: Verlaag von E.H. Schroeder 1875.XII 430 2 p. 18.5x12.5 sm. SKUbd-5e810188f0bd1487.‎


FoliBiblio - Malden
EUR399.00 (€399.00 )

‎WIMPFEN (P. Christian de)‎

Reference : 002367

(1780)

‎Commentaires des Mémoires de Monsieur le Comte de Saint-Germain, Ministre & Secrétaire d'Etat de la Guerre, Lieutenant-Général des Armées de France, Feld-Maréchal au service de Sa Majesté le Roi de Dannemarck, Chevalier Commandeur de l'Ordre de l'Elephant‎

‎ Londres s.n. 1780 ‎


‎In-8 (217 x 142 mm), veau fauve moucheté, dos à cinq nerfs orné, pièce de maroquin rouge, alérions entre les nerfs, triple filet entourant les plats, armes au centre, filet sur les coupes, tranches mouchetées rouges (reliure d'époque). Edition originale. Exemplaire aux armes de Anne-Léon II de Montmorency, marquis de Fosseux (ou Fosseuse), puis duc de Montmorency, fils unique d'Anne-Léon Ier, baron de Montmorency, lieutenant général, et d'Anne-Marie-Barbe de Ville, sa première femme, appelé d'abord le marquis de Fosseuse, naquit le 11 août 1731 ; d'abord menin du Dauphin et capitaine-lieutenant des gendarmes de la reine, en mai 1745, il fut fait chevalier de Saint-Louis, le 3 avril 1758, et promu brigadier de cavalerie en décembre 1761, et maréchal de camp en juin 1753. Il émigra à Munster lors de la Révolution et mourut dans cette ville le 1er septembre 1799. Il avait épousé en premières noces, le 27 janvier 1761, Marie-Judith de Champagne et en secondes noces Anne-Françoise-Charlotte de Montmorency-Luxembourg, qui lui apporta en dot le duché de Montmorency. (OLIVIER, planche 810, 2). Ex-libris La Rochefoucauld duc de Bisaccia. (manque de cuir sur la coiffe inférieure, le bas du premier plat et le coin, rousseurs). // Octavo (217 x 142 mm), fawn speckled calf, spine tooled raised on five bands, red morocco label, piece of arms between the bands ("alérions"), triple fillet border on covers, central coat of arms, fillet on turns-in, red sprinkled edges (contemporary binding). First edition. Copy bearing the arms of Anne-Léon II de Montmorency, marquis de Fosseux (or Fosseuse), "puis duc de Montmorency, fils unique d'Anne-Léon Ier, baron de Montmorency, lieutenant général, et d'Anne-Marie-Barbe de Ville, sa première femme, appelé d'abord le marquis de Fosseuse, naquit le 11 août 1731 ; d'abord menin du Dauphin et capitaine-lieutenant des gendarmes de la reine, en mai 1745, il fut fait chevalier de Saint-Louis, le 3 avril 1758, et promu brigadier de cavalerie en décembre 1761, et maréchal de camp en juin 1753. Il émigra à Munster lors de la Révolution et mourut dans cette ville le 1er septembre 1799. Il avait épousé en premières noces, le 27 janvier 1761, Marie-Judith de Champagne et en secondes noces Anne-Françoise-Charlotte de Montmorency-Luxembourg, qui lui apporta en dot le duché de Montmorency". (OLIVIER, plate 810, 2). Bookplate La Rochefoucauld duc de Bisaccia. (lack of leather on bottom of spine, bottom and lower corner of first plate). ‎

Phone number : 01 43 59 28 11

EUR1,200.00 (€1,200.00 )

‎[Imprimerie Commerciale Marcellin Rey] - ‎ ‎Commission instituée par arrêté de M. le Lieutenant-Gouverneur de la Cochinchine‎

Reference : 47721

(1909)

‎Procès-Verbaux de la Commission instituée par arrêté de M. le Lieutenant-Gouverneur de la Cochinchine en date du 6 janvier 1909 pour examiner les propositions de M. l'Administrateur délégué de la Compagnie des Messageries Fluviales relatives au Service Postal et des correspondances fluviales et maritimes de la Cochinchine, du Cambodge et du Laos (2 Tomes - Complet) [ Avec : ] Commission instituée par arrêté de M. le Lieutenant-Gouverneur de la Cochinchine en date du 6 janvier 1909 pour examiner les propositions de M. l'Administrateur délégué de la Compagnie des Messageries Fluviales relatives au Service Postal et des correspondances fluviales et maritimes de la Cochinchine , du Cambodge et du Laos [ Avec : ] Projet de Contrat définitif présenté par la Commission‎

‎2 vol. in-8 reliure demi-percaline à coins rouge, Imprimerie Commerciale Marcellin Rey, Saïgon, 1909, 548-56 ; 532-59 pp.. Rappel du titre complet : Procès-Verbaux de la Commission instituée par arrêté de M. le Lieutenant-Gouverneur de la Cochinchine en date du 6 janvier 1909 pour examiner les propositions de M. l'Administrateur délégué de la Compagnie des Messageries Fluviales relatives au Service Postal et des correspondances fluviales et maritimes de la Cochinchine, du Cambodge et du Laos (2 Tomes - Complet) [ Avec : ] Commission instituée par arrêté de M. le Lieutenant-Gouverneur de la Cochinchine en date du 6 janvier 1909 pour examiner les propositions de M. l'Administrateur délégué de la Compagnie des Messageries Fluviales relatives au Service Postal et des correspondances fluviales et maritimes de la Cochinchine , du Cambodge et du Laos [ Avec : ] Projet de Contrat définitif présenté par la Commission‎


‎Très rare exemplaire bien complet, proposant une extraordinaire richesse documentaire sur l'état de la circulation fluviale et maritime de la Cochinchine, du Cambodge et du Laos au début du XXe siècle. Le compte-rendu des discussions fournit une grande diversité de points de vue. Etat moyen (dos du tome I très abîmé avec fort manque, qq. mouill. sur reliure et très petites mouill. marginale, bon état intérieur par ailleurs, exemplaire méritant d'être établi dans une reliure de qualité). Prix en l'état‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR750.00 (€750.00 )

‎LAURENT RENE- DE FOMMERVAULT- D'HERBECOURT-...‎

Reference : RO40040982

(1942)

‎Renaitre N°8, mars 1942 - Revue mensuelle de l'OFLAG VIII G- le sens moral par lieutenant baille- banderilles: les optimistes- cercle petain- servir la france par sous lieutenant lucot- cuisine: tarte aux confitures, beignets au fromage blanc, cake...‎

‎INCONNUE. 1942. In-4. Broché. Etat d'usage, Livré sans Couverture, Agrafes rouillées, Quelques rousseurs. 20 pages agrafées ( agrafes rouillées). Illustration en noir et blanc sur le 1er plat + quelques illustrations, dans et hors texte, en noir et blanc. 2 photos disponibles.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎"RARE - ""Revue mensuelle de l'OFLAG. VIII G."" par les prisonniers du camp de Oflag VIII. ""Un pays battu, s'il sait s'unir est un pays qui renait. Vive la france!"" - SOMMAIRE : le sens moral par lieutenant baille- banderilles: les optimistes- cercle petain- servir la france par sous lieutenant lucot- cuisine: tarte aux confitures, beignets au fromage blanc, cake...- le financement des plans en russie par sous lieutenant hue- spectacles par robert douce- bridge par lieutenant... Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues"‎

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EUR459.00 (€459.00 )

‎COLLECTIF‎

Reference : R110236201

(2007)

‎ICARE N° 201 - L'aéronautique de la Ve armée en aout et septembre 1914 par S. Nicolaou, La bataille de la Marne vue du ciel par le lieutenant Zapelli de l'escadrille D.6, le s/lieutenant Mathieu de l'escadrille V.24, le lieutenant Vuillemin‎

‎SYNDICAT NATIONAL DES PILOTES DE LIGNES. JUIN 2007. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 149 pages. Nombreuses illustrations en couleurs et noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 629.1-Aviation‎


‎Revue de l'aviation française. Sommaire :L'aéronautique de la Ve armée en aout et septembre 1914 par S. Nicolaou, La bataille de la Marne vue du ciel par le lieutenant Zapelli de l'escadrille D.6, le s/lieutenant Mathieu de l'escadrille V.24, le lieutenant Vuillemin de l'escadrille CM, le capitaine Gérard de la CM, L'aviation de cavalerie par le capitaine Massenet de Marancour Classification Dewey : 629.1-Aviation‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR39.80 (€39.80 )

‎COLLECTIF‎

Reference : R110235386

(1918)

‎LA GUERRE AERIENNE ILLUSTREE N° 86 - L'aviation de combat allemande dans la bataille par le commandant X, L'as des as au combat - souvenirs sur Guynemer par Jacques Mortane, Le tir contre avions par le lieutenant X, Le sous-lieutenant Mary, Deux héros‎

‎BUREAU DE LA REVUE. 4 JUILLET 1918. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 537 à 552. Nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 629.1-Aviation‎


‎Sommaire : L'aviation de combat allemande dans la bataille par le commandant X, L'as des as au combat - souvenirs sur Guynemer par Jacques Mortane, Le tir contre avions par le lieutenant X, Le sous-lieutenant Mary, Deux héros disparus : le sous-lieutenant Jannesse et le lieutenant Gauthier Classification Dewey : 629.1-Aviation‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR29.80 (€29.80 )

‎BART, Léo ; BART, Jean ; BART, Charlemagne‎

Reference : 55268

(1915)

‎Belle correspondance personnelle et originale, adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917. Jean Bart fut successivement matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car pour l'essentiel non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917‎

‎94 cartes et LAS, auxquelles nous joignons quelques photos et quelques lettres postérieures. Belle correspondance personnelle adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917, adressée à Jean Bart, matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917‎


‎Passionnant ensemble, à analyser en profondeur. Prix de l'ensemble, non séparable.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR950.00 (€950.00 )

‎Bougard, René (16..-171. ; lieutenant de vaisseau ). Cartographe‎

Reference : 20896

(1742)

‎Le petit flambeau de la mer ou le veritable guide des pilotes cotiers ; Où il est clairement enseigné la maniere de naviguer le long de toutes les Côtes de France, d'Angleterre, d'Irlande, d'Espagne, de Portugal, d'Italie, de Sicile, de Malte, de Corse & de Sardaigne, & autres isles de Detroit, & des cotes de Barbarie, depuis le Cap Bon jusqu'au Cap Verd comme aussi toutes les demonstrations des cotes de la maniere qu'elles paroissent de la mer, avec l'heure des marées en chaque port, & la chute des courans; de plus les sondes & profondeurs qui se rencontrent tant dedans que dehors le canal, la qualité des fonds avec tous les dangers qui y sont. Les plans & baies des principaux ports & havres y sont demontrés d'une maniere fort intelligible comme aussi tous les amers, & plusieurs autres plans et baies qui se rencontrent en allant aux Indes Orientales & une table des variations qui se trouvent tant en allant que revenant des Indes. Derniere edition par le feu Sieur Bougard, Lieutenant sur les vaisseaux du Roi revu, corrigé & augmenté‎

‎ 1742 Au Havre de Grace chez la Veuve de Guillaume Gruchet, Imprimeur & marchand libraire 1742; Avec privilege du Roy, IN8 reliure moderne demi chagrin tabac a coins,dos a nerfs,exemplaire rogné ,court de marge,(4) ff., 415 pp., + table non chiffrée,19 pp., nombreuses figures de contours et 68 cartes gravées sur bois dans le texte.Complet,mouillures claires en bas de quelques dizaines de feuillets,quelques ratures anciennes dans l’epitre,sinon frais,.rare edition.‎


‎Le routier le plus célèbre de la fin du XVIIe siècle fut Le Petit Flambeau de la mer du Normand R. Bougard maitre de navire au Havre, lieutenant de vaisseau du roi. Le Petit Flambeau de la mer connut de nombreuses éditions sans changements, douze au Havre entre 1684 et 1789, deux à Saint-Malo en 1785 et 1817 ainsi qu'une traduction anglaise avec des cartes différentes en 1801. C’est un manuel de cabotage comprenant des descriptions de côtes et des instructions succinctes pour entrer dans les ports. Ce livre servit surtout de manuel d'instruction dans les écoles d'hydrographie, ce qui explique le très grand nombre d'éditions. Ce fut le manuel de navigation le plus célèbre dans les écoles d'hydrographie. Le présent manuel est orné de nombreuses vignettes gravées sur bois, représentant des îles, côtes et ports d'Irlande, d'Angleterre, de France, Portugal, Espagne, Italie, Sicile, Malte, Afrique(Ile Bourbon etc) et Inde.Rare édition du routier le plus célèbre de la fin du XVIIe siècle. Cet ouvrage connu de nombreuses éditions sans changement, douze au Havre entre 1684 et 1789, était plutôt un manuel de cabotage, comprenant les descriptions de côtes et des instructions succinctes pour entrer dans les ports, avec des plans très sommaires gravés sur bois (ibid). Le livre maritime au siècle des Lumières, pp. 135-136 ; Frère, Manuel du bibliographe normand, 134 ; Quérard ne cite que l' édition de 1731. (I, p.447) ; J. A. Wolter, Images of the world: the atlas through history, p. 122. FINE EDITION OF THE MOST FAMOUS MARINE PILOT GUIDE FROM THE END OF THE 17TH CENTURY. This manual is illustrated with numerous woodcuts, representing islands, coasts, ports of Ireland, of England, France, Portugal, Spain, Italy, Sicily, Malta, Africa and India.A popular pilot guide, devoted largely to Europe, but with some harbors and coast of Africa, India, and islands included.Pour une présentation critique de cet atlas, se reporter à : Mireille Pastoureau, Les Atlas français (XVIe-XVIIe siècles) : Répertoire bibliographique et étude, Paris, 1984. ‎

Livres Anciens Komar - Meounes les Montrieux

Phone number : 33 04 94 63 34 56

EUR1,200.00 (€1,200.00 )

‎Lieutenant X‎

Reference : 400006805

(1930)

‎Lieutenant Max immelmann Mes vols de combat vécus et racontés vivien‎

‎ 1930 1930. Lieutenant Max Immelmann: Mes vols de combat vécus et racontés/ Librairie des Sciences Aéronautiques F.-Louis Vivien 1930 . Lieutenant Max Immelmann: Mes vols de combat vécus et racontés/ Librairie des Sciences Aéronautiques F.-Louis Vivien 1930‎


Démons et Merveilles - Joinville

Phone number : 07 54 32 44 40

EUR50.00 (€50.00 )

‎Lieutenant X‎

Reference : 400077950

(1967)

‎Edison marshall Lieutenant du bengale tout feu tout flammepresses 1967‎

‎Pocket 1967 1967. Edison Marshall: Lieutenant du Bengale tout feu tout flamme/ Presses Pocket 1967 Référence: LMA17A. Edison Marshall: Lieutenant du Bengale tout feu tout flamme/ Presses Pocket 1967‎


‎Bon état‎

Démons et Merveilles - Joinville

Phone number : 07 54 32 44 40

EUR2.00 (€2.00 )

‎DEJEAN, Maréchal de Camp (Lieutenant de Roi à Lille)‎

Reference : 5494

(1821)

‎Observations du Maréchal de Camp Déjean, Lieutenant de Roi à Lille, sur le personnel et l'Etat-Major des Places. [Joint : ] Place de Lille. Inspection générale de l'année 1821. Observations du général Déjean, Lieutenant de Roi.‎

‎Justifiant les motifs qui empêchent les Lieutenants de Roi d'établir encore un plan de service de déffense d'après les principes déterminés par les articles 83, 84, 85 et 86 du décret du 21 décembre 1811 ; 2 documents manuscrits d'époque in-4, de 17 pp. et 4 pp. , tous deux signés Déjean. ‎


‎"C'est une grande erreur dans laquelle tombent beaucoup de colonels de l'armée lorsqu'ils ont sous leurs ordres des officiers qui, par leur manque de conduite, ou leur impéritie, les trouvent incapables de servir dans leur régiment et qui, voulant s'en défaire, les proposent pour être employés dans les places..." Ces deux documents manuscrits sont riches de nombreux renseignements sur l'avancement, la solde, la retraite, et les uniformes des soldats du temps, ainsi que sur l'importance centrale de l'étiquette. L'annuaire de l'Etat militaire de la France pour 1821 confirme la présence, au commandement de la place de Lille, du Maréchal de Camp Antoine-Alexandre Dejean, Lieutenant de Roi de 1ère classe (18 nov. 1818). Bon ensemble (bon exemplaire pour le manuscrit principal, qq. rouss. et frottements en marge pour le document joint).‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR140.00 (€140.00 )

‎LA FAYETTE (Gilbert du Motier de), POIREY (Joseph-Léonard), BAILLY (Jean Sylvain), BOULA (Guillaume-Sylvain).‎

Reference : 4503

(1791)

‎Brevet de lieutenant de chasseurs volontaires de la Garde Nationale Parisienne.‎

‎Hotel de ville de Paris, 1er et 6 septembre 1791. 1791 1 feuille in-folio manuscrite à l'encre brune recto-verso (382 X 246 mm.) signée Henry, La Fayette, Bailly, Poirey et Dejoly, cachet en bas à droite (traces de plis avec cassures ancienement restaurées, taches ou traces d'adésif ). Chemise de papier ancien.‎


‎Brevet de lieutenant de la Garde Nationale Parisienne portant les signatures de Bailly, premier maire de Paris, de La Fayette, commandent fondateur de la garde et de Joseph-Léonard POIREY, son ancien compagnon darmes de la Guerre dAmérique, alors secrétaire général des Gardes nationales, document raturé postérieurement. Marie Joseph Paul Yves Roch Gilbert Motier, marquis de La Fayette (1757-1834), auréolé par son héroïsme à défendre les libertés pendant la guerre dindépendance américaine, est en 1789 le fondateur de la Garde nationale à Paris le 15 juillet 1789. Il en demeure le général jusquà sa démission le 8 octobre 1791 suite aux troubles révolutionnaires survenus les mois précédents. Joseph-Léonard Poirey (1748- , qui fut son secrétaire militaire pendant la Révolution américaine, participe à aux batailles à Petersburg, Jamestown et Yorktown. Rentré en France avec Lafayette, il sert comme capitaine secrétaire général de la Garde nationale française fin 1789 et ensuite secrétaire général des troupes parisiennes. En 1790, le Sénat des États-Unis confirme la nomination de Poirey par le président George Washington au grade de brevet de capitaine et, l'année suivante, il est admis dans la Society of the Cincinnati. George Washington écrit au sénat le 30 mai 1790 : « M. de Poirey served in the American Army for several of the last years of the late war, as Secretary to Major General the Marquis de la Fayette, and might probably at that time have obtained the Commission of Captain from Congress upon application to that Body. At present he is an officer in the French National Guards, and solicits a Brevet Commission from the United States of America. I am authorised to add, that, while the compliance will involve no expense on our part, it will be particularly grateful to that friend of America, the Marquis de la Fayette. Et La Fayette écrira le 20 avril 1801. « I do but justice to Captain [Joseph-Léonard] Poirey when being called upon as a witness of his services in the American Revolution... » Jean Sylvain Bailly (1736-1793), mathématicien, astronome, académicien, écrivain est désigné maire de Paris le 15 juillet 1789 par acclamation. C'est à ce titre qu'il remet la cocarde tricolore au roi, lors de la visite que celui-ci rend à l'hôtel de ville, le 17 juillet. Le 17 juillet 1791, la Garde nationale, sous ses ordres, tire sur les pétitionnaires qui se tiennent sur le Champ-de-Mars. Sa popularité tombe au plus bas et le 12 novembre, il démissionne. Le présent brevet établis au nom du lieutenant Guillaume-Sylvain Boula étant rédigé au début du mois de septembre 1791, il porte les signatures de Bailly et de La Fayette alors en fonction. Sy ajoute celle du greffier (Dejoly). Cependant, celle du général a été postérieurement barrée ainsi que les mots imprimés « Par Monsieur le Maire » et « Général ». Rare et beau document. 1 sheet in-folio handwritten in brown ink on both sides (382 X 246 mm.) signed Henry, La Fayette, Bailly, Poirey and Dejoly, stamped at the bottom right corner (traces of folds with old restored breaks, stains or traces of adesif ). Old paper folder. Patent of lieutenant of the Parisian National Guard bearing the signatures of Bailly, first mayor of Paris, of La Fayette, founding commander of the guard and of Joseph-Léonard POIREY, his former comrade-in-arms of the American War, then secretary general of the National Guard, document erased later. Marie Joseph Paul Yves Roch Gilbert Motier, marquis de La Fayette (1757-1834), honored by his heroism in defending liberties during the American war of independence, was the founder of the National Guard in Paris on July 15, 1789. He remained its general until his resignation on October 8, 1791, following the revolutionary unrest of the previous months. Joseph-Léonard Poirey (1748- , who was his military secretary during the American Revolution, participated in the battles at Petersburg, Jamestown and Yorktown. Returning to France with Lafayette, he served as captain general secretary of the French National Guard at the end of 1789 and then general secretary of the Parisian troops. In 1790, the U.S. Senate confirmed President George Washington's appointment of Poirey to the rank of captain and the following year he was admitted to the Society of the Cincinnati. George Washington wrote to the Senate on May 30, 1790: "M. de Poirey served in the American Army for several of the last years of the late war, as Secretary to Major General the Marquis de la Fayette, and might probably at that time have obtained the Commission of Captain from Congress upon application to that Body. At present he is an officer in the French National Guards, and solicits a Brevet Commission from the United States of America. I am authorized to add, that, while the compliance will involve no expense on our part, it will be particularly grateful to that friend of America, the Marquis de la Fayette. And La Fayette will write on April 20, 1801. "I do but justice to Captain [Joseph-Léonard] Poirey when being called upon as a witness of his services in the American Revolution..." Jean Sylvain Bailly (1736-1793), mathematician, astronomer, academician, writer was appointed mayor of Paris on July 15, 1789 by acclamation. It was in this capacity that he gave the tricolor cockade to the king during the latter's visit to the town hall on July 17. On July 17, 1791, the National Guard, under his orders, shot at the petitioners who were standing on the Champ-de-Mars. His popularity fell to a low point and on November 12, he resigned. The present patent established in the name of lieutenant Guillaume-Sylvain Boula being written at the beginning of September 1791, it bears the signatures of Bailly and La Fayette then in office. The clerk's signature (Dejoly) is added to it. However, that of the general was later crossed out as well as the printed words "Par Monsieur le Maire" and "Général". Rare and beautiful document.‎

J-F Letenneur Livres Rares - Saint Briac sur Mer
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‎COLLECTIF‎

Reference : RO40059047

(1950)

‎Revue du genie militaire - mai juin 1950- 52e annee, tome LXXXIII- le lieutenant badry (1915-1940), le barrage d'igli par lieutenant colonel roque, la casemate d'oberroedern nord, le creusement des galeries au rocher (I) par chef de bataillon lafferrerie‎

‎Ministere de la guerre / berger levrault. 1950. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement pliée, Coiffe en pied abîmée, Intérieur frais. Paginé de 209 à 294 . Quelques illustrations noir/blanc, dans et hors texte. Dos frotté.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎SOMMAIRE : le lieutenant badry (1915-1940), le barrage d'igli par lieutenant colonel roque, la casemate d'oberroedern nord (extrait de combats dans la ligne maginot) par lieutenant colonel de reserve rodolphe, le creusement des galeries au rocher (I) par chef de bataillon lafferrerie, les travaux d'assechement du zuiderzee par capitaine guerree... Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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‎Collectif‎

Reference : RO40047215

‎En ce temps là N°110 De Gaulle 14 Inédit: Le premier discours du lieutenant de Gaulle Sommaire: Inédit: Le premier discours du lieutenant de Gaulle; Londres: au plus noir du tunnel; Le lieutenant d'Arras...‎

‎Femmes d'aujourd'hui. non daté. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Agrafes rouillées, Intérieur frais. 30 pages augmentées de quelques photos en couleurs et enn noir et blanc dans texte.. . . . Classification Dewey : 944.0821-De Gaulle‎


‎Sommaire: Inédit: Le premier discours du lieutenant de Gaulle; Londres: au plus noir du tunnel; Le lieutenant d'Arras... Classification Dewey : 944.0821-De Gaulle‎

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‎DURIEZ MAURY-PINGET-LAURENT-DE FOMMERVAULT....‎

Reference : RO40040984

(1941)

‎Renaitre N°3, octobre 1941 - Revue mensuelle de l'OFLAG VIII G- a madame x pour son 80eme anniversaire par lieutenant tefra- appel par d'herbecourt- banderilles: lof pour lof- nos loyers par sous lieutenant deudon- la motocyclette vehicule populaire...‎

‎INCONNUE.. 1941. In-4. Broché. Etat d'usage, Livré sans Couverture, Agrafes rouillées, Quelques rousseurs. 20 pages agrafées ( agrafes rouillées). Illustration en noir et blanc sur le 1er plat par Carlut + quelques illustrations, dans le texte, en noir et blanc. 2 photos disponibles. 1er plat volant.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎"RARE - ""Revue mensuelle de l'OFLAG. VIII G."" par les prisonniers du camp de Oflag VIII. ""Un pays battu, s'il sait s'unir est un pays qui renait. Vive la france!"" - SOMMAIRE : a madame x pour son 80eme anniversaire par lieutenant tefra- appel par d'herbecourt- banderilles: lof pour lof- nos loyers par sous lieutenant deudon- la motocyclette vehicule populaire francais d'apres guerre? par lieutenant krebs- a l'ombre des saladiers- un livre: le grand passage- la musique- le theatre- a vie financiere- les sports- les bridges et les jours- jeux- en depouillant ""l'officiel"". Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues"‎

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‎ROTTIER Lieutenant‎

Reference : 74275

(1914)

‎[MANUSCRIT] Manuel pratique de Langue Bambara à l'usage des Officiers et Sous-Officiers des Troupes Sénégalaises par le Lieutenant Rottier de L'infanterie Coloniale‎

‎s.l. Juillet 1914, 17x21,5cm, (9 p.) 140 pages manuscrites dans un cahier.‎


‎Rare manuscrit inédit consistant en un lexique Français-Bambara àl'usage des Officiers et Sous-Officiers des Troupes Sénégalaises rédigé par le Lieutenant Rottier. 9 pages d'introduction manuscrites et 140 pages numérotées rédigées à l'encre noire sur un cahier ligné en demi toile noire et plats de papier vert. Ratures et corrections, ainsi qu'une utile table des matières in-fine. Très beau et précoce témoignage de l'intérêt d'un militaire français pour la langue bambara, alors seulement pratiquée à l'oral. Le manuscrit débute sur neuf pages d'introduction historique depuis les origines de la "création d'une armée noire" par le colonel Mangin en 1909 expliquant la nécessité d'un "manuel vraiment pratique". Vient ensuite une première partie contenant des éléments de grammaire bambara, puis un "vocabulaire général et manuel de conversation" et enfin un "vocabulaire militaire". Dans son introduction, le Lieutenant Rottier précise la démarche de la création de ce lexique :"Le Bambara est actuellement la langue la plus répandue en A.O.F., il est parlé couramment par près de 5 millions de noirs (...). C'est, après le français, la langue des tirailleurs sénégalais, c'est le bambara que parle tout homme n'ayant que quelques mois de service dans ses relations avec ses camarades d'autres races ou surtout avec ses gradés, alors qu'il ne bredouille encore qu'un français 'petit nègre' presque incompréhensible. Au milieu de l'amalgame de races si diverses que représente actuellement l'armée noire, le bambara est l'espéranto qui les unit, qui tend toutes leurs fibres en un même sentiment, commun à toutes, celui de l'amour de la France." Sur les 200 000 engagés « sénégalais », 30 000mourront au champ d'honneur. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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EUR1,700.00 (€1,700.00 )

‎CHARTON Edouard‎

Reference : RO10035229

(1886)

‎Le tour du monde - nouveau journal des voyages - livraison n°1330,1331,1332,1333 et 1334 - L'expédition de la baie de Lady Franklin, d'après Three Years of Arctic Service par le lieutenant Adolphus W. Greely (1881-1884).‎

‎Hachette. 1886. In-12. Broché. Bon état, Livré sans Couverture, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 80 pages environ illustrées de gravures et de cartes noir et blanc dans et hors texte - Paginées de 2 à 80. Cinq livraisons.. . . . Classification Dewey : 70.4412-Le journal des voyages‎


‎De New York au Groënland illustré de gravures dans le texte: les membres de l'expédition (dont Connell; Whisler,lynn,Ralston,Elison,Pavy,Brainanrd,Kislingbury,etC..),esquimaux dans leur kayak,icebergs baie de DiscoTastusak,Godhavn,lieutenant Greely,Hakluyt,port Foulke) et de gravures plein page (le Proteus,carte de la route du pôle ou des détroits mettant en communication la mer de Baffin et la mer de Lincoln). Le fort Conger illustré dans le texte du plan du Fort Conger et gravure pleine page (fort Conger,rue d'eau au large du cap Union) et gravure dans le texte (le coin du lieutenant Greely au fort Conger). Pendant la chute du jour, illustré de gravures (nuages arctiques, entrée de la vallée des Vents) dans le texte. Au milieu des ténèbres illustré de gravures dans le texte (loup arctique,boeuf musqué,observatoire,le garde-manger,modèles de traineaux). Expédition du docteur Pavy illustré d'une carte dans el texte de Fort Conger et son voisinage et de gravures dans le texte (lampe à alcool, grand sac fourré,veine de charbon de la crique Watercourse) et de gravure pleine page (grande route du pôle). La première tentative de Lockwood illustré de gravures dans le texte (terre de Stephenson). La victoire de Lockwood illustré d'une gravure pleine page des chiens enfouis sous la neige et de gravures dans le texte (portrait du lieutenant Lockwood, île de Beaumont, vue de Chipp Inlet,île d'Elison,Cap ALexandre Ramsay,cap Washington) et d'une carte dans le texte (carte du point extrême atteint par Lockwood). La Terre de Grinnell avec gravures pleine page (le retour de Lockwood, glacier Henriette), et gravures dans le texte ((lac Alexandra,transport des glaces,départ du lieutenant Greely pour l'exploration de la Terre de Grinnell, torrent des Boeufs musqués,jens revenant de la chasse). le second hivernage. En retraite illustré de gravures dans le texte (baie de Charles Ritter,la Grenouille,la Pyramide,bloc paléocrystique,le Lady Greely dans la baie de la Discovery Cap Joseph Good, le sergent Long, plan des quartiers d'hiver et Cairn élevé) et gravures pleine page (défilé merveilleux, terrible embarras le 29 août, les hommes tirant les barques). Au cap Isabelle illustré de gravures dans el texte (escadrille de secours à Godhavn,intérieur du camp Clay,portrait d'Elison) et gravure pleine page (Elison et les deux soldats secourus apr Brainard et Christiansen). Vers l'île Littleton illustré de gravures dans el texte (indigène d'Etah, premières funérailles,,la baie du Life Boat). Le jambonneau illustré d'une gravure pleine page de Rice succombant dans les bras de Frederick.La dernière curée illustré de deux portraits (gravures) de Frédérick et de Rice. Gravure (portrait) dans le texte de Brainard. Gravure pleine page représentant les survivants sauvés. Classification Dewey : 70.4412-Le journal des voyages‎

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EUR59.25 (€59.25 )

‎Imbert (Jean) [Guenois (Pierre) ; Automne (Bernard)]‎

Reference : ARC-356

(1611)

‎1-La Practique Judiciaire tant Civile que Criminelle, receue et observée par tout le Royaume de France. Composée par M. Jean IMBERT, Lieutenant Criminel au siège Royal de Fontenay le Comte. Illustrée et enrichie de plusieurs doctes, Commentaires, Interprétations & Annotations, extraictes tant du mesme Aucteur que des Docteurs & Practiciens, tant anciens que modernes, Edicts, Ordonnances, & Arrests des Cours de Parlements . 2- Enchiridion ou brief Recueil du Droict Escrit, Gardé et Observé, ou Abrogé en France. ‎

‎In-4° relié pleine basane, dos à cinq nerfs ornés de fleurons dorés, titre à l'or sur pièce rouge ; 1 :12 feuillets non chiffrés, 14 pagesde tableaux dont quatre dépliants (sur deux feuillets recto-verso), 750 pages. 2 : 6 feuillets non chiffrés, 226 pages, 14 feuillets non chiffrés. Coins un peu usés et coiffe supérieure abimée ; sinon bon exemplaire à la reliure solide et à l'intérieur frais. Jean IMBERT est né près de La Rochelle, à THAIRÉ vers 1494. ‎


‎Imbert (Jean) [Guenois (Pierre) ; Automne (Bernard)] 1-La Practique Judiciaire tant Civile que Criminelle, receue et observée par tout le Royaume de France. Composée par M. Jean IMBERT, Lieutenant Criminel au siège Royal de Fontenay le Comte. Illustrée et enrichie de plusieurs doctes, Commentaires, Interprétations & Annotations, extraictes tant du mesme Aucteur que des Docteurs & Practiciens, tant anciens que modernes, Edicts, Ordonnances, & Arrests des Cours de Parlements . Par M. Pierre GUENOIS, Conseiller du Roy & Lieutenant Particulier au Siège & Ressort d'Yssoudun en Berry, & B. AUTOMNE. Préface sur les Institutions forenses ou practique Judiciaire, translatée de Latin en François. Table Méthodique contenant le sommaire de tout l'Estat, & Gouvernement de la Justice & Police de France, extraicte des Mémoires, & Registres de M. Nicolas BERGERON, Advocat au Parlement de Paris, & par lui reveue & enrichie. 2- Enchiridion ou brief Recueil du Droict Escrit, Gardé et Observé, ou Abrogé en France ; par M. Jean Imbert, Lieutenant Criminel au siège de Fontenay le Comte. Reveu, corrigé, augmenté et additionné par M. P. GUENOIS Conseiller du Roy, Lieutenant particulier au siège & ressort d'Yssoudun en Berry : et depuis, outre les précédentes impressions par B. AUTOMNE Jurisconsulte. Paris, Nicolas BUON, 1612 et 1611. Jean IMBERT est né près de La Rochelle, à THAIRÉ vers 1494. Coins un peu usés et coiffe supérieure abimée ; sinon bon exemplaire à la reliure solide et à l'intérieur frais. ‎

Arcala Livres Anciens - Clermont-Ferrand

Phone number : 33 04 73 90 39 27

EUR500.00 (€500.00 )

‎TREVE (Lieutenant de Vaisseau Auguste) - [MISSION DIPLOMATIQUE EN CHINE 1860-1862] [CAMPAGNE DE CHINE 1860] ‎

Reference : 11577

‎Relation d'une Mission Diplomatique à Pékin par Auguste Trève, Lieutenant de Vaisseau, Premier Secrétaire de la Légation.‎

‎Paris, Imprimerie Lithographie Goyer, Juillet 1863. 1 volume in-4, reliure moderne plein cuir, texte tapuscrit de 97 pp., le premier feuillet est bruni et sali, avec papier dentelé en partie inférieure, sans atteinte au texte, une dizaine de feuillets présentent une petite tache d'humidité, les autres feuillets sont en bon état, tranches jaunies et poussiéreuses, bon état dans l'ensemble.‎


‎Il s'agit ici d'une très rare relation diplomatique à Pékin, intitulée "Relation d'une Mission diplomatique en Chine", rédigée par le Lieutenant de Vaisseau Trève, Premier Secrétaire Intérimaire de la Légation de France à Pékin. Dans ce document "confidentiel" adressé par Trève à Monsieur Le Pésant, Attaché au Ministère de la Marine, le diplomate examine la situation politique et militaire, financière et économique au lendemain de la victoire des Alliés sur l'Empire Chinois. Narration des négociations tortueuses avec le Gouvernement Chinois à l'issue de la Prise de Pékin.‎

Phone number : 852 95539385

EUR1,500.00 (€1,500.00 )

Reference : alb9facc5536e50344f

‎Filchner Wilhelm. Ein Ritt uber den Pamir von Wilhelm Filchner Lieutenant im Ko‎

‎Filchner Wilhelm. Ein Ritt uber den Pamir von Wilhelm Filchner Lieutenant im Koniglich bayerischen I. Infanterie Regiment Konig. In German (ask us if in doubt)/Filchner Wilhelm. Ein Ritt uber den Pamir von Wilhelm Filchner Lieutenant im Koniglich bayerischen I. Infanterie Regiment Konig. Tour of the Pamir by Wilhelm Filchner Lieutenant of the Bavarian Royal Infantry Regiment. In German. Berlin. E.S. Mittler u. Sohn. 1903. VIII 2 238s. SKUalb9facc5536e50344f.‎


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