62 books for « la nuit n est pas la n... »Edit

1 2 3 Next Exact page number ? OK

‎André VERDET‎

Reference : GF32304

(2000)

‎La Nuit n'est pas la nuit -‎

‎ 2000 Nice - Melis Editions - 2000 - 1 volume in8 broché de 412 pages - Très bon état -‎


‎Une des 30 exemplaires hors-commerce accompagnée d'une double lithographie originale dédicacée - Bel envoi autographe signé sur le faux titre: ..."ce livre d'un combat à mener contre l'Hitlérisme et que je pense avoir mené au mieux presque jusqu'à son terme victorieux..." - Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -‎

Galerie Fert - Nyons

(SNCAO)

Phone number : 33 04 75 26 13 80

EUR50.00 (€50.00 )

‎VERDET André‎

Reference : R160029828

(1948)

‎LA NUIT N'EST PAS LA NUIT‎

‎Le Pré aux Clercs. 1948. In-8. Broché. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos frotté, Rousseurs. 402 pages.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française‎


‎Roman. Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 05 57 411 411

EUR49.50 (€49.50 )

‎VERDET André.‎

Reference : 12141

‎LA NUIT N'EST PAS LA NUIT. Roman.‎

‎Paris, Editions du Pré aux Clercs, (avril) 1948. In-12 (184 x 119 mm), broché, 408 pages.‎


‎Edition originale. L’un des 90 premiers exemplaires sur Lafuma Frères, celui-ci le tout premier des 5 hors commerce. [12141]‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 33 01 43 47 01 20

EUR100.00 (€100.00 )

‎CLOT, René-Jean.‎

Reference : 23892

(1964)

‎Les voix dans la cour. Suivi de : La nuit n'est pas si noire et de : Un feu de bois vert.‎

‎Paris : Gallimard, 1964 In-12, 328 pages. Broché, couverture imprimée rempliée.‎


‎Importante salissure à la première couverture. Exemplaire du service de presse avec envoi de l'auteur à André Wurmser. ‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : +33 (0)1 46 34 64 53

EUR8.00 (€8.00 )

‎HAHN REYNALDO‎

Reference : RO50045330

(1900)

‎MELODIES - 20 MELODIES - QUAND LA NUIT N'EST PAS ETOILEE + CANTIQUE + LA DELAISSEE + LA CHERE BLESSURE+ + THEONE + LE SOUVENIR D'AVOIR CHANT + QUAND JE FUS PRIS AU PAVILLON...‎

‎AU MENESTREL / HEUGEL ET CIE. 1900. In-8. Broché. Etat d'usage, Tâchée, Dos fané, Quelques rousseurs. 86 pages de partitions. Premier plat illustré en couleur par P. Borie. Tampon sur la première page blanche ainsi que sur la table. Légères déchirures aux extrémités des plats. Compositeurs, chanteur et poète divers.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions‎


‎H.27.627 Classification Dewey : 780.26-Partitions‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 05 57 411 411

EUR79.00 (€79.00 )

‎BART, Léo ; BART, Jean ; BART, Charlemagne‎

Reference : 55268

(1915)

‎Belle correspondance personnelle et originale, adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917. Jean Bart fut successivement matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car pour l'essentiel non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917‎

‎94 cartes et LAS, auxquelles nous joignons quelques photos et quelques lettres postérieures. Belle correspondance personnelle adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917, adressée à Jean Bart, matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917‎


‎Passionnant ensemble, à analyser en profondeur. Prix de l'ensemble, non séparable.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR950.00 (€950.00 )

‎Dai Sijie‎

Reference : 400023187

(2008)

ISBN : 9782070358564

‎Par une nuit où la lune ne s'est pas levée‎

‎Folio 2008 2008. Dai Sijie: Par une nuit où la lune ne s'est pas levée/ Folio 2008 . Dai Sijie: Par une nuit où la lune ne s'est pas levée/ Folio 2008‎


‎Très bon état‎

Démons et Merveilles - Joinville

Phone number : 07 54 32 44 40

EUR2.00 (€2.00 )

‎Nuit et Jour - Le grand hebdomadaire illustré Directeur-Gérant : Pierre Roux‎

Reference : 53799

Phone number : 04 78 38 32 46

EUR11.00 (€11.00 )

‎Collectif‎

Reference : R110437655

(1952)

‎Constellation n° 55 - Quand les femmes succombent-elles au coup de foudre ?, N'accusez pas toujours votre foie, J'ai vécu la fièvre de l'or en Amazonie, Ils les ont arrachés dans la nuit, Ce n'est pas une question d'age, Votre meilleur ami‎

‎Bureau de la revue. Novembre 1952. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 175 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : Quand les femmes succombent-elles au coup de foudre ?, N'accusez pas toujours votre foie, J'ai vécu la fièvre de l'or en Amazonie, Ils les ont arrachés dans la nuit, Ce n'est pas une question d'age, Votre meilleur ami ne vous le dirait pas, Je n'osais pas avoir d'enfant, Aucun cheval comme Bento, Le mur du son, nouvelle colonie anglaise, C'est un cas d'être enfant unique Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 05 57 411 411

EUR19.80 (€19.80 )

‎COLLECTIF‎

Reference : RO10085777

(1961)

‎PARIS MATCH N° 645 - S'il n'est pas fidèle elle aura un milliard, Qui est ce jeune homme blond qui a vécu une journée hors du monde ? Titov intime par Lucien Nau, Pour le cosmonaute numéro 2 le soleil s'est levé seize fois, Cette nuit la deux grands‎

‎PARIS MATCH. 19 aout 1961. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 78 pages augmentées de nombreuses photos et illustrations en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte - 1er plat illustré d'une photo en couleurs. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : S'il n'est pas fidèle elle aura un milliard, Qui est ce jeune homme blond qui a vécu une journée hors du monde ? Titov intime par Lucien Nau, Pour le cosmonaute numéro 2 le soleil s'est levé seize fois, Cette nuit la deux grands hommes vont s'affronter Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 05 57 411 411

EUR29.80 (€29.80 )

‎COLLECTIF‎

Reference : RO10085991

(1965)

‎PARIS MATCH N° 859 - La vérité sur vos vacances, Holophane soleils de la nuit, L'espace en a fait des vrais jumeaux, La deuxième guerre d'Indochine, Jean Larteguy, les américains m'ont dit : notre guerre n'est pas la votre, nous ne ferons pas de sentiment‎

‎PARIS MATCH. 25 septembre 1965. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 127 pages augmentées de nombreuses photos et illustrations en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte - 1er plat illustré d'une photo en couleurs. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : La vérité sur vos vacances, Holophane soleils de la nuit, L'espace en a fait des vrais jumeaux, La deuxième guerre d'Indochine, Jean Larteguy, les américains m'ont dit : notre guerre n'est pas la votre, nous ne ferons pas de sentiment, Cachemire : ce nouveau champ de bataille au milieu des lotus Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 05 57 411 411

EUR29.80 (€29.80 )

‎COLLECTIF‎

Reference : R110324288

(1950)

‎V MAGAZINE N° 288 - Au gala de l'union des artistes, avec les resquilleurs, La nuit du cirque, Savez vous célébrer Paques a la mode, a la mode, La vie de chateau n'est pas toujours rose, Maurice le dur n'aura pas Anne Marie la belle du canal‎

‎BUREAU DE LA REVUE. 9 AVRIL 1950. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages. Nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire :Au gala de l'union des artistes, avec les resquilleurs, La nuit du cirque, Savez vous célébrer Paques a la mode, a la mode, La vie de chateau n'est pas toujours rose, Maurice le dur n'aura pas Anne Marie la belle du canal des houillères, A pipo junior pour son baptême on a fait cadeau d'un éléphant Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 05 57 411 411

EUR29.80 (€29.80 )

‎Laurence Grosmangin, Axelle Winieux‎

Reference : R110387390

(2011)

‎Le nouveau détective n° 1390 - Si c'est pas du courage ça ! par Laurence Grosmangin, La dernière nuit des deux poussins par Axelle Winieux, Mon déjeuner avec 3 meurtrières par Thomas Schurch, Bienvenue a Naziland, La mort a frappé 3 fois, Les etats d'ame‎

‎Editions nuit et jour. 6 avril 2011. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 35 pages. Nombreuses photographies en couleurs dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎


‎Sommaire : Si c'est pas du courage ça ! par Laurence Grosmangin, La dernière nuit des deux poussins par Axelle Winieux, Mon déjeuner avec 3 meurtrières par Thomas Schurch, Bienvenue a Naziland, La mort a frappé 3 fois, Les etats d'ame d'une pauvre petite fille riche par Laurence Grosmangin Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 05 57 411 411

EUR19.80 (€19.80 )

‎Ginot Marc, Champigny L., Collectif‎

Reference : RO20213843

‎Partitions de chants religieux. Sommaire : Dieu l'Espérande, Que vivons-nous Seigneur ?, Le feu n'est pas éteint, O viens Jésus, Pour une terre d'espérance, Nuit des pauvres, Les arbres dans la mer, Dieu de lumière, Ton Nom est tendresse, etc.‎

‎Inconnu. Non daté. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Non paginé. Environ 300 pages de partitions et paroles de chants.. . . A l'italienne. Classification Dewey : 264.2-Musiques et chants, hommage à Dieu‎


‎Sommaire : Dieu l'Espérande, Que vivons-nous Seigneur ?, Le feu n'est pas éteint, O viens Jésus, Pour une terre d'espérance, Nuit des pauvres, Les arbres dans la mer, Dieu de lumière, Ton Nom est tendresse, Pour ton corps qui se livre aux pêcheurs, Un pauvre a frappé à ta porte, Vous qui passez, etc. Classification Dewey : 264.2-Musiques et chants, hommage à Dieu‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 05 57 411 411

EUR29.80 (€29.80 )

‎Collectif‎

Reference : R110648850

(1928)

‎Ciné-miroir n° 150 - Jaque Catelain dans le role de Mylord dans Paname n'est pas Paris, Huguette, reine de l'écran, Nuit d'aventures, Deux roles d'Asta Nielsen, Poker d'As, Ou nos vedettes prennent leur repas pendant qu'elles tournent, La figure du Christ‎

‎Bureau du journal. 17 février 1928. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 113 à 128. Nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 791.43-Cinéma‎


‎Sommaire : Jaque Catelain dans le role de Mylord dans Paname n'est pas Paris, Huguette, reine de l'écran, Nuit d'aventures, Deux roles d'Asta Nielsen, Poker d'As, Ou nos vedettes prennent leur repas pendant qu'elles tournent, La figure du Christ dans les films, Le diamant du Tsar, Le coup de foudre Classification Dewey : 791.43-Cinéma‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 05 57 411 411

EUR29.80 (€29.80 )

‎COLLECTIF‎

Reference : R110090511

(1992)

‎LA VIE DU RAIL N° 2344 - Eurailspeed 92 : Le sommet de Bruxelles, La galerie des éléphants, Eurotunnel n'est pas au bout de ses peines, La nuit d'avril ou l'Allemagne s'arrêtera, Les casse tête des banlieues lointaines, Le TGV un train de très grande‎

‎AU BUREAU DE LA REVUE. 7 MAI 1992. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 51 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc et en couleur dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : Eurailspeed 92 : Le sommet de Bruxelles, La galerie des éléphants, Eurotunnel n'est pas au bout de ses peines, La nuit d'avril ou l'Allemagne s'arrêtera, Les casse tête des banlieues lointaines, Le TGV un train de très grande banlieue Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 05 57 411 411

EUR19.80 (€19.80 )

‎COLLECTIF‎

Reference : R110302211

(1898)

‎LA REVUE MAME N° 211 - Une nuit au milieu des tombes par Harold, Au Tonkin, Un faussaire, Chronique par Henry Frichet, Rome, La vallée fumante (suite) par Léo Claretie, Le mois scientifique - l'instinct n'est pas infaillible par A. Acloque, La mode‎

‎ALFRED MAME ET FILS. 16 OCTOBRE 1898. In-12. Broché. Bon état, Livré sans Couverture, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 33 à 48. Nombreuses gravures en noir et blanc dans et hors texte. Texte en colonnes.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎


‎Journal hebdomadaire de la famille. Sommaire :Une nuit au milieu des tombes par Harold, Au Tonkin, Un faussaire, Chronique par Henry Frichet, Rome, La vallée fumante (suite) par Léo Claretie, Le mois scientifique - l'instinct n'est pas infaillible par A. Acloque, La mode par India Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 05 57 411 411

EUR19.80 (€19.80 )

‎COLLECTIF‎

Reference : RO30172600

(1953)

‎L'AVANT SCENE JOURNAL DU THEATRE N°83 - 5 novembre 1953 / Theatre Hebertot / la maison de la nuit, texte intégral de la pièce en trois actes de Thierry Maulnier; cette pièce n'est pas politique par Thierry Maulnier ...‎

‎AU BUREAU DE LA REVUE. 1953. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 40 pages augmentées de quelques photos en noir et blanc dans et hors texte - texte sur 2 colonnes. . . . Classification Dewey : 792-Théâtre‎


‎Theatre Hebertot / la maison de la nuit, texte intégral de la pièce en trois actes de Thierry Maulnier; cette pièce n'est pas politique par Thierry Maulnier / la facre du galant qui épousa une forte femme, par Alejandro Casona / les naturels d'Audiberti et le surnaturel d'Anouilh par André Camp Classification Dewey : 792-Théâtre‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 05 57 411 411

EUR14.90 (€14.90 )

‎BARRINGTON P-V‎

Reference : RO40044259

(1961)

‎"La nuit des coups, la verite n'est pas toujours dans l'alcool - ""night of violence"""‎

‎"Presses Internationales Collection ""Inter Police"" N°60. 1961. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Coiffe en pied abîmée, Intérieur frais. 125 pages. Traduit par A. PASCAL. Dos frotté.. . . . Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne"‎


‎"""La vérité n'est pas toujours dans l'alcool"". Les romans inédits intégraux des plus grands auteurs Français et étrangers. Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne"‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 05 57 411 411

EUR19.80 (€19.80 )

‎LE LIVRE D'OR DE L'OPERETTE‎

Reference : R130010147

‎DISQUE VINYLE 33T DANS LA VIE FAUT PAS S'EN FAIRE, TOUT EST SOLEIL, UNE NUIT A GRENADE, JE N'EMBRASSE PAS LES GARCONS, RENDEZ-VOUS SOUS LA LUNE, C'EST UNE GAMINE CHARMANTE, VIERGE MARIE, TEA FOR TWO, MEDITERRANEE, LE CHANT INDIEN, TO NIGHT....‎

‎SACEM. non daté. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Pochette en couleurs, un petit texte encadré dérrière la pochette avec une photo en noir et blanc. Photo: NISAK au Mexico Paradis.. . . . Classification : 410-33 Tours‎


‎Disque n° CA 94087 Classification : 410-33 Tours‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 05 57 411 411

EUR14.90 (€14.90 )

‎Collectif‎

Reference : R110409044

(1945)

‎Nuit et jour n° 44 - 20 reporters regardent la France voter, Paris - Tabarin n'a voté qu'une fois, mais Fernandel n'est pas électeur, En Alsace un soldat de Stalingrad a voté pour la République, Les derniers d'Oradour sont six devant l'urne, Ces images‎

‎Bureau du journal. 25 octobre 1945. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 23 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎


‎Sommaire : 20 reporters regardent la France voter, Paris - Tabarin n'a voté qu'une fois, mais Fernandel n'est pas électeur, En Alsace un soldat de Stalingrad a voté pour la République, Les derniers d'Oradour sont six devant l'urne, Ces images d'opérette sont celles de l'affaire Darlan Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 05 57 411 411

EUR29.80 (€29.80 )

‎[ Harcourt] - ‎ ‎Rossi Tino - Scotto Vincent,Bourtayre Henri,Claret Gaston,Humel Charles,Delmon André,Coudert Armand,Valz Jean - Vandair Maurice,Syam,Gitral,Rodor Jean,Larue Jacques,Féline Jean,Viaud,Piaf Edith,Carlus Maurice‎

Reference : 85098

(1946)

Phone number : 06 12 41 09 89

EUR30.00 (€30.00 )

‎JEAN PATRICK CAPDEVIELLE‎

Reference : R130003365

(1980)

‎DISQUE VINYLE 33T C'EST DUR D'ÊTRE UN HEROS / LA CITE FANTOME / TON MONDE EST VIEUX / BARCELONE / LES RUES JAUNES / CRACHEZ LA MONNAIE / TA PLACE EN ENFER / OH CHIQUITA / LES SABLES MOUVANTS / GACHE PAS TA NUIT.‎

‎CBS. 1980. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Pochette légèrement passée. Photos de J.P. CAPDEVIELLE sur la couverture et le ds de la pochette par H. SCHMITZ. Paroles dans la pochette.. . . . Classification : 410-33 Tours‎


‎ Classification : 410-33 Tours‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 05 57 411 411

EUR10.95 (€10.95 )

‎JEAN PATRICK CAPDEVIELLE‎

Reference : R130001337

(1980)

‎DISQUE VINYLE 33T C'EST DUR D'ÊTRE UN HEROS / LA CITE FANTOME / TON MONDE EST VIEUX / BARCELONE / LES RUES JAUNES / CRACHEZ LA MONNAIE / TA PLACE EN ENFER / OH CHIQUITA / LES SABLES MOUVANTS / GÂCHE PAS TA NUIT.‎

‎CBS. 1980. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paroles dans la pochette. Photos de la pochette par HERB SCHMITZ.. . . . Classification : 410-33 Tours‎


‎ Classification : 410-33 Tours‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 05 57 411 411

EUR10.95 (€10.95 )

‎JEAN PATRICK CAPDEVIELLE‎

Reference : R130000600

(1980)

‎DISQUE VINYLE 33T C'EST DUR D'ETRE UN HEROS / LA CITE FANTOME / TON MONDE EST VIEUX / BARCELONE / LES RUES JAUNES / CRACHEZ LA MONNAIE / TA PLACE EN ENFER / OH CHIQUITA / LES SABLES MOUVANTS / GACHE PAS TA NUIT.‎

‎CBS. 1980. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. paroles dans la pochette. Photos de Herb SCHMITZ.. . . . Classification : 410-33 Tours‎


‎ Classification : 410-33 Tours‎

Logo SLAM Logo ILAB

Phone number : 05 57 411 411

EUR10.95 (€10.95 )
1 2 3 Next Exact page number ? OK
Get it on Google Play Get it on AppStore
Search - la nuit n est pas la n...
The item was added to your cart
You have just added :

-

There are/is 0 item(s) in your cart.
Total : €0.00
(without shipping fees)
What can I do with a user account ?

What can I do with a user account ?

  • All your searches are memorised in your history which allows you to find and redo anterior searches.
  • You may manage a list of your favourite, regular searches.
  • Your preferences (language, search parameters, etc.) are memorised.
  • You may send your search results on your e-mail address without having to fill in each time you need it.
  • Get in touch with booksellers, order books and see previous orders.
  • Publish Events related to books.

And much more that you will discover browsing Livre Rare Book !