L'Albanie nouvelle. 1970. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 39 pages agrafées - nombreuses photos en couleurs et en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : L'Albanie un des premiers pays au monde ayant réalisé intégralement l'électrification de la compagne - regard sur la voie parcourue - hommes qui vivent dans le futur - l'Albanie vue par les étrangers - entretien avec le lecteur - Bled et son père - le chantre de la patrie - les Illyriens et les Albanais - pépinières et musiciens - en lisant un document - les mosaïques de Lin - les chaudronniers aux doigts de fée. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Fleury-Mérogis 21 Octobre 1976, 21x29,5m, une page recto verso.
Lettre autographe datée et signée de Jacques Mesrine, datée du jeudi 21 Octobre 1976, 70 lignes à l'encre bleue sur une page recto verso adressée à son amour de l'époque, Jeanne Schneider, grâce à qui le manuscrit de l'Instinct de mort fut discrètement sorti de prison. Jacques Mesrine, alors incarcéré à la prison de Fleury-Mérogis, se réjouit d'avoir pu s'entretenir au parloir avec sa bien-aimée également emprisonnée: "Quel très agréable parloir, tu étais en plus très féminine dans cet ensemble qui est bien dans ton style de femme... même le double du prix car il me plaît" et tente de la rassurer afin qu'elle ne perde pas toute pugnacité contre le régime carcéral qui broie les détenus : "Mais si par malheur un nouveau refus te touchait n'aies pas cette mauvaise réaction que tu m'as dite car ceux qui t'entourent et t'ont aidée ne méritent pas de payer l'injustice des autres. Il te faudrra faire face comme toujours. Car les portes s'ouvriront un jour et tu le sais." En patriarche protecteur, Jacques Mesrine s'inquiète du désespoir qui pourrait la frapper elle et sa fille Murielle placée à la DASS : "Mais pour toi je m'en fais énormément, car tu as une limite... et je crois que tu l'as atteinte ! ou presque... Au sujet de Mury et de cette juge bidon... nous verrons pour la retirer de la Dasse... je préfère payer ses études et madame Chevallier et tout son entretien s'il le faut. Si tu sors ! Dis-moi... que de femmes à entretenir... j'ai intérêt à faire des heures supplémentaires (sic)" L'ennemi public N°1 évoque la prochaine liberté de Jeanne Schneider en lui intimant de ne plus retomber dans la criminalité : "...Si tu sors interdiction formelle de t'occuper de moi sur un plan que nous comprenons très bien tous les deux. Je ne veux plus te voir en prison car toi dehors c'est un peu de moi même qui sera libre. Tu donnes une parole pour cette liberté... prouve que nous autres, la tenons toujours en bien comme en mal" Jacques Mesrine loue la droiture de sa compagne, clef de voûte de leur union forte à travers la privation de liberté : "C'est ce qui nous unit le plus ; voyous, dangereux ?... mais droits. C'est ce qui fait que je t'aime, avec toi pas de surprises désagréables ; tu es "blanc-bleu" et pour moi tu as bien la valeur du diamant. C'est la seule pierre qui est plus dure que l'acier (sic)... mais moins dure que moi (resic)" Il termine cette missive par cette note d'humour traduisant la terrible réalité intrusive du système pénitentiaire : "Et si mon colis de Noël est préparé par toi... l'administration va le passer aux rayons X" mais aussi par ces tendres mots : "De doux décots se posent sur tes lèvres... geste d'amour qui nous unit depuis toujours et pour longtemps... EL VIEJO Bandido !" Rare et très belle lettre de Jacques Mesrine dans laquelle on le découvre protecteur et avide de liberté pour sa compagne et pour qui la franchise doit être érigée en règle de vie. - Photos sur www.Edition-originale.com -
1998 Éditeur : Actes Sud, 1998, Langue : Français, in 8 Broché : 299 pages, tres bon état
Essai en forme de petites histoires plus sociales que naturelles, La Plante compagne propose quelques pistes pour une écoute attentive de la mémoire des herbes et des arbres qui rencontraient les hommes. Son propos est aussi de servir d'initiation à une ethnobotanique familière : ce qui s'est passé au cours des temps dans la mise en uvre et en pensée de nos plantes les plus communes ; ce que nous devons toujours à cet échange fondateur ; ce qu'il fallait déraciner pour échapper à la fatalité des fables ; ce qu'il fallait accueillir du symbole pour mieux vivre la réalité. Et aussi, à l'évidence, ce qui se constitue toujours sous nos yeux ; car le dialogue entre l'homme et la plante ne sera jamais rompu. Ce livre n'a d'autre ambition que d'aider à sa poursuite, dans la plus grande légèreté possible (mais non dans le silence) de la raison.
Feuille de comptes portant au recto, la ...Recette générale du mois daoût 1838..., et au verso les ...Dépenses générales du mois daoût 1838... avec les dates et montants.Si dans les recettes on trouve plusieurs lignes faisant référence à Victor Hugo comme le 2, ...Argent de la bourse de mon adoré... ; les 5, 9, 11, 13 et 14: ...Argent de la bourse de mon chéri... ou encore, au 15 ...Argent gagné par mon cher petit Toto..., et le 16 ...Argent de la maison de Toto..., au chapitre des dépenses, on relève des frais de ...Nourriture [...] éclairage [...] entretien de la maison et port de lettres [...] Toilette, entretien et parfumerie [...], faux frais argent de poche [...], Dépense commune... et en dernière ligne : ...Rendu à Toto pour le voyage 567 fr...C'est à l'occasion de la lecture de Lucrèce Borgia, au début de l'année 1833, que Juliette Drouet rencontre Victor Hugo : elle participe au succès de la pièce en interprétant le rôle de la Princesse Négroni. La date de leur première nuit d'amour - 16 février - sera celle de Marius et Cosette dans Les Misérables. Elle abandonne vite sa carrière théâtrale et ne vécut que grâce à la générosité de son mentor. Victor Hugo fut la grande passion amoureuse de Juliette Drouet durant cinquante ans. Pour le poète, elle était non seulement une compagne de vie dévouée, mais aussi une aide précieuse dans son travail de recopie de ses manuscrits. Au fil des jours, elle laissa un témoignage précieux, sur Victor Hugo et sur elle-même, à travers notamment sa correspondance quotidienne (elle était une remarquable épistolière) mais aussi par le biais de ces grimoires comptables qui nous donnent les détails de sa vie, comme ses pratiques dhygiène, ses soins médicaux, son régime alimentaire, etc.
Fleury-Mérogis 2 Décembre1976, 21x29,5m, une page recto verso.
| "Le pire que l'on puisse faire à un juge, c'est lui enlever toute autorité devant les autres et crois moi il l'a bien compris" | Lettre autographe datée et signée de Jacques Mesrine, datée du jeudi 2 Décembre 1976, 65 lignes à l'encre bleue sur une page recto verso adressée à son amour de l'époque, Jeanne Schneider, grâce à qui le manuscrit de l'Instinct de mort fut discrètement sorti de prison. Jacques Mesrine, alors incarcéré à la prison de Fleury-Mérogis, se sent mal et démuni loin de sa compagne et de toute chaleur humaine : "Ce soir je suis très mal foutu... il est 19 heures et je me couche juste après la fin de ta lettre... de rien de grave... juste une grande fatigue (à rien faire)" En bon père, Jacques Mesrine se réjouit du bonheur de sa fille : "Je suis heureux que sa veste lui plaise... de plus c'est la mode... son Loïc chéri ne va plus la reconnaître..."et ne se montre pas plus étonné et plutôt amusé que sa fille veuille embrasser la religion juive : "Comme cela la puce veut prendre la religion juive... encore une idée à elle... oui je sais elle a fait croire à ses copains qu'elle était juive... car eux l'étaient...si cela l'amuse je la laisse libre... mais ça démontre aussi un dédoublement de personnalité..." L'ennemi public N°1 évoque avec une certaine fierté sa dernière confrontation avec son juge, farouche revanche de l'insoumis contre l'univers pénitentionnaire qui broie les hommes : "Aujourd'hui j'ai eu la visite du juge Madre. Tu aurais rigolé, car il a eu droit à tout mon vocabulaire... il en perdait la parole (j'ai pris mon pied (sic)) A un moment il me dit "mais c'est quand même moi qui commande... Réponse de ton bibi : "Ici pédé" c'est moi ton patron". Il était vert et les flics se marraient comme des perdus." et contre toute soumission à une quelconque forme de pouvoir ou de violence : "Le pire que l'on puisse faire à un juge, c'est lui enlever toute autorité devant les autres et crois moi il l'a bien compris. Il était venu avec 5 anti-commandos... L'un avait la bombe de gaz à la main... au cas où? Loin d'être impressionné... cela me rend con..." L'éternel indigné achève sa lettre par un beau témoignage de tendresse pour sa bien-aimée : "Là ma puce je vais prendre mon lit en marche...Ton vieux voyou pose ses lèvres sur le tiennes en une douce caresse d'amour. je t'adore petite fille... car nous sommes réellement le "couple" et plus encore. Bonne nuit chaton." Rare et très belle lettre de Jacques Mesrine toute empreinte de révolte et d'insoumission. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris 12 Octobre 1976, 21x29,5m, une page recto verso.
Lettre autographe datée et signée de Jacques Mesrine, datée du mardi 12 Octobre 1976, 70 lignes à l'encre bleue sur une page recto verso adressée à son amour de l'époque, Jeanne Schneider, grâce à qui le manuscrit de l'Instinct de mort fut discrètement sorti de prison. Jacques Mesrine alors incarcéré à la Santé se montre d'une grande tendresse et se dévoile sous un autre jour, celui de l'amoureux affectueux et attentionné : "Bonsoir petite fille...tu aimes bien jouer "au St Bernard", tu ne changeras jamais à ce sujet. C'est toi qui a 7 ans 1/2 de taule et tu dois remonter le moral des "gamines" qui ont joué du calibre !" Il encense et s'étonne un peu de la dévotion de sa compagne pour un couple de jeunes criminels : "Tu me parles d'une sentence de 20 ans pour elle ! tu rigoles ou quoi... elle ne peut pas prendre plus de 8 ans je la vois plutôt avec 5 ou 6, si les choses s'arrangent. Son mari avec 20 ans au maximum." et tente de lui transmettre tout son optimisme, sa pugnacité et de lui remonter le moral : "Tu sais, ma puce; quand tu m'écris que la cause de Michou, est une cause perdue d'avance je ne te comprends plus. Il n'y a pas de cause perdue d'avance. Dans la vie il faut se battre jusqu'au bout. tu sais pourtant ce que cela représente. Tu vois, moi je vais au maximum ! et pourtant je vais me défendre toutes dents dehors. Car ma liberté il faudra me la prendre. Je ne la donnerai pas faute de combat !" Jacques Mesrine évoque également son amour des courses hippiques tout en se targuant d'être un spécialiste des paris : "Oui j'avais joué "Dernier tango" mais seulement à la place. J'avais 2000frs dessus, je gagne donc 6000frs. Ce n'est pas de la chance, mais un savant calcul. Il m'arrive de perdre mais avec ma méthode, je suis obligé d'être gagnant... Forécement pour la suivre il faut un certain capital. J'ai mis plus d'un an à faire tous les calculs de probabilité. Cela doit me rapporter à peu près 7000frs par mois. Net d'impots (sic)..." Il ironise sur sa situation de prisonnier disposant de beaucoup de temps pour échaffauder ses stratégies de gains pécuniaires : "J'ai aussi mis au point une méthode pour le jeu de baccara. Que veux-tu... j'ai le temps de calculer un tac de choses (sic !) Tu me comprends ? ... L'administration aussi ! (resic). " mais déplore son impossbilité à poursuivre l'écriture de l'Instinct de mort : "... je suis actuellement incapable d'écrire une page de mon bouquin... je ne sais pas comment tourner ce passage-là... enfin je vais bien trouver la solution." Jacques Mesrine achève cette belle lettre par une émouvante déclaration d'amour toute d'espoir et d'avenir et toute empreinte d'une certaine innocence: "Nanou d'amour. Votre futur "z'époux" qui pour l'instant n'est que votre "vieil amant" pose ses lèvres sur les tiennes en une douce caresse amoureuse... Te quiero & EL VIEJO." Rare et très belle lettre de l'ennemi public N°1 dans laquelle on le découvre animé d'une grande bienveillance, d'un tendre amour pour son aimée et... les courses hippiques. - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris 11 Octobre 1976, 21x29,5m, une page recto verso.
Lettre autographe datée et signée de Jacques Mesrine, datée du lundi 11 Octobre 1976, 70 lignes à l'encre bleue sur une page recto verso adressée à son amour de l'époque, Jeanne Schneider, grâce à qui le manuscrit de l'Instinct de mort fut discrètement sorti de prison. Jacques Mesrine, alors incarcéré à la Santé, couvre de cadeaux les personnes qu'il aime car il veut leur bonheur : "Comme cela j'ai payé une mobylette à mes trois gamines. Toi ce sera une quatre roues (sic)." Il fait montre de toute son affection pour une jeune fille prénommée Betty qu'il semble plus chérir que sa propre fille Sabrina : "Peut-être que je recherche en Betty ce que je ne trouve pas en Sabrina et que Mury m'a refusé ! Tu sais mon ange ; à 15 ans j'aurais tellement aimé avoir un copain de 40 ans à qui je puisse tout dire, qui sache m'aider ou m'offrir mon rêve. Peut-être que ce cadeau, je me le fais à moi-même..." pour laquelle il n'a plus aucune confiance, s'estimant trahi : "Mais on ne devient jamais l'ami de quelqu'un qui vous juge. Pas plus que pour Sabrina ! qui elle m'a trompé dans ma confiance donc dans mon amour... Quand on use les sentiments, ils ne redeviennent jamais les mêmes." L'ennemi public N°1 est tout à la fierté de sa relation avec Jeanne Schneider basée sur la franchise : "C'est peut-être pour cela que je me suis toujours refusé à te mentir - quitte à te faire souffir. Je n'ai aucun passé...mais un seul présent "Toi". C'est peut-être cela qui fait que notre amour dure depuis 10 ans " Jacques Mesrine bascule ensuite dans les considérations matérielles, si importantes pour un prisonnier : "J'ai reçu ton linge. Je ne risque pas d'avoir froid cet hiver. Le polo est très bien." avant de fustiger l'inhumanité du régime carcéral et son indifférence à la souffrance : "Mais nous n'avons rien à attendre des juges et si ma lettre au président a été ferme, c'est le genre de lettre qu'il comprendra mieux que le style ventre à terre..." En éternel indompté, Jacques Mesrine ne cesse de préconiser la lutte contre l'administration pénitentiaire : "On ne se défend pas en mettant sa tête dans le sable comme l'autruche ! Dès l'instant où l'on prend une arme dans la main... il faut s'attendre à payer ! que Michou le comprenne ce n'est pas le moment d'être "bébé" mais celui d'être femme..." Jacques Mesrine achève cette belle lettre par une émouvante déclaration d'amour toute empreinte d'un humour optimiste : "Ton vieux tigre pose de doux bécots sur tout ce qui est toi. Bonne nuit chaton et un moral d'acier est de rigueur ok. Je t'adore (chanceuse) & Ton mystère Jacques !! "Te adoro A toi seule." Rare et très belle lettre de l'ennemi public N°1 dans laquelle on le voit toujours aussi pugnace et où on le découvre déçu par sa fille, pris d'affection pour une jeune fille qu'il voudrait considérer comme sa propre enfant, et toujours aussi amoureux de sa compagne. - Photos sur www.Edition-originale.com -
De l'Homme 1956 1956. 5 YVES GROSRICHARD - LA COMPAGNE DE L'HOMME / GALLIMARD 1956
Etat correct
1983 1983. Charles Exbrayat - La haine est ma compagne / Collection Le masque 1983
Bon état
1993 1993. Exbrayat : La haine est ma compagne / Le masque 1993 LBN16
Bon état
1993 1993. Exbrayat : La haine est ma compagne / Le masque 1993 LBN16
Bon état
Paris 1895 Lemerre Hardcover
Notre Compagne (provinciales et parisiennes), édition originale, reliure demi-toile, 306 pp, 18 x 11 cm, bon éat
Paris s.d. (circa 1944), formats divers , 10 feuilles.
Ensemble de 8 photographies de la famille de Nicolas de Staël vers 1942-1944, en tirage argentique d'époque. Les clichés ont été pris vers 1944, deux ans après la naissance d'Anne de Stäel, fille du peintre et de sa compagne l'artiste Jeannine Guillou. En septembre 1943, la famille composée d'Anne et du petit Antek (futur écrivain connu sous le nom d'Antoine Tudal) fils d'un précédent mariage de Jeannine Guillou, arrive à Paris et s'installe grâce à l'amitié de la galeriste Jeanne Bucher au 54, rue Nollet, dans l'hôtel particulier de l'architecte Pierre Chareau.Staël transforme le grand salon du rez-de-chaussée en atelier où il se consacre entièrement à l'abstraction caractérisée par des lignes géométriques entrelacées, rythmant une toile sombre. - Portrait de la famille au complet (Nicolas de Staël, Jeannine Guillou portant Anne dans ses bras, Antek Teslar âgé de 14 ans), devant l'hôtel particulier de la rue Nollet - Jeannine Guillou et Anne dans le jardin de l'hôtel particulier de la rue Nollet - Jeannine souriant tenant Anne dans ses bras, rue Nollet. -Jeannine souriant tenant Anne dans ses bras devant un décor marocain, rue Nollet. - Reproduction de la photographie d'identité de Jeannine Guillou, de profil. - Vue de la façade intérieurede l'hôtel particulier de la rue Nollet. - Jeannine Guillou en costume de plage - Planche contact avec deux des précédentes photographies, ainsi que deux autres représentant Antek Teslar étudiant dans la mansarde de l'hôtel particulier (25,2x20,4cm). - Photos sur www.Edition-originale.com -
Au Moulin de Pen-Mur, coll. « L’Oeuvre de Maxence Van Der Meersch » 1955 Illustrations de Raymond COLLOT. Ouvrage tiré à 900 exemplaires numérotés. L’un 739 des 900 sur vélin de chiffon. In-8 sous chemise et étui de l’éditeur, 210 ff. Tête de l’étui fendillé, sinon bel exemplaire.
Parue à titre posthume en 1955, “La Compagne”, roman autobiographique est le troisième tome de la trilogie de Maxence Van Der Meersch (1907-1951) , “La Fille pauvre”. Bon état d’occasion
Editions Faton. 2007. In-4. Broché. Etat passable, Coins frottés, Dos satisfaisant, Papier jauni. 96 pages. Deux colonnes de texte. Nombreuses illustrations en noir et blanc et en couleurs.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire: Jésus dans les textes apocryphes- Marie-Madeleine compagne de Jésus?- Les juifs de l'Inde- La naissance de l'Eglise orthodoxe- Dijon le musée d'art sacré- Fiches: le baptême, la loi de séparation de 1905-etc. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
LIFAR (Serge) danseur, chorégraphe et pédagogue russe naturalisé français. Il fut un grand collectionneur obstiné de la danse (1905-1986).
Reference : 82C24
18 janvier 1970. De l’Opéra du Caire, il le remercie pour le magnifique livre de l’Opéra de Paris que le peintre lui a adressé. « Hélas, c’est un peintre Egyptien qui est chargé par le Ministère d’exécuter le décors de Daphnis… ». 27 octobre 1977. De l’Opéra de Paris, il sera heureux de les voir pour la représentation du 31. 14 mars 1981. Sydney (Australie). «… Je règle la chorégraphie de "Suite en blanc ". L’œuvre du musicien français ! (de Lalo) ». Décembre 1986. Carte de vœux pour la nouvelle année 1987, année que Lifar ne pourra connaître, signée par « Lilian et Serge ». Une des dernières signatures de Lifar, décédé 15 décembre 1986, à Lausanne. 8 février et 19 décembre 1987. 2 lettres autographes signées par sa compagne, Lillian (ou Lillan) Ahlefeldt-Laurvig. Elle exprime son émotion au reçu de la lettre des Brayer, venant la réconforter dans sa douleur. « Vos si aimables pensées dans ces moments tristes sont d’un grand réconfort dans mon immense détresse. Serge était mort dans mes bras consiens jusqu’au presque dernière moment. Il été si fragil, si transparent comme un petit oiseau. Il été doux et calme, mais pleuré tout le temps. Peu de temps avant sa mort il demanda son agenda où il écrivait avec son joli fin petit main "adieu la vie, adieu Lillan mon ange, adieu les amis, adieu les beautés de la nature"… et c’était fini ! ». Elle reviendra prochainement à Paris pour s’occuper du monument du tombeau du danseur, au cimetière russe de Ste-Geneviève-des-Bois. Sachant l’attachement que Lifar accordait aux Brayer, elle s’aventure à ouvrir son cœur et à dévoiler des confidences. « Serge été depuis29 ans ! tous ma vie - car nul ne sait mieux que moi qui été le VRAI Serge Lifar avec les éminentes qualités de Bonté, de sensibilité et de total désintéressement qui habitaient son âme. Le vide est terrible et le silence aussi. IL faut - si le Dieu le veu – que je vie encore un peu du temps pour défendre les œuvres de Serge et pour réunir la collection qui reste et qui ne sera jamais à vendre. On joint une superbe photo montée sur carton, représentant Serge Lifar posant torse nu devant Yves Brayer, dans sa loge de l’Opéra de Paris en 1941.
L’ensemble des 7 documents
Editeur Uni-Médias SAS. 2019. In-8. Broché. Bon état, Coins frottés, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 74 pages. Texte sur plusieurs colonnes. Nombreuses photos et illustrations en couleurs, in texte. Rares rousseurs.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire: Trouver un logement étudiant, les solutions selon votre budget- se protéger des fraudes à la carte bancaire- dois-je adopter l'enfant de ma compagne- programme vacances travail: comment ça marche- gagner de l'argent en voyageant- se faire rembourser une location touristique trompeuse-etc. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Librairie illustrée.. 17 mai 1885. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 305 à 320. Quelques gravures en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.4412-Le journal des voyages
Sommaire : L'Asie centrale, moeurs et coutumes - Le fiancé finit toujours par atteindre sa compagne, Aventures d'un gamin de Paris au pays des lions, chapitre III, Le tour de france d'un petit parisien, XIV, Journal d'un aspirant de marine, VI Classification Dewey : 70.4412-Le journal des voyages
OPTA. 1957. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos frotté, Quelques rousseurs. Environ 140 pages. Texte sur deux colonnes. Quelques dessins noir et blanc et couleur, dans le texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Recits noirs - publication mensuelle - edition francaise de manhunt. SOMMAIRE : le sang sur le trottoir par evan hunter, tue et assomme par dan sontup, charmante compagne par michael fesser, point de mire par robert turner, le chasseur solitaire par john sentry, tue moi demain par fletcher flora, le noeud coulant par steve harbor, double face par henry slesar, bal masque par sam merwin, incident a coney island par bruno fischer, un trou pour emily par f.j. smith. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Tallandier. 25 novembre 1923. In-12. Broché. Bon état, Livré sans Couverture, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 401 à 480. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Sommaire : Les Don Juanes, quatrième partie par Marcel Prévost, Notre compagne par André de Lorde, Monsieur des Lourdines (III) par Alphonse de Chateaubriant, La poupée japonaise par Claude Farrère, La chaussée des géants (VIII) par Pierre Benoit, La potiche de Chine par Miguel Zamacoïs, Les sorciers par Joseph de Pesquidoux, Le vieil homme (suite) par Georges de Porto-Riche Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Bureau du journal. 17-23 octobre 1953. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 36 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
Sommaire : Rosette ou le drame de la viande trop chère, Toute l'Amérique pleure Bobby, Une balle invisible accuide Henri Demon, La mère de Michel Perrin nous a déclaré : Je possède le procès verbal de l'accident ou la compagne de mon fils a trouvé la mort, Le marquis de Cuevas attaque le vatican en diffamation Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux
Editions Document 48. non dté. In-4. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Agrafes rouillées, Papier jauni. Environ 30 pages agrafées - nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte - rousseurs sur les plats.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Paris Pin-Up Baumanière - la proie pour l'ombre - la compagne de Tarzan photo Serge - du soileil sur vos murs - flirt avec l'homme invisible - le petit factionnaire - a dormir debout - chair obscur - une femme par jour - neige pur neige radieuse - le réveillon du solitaire - le coeur sur la main - folies bergères - les deux soubrettes - dos,sol,dodo - vous verrez prochainement . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
PARIS MATCH. 5 juillet 1990. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 122 pages augmentées de nombreuses photos et illustrations en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte - 1er plat illustré d'une photo en couleurs. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Peyron-Lamazou : les poètes de l'impossible, les nouveaux baroudeurs sont souvent des têtes pensantes, leurs sponsors : Denoël et Grasset par Irène Frain, Christophe Dechavanne : en exclusivité, il nous présente sa compagne et son bébé par Sabine Cayrol, Jean Michel Jarre, depuis les caraïbes, il a préparé son concert géant de la Défense par Gisèle Galante Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
PARIS MATCH. 27 octobre 1988. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 166 pages augmentées de nombreuses photos et illustrations en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte - 1er plat illustré d'une photo en couleurs. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Que va-t-on vraiment fêter en 89 ? Une interview de François Furet, par Irène Frain, Amoureux du cinéma : Roger Thérond et Jean Charles Tacchella, Ma lettre a Didier Pironi, la compagne du champion explique pourquoi elle a écrit ce livre bouleversant par Sabine de la Brosse, Michel Sardou : je suis un anarchiste qui paie ses impots, Tcheky Karyo : je suis sauvage comme un ours Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
PARIS MATCH. 14 mars 1986. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 150 pages augmentées de nombreuses photos et illustrations en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte - 1er plat illustré d'une photo en couleurs. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Mythes : divines aventurières, Sagas : François Weyergans, Stratégie : Jean Louis Martinoty, Georges Simenon : a Lausanne, il fête ses 83 ans avec Térésaa, sa chère compagne, Pierre Richard : je suis toujours prêt a larguer les amarres, Jean Claude Brialy : peut-on trouver un français qui n'ait pas la légion d'honneur par Jean Claude Brialy Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues