Sous couverture imprimée orange à rabats.Illustré de 6 compositions hors texte en couleurs par Fernand LEGER et de nombreux dessins en noirs.
Paris Louis Carré 1956 67 pp. In-4. Broché. Très bel état. 1 volume. TIRAGE LIMITÉ à 750 exemplaires sur vélin d'Arches.Ouvrage édité à l'occasion de l'exposition "Le Paysage dans l'?uvre de Fernand Léger" à la galerie Louis Carré du 19 novembre au 31 décembre 1954, mais publié deux ans plus tard hors commerce. Carte de la Galerie jointe.OUVRAGE RARE, car paru deux ans après l'exposition elle-même, et jamais mis dans le commerce.Né le 4 février 1881 à Argentan, Fernand Léger travaille sur de nombreux supports à travers sa carrière, comme la peinture, le cinéma, l'illustration, la verrerie, la céramique et le design.Contemporain de Picasso et de Matisse, ami de Duchamp et de Cendrars, Léger est d'abord moderne par son appartenance àune époque riche d'innovations artistiques. Puisil célèbre la machine etla vie urbainedans de nombreux tableaux.
La Maison-Forestière (Argonne) 28 mai 1915, 13,4x21,3cm, 4 pp. sur un feuillet double.
Fabuleuse lettre autographe du peintre Fernand Léger rédigée en première ligne durant la bataille d'Argonne, adressée au marchand d'art parisien Adolphe Basler. 92 lignes à l'encre noire, quatre pages sur un feuillet double, daté par Léger du 28 mai 1915. La lettre autographe est présentée sous une chemise en demi maroquin vert sapin, plats de papier vert à motif stylisé, contreplats doublés d'agneau vert, étui bordé du même maroquin, ensemble signé Goy & Vilaine. La lettre a été choisie pour l'anthologie de Cécile Guilbert, Les plus belles lettres manuscrites de Voltaire à Édith Piaf, Robert Laffont, 2014. Véritable chef-d'uvre de la correspondance, cette exceptionnelle missive de Fernand Léger révèle l'importance fondamentale de l'expérience des tranchées sur son uvre à venir. Mobilisé dans les troupes du Génie en 1914, Léger reste deux ans en poste sur le front d'Argonne, dans le secteur de la Maison-Forestière, d'où il écrit cette lettre le 28 mai 1915, «?pendant que les obus [lui] passent au-dessus de la tête?». En toute liberté de ton et de forme, la lettre surprend par le charme célinien de son style et annonce la période «?mécanique?» de sa peinture d'après-guerre. On assiste entre les lignes à l'éveil de sa conscience politique au contact des hommes rencontrés sur le front, dont le mérite et la bravoure marquèrent durablement le peintre. Son analyse particulièrement lucide de l'inhumanité de la guerre place cette missive parmi les plus belles lettres de combattant de la première Guerre Mondiale. Fernand Léger répond à Adolphe Basler, critique d'art polonais, qui fut le secrétaire de Guillaume Apollinaire et négociant de tableaux. Basler fit probablement la rencontre de Léger autour de 1910, alors que celui-ci fréquentait la «?bande à Picasso?» et subissait fortement l'influence du cubisme aux côtés de Derain, Maurice de Vlaminck et Max Jacob. S'essayant au monochrome puis à l'abstraction, Léger applique les préceptes de décomposition des formes et de distorsions de perspectives. Son travail auprès des cubistes devient prémonitoire de l'apocalypse à venir. Quelques années plus tard, ce vocabulaire cubiste devient en effet pour Léger la parfaite illustration de la guerre, qu'il décrit ainsi à Basler?: «?C'est linéaire et sec comme un problème de géométrie. Tant d'obus en tant de temps sur une telle surface, tant d'hommes par mètre et à l'heure fixe en ordre.?» Plus que jamais, l'innovation cubiste permet de traduire le monde contemporain oscillant entre rationalisme et chaos. Le contact des tranchées opère chez le peintre un véritable bouleversement tant intellectuel qu'artistique. Comme le remarque Blaise Cendrars «?cest à la guerre que Fernand Léger a eu la révélation soudaine de la profondeur d'aujourd'hui...?». Léger confie à Basler sa vision d'une guerre industrielle, inhumaine et dépersonnalisée?: «?Le flottement c'est fini. C'est une guerre sans «?déchet?», une guerre moderne. Tout vaut. Tout s'organise pour un maximum de rendement. Cette guerre-là, c'est l'orchestration parfaite de tous les moyens de tuer, anciens et modernes. C'est intelligent jusqu'au bout des ongles. C'en est même emmerdant, il n'y a plus d'imprévu?». Cette pertinente analyse de Léger se traduisit dans ses toiles d'après-guerre par une véritable esthétique du calcul et de l'équilibre, un «?rendement pictural?», à l'image de la guerre moderne à laquelle il prit part. Chez Léger en effet, la leçon cubiste s'accompagne d'une profonde réflexion sur la modernité et «?les hommes modernes?» qu'il désire représenter dans sa peinture. La lettre révèle la gestation de son style pictural d'après-guerre, gardant la fragmentation cubiste tout en faisant vibrer ses toiles de couleurs et de motifs saisis au contact des tranchées. En effet, Léger donne à Adolphe Basler un aperçu de sa célèbre «?période mécanique?» des années 1920, dont on peut voir une préfiguration dans la prophétique sentence?: «?Tout cela se déclenche mécaniquement?». Les armes de destruction massive hantent le quotidien de l'artiste-soldat autant qu'elles l'inspirent?: «?C'est terrible une attaque, quand des bonhommes qui pendant des heures ont subi une préparation d'artillerie infernale aplatis dans des trous, réduits à l'état de pauvres petites choses, quand on donne l'ordre à ces hommes-là de sortir de leur abris, de franchir un parapet et d'aller sur des mitrailleuses avec leur baïonnette?». à la suite de cette expérience, les structures tubulaires et circulaires des obus, mitrailleuses et baïonnettes furent élevées au rang de langage pictural. Léger avait compris que la peinture devait entrer en compétition avec l'objet manufacturé, et prendre en marche le train de la modernité. Entre droites et courbes, il les emploie en tant que sujet propre (Eléments mécaniques, 1920, Metropolitan museum of Art, Les Hélices, 1918, Museum of Modern Art) ou matériau pour ses portraits (Le Mécanicien, 1919, Boston Museum of Fine arts). Ses camarades soldats «?réduits à l'état de pauvres petites choses?» donnent naissance à une anatomie nouvelle, composée de formes géométriques restreintes?: cubes pour la tête et le tronc, tubes circulaires pour les bras, cercles pour les articulations. Léger dévoile une nouvelle fois ses talents de visionnaire par un passage d'une clairvoyance saisissante sur les enjeux véritables de la guerre, qu'il devine dans cette lettre dès le début de l'année 1915. Il anticipe la défaite allemande dans la course aux armes de pointe, effectivement battue sur le plan technique deux ans plus tard avec l'arrivée des chars d'assaut américains?: «?Les Boches ont cela d'épatant qu'ils font la guerre avec des moyens les plus modernes possibles. Ils ont parfaitement raison. Mais où ils ont eu tort c'est de ne pas avoir su les employer assez supérieurement dès le début et assez vite pour empêcher les autres de juger leurs trucs et de leur retourner la balle?». Après cette démonstration pleine d'ironie de la supériorité du camp français, Léger achève sa lettre à Basler, lui-même engagé volontaire, sur l'assurance de la victoire?: «?En septembre [1914] on faisait une guerre de primaire ridicule, mais maintenant c'est autre chose on les a pillé et supérieurement à notre tour, on a décidément plus de talent qu'eux et comme ils n'ont pas le génie, on les aura?». Par ailleurs, la guerre a éveillé en lui une conscience politique qui guidera toute son uvre à venir, jusqu'à son illustration du poème Liberté d'Eluard. Ses frères d'armes, qu'il prend pour modèle durant ses années de guerre, lui inspirent de célèbres toiles et l'orientent après-guerre vers un art résolument populaire, né de la camaraderie qu'il mentionne au début de la lettre?: «?Je suis tranquille les artilleurs m'ont appris que j'étais dans une «?position d'angle?» c'est-à-dire inviolable pour les obus boches. J'ai confiance en ces gens-là ils connaissent bien leur métier?». Ce fut pendant ces deux ans de combats qu'il découvre la fonction sociale de l'art, délaissant sa brève période d'abstraction pour un art figuratif servant la cause communiste. Bien qu'il n'adhère officiellement au Parti communiste français qu'en 1945, il déclare déjà dans sa lettre de 1915?: «?il n'y a que des hommes modernes pour pouvoir encore un pareil effort. Une armée de métier ne tiendrait pas, mais un peuple qui a vécu la vie tendue et dure de ces 50 dernières années, peut le fournir.?» Se considérant lui-même comme un peintre-ouvrier, parfois qualifié de «?paysan de l'avant-garde?», il manifeste dans la lettre et dans son uvre son profond respect pour le travailleur moderne. Sous couvert de célébrer l'invincibilité de l'homme contemporain, Léger dénonce ici son asservissement?: «?Une guerre comme celle-ci n'est possible que par les gens qui la font. C'est aussi vache que la lutte économique. Les temps de paix aussi à cette seule différence qu'on tue du monde. Ça ne suffit pas pour renverser les facteurs. C'est la même chose. Ces gens là qui la font, nous autres, nous sommes dressés à cette momerie-là.?». Son engagement politique et artistique commence dès 1917, avec sa célèbre toile «?La Partie de cartes?» (Kröller-Müller Museum, Otterlo), qui confond formes organiques et mécaniques des hommes meurtris par les combats. Privé de la peinture pendant les trois années de sa mobilisation, Léger entretient sur le front une riche correspondance avec ses proches restés à l'arrière. Notre lettre constitue un exemple exceptionnel de la beauté et de l'aisance du style épistolaire du peintre - sa réponse à Basler est ponctuée de passages dignes de la gouaille de Céline ou de son ami Cendrars, avec la même violence sinistre et perverse?: «?Il n'y a qu'à l'arrière où on est assez mou pour pleurnicher sur des histoires de cathédrale de Reims bombardée ou de femmes enfilées par les Boches. Ici ça ne mord pas du tout. Et monsieur Barrès n'a aucun succès. On n'a pas idée de demander à des gens qui s'octroient le droit de tuer de respecter des monuments plus ou moins historiques ou des femmes qui souvent n'ont sans doute pas demandé mieux.?». La guerre a produit chez Léger un langage singulier, celui des Poilus, populaire et argotique, dont le dénuement, l'aridité et le cynisme rejaillit sur le lecteur. Doté d'un véritable talent d'écriture, il sera par la suite l'auteur de conférences, d'articles de théorie picturale, de récits de voyages et de textes poétiques. C'est par sa correspondance avec Basler qu'il renoue avec les cénacles de la peinture parisienne, et s'échappe des combats pour quelques instants. Il pousse un véritable cri du cur à la fin de sa lettre («?Mon cher Monsieur Basler, parlez-moi de la peinture?») - lui qui ne retrouvera l'occasion de peindre qu'en 1917, après avoir frôlé la mort à Verdun. Ses dernières lignes évoquent probablement un projet d'exposition de son uvre aux Etats-Unis?: «?Je pense bien à l'Amérique aussi mais quand tout cela sera fini?». Sa première rétrospective américaine fut réalisée à New York dès 1925, et marque le début d'une longue série de voyages et de toiles célébrant la vie moderne américaine. Prodigieuse et terrifiante lettre de Fernand Léger, artiste combattant exilé de sa peinture, qui a su déceler la beauté du monde moderne dans le spectacle du chaos. Le peintre nous livre un saisissant témoignage de son éveil politique et pictural, façonné et imprégné par son expérience du feu. - Photos sur www.Edition-originale.com -
1957 En feuilles
Billet tapuscrit et autographe signé, 1957. Deux ans après la disparition de Fernand Léger, sa femme informe Pierre Descargues du bon déroulement de la construction à Biot du musée consacré à l'artiste, dont elle espère l'ouverture l'année suivante. JOINT : une carte de voeux de Nadia Léger et de Georges Bauquier, illustrée d'un dessin de Fernand Léger - une photo originale de Nadia Léger devant la mosaïque "La Fermière" (18 x 24 cm) - une photo de Fernand Léger dans son atelier en 1950, tirage de presse 13 x 18 cm pour l'exposition de Villeneuve d'Ascq en 1990. >Bel ensemble Très bon 0
Paris, Éditions de la Galerie Simon, 1921. Grand in-4, demi-reliure, étui.
Illustré de 6 gravures sur bois par Fernand Léger, dont une en couverture. Édition originale. Tirage à 112 exemplaires, un des 90 exemplaires sur Hollande van Gelder, signé par l’auteur et l’illustrateur. Premier livre d’André Malraux et premier livre illustré de gravures originales de Fernand Léger. C’est encore Max Jacob qui met en relation Kahnweiler et Malraux, alors âgé de dix-neuf ans. Lors de leurs échanges épistolaires, Jacob le cite parmi les « jeunes montants ». De fait, engagé par Simon Kra, Malraux participe au lancement des Éditions du Sagittaire, écrit dans les revues Action et La Connaissance où il publie Des origines de la poésie cubiste, y égratigne les poètes symbolistes, tout en faisant la promotion des « vrais » poètes cubistes: Apollinaire, Reverdy, Cendrars et Max Jacob dont il écrit qu’il « apportait au Cubisme une ironie fluette, un mysticisme charantonesque, le sens de tout ce qu’il y a de bizarre dans les choses quotidiennes et la destruction de la possibilité de l’ordre logique des faits ». D’ailleurs Lunes en papier est dédié à Max Jacob et, l’avertissement initial donne le ton: « il n’y a aucun symbole dans ce livre ». Trois nouvelles au ton absurde et frivole, où s’entremêlent des métaphores et des intrigues aux rebondissements étranges: foin des humains, ce sont les Sept Péchés capitaux qui décident de tuer la Mort... Kahnweiler choisit Fernand Léger pour illustrer ce deuxième livre publié à l’enseigne de la Galerie Simon. Les gravures de Léger, pour éloignées qu’elles paraissent de l’inspiration du texte, n’en créent pas moins, par contraste, une curieuse alliance: « La loufoquerie du récit [...] est accusée par la stabilité des structures que Léger propose, rencontre du feu et de la glace ». Peyré. Ici encore Kahnweiler renoue avec une couverture illustrée. Léger sera le plus actif des artistes œuvrant pour aider le marchand à faire lever les séquestres de ses biens. Hélas ses efforts seront vains et la première vente aura lieu deux mois après la parution de Lunes en papier. Skira 198; Hugues 7; Hofer 163; Pompidou p. 180; V. & A.M. 64; Chapon p. 283; Peyré 21; Galland p. 867.
Catalogue d'exposition du Musée National Fernand Léger.
Reference : 25860
ISBN : 9782711874279
<meta charset="utf-8"><span data-mce-fragment="1">La première édition de la trilogie d'expositions « Vis-à-vis. Fernand Léger et ses amis », a été présentée au musée national Fernand Léger de Biot en 2017, la seconde en 2018.</span><br data-mce-fragment="1"><span data-mce-fragment="1">Le dernier volet, est accompagné de la publication de cet ouvrage, reprenant l'ensemble des artistes présentés lors des trois manifestations. Richement illustré, il est organisé selon un plan chronologique et thématique, et rythmé par des « focus » sur les amitiés majeures pour Fernand Léger, que ce soit dans le monde des arts plastiques ou du spectacle. Ainsi, pour chaque décennie, des années 1900 aux années 1950, des œuvres de Juan Gris, Albert Marquet, Constantin Brancusi, Pablo Picasso, Alexander Calder, Georges Braque, Henri Matisse, et de vingt autres artistes-amis dialogueront avec les œuvres de Fernand Léger.</span><br data-mce-fragment="1"><span data-mce-fragment="1">Des photographies historiques et documentaires illustres les principaux événements et enjeux artistiques entre 1900 et 1950. À l'image de l'esprit ouvert et pluridisciplinaire de l'artiste, l'ouvrage est ludique, moderne, coloré et lumineux.</span><br data-mce-fragment="1"><span data-mce-fragment="1">Destiné à un large public, il constitue tout autant un catalogue d'exposition reflétant l'atmosphère joyeuse et créative des trois expositions successives, qu'un ouvrage de référence mettant en valeur les collections du musée en les enrichissant de l'apport des autres artistes.</span><br data-mce-fragment="1"><br data-mce-fragment="1"><span data-mce-fragment="1">Exposition au musée national Fernand Léger, Biot, du 1er juin au 23 septembre 2019</span><br data-mce-fragment="1"> Paris, 2019 RMN 192 p., nombreuses illustrations couleur, broché avec rabats. 21 x 23
Neuf
--Avec trois dessins inédits de Fernand Léger et envoi à André Fontainas--[LEGER (Fernand)] GANZO (Robert).
Reference : 14008
(1937)
1937 P., La Typographie, 1937, 1 vol. in-8° (218 x 150 mm) broché sous couverture crème imprimée en noir et rouge, non paginé. Très bel exemplaire.
Edition originale tirée à 150 exemplaires non justifiés, tous sur vergé de Rives. 3 dessins inédits de Fernand Léger, reproduits en hors texte.Bel et long envoi autographe signé de lauteur au poète et critique dorigine belge André Fontainas : "Peut-être, cher Monsieur André Fontainas, un exemplaire de ce poème vous a-t-il déjà été remis ? Excusez-moi pour tant dinsistance. Et merci encore puisque la poésie vous doit beaucoup. Robert Ganzo, 1938".
Biot Musée National Fernand Léger 1920 Une jolie lithographie, éditée par Nadia Léger et Georges Bauquier au nom du Musée National Fernand Léger à Biot comme message / cadeau de nouvel an. La lithographie représente une femme tenant un bouquet de fleurs. À l'intérieur, un court texte imprimé souhaite au destinataire une bonne année. (sans préciser l'année). Dans l'ensemble, il s'agit d'une lithographie propre et en bon état sur papier épais. 280 par 220mm (11 par 8Ÿ pouces). Il y a une très petite tache dans le coin de la couverture. Le panneau arrière présente une certaine décoloration / assombrissement, mais dans l'ensemble il est en excellent état. Première édition (pour la carte)
An attractive lithograph, issued by Nadia Léger and Georges Bauquier on behalf of the Musée National Fernand Léger at Biot as a new year message / gift. The lithograph shows a picture of a woman holding a bunch of flowers. Inside, is a short printed text wishing the recipient a happy new year. (but doesn't state which year). Overall a clean and good condition lithograph on heavy weave paper. 280 by 220mm (11 by 8Ÿ inches). There is a very small stain to the corner of the front cover. To the rear panel there is some discoloration / darkening, but overall in excellent condition. First edition (for the card) .
EUROPE. Juin-Juillet 1997. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 270 pages.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Fernand Léger - Le sensible regard de Fernand Léger par Jean Baptiste Para, Le grand coordonnateur par Guillevic, Le timbre au-dela du chant par Yves Peyré, Fernand Léger en peu de traits par Castor Seibel, Une poignée de main par Frédéric Jacques Temple, Luxe et gravité par Jean Bazaine, A l'Atelier Léger par Tonia Cariffa, Duchamp et Léger par Bernard Moninot Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Paris, Centre Georges Pompidou, Classiques du XX ème siècle1997. In-4, carré (28 x28 cm), broché, couverture illustrée, (F Léger dans son atelier), 359 pp. Très nombreuses illustrations en noir et en couleur dans et hors-texte.
Catalogue de l'exposition présentée au Centre Georges Pompidou du 29 mai au 29 septembre 1997, à Madrid du 28 octobre 1997 au 12 janvier 1998, 1998 et à New York du 11 février au 19 mai 1998. Avant-propos de Jean-Jacques Aillagon. Une rétrospective Fernand Léger par I. Monod-Fontaine et Claude Laugier. Un catalogue Fernand Léger par Christian Derouet. Essais : La " matière première " de F Léger par Rainer Rochlitz. L'Amérique de F Léger par André Kaspi - Sur quelques cartes postales des années trente par Marc Augé. Bel exempalire. Photos sur demande.
Catalogue hors-série réalisé à l'occasion de la rétrospective Fernand Léger au Centre Georges Pompidou du 29 mai au 29 septembre 1997. In-4 broché (29 x 22,4 cm), 97 pages richement illustrés.- 530g.- Très bon état.
, Mechelen, A. Spinoy, 1979., Originele uitgeversomslag, 20,5x28cm, 107pp, geillustreerd in kleur en z/w.
Tentoonstelling Cultureel Centrum, Burgemeester A. Spinoy, 14/10-2/12/1979.
Paris Louis Carré 1956 Ouvrage édité à l'occasion de l'exposition " Le paysage dans l'oeuvre de Fernand Léger " qui eut lieu en Novembre et Décembre 1954 mais l'ouvrage fut publié deux ans plus tard hors-commerce - In4 ( 28 X 19 cm ) - broché sous couverture à rabats - 70 pages - Post-scriptum liminaire de Cendrars en fac similé précédant sa préface - Illustré par Fernand Léger de 6 lithographies en couleurs et à pleines pages dont 1 en frontispice et 2 en double page + 5 lithographies noir et blanc a pleine page et 10 dans le texte - Les lithographies ont été tiré par Mourlot - Carte de Blais Cendrars dans l'ouvrage - Seul défaut : une mouillure au coin supérieur en page de faux titre ainsi que la trace du trombone de la carte de Cendrars insérée dans l'ouvrage . Tirage limité a 750 exemplaires . Illustrations lumineuses ... Ouvrage rare .
Bon
Paris, Louis Carré, 1952. Pt. in-4° non paginé. Broché, couverture illustrée rempliée, sous papier cristal imprimé.
Edition originale tirée à 1000 exemplaires sur vélin d'Arches. Texte de Fernand Léger préfacé par André Maurois, publiée à l'occasion de l'exposition " La figure dans l'oeuvre de Fernand Léger " organisée par la galerie Louis Carré du 6 juin au 12 juillet 1952. Imprimé par Mourlot, cette édition est illustrée de 18 belles reproductions lithographiques dont la couverture, 5 en noir, 6 en deux tons et 6 en couleurs. Bien complet du feuillet volant listant les oeuvres exposées. Transfert des illustrations, comme toujours, sinon en parfaite condition.
S.n., s.l. 1955, 14x10,5cm, une feuille.
Rare faire-part de décès de Fernand Léger, disparu le 17 Août 1955.. La famille du peintre, le Parti Communiste Français, le Conseil National du Mouvement de la Paix et ses amis se joignant à la douleur de la veuve de Fernand Léger pour convier lespersonnes prévenues que les obsèques et l'inhumation du peintre auront lieu le samedi 20 Août 1955 à Gif-sur-Yvette. Enveloppe jointe à l'adresse de Charles Dobzynski probablement rédigée par Nadia Petrova Léger. - Photos sur www.Edition-originale.com -
, Blue Moon Press 1978, Hardcover with dusjacket. 320 pages, 25 x 32.3 cm. 2,3 kg. text in English. one of 1750 numbered copies,
Fernand L ger is known for his Cubist paintings and his representational works of the mechanical period. This catalogue raisonn is an excellent and unique work of reference which shows his entire graphic oeuvre.
Aux Éditions de la Sirène, Paris 1919. Un volume in-4 (318 x 250 mm) non paginé, broché sous couverture illustrée en noir sur les plats, dos titré. ÉDITION ORIGINALE ILLUSTRÉE DE 22 POCHOIRS PAR FERNAND LÉGER, dont 6 dessins en noir rehaussés. Tirage : 25 Rives à la forme + 1200 registre vélin Lafuma. Celui-ci numéroté sur vélin. Le plus beau "livre d'artiste" de son temps et un chef-d'œuvre de l'édition d'Avant-Garde de la première moitié du XXe siècle. Illustrated with 22 pochoirs, 6 with line-block reproductions of ink drawings. The colourful Fernand Léger compositions, combining Cubism and Futurism, create a truly captivating work. The colours were directly applied with watercolour through the technique of the manual pochoir. A excellent copy of the most beautiful French artist's books of its era and one of key illustrated books of the twentieth century. Condition report: The book is in its original condition in excellent condition, the cover is nice, the hinges and the spine excellent, tiny wears. Excellent internal condition with bright stencils colors. More pictures on request.
Exemplaire dans sa condition d'origine en très bon/excellent état, les deux plats très beaux avec d'infimes imperfections marginales, petits frottements au dos. Excellent état interne avec les pochoirs lumineux. Chef-d'œuvre absolu d'un des premiers livres d'artistes en cet an premier du XXe siècle. Photographies et renseignements supplémentaires sur demande.
Phone number : 06 88 90 24 07
Paris, Louis Carré, 1956. In-4°, 73p. Broché.
Edition originale de ce catalogue, imprimé à 750 exemplaires sur vélin d'Arches et prévu pour l'exposition des oeuvres de Léger organisée à la galerie Louis Carré du 19 novembre au 31 décembre 1954, et qui ne paraîtra que deux ans après la rétrospective. Ouvrage illustré de lithographies originales de Fernand Léger : 6 hors-texte couleurs dont deux à double page, 5 hors-texte en noir et 10 dans le texte. On joint la liste des oeuvres qui était donnée pendant l'exposition avec une lithographie originale en première page et l'annonce de la préparation de du présent ouvrage. Fort peu courant et en parfaite condition.
Paris, Maeght éditeur, 1955. In-folio (380 x 280 mm) en feuilles, 16 pages. 5 LITHOGRAPHIES ORIGINALES EN COULEURS dont 2 en double page. DLM édité en octobre 1955 pour l'exposition ""Hommage à Fernand LÉGER"" à la Galerie Maeght. Texte de Pierre Reverdy ""Pour tenir tête à son époque"". Rare tirage original.
SEUL TIRAGE. Excellent état. Très belles lithographies d'après Fernand Léger. 1er tirage très rare et l'un des plus beau numéro de la revue.
Phone number : 06 88 90 24 07
Paris, éditions de la Galerie Simon 1921 Grand in-4 32 x 23 cm. Broché, non paginé [24] pp., illustré de 7 gravures sur bois de Fernand Léger, dont 3 bandeaux, 3 à pleine page et 1 vignette en couverture. Couverture légèrement poussiéreuse, accrocs en tête et en pied de dos.
édition originale du premier livre d’André Malraux et premier livre illustré de gravures sur bois de Fernand Léger, achevé d’imprimer par l’Imprimerie Birault, 4 , Rue Tardieu, à Paris, pour André Simon et Cie, le douze avril 1921, au nombre de cent exemplaires numérotés et signés par l’Auteur et l’Illustrateur, auxquels s’ajoutent dix copies de Chapelle, numérotés de I à X, celui-ci, N° VII. Seuls les exemplaires chiffrés 0 et 00 contiennent une suite de gravures sur bois rayées au burin. Texte d’un certain cubisme littéraire allié à un surréalisme foisonnant, nourri de Rimbaud, Lautréamont, Max Jacob (à qui il est dédié), Hoffmann (qui fournit l’exergue), “Lunes en papier” fait dialoguer sous une forme onirique des péchés plus ou moins capitaux : la Colère, la Luxure, la Gourmandise, la Paresse, l’Orgueil, etc… Dans la “Ville-farfelu” ils complotent pour faire mourir la Mort, la Mort en smoking, mais à sa disparition, ils se demandent tous : “pourquoi avons-nous tué la Mort ?”. Par la suite, André Malraux jugera que cet ouvrage de fantaisie et d'imagination légère n'était qu'une “gloire de café”. Bon état d’occasion
Musée des Arts Décoratifs 1956 In-12, broché couv. illustrée, illustrations en n. & b., 414 pp. + pages de publicité en fin d’ouvrage. Couverture lithographiée par les Frères Mourlot d’après une gouache originale de Fernand Léger. Etat d’occasion
Exposition présentée au Musée des Arts Décoratifs, au Palais du Louvre, Pavillon de Marsan de juin à octobre 1956.Photos de l’artiste dans son atelier sont de Doisneau.Préface de Cassou Très bon état d’occasion
[Léger] LÉGER, Fernand ; JARDOT, Maurice ; DEROUET, Christian
Reference : 23442
(1987)
ISBN : 2605001075
Skira. Collection “Correspondances du XXe siècle”/Musée Nationale d’Art Moderne Centre Georges Pompidou 1987 Préface de Maurice Jardot. Edition établie et annotée par Christian Derouet. In-8, broché, couv. illustrée, photographies en n&b., 287 p. Biographie, bibliographie, index. Très bon état d’occasion.
Première édition de la correspondance de Fernand Léger avec Simone Herman, qui fut sa maîtresse de 1931 à 1940. Eclaire d’un jour nouveau la vie et l’activité créatrice de ce pionnier du cubisme. Très bon état d’occasion
Paris, Éditions de la Galerie Simon (H. Kahnweiler), 1921. Un volume grand in-4 (32 x 23 cm) broché, 40 pages en vingt feuillets non chiffrés, couverture de papier Japon illustrée. Édition originale du premier livre d'André Malraux et premier livre illustré de gravures originales de Fernand Léger. 7 GRAVURES SUR BOIS : 1 ornant la couverture, 3 à pleine page et 3 culs-de-lampe en fin de chaque chapitre. Tirage : 100 exemplaires + X de chapelle + 2 pour le dépôt légal. Celui-ci portant le n° 60, sur papier de Hollande, est signé à l'encre par André Malraux et Fernand Léger. L'exemplaire est conservé dans sa condition d'origine, en excellent état. Quelques claires rousseurs dûes à la ficelle de brochage et reports habituels des gravures.
Phone number : 06 88 90 24 07
Genève-Paris, Editions des Trois Collines, Collection "Le Point d'Or", 1948, 1 volume in-8 de 225x160 mm environ, 123 pages, broché sous couverture rempliée imprimée en noir. Edition originale numérotée, Exemplaire N° 767/2000, 1 des 1900 exemplaires sur Vélin numérotés de 1 à 1900, illustré d'une vignette de titre et 20 dessins de Fernand Léger, dont 13 à pleine page, compris dans la pagination, avec envoi/dessin de Guillevic. Quelques rousseurs, haut et bas du dos ainsi que les tranches légèrement brunis, sinon bon état.
Eugène Guillevic, né à Carnac (Morbihan) le 5 août 1907, et mort à Paris le 19 mars 1997, est un poète français. Il ne signa jamais ses nombreux recueils que de son seul nom, Guillevic. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.