130 books for « etre un enfant »Edit

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Reference : 400045233

(1979)

‎Le Courrier de l'unesco Etre un Enfant en 1979 Janvier 1979‎

‎ 1979 1979. Le Courrier de l'unesco - Etre un Enfant en 1979 / Janvier 1979‎


‎Bon état‎

Démons et Merveilles - Joinville

Phone number : 07 54 32 44 40

EUR10.00 (€10.00 )

‎Collectif‎

Reference : RO80265112

(1982)

‎Mouvement pour les villages d'enfants mars 1982 - Le droit d'être un enfant.‎

‎Mouvement pour les villages d'enfants. 1982. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 15 pages agrafées - quelques photos en couleurs et en noir et blanc dans le texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : Le droit d'être un enfant. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR14.90 (€14.90 )

‎FELIX-HENRI, NETTEMENT ALFRED, BAILLIT JOSEPH‎

Reference : R110024849

(1868)

‎LA SEMAINE DES FAMILLES 11EME ANNEE N°7 - PAYSAGES ET POESIE DE FELIX-HENRI, ETUDES D'HISTOIRES ET PORTRAITS III DE ALFRED NETTEMENT, JE VOUDRAIS ETRE ENCORE ENFANT DE JOSEPH BAILLIT, L'EXPOSITION MARITIME DU HAVRE DE ALFRED NETTEMENT FILS‎

‎Au bureau du journal.. 14 NOV 1868. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 97 à 112. Lecture en colonnes. Illustrée de quelques gravures en noir et blanc.. . . . Classification Dewey : 70.4413-Magasin pittoresque, universel et mosaïque‎


‎Revue universelle. Sous la direction d'Alfred Nettement. Sommaire : PAYSAGES ET POESIE DE FELIX-HENRI, ETUDES D'HISTOIRES ET PORTRAITS III DE ALFRED NETTEMENT, JE VOUDRAIS ETRE ENCORE ENFANT DE JOSEPH BAILLIT, L'EXPOSITION MARITIME DU HAVRE DE ALFRED NETTEMENT FILS, SOUVENIRS D'UNE JEUNE FILLE DE ETIENNE MARCEL, LES AVENTURES DE MADUREC III DE G. DE LA LANDELLE. Classification Dewey : 70.4413-Magasin pittoresque, universel et mosaïque‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR19.80 (€19.80 )

‎COLLECTIF‎

Reference : R260138799

(1994)

ISBN : 2930088095

‎LE DROIT D'ÊTRE UN ENFANT. RAPPORT ANNUEL DU DELEGUE AUX DROITS DE L'ENFANT.‎

‎EDITIONS LUC PIRE. 1994. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 222 pages. Premier plat illustré en couleurs. Quelques photos et illustrations en couleurs dans le texte. Etiquette de code au dos et tampons de biblitohèque.. . . . Classification Dewey : 340-Droit‎


‎ Classification Dewey : 340-Droit‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR49.50 (€49.50 )

‎PAIS EFAN‎

Reference : 12876

(1979)

ISBN : 2-227-23013-4

‎Être un enfant.‎

‎Paris, Le Centurion, "L'Homme et la femme", 1979 1 volume 15,5 x 22cm Broché sous couverture au 1er plat ilustré couleurs. 134p., 1 feuillet. Bon état.‎


‎Ouvrage réalisé par une équipe de profesionnel(le)s de l'enfance, sous le pseudonyme collectif de PAÏS EFAN, présentant le développement de l'enfant et quelques aspects fondamentaux de la structuration de sa personnalité. ‎

Librairie Paroles - Avignon

Phone number : 06 09 18 58 78

EUR5.00 (€5.00 )

‎SERRES/FRONTY‎

Reference : SVBLIVCN-9782355045875

‎J'AI LE DROIT D'ETRE UN ENFANT‎

‎RUE DU MONDE EDITIONS‎


‎LIVRE A L’ETAT DE NEUF. EXPEDIE SOUS 3 JOURS OUVRES. NUMERO DE SUIVI COMMUNIQUE AVANT ENVOI, EMBALLAGE RENFORCE. EAN:9782355045875‎

Bookit! - Genève
EUR29.74 (€29.74 )

‎JEAN MARC ROSSI‎

Reference : R240057099

(2009)

ISBN : 9527015189

‎LE DROIT D'ETRE UN ENFANT.‎

‎LE COMITE CENTRAL D'ENTREPRISE DE LA SNCF. 2009. In-4. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 36 pages - nombreuses illustrations en couleurs dans le texte.. . . . Classification Dewey : 843.0692-Livres d'enfants‎


‎Illustrations de l'auteur - préface de Marcel Rufo. Classification Dewey : 843.0692-Livres d'enfants‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR19.80 (€19.80 )

‎MARSHALL A.‎

Reference : 16228

‎Être un enfant en Egypte ancienne‎

‎PARIS 2014 300 p, 23,5 x 15,5 cm, broché‎


Cybele - Paris

Phone number : 33 (0)1 43 54 16 26

EUR30.00 (€30.00 )

‎[NAPOLI.] - ‎ ‎SCHNERB (Claude).‎

Reference : 71314

(1946)

‎L'enfant qui ne voulut pas être roi.‎

‎Paris A l'Enfant Poète 1946 1 vol. broché in-8, broché, couverture à rabats, nombreuses illustrations en couleurs in-texte. Dos légèrement déchiré en pied. Sinon bon état.‎


Vignes Online - Eymoutiers
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Phone number : 05 55 14 44 53

EUR15.00 (€15.00 )

‎BART, Léo ; BART, Jean ; BART, Charlemagne‎

Reference : 55268

(1915)

‎Belle correspondance personnelle et originale, adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917. Jean Bart fut successivement matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car pour l'essentiel non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917‎

‎94 cartes et LAS, auxquelles nous joignons quelques photos et quelques lettres postérieures. Belle correspondance personnelle adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917, adressée à Jean Bart, matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917‎


‎Passionnant ensemble, à analyser en profondeur. Prix de l'ensemble, non séparable.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR950.00 (€950.00 )

‎Revue La Psychiatrie de l'Enfant - R. Diatkine et F. Quartier - S. Ionescu - A.-L. Rod et R. Henry - A. Paunier et P.-A. Doudin - M. Dugas, M.-C. Mouren et O. Halfon - N. Jeammet - A. Magoudi‎

Reference : 84433

(1985)

‎Revue La Psychiatrie de l'Enfant - Volume XXVIII - n° 1 / 1985 , (1. Mémoires cliniques : L'enfance perdue d'une schizophrène - Psychophysiologie de la déficience mentale, bilan des études avec enregistrement d'indices végétatifs - 2. Méthodologie et technique : Quelques aspects du jeu en psychothérapie de l'enfant - Fonctionnement mental et investigation psychologique - 3. Psychiatrie sociale et problèmes d'assistance : Les parents battus et leur enfant - Faut-il être normal pour avoir des enfants normaux ? - 4. Revue critique des problèmes d'actualité : Revue critique de la littérature analytique sur les toxicomanies)‎

‎Presses Universitaires de France - P.U.F. , Revue La Psychiatrie de l'Enfant Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1985 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur crème grand In-8 1 vol. - 293 pages‎


‎ 1ere édition, 1985 Contents, Chapitres : 1. Mémoires cliniques : R. Diatkine et F. Quartier : L'enfance perdue d'une schizophrène - S. Ionescu : Psychophysiologie de la déficience mentale, bilan des études avec enregistrement d'indices végétatifs - 2. Méthodologie et technique : A.-L. Rod et R. Henry : Quelques aspects du jeu en psychothérapie de l'enfant - A. Paunier et P.-A. Doudin : Fonctionnement mental et investigation psychologique - 3. Psychiatrie sociale et problèmes d'assistance : M. Dugas, M.-C. Mouren et O. Halfon : Les parents battus et leur enfant - N. Jeammet : Faut-il être normal pour avoir des enfants normaux ? - 4. Revue critique des problèmes d'actualité : A. Magoudi : Revue critique de la littérature analytique sur les toxicomanies bon état, intérieur frais et propre‎

Librairie Internet Philoscience - Malicorne-sur-Sarthe
EUR12.00 (€12.00 )

‎Collectif‎

Reference : R260197909

(2005)

ISBN : 203560348X

‎Vous et votre enfant de la naissance à 6 ans. Sommaire: être parent aujourd'hui, le bébé jusqu'à 6 mois, le bébé de 6 mois à 1 an, l'alimentation jusqu'à 1 an, l'enfant de 1 à 3 ans, l'enfant de 3 à 6 ans, l'enfant dans la famille, guide médical et pratiq‎

‎Larousse. 2005. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 463 pages augmentées de nombreuses photos en couleurs et en noir et blanc dans et hors texte. Couverture contrepliée en couleurs.. . . . Classification Dewey : 370-Education‎


‎Sommaire: être parent aujourd'hui, le bébé jusqu'à 6 mois, le bébé de 6 mois à 1 an, l'alimentation jusqu'à 1 an, l'enfant de 1 à 3 ans, l'enfant de 3 à 6 ans, l'enfant dans la famille, guide médical et pratique. Classification Dewey : 370-Education‎

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‎Revue La Psychanalyse de l'Enfant - Revue de l'Association Freudienne - Gabriel Balbo - Danielle Bruneval-Cerf - Rozenn Le Duault - Martine Lerude-Flechet - Denise Vincent sur Mélanie Klein - Jacques Hébert - Patrick Petit‎

Reference : 87181

(1986)

‎Revue La Psychanalyse de l'Enfant n° 2 - La femme psychanalyste ne théorise-t-elle que de la bouche de l'enfant ? , Revue de l'Association Freudienne (1. Arguments : Une certaine vérité - On est finalement autorisé à déclarer - D'être Dame à la Licorne ou psychanalyste avec les enfants - Vérification et observation ou la mission d'Anna F. - Une femme théoricienne : Mélanie Klein - La psychanalyse au risque de - 2. Cliniques : Pour une clinique des toxicomanes - 3. Cabinet de lectures (comptes rendus)‎

‎Joseph Clims Editeur , Revue La Psychanalyse de l'Enfant - Revue de l'Association Freudienne Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1986 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur orangé saumon, illustrée d'une image en noir et blanc grand In-8 1 vol. - 188 pages‎


‎ 1ere édition, 1986 Contents, Chapitres : Gabriel Balbo : Editorial - 1. Arguments : Danielle Bruneval-Cerf : Une certaine vérité - Gabriel Balbo : On est finalement autorisé à déclarer - Rozenn Le Duault : D'être Dame à la Licorne ou psychanalyste avec les enfants - Martine Lerude-Flechet : Vérification et observation ou la mission d'Anna F. - Denise Vincent : Une femme théoricienne : Mélanie Klein - Jacques Hébert : La psychanalyse au risque de - 2. Cliniques : Patrick Petit : Pour une clinique des toxicomanes - 3. Cabinet de lectures (comptes rendus) infimes traces de pliures aux coins des plats de la couverture, dos de la couverture un peu insolé, sinon bon état, intérieur frais et propre‎

Librairie Internet Philoscience - Malicorne-sur-Sarthe
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‎SOUBIRAN, Yvonne‎

Reference : 54723

(1928)

‎Journal Intime d'Yvonne Soubiran, élève au lycée français de Madrid puis à l'Institut Français de Madrid [ Du 16 mars 1928 au 8 mai 1928 puis du 16 février 1943 au 30 avril 1943 ] Remarquable document qui nous plonge dans la vie quotidienne et intellectuelle d'Yvonne Soubiran, 15 ans en mars 1928 ("j'ai quinze ans, c'est vrai"), une brillante lycéenne du Lycée Français de Madrid. Dans un premier cahier (daté de 1928), elle évoque sa vie quotidienne, et expose le détail de ses cours et des nombreuses conférences auxquelles elle prend plaisir à assister, telle celles de M. Lavedan sur les Hurdes. Elle évoque le cinéma Pardinas où elle se rend le 2 mai pour voir le film "El dos de Mayo". Surtout, elle parle (en date du 8 mai 1928) "d'une conférence très bien de Mr. Chevallier [le philosophe et ami de Bergson Jacques Chevalier ] au sujet de Bergson. Dans sa jeunesse, au sortir de l'école normale Bergson est positiviste. Un jour, professeur à Clermont-Ferrand, il explique à ses élèves la théorie d'Achille et de la Tortue. Pour les mathématiques, il est impossible de démontrer qu'Achille dépasse la tortue s'il part après elle, or dans la réalité il en est autrement. Ce trait donne à réfléchir au savant, il finit par conclure que le mouvement n'est pas une trajectoire mais une durée" [... ] "On pouvait se rendre compte de l'intérêt de la conférence par le silence absolu de la salle, on entendait les mouches voler. L'esprit était emporté vers des régions supérieures, on ne vivait plus qu'en extase, pendus aux mots du conférencier. [ ... ] Marie Louis et sa mère y étaient mais elles n'ont pas été très épatées, moi j'étais transportée, je l'aurai entendu pendant des heures. Maman me disait qu'elle avait ressenti la même impression en écoutant Bergson lui-même qui est venu à Madrid en 1916, pendant la guerre". Dans un second cahier (à partir du mardi 16 février 1943), elle évoque les nombreuses conférences auxquelles elle assiste à l'Institut Français de Madrid, notamment les conférences d'histoire de la littérature et surtout d'histoire de la poésie moderne par l'abbé Jobit (dont elle présente à chaque fois un compte-rendu détaillé, ainsi sur Mallarmé, Valéry ou Apollinaire), par le docteur Botella Llusia, par M. Mattei en philosophie ("un homme d'une culture supérieure, je regrette bien de ne pasl'avoir connu plus tôt") ainsi qu'aux concerts (par le pianiste Reuchsel, la violoniste Albina de Madinaveita, Reine Gianoli, etc...) ; elle se fait embaucher à l'Institut, fête le 15 mars 1943 son anniversaire ("j'ai trente ans aujourd'hui, cela me paraît impossible. Quand j'avais quinze ans il me semblait qu'on était vieux à cet âge, et maintenant je me trouve encore si peu de chose, si enfant par bien des côtés. Comme j'ai toujours vécu dans les jupons de maman, je n'ai pas l'habitude des responsabilités, et je ne sais pas me décider dans les choses sérieuses". Elle évoque les films qu'elle vient de voir (dont Rebecca avec Laurence Ollivier), un peu l'actualité : le recul des allemands devant Karkhov, "l'ambassadeur d'Allemagne von Molkte est mort en quelques jours à la suite d'une appendicite. Il y avait à peine deux mois qu'il était arrivé ici en remplacement de von Störer qui avait été dégommé. Cette mort subite a fait sensation ici et le pauvre chirurgien qui l'a opéré, le Docteur Cardenal a dû être bien embêté"... Elle relate l'arrestation d'un ami par la sûreté espagnole pour complicité dans le passage en fraude de deux voyageurs à la frontière basque. Enfermé à la Puerta del Sol, il est tout d'abord mis au secret dans une cellule microscopique : "le plus triste, c'est qu'on a commencé par lui flanquer une bonne volée pour essayer de le faire parler". Deux jours plus tard "Charles est toujours en prison. Mr Widhof est allé le rejoindre, car naturellement il a tout pris sur lui en disant que c'est lui qui l'avait envoyé à la frontière". Le 1er avril elle décrit l'imposant défilé militaire ; pour le vendredi Saint, les impressionnantes processions de pénitents‎

‎3 cahiers manuscrits dont deux brochés (l'un oblong), 1928, 40 ff. et 1943, 36 ff. et l'autre cartonné (recueil de citations). Rappel du titre complet : Journal Intime d'Yvonne Soubiran, élève au lycée français de Madrid puis à l'Institut Français de Madrid [ Du 16 mars 1928 au 8 mai 1928 puis du 16 février 1943 au 30 avril 1943 ] Remarquable document qui nous plonge dans la vie quotidienne et intellectuelle d'Yvonne Soubiran, 15 ans en mars 1928 ("j'ai quinze ans, c'est vrai"), une brillante lycéenne du Lycée Français de Madrid. Dans un premier cahier (daté de 1928), elle évoque sa vie quotidienne, et expose le détail de ses cours et des nombreuses conférences auxquelles elle prend plaisir à assister, telle celles de M. Lavedan sur les Hurdes. Elle évoque le cinéma Pardinas où elle se rend le 2 mai pour voir le film "El dos de Mayo". Surtout, elle parle (en date du 8 mai 1928) "d'une conférence très bien de Mr. Chevallier [le philosophe et ami de Bergson Jacques Chevalier ] au sujet de Bergson. Dans sa jeunesse, au sortir de l'école normale Bergson est positiviste. Un jour, professeur à Clermont-Ferrand, il explique à ses élèves la théorie d'Achille et de la Tortue. Pour les mathématiques, il est impossible de démontrer qu'Achille dépasse la tortue s'il part après elle, or dans la réalité il en est autrement. Ce trait donne à réfléchir au savant, il finit par conclure que le mouvement n'est pas une trajectoire mais une durée" [... ] "On pouvait se rendre compte de l'intérêt de la conférence par le silence absolu de la salle, on entendait les mouches voler. L'esprit était emporté vers des régions supérieures, on ne vivait plus qu'en extase, pendus aux mots du conférencier. [ ... ] Marie Louis et sa mère y étaient mais elles n'ont pas été très épatées, moi j'étais transportée, je l'aurai entendu pendant des heures. Maman me disait qu'elle avait ressenti la même impression en écoutant Bergson lui-même qui est venu à Madrid en 1916, pendant la guerre". Dans un second cahier (à partir du mardi 16 février 1943), elle évoque les nombreuses conférences auxquelles elle assiste à l'Institut Français de Madrid, notamment les conférences d'histoire de la littérature et surtout d'histoire de la poésie moderne par l'abbé Jobit (dont elle présente à chaque fois un compte-rendu détaillé, ainsi sur Mallarmé, Valéry ou Apollinaire), par le docteur Botella Llusia, par M. Mattei en philosophie ("un homme d'une culture supérieure, je regrette bien de ne pasl'avoir connu plus tôt") ainsi qu'aux concerts (par le pianiste Reuchsel, la violoniste Albina de Madinaveita, Reine Gianoli, etc...) ; elle se fait embaucher à l'Institut, fête le 15 mars 1943 son anniversaire ("j'ai trente ans aujourd'hui, cela me paraît impossible. Quand j'avais quinze ans il me semblait qu'on était vieux à cet âge, et maintenant je me trouve encore si peu de chose, si enfant par bien des côtés. Comme j'ai toujours vécu dans les jupons de maman, je n'ai pas l'habitude des responsabilités, et je ne sais pas me décider dans les choses sérieuses". Elle évoque les films qu'elle vient de voir (dont Rebecca avec Laurence Ollivier), un peu l'actualité : le recul des allemands devant Karkhov, "l'ambassadeur d'Allemagne von Molkte est mort en quelques jours à la suite d'une appendicite. Il y avait à peine deux mois qu'il était arrivé ici en remplacement de von Störer qui avait été dégommé. Cette mort subite a fait sensation ici et le pauvre chirurgien qui l'a opéré, le Docteur Cardenal a dû être bien embêté"... Elle relate l'arrestation d'un ami par la sûreté espagnole pour complicité dans le passage en fraude de deux voyageurs à la frontière basque. Enfermé à la Puerta del Sol, il est tout d'abord mis au secret dans une cellule microscopique : "le plus triste, c'est qu'on a commencé par lui flanquer une bonne volée pour essayer de le faire parler". Deux jours plus tard "Charles est toujours en prison. Mr Widhof est allé le rejoindre, car naturellement il a tout pris sur lui en disant que c'est lui qui l'avait envoyé à la frontière". Le 1er avril elle décrit l'imposant défilé militaire ; pour le vendredi Saint, les impressionnantes processions de pénitents‎


‎Très remarquable document qui nous plonge dans la vie quotidienne et intellectuelle d'Yvonne Soubiran, 15 ans en mars 1928 ("j'ai quinze ans, c'est vrai"), une brillante lycéenne du Lycée Français de Madrid. Dans un premier cahier (daté de 1928), elle évoque sa vie quotidienne, et expose le détail de ses cours et des nombreuses conférences auxquelles elle prend plaisir à assister, telle celles de M. Lavedan sur les Hurdes. Elle évoque le cinéma Pardinas où elle se rend le 2 mai pour voir le film "El dos de Mayo". Surtout, elle parle (en date du 8 mai 1928) "d'une conférence très bien de Mr. Chevallier [le philosophe et ami de Bergson Jacques Chevalier ] au sujet de Bergson. Dans sa jeunesse, au sortir de l'école normale Bergson est positiviste. Un jour, professeur à Clermont-Ferrand, il explique à ses élèves la théorie d'Achille et de la Tortue. Pour les mathématiques, il est impossible de démontrer qu'Achille dépasse la tortue s'il part après elle, or dans la réalité il en est autrement. Ce trait donne à réfléchir au savant, il finit par conclure que le mouvement n'est pas une trajectoire mais une durée" [... ] "On pouvait se rendre compte de l'intérêt de la conférence par le silence absolu de la salle, on entendait les mouches voler. L'esprit était emporté vers des régions supérieures, on ne vivait plus qu'en extase, pendus aux mots du conférencier. [ ... ] Marie Louis et sa mère y étaient mais elles n'ont pas été très épatées, moi j'étais transportée, je l'aurai entendu pendant des heures. Maman me disait qu'elle avait ressenti la même impression en écoutant Bergson lui-même qui est venu à Madrid en 1916, pendant la guerre". Dans un second cahier (à partir du mardi 16 février 1943), elle évoque les nombreuses conférences auxquelles elle assiste à l'Institut Français de Madrid, notamment les conférences d'histoire de la littérature et surtout d'histoire de la poésie moderne par l'abbé Jobit (dont elle présente à chaque fois un compte-rendu détaillé, ainsi sur Mallarmé, Valéry ou Apollinaire), par le docteur Botella Llusia, par M. Mattei en philosophie ("un homme d'une culture supérieure, je regrette bien de ne pasl'avoir connu plus tôt") ainsi qu'aux concerts (par le pianiste Reuchsel, la violoniste Albina de Madinaveita, Reine Gianoli, etc...) ; elle se fait embaucher à l'Institut, fête le 15 mars 1943 son anniversaire ("j'ai trente ans aujourd'hui, cela me paraît impossible. Quand j'avais quinze ans il me semblait qu'on était vieux à cet âge, et maintenant je me trouve encore si peu de chose, si enfant par bien des côtés. Comme j'ai toujours vécu dans les jupons de maman, je n'ai pas l'habitude des responsabilités, et je ne sais pas me décider dans les choses sérieuses". Elle évoque les films qu'elle vient de voir (dont Rebecca avec Laurence Ollivier), un peu l'actualité : le recul des allemands devant Karkhov, "l'ambassadeur d'Allemagne von Molkte est mort en quelques jours à la suite d'une appendicite. Il y avait à peine deux mois qu'il était arrivé ici en remplacement de von Störer qui avait été dégommé. Cette mort subite a fait sensation ici et le pauvre chirurgien qui l'a opéré, le Docteur Cardenal a dû être bien embêté"... Elle relate l'arrestation d'un ami par la sûreté espagnole pour complicité dans le passage en fraude de deux voyageurs à la frontière basque. Enfermé à la Puerta del Sol, il est tout d'abord mis au secret dans une cellule microscopique : "le plus triste, c'est qu'on a commencé par lui flanquer une bonne volée pour essayer de le faire parler". Deux jours plus tard "Charles est toujours en prison. Mr Widhof est allé le rejoindre, car naturellement il a tout pris sur lui en disant que c'est lui qui l'avait envoyé à la frontière". Le 1er avril elle décrit l'imposant défilé militaire ; pour le vendredi Saint, les impressionnantes processions de pénitents‎

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‎FAITS DIVERS - VOL D'ENFANT‎

Reference : 32400

‎Arrêt de la cour du Parlement qui condamne Françoise Chabanoue au fouet, à la marque, au carcan, et à être détenue dans la maison de force de l'Hôpital général, pour avoir volé un enfant.‎

‎ In-4, broché, 4 p., auréole claire en coin. Paris, P.G. Simon, 1756.‎


‎Edition originale de ce fait divers devenu célèbre en son temps et qui fit jurisprudence. "Fille Repasseuse", Françoise Chabanoue est accusée d'avoir enlevé l'enfant de six mois de ses maîtres; elle est condamnée à être attachée au Carcan, battue & fustigée nue en public, marquée au fer rouge, emprisonnée puis bannie du royaume. ‎

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‎Collectif‎

Reference : RO30318346

‎Bien-être + santé- votre pharmacien vous informe N°66 -Sommaire: Vivre avec un diabète- Diététique: Les céréales, pas seulement au petit déjeuner- Enfant: Pieds de l'enfant, la marche à suivre- Santé: Stérilité ou hypofertilité, le réveil de l'herpès- etc‎

‎Bien-être+santé. Non daté. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 62 pages. Nombreuses photos et illustrations en couleurs et noir et blanc,das et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire: Vivre avec un diabète- Diététique: Les céréales, pas seulement au petit déjeuner- Enfant: Pieds de l'enfant, la marche à suivre- Santé: Stérilité ou hypofertilité, le réveil de l'herpès- Forme: Le plan antifatigue- etc. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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‎Daudet Léon‎

Reference : R320118439

‎Les deux étreintes roman contemporain + Le partage de l'enfant + Le bonheur d'être riche - 3 ouvrages en un volume.‎

‎Arthème fayard et Cie. non daté. In-8. En feuillets. Etat d'usage, Coins frottés, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 123 + 126 + 189 pages - 3 ouvrages en un volume - couverture conservée - nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte - textes sur deux colonnes pour les titres les deux étreintes et le partage de l'enfant - plats jaspés - une étiquette collée sur le dos.. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle‎


‎Illustrations d'après les aquarelles de Dabat (Les deux étreinte) - Illustrations d'après les peintures de A.Cahard (Le partage de l'enfant) - Illustrations d'après les dessins de M.Lalau (le bonheur d'être riche). Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle‎

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‎[MAISON DE L'ENFANT-JESUS] ‎

Reference : 206123

‎Mémoire de ce qu'il y a à faire pour être reçu dans la Maison royale de l'Enfant-Jésus à Paris‎

‎S.l.n.d. (vers 1780) in-4, [2] ff. n. ch., en feuille. ‎


‎Très rare. Les noms des administrateurs avaient été laissés en blanc, et ils ont été dans notre exemplaire renseignés à la plume : le nom du baron d'Ogny, intendant général des Postes (il fut nommé par Louis XVI le 25 janvier 1780 en survivance de son père) donne un terminus a quo.Suivi du Mémoire des titres qu'il est nécessaire de produire à Monsieur le Président d'Hozier, juge de la noblesse de France, pour les preuves de noblesse des demoiselles que l'on désire faire recevoir dnas la Maison royale de l'Enfant-Jésus.Fondée en 1724 par Languet de Gergy, alors curé de Saint-Sulpice, cette institution (appelée aussi Maison de l'Enfant Jésus, ou Hôpital de l'Enfant Jésus) était sise rue de Vaugirard, et accueillait des filles de la noblesse pouvant prouver au moins 200 ans de noblesse du côté paternel seulement, en sus de ses fonctions d'assistance proprement dites. C'est dans ses bâtiments que fut fondé en 1802 l'Hôpital des Enfants malades, premier site fondé en Europe pour l'hospitalisation des jeunes enfants, et qui fusionnera avec l'Hôpital Necker dans les années 1920.Aucun exemplaire au CCF. Absent de Saffroy. ‎

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‎PREYSSAC DE NOGARET‎

Reference : 64747

(1838)

‎Courrier privé adressé par M. Preyssac de Nogaret, Commissaire de Police de la ville d'Embrun, à M. Dubreuil à propos d'un De Nogaret surnommé Pantalion Armand, et daté du 24 juin 1838. Il ne le connaît pas et évoque ses propres origines dans la commune de Granges (Lot-et-Garonne). Mais sur le nom de Pantalion Armand, il peut préciser que "M. Dupleix, autrefois Gouverneur de St Domaingue avant le massacre des blancs & cousin à mon grand-père vint en France, n'ayant point d'enfant, emmena à son retour à St Domingue le frère cadet à mon père, se chargeant auprès de mon grand père de faire la fortune de son fils & de plus s'en occuper. Depuis cette époque, la famille n'en a jamais eu de nouvelles & nous avons tous pensé qu'il avait été du nombre des victimes qui succombèrent lors de la révolution des nègres, dans cette partie de l'amérique. Mon oncle pourrait avoir à présent e 85 à 90 ans & il pourrait être agé de 17 à 18 ans lorsque M. Dupleix l'emmena [... ]"‎

‎1 lettre affranchie de 2 ff., 24 juin 1838‎


‎1 lettre affranchie de 2 ff., 24 juin 1838 : Courrier privé adressé par M. Preyssac de Nogaret, Commissaire de Police de la ville d'Embrun, à M. Dubreuil à propos d'un De Nogaret surnommé Pantalion Armand, et daté du 24 juin 1838. Il ne le connaît pas et évoque ses propres origines dans la commune de Granges (Lot-et-Garonne). Mais sur le nom de Pantalion Armand, il peut préciser que "M. Dupleix, autrefois Gouverneur de St Domaingue avant le massacre des blancs & cousin à mon grand-père vint en France, n'ayant point d'enfant, emmena à son retour à St Domingue le frère cadet à mon père, se chargeant auprès de mon grand père de faire la fortune de son fils & de plus s'en occuper. Depuis cette époque, la famille n'en a jamais eu de nouvelles & nous avons tous pensé qu'il avait été du nombre des victimes qui succombèrent lors de la révolution des nègres, dans cette partie de l'amérique. Mon oncle pourrait avoir à présent e 85 à 90 ans & il pourrait être agé de 17 à 18 ans lorsque M. Dupleix l'emmena [... ]"‎

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‎COLLECTIF‎

Reference : RO20254303

(2005)

‎"Lot de 5 dépliants ""Fiches croire"" + dépliant christine (eglise st jean baptiste de libourne, 22 oct. 1997 + dépliant Roland Tauzin, 2005, credo d'apres don helder camara, etre fidele a ceux qui sont mort + 2 fichettes "" sainte therese de l'enfant jesus"""‎

‎"BAYARD / NON PRECISE. 1997-2005. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 5 dépliants ""Fiches croire"" : 4 panneaux illustrés en couleur recto verso, pour chaque dépliant + dépliant ""christine, eglise st jean baptiste de libourne, 22 octobre 1997"", 4 pages en noir/blanc + dépliant ""Roland Tauzin, 2005, credo d'apres don helder camara, etre fidele a ceux qui sont mort "" : 4 pages en noir/blanc + 2 fichettes "" sainte therese de l'enfant jesus"". . . . Classification Dewey : 200-RELIGION"‎


‎"5 dépliants ""Fiches croire"" : faut il prier avec son corps + les prieres du chretien + avortement: une blessure insurmontable + saint francois le petit pauvre d'assise + la bible un tresor a decouvrir / Fichescroire.com Classification Dewey : 200-RELIGION"‎

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‎Collectif‎

Reference : RO10041396

(1927)

‎Sciences et voyages n° 397 - Comment on fait les chapeaux de feutre dans la plus grande usine du monde, Ce canot a deux places peut être contenu dans un sac, La randonnée d'un enfant de sept ans a travers le sud algérien, Un insecte qui pond ses oeufs‎

‎Bureau de la revue. 7 avril 1927. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 18 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.4412-Le journal des voyages‎


‎Sommaire : Comment on fait les chapeaux de feutre dans la plus grande usine du monde, Ce canot a deux places peut être contenu dans un sac, La randonnée d'un enfant de sept ans a travers le sud algérien, Un insecte qui pond ses oeufs dans les boutons de fleurs de pommiers, La construction des avions géants aux Etats Unis Classification Dewey : 70.4412-Le journal des voyages‎

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‎Collectif‎

Reference : R110416102

(1961)

‎Le monde et la vie n° 102 - Paola, cette enfant terrible qui sera peut être reine par Guy le Bolzer, Ne tirez pas sur les blousons noirs par Sylvie Regnault, La valise diplomatique se porte de la main gauche par Dominique Cordelier, Messieurs‎

‎Bureau du journal. Novembre 1961. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 81 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎


‎Sommaire : Paola, cette enfant terrible qui sera peut être reine par Guy le Bolzer, Ne tirez pas sur les blousons noirs par Sylvie Regnault, La valise diplomatique se porte de la main gauche par Dominique Cordelier, Messieurs les milliardaires aiment l'anonymat par D.C., Michel Audiard vous fait entrer dans la cuisine du 7e art par Jean Carlier Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎

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‎Gombaud J.-P. & Collectif‎

Reference : RO80244993

(1982)

‎Bulletin trimestriel de l'Ecole et de l'Amicale des Anciens Elèves, n°93 (décembre 1982) : L'enfant nu ou le vieux bonhomme / La joie d'être prêtre / Le point sur la question scolaire / Salamanque 82 : un excellent cru / L'escrime, sport idéal /...‎

‎Ecole Sainte-Marie Grand-Lebrun. 1982. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 32 pages. Nombreuses photos monochromes dans le texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : L'enfant nu ou le vieux bonhomme / La joie d'être prêtre / Le point sur la question scolaire / Salamanque 82 : un excellent cru / L'escrime, sport idéal /... Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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‎Collectif‎

Reference : R320155953

(2005)

‎Féminin Psycho n°18 mai 2005 - Ma vie mon équilibre - prendre des décisions - engagement amoureux comment être sûre ? - marre de me faire bouffer - la psychologie de l'entretien d'embauche - faire un enfant toute seul - dossier spécial l'amitié etc.‎

‎Entreprendre - Robert Lafont. 2005. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 130 pages - nombreuses illustrations en couleurs dans le texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : Ma vie mon équilibre - prendre des décisions - engagement amoureux comment être sûre ? - marre de me faire bouffer - la psychologie de l'entretien d'embauche - faire un enfant toute seul - dossier spécial l'amitié en question - Emilie Dequenne une comédienne tout en émotions - 8 psycho tests. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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Reference : RO10087788

(2000)

‎PARIS MATCH N° 2656 - Rania : un cadeau royal pour la Jordanie, elle attend un troisième enfant, un atout de plus pour la popularité du roi Abdallah, Taxi 2 affiche triomphe au compteur, Claire Chazal : être une femme libre ce n'est pas si facile‎

‎PARIS MATCH. 20 avril 2000. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 126 pages augmentées de nombreuses photos et illustrations en couleurs dans et hors texte - 1er plat illustré d'une photo en couleurs. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : Rania : un cadeau royal pour la Jordanie, elle attend un troisième enfant, un atout de plus pour la popularité du roi Abdallah, Taxi 2 affiche triomphe au compteur, Claire Chazal : être une femme libre ce n'est pas si facile, Les damnés de la terre par Sebastiao Salgado, Bourguiba : le chevalier de l'Islam moderne Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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