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‎Rousseau Jean-Jacques‎

Reference : 16083

‎Œuvres de J.-J. Rousseau citoyen de Genève. Nouvelle édition ornée de vingt gravures [avec] Correspondance originale et inédite de J.J. Rousseau avec Mme Latour de Franqueville et M. du Peyrou [avec] Addition à l'histoire de J.-J. Rousseau‎

‎Chez Deterville, libraire et Lefèvre "Paris, 1817, 18 volumes in-8 cartonnage papier à la bradel, pièce de titre et de tomaison de cuir rouge. Edition issue de l'imprimerie de Didot l'ainé. Portrait frontispice dessiné par le Mire et gravé par Delvaux, fac-similé d'une lettre manuscrite de Rousseau au début du premier volume. Dufour, Recherches bibliographiques sur les oeuvres imprimées de J.-J. Rousseau T.II N°405. / Bibliographie de la France 17 mai 1817 N°1607. T.I Discours sur les inégalités (et autres discours) VIII-438pp. / T.II 2ff.-470pp. Contrat social / T.III et IV Nouvelle Héloïse 2ff.-655pp. 2ff.-616pp. / T.V et VI Emile ou de l'éducation 2ff.-523pp. 2ff.-2ff.-630pp. / T.VII Lettres à Monsieur de Beaumont / Lettres écrites de la montagne 2ff.-528pp. / T.VIII Lettre à d'Alembert et Théâtre 2ff.-534pp. feuillets de musique pour le Devin du village / T. IX Dissertation sur la musique (et autres écrits musiquaux) 2ff.- 418pp. 2 planches dépliantes HT. ""Table générale de tous les tons..."" et ""Airs pour être joués la troupe marchant""/ T.X 2ff.-504pp. et XI 2ff.-379pp. Dictionnaire de Musique. 13 planches dépliantes de musique in fine. / T.XII Mélanges 2ff.-568pp. / T.XII 2ff.-437pp.et XIV 2ff.-684p. Les Confessions / T.XV Lettres à M. Le président de Malesherbes - Rêveries du promeneur solitaire - Rousseau juge de Jean-Jacques - Dialogues 2ff.-715pp. / T.XVI 2ff.-589pp. 1732-1762 XVII 2ff.-637pp. 1763-1766 XVIII 1767-1777 2ff-518pp. Correspondance. // relié de manière identique : Correspondance originale et inédite de J.J. Rousseau avec Mme Latour de Franqueville et M. du Peyrou, Paris, Giguet et Michaud, An XI-1803, 2 vol. in-8 reliés à l'identique, 2ff.-pp[9]-16 / pp[9]-376 // 379pp. (collation conforme à l'exemplaire de la BNF). Edition originale pour cette correspondance inédite (Dufour I-363). // joint : Addition à l'histoire de J.-J.Rousseau. Lettre à Sophie. Placard plié in-8 paginé 545 à 560. Il s'agit d'un additif à la première édition de l'Histoire de la vie et des ouvrages de J.J.Rousseau par Musset-Pathay (Paris, Pélicier, 1821). Edition originale. Cette édition des oeuvres est illustrée de 20 gravures d'après Moreau, Cochin, Monsiau etc. Coins un frottés, coiffes un peu plissées, quelques très légères rousseurs sinon bon exemplaire en cartonnage d'époque, complétée de deux pièces en édition originale dont la Correspondance avec Mme Latour de Franqueville."‎


EUR500.00 (€500.00 )

‎ROUSSEAU, Jean-Jacques‎

Reference : 4262

(1803)

‎Correspondance originale et inédite de J.-J. Rousseau avec Mme Latour de Franqueville et M. Du Peyrou.‎

‎ 1803 1 Dufour indique 2 éditions originales à la même date, l'une en 3 vol. in-12 (6 fr.) et l'autre en 2 vol. in-8° (8,50 fr.) Paris, Giguet et Michaud, an XI-1803, 2 volumes in-8° de 16-376 & 379 pp. reliés plein veau moucheté d'époque, titres or sur dos lisses légèrement frottés ornés de filets et de fleurons or figuratifs : en tête et en pied, main tenant une plume, et au centre femme et enfant ; roulette sur les plats, tranches marbrées, petit manque angulaire au 2e plat du tome 1, déchirure en pied pp. 59-60 sans manque de texte, traces de mouillure claire marginale aux 137 premières pages du tome 2. Exemplaire exempt de piqûres et rousseurs. ‎


‎Correspondance croisée avec Mme de Franqueville (1730-1789), indéfectible admiratrice y compris au moment des démêlés avec Hume. Commencé en 1761, l'échange de lettres devait durer 15 ans, Après la mort de Rousseau, Mme de Franqueville léguera sa correspondance originale au Neuchâtelois Pierre-Alexandre DuPeyrou (1729-1794).Dupeyrou fait la connaissance du philosophe en 1762 mais c'est à la parution des Lettres écrites de la Montagne, interdites en France, à La Haye et à Genève, qu'il va jouer un rôle déterminant contre les pasteurs de Neuchâtel, puis en devenant le dépositaire scrupuleux de caisses de livres et de manuscrits de l'écrivain. Il entreprend, avec le marquis de Girardin et Moultou l'édition genevoise, puis avec Mme de Charrière l'édition neuchâteloise des Oeuvres complètes de Rousseau. Dupeyrou est à l'origine du fonds Rousseau de la bibliothèque de Neuchâtel car à sa mort en 1794, il laisse à la ville tous ses papiers relatifs à l'écrivain, y compris la correspondance originale de Mme de Franqueville. Les Lettres de Rousseau à DuPeyrou couvrent les années 1764 à 1771. Dufour, 363 ; Trousson et Eigeldinger : Dictionnaire de Rousseau. ‎

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Phone number : 02 35 98 63 06

EUR330.00 (€330.00 )

‎Collectif‎

Reference : R110496055

(1904)

‎L'intermédiaire des chercheurs et curieux n° 1054 - QUESTIONS (497-504). — Des vers de Dumas père à retrouver. — Correspondance originale de Benaben. — Camille Selden, livre sur Henri Heine. — Le serment maçonnique.— Le lieu des exécutions à Paris.‎

‎Bureau de la revue. 10 octobre 1904. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Questions de 497 à 504. Réponses de 505 à 549. Texte en colonnes.. . . . Classification Dewey : 50-Publications en série d'ordre général‎


‎Sommaire : QUESTIONS (497-504). — Des vers de Dumas père à retrouver. — Correspondance originale de Benaben. — Camille Selden, livre sur Henri Heine. — Le serment maçonnique.— Le lieu des exécutions à Paris. — L’écharpe de Camille Desmoulins. — Tentative de fusion du Parti royaliste au mois d’octobre 1863. — Armoiries à déterminer : d’or à la fasce de sable. — Un hôtel de la rue de la Verrerie. — Le grenier de Béranger. — Balagny. — Ber-not de Charaut. — Comtesse de Genlis. —- Madame Huyghens*. —• Mademoiselle Legallois.M. de S. B. — Ouvrages sur le TintoretVrain-Lucas. — L’aigle de Prusse dans les armes d’une famille. — La véritable « Edition princeps » des œuvres du chevalier de Bouf-flers. — « Pathelin ». Sainte Beuve. — Bibliothèque du baron de Guerne. — Les verbes en eler, eter. — Le lit de famille.— Les tripes à la mode de Caen de Bourbon-Montmorency -Créqui.REPONSES (505-549). — Le docteur Mathana-sius,auteur du « Chef-d’œuvre d’un inconnu».La tombe de Mirabeau. — Le serment des ecclésiastiques sous la Révolution.—Joseph Le-bon.—Le conventionnel M.-J.Chénieraccusé de fratricide. — L’Etat civil, les actes notariés et le Conseil général de la Seine-Inférieure.— Châtelaine de Vergy. Iconographie de la légende. — Famille de Chamblanc. — Chateaubriand ou Chateaubriand. — Portraits à retrouver: Bois-Briant ; Antoine de Lamothe-Cadillac; Antoine de Crozat ; de l'Epinay. - Dailly. — Gatayes (Antoine et Léon). — Famille Gjnet du Four.Famille de Gottreau de Pensier. — Baron de Grunstein. — Le baron Hérald de Pages et « le Petit Journal ».— Comtesse Mac Namara.Martin dit Baudinière et Plouzin. —Les moustaches de Molière. — Prononciation du nom de Montaigne. — Denis-Nicolas du Puget.De Torche bitterrois. — Armoiries à déter-miner. . . d’argent à cinq losanges de gueules.Armoiries à déterminer : à une aigle au vol abaissé. — Plaque de cheminée à identifier : croix chargée de cinq coquilles. — Les chats de Kilkenny. — Les calemboursdans les dénominations. — La couverture imprimée des livres brochés. — Catalogues pour vente de vieux livres. — Mémoires d’une contemporaine. — Editeurs ignorés,— Outillage gallo-romain. — Les documents phalliques. — Les femmes célèbres qui ont posé nues.— Eglises fortifiées. — Inhumations hors des cimetières.Ouvrages sérieux mis en vers. — Sur les mots sadisme et sadique. — L’origine des mots « chic » et « mic-mac ». — Jeu de massacre : son origine. — S’empierger. — Le verbe poigner. — Cimer, simer.— La Pudeur et la Mort. — Jeu de Tête-Bêche. — Inscriptions des cadrans solaires. — Proverbes et dictons météorologiques... méridionaux. — Concession royale à Marly-le-Roi. — Tanneries de peau humaine,— Reliures en peau humaine.La peau de Campi en reliure. •— Fer de cheval dans les églises. —• La mémoire. — Légendes relatives à saint Antoine de Padoue.Marquise de Favras.NOTES, TROUVAILLES ET CURIOSITÉS. — Une lettre au prince dejoinville.NÉCROLOGIE. Classification Dewey : 50-Publications en série d'ordre général‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR24.90 (€24.90 )

‎collectif‎

Reference : 28008

‎Revolution - Correspondance originale des Emigrés ou les Emigrés par eux-mêmes (Cette correspondance, déposée aux archives de la Convention Nationale , est celle prise par l'avant-garde du général Kellermann à Longwy et à Verdun, dans le Porte-feuille de Monsieur , et dans celui de M. Ostome, Secrétaire de M. de Calonne) - On y a joint des Lettres curieuses, et des Papiers saisis en Savoie sur les Emigrés, et également déposés aux Archives de la Convention. ‎

‎ A PARIS, chez Buisson, LYON, MARSEILLE et LYON - 1793 - EDITION ORIGINALE - In-8 - Reliure 1/2 chagrin postérieure - complet de 2 parties en 1 volume - Frontispice - (6)-290 & 208 pages (1 tache en dernière pasge) - bon exemplaire - Envoi rapide et soigné‎


‎ - ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le prix du supplément de port en fonction du poids et du nombre de livres- Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148 ‎

A l's.p.rance - Brest

Phone number : 06 81 23 31 48

EUR200.00 (€200.00 )

‎[ÉMIGRÉS] ‎

Reference : 183977

‎Correspondance originale des émigrés ou les émigrés peints par eux-mêmes‎

‎Paris, Buisson, 1793 2 parties en 1 vol. in-8, [4]-290 pp. et 208 pp., demi-basane brune, dos lisse, filets dorés Petit accroc à la coiffe supérieure. (rel. de l'époque).‎


‎Le frontispice gravé représente un des Chevaliers du Poignard faisant son signe de ralliement dans la journée du 10 août."Cette correspondance déposée aux archives de la Convention Nationale est celle prise par l'avant-garde du général Kellermann à Longwy et à Verdun, dans le porte-feuille de Monsieur et dans celui de M. Ostome, secrétaire de M. de Calonne".Passionnant recueil de lettres pour la connaissance de l'opinion des émigrés, mais à prendre avec quelques précautions car il s'agit d'une publication républicaine.Ex-libris André Chagny.Martin et Walter, 4743. Inconnu à Monglond. LIVRE NON DISPONIBLE À PARIS, VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT‎

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Phone number : 33 01 43 26 71 17

EUR180.00 (€180.00 )

Reference : GITh925

(1835)

‎PROVENCE CHOLERA TOULON MARSEILLE correspondance originale sur l'épidémie de cholera datée fin 1834 à août 1835 et 2 documents imprimés d'époque sur le même sujet.‎

‎Ensemble de 32 lettres de divers formats, la plupart 25cm sur 15cm recto verso, certaines avec l'adresse du destinataire, en provenance de Marseille, Toulon, La Valette. Bon état général à l'exception de quelques petits manques ou trous (cachets) qui ne nuisent pas à la compréhension du texte. Lettres rédigées par plusieurs mains, certaines lettres visiblement écrites dans la hâte ou sous le coup d'émotions mais avec des graphies présentant peu de contraintes pour la lecture. Le 1er document imprimé est daté du 19 avril 1832 décrétant la création à Marseille d'une commission de salubrité et de secours, le 2e document est un bulletin daté de Toulon 1er juillet 1835 pour donner le nombre des cholériques et celui des décès. Cette correspondance nous informe de l'évolution de l'épidémie depuis son apparition à Marseille après Noël 1834, jusqu'au mois d'août 1835, les mesures prises par le corps médical et la population ayant déjà subit un premier assaut de la maladie en 1832. Recherche d'un refuge, dispositions à prendre pour emporter les effets et valeurs, protéger les maisons du pillage, conserver un contact avec la famille, suivre l'évolution de l'épidémie, vivre des drames familiaux. Une correspondance instructive et émouvante dont certains passages rappellent des descriptions de Giono dans son Hussard sur le toit.‎


‎Bon document sur cette seconde vague du cholera en Provence. La pandémie avait débuté au Bengale en 1826 avant de se répandre en Russie puis dans toute l'Europe et l'Amérique du Nord. Arrivé en France en 1832, le cholera fit des ravages, autant par manque de connaissances sur la maladie que par défaut de moyens pour soigner les malades. ‎

Phone number : 3304 91 53 24 21

EUR500.00 (€500.00 )

‎Borel, Pierre‎

Reference : 7655

‎Le roman de Gustave Courbetd'après une correspondance originale du grand peintre‎

‎Editions Sansot, R. Chiberre, Editeur, collection "Dans l'intimité des grands artistes", Paris, 1912. In-12, broché, 161 pp. Préface de Camille Mauclair - Chapitre I.... VII - Table des matières.‎


‎Avec un portrait de Courbet en frontispice et deux autographes en fac-similé extraits de sa correspondance. --- Plus d'informations sur le site archivesdunord.com‎

Phone number : 01 42 73 13 41

EUR30.00 (€30.00 )

‎François-Athanase de Charette de La Contrie ‎

Reference : 27914

‎Correspondance originale de Charette, Stofflet, Puisaye, Cormatin, d'Autichamp, Bernier, Frotté, Scépeaux, Botherel, Olivier d'Argens Edition originale de cet ouvrage peu contenant les correspondances des chefs vendéens saisies par les armées de la République et des extraits inédits du journal d'Olivier d'Argens, compagnon de Charette, du plus grand intérêt pour l'histoire de la Vendée ‎

‎ A Paris chez F. Buisson An VII [1799] - Edition Originale - Broché, sans couverture - T. II seul - Pagination 285 à 647 (La pagination des volumes était continue - envoi rapide et soigné‎


‎Charette, Stofflet, Puisaye, Cormatin, d'Autichamp, Bernier, Frotté, Scépeaux, Botherel, Olivier d'Argens Edition originale de cet ouvrage peu contenant les correspondances des chefs vendéens saisies par les armées de la République et des extraits inédits du journal d'Olivier d'Argens, compagnon de Charette, du plus grand intérêt pour l'histoire de la Vendée - ATTENTION: Colis recommandé uniquement sur demande (parcel recommended on request). Si vous désirez un remboursement équivalent au montant de votre achat, en cas de perte détérioration ou spoliation, demandez-nous expressément un envoi en recommandé ( if you wish a repayment equivalent to the amount of your purchase, in case of loss - deterioration or despoliation, ask us expressly for a sending recommended)- Conditions de vente : Les frais de port sont affichés à titre Indicatifs (pour un livre) Nous pouvons être amené à vous contacter pour vous signaler le prix du supplément de port en fonction du poids et du nombre de livres- Conditions of sale : The shipping costs are displayed as an indication (for one book) We may need to contact you to inform you of the cost of the additional shipping depending on the weight and the number of books- Possibilité d'envoi par Mondial-Relay - Réception en boutique sur rendez-vous. Librairie G. PORCHEROT - SP.Rance - 0681233148 ‎

A l's.p.rance - Brest

Phone number : 06 81 23 31 48

EUR100.00 (€100.00 )

‎CHARPENTREAU (Jacques) et BEARN (Pierre)‎

Reference : 9023

‎CORRESPONDANCE ORIGINALE.‎

‎ Ensemble de 26 lettres échangées entre les deux poètes de septembre 57 à février 2001 soit 22 lettres de Charpentreau (13 manuscrites et 9 dactylographiées) et 4 de Béarn (dactylographiées). L'objet principal en est la publication par Béarn de poèmes de Charpentreau dans diverses anthologies. Les problèmes de droits liés à ces publications, exacerbés par la susceptibilité de Béarn, occupent l'essentiel de ces échanges. Joint une carte postale autographe de Robert Houdelot à Pierre Béarn à propos de ses démêlées avec Charpentreau : « Que cela ne te rende pas malade. Ta très belle place de poète est faite depuis longtemps. Moi je me contrefous de ce que les autres pensent de moi ! A Dieuvat ! ».‎


Phone number : 06 79 60 18 56

EUR50.00 (€50.00 )

‎ANONYME‎

Reference : 018537

(1793)

‎CORRESPONDANCE ORIGINALE DES ÉMIGRÉS, ou Les émigrés peints par eux-mêmes. On y a joint des Lettres curieuses, et des Papiers saisis en Savoie sur les Emigrés, et également déposés aux Archives de la Convention.‎

‎Paris Buisson 1793 Deux parties en un volume in-8°, (8) 290 pp. et 208 pp. Demi-basane lie-de-vin, dos lisse orné d'une pièce de titre, de filets dorés et de fers estampés à froid (reliure ancienne). (dos éclairci, reliure légèrement frottée, faibles brunissures). Frontispice.‎


‎ Edition originale ‎

Aparté - Pézenas

Phone number : 33 04 67 98 03 04

EUR100.00 (€100.00 )

Reference : CLL-585

(1793)

‎Correspondance originale des Emigrés ou les Emigrés peints par eux-mêmes.‎

‎Paris, 1793 2 parties en un petit volume in-8 de 238 pp. - 175 pp., demi-basane à coins, dos à nerfs orné de filets dorés, pièce de titre de maroquin rouge, tranches mouchetées (reliure de l'époque).‎


‎"Edition originale de ces analectes de l'Emigration. Au-delà de l'évidente instrumentalisation politique et du montage spécieux de ces ""extraits fidèles des correspondances prises par Kellermann sur les Emigrés à Verdun et à Longwy"", à travers ces petites histoires, se révèle aussi l'Histoire en marche, ses bouleversements, la fin d'une société, ses réelles détresses, frustrations, ou espoirs. Ces morceaux ""choisis"" sont classés par thèmes, avec une table générale : dévotion, amour, confiance, fanfaronnades, projets de vengeance, gueuserie et mendicité, peur, etc. Ils réunissent en outre des pièces retrouvées dans le portefeuille du secrétaire de Calonne, une des principales figures de l'Emigration. Frontispice gravé : représentation du ""signe de ralliement des Chevaliers du Poignard"" d'après un ""modèle ensanglanté trouvé dans la journée du 10 août 1792"". Bel exemplaire. Coiffes arasées."‎

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(CNE)

Phone number : + 33 (0)1 42 89 51 59

EUR350.00 (€350.00 )

‎BASCHET, Armand‎

Reference : 129228

(1882)

‎Les comédiens italiens à la cour de France sous Charles IX, Henri III, Henri IV et Louis XIII : d'après les lettres royales, la correspondance originale des comédiens, les registres de la Trésorerie de l'épargne et autres documents ‎

‎Paris, E. Plon 1882 In-8 20,5 x 13,5 cm. Reliure demi-basane havane à coins,, dos à nerfs, XV-367 pp., notes en bas de page, appendice, index alphabétique, table des chapitres. Reliure avec épidermures, intérieur frais.‎


‎ Bon état d’occasion ‎

Librairie de l'Avenue - Saint-Ouen

Phone number : 01 40 11 95 85

EUR94.00 (€94.00 )

‎Aragon Marquis d'‎

Reference : gl1423

(1893)

‎Un Paladin au XVIIIe siècle : Le Prince Charles de Nassau-Siegen, d'après sa correspondance originale inédite de 1784 à 1789‎

‎Paris, Librairie Plon, E. Plon, Nourrit et Cie, imprimeurs-éditeurs, rue Garancière, 10 Relié 1893 In-8 (14,5 x 22,2 cm), reliure demi-chagrin, dos à 5 nerfs, tranches marbrées, ex-libris Viennet, couverture conservée, 396 pages ; quelques traces sur le cuir, quelques rousseurs à l'intérieur notamment en début et fin de volume, par ailleurs bel exemplaire. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande.‎


Abraxas-Libris - Bécherel
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Phone number : 33 02 99 66 78 68

EUR70.00 (€70.00 )

‎BASCHET ARMAND‎

Reference : R320008783

(1882)

‎"LES COMEDIENS ITALIENS A LA COUR DE FRANCE SOUS CHARLES IX, HENRI III, HENRI IV ET LOUIS XIII / D'APRES LES LETTRES ROYALES - LA CORRESPONDANCE ORIGINALE DES COMEDIENS - LES REGISTRES DE LA ""TRESORERIE DE L'EPARGNE"" ET AUTRES DOCUMENTS."‎

‎PLON. 1882. In-8. Broché. Etat d'usage, Tâchée, Coiffe en tête abîmée, Rousseurs. 367 pages.. . . . Classification Dewey : 840.05-XVIII ème siècle‎


‎ Classification Dewey : 840.05-XVIII ème siècle‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR29.80 (€29.80 )

‎MUSSET Alfred ( De ) - MORIN Louis - CARAYON E.‎

Reference : 819268

‎On ne badine pas avec l'amour. - A la suite: Etrennes aux souscripteurs. - Correspondance originale manuscrite entre Louis MORIN et L. CARTERET. EXEMPLAIRE UNIQUE.‎

‎Librairie L. Conquet - L. Carteret & Cie, Successeurs Paris 1904 Grand in-8 ( 275 X 185 mm ) de 124 pages + VII pages ( Etrennes aux souscripteurs ), demi-maroquin bleu-nuit à la bradel à coins, dos lisse orné d'un grand décor doré, couvertures illustrées en couleurs et dos conservés ( Reliure signée de E. CARAYON ). Premier tirage des couvertures et des 35 lithographies originales coloriées à la main de Louis MORIN dans et hors-texte. A la suite est relié le supplément de 7 pages et de 7 gravures inédites de Louis MORIN. Tirage unique à 200 exemplaires numérotés, celui-ci EXEMPLAIRE EXCEPTIONNEL de l'éditeur L. CARTERET avec les lithographies en 2 états y compris pour les "Etrennes" ( en couleurs et en noir ) et pour certaines jusqu'à 6 états. Le volume est de plus enrichi de 4 lettres ( dont la première en plusieurs couleurs ) de véhémentes protestations de Louis MORIN à l'encontre de L. CARTERET au sujet du peu de rémunération de son travail... 1 pneumatique et une facture sur papier timbré ( Louis MORIN facturait 34 centimes la mise en couleurs à la main de chaque lithographie... ). Quelques frottements à la reliure, quelques rousseurs? SEDUISANT EXEMPLAIRE, beau témoignage de l'aventure éditoriale au début du XXème siècle.‎


Phone number : 04 91 42 63 17

EUR1,200.00 (€1,200.00 )

‎ARAGON (Marquis d).-‎

Reference : 14122

‎Un paladin au XVIIIème siècle. Le Prince Charles de Nassau-Siegen, d'après sa correspondance originale inédite de 1784 à 1789.‎

‎ P., Plon, 1893, fort in 8° relié demi veau bleu à coins, dos à faux nerfs très orné, doubles filets dorés sur les plats, 396pp. ; fac-simile dépliant ; portrait en frontispice ; le premier cahier (16 premières pages) a été remplacé, par accident, à la reliure, par le premier cahier dun autre ouvrage ; frottis. ‎


‎PHOTOS sur DEMANDE. ...................... Photos sur demande ..........................‎

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Phone number : 04 77 32 63 69

EUR35.00 (€35.00 )

‎BASCHET Armand‎

Reference : 127501

(1882)

‎Les Comédiens Italiens à la Cour de France sous Charles IX, Henri III, Henri IV et Louis XIII d'après les Lettres Royales, la correspondance originale des comédiens, les registres de la Trésorerie de l'Epargne et autres documents‎

‎ Plon Paris Plon 1882, In-8 broché, couverture muette. XV + 367 pages. Une page brunie en bord pour le reste très bon état.‎


‎ Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo. ‎

Phone number : 05 65 42 95 21

EUR40.00 (€40.00 )

‎[s.n.] - ‎ ‎DE LA BATUT, Pierre ; [ CHAUMELIN, Marius ; DAYOT, Armand ; TREMBLOT, Jean; DAVID, F. ]‎

Reference : 44470

(1861)

‎[ Important lot d'archives, correspondance et documentation réunis par l'écrivain Pierre de La Batut sur son aïeul le peintre Alexandre-Gabriel Decamps :] Marius Chaumelin : Decamps, Sa vie, Son Oeuvre [ Edition originale ] Vente par suite de licitation après le décès de M. Decamps. Tableaux, dessins, Etudes & Croquis par Decamps. Vente les Lundi 23 & Mardi 24 Janvier 1865 [ Edition originale ] Explication des ouvrages de peinture, sculpture, architecture gravure et lithographie des artistes vivants exposés au Palais National le 30 décembre 1850 [ Edition originale ] 5 monographies anciennes ou extraits consacrés à Decamps - Lot de 39 catalogues de Ventes contenant des oeuvres de Decamps - Lot de notes manuscrites de Pierre de La Batut sur le sujet, et correspondance avec de nombreux interlocuteurs (L.A.S. d'Armand Dayot, Jean Tremblot, le peintre F. David, E. de Boccard, André Chancerel, etc.., nombreuses réponses de musées français et européens)‎

‎[ Important lot d'archives, correspondance et documentation réunis par l'écrivain Pierre de La Batut sur son aïeul le peintre Alexandre-Gabriel Decamps, dont :] Marius Chaumelin : Decamps, Sa vie, Son Oeuvre, 1 vol. in-8 br., Camoin Frères, Marseille, 1861, 44 pp. [ Edition originale ] Explication des ouvrages de peinture, sculpture, architecture gravure et lithographie des artistes vivants exposés au Palais National le 30 décembre 1850 [ Edition originale ] Vente par suite de licitation après le décès de M. Decamps. Tableaux, dessins, Etudes & Croquis par Decamps. Vente les Lundi 23 & Mardi 24 Janvier 1865, 1 brochure in-8, Escribe et Petit, 1865, 26 pp. [ Edition originale ] 5 monographies anciennes ou extraits consacrés à Decamps - Lot de 39 catalogues de Ventes contenant des oeuvres de Decamps - Lot de notes manuscrites de Pierre de La Batut sur le sujet, et correspondance avec de nombreux interlocuteurs (L.A.S. d'Armand Dayot, Jean Tremblot, etc.., nombreuses réponses de musées européens), circa 1920-1940‎


‎Intéressant lot d'archives et de documentation par l'écrivain périgourdin Pierre de La Batut, sur son ancêtre le peintre orientaliste Alexandre Gabriel Decamps (Léonie Decamps, sa fille, épousera le libraire Edouard Dentu, et leur fille Jeanne convolera en juste noce avec le Comte Henri de La Batut). On trouvera là des documents rares telle la monographie de Chaumelon tirée à seulement 200 exemplaires, ou l'introuvable catalogue de la vente après décès d'Alexandre Decamps. Prix du lot‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR1,450.00 (€1,450.00 )

‎[Sans nom] - ‎ ‎JOSEPH II ; D'ALTON, Général‎

Reference : 19099

(1790)

‎L'Espion Dévalisé ou Correspondance Secrète et Originale entre l'Empereur Joseph II et le Général d'Alton, depuis décembre 1787 jusqu'à présent. Correspondance Secrète et Originale de l'Empereur Joseph II avec le Général d'Alton.‎

‎L'Espion Dévalisé ou Correspondance Secrète et Originale entre l'Empereur Joseph II et le Général d'Alton, depuis décembre 1787 jusqu'à présent. Correspondance Secrète et Originale de l'Empereur Joseph II avec le Général d'Alton ; 1 vol. in-8 br. sous couv. d'attente, sans nom, A Louvain, 1790, 71 pp.‎


‎Etat très satisfaisant (mouill. en premiers et derniers feuillets, bon état par ailleurs). Peu courant.Le général Richard d'Alton était un irlandais engagé à l'âge de 18 ans dans l'armée autrichienne. En poste aux Pays-Bas autrichiens, il eut à affronter le soulevement des belges à partir de 1789.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR70.00 (€70.00 )

‎BART, Léo ; BART, Jean ; BART, Charlemagne‎

Reference : 55268

(1915)

‎Belle correspondance personnelle et originale, adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917. Jean Bart fut successivement matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car pour l'essentiel non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917‎

‎94 cartes et LAS, auxquelles nous joignons quelques photos et quelques lettres postérieures. Belle correspondance personnelle adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917, adressée à Jean Bart, matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917‎


‎Passionnant ensemble, à analyser en profondeur. Prix de l'ensemble, non séparable.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR950.00 (€950.00 )

‎FLAUBERT Gustave‎

Reference : 14192

(1887)

‎Correspondance - Première série (1830-1850) - Deuxième série (1850-1854). 2 volumes - Édition originale.‎

‎Édition originale. Paris, G. Charpentier et Cie. 1ère série 1887 - 348 pp. - 2ème série 1889 - 403 pp.Reliure demi basane rouge à coins. Dos à nerfs avec titre et fleurons dorés. Signet. Quelques rousseurs. Bon état. Format in-12°(18x12).‎


Phone number : 09 67 04 07 48

EUR116.00 (€116.00 )

‎DE LAUNAY (Louis) -- AMPERE (A.M.)‎

Reference : 88

(1936)

‎Correspondance du Grand AMPERE -- EDITION ORIGINALE -- 3 VOLUMES (COMPLETE SET)‎

‎P., Gauthier-Villars, 1936/1943; 3 VOLUMES in 4, brochés, couvertures imprimées, (légère pliure au plat plat de couverture du tome 1), T.1 : 1 PORTRAIT, 12pp., 384pp., T.2 : (2), pp. 385/826, T.3 : 10pp., (1), pp. 827/973pp., nombreuses figures dans le texte et fac-similés‎


‎---- EDITION ORIGINALE ---- BON EXEMPLAIRE ---- "... For Ampère's correspondence, see Louis DE LAUNAY edition : Correspondance du Grand AMPERE, 3 vols. (Paris, 1936-1943). Volume 2 have a complete bibliography of AMPERE's works". (DSB)**88.K6‎

Phone number : 01 43 25 51 73

EUR110.00 (€110.00 )

‎[Hachette et Cie, Furne, Jouvet et Cie] - ‎ ‎LAMARTINE, Alphonse de ; [ LAMARTINE, Valentine de ]‎

Reference : 38098

(1873)

‎Correspondance de Lamartine publiée par Mme Valentine de Lamartine (6 Tomes - Complet) [ Edition originale ]‎

‎6 vol. in-8 reliure demi-basane rouge, Hachette et Cie, Furne, Jouvet et Cie, Paris, 1873, 2 ff., IV-376 ; 2 ff. 482 ; 2 ff. 436 ; 2 ff. 559 ; 2 ff. 591 ; 2 ff. 473 pp. et 1 f. blanc‎


‎Rare exemplaire bien complet de l'édition originale de la Correspondance de Lamartine. Etat très satisfaisant (mouill. en dos, bonne fraîcheur intérieure et bon état par ailleurs). Vicaire, IV, 1023‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR220.00 (€220.00 )

‎[Bureaux de Rédaction et d'Abonnement] - ‎ ‎DE LA BORDERIE, Arthur ; GRIMAUD, Emile ; Collectif‎

Reference : 55976

(1878)

‎Revue de Bretagne et de Vendée. Année 1878 (2 Tomes, tomes 43 et 44 - Complet) [ Edition originale ] Correspondance des Bénédictins bretons et autres documents inédits relatifs à leurs travaux sur l'histoire de Bretagne (1688-1727) ; Le coup du lapin, anecdote ; Un livre d'astrologie publié en Bretagne par un capucin (1654) ; Mort de son Eminence le Cardinal Saint Marc ; Les noyades de Nantes ; Combat de Belle-Ile ou des Cardinaux ; Les chemins de fer rachetés ; Note sur la bataille de Torfou ; Louis de léon ; Les missions du P. Godefroy Loyer du couvent de Notre-Dame de Bonne-Nouvelle de Rennes ; les usages de l'Eglise de Rennes au Moyen-Age ; La première édition de la Coutume de Bretagne (1480)‎

‎2 vol. in-8 reliure demi-chagrin brun dos à 4 nerfs orné, mention A. Grimaud au dos en queue, Bureaux de Rédaction et d'Abonnement, Nantes, 1878, 503 et 503 pp. [ Contient notamment : ] .Rappel du titre complet : Revue de Bretagne et de Vendée. Année 1878 (2 Tomes, tomes 43 et 44 - Complet) [ Edition originale ] Correspondance des Bénédictins bretons et autres documents inédits relatifs à leurs travaux sur l'histoire de Bretagne (1688-1727) ; Le coup du lapin, anecdote ; Un livre d'astrologie publié en Bretagne par un capucin (1654) ; Mort de son Eminence le Cardinal Saint Marc ; Les noyades de Nantes ; Combat de Belle-Ile ou des Cardinaux ; Les chemins de fer rachetés ; Note sur la bataille de Torfou ; Louis de léon ; Les missions du P. Godefroy Loyer du couvent de Notre-Dame de Bonne-Nouvelle de Rennes ; les usages de l'Eglise de Rennes au Moyen-Age ; La première édition de la Coutume de Bretagne (1480) ‎


‎Bon exemplaire très bien relié, bien complet des 2 tomes de l'année 1878. Prix de l'année complète, non séparable.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR190.00 (€190.00 )

‎[Bureaux de Rédaction et d'Abonnement] - ‎ ‎DE LA BORDERIE, Arthur ; GRIMAUD, Emile ; Collectif‎

Reference : 55977

(1879)

‎Revue de Bretagne et de Vendée. Année 1879 (2 Tomes, Tomes 45 et 46 - Complet) [ Edition originale ] Vingt-Troisième Année Cinquième Série. Tomes V et VI (Tomes XLV et XLVI de la Collection) [ Contient notamment : ] Les usages de l'Eglise de Rennes au moyen âge ; La mort du général Grosbon en 1815 ; Le comte d'Hector lieutenant-général de la marine ; Traditions chrétiennes en Chine ; Correspondance des Bénédictins bretons et autres documents inédits relatifs à leurs travaux sur l'histoire de Bretagne (1688-1727) (suite) ; Une commission d'enquête et de propagande en l'an II de la République ; Vingt lettres missives originales et inédites du chartrier de Thouars (1282-1635) ; Les préliminaires de la guerre de Vendée ; La Bible et l'économie politique ; Un patriote breton au XVe siècle ; Statistique des Franciscains dans la Loire-Inférieure à l'époque de la Révolution ; Teresa Bonadilli, nouvelle nantaise ; Les Ruines de la Monarchie française ; Paul de Servière ou les derniers Etats de Bretagne, nouvelle ; Le tombeau du général de La Moricière ; Un duel à coups de jarrets ; M. F. Longuécand ; ‎

‎2 vol. in-8 reliure demi-chagrin brun dos à 4 nerfs orné, mention A. Grimaud au dos en queue, Bureaux de Rédaction et d'Abonnement, Nantes, 1879, 503 et 503 pp. Revue de Bretagne et de Vendée. Année 1879 (2 Tomes, tomes 43 et 44 - Complet) [ Edition originale ] Vingt-Troisième Année Cinquième Série. Tomes V et VI (Tomes XLV et XLVI de la Collection) [ Contient notamment : ] Les usages de l'Eglise de Rennes au moyen âge ; La mort du général Grosbon en 1815 ; Le comte d'Hector lieutenant-général de la marine ; Traditions chrétiennes en Chine ; Correspondance des Bénédictins bretons et autres documents inédits relatifs à leurs travaux sur l'histoire de Bretagne (1688-1727) (suite) ; Une commission d'enquête et de propagande en l'an II de la République ; Vingt lettres missives originales et inédites du chartrier de Thouars (1282-1635) ; Les préliminaires de la guerre de Vendée ; La Bible et l'économie politique ; Un patriote breton au XVe siècle ; Statistique des Franciscains dans la Loire-Inférieure à l'époque de la Révolution ; Teresa Bonadilli, nouvelle nantaise ; Les Ruines de la Monarchie française ; Paul de Servière ou les derniers Etats de Bretagne, nouvelle ; Le tombeau du général de La Moricière ; Un duel à coups de jarrets ; M. F. Longuécand ; ‎


‎Bon exemplaire très bien relié, bien complet des 2 tomes de l'année 1879. Prix de l'année complète, non séparable.‎

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