19 books for « ce que je suis sans to... »Edit

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‎GOUNOD CHARLES‎

Reference : RO50056179

‎ALBUM DE CHANT - 20 MELODIES LES PLUS CELEBRES : A une jeune fille + Marguerite + Medjé + Envoi de fleurs + Tombez mes ailes + Donne moi cette fleur + Au printemps + Ce que je suis sans toi + Primavera + Mignon + Ou voulez-vous aller + Jéusalem...‎

‎M. CHOUDENS. NON DATE. In-8. Relié. Etat d'usage, Plats abîmés, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 123 pages de partitions. Annotations au crayon à papier sur le premier contre plat et au crayon de couleur sur la première page blanche. Déchirure renforcée sur la page de titre, le sommaire ainsi que sur la première page, sans réelles conséquences sur la lecture.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions‎


‎A une jeune fille + Marguerite + Medjé + Envoi de fleurs + Tombez mes ailes + Donne moi cette fleur + Au printemps + Ce que je suis sans toi + Primavera + Mignon + Ou voulez-vous aller + Jéusalem + Chanson du patre + Je ne puis espérer +Chanter & souffrir + Le ciel à visité la terre + Aubade + Le vallon + Le soir + Chanson de printemps. Classification Dewey : 780.26-Partitions‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR49.50 (€49.50 )

‎GOUNOD Ch.‎

Reference : RO50021395

‎CE QUE JE SUIS SANS TOI‎

‎Imp. Durdilly. début XXème. In-4. En feuillets. Bon état, Livré sans Couverture, Dos satisfaisant, Pliures. 5 pages. Quelques rousseurs.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions‎


‎Partitions pour piano et chant. Classification Dewey : 780.26-Partitions‎

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EUR14.90 (€14.90 )

‎GOUNOD CH.‎

Reference : RO50059564

‎CE QUE JE SUIS SANS TOI - MELODIE POUR PIANO ET CHANT AVEC PAROLES - MEZZO SOPRANO OU BARYTON.‎

‎CHOUDENS. NON DATE. In-Folio. En feuillets. Etat d'usage, Tâchée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 5 pages de partitions. Premier plat illustré en noir et blanc par A. Jannin.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions‎


‎A.C.1701(1) Classification Dewey : 780.26-Partitions‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR39.80 (€39.80 )

‎NANA MOUSKOURI‎

Reference : R130012456

(1975)

‎DISQUE VINYLE 33T : TOI QUI T'EN VAS - Toi qui t'en vas, Chiméra, L'histoire de nous, L'amour est pareil, L'oiselet a quitté sa branche, Pour mieux t'aimer, Suis ta route, Quelqu'un sans toi, Le curé de Terrebonne, Si tu savais prier, Le temps est ton ami‎

‎PHILIPS. 1975. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Pochette ouvrante en couleurs. Photo recto/verso : Uwe Ommer Photo intérieur : Raymond Bounon. Toi qui t'en vas, Chiméra, L'histoire de nous, L'amour est pareil, L'oiselet a quitté sa branche, Pour mieux t'aimer, Suis ta route, Quelqu'un sans toi, Le curé de Terrebonne, Si tu savais prier, Le temps est ton ami, Hartino to fengaraki.. . . . Classification : 410-33 Tours‎


‎Disque n°9101015. Classification : 410-33 Tours‎

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EUR14.90 (€14.90 )

‎MARIO CAVALLERO‎

Reference : R130005023

‎DISQUE VINYLE 33T UNE BELLE HISTOIRE, LES BEAUX JOURQ, LE MARI DE MAMA, IL ETAIT UNE PLACE, EMBLE, SANS TOI JE SUIS SEUL, FREEDOM, MY REASON, EN FRAPPANT DANS NOS MAINS, FAN DE TOI, VIENS A LA MAISON, POP CORN.‎

‎GRAVURE STEREO UNIVERSELLE. non daté. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Pochette en couleurs, pop hits, hit parade. Orchestre.. . . . Classification : 410-33 Tours‎


‎Disque n°30 PH 1804 Classification : 410-33 Tours‎

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EUR19.80 (€19.80 )

‎MARIO CAVALLERO SON ORCHESTRE ET SES CHANTEURS‎

Reference : R130010476

‎"DISQUE VINYLE 33T POP CORN, LE MARI DE MAMA, FAN DE TOI, FREEDOM, LES BEAUX JOURS, ENSEMBLE, UNE BELLE HISTOIRE, MY REASON, IL ETAIT UNE PLAGE, EN FRAPPANT DANS NOS MAINS, SANS TOI JE SUIS SEUL, VIENS A LA MAISON ""YA LE PRINTEMPS QUI CHANTE""."‎

‎"GRAVURE STEREO UNIVERSELLE. non daté. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Pochette en couleurs, Pop Hits. Un ""rappel"" dérrière la pochette. Hit Parade.. . . . Classification : 410-33 Tours"‎


‎Disque n° 30 PH 1804 Classification : 410-33 Tours‎

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EUR14.90 (€14.90 )

‎ - Reed Les,Mason Barry - Pascal André‎

Reference : 24811

(1967)

‎Partition de la chanson : Je ne suis rien sans toi I'm coming home ‎

‎ Francis Day 1967‎


‎ Bon état Format Coquille ‎

Phone number : 06 12 41 09 89

EUR6.00 (€6.00 )

‎SUCCES D'ETE‎

Reference : R130010127

‎DISQUE VINYLE 33T POP CORN, UNE BELLE HISTOIRE, KISS ME, OH BABE WHAT WOULD YOU SAY, L'AMOUR EST ROI, MATRIMONY, IL ETAIT UNE PLACE, TROP BELLE POUR RESTER SEULE, SANS TOI JE SUIS SEUL, Y'A LE PRINTEMPS QUI CHANTE, FREEDOM,BONSOIR CLARA,LE MARI DE MAMA...‎

‎MFP. non daté. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Pochette en couleurs, quelques extraits d'album en couleurs dérrière la pochette.. . . . Classification : 410-33 Tours‎


‎Disque n° 5646 Classification : 410-33 Tours‎

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EUR19.80 (€19.80 )

‎MARJANE LEO‎

Reference : RO30170407

‎1 DISQUE VINYLE 33 TOURS - LEO MARJANE CHANTE - Du caf' conc' au music-hall n°16 - N°C054-15290 - La chapelle au clair de lune / soir sur la foret / en septembre sous la pluie / soir indigo / mon ange / l'ame au diable / sans toi je ne suis plus rien...‎

‎PATHE MARCONI. NON DATE. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 1 disque vinyle 33 tours - pochette en bon état. . . . Classification : 410-33 Tours‎


‎Enregistrements originaux 78 tours transcrits électroniquement en microsillon Classification : 410-33 Tours‎

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EUR29.80 (€29.80 )

‎COLLECTIF‎

Reference : RO30052428

(1944)

‎FILMS SUCCES - JE SUIS AVEC TOI - LE VOYAGE SANS BAGAGES‎

‎HELIO N. E. A.. 1944. In-12. En feuillets. Etat d'usage, 1er plat abîmé, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 32 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans le texte. Ecritures au crayon à papier.. . . . Classification Dewey : 791.43-Cinéma‎


‎ Classification Dewey : 791.43-Cinéma‎

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EUR14.90 (€14.90 )

‎BART, Léo ; BART, Jean ; BART, Charlemagne‎

Reference : 55268

(1915)

‎Belle correspondance personnelle et originale, adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917. Jean Bart fut successivement matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car pour l'essentiel non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917‎

‎94 cartes et LAS, auxquelles nous joignons quelques photos et quelques lettres postérieures. Belle correspondance personnelle adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917, adressée à Jean Bart, matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917‎


‎Passionnant ensemble, à analyser en profondeur. Prix de l'ensemble, non séparable.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR950.00 (€950.00 )

‎CHARLES DUMONT‎

Reference : R130012550

(1980)

‎DISQUE VINYLE 33T : DISQUE D'OR - Dis, cette mélodie, La fille de Jacob, L'amour-prison, Une chanson, Elle, A faire l'amour sans amour, Toi la femme mariée, Je cherche l'or du temps, Je suis comme tous les autres, Il n'est pas mort l'amour, Les maudits‎

‎PATHE MARCONI. 1980. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Pochette ouvrante en couleurs. Photo recto : F. Dumont, photos intérieur : F. Dumont/ T. Frank-Sygma. Dis, cette mélodie, La fille de Jacob, L'amour-prison, Une chanson, Elle, A faire l'amour sans amour, Toi la femme mariée, Je cherche l'or du temps, Je suis comme tous les autres, Il n'est pas mort l'amour, Les maudits, Comme une fugue de Bach, Ta cigarette après l'amour.. . . . Classification : 410-33 Tours‎


‎Disque n°2C070-72004. Classification : 410-33 Tours‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR14.90 (€14.90 )

‎CHARLES DUMONT‎

Reference : R130011691

(1980)

‎DISQUE VINYLE 33T : DISQUE D'OR : Dis, cette mélodie, La fille de Jacob, L'amour-prison, Une chanson, Elle, A faire l'amour sans amour, Toi la femme mariée, Je cherche l'or du temps, Je suis comme tous les autres, Il n'est pas mort l'amour, Les maudits‎

‎PATHE. 1980. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Pochette en couleurs, photo recto : F. Dumont. Photos intérieur : F. Dumont/T. Frank-Sygma/X. Dis, cette mélodie, La fille de Jacob, L'amour-prison, Une chanson, Elle, A faire l'amour sans amour, Toi la femme mariée, Je cherche l'or du temps, Je suis comme tous les autres, Il n'est pas mort l'amour, Les maudits, Comme une figue de Bach, Ta cigarette après l'amour.. . . . Classification : 410-33 Tours‎


‎Disque n°2C 070-72004. Classification : 410-33 Tours‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR14.90 (€14.90 )

‎VERONIQUE SANSON‎

Reference : R130003979

(1979)

‎DISQUE VINYLE 33T 7EME. TOUTE UNE VIE SANS TE VOIR / JE SUIS LA SEULE / MA REVERENCE / SI JE DANSE POUR TOI / LERIDA / CELUI QUI N'ESSAIE PAS / MI MAITRE MI ESCLAVE / MASO / SALSA / POUR CELLE QUE J'AIME.‎

‎WEA. 1979. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paroles des chansons dans la pochette. Photos de Véronique SANSON sur la couverture, le dos et dans la pochette Jim SCHEA.. . . . Classification : 410-33 Tours‎


‎ Classification : 410-33 Tours‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR10.95 (€10.95 )

‎VERONIQUE SANSON‎

Reference : R130008178

‎DISQUE VINYLE 33T TOUTE UNE VIE SANS TE VOIR, JE SUIS LA SEULE, MA REVERENCE, SI JE DANSE POUR TOI, LERIDA, CELUI QUI N'ESSAIE PAS, MI-MAITRE MI-ESCLAVE, MASO, SALSA, POUR CELLE QUE J'AIME.‎

‎ELEKTRA. non daté. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Pochette en couleurs, grande photo en couleurs en couverture à l'intérieur de la pochette.. . . . Classification : 410-33 Tours‎


‎Disque n° 52.180 Classification : 410-33 Tours‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR19.80 (€19.80 )

‎VERONIQUE SANSON‎

Reference : R130005006

‎DISQUE VINYLE 33T TOUTE UNE VIE SANS TE VOIR, JE SUIS LA SEULE, MA REVERENCE, SI JE DANSE POUR TOI, LERIDA, CELUI QUI N'ESSAIE PAS, MI-MAITRE MI-ESCLAVE, MASO, SALSA, POUR CELLE QUE J'AIME.‎

‎ELEKTRA. non daté. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Pochette en couleurs, grande photo à l'intérieur de la pochette.. . . . Classification : 410-33 Tours‎


‎Disque n°52.180 Classification : 410-33 Tours‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR24.90 (€24.90 )

‎VERONIQUE SANSON‎

Reference : R130008154

‎DISQUE VINYLE 33T TOUTE UNE VIE SANS TE VOIR, JE SUIS LA SEULE, MA REVERENCE, SI JE DANSE POUR TOI, CELUI QUI N'ESSAIE PAS, MI-MAITRE MI-ESCLAVE, MASO, POUR CELLE QUI M'AIME.‎

‎ELEKTRA. non daté. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Pochette en blanc et noir, paroles des chansons dérrière la pochette.. . . . Classification : 410-33 Tours‎


‎Disque n° 52 063 A Classification : 410-33 Tours‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR14.90 (€14.90 )

‎MICHEL MAGNE ET SON ORCHESTRE, FRANCOISE SAGAN‎

Reference : R130012614

‎DISQUE VINYLE 33T MICROSILLON : SURPRISE-PARTIE CHEZ FRANCOISE SAGAN N°2 - Le jour, Il y a plus d'un an, La corde au cou, Les jours perdus, Je suis la femme, Va vivre ta vie, Sans vous aimer, Ciel et terre, Pour toi et moi, Complainte du téléphone‎

‎FONTANA. NON DATE. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Pochette en couleurs. Renforts adhésifs. Annotation sur le recto et verso.. . . . Classification : 410-33 Tours‎


‎Disque n°660.002 TR. Classification : 410-33 Tours‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR14.90 (€14.90 )

‎VERONIQUE SANSON‎

Reference : R130012741

(1979)

‎DISQUE VINYLE 33T : 7eme - Toute une vie sans te voir, Je suis la seule, Ma révérence, Si je danse pour toi, Lérida, Celui qui n'essaie pas, Mi-maitre, mi-esclave, Maso, Salsa, Pour celle que j'aime‎

‎ELEKTRA. 1979. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Pochette ouvrante en couleurs.. . . . Classification : 410-33 Tours‎


‎Disque n°52.180 Classification : 410-33 Tours‎

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