S. l., s. n., 1789. In-8 br., 24 pp.
Au sujet de la composition équilibrée entre les ordres, dans le cadre des Etats généraux. Marges légèrement brunies, à toutes marges, tel que paru, très bonne condition. - Frais de port : -France 4,95 € -U.E. 9 € -Monde (z B : 15 €) (z C : 25 €)
PARIS MATCH. 19 février 1988. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 114 pages augmentées de nombreuses photos et illustrations en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte - 1er plat illustré d'une photo en couleurs. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Bon anniversaire M. Grappelli par Florence Portès, Marcel Bleustein-Blanchet : mes étonnantes rencontres avec De Gaulle, Jane Birkin : ce que Charlotte pense de moi est plus impostant que ce que j'en pense par Agnès Varda, Jean Marais : j'ai toujours eu le sens du bonheur, Fanny Cottençon : l'amour c'est regarder dans la même direction Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Tel quel. 1972. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Coiffe en pied abîmée, Papier jauni. 104 pages - couverture jaunie et tâchée - nombreuses phrases soulignées, annotations au crayon à papier à l'intérieur de la revue sans réelle conséquence sur la lecture.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : Antonin Artaud - Philippe Sollers, l'état Artaud - Julia Kristeva, le sujet en procès - Marcelin Pleynet, la matière pense - Georges Bataille - Philippe Sollers, l'acte Bataille - Jean Louis Houdebine, L'ennemi du dedans - Jean Luc Godard et Jean Pierre Gorin, enquête sur une image - Bernard Sichère, sur la lutte idéologique. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Isabelle Musique 1973
Très bon état Format Coquille Guitare,Piano
Le nouvel observateur. 2010. In-4. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 99 pages - nombreuses illustrations en couleurs et en noir et blanc dans et hors texte. Texte sur plusieurs colonnes.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
"Sommaire : Rousseau, le génie de la modernité - L'irréductible, un entretien avec Pierre Manent - ""Voilà ce que j'ai fait, ce que j'ai pensé, ce que je fus.."" biographie - Miroir de son temps - Au coeur des Lumières - La passion selon Julie - L'invention d'une morale laïque - Jouer c'est tromper - Au temps de la République des Lettres - Jean-Jacques intime - Tout dire - Plutôt Narcisse que Diogèe - La philosophie faite homme - A lettres ouvertes... Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues"
Paris s.d. (circa 1955), 9,5x15,5cm, une feuille.
Billet autographe signé de Jean Paulhan, 29 lignes rédigées à l'encre bleue adressée à Felia Leal l'éditrice des "Paroles transparentes", ouvrage de Jean Paulhan orné de 14 lithographies originales de Georges Braque. Felia Leal voulant organiser une réception en honneur d'Henri Mondor, Jean Paulhan lui demande de bien vérifier ses informations afin de ne commettre aucun impair : "Vous êtes sûre que Mondor n'était pas déjà grand-officier ? Renseignez-vous bien, avant d'organiser le cocktail." Il recommande à sa correspondante de prendre connaissance du dernier article dont il s'est fendu et l'incite, si ce n'est pas déjà fait, à s'engager pour la cause algériennne : "... Je lui ai donné un article sur l'Algérie : Barbaresques. De quoi je me mêle ? Mais de ce qui regarde le comité de "Résonances". (à ce propos, je pense bien que vous et M. Léal avez déjà adhéré au Comité "pour le salut et le renouveau de l'Algérie". C'est un comité énergique et qui fera du bon travail." - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris 5 Mai 1869, 13,5x21cm, une page et demi sur un double feuillet.
Lettre autographe signée d'Ernest Renan, 31 lignes à l'encre noire à son propos de son éphémère entrée en politique. En1869, Ernest Renan se présenta sous l'étiquette d'indépendant à un siège de député enSeine-et-Marne, ce qui lui valut un échec électoral. Traces de pliures centrales. Ernest Renan remercie son correspondant pour son soutien décisif qui déclencha sa décision de son lancement en politique : "Vous êtes le premier qui avez parlé au public de ma candidature éventuelle à Meaux, à Lagny." en dépit de ses appréhensions :"J'ai dû en cette circonstance faire une grande violence à mes goûts, mais j'ai pensé qu'on est plus fort à critiquer son temps quand on s'est prêté aux occasions de le servir que quand on s'y est systématiquement refusé..." Il ne se montrera pas affecté par un éventuel échec : "Si je réussis pas, je serai vite consolé, si vite consolé à vrai dire que c'est probablement là une raison pour laquelle je ne réussirai pas." mais réclame tout de même l'appui journalistique de son pygmalion en politique : "Vous êtes lu sur les bords de la Marne comme partout, et votre voix sera là d'un grand poids." - Photos sur www.Edition-originale.com -
1 lettre affranchie de 2 ff., 24 juin 1838
1 lettre affranchie de 2 ff., 24 juin 1838 : Courrier privé adressé par M. Preyssac de Nogaret, Commissaire de Police de la ville d'Embrun, à M. Dubreuil à propos d'un De Nogaret surnommé Pantalion Armand, et daté du 24 juin 1838. Il ne le connaît pas et évoque ses propres origines dans la commune de Granges (Lot-et-Garonne). Mais sur le nom de Pantalion Armand, il peut préciser que "M. Dupleix, autrefois Gouverneur de St Domaingue avant le massacre des blancs & cousin à mon grand-père vint en France, n'ayant point d'enfant, emmena à son retour à St Domingue le frère cadet à mon père, se chargeant auprès de mon grand père de faire la fortune de son fils & de plus s'en occuper. Depuis cette époque, la famille n'en a jamais eu de nouvelles & nous avons tous pensé qu'il avait été du nombre des victimes qui succombèrent lors de la révolution des nègres, dans cette partie de l'amérique. Mon oncle pourrait avoir à présent e 85 à 90 ans & il pourrait être agé de 17 à 18 ans lorsque M. Dupleix l'emmena [... ]"
S.n., Lourmarin 23 Avril 1956, 21x27cm, un feuillet recto-verso + une enveloppe.
Lettre autographe signée d'Henri Bosco adressée à son ami et voisin estival Georges Raillard (31 lignes à l'encre verte sur un feuillet recto-verso) depuis Lourmarin. Trace de pliure inhérente à la mise sous pli, enveloppe jointe. L'auteur de l'Âne culotte remercie Georges Raillard pour sa dernière missive : "Elle est bien arrivée. Mais l'article de cet infâme Canard, non. Pas vu. Ni 6, ni 3 colonnes. Rien. Sans doute quelques jaloux cachés (ou l'illustre Giono, mon voisin) l'ont-ils intercepté et jeté au feu. Triste." Henri Bosco narre ses pérégrinations automobiles à travers le sud de la France : "Nous avons atteint Millau - et les Rouergats - Ils ont de la cordialité, des gants... j'ai renoncé à poursuivre dans Guéret, par 450km de vire-vertiges. Replié sur Lourmarin, au milieu des nuées, des pluies, torrentiellement." Il devra aussi parcourir la France pour la signature de son dernier ouvrage et se permet cet avertissement pour son ami : "N'allez jamais à Béziers ! On y sent et pense vin. et quel vin ! Du 6 degré au plus.Sauf des rarissimes, les indigènes y sont xénophiles et brutaux. Figurez-vous qu'ils ont chassé de la scène manibus pedibusque militarisbusque la pauvre Giulietta Greco, elle-même, après le 1er couplet du fameux : Sombre dimanche ! Il est vrai que..." - Photos sur www.Edition-originale.com -
1 L.A.S. de 3 pages , datée de Louveciennes, 11 juillet 1864 : [Iil évoque ses recherches dans les archives de Seine-et-Marne et de Provins et continue : ] "Le compte-rendu qui concerne l'hôpital de Provins, si notre secrétaire général daignait le parcouri, augmenterait peut-être son goût pour le service des archives, & c'est ce que nous devons souhaiter dans l'intérêt de l'institution. Bien qu'il soit piquant de poursuivre avec persévérance depuis onze années, sans grand encouragement, une des oeuvres qui recommanderont le plus, aux yeux de nos successeurs, l'administration actuelle de notre ministère, je ne tiens pas d'une manière essentielle à la poétique auréole des gens méconnus" [ Il regrette de ne pas avoir pu rencontrer son interlocuteur. Il repart pour la Creuse, l'Ardèche et la Savoie ] "Si vous voyez M le Duc de P., je vous prie expressément de lui offrir mon hommage & mes pieux souvenirs. J'aurais dû y retourner ; je crains de lui être importun, & cette pensée me rend contraint en sa présence. Il me croit au dessous de ma tâche et me l'a presque avoué ; - dur loyer d'un zèle que rien ne décourage, vous le savez, vous ! Il a accueilli, contre moi, des infirmations, & conçu des préventions qui sont un chagrin constant dans ma vie. La reconnaissance, l'affection qui me lient à un homme qui a tout mon respect enveniment encore une blessure dont je ne guérirai pas. Mais pourquoi diantre vous dis-je tout cela ? Peut-être parce que j'y pense sans cesse. A vous de coeur"
Belle lettre de l'écrivain, historien chartiste et archiviste Francis Wey (1812-1882), dans laquelle il affirme sa soif de reconnaissance, notamment de la part du "duc de P." (peut-être Ernest Arrighi de Casanova, duc de Padoue, ministre de l'intérieur depuis 1859).
1 L.A.S. datée de Paris, le 26 juin 1852, une page contrecollée en charnière sur carton fort, lettre adressée à M. Grün, rédacteur en chef du Moniteur : "Monsieur, L'organisation nouvelle, apportée au Moniteur, amènera peut-être dans la rédaction quelques changements" [ ... ]"Je saisis cette occasion de me mettre de nouveau à votre disposition, dans le cas où vous auriez besoin de quelques nouveaux rédacteurs. Pour la littérature classique, la littérature française des XVe et XVIe siècles, la littérature grecque et romaine du Bas-Empire, je pense particulièrement rendre quelques services, en raison de mes études antérieures" [il expose ses travaux souvent récompensés et ses participations à divers journaux ou à la nouvelle revue encyclopédique, etc... ]
Intéressante L.A.S. de Léon Feugère (1810-1858), professeur à Henri IV puis à Louis-le-Grand, qui sollicite une participation à la rédaction du Moniteur, au moment où celui-ci va devenir le "Journal officiel de l'Empire Français".
S.n., s.l. (Paris) 3 Janvier 1898, 11,5x18cm, une feuille.
Lettre autographe datée et signée de François Coppée (12 lignes à l'encre noire) à son ami Léon Daudet. Traces de pliures inhérentes à la mise sous pli. François Coppée se montre touché par la dernière lettre que Léon Daudet lui a adressée et l'invite chez lui : "... Venez quand vous voudrez... pour que puissions causer tranquillement." Il partage le deuil et la tristesse de la famille Daudet après la mort (le 17 décembre 1897) d'Alphonse Daudet, son ami :"... et je pense tendrement à la mémoire de mon cher Alphonse Daudet..." - Photos sur www.Edition-originale.com -
[ Lot de 7 lettres autographes signées et d’un portrait photographique signé dont une très intéressant sur le «féminisme littéraire» ] L.A.S. d’une page datée au crayon par une autre main de 1882: «Mon Cher Hauser, ne trouvez-vous pas qu’il est temps que cette plaisanterie finisse? Suis-je trop exigeant en vous priant de veiller à ce que les tableaux confiés à vous ou à votre ami Mr. Bender soient [… ] chez ma mère, qui revient dans huit jours? Devrais-je faire le voyage exprès? Avec surprise, mais sans rancune»; 1 L.A.S. de 2 pages manuscrites (sur 2 ff.) datée de Paris le 20 octobre 99: «Mon cher Hauser, Vous me demandez ce que je pense du féminisme littéraire. On ne peut songer à interdire la prose et la poësie au sexe faible. Dans l’écriture la femme laide trouve parfois un soulagement, le femme âgée une consolation. Ca et là, j’en conviens, de vrais talents surgissent. On déclare alors que ces talents sont «virils». C’est ce qui fut dit pour George Sand. Mais permettez-moi de me situer à un point de vue spécial. Quand je vois une femme, que son cœur, ses sens, une enveloppe aimable ont destiné à la passion, se servir d’un porte-plume autrement que pour écrire à l’absent des phrases délicieusement incohérentes, je me sens fort attristé. Que de biens perdus! L’amour, en effet, prime toute littérature. La vie est courte, et il n’y a pas de gloire au monde qui vaille l’échange d’un baiser sincère. Or on ne peut être à la fois une femme de lettres et une femme de tendresse. Mlle de Pougy elle-même n’a pu réaliser ce double idéal. Juliette – pas plus que Roméo d’ailleurs – n’a songé à écrire un recueil de sonnets et à faire antichambre chez un éditeur. Et la femme journaliste? Je n’évoque son spectre qu’avec terreur. Elle peut devenir une force; je préfèrerais qu’elle restât une adorable faiblesse […] ».; 1 L.A.S. d’une page, datée du 20 février 1906. Il s’excuse d’avoir dû rester s’occuper de sa mère souffrante; «Le directeur du [ … ] ne paraît pas décidé absolument à faire le Peuple Souverain. Et voici pourtant l’époque des élections. Il faudrait peut-être que vous, le principal auteur, donnassiez un coup d’épaule. Qu’en pensez-vous? [… ]»; 1 L.A.S. d’une page, datée du 13 décembre 1908: «Mon cher ami, Fernand Sarnette dépasse toutes les limites de l’impudence, vis-à-vis de moi et vis-à-vis d’autres. Si vous ne l’avez pas fait, veuillez lui écrire 14 rue des Sts Pères pour lui réclamer dans un délai de quatre jours Le Peuple Souverain, sinon nous aviserons la Société des Auteurs. Emile Rochard et moi en faisons autant de notre côté [ … ]»; 1 L.A.S. d’une page, datée du 29 janvier 1909: «Mon cher Hauser, [ … ] Sarnette fait le mort. Il faudrait, comme Rochard et moi, écrire un mot à M. Gangnat, agent général des Auteurs Dramatiques, [ … ] Henner, qui va convoquer le délinquant avant de le traduire devant la Commission»; avec 2 autres L.A.S.
Intéressant lot d’autographes de l’écrivain Pierre Elzéar. Petit-fils du juriste Joseph Ortolan, frère du naturaliste Gaston Bonnier, Pierre Elzéar (1848-1916) verra l’un de ses poèmes publié dans le «Le Tombeau de Théophile Gautier», l’un des grands témoignages du mouvement parnassien. On peut le voir dans le célèbre tableau de Fantin-Latour, le Coin de table, où il est représenté, portant un haut-de-forme, debout à Gauche, aux côtés d'autres poètes comme Paul Verlaine et Arthur Rimbaud. Bon ensemble (prix du lot, non séparable). Les lettres sont adressés à l'écrivain de Toulon et félibre Fernand Hauser (1869-1941)
2 lettres autographes signées, à en-tête de l’Ecole Française de Rome , à savoir: 1 L.A.S. datée du 21 avril 1903: Mon cher ami, C’est aujourd’hui la Natale di Roma. Cet anniversaire m’a rappelé celui que vous vouliez célébrer dans les Débats, avec ma collaboration. J’en suis navré, mais ayant été submergé tous ces jours-ci, je n’ai pas eu un moment, même pour vous dire non. Maintenant que cette moutarde arriverait longtemps après dîner, je vous offre mes remords, qui sont encore cuisants. Joignons-y, comme fiche de consolation, la pensée que le jubilé de l’Ecole était un faux jubilé, inventé par la bienveillante traîtrise du ministère pour frapper les esprits du bloc et leur amener un plus grand nombre de décorations. Les chronologistes les plus expérimentés s’accordent à dire que l’Ecole a été fondée en mars 1873. On leur ferait de la peine en ne comptant depuis lors que 25 ans. Mais préparez tout de même une jolie tartine; vous la placerez dans vingt ans. Les Débats sont éternels. Si nous n’y sommes plus, ils y seront encore. Ici je vous embrasse avec autant d’effusion qu’il en a débordé, ces jours-ci dans les banquets ministériels»; [ On joint: ] 1 L.A.S. datée du 10 janvier 1910: [ … ] Non, je n’ai pas l’intention de m’occuper de la littérature de Dufourcq, car j’en pense trop de mal et ce n’est pas le moment de le dire à ce brave garçon, que j’aime bien et qui traverse en ce moment un gros ennui professionnel. Quant à Mgr Mignot, oh! mon ami, ne me demandez pas de parler des lires d’évêques. Les évêque me font trop d’effet. De plus celui-là, que j’aime non moins tendrement que Dufourcq se trouve dans une situation très particulière. N’insistons pas. Maintenant, tous mes vœux. Quand je verrai surgir du buisson quelque gibier à ma convenance et à ma portée, je le fusillerai très volontiers à votre intention. Pernot me donnera des conseils. Que n’est-il ici! Que ne suis-je aussi dans le bureau de papa Hébrard pour arrêter au vol les maladroits articles de Tardieu. L’affaire allait bien. Ce animal va la faire manquer. Silence et patience. Mille bonne amitiés».
Ces deux lettres, remarquables de verve, furent adressées par le très fameux chanoine et historien catholique Louis Duchesne (1843-1922) à André Chaumeix, du Journal des Débats. Son œuvre majeure, l’Histoire ancienne de l’Eglise, sera mise à l’index en 1912. Mgr Duchesne fut le Directeur de l’Ecole Française de Rome au Palais Farnèse, de 1895 à sa mort en 1922.
L.A.S. d'une page à en-tête de la Librairie Nouvelle, A. Bourdilliat et Cie, datée de 1858 : "Mon Cher Aucante, Si vous voulez m'envoyer le manuscrit d'Erckmann, ainsi que la nouvelle qui complètera le volume, je le soumettrai à M. Bourdilliat, et je pense que je le déciderai à traiter aux conditions que je vous ai indiquées l'autre jour. Bien à vous"
Intéressante lettre adressée à Emile Aucante, secrétaire et homme d'affaire de George Sand, où l'on fait référence à un roman d'Erckmann (Erckmann-Chatrian), très certainement "L'illustre Docteur Mathéus", recueil de 6 nouvelles paru en 1859 chez Bourdilliat.
Reference : 2147503338
Sans date. LITHOGRAPHIE DE VICTOR ADAM PROVERBES EN ACTIONS QUI NE PENSE QU' A SOI N' EST PAS DIGNE DE VIVRE 19ème siècle Format : 25x22 Réf : 9177
Le Livre de Poche 1972 1972. Georges Wolinski - Je ne pense qu'à ça / Le Livre de Poche 1972
Bon état
Éditions J'ai lu 1965 1965. Josephine Tey : Elle n'en pense pas un mot/ J'ai lu 1965 LBN12
Bon état
Le Livre de Poche 1972 1972. Wolinski - Jene Pense qu'àça / Le livre de poche 1972
Bon état
Presses Pocket 1978 1978. Cécile Aubry - Je n'avais pas pensé à toi / Presses Pocket 1978
Très bon état
1984 1984. 5 Josephine Tey - ELLE N'EN PENSE PAS UN MOT / 1984
Bon état
Rivages 1996 in8. 1996. broché. 352 pages. Comme toujours dans les romans de Javier Marías la première phrase a beaucoup d'importance : Personne ne pense jamais qu'il se retrouvera un jour dans les bras d'une morte et n'en verra plus le visage même s'il n'a pas oublié son nom. C'est ce qui arrive à Victor Francés scénariste pour la télévision et nègre à l'occasion d'une personnalité importante et ignare. Divorcé depuis peu il est invité un soir à dîner chez Marta Téllez. Alors qu'ils sont dans la chambre encore à demi vêtus et à demi nus Marta se sent de plus en plus mal jusqu'à agoniser et mourir. La scène est stupéfiante. Cette infidélité non consommée de Marta devient pour Victor une sorte d'envoûtement. Mais à trois heures du matin dans un appartement à Madrid que doit faire Victor ? Que faire du cadavre ? Faut-il prévenir le mari ? Que faire de l'enfant endormi ? Où est la différence entre la vie et la mort ? Victor Francés prendra rapidement une décision : fuir. Mais ce n'est pas la vraie décision et il se laissera mener par les événements certains inoffensifs d'autres périlleux. Dans un Madrid hivernal et nocturne investi par la brume et les tempêtes comme une île assiégée le narrateur se transforme en une ombre sans volonté et sans buts ballotté au gré des rencontres. Une fois de plus l'étonnante écriture de Javier Marías immerge le lecteur dans un enchantement dont il ne voudra plus sortir. L'auteur réussit une intense variation sur quelques problèmes qui nous touchent tous : la dissimulation l'action et l'intention l'ignorance de ce qui nous fait agir la volonté qui ne se réalise presque jamais le rejet de ceux que nous avons aimés l'oubli l'indécision la séparation et la duperie qui est peut-être notre condition naturelle et en réalité ne devrait pas nous blesser Bon Etat
creamania. 2000. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 54 pages. Nombreuses illustrations couleurs dans et hors texte. Trace de feutre sur le premier plat.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
n°14, avril mai 2000. Les compositions florales, les cintres déguisés, les cadres détournés : damier, appliques, pense bête, plateau, miroir indien, high tech, le range bouteilles en plastique, la deco de paques... Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
milan. 2002. In-8. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 61 pages. Nombreuses photos couleurs dans et hors texte. Couverture plastifiée, etiquette sur le premier plat et la coiffe en pied, tampon sur la page de garde et trace de feutre.. . . . Classification Dewey : 636.1-Chevaux
Collection les pense-bêtes. Illustrations de Azam Jacques. Classification Dewey : 636.1-Chevaux
1 brochure in-8 br., 28 Brumaire an 10, 3 pp. Extrait : "Les percepteurs des arrondissemens du sud et du nord de la ville de Bordeaux, ayant été trouvés en divertissement des deniers de leurs recettes, j'ai annullé, citoyens, le 29 fructidor dernier l'acte qui leur avait confié des fonctions dont ils abusaient d'une manière si coupable. Je les ai renvoyé devant les tribunaux... Le Gouvernement a pensé comme moi que cette mesure ... ne suffisait pas à la vindicte publique, et qu'il était nécessaire d'effrayer ceux qui pourraient être tentés d'imiter ces agents infidèles par l'exemple d'une punition proportionnée à leur délit."...
Bon état. Intéressant document sur la concussion sous le Consulat.