34 books for « que dirais je »Edit

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‎DROZ ; [ DROZ, Nicolas François Eugène ]‎

Reference : 63981

(1803)

‎[ Lettre autographe signée évoquant le général Michaud : ] 1 L.A.S. datée de Besançon, le 22 floréal an XI [ 12 mai 1803 ] "Monsieur, Lorsque je vous ai présenté une pétition pour admettre au Lycée Fortuné Michaud mon petit neveu, j'ignorais que le Général Michaud eut déjà obtenu du Ministre un arrêté en faveur de César Michaud son frère cadet et je n'aurais pas omis de vous en parler vu le petit nombre de places destinées au département du Doubs ; cependant, comme l'éducation du puiné presse plus que celle du cadet, s'il y avait quelque moyen de faire passer d'abord le plus agé, je vous prie de l'indiquer à M. Michaud qui aura l'honneur de vous présenter les deux fils et vous jugerez de ce qui convient le mieux, sauf à revenir à la suite pour le cadet lorsqu'il sera d'un age plus formé pour profiter de l'instruction du Lycée. Si le Père était en état de payer la pension de l'un, je lui dirais de le faire, mais les pertes qu'il a faites l'ont obligé de vendre la maison à Pontarlier et de se retirer à la campagne et s'il est possible de faire quelque chose d'extraordinaire cela ne tirera pas à conséquence, vu les services du Général Michaud et ceux du général Michaud [d'arcan ? ] qui n'a pas jouï longtemps de la place de Sénateur" [ Droz évoque sur une page le rétablissement de l'Académie, les remarques du Préfet à ce propos, il évoque M. LeFevre ] "Ayant été pendant 40 ans a portée de reconnaître l'utilité du premier établissement, je mourrai content dès que l'on aura repris le continuation du Recueil des Monumens de notre histoire, que j'avais proposé avant que M. Bertin s'en occupe pour la France entière et que j'avais bien avancé sous ses auspices" [... ] "j'espère que nous n'oterez point ce terme de féodalité de votre Dictionnaire quand il ne restera quand il ne restera qu'un tribut rendu au génie aux talens ou a la beauté. Je suis avec respect, Monsieur, votre très humble et très obéissant serviteur".‎

‎1 L.A.S. de 4 pages, datée de Besançon, le 22 floréal an XI [ 12 mai 1803 ] "Monsieur, Lorsque je vous ai présenté une pétition pour admettre au Lycée Fortuné Michaud mon petit neveu, j'ignorais que le Général Michaud eut déjà obtenu du Ministre un arrêté en faveur de César Michaud son frère cadet et je n'aurais pas omis de vous en parler vu le petit nombre de places destinées au département du Doubs ; cependant, comme l'éducation du puiné presse plus que celle du cadet, s'il y avait quelque moyen de faire passer d'abord le plus agé, je vous prie de l'indiquer à M. Michaud qui aura l'honneur de vous présenter les deux fils et vous jugerez de ce qui convient le mieux, sauf à revenir à la suite pour le cadet lorsqu'il sera d'un age plus formé pour profiter de l'instruction du Lycée. Si le Père était en état de payer la pension de l'un, je lui dirais de le faire, mais les pertes qu'il a faites l'ont obligé de vendre la maison à Pontarlier et de se retirer à la campagne et s'il est possible de faire quelque chose d'extraordinaire cela ne tirera pas à conséquence, vu les services du Général Michaud et ceux du général Michaud [d'arcan ? ] qui n'a pas jouï longtemps de la place de Sénateur" [ Droz évoque sur une page le rétablissement de l'Académie, les remarques du Préfet à ce propos, il évoque M. LeFevre ] "Ayant été pendant 40 ans a portée de reconnaître l'utilité du premier établissement, je mourrai content dès que l'on aura repris le continuation du Recueil des Monumens de notre histoire, que j'avais proposé avant que M. Bertin s'en occupe pour la France entière et que j'avais bien avancé sous ses auspices" [... ] "j'espère que nous n'oterez point ce terme de féodalité de votre Dictionnaire quand il ne restera quand il ne restera qu'un tribut rendu au génie aux talens ou a la beauté. Je suis avec respect, Monsieur, votre très humble et très obéissant serviteur".‎


‎Intéressant L.A.S. attribuable au juriste et érudit Nicolas Droz (né à Pontarlier en 1735, mort à Saint-Claude en 1805), dans laquelle il parle du Général Michaud, mais aussi du rétablissement prochain de l'Académie ("des sciences, belles-lettres et arts de Besançon et de Franche-Comté"), qui sera effectif l'année suivante, en 1804. Nicolas Droz avait été nommé en 1771 secrétaire perpétuel de l'ancienne Académie, supprimée en 1793. Il était l'oncle du savant Joseph Droz.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR195.00 (€195.00 )

‎Gould Anny,Gréco Juliette,Vaucaire Cora,Renard Colette - Gérard Philippe,Barclay Eddie - Rouzaud René‎

Reference : 24684

(1955)

‎Partition de la chanson : Complainte des coeurs purs Tu me dirais je te dirais ‎

‎ Pathé Marconi 1955‎


‎ Etat moyen Format Coquille ‎

Phone number : 06 12 41 09 89

EUR6.00 (€6.00 )

‎Collectif‎

Reference : R110430585

(1909)

‎Lisez moi n° 85 - Les palombes par Marcel Prévost, Pauvre tante par Léon de Tinseau, Douceur d'aimer par André Rivoire, La terre qui meur (suite) XIII par René Bazin, Tu me dirais par Rosemonde Rostand, Les pénitentes par Gustave Droz, Le soir‎

‎Tallandier. 10 mars 1909. In-12. Broché. Bon état, Livré sans Couverture, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 321 à 400. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française‎


‎Sommaire : Les palombes par Marcel Prévost, Pauvre tante par Léon de Tinseau, Douceur d'aimer par André Rivoire, La terre qui meur (suite) XIII par René Bazin, Tu me dirais par Rosemonde Rostand, Les pénitentes par Gustave Droz, Le soir dans les gares par Camille Mauclair, Une passionnette de petite fille par Edmond de Goncourt, Péché mortel (suite) VIII par André Theuriet, L'odorant souvenir par Victor Margueritte, L'habitude par Michel Provins, Le lys rouge (suite) IX par Anatole France, C'était pas celle la par Gyp Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR19.80 (€19.80 )

‎COLLECTIF‎

Reference : 2916362014

(2006)

ISBN : 2298001014

‎Dupond et dupont - je dirais même plus !‎

‎2006, Editions Moulinsart, in-8 cartonné de 45 pages, couverture rouge illustrée, Dupond et dupont - je dirais même plus !, texte de M. Farr | Etat : Très bon état (Ref.: G7001)‎


‎Editions Moulinsart‎

Les Kiosques - Toulon

Phone number : 04 94 913 130

EUR12.00 (€12.00 )

‎COLLECTIF / NAUWELAERS G.‎

Reference : R200086502

‎PIANISTE EN HERBE A.B.C. PIANIST III : EN TANDEM : Petites pièces et chants populaires à quatre mains - Arrangés et recueillis par G Nauwelaers : Ah ! Te dirais-je maman - J'ai du bon tabac - Malbrough s'en va en guerre - Le bon roi Dagobert -etc‎

‎SCHOTT FRERES. NON DATE. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 39 pages de partitions en noir et blanc.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions‎


‎SOMMAIRE : Ah ! Te dirais-je maman - J'ai du bon tabac - Malbrough s'en va en guerre - Le bon roi Dagobert - Sur le pont d'Avignon - Mon petit papa - La casquette du père Burgeaud - Au clair de la lune -etc. Classification Dewey : 780.26-Partitions‎

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EUR29.80 (€29.80 )

‎BART, Léo ; BART, Jean ; BART, Charlemagne‎

Reference : 55268

(1915)

‎Belle correspondance personnelle et originale, adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917. Jean Bart fut successivement matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car pour l'essentiel non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917‎

‎94 cartes et LAS, auxquelles nous joignons quelques photos et quelques lettres postérieures. Belle correspondance personnelle adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917, adressée à Jean Bart, matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917‎


‎Passionnant ensemble, à analyser en profondeur. Prix de l'ensemble, non séparable.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR950.00 (€950.00 )

‎Dumont Charles‎

Reference : sd636

‎Compagnie Générale Transatlantique French Line. Nos vieilles chansons. Ah! Vous dirais-je maman (partition)‎

‎Imprimerie transatlantique, Les Flots Bleus Chemise "In-4 (24,5 x 34,5 cm.), chemise, une des six partitions contenues dans: "" La Compagnie Générale Transatlantique French Line est heureuse de vous offrir une série de ses menus illustrés par Jean A. Mercier, dont les images sont extraites de l'Album ""Nos vielles chansons"" édité par le S. A. M. Les Beaux Livres, Editions ""Les Flots Bleus"" à Monte- Carlo et imprimé par Beuchet et Vanden Brugge à Nantes. Ces menus sont accompagnés d'un disque microsillon Pathé-Marconi."", ici ""Ah! Vous dirais-je maman"" avec une charmante illustration couleurs de Jean A. Mercier au 1er plat et la partition avec un couplet au 4e plat, l'intérieur est vierge et ne contient ni le menu ni le micro-sillon, sans date, les menus étaient donnés comme cadeau-souvenir aux enfants par la Compagnie: ""Souvenir de la traversée du...... S.S. ......"" ; très bon état. Livraison a domicile (La Poste) ou en Mondial Relay sur simple demande."‎


Abraxas-Libris - Bécherel
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Phone number : 33 02 99 66 78 68

EUR16.00 (€16.00 )

‎DE LA BATUT, Pierre ; [ LECONTE, Georges ]‎

Reference : 44478

(1944)

‎La Fille aux Diables [ Tapuscrit enrichi de très nombreuses corrections autographes. On joint une Lettre signée adressée à l'auteur par Georges Leconte, Président de la Société des gens de Lettres : ] "15 décembre 1944. Monsieur et Cher Confrère. Votre roman "la Fille aux diables" a deux originalités : celle du sujet, celle de la forme. Sujet émouvant : car nos coeurs battent toujours un peu plus vite dès qu'il s'agit des Vosgiens, de leurs calamités, des ressources de leur endurance, de leur fidélité. Vous avez traité votre sujet, je dirais presque, en vitrail, à cause des couleurs chatoyantes et profondes de votre style. Mais il serait plus juste de dire que vous l'avez traité en légende, car nous croyons pénétrer dans une légende dorée"... [ Avec : ] Prospectus NRF pour "La Fille aux diables" : "On sait que, dès les premières heures des hostilités, des villages entiers de la zone frontière furent vidés de leurs habitants, ceux-ci étant envoyés vers les départements de l'intérieur. On put, à ce sujet, parler "d'exil", car, encore qu'ils n'aient pas quitté le sol de France, ces Lorrains et ces Alsaciens brusquement transplantés dans le midi durent s'adapter [ ... ] Pierre de La Batut a symbolisé cetteétrange aventure dans l'attachante histoire de cette Elsa Schwartz et de sa mère Catherine, du bourg de Lokenheim, que le hasard a conduites dans un petit village de la Doirdogne" ‎

‎1 tapuscrit de 127 pp., avec très nombreuses corrections autographes de l'auteur, s.d. (circa 1944) On joint une Lettre signée de Georges Leconte, Président de la Société des gens de Lettres : ] "15 décembre 1944. Monsieur et Cher Confrère. Votre roman "la Fille aux diables" a deux originalités : celle du sujet, celle de la forme. Sujet émouvant : car nos coeurs battent toujours un peu plus vite dès qu'il s'agit des Vosgiens, de leurs calamités, des ressources de leur endurance, de leur fidélité. Vous avez traité votre sujet, je dirais presque, en vitrail, à cause des couleurs chatoyantes et profondes de votre style. Mais il serait plus juste de dire que vous l'avez traité en légende, car nous croyons pénétrer dans une légende dorée"... Avec : ] Prospectus NRF pour "La Fille aux diables" : "On sait que, dès les premières heures des hostilités, des villages entiers de la zone frontière furent vidés de leurs habitants, ceux-ci étant envoyés vers les départements de l'intérieur. On put, à ce sujet, parler "d'exil", car, encore qu'ils n'aient pas quitté le sol de France, ces Lorrains et ces Alsaciens brusquement transplantés dans le midi durent s'adapter [ ... ] Pierre de La Batut a symbolisé cetteétrange aventure dans l'attachante histoire de cette Elsa Schwartz et de sa mère Catherine, du bourg de Lokenheim, que le hasard a conduites dans un petit village de la Doirdogne" ‎


‎Rare exemplaire de ce tapuscrit abondamment corrigé par le romancier bergeracois Pierre de La Batut. "La Fille aux diables" romance l'épreuve des alsaciens de 1939-1940 réfugiés dans le Périgord. Il s'agit d'un des tous meilleurs romans de l'auteur , et l'on songe à ce courrier de Jean Paulhan adressé à l'auteur : "La Fille aux diables m'a intéressé, et j'attendrai impatiemment la deuxième version promise". L'ouvrage fut publié chez Gallimard en 1944.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR550.00 (€550.00 )

‎HANDEY JACK‎

Reference : SVBLIVCN-9782374981932

‎CE QUE JE DIRAIS AUX MARTIENS & AUTRES MENACES VOILEES‎

‎WOMBAT EDITIONS‎


‎LIVRE A L’ETAT DE NEUF. EXPEDIE SOUS 3 JOURS OUVRES. NUMERO DE SUIVI COMMUNIQUE AVANT ENVOI, EMBALLAGE RENFORCE. EAN:9782374981932‎

Bookit! - Genève
EUR33.90 (€33.90 )

‎Sorgel - Gey J. - Quentin Suzanne‎

Reference : 12758

(1929)

‎Partition de la chanson : Reviens Je ne te dirais rien ‎

‎ Quentin Suzanne 1929 approx.‎


‎ Bon état Petit format ‎

Phone number : 06 12 41 09 89

EUR6.00 (€6.00 )

‎[Borie P. ] - ‎ ‎ - Chaminade Cécile - Gérard Rosemonde‎

Reference : 21757

(1905)

‎Partition de la chanson : Tu me dirais ... Poésie ‎

‎ Enoch 1905 approx.‎


‎ Etat moyen Petit format ‎

Phone number : 06 12 41 09 89

EUR5.00 (€5.00 )

‎[Valério ] - ‎ ‎ - Yellen Jack - Marc-Hély‎

Reference : 29436

(1928)

‎Partition de la chanson : What do you say ? Que dirais-tu ? ‎

‎ Salabert 1928‎


‎ Très bon état Grand format Piano ‎

Phone number : 06 12 41 09 89

EUR20.00 (€20.00 )

‎FILM HORREUR - SAUTHIER, Serge (Directeur de publication)‎

Reference : 113452

(1976)

‎Film Horreur N° 1 : Les Dieux viennent de l'espace de (Luca VIDALI) - Les sciences magiques. Cartomancie (Alexa) - La main du réincarné de R. C. - L'utopie de l'immortalité (Roman-photo) - Histoires d'outre tombe. Aline, la réincarnée (Anonimus) - Envoie-moi un de tes portraits et je te dirais qui tu es. (Ljiba MARIGHELLA) - Les femmes de Satan (Isolda VIALE) - Le magicien conseille... - ...‎

‎ 1976 N° 1 - 2e trimestre 1976 - In-4, broché couverture illustrée - 66 pages - Nombreuses illustrations et reproductions photographiques en N&B in et hors texte‎


‎Bon état - Légers frottements sur la couverture - Petite inscription au stylo en haut de la première de couv. (voir photo) ‎

Phone number : 04 78 38 32 46

EUR35.00 (€35.00 )

‎Dubillard (Roland)‎

Reference : 79449

(1966)

‎Je Dirais que je suis Tombé‎

‎Paris, 1966, in-8, 137pp, broché, Superbe exemplaire de l'édition originale numérotée sur Bouffant Teka! 137pp ‎


Phone number : 06 60 05 09 80

EUR25.00 (€25.00 )

‎MADO ROBIN‎

Reference : R130004054

‎DISQUE VINYLE 33T PETIT FORMAT / AIRS DE COLORATURA / LAKME / CARNAVAL DE VENISE / LE BARBIER DE SEVILLE / AH! VOUS DIRAIS-JE MAMAN / RIGOLETTO‎

‎DECCA. non daté. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. AVEC THE NEW SYMPHONY ORCHESTRA DIRIGE PAR RICHARD BLAREAU. . . . Classification : 410-33 Tours‎


‎LX3037 Classification : 410-33 Tours‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR24.90 (€24.90 )

‎FREDERIK MEY‎

Reference : R130005020

‎DISQUE VINYLE 33T LES BULLES DE SAVON, TYRANNIE, J'AIMERAIS TANT, JE CROIS QU'ELLE EST AINSI, ARRIVERAI VENDREDI TREIZE, LA BOITE A MUSIQUE, BONSOIR MES AMIS, DANS MON JARDIN, JE DIRAIS J'AI TOUT VECU, JE SUIS FAIT DE CE BOIS.‎

‎"DISCOOLIS. non daté. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Pochette en couleurs, ""C'est un homme d'aujourd'hui qui tient en laisse ses angoisses et nos inquiétudes"". Image en noir et blanc à l'intérieur de la pochetee.. . . . Classification : 410-33 Tours"‎


‎Disque n°13 NP 603 Classification : 410-33 Tours‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR24.90 (€24.90 )

‎MOZART‎

Reference : R130011130

‎"DISQUE VINYLE 33T VARIATIONS "" AH ! VOUS DIRAIS-JE MAMAN"", FUGUE, SONATE, PETITE MUSIQUE DE NUIT, ALLEGRO."‎

‎PHILIPS. non daté. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Pochette en couleurs, plusieurs petits textes et une photo en noir et blanc derrière la pochette. Arrangements et adaptation de WARD SWINGLE.. . . . Classification : 410-33 Tours‎


‎Disque n° 844.826 BY Classification : 410-33 Tours‎

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EUR14.90 (€14.90 )

‎PATTERMANN‎

Reference : RO60014149

(1948)

‎FRANCAIS PRATIQUE - COMMENT DIRAIS-JE EN FRANCAIS ? / WIE SAG' ICH'S AUF FRANZÖSISCH ?‎

‎Im Literaria Verlag. 1948. In-8. Relié. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Mors fendus, Intérieur frais. 724 pages. Ouvrage en allemand.. . . . Classification Dewey : 430-Langues germaniques. Allemand‎


‎Eine auswahl Deutscher Worter und Redewendungen ins Französische übertragen. Bearbeitet von Edith Fernau, Suzanne Mertens, Peter Claesens. Unter Mitwirkung von Prof Dr.Gustav Rieder. Classification Dewey : 430-Langues germaniques. Allemand‎

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EUR29.80 (€29.80 )

‎CHAMINADE C.‎

Reference : RO50037708

‎TU ME DIRAIS...N°1 EDITION POUR TENOR OU SOPRANO‎

‎ENOCH ET CIE. non daté. In-Folio. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 4 pages . Partitions pour piano et chant + paroles. Tampon sur le premier plat n'altérant pas la lecture de la partition. Ornement sur le premier plat de P. BORIE. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions‎


‎E.F. & CIE 1880 Poésie de ROSEMoNDE GERARD Classification Dewey : 780.26-Partitions‎

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EUR19.80 (€19.80 )

‎BERTRAND YVES‎

Reference : RO30064081

(2007)

ISBN : 2259202950

‎JE NE SAIS RIEN.. MAIS JE DIRAIS (PRESQUE) TOUT‎

‎PLON. 2007. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 226 pages.. . . . Classification Dewey : 840.092-XXI ème siècle‎


‎Conversations avec Eric Branca. Classification Dewey : 840.092-XXI ème siècle‎

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EUR19.80 (€19.80 )

‎GAUDRAT MARIE-AGNES, WENSELL ULISES‎

Reference : RO40212026

(1992)

ISBN : 2227601213

‎POUR TE PARLER DE DIEU JE TE DIRAIS...‎

‎Bayard - Centurion. 1992. In-8. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 43 pages. Illustré de nombreux dessins en couleur.. . . . Classification Dewey : 268-Catéchisme‎


‎Illustrations de U. Wensell. Classification Dewey : 268-Catéchisme‎

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EUR10.95 (€10.95 )

‎COLLECTIF‎

Reference : R320022147

(1955)

‎"L'UNIQUE - MENSUEL - NOVEMBRE-DECEMBRE 1955 / EN PARCOURANT ""L'UNIQUE"" DE R. FORGETR - DIFFERENCE D'INTERPRETATION (LE CAMBROUSARD) - SI DIEU EXISTAIT, JE LUI DIRAIS, ZUT! (R. MARIETTE) ..."‎

‎L'UNIQUE. 1955. In-Folio. En feuillets. Etat d'usage, Couv. légèrement pliée, Dos satisfaisant, Pliures. Paginé de 122 à 144 illustrées de quelques dessins en noir et blanc - Papier jauni et pliures des pages.. . . . Classification Dewey : 70.1-Journaux‎


‎ Classification Dewey : 70.1-Journaux‎

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EUR39.80 (€39.80 )

‎CHAMINADE C.‎

Reference : RO50044964

‎TU ME DIRAIS.. - PIANO ET CHANT - N°2 : BARYTON OU MEZZO-SOPRANO.‎

‎ENOCH ET CIE. NON DATE. In-Folio. Broché. Etat d'usage, Tâchée, Coiffe en tête abîmée, Papier jauni. 4 pages de partitions. Premier plat ilustré en couleur par P. Borie. A Mademoiselle Marie Veyssier. Tampon sur le premier plat.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions‎


‎E.F. & CIE 1881 Classification Dewey : 780.26-Partitions‎

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EUR29.80 (€29.80 )

‎CHAMINADE C. / GERARD Rosemonde‎

Reference : RO50021515

(1902)

‎TU ME DIRAIS‎

‎Enoch & cie. 1902. In-4. En feuillets. Etat d'usage, Plats abîmés, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 4 pages. Ornements de P. Borie en couverture. Plats détachés. Déchirures.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions‎


‎E.F. & C. 1881. Partitions pour piano et chant baryton ou mezzo-soprano. Classification Dewey : 780.26-Partitions‎

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EUR24.90 (€24.90 )

‎CHAMINADE / CELZETTI Philippe et MAISONDIEU F.‎

Reference : RO50030505

‎TU ME DIRAIS / L'ORGIE‎

‎Non édité. début XXème. In-4. En feuillets. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. Non paginé. 3 pages environ.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions‎


‎Partitions pour chant. Classification Dewey : 780.26-Partitions‎

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