155 books for « poeme signe »Edit

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‎Emile Deschamps (1791-1871), poète.‎

Reference : 014209

‎Poème signé‎

‎Emile Deschamps (1791-1871), poète. Poème signé, Noel 1869, 1p in-8 oblong. Petit poème de 6 vers adressé à son amie Louise Labbé (1846-1934), épouse de Léopold Paignard, maire de Savigné-l'Evêque (Sarthe). Nous n'avons toutefois pas trouvé le lien de parenté réel (s'il y en a un). [231-2] ‎


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EUR45.00 (€45.00 )
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‎BARBIER Élisabeth‎

Reference : 11988

(1942)

‎Poème signé‎

‎Poème dactylographié et dédicacé d'Élisabeth Barbier, l'auteur des gens de Mogador. On joint une correspondance avec la maison d'édition Pierre Seghers refusant ces manuscrits … Le poème a été recollé au scotch. en feuille avec enveloppe. moyen Avignon 1942 ‎


‎édition originale‎

EUR30.00 (€30.00 )

‎JANACEK LEOS‎

Reference : RO20189797

(2001)

‎"CARNET D'UN DISPARU, spectacle musicale en francais (prologue) et en langue tcheque sur un poeme signé ""de la plume d'un autodidacte""."‎

‎ALTERNATIVE LYRIQUE. 2001. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 20 pages.. . . . Classification Dewey : 780-Musique‎


‎DIRECTION MUSICAL ALAIN PLANES - MISE EN SCENE CLAUDE REGY Classification Dewey : 780-Musique‎

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EUR49.50 (€49.50 )

‎BRETON André‎

Reference : 64262

(1917)

‎Poème autographe de jeunesse signé et dédié à Léon-Paul Fargue : « Aube adieu ! Je sors du bois hanté ; j'affronte les / routes, croix torrides »‎

‎circa 1917-1918, 22,3x27,6, une feuille sous chemise et étui.‎


‎Remarquable poème de jeunesse autographe signé d'André Breton, titré "Poème" et dédié à Léon-Paul Fargue, 21 vers à l'encre noire sur papier vergé, daté par l'auteur du 19 février 1916 et probablement composé dix jours plus tôt. Notre manuscrit fut rédigé entre mars 1917 et le début de l'année 1918. Notre poème est présenté sous chemise et étui aux plats de papier à motifs abstraits, dos de la chemise de maroquin vert olive, gardes et contreplats de daim crème, feuille de plexiglas souple protégeant le poème, étui bordé de maroquin vert olive, étiquette de papier olive portant la mention "poème autographe" appliquée en pied du premier plat de l'étui, ensemble signé de Thomas Boichot. Poème essentiel de la période pré-dadaïste de l'auteur, il fait partie d'un ensemble cohérent de sept poèmes manuscrits de Breton (désigné sous le nom de coll.X. dans les uvres complètes d'André Breton, tome I de La Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, 1988, p. 1071). Ces poèmes, de sa graphie de jeunesse, sont soigneusement calligraphiés à l'encre noire sur papier vergé filigrané. Cet ensemble a étéadressé à son cercle d'amis et d'écrivains, où figurent notamment Valéry, Apollinaire, Théodore Fraenkel, et son frère d'armes André Paris. Il fut par la suite publié dans son premier recueil, Mont de piété, qui parut en juin 1919 à la maison d'édition Au sans Pareil, nouvellement fondée par son ami René Hilsum. La datation précise de cet ensemble de poèmes autographes est déterminée par l'écriture du dernier poème de la collection («André Derain»),composé le 24 mars 1917, qui offre un terminus post quem absolu. En outre, le présent manuscrit est une version plus ancienne du poème «Age», dédié à Léon-Paul Fargue. Daté par l'auteur du 19 février 1916 - le jour de ses vingt ans - et créé 10 jours plus tôt selon sa correspondance, il ne fut rebaptisé et remanié que pour sa publication en juillet 1918 dans Les Trois Roses. Selon toute vraisemblance antérieurs à la parution de ce dernier poème, les sept poèmes autographes, furent probablement rédigés courant 1917 ou au début de l'année 1918, alors que Breton poursuit son internat au Val-de-Grâce et fait la rencontre décisive de Louis Aragon. Les poèmes qui constitueront Mont de piété représentent un rare et précieux témoignage de ses influences de jeunesse, à l'aube de son adhésion au mouvement Dada et sa découverte de l'écriture automatique. Assez brefs et parfois sibyllins, on y sent poindre des accents symbolistes empruntés à Mallarmé, qu'il redécouvre lors de matinées poétiques au théâtre Antoine, au Vieux-Colombier, en compagnie de son camarade de lycée Théodore Fraenkel. Durant le premier mois de la guerre, Breton se consacre également à Rimbaud, et se plonge dans Les Illuminations, seul ouvrage emporté dans la confusion et la hâte qui suivit la déclaration de guerre. De ses lectures rimbaldiennes naquirent les poèmes «Décembre», «Age», et «André Derain», tandis qu'il emprunte à Apollinaire sa muse Marie Laurencin à qui il dédie «L'an suave». Par ailleurs, l'héritage poétique de l'auteur sera particulièrement marqué par la figure de Paul Valéry, avec qui il entre en correspondance dès 1914. Valéry joue dans l'écriture des poèmes de Mont de Piété un rôle considérable par l'attention et les conseils qu'il prodigue au jeune poète. Admiratif de l'audace de son disciple, qui lui adressa chacun de ses poèmes, il apprécie le poème «Facon» (1916) en ces termes: «Thème, langage, visée, métrique, tout est neuf, mode future, façon» (Lettre de juin 1916,uvres complètes d'André Breton, tome I de La Bibliothèque de la Pléiade, Gallimard, 1988, p. 1072). Ces fleurons incontournables de la jeunesse de Breton furent composés entre sa dix-septième et vingt-troisième année. Surpris à Lorient par la déclaration de guerre, il devient infirmier militaire, puis officie dans plusieurs hôpitaux et sur le front pendant l'offensive de la Meuse. Il fait à Nantes la connaissance de Jacques Vaché, qui lui inspire un projet d'écriture collective, ainsi que l'illustration du futur recueil Mont de Piété, finalement réalisée par André Derain. La fréquentation de ce «dandy révolté contre l'art et la guerre», qui partage son admiration pour Jarry, et le contact des aliénés du centre neuro-psychiatrique de Saint-Dizier marquent une étape décisive dans la genèse du surréalisme. Affecté au Val-de-Grâce à partir de 1917, Breton trouve à Paris l'effervescence littéraire nécessaire à sa quête poétique et récite Rimbaud en compagnie d'Aragon. C'est par l'entremise d'Apollinaire qu'il se lie d'amitié avec Soupault, futur co-auteur des Champs magnétiques, et Reverdy, fondateur de la revue Nord-Sud, qui publiera des poèmes de Mont de piété. Les sept poèmes de la collection seront par la suite publiés dans des revues littéraires d'avant-garde (Les Trois Roses, Solstices, Nord-Sud) entre 1917 et le début de l'année 1919. Quatre des sept poèmes urent dédiés aux maîtres et amis de l'auteur: Léon-Paul Fargue, et surtout Apollinaire, à qui Breton avait consacré une étude dans l'Eventail. L'auteur rend également hommage à Marie Laurencin et André Derain, créateurs "d'oeuvres plastiques encore toutes neuves, en butte à un décri et une intolérance presque unanimes", chères à Breton tout au long de sa vie (XXe siècle, n°3, juin 1952). Breton multiplie avec les dédicaces les allusions croisées, dédiant à l'un un poème inspiré par l'autre, à l'exemple de ce poème, dédié à Léon-Paul Fargue, qui fait écho à Rimbaud et son poème «Aube» (Les Illuminations, 1895).Ce poème fut publié pour la première fois après la rédaction du présent manuscrit dans la revue Les trois roses, n°2, juillet 1918, dans laquelle il change de titre et devient «Age» après avoir été originellement baptisé « Poème». Notre manuscrit autographe est une épreuve antérieure, telle qu'elle a été adressée par Breton à Valéry et Apollinaire en février 1916. Il y glisse à la quatrième strophe un vers supplémentaire qu'il retrancha de la publication finale : «O bras si pleins qui m'ont déçu de flexions troubles, anses lilas que rudoyait le nud tors!». L'influence de Rimbaud y est éclatante - un hommage au maître que l'on peut facilement déceler dans les vers "Aube adieu ! Je sors du bois hanté ; j'affronte les / routes, croix torrides" (v. 1-2), s'inspirant de la fin du poème de Rimbaud "L'aube et l'enfant tombèrent au bas du bois. Au réveil il était midi." Valéry, après réception du poème, pardonne au jeune Breton sa fièvre rimbaldienne : «Je vois maintenant que l'illumination vous gagne. La noble maladie suit son cours. Il faut l'avoir eue, guérir, et en garder certaines traces ». Rarissime manuscrit de jeunesse, révérence rimbaldienne d'André Breton alors «au point intellectuel de fusion [...] quand le Rimbaud, le Mallarmé, inconciliables, se tâtent dans un poète» (Paul Valéry, lettre de janvier 1916). - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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‎DUMAS Alexandre‎

Reference : 64096

(1860)

‎"Naïs et Chloé" Poème saphique autographe inédit signé d'Alexandre Dumas‎

‎s.d. (circa 1860), 20,6x27,6cm, un feuillet remplié.‎


‎Poème manuscrit autographe signé d'Alexandre Dumas portant le titre "Naïs et Chloé", 84 vers à l'encre noire sur feuillet remplié bleu. Quelques infimes déchirures sans manque de texte dues aux pliure inhérentes à la mise sous pli. Le poème autographe est présenté sous une chemise en demi maroquin vert sapin, plats de papier marbré, contreplats doublés d'agneau vert, étui bordé du même maroquin, ensemble signé Goy & Vilaine. Rarissime manuscrit d'un long poème inédit retraçant les amours de Naïs et Chloé et dont l'écriture est régie par l'admiration et l'hommage qu'Alexandre Dumas rend à l'une des plus grandes figures de la poésie antique, Sappho. Romancier prolifique, Dumas s'est rarement essayé au genre poétique, «Naïs et Chloé», par sa longueur, constituant un hapax dans la production littéraire de l'écrivain. Le texte demeure inédit à ce jour et se trouve ici enrichi de l'élégante calligraphie de son auteur. Le poème est constitué de 21 quatrains parmi lesquels se distingue une remarquable insertion des vers les plus célèbres de Sappho, «à la femme aimée», dont le titre est conservé dans le corps même du texte. Cet enchâssement participe de la verve avec laquelle Dumas défend la force poétique et évocatrice de l'écriture de Sappho qu'il élève au rang d'«étoile du monde» de la Poésie : «Il est au sein des mers s'appuyant à l'Asie Entre l'heureuse Smyrne et la sombre Lemnos Une île aux bois fleuris chers à la Poésie A qui Venus donna le doux nom de Lesbos. Quand du chantre divin la voix fut étouffée Que du nom d'Euridice elle eut frappé l'écho Le flot roula tête et la lyre d'Orphée Sur la rive où plus tard devait naître Sapho Sapho naquit la lyre en ses mains fut remise Les sons qu'elle en tira jusqu'à nous sont venus» Traduits par les soins consciencieux de l'auteur, le poème empruntéà Sappho, où émerge le vers le plus célèbre, "Celui-là, je le dis, il est l'égal des dieux",se retrouve en plusieurs endroits de l'uvre de Dumas, notammentdans le chapitre intitulé «les vers saphiques» de la San Felice et dans un recueil d'articles dédié aux grandes figures féminines où elle siège parmi Jeanne d'Arc et Marguerite d'Anjou. Il s'agit pour Dumas de demeurer fidèle aux vers écrits et de leur rendre leur sensualité, souvent estompée par les traducteurs antérieurs: «Les traductions de ces deux poëtes [...] nous paraissent non seulement manquer de couleur antique mais insuffisantes comme ardeur lesbienne» (Les étoiles du monde, Galerie historique des femmes les plus célèbres de tous les temps et de tous les pays) Par-delà la traduction qu'il propose, Dumas s'imprègne de la plume lyrique de Sappho sans se défaire de sa propre veine romanesque et peint les amours saphiques de Naïs et Chloé sous un jour érotique: «Oh seule palpitante, échevelée et nue Une main sur ma gorge et l'autre... Oh ma Naïs Serre moi dans tes bras et sois la bien venue Car à force d'amour... tiens... tiens je te trahis Et l'on n'entendit plus alors dans la nuit sombre Que le bruit des baisers répétés par l'écho Car Nais et Cloé se taisaient et dans l'ombre Clinias s'enfuyait en maudissant Sapho» Le poème s'inscrit dans la continuité de l'intérêt que les auteurs de la fin du XIXe siècle portent au saphisme et au personnage-lecteur voyeur, ici incarné par Clinias, et dont la plus célèbre occurrence demeure la Nana de Zola Exceptionnel et long poème autographe saphique d'Alexandre Dumas. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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‎DURRELL Lawrence‎

Reference : 66628

(1969)

‎"Vaumort" : poème autographe signé et illustré par l'auteur à son amante française‎

‎1969, 30,4x39,5cm, une feuille.‎


‎ Après de nombreuses années passées en Grèce, en Egypte et à Rhodes, l'écrivain voyageur Lawrence Durrell fut contraint de fuir Chypre à la suite de soulèvements populaires qui menèrent l'île à son indépendance. Riche seulement d'une chemise et d'une machine à écrire mais auréolé du succès de ses romans Bitter Lemons of Cyprus et Justine, il arriva en 1956 en France et s'établit dans le village languedocien de Sommières. Dans la «?maison Tartès?», sa grande demeure entourée d'arbres, il écrivit la seconde partie de son uvre, son monumental Quintette d'Avignon, s'adonna à la peinture et reçut ses illustres amis, dont le couple Henry Miller et Anaïs Nin, le violoniste Yehudi Menuhin, l'éditeur londonien Alan G. Thomas, et ses deux filles Pénélope et Sappho. Parmi les oliviers et sous le soleil méditerranéen, il y rencontre au milieu des années 1960 la jeune et pétillante «?Jany?» (Janine Brun), Montpelliéraine d'une trentaine d'années à la beauté ravageuse, qui travaillait au département des Antiquités de la Sorbonne à Paris. Elle fut prénommée «?Buttons?» en souvenir de leur première rencontre, où la jeune fille portait une robe couverte de boutons. Henry Miller tomba également sous le charme de «?Buttons?», louant sa beauté et son éternelle jeunesse dans d'exceptionnelles lettres restées inédites. Les trois compères passèrent des soirées parisiennes mémorables dont nous gardons de précieuses traces autographes sur un menu de restaurant et à travers leurs échanges épistolaires. Recommandée par Durrell, elle fit de nombreux voyages notamment en Angleterre d'où elle reçut une vaste correspondance de l'écrivain ainsi que des uvres d'art originales signées de son pseudonyme d'artiste, Oscar Epfs.Exceptionnel poème autographe daté de 1969, signé et illustré de dessins originaux au graphite, feutres et crayons de couleur par Lawrence Durrell. Le poème-uvre d'art est adressé à Janine Brun, son amante française, et porte la dédicace «?For Buttons?», surnom affectueux que lui donnait l'écrivain, surmonté d'un cur percé d'une flèche. «?Et je sus qu'à chaque fois que Je veux être vraiment seul Et me souvenir de toi, de cette journée, C'est à Vaumort que je songerai?». «?I knew that whenever I want to be perfectly alone With the memory of you, of that whole [day, It's to Vaumort that I'll be turning?» Trous d'épingles, déchirures marginales. Publié pour la première fois dans Collected Poems?: 1931-1974 (1980). Dans ce poème-dessin, l'écrivain se remémore une journée d'amour passée dans le cimetière d'un petit village de l'Yonne en compagnie de son amante Janine Brun. Au même moment, Durrell se remet péniblement du décès prématuré de sa troisième femme, survenu deux ans auparavant, et publie sa série de romans dystopiques Tunc (1968) and Nunquam (1970). Il se retranche également dans la poésie, dernier exercice d'ascèse littéraire et philosophique d'un écrivain qui, progressivement, choisit de se retirer du monde. C'est au cours d'une traversée depuis la capitale vers le Midi, que ce sont arrêtés les amoureux le temps d'une journée à Vaumort?: «?Au-dessous de nous, très loin, la route [qui mène à Paris Tu verses un peu de vin sur une tombe Les abeilles boivent avec nous, les morts [acquiescent?». «?Below us, far away, the road to Paris. You pour some wine upon a tomb. The bees drink with us, the dead approve.?» La poésie de Durrell a souffert de l'éclatant succès de ses romans, cependant elle atteint ici une grande beauté lyrique, son vers libre néanmoins très musical reprenant le célèbre motif du cimetière?: «?Un cimetière insouciant bourdonne Comme si ses tombes étaient des ruches Bousculées par des morts impatients - Nous imaginions qu'ils avaient accumulé Le miel de leur immortalité Dans le doux tumulte des abeilles [noires?». «?One careless cemetery buzzes on and [on As if her tombstones were all hives Overturned by the impatient dead - We imagined they had stored up [The honey their of their immortality In the soft commotion the black bees make.?» L'écrivain s'exerce ici à capturer dans le poème un moment de bonheur et de plaisir charnel avec son amante, et encadre les vers qu'il lui offre de longs aplats de graphite et de nombreux dessins aux couleurs vives. Parallèlement à son travail d'écriture, l'auteur du Quatuor d'Alexandrie pratiquait en effet assidument la peinture et organisa plusieurs expositions de ses uvres sous le pseudonyme «?Oscar Epfs?», son double artistique. Selon Serge Fauchereau, «?[...] c'est grâce à son ami Henry Miller qu'il s'était mis à la peinture?», en autodidacte, et qu'il produit à partir des années soixante des «?fantaisies jubilatoires?» (Jean Lacarrière), extrêmement colorées. On a ici un rare exemple d'une uvre d'art double, à la fois poétique et picturale. Réalisée aux feutres et crayons de couleurs, proche des dessins de Joan Miró, elle constitue une magnifique illustration empreinte de naïveté, qui se marie admirablement au poème. Durrell poursuivit cette activité jusqu'à la fin de sa vie, passée à Sommières?: on peut d'ailleurs y voir une véritable transcription picturale du «?burnt and dusty Languedoc?» («?Languedoc brûlé et poussiéreux?», vers 12), auquel il rendra hommage dans son ultime roman Caesar's Vast Ghost. Rare témoignage de l'aventure provençale de Durrell avec une jeune française, qui lui inspira un délicieux poème empreint de chaleur et de couleurs méditerranéennes. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

Le Feu Follet - Paris
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EUR1,700.00 (€1,700.00 )

‎[Collot] - ‎ ‎CHABROL (Henri).‎

Reference : cROU-1367

(1941)

‎Exode. Poème de Henri Chabrol. Dessins originaux de André Collot.( Avec un long poème autographe signé de l'auteur)‎

‎ 1941 Paris, Aux dépens de l'artiste, 1941 ; in-folio, en feuilles, couverture imprimée sous chemise et étui cartonnés; 1 feuillet blanc, 27 feuillets non chiffrés. 12 dessins hors texte en noir par André Collot. Edition originale.Tirage limité à 160 exemplaires numérotés,celui-ci 1 des 100 sur Vidalon. Envoi autographe signé de l'auteur à la justication et Long poème autographe signé de l'auteur de 35 lignes occupant tout le verso et partie du recto du premier feuillet blanc. ‎


‎ Etui et chemise sont abimés, avec manque et déchirure, l'ouvrage est en très bon état. (GrG) ‎

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‎Marceline Desbordes-Valmore (1786-1859), poétesse.‎

Reference : 014993

‎Poème autographe signé sur Elisa Mercoeur‎

‎Marceline Desbordes-Valmore (1786-1859), poétesse. Poème autographe signé « Mme Desb.Valmore », 5p 1/2 in-4. Superbe poème de 100 vers en hommage à Elisa Mercoeur (1809-1835), écrit peu de temps après sa mort. Notre version commence par : « En regardant briller la couronne de rêves, Qui de ta pure vie agitait le flambeau ». Etant membre de l'Académie de Lyon (depuis 1835), Desbordes-Valmore leur envoya le poème (notre version) et il fut lu lors de la séance du 21 décembre 1835 par M. Grandperret. Elle est alors qualifiée d'inédite. L'académie l'a ensuite publié dans le compte-rendu des travaux de l'académie en 1836 avec une erreur au 17e vers, « Mais, Peri passagère » étant devenu « Mais, perle passagère ». Il aurait aussi été publié dès décembre 1835 dans la Revue du Lyonnais mais nous n'avons pas pu trouver cet ouvrage. Il a été publié avec de très nombreuses variantes dans Pauvres fleurs (Paris, Dumont, 1839. p.139-144). Il y a ainsi 37 variantes de vers, 2 vers inversés et 6 vers ajoutés dans l'édition de 1839. En 1839, le poème publié commence par : « En regardant briller l'auréole de rêves, Qui de ta jeune vie agitait le flambeau ». Notons aussi que le poème avait été présenté ainsi : « ces vers sont une touchante consolation accordée à la douleur d'une mère. Ils serviront de préface aux oeuvres de la jeune poétesse morte avant le temps, que l'on rassemble à cette heure en deux beaux volumes ». Ce fut donc le cas lors de la publication (Paris, veuve Mercoeur, 1843. p.3-6), et c'est notre version qui y est éditée en tête du volume, sans l'erreur au 17e vers. Cette édition parut d'ailleurs grâce à la souscription lancée par Marceline Desbordes-Valmore. A ce sujet, il est intéressant de lire les détails dans les Oeuvres poétiques complètes de Desbordes-Valmore par Marc Bertrand (Presses universitaires de Grenoble, 1973, t.II, p.668 et suiv.). Très belle et rare pièce. [365] ‎


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‎[Marie Dorval] Emile Péhant (1813-1876), poète, conservateur de la bibliothèque de Nantes.‎

Reference : 015001

‎Poème autographe signé‎

‎[Marie Dorval] Emile Péhant (1813-1876), poète, conservateur de la bibliothèque de Nantes. Poème autographe signé, ca.1839, 1p in-4. Beau poème calligraphié, « L'Ange de ma Vie », composé de cinq quatrains, et signé « Est Ele Péhant » (pour Ernest Emile). Il est dédié à Marie Dorval et semble inédit. Ce n'est pas le poème de 1835 cité par Couppé ni les deux poèmes publiés dans les Sonnets de Péhant. Il a probablement été écrit lors du passage à Nantes de Dorval en 1839. « Envoyez près de moi, vous la reine des Cieux ! Et pour me consoler, un Séraphin, un Ange, Qui, chassant de mon coeur les rêves soucieux Y versera le bonheur en échange ! » Beau document. [365] ‎


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‎[Marie Dorval] Emile Péhant (1813-1876), poète, conservateur de la bibliothèque de Nantes.‎

Reference : 015002

‎Poème autographe signé‎

‎[Marie Dorval] Emile Péhant (1813-1876), poète, conservateur de la bibliothèque de Nantes. Poème autographe signé, ca.1839, 1p in-4. Beau poème, « Reconnaissance », composé de huit vers, et signé « Ernest Emile Péhant ». Il est dédié à Marie Dorval et semble inédit. Ce n'est pas le poème de 1835 cité par Couppé ni les deux poèmes publiés dans les Sonnets de Péhant. Il a probablement été écrit lors du passage à Nantes de Dorval en 1839. « Daigne prendre ces fleurs, daigne lire ces vers, Il te feront connaître, ô ma noble Marie Les sentiments pour toi dont mon âme est nourrie. » Beau document. [365] ‎


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‎[Velasquez] - ‎ ‎Edmond Aman-Jean‎

Reference : DMI-1239

(1913)

‎Velazquez, Paris, Librairie Félix Alcan, coll. Art et Esthétique, 1913. Édition originale. Envoi autographe signé. Poème autographe signé du peintre. Exemplaire unique. ‎

‎Edmond Aman-Jean, Velazquez, Paris, Librairie Félix Alcan, coll. Art et Esthétique, 1913. XXIV planches hors-texte en noir et blanc. 148 p., relié, 21,5x15 cm. Édition originale. envoi autographe signé + poème autographe monogrammé. Exemplaire unique de cet essai du peintre symboliste Edmond Aman-Jean (1858-1936), portraitiste de Verlaine, consacré au peintre baroque espagnol Diego Vélasquez (1599-1660), avec un envoi autographe signé "à mon beau-frère / Claudius / bien cordialement / Aman Jean" et un poème autographe manuscrit de jeunesse monogrammé A. J. [Aman Jean] : Le grand portrait noire dans son cadre doré Est seul au château solitaire ; Les feuilles ont jauni, et les fleurs du parterre s'ennuient et se languissent au par délaissé. Les fleurs aiment à mourir sur de naissants corsages. Toute leur gloire a ce doux champ d'honneur, Est d'entendre en mourant plus vite battre le coeur, Et la jupe craintive hésiter aux ombrages. Sur la longue pelouse le regain s'est fané, Les quinconces pleurent de la première pluie Les oranges ont froid et au château s'ennuie Le grand portrait noir dans son cadre doré. Reliure demi-basane fauve, plats papier marbré, dos lisse avec filets et fleurons dorés, nom de l'auteur et titre dorés, couvertures conservées. Reliure au chiffre C. J. [Claudius Jacquet], dédicataire de l'envoi du peintre et beau-frère de ce dernier. Bibliophile aguerri, Claudius Jacquet a fait relier de nombreux ouvrages à son chiffre, notamment quelques-uns des livres de la bibliothèque du peintre Aman-Jean dont il semble s'être occupé après sa mort. La soeur de Claudius Jacquet, Thadée, était l'épouse du peintre Aman-Jean. Claudius Jacquet avait, quant à lui, épousé la fille du félibre Félix Gras, Angèle Gras. Belle provenance ! Ce bel essai d'Aman-Jean sur Vélasquez est la seule publication connue du peintre en tant que critique d'art. Il s'intéresse ici aux racines de son art, sa vie et ses oeuvres. L'ouvrage est illustré de 24 planches hors-texte en noir et blanc. Cependant, nous ne connaissions pas au peintre des qualités de poète ! La feuille autographe manuscrite de ces trois quatrains de jeunesse monogrammés A. J. a probablement été contrecollée par Claudius Jacquet a posteriori, rendant cet exemplaire doublement unique et désirable. In-fine, Claudius Jacquet a relié un portrait photographique d'Aman-Jean provenant de la revue de la fondation "Carnegie Institute" (Pittsburg, USA) dont Aman-Jean fut membre du jury à partir de 1902, ainsi qu'un article d'Aman-Jean dans cette revue daté du 3 novembre 1904 à l'occasion de sa venue à Pittsburg. ‎


Librairie À la Demi-Lune - Aigues-Vives

Phone number : 06 22 83 47 26

EUR350.00 (€350.00 )

‎[Imprimerie Nouvelle , André Bruel] - ‎ ‎MORIN, Louis-Charles‎

Reference : 59897

(1949)

‎[ Ensemble d'ouvrages, dessins originaux et poème manuscrit ] Poème autographe signé offert à Jacques Isolle, daté du 1er janvier 1946, avec un dessin original signé [ On joint : ] Pour vos deux ans [ Livre dédicacé par l'auteur ] Deux tirages d'une gravure sur bois, dont l'une signée au crayon [ On joint : ] A propos d'une décoration [ On joint : ] Conte en vers orné de 3 illustrations par L.-Ch. Morin [ On joint : ] Croquis de Théâtre [Livre dédicacé par l'auteur ] [ On joint : ] Troisième Tasse. Saynète [ On joint : ] 3 Prospectus : Je Suis Décoré ; Un Rêve ; Un Appel ; et une coupure de presse ‎

‎Poème autographe signé offert à Jacques Isolle [ pseudonyme d'André Bizouillier ], daté du 1er janvier 1946, avec un dessin original signé [ On joint : ] Pour vos deux ans, 1 brochure in-12, 1927, 12 pp. [ Livre dédicacé par l'auteur ] Deux tirages d'une gravure sur bois, dont l'une signée au crayon [ On joint : ] A propos d'une décoration, 1 brochure in-12, s.d., 6 pp. [ On joint : ] Conte en vers orné de 3 illustrations par L.-Ch. Morin, 1 brochure in-12, Imprimerie Nouvelle, Angers, Noël 1917, 4 ff. [ On joint : ] Croquis de Théâtre, Tiage à 125 exemplaires numérotés, exemplaire n°8 imprimé pour André Bizouillier et dédicacé par l'auteur, 1 vol. in-12 br., Imprimerie Nouvelle, Angers, 1931, 104 pp. [ On joint : ] Troisième Tasse. Saynète, 1 vol. in-12 reliure demi-percaline bleue, André Bruel, Angers, s.d., [ On joint : ] 3 Prospectus de 2 ff. in-12 : Je Suis Décoré ; Un Rêve ; Un Appel ; Une coupure de presse ‎


‎Bon ensemble. ‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR395.00 (€395.00 )

‎[Edition de La Plume d'Or] - ‎ ‎ROSTAND, Maurice ; BOUDAL, Jean‎

Reference : 46712

(1946)

‎Mon Pauvre Ignacio. Suivi de deux poëmes inédits Plurien et l'Eglise de Plurien [ Edition originale - Avec un poème autographe signé de Maurice Rostand et une aquarelle originale de Jean Boudal ]‎

‎Illustré de 5 hors textes gravés au burin de Jean Boudal, un des 40 exemplaires sur papier vélin chiffon de Lana, comportant une aquarelle originale et un poëme manuscrit signé de l'auteur, numérotés de 12 à 51 (n° 44), 1 vol. in-4 en feuillets sous chemise éditeur, Edition de La Plume d'Or, Paris, 1946‎


‎Rare exemplaire de l'édition originale, enrichi d'un important poëme autographe de Maurice Rostand, et d'une aquarelle originale de Jean Boudal. Etat satisfaisant (chemise fendue, rares rouss., bon état par ailleurs). Le poëme autographe est l'important poème du post-scriptum.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR450.00 (€450.00 )

‎Banville, Théodore de‎

Reference : 6452

(1872)

‎Poème autographe signé : La Plainte de Sapho‎

‎ 1872 1872. 2 pages sur 2 feuillets. Encre noire. Poème autographe signé intitulé La Plainte de Sapho daté du dimanche 17 mars 1872, avec quelques ratures et corrections. Ce beau poème de 8 quatrains, probablement destiné à une revue, ne fut jamais recueilli en volume. Il provient de l'Ancienne collection Daniel Sickles [XIX, 8130]. La Plainte de Sapho Entends mur pleurer ma lyre Caverne sombre où dort lécho Et toi que louragan déchire, O mer, entends gémir Sapho ! Mes longs désirs, mes terreurs vaines Ont le fureur du flot amer Ce feu qui brule dans mes veines Lentendras-tu profonde mer ? Comme toi farouche et sublime, Et me plaignant quand vient le jour, Je sens un orageux abime Dans mon coeur altéré damour. Sous ton azur où tout sefface Je veux chercher un calme abri ; Il me faut ta fraicheur de glace Pour rafraîchir mon sein meurtri. Je décroiserai dans ton ombre Mes bras longtemps martyrisés Menivrant de ton vide sombre Et savourant tes longs baisers Car toi seule éteindras la fièvre Dont le frisson court sur mes dents, Et tu caresseras ma lèvre Pareille à des charbons ardents Prends mer profonde et caressante La poétesse à loeil de feu Qui, pour ravoir sa vie absente Eût souhaité lamour de Dieu. Cache et dérobe au peuple avide La charmeuse au coeur guerrier Qui de la terre ingrate et vide Napporte rien quun noir laurier ! Dimanche 17 mars 1872 -Théodore de Bainville. ‎


‎ Signé par l'auteur ‎

Phone number : 09 88 40 55 75

EUR750.00 (€750.00 )

‎FORT Paul‎

Reference : 80999

(1930)

‎Poème manuscrit signé du Chant de la paix - La ronde autour du monde dédicacé à Carlo Rim [Si tous les gars du monde]‎

‎S.n., s.l. s.d. (circa 1930), 13,5x21cm, une feuille.‎


‎Poème autographe signé de Paul Fort ; 13 lignes à l'encre noire, trois tercets intitulés «?Chant de la paix - La ronde autour du monde?». "Si toutes les filles du monde voulaient s'donner la main, tout autour de la mer elles pourraient faire une ronde / Si tous les gens du monde voulaient bien êtr'marins, ils f'raient avec leurs barques un joli pont sur l'onde?: Alors on pourrait faire une ronde autour du monde, si tous les gens du monde voulaient s'donner la main. Paul Fort" Envoi autographe daté et signé de Paul Fort à Carlo Rim au crayon vert en-dessous du poème?: «?Pour Carlo Rim, Très amical souvenir de la kermesse aux [dessin d'étoile]." Superbe manuscrit, dans l'élégante calligraphie de Paul Fort, de l'un des plus célèbres hymnes à la paix, repris en chansons, en film, en expressions et en ritournelles tout au long du XXe siècle, jusqu'à devenir un véritable «?mème?» populaire dont l'inconscient collectif a perdu l'origine. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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EUR800.00 (€800.00 )

‎[Alfred Mame et Fils] - ‎ ‎RICHEPIN, Jean ; JOB‎

Reference : 56860

(1920)

‎Allons, Enfants de la Patrie ! [ Edition originale sur papier Impérial du Japon - Avec un Poème autographe signé de Jean Richepin et 2 grandes aquarelles originales signées de Job ]‎

‎Un des 33 exemplaires du tirage de tête sur papier impérial du Japon numérotés (n°4), 1 vol. in-folio en feuillet sous chemise, Alfred Mame et Fils, s.d. (circa 1920), avec 34 compositions à pleine page de Job, aquarellées au pochoir, avec un poème autographe signé de Jean Richepin et 2 grandes aquarelles originales signées de Job (le Faucheur de Bouvines)‎


‎Superbe exemplaire sur papier impérial du Japon, enrichi du poème autographe signé de Jean Richepin et de deux splendides et impressionnantes aquarelles originales signées de Job, dont certainement la plus impressionnante composition de l'ouvrage : "Le Faucheur de Bouvines", dans laquelle un fantassin sectionne le jarret du la monture d'un chevalier lancée à grande allure. La chemise d'origine en toile manque, mais l'exemplaire est en parfait état par ailleurs. ‎

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EUR3,500.00 (€3,500.00 )

‎Salmon, André (1881-1969)‎

Reference : 4233

‎[Manuscrit] Poème autographe signé : acrostiche sur le nom de Edouard Pichon‎

‎ in-8 en feuilles 1 p. in-8, 13 vers en alexandrins à l'encre violette sur papier saumon.‎


‎Ce poème probablement inédit est un portrait acrostiche du psychanalyste, pédiatre et linguiste Edouard Pichon (1890-1940). André Salmon ne fut pas le seul écrivain à évoquer ce psychanalyste singulier, fou de grammaire et de chansons de salles de garde : Louis Aragon (dont il fut le professeur de pathologie dans les années 1920-1922) en dresse également le portrait dans "Blanche ou l'oubli" : "Un grand cheval blême à moustaches couleur de typhoïde à treize ans, le docteur Pichon qu'on l'appelait [...] Obscène le neveu, à souhait. Chantant les airs sacrés de la profession à en avoir des crises de tachycardie. Ne déposant les morpions du De Profondis que pour parler grammaire." (cf. E. Roudinesco, Histoire de la psychanalyse en France, t. 1, pp. 297-320) Personnage d'une grande richesse, d'une infinie curiosité et très complexe, Edouard Pichon est un contemporain et en quelque sorte un précurseur de Lacan (ce dernier lui reprendra - entre autres - le concept de forclusion), l'un des introducteurs de la doctrine freudienne en France, cofondateur du groupe de L'Evolution psychiatrique et de la Société Psychanalytique de Paris (dont il fut président de 1935 à 1937), auteur, avec son oncle Jacques Damourette, d'un monumental Essai de Grammaire française dont la publication s'étala sur près de 30 ans. Il fut également fervent maurrassien tout en étant dreyfusard, et le gendre de Pierre Janet sans être janetien. Nota : ce document ne pourra être exporté en dehors de l'Union Européenne sans autorisation préalable du ministère de la Culture, formalité pouvant prendre plusieurs jours. Très bon ‎

Phone number : 01 48 24 13 55

EUR200.00 (€200.00 )

‎FRANC-NOHAIN Maurice Étienne Legrand, dit‎

Reference : 83429

(1898)

‎Poème autographe signé intitulé "La complainte de Monsieur Benoît" et dédié à Coquelin Cadet‎

‎S.n., s.l. 1898, 12x19cm, une feuille.‎


‎Poème autographe signé du poète Franc-Nohain intitulé "La complainte de Monsieur Benoît". Le poème, 17 lignes à l'encre noire sur un feuillet, dédié à Coquelin Cadet, fut intégré dans son deuxième ouvrage, le recueil de poèmes Flûtes paru aux Editions de La Revue Blanche en 1898 sous le même titre mais avec quelques variantes : "La complainte de Monsieur Benoît A Coquelin Cadet Dans sa coquette maison de campagne de St Mandé, Monsieur Benoît, hier matin, s'est suicidé. On peut dire que c'est joliment désagréable pour sa famille, Et il aurait peut-être aussi bien fait de se tenir tranquille. Avec cela que c'est une fichue existence que je prévois, (Dès lors), pour cette bonne Madame Benoît. Cette pauvre Mademoiselle Benoît est également bien à plaindre, Elle qui avait épouser un riche industriel de l'Indre. Et le fils Benoît, un garçon si rangé et si travailleur... Faut-il qu'il y ait des gens, tout de même, qui a du maheur ! Le plus dégoûtant est que c'est encore une histoire de femmes : Chagrins d'amour... Monsieur Benoît était un vieux gaillard, bédame ! N'empêche que toute la famille est allée à l'enterrement ; Et il faut avouer qu'il leur était bien difficile de faire autrement. Franc-Nohain." Trace de pliure inhérente à la mise sous pli, deux petites salissures en marges du poème. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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EUR250.00 (€250.00 )

‎RAYNAUD Ernest‎

Reference : 83448

(1890)

‎Poème quatrain et tercet autographe signé intitulé "Aquarelle" ‎

‎S.n., s.l. 1890, 13x21cm, un feuillet.‎


‎Poème en quatrain et tercetalexandrin autographe signé du poète suisse Charles Fuster intitulé "Au temps de Jeanne". En haut du poème, annotations au crayon de papier d'un responsable du Mercure de France. Le poème, 15 lignes à l'encre noire sur un feuillet, paraîtra dans la revue le "Mercure de France"de septembre 1890 avec une variante dans la première strophe (: l"a grâce de son visage"devenant à l'état définitif "la peau de son visage") "Aquarelle C'est d'un grain de satin la grâce de son visage Bleue à croire qu'un bleu reflet de lune y joue Et le nez qui nuement fait ombre sur la joue La grâce en a modelé tous les cartilages ! Le cold-cream obligeant fixe le bleu nuage Du riz sur le satin éclatant de la joue Et l'on surprend des reflets blancs de coquillage A l'oreille, où sommeille un éclair de bijou. La lèvre sensuelle et molle, où saignent comme Des pourpres de pivoine et de géranium, Esquisse un rire, déceleur de perles franches, Et les yeux, ô les yeux ! quel éclair d'or ils ont, Sous l'échafaudage artistique des frisons Que parachève un papillon de soie orange ! Ernest Raynaud." Trace de pliure inhérente à la mise sous pli. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎DUFRÉNOY (Adélaïde-Gillette, née Billet) poétesse française (1765-1825) ‎

Reference : 54C25

‎Poème autographe signé « Dufrenoy née Billet ». 1 pp. in-4.‎

‎Charmant poème, « A mon amie, pour le jour en sa fête ». 16 vers pour satisfaire une amitié, avec quelques vers, présentant une certaine ambigüité. « O toi ! dont l’amitié fidelle, Me fais couler des jours heureux Toi des vertus parfois modelle Daigne accepter mes tendres vœux J’usquà présent la jalousie N’a pu troubler notre bonheur En vain le demon de l’envie Voulut corrompre sa douceur Nous aimant trop pour jamais feindre Surtout pour garder des secrets Dont l’une ou l’autre eut à se plaindre… ». ‎


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Phone number : 33 01 45 66 48 65

EUR480.00 (€480.00 )

‎HOUSSAYE (Arsène)‎

Reference : 16740

‎Poème autographe signé : "À Victor Hugo"‎

‎ S.l. [Paris], 26 février 1882. 1 p. sur 1 f. in-4 (déchirures marginales, petites rousseurs) ‎


‎Poème autographe signé sous le pseudonyme d'Octave de Parisis et dédié à Victor Hugo "celui qui a quatre fois vingt ans" et dont leur auteur précise qu'il a été écrit chez le poète. L'auteur est Arsène Houssaye qui a choisi le nom d'un des personnages de son roman Les Grandes Dames (Dentu, 1874) pour le signer. Il envoie ce poème à Philippe Javel, imprimeur à Arbois mais surtout rédacteur de l'Écho (mal orthographié par Houssaye en Échos) du Jura dans lequel il lui demande de les publier ses vers. Long poème de 18 vers à la gloire du poète qui est à cette époque rentré de l'exil, élu au Sénat et dont la réputation littéraire n'est plus à faire. Voir photographie(s) / See picture(s) * Membre du SLAM et de la LILA / ILAB Member. La librairie est ouverte du lundi au vendredi de 14h à 19h. Merci de nous prévenir avant de passer,certains de nos livres étant entreposés dans une réserve. ‎

Phone number : 09 78 81 38 22

EUR180.00 (€180.00 )

‎Emile Deschamps (1791-1871), poète‎

Reference : 011602

‎« Si j'étais », poème autographe signé inédit. ‎

‎« Si j'étais », poème inédit. Manuscrit autographe signé, 1er janvier 1843, 2p in-8 (39 vers). Poème sans titre mais avec la formule répétée « si j'étais » : Si j'étais - Dieu l'aurait pu faire Lui qui fit l'univers de rien - Si j'étais l'éloquent et grave historien, Que Paris - si changeant ! - depuis trente ans préfère ; Dans mes livres, trésor des loisirs studieux, Je déroulerais nos annales, Nos gloires et nos saturnales, Et l'on dirait : Tacite autre fois fit-il mieux ? Puis, autour de ma chaire aux bravos exposée, Je verrais se presser les jeunes gens hâtifs, Tous, auditeurs méditatifs De ma part improvisée. Si j'étais - mais par quel moyen ! - Le sage, en cheveux blancs qu'on aime à la folie, Philosophe charmant, courageux citoyen Qui resté pur au sein de la France salie Faisait pâlir le mal par l'exemple du bien. Je vous dirais mes jours d'extase et de souffrance, Et ces dix ans, si pleins de drames et d'acteurs, Sembleraient un instant rapide à mes lecteurs, C'est-à-dire à toute la France ! Si j'étais, si j'étais l'Anacréon chrétien Qui gardant pour Clio son austère entretien Aux mains de Polymnie éveille avec molesse Un luth divin qui languissait Et puis nous chante la vieillesse Comme s'il savait ce que c'est ; Je voudrais, ranimant notre époque maussade, Sous l'exil de ma compagne au regard inspirant, Suivi de mon Henry qui marche au premier rang, Au nom de Dieu des vers ouvrir une croisade, Ramener dans mon chant lyrique conquérant La muse, aux yeux jaloux de la foule ennemie, Et tout poëtiser jusqu'à l'académie ! Mais n'étant rien de tout cela Je vais tout simplement vous dire une légende Soupir qu'un ménestrel de mon coeur exhala ! Elle est longue et [2 mots illisible] grande Et je l'abrègerai si l'on dit : halte-là ! Intéressant poème inédit. [178] ‎


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‎[CAROLUS-DURAN, Charles Emile Auguste Durand dit (1837-1917) - Peintre français].‎

Reference : 8407

‎Poème autographe non signé ayant pour titre "C. Duran".‎

‎ 1 Poème autographe non signé (173 x 130) 4 strophes, daté du 11 mai 1873, ayant pour titre " C. Duran ". Papier fragilisé à la pliure. ‎


‎" On dit (j'en doute un peu ; - le monde est si méchant ! -) / Qu'à se croire un génie il a quelque penchant ; / Que, vînt-il d'un crétin, tout compliment le touche, / Et que de son mérité il se remplit la bouche. " () " Voyez ! Il coule en bronze et sa femme et son nom ! / Quel buste ! - Et, cependant, l'adorable Croizette / Nous attache au rivage, en nous faisant risette ". Poème satirique sur Carolus-Duran, " néo-Michel-Ange " qui exposa au Salon de 1873 une sculpture en bronze de sa femme - Pauline Croizette, pastelliste - accueillit avec perplexité par la critique. Ce poème pourrait être de Ernest d'Hervilly (1839-1911), journaliste et poète, qui signa un article dans la même veine et sur le même sujet dans La Renaissance littéraire et artistique (" Le Salon de 1873 "). Le bandeau "BOUQUINERIE AURORE" visible sur le scan n'est bien-sûr pas présent sur le document original, il n'a été placé ici que pour garder le caractère unique du document. ‎

Bouquinerie Aurore - Belmesnil
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‎Vincent Muselli (1879-1956), poète.‎

Reference : 006796

‎Poème autographe signé‎

‎ Poème A.S., [1936], 1p in-8 oblong. Poème titré L'Horloge composé de deux quatrains et signé. Au dos est collé une lettre de J Muselli (l'épouse de Vincent ?) remerciant pour l'envoi d'une brochure, confirmant que le portrait de Vincent Muselli par Derain a été peint en 1925. « Je ne l'aurais jamais pensé. D'un homme de 44 ans [46 en réalité] il a fait un jouvenceau de 16 ans mais c'est un beau portrait tout de même ». Sa destinataire est la propriétaire dudit tableau. Le poème était joint à la lettre et avait été demandé par la destinataire. ‎


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‎Expression et signe ( Diecteur C. Wiart ) ‎

Reference : 62655

(1819)

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