Paris, Caisse des Dépôts et Consignations, 1987. In-4, reliure plein cuir, tranches dorées, titre or frappé sur le premier plat et sur le dos, 106 pages, nombreuses illustrations en couleurs. Un des 30 exemplaires de tête reliés plein cuir et numérotés (n°4), seuls exemplaires de luxe (les exemplaires courants sont toilés). Impression par Darantière en Garamond sur Rivoli 160 gr. Au sommaire : Les notaires dans l'Opéra par Edgar Faure, Le notaire au théâtre lyrique par Me Alain Moreau, et une importante étude titrée Ecco il notaro ! par Michel Beretti,dramaturge de l’Opéra de Paris. Notices et iconographie établies par Martine Kahane, conservateur de la bibliothèque de l’Opéra.
Caisse des dépots et consignations 1987 in foliodemi toile à coins. 1987.
Très bon état
Caisse des dépots et consignations 1987 106 pages in4. 1987. demi chagrin à coins. 106 pages.
Très Bon Etat
Faure (Edgar), préface - Maitre Alain Moreau - Michel Beretti - Martine Kahane
Reference : 82015
(1987)
Caisse des Dépots et Consignations Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1987 Book condition, Etat : Bon relié, cartonnage éditeur, pleine toile bordeaux imprimée In-4 1 vol. - 107 pages
nombreuses illustrations la plupart en couleurs, quelques-unes en noir et blanc, dont plusieurs planches dans le texte avec des reproductions de tableaux et de gravures en couleurs 1ere édition, 1987 Contents, Chapitres : Edgar Faure : Les notaires dans l'opéra - Maitre Alain Moreau : Le notaire dans le théâtre lyrique - Michel Beretti : Ecco il notaro ! - Martine Kahane : Notices et légendes bon état, intérieur frais et propre
1987, Caisse des dépôts et consignations, in-4 pleine toile de 106 pages, titrage doré, nombreuses illustrations en couleurs, préface d'Edgar Faure de l'académie. Au sommaire : les notaires dans l'Opéra, de Edgar Faure, le notaire au théâtre lyrique, de maître Alain Moreau, Ecco il notaro !, de Michel Beretti, notices et légendes, de Martine Kahane. | Etat : Bon état général, trace de mouillure sur le 1er plat (Ref.: G3523)
Caisse des dépôts et consignations
1987 Ed. Caisse des dépôts et Consignations - 1987 - In-Folio, reliure à coins (dos et coins toilés rouge) sous rhodoid - 107 p. - Illustrations et reproductions photographiques en couleurs
Bon état - Menus frottements et déchirures sur le rhodoid
Editions Métailié 1987 1987. bel ouvrage grand format cartonné 110 pages réalisé pour les Notaires et la Caisse des dépots et consignations par les éditions Métailié; édition originale préface Edgar Faure de l'Académie Française avec superbe iconographie noir et blanc et couleur TRES BON ETAT d'occasion intérieur propre et encore frais pas de déchirures ni annotations
Très bon état
CAISSE DES DEPOTS ET CONSIGNATIONS. 1987. In-Folio. Cartonnage d'éditeurs. Etat d'usage, 1er plat abîmé, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 106 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc et en couleurs dans le texte et hors texte. Traces de mouillures sur la couverture. Couverture : toile bordeaux.. . . . Classification Dewey : 340-Droit
Préface d'Edgar Faure de l'académie française. Classification Dewey : 340-Droit
Caisse des dépôts et consignations. 1987. In-4. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 106 pages - Nombreuses illustrations en couleurs dans et hors-texte.. . . . Classification Dewey : 340-Droit
Préface d'Edgar Faure . Classification Dewey : 340-Droit
1987 / 106 pages. Relié. Editions Caisse des Dépôts et Consignations.
Très bon état.
[Imprimerie Emile Flouret] - DE LA BATUT, Jeanne et Pierre
Reference : 44471
(1900)
1 cahier d'écolier, Imprimerie Emile Flouret, Bergerac, 7 pages manuscrites, s.d. (circa 1900-1930 ?) [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, Dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]
Intéressant recueil d'anecdotes diverses, rédigé d'après les témoignages de la tante Angèle Lair par Jeanne Dentu ou par son fils Pierre de La Batut.