109 books for « l ami de la mort »Edit

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‎( Bibliothèque de Babel ) - Pedro Antonio de Alarcon - Jorge-Luis Borgès.‎

Reference : 25496

‎L'Ami de la Mort. ( Bibliothèque de Babel n° 12 ).‎

‎ Editions Franco-Maria Ricci / Bibliothèque de Babel n° 12 de 1981. In-8 broché de 162 pages au format 12 x 22,5 cm. Magnifique couverture rempliée, illustrée. Dos bien carré. Petites traces de scotch au en page de garde. Intérieur frais. Préface inédite de Jorge-Luis Borgès, qui fut directeur de cette éphèmere collection. Tirage unique à 3000 exemplaires numérotés sur vergé ( n° 715 ). Edition originale en très bel état général . ‎


‎ Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs MoruesLivres‎

Phone number : 06 80 26 72 20

EUR40.00 (€40.00 )

‎ALARCON‎

Reference : 19246

‎L'AMI DE LA MORT‎

‎ broché -12.5x22.5 - pp - N°12 - la bibliothèque de Babel collecion de littérature fantastique dirigée par Jorge Luis BORGES - éditions RETZ FRANCO MARIA RICCI - 1981‎


‎ce voulume a été imprimé en caractères BODONI sur papier vergé de FABRIANO au mois de AVRIL 1981 dand les ateliers de FRANCO LEVI .PREMIERE EDITION LIMITEE A 4000 EXEMPLAIRES 1715 /4000 ‎

Bouquinerie70 - combeaufontaine

Phone number : 06 48 03 16 14

EUR30.00 (€30.00 )

‎( Bibliothèque de Babel ) - Pedro Antonio de Alarcon - Jorge-Luis Borgès.‎

Reference : 5952

‎L'Ami de la Mort. ( La Bibliothèque de Babel n° 12 )‎

‎ Editions Franco-Maria Ricci / Bibliothèque de babel n° 12 de 1981. In-8 broché de 162 pages au format 12 x 22,5 cm. Magnifique couverture rempliée, illustrée. Dos bien carré. Préface inédite de Jorge-Luis Borgès, qui fut directeur de cette éphèmere collection. Tirage unique à 3000 exemplaires n° sur vergé ( n° 2470 ). Petite trace d'arrachage d'étiquette au bas du 4ème plat, sinon édition originale en très bel état général.‎


‎ Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs MoruesLivres‎

Phone number : 06 80 26 72 20

EUR40.00 (€40.00 )

‎( Bibliothèque de Babel - Editions du Panama ) - Pedro Antonio de Alarcon - Jorge-Luis Borgès.‎

Reference : 10729

‎L'Ami de la Mort. ( Bibliothèque de Babel n° 2 ).‎

‎ Franco-Maria Ricci / Editions du Panama / Bibliothèque de Babel n° 2 de 2006. In-8 broché de 168 pages au format 12 x 22,5 cm sous magnifique couverture illustrée. Belle préface de Jorge- Luis Borgès ( directeur de collection ). Réédition de ce titre paru 1981 chez F.M.Ricci. Etat de neuf.‎


‎ Site Internet : Http://librairie-victor-sevilla.fr.Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 7 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs MoruesLivres‎

Phone number : 06 80 26 72 20

EUR25.00 (€25.00 )

‎SOUBIRAN, Yvonne‎

Reference : 54723

(1928)

‎Journal Intime d'Yvonne Soubiran, élève au lycée français de Madrid puis à l'Institut Français de Madrid [ Du 16 mars 1928 au 8 mai 1928 puis du 16 février 1943 au 30 avril 1943 ] Remarquable document qui nous plonge dans la vie quotidienne et intellectuelle d'Yvonne Soubiran, 15 ans en mars 1928 ("j'ai quinze ans, c'est vrai"), une brillante lycéenne du Lycée Français de Madrid. Dans un premier cahier (daté de 1928), elle évoque sa vie quotidienne, et expose le détail de ses cours et des nombreuses conférences auxquelles elle prend plaisir à assister, telle celles de M. Lavedan sur les Hurdes. Elle évoque le cinéma Pardinas où elle se rend le 2 mai pour voir le film "El dos de Mayo". Surtout, elle parle (en date du 8 mai 1928) "d'une conférence très bien de Mr. Chevallier [le philosophe et ami de Bergson Jacques Chevalier ] au sujet de Bergson. Dans sa jeunesse, au sortir de l'école normale Bergson est positiviste. Un jour, professeur à Clermont-Ferrand, il explique à ses élèves la théorie d'Achille et de la Tortue. Pour les mathématiques, il est impossible de démontrer qu'Achille dépasse la tortue s'il part après elle, or dans la réalité il en est autrement. Ce trait donne à réfléchir au savant, il finit par conclure que le mouvement n'est pas une trajectoire mais une durée" [... ] "On pouvait se rendre compte de l'intérêt de la conférence par le silence absolu de la salle, on entendait les mouches voler. L'esprit était emporté vers des régions supérieures, on ne vivait plus qu'en extase, pendus aux mots du conférencier. [ ... ] Marie Louis et sa mère y étaient mais elles n'ont pas été très épatées, moi j'étais transportée, je l'aurai entendu pendant des heures. Maman me disait qu'elle avait ressenti la même impression en écoutant Bergson lui-même qui est venu à Madrid en 1916, pendant la guerre". Dans un second cahier (à partir du mardi 16 février 1943), elle évoque les nombreuses conférences auxquelles elle assiste à l'Institut Français de Madrid, notamment les conférences d'histoire de la littérature et surtout d'histoire de la poésie moderne par l'abbé Jobit (dont elle présente à chaque fois un compte-rendu détaillé, ainsi sur Mallarmé, Valéry ou Apollinaire), par le docteur Botella Llusia, par M. Mattei en philosophie ("un homme d'une culture supérieure, je regrette bien de ne pasl'avoir connu plus tôt") ainsi qu'aux concerts (par le pianiste Reuchsel, la violoniste Albina de Madinaveita, Reine Gianoli, etc...) ; elle se fait embaucher à l'Institut, fête le 15 mars 1943 son anniversaire ("j'ai trente ans aujourd'hui, cela me paraît impossible. Quand j'avais quinze ans il me semblait qu'on était vieux à cet âge, et maintenant je me trouve encore si peu de chose, si enfant par bien des côtés. Comme j'ai toujours vécu dans les jupons de maman, je n'ai pas l'habitude des responsabilités, et je ne sais pas me décider dans les choses sérieuses". Elle évoque les films qu'elle vient de voir (dont Rebecca avec Laurence Ollivier), un peu l'actualité : le recul des allemands devant Karkhov, "l'ambassadeur d'Allemagne von Molkte est mort en quelques jours à la suite d'une appendicite. Il y avait à peine deux mois qu'il était arrivé ici en remplacement de von Störer qui avait été dégommé. Cette mort subite a fait sensation ici et le pauvre chirurgien qui l'a opéré, le Docteur Cardenal a dû être bien embêté"... Elle relate l'arrestation d'un ami par la sûreté espagnole pour complicité dans le passage en fraude de deux voyageurs à la frontière basque. Enfermé à la Puerta del Sol, il est tout d'abord mis au secret dans une cellule microscopique : "le plus triste, c'est qu'on a commencé par lui flanquer une bonne volée pour essayer de le faire parler". Deux jours plus tard "Charles est toujours en prison. Mr Widhof est allé le rejoindre, car naturellement il a tout pris sur lui en disant que c'est lui qui l'avait envoyé à la frontière". Le 1er avril elle décrit l'imposant défilé militaire ; pour le vendredi Saint, les impressionnantes processions de pénitents‎

‎3 cahiers manuscrits dont deux brochés (l'un oblong), 1928, 40 ff. et 1943, 36 ff. et l'autre cartonné (recueil de citations). Rappel du titre complet : Journal Intime d'Yvonne Soubiran, élève au lycée français de Madrid puis à l'Institut Français de Madrid [ Du 16 mars 1928 au 8 mai 1928 puis du 16 février 1943 au 30 avril 1943 ] Remarquable document qui nous plonge dans la vie quotidienne et intellectuelle d'Yvonne Soubiran, 15 ans en mars 1928 ("j'ai quinze ans, c'est vrai"), une brillante lycéenne du Lycée Français de Madrid. Dans un premier cahier (daté de 1928), elle évoque sa vie quotidienne, et expose le détail de ses cours et des nombreuses conférences auxquelles elle prend plaisir à assister, telle celles de M. Lavedan sur les Hurdes. Elle évoque le cinéma Pardinas où elle se rend le 2 mai pour voir le film "El dos de Mayo". Surtout, elle parle (en date du 8 mai 1928) "d'une conférence très bien de Mr. Chevallier [le philosophe et ami de Bergson Jacques Chevalier ] au sujet de Bergson. Dans sa jeunesse, au sortir de l'école normale Bergson est positiviste. Un jour, professeur à Clermont-Ferrand, il explique à ses élèves la théorie d'Achille et de la Tortue. Pour les mathématiques, il est impossible de démontrer qu'Achille dépasse la tortue s'il part après elle, or dans la réalité il en est autrement. Ce trait donne à réfléchir au savant, il finit par conclure que le mouvement n'est pas une trajectoire mais une durée" [... ] "On pouvait se rendre compte de l'intérêt de la conférence par le silence absolu de la salle, on entendait les mouches voler. L'esprit était emporté vers des régions supérieures, on ne vivait plus qu'en extase, pendus aux mots du conférencier. [ ... ] Marie Louis et sa mère y étaient mais elles n'ont pas été très épatées, moi j'étais transportée, je l'aurai entendu pendant des heures. Maman me disait qu'elle avait ressenti la même impression en écoutant Bergson lui-même qui est venu à Madrid en 1916, pendant la guerre". Dans un second cahier (à partir du mardi 16 février 1943), elle évoque les nombreuses conférences auxquelles elle assiste à l'Institut Français de Madrid, notamment les conférences d'histoire de la littérature et surtout d'histoire de la poésie moderne par l'abbé Jobit (dont elle présente à chaque fois un compte-rendu détaillé, ainsi sur Mallarmé, Valéry ou Apollinaire), par le docteur Botella Llusia, par M. Mattei en philosophie ("un homme d'une culture supérieure, je regrette bien de ne pasl'avoir connu plus tôt") ainsi qu'aux concerts (par le pianiste Reuchsel, la violoniste Albina de Madinaveita, Reine Gianoli, etc...) ; elle se fait embaucher à l'Institut, fête le 15 mars 1943 son anniversaire ("j'ai trente ans aujourd'hui, cela me paraît impossible. Quand j'avais quinze ans il me semblait qu'on était vieux à cet âge, et maintenant je me trouve encore si peu de chose, si enfant par bien des côtés. Comme j'ai toujours vécu dans les jupons de maman, je n'ai pas l'habitude des responsabilités, et je ne sais pas me décider dans les choses sérieuses". Elle évoque les films qu'elle vient de voir (dont Rebecca avec Laurence Ollivier), un peu l'actualité : le recul des allemands devant Karkhov, "l'ambassadeur d'Allemagne von Molkte est mort en quelques jours à la suite d'une appendicite. Il y avait à peine deux mois qu'il était arrivé ici en remplacement de von Störer qui avait été dégommé. Cette mort subite a fait sensation ici et le pauvre chirurgien qui l'a opéré, le Docteur Cardenal a dû être bien embêté"... Elle relate l'arrestation d'un ami par la sûreté espagnole pour complicité dans le passage en fraude de deux voyageurs à la frontière basque. Enfermé à la Puerta del Sol, il est tout d'abord mis au secret dans une cellule microscopique : "le plus triste, c'est qu'on a commencé par lui flanquer une bonne volée pour essayer de le faire parler". Deux jours plus tard "Charles est toujours en prison. Mr Widhof est allé le rejoindre, car naturellement il a tout pris sur lui en disant que c'est lui qui l'avait envoyé à la frontière". Le 1er avril elle décrit l'imposant défilé militaire ; pour le vendredi Saint, les impressionnantes processions de pénitents‎


‎Très remarquable document qui nous plonge dans la vie quotidienne et intellectuelle d'Yvonne Soubiran, 15 ans en mars 1928 ("j'ai quinze ans, c'est vrai"), une brillante lycéenne du Lycée Français de Madrid. Dans un premier cahier (daté de 1928), elle évoque sa vie quotidienne, et expose le détail de ses cours et des nombreuses conférences auxquelles elle prend plaisir à assister, telle celles de M. Lavedan sur les Hurdes. Elle évoque le cinéma Pardinas où elle se rend le 2 mai pour voir le film "El dos de Mayo". Surtout, elle parle (en date du 8 mai 1928) "d'une conférence très bien de Mr. Chevallier [le philosophe et ami de Bergson Jacques Chevalier ] au sujet de Bergson. Dans sa jeunesse, au sortir de l'école normale Bergson est positiviste. Un jour, professeur à Clermont-Ferrand, il explique à ses élèves la théorie d'Achille et de la Tortue. Pour les mathématiques, il est impossible de démontrer qu'Achille dépasse la tortue s'il part après elle, or dans la réalité il en est autrement. Ce trait donne à réfléchir au savant, il finit par conclure que le mouvement n'est pas une trajectoire mais une durée" [... ] "On pouvait se rendre compte de l'intérêt de la conférence par le silence absolu de la salle, on entendait les mouches voler. L'esprit était emporté vers des régions supérieures, on ne vivait plus qu'en extase, pendus aux mots du conférencier. [ ... ] Marie Louis et sa mère y étaient mais elles n'ont pas été très épatées, moi j'étais transportée, je l'aurai entendu pendant des heures. Maman me disait qu'elle avait ressenti la même impression en écoutant Bergson lui-même qui est venu à Madrid en 1916, pendant la guerre". Dans un second cahier (à partir du mardi 16 février 1943), elle évoque les nombreuses conférences auxquelles elle assiste à l'Institut Français de Madrid, notamment les conférences d'histoire de la littérature et surtout d'histoire de la poésie moderne par l'abbé Jobit (dont elle présente à chaque fois un compte-rendu détaillé, ainsi sur Mallarmé, Valéry ou Apollinaire), par le docteur Botella Llusia, par M. Mattei en philosophie ("un homme d'une culture supérieure, je regrette bien de ne pasl'avoir connu plus tôt") ainsi qu'aux concerts (par le pianiste Reuchsel, la violoniste Albina de Madinaveita, Reine Gianoli, etc...) ; elle se fait embaucher à l'Institut, fête le 15 mars 1943 son anniversaire ("j'ai trente ans aujourd'hui, cela me paraît impossible. Quand j'avais quinze ans il me semblait qu'on était vieux à cet âge, et maintenant je me trouve encore si peu de chose, si enfant par bien des côtés. Comme j'ai toujours vécu dans les jupons de maman, je n'ai pas l'habitude des responsabilités, et je ne sais pas me décider dans les choses sérieuses". Elle évoque les films qu'elle vient de voir (dont Rebecca avec Laurence Ollivier), un peu l'actualité : le recul des allemands devant Karkhov, "l'ambassadeur d'Allemagne von Molkte est mort en quelques jours à la suite d'une appendicite. Il y avait à peine deux mois qu'il était arrivé ici en remplacement de von Störer qui avait été dégommé. Cette mort subite a fait sensation ici et le pauvre chirurgien qui l'a opéré, le Docteur Cardenal a dû être bien embêté"... Elle relate l'arrestation d'un ami par la sûreté espagnole pour complicité dans le passage en fraude de deux voyageurs à la frontière basque. Enfermé à la Puerta del Sol, il est tout d'abord mis au secret dans une cellule microscopique : "le plus triste, c'est qu'on a commencé par lui flanquer une bonne volée pour essayer de le faire parler". Deux jours plus tard "Charles est toujours en prison. Mr Widhof est allé le rejoindre, car naturellement il a tout pris sur lui en disant que c'est lui qui l'avait envoyé à la frontière". Le 1er avril elle décrit l'imposant défilé militaire ; pour le vendredi Saint, les impressionnantes processions de pénitents‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR590.00 (€590.00 )

‎[Imprimerie Emile Flouret] - ‎ ‎DE LA BATUT, Jeanne et Pierre‎

Reference : 44471

(1900)

‎Carnet Manuscrit de "Souvenirs et anecdotes de Tante Lair", Angèle Lair, fille du peintre Alexandre-Gabriel Decamps, vraisemblablement notés par sa nièce Jeanne Dentu Epouse De La Batut puis son petit neveu Pierre de La Batut.[ Anecdotes sur Decamps, Gambetta, Emile Gaboriau, etc. ] : [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]‎

‎1 cahier d'écolier, Imprimerie Emile Flouret, Bergerac, 7 pages manuscrites, s.d. (circa 1900-1930 ?) [ Témoignage détaillé sur la mort de Decamps ]. [ ... ] "Un jour Decamps invité [chez ] Napoléon III ne voulait s’y rendre qu'avec une femme et ses filles et son épouse refusant d'y aller, fit habiller en Amazone son fils qui avait une jolie figure efféminée. Personne ne s'aperçut de la supercherie, et chacun se demandait quel était cette jeune inconnue que Decamps accompagnait ainsi. Mais cela fit un scandale énorme et le lendemain toute la ville en parlait ; et le peintre s'en amusait beaucoup car il se souciait peu de l'opinion des autres. Enfin un ami qu'on avait mis dans la confidence raconta l'histoire et les potins s'apaisèrent, chacun disant : « C'est bien une idée d'artiste »." [...] "Decamps fit son premier tableau à l'huile de vers l'âge de 14 ans et le donna à une cousine [...] La scène était très animée et recelait déjà réel talent. Musard, l'introducteur des cafés-concerts en France, ayant vu ce tableau : « le jeune homme qui l'a fait, s'il continue, fera certainement son chemin ». Cela n'empêcha que le père de deux camps s'opposa longtemps à ce que son fils soit peintre ; il voulait en faire un notaire comme lui." [...] Il était très indépendant. Traité avec ses amis, éléments à s'amuser en compagnie, il avait, cependant un fond de mélancolie incurable." [...] « Les amis de ma femme ne sont pas mes amis », disait mon grand-père Dentu.[...] "M. Emile Gaboriau avait pour maîtresse une blanchisseuse. Il l'épousa après avoir été soigné par elle durant une maladie, mais sa mère ne lui pardonna pas. [...] Gambetta, ayant gagné (à la bourse, je crois) 4 millions et ne voulant pas qu'on le sache car un républicain milliardaire est toujours suspect s'acheta l'île de Porquerolles mais au nom de M. E. De Roussen, son secrétaire. Gambetta étant mort rapidement sans avoir le temps de régulariser la situation, M. de Roussen conserva, sans scrupules, l'île de Porquerolles. Sa femme, directrice d'une maison de correction dans l'île, se fit remarquer par sa brutalité, sa cruauté et fut d'ailleurs condamné de ce chef." [...] "Ma bisaïeule Mme Caumartin, veuve d'un avoué, propriétaire d'un hôtel particulier au coin de la rue Caumartin et du boulevard des Italiens vendus 2 millions au Crédit Lyonnais, versa 1 million pour libérer son gendre, Dentu, de prison où il se trouvait à la suite de polémiques dans le drapeau blanc. Sans doute pour payer ses amendes. Cette somme fut déduite de l'héritage de Mme Dentu afin que les soeurs de cette dernière n'en supportent pas les conséquences." [...] Decamps avait un ours. Il le prêta un ami qui le mena au bal de l'opéra où on le prit pour un déguisé. Puis il le laissa pour danser et l'ours, s'en fut coucher dans une loge où il s'endormit. Après le bal, une ouvreuse vint lui taper sur l'épaule et pensa mourir de frayeur quand elle s'aperçut que c'était un ours véritable." [ Notes sur Mme Gonzalez, femme du romancier, mère d'Eva Gonzalez, élèvre de Berthe Morizot ; notes sur la famille de Ponson du Terrail ]‎


‎Intéressant recueil d'anecdotes diverses, rédigé d'après les témoignages de la tante Angèle Lair par Jeanne Dentu ou par son fils Pierre de La Batut.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR180.00 (€180.00 )

‎[s.n.] - ‎ ‎DUMAS FILS, Alexandre ; [ DIETZ, David ]‎

Reference : 56068

(1871)

‎[ Copie d'une lettre d'Alexandre Dumas Fils adressée à M. Veschoutre de Metz évoquant la condamnation à mort du communard Louis Rossel ] Puys, (Seine Inférieure) 18 août 1871. Monsieur, Rossel sera certainement condamné à mort, il ne peut pas ne pas l'être. Il a déserté, il a passé à l'ennemi, il a combattu des chefs et des camarades ; la loi militaire est formelle, et l'acquittement de Rossel serait du plus mauvais et du plus dangereux effet. Pour le principe, et surtout en des moments comme les nôtres, il faut que Rossel soit condamné à mort, et si j'étais un de ses juges, je n'hésiterais pas une seconde ; mais une fois la condamnation prononcée, je demanderais sa grâce et de cette grâce je ne doute pas un moment. Rossel excite déjà de grandes sympathies et c'est au maréchal Mac-Mahon qu'il doit de n'avoir pas été fusillé sommairement. S'il ne prend pas devant le conseil de guerre une mauvaise attitude, il aura pour lui toutes les indulgences possibles. Je ne suis pas dans le Secret des Dieux, mais je crois pouvoir vous rassurer d'avance sur le sort de votre ami. Du reste, le moment venu, je ferai de mon mieux et je ne serai pas le seul. Je retournerai justement à Versailles pour cette affaire là. Très affectueusement à vous". A. Dumas. On joint le numéro 106 du "Courrier de la Moselle" du samedi 3 septembre 1870 (qui évoque "M. Dietz, le directeur bien connu des ateliers de Montigny" ainsi que l'enterrement de sa mère, de religion réformée, à l'enterrement de laquelle au cimetière du Sablon l'autorité catholique avait voulu porter obstacle), ainsi qu'un prospectus : "Discours prononcé dans la réunion de la Salle Chaynes le 30 août 1893 par le Citoyen Dietz, ancien ingénieur en chef de Chemins de Fer, Président honoraire des Patriotes de la Moselle" à Paris, en soutien au candidat républicain Delattre.‎

‎1 lettre recto verso, avec la mention en haut à gauche, de la main de l'ingénieur des chemins de fer et Président honoraire des "Patriotes de La Moselle" David Dietz : "Lettre adresse à Mr. Veschoutre de Metz. J'ai vu l'original". [ Copie d'une lettre d'Alexandre Dumas Fils adressée à M. Veschoutre de Metz évoquant la condamnation à mort du communard Louis Rossel ] Puys, (Seine Inférieure) 18 août 1871. Monsieur, Rossel sera certainement condamné à mort, il ne peut pas ne pas l'être. Il a déserté, il a passé à l'ennemi, il a combattu des chefs et des camarades ; la loi militaire est formelle, et l'acquittement de Rossel serait du plus mauvais et du plus dangereux effet. Pour le principe, et surtout en des moments comme les nôtres, il faut que Rossel soit condamné à mort, et si j'étais un de ses juges, je n'hésiterais pas une seconde ; mais une fois la condamnation prononcée, je demanderais sa grâce et de cette grâce je ne doute pas un moment. Rossel excite déjà de grandes sympathies et c'est au maréchal Mac-Mahon qu'il doit de n'avoir pas été fusillé sommairement. S'il ne prend pas devant le conseil de guerre une mauvaise attitude, il aura pour lui toutes les indulgences possibles. Je ne suis pas dans le Secret des Dieux, mais je crois pouvoir vous rassurer d'avance sur le sort de votre ami. Du reste, le moment venu, je ferai de mon mieux et je ne serai pas le seul. Je retournerai justement à Versailles pour cette affaire là. Très affectueusement à vous". A. Dumas On joint le numéro 106 du "Courrier de la Moselle" du samedi 3 septembre 1870 (qui évoque "M. Dietz, le directeur bien connu des ateliers de Montigny" ainsi que l'enterrement de sa mère, de religion réformée, à l'enterrement de laquelle au cimetière du Sablon l'autorité catholique avait voulu porter obstacle), ainsi qu'un prospectus : "Discours prononcé dans la réunion de la Salle Chaynes le 30 août 1893 par le Citoyen Dietz, ancien ingénieur en chef de Chemins de Fer, Président honoraire des Patriotes de la Moselle" à Paris, en soutien au candidat républicain Delattre.‎


‎Très intéressant ensemble réunissant la copie d'une lettre d'Alexandre Dumas fils évoquant la condamnation à mort de Rossel (malgré l'optimisme de Dumas fils, Louis Rossel sera fusillé le 28 novembre 1871) et le numéro 106 du "Courrier de la Moselle" du samedi 3 septembre 1870 (qui évoque "M. Dietz, le directeur bien connu des ateliers de Montigny" ainsi que l'enterrement de sa mère, de religion réformée, à l'enterrement de laquelle au cimetière du Sablon l'autorité catholique avait voulu porter obstacle), ainsi qu'un prospectus : "Discours prononcé dans la réunion de la Salle Chaynes le 30 août 1893 par le Citoyen Dietz, ancien ingénieur en chef de Chemins de Fer, Président honoraire des Patriotes de la Moselle" à Paris, en soutien au candidat républicain Delattre.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR450.00 (€450.00 )

‎ELZEAR, Pierre; [ BONNIER ORTOLAN, Elzéar ]‎

Reference : 63944

(1891)

‎[ Lot de 7 lettres autographes signées et d’un portrait photographique signé dont une très intéressant sur le «féminisme littéraire» ] L.A.S. d’une page: «Mon Cher Hauser, ne trouvez-vous pas qu’il est temps que cette plaisanterie finisse? Suis-je trop exigeant en vous priant de veiller à ce que les tableaux confiés à vous ou à votre ami Mr. Bender soient [… ] chez ma mère, qui revient dans huit jours? Devrais-je faire le voyage exprès? Avec surprise, mais sans rancune»; 1 L.A.S. de 2 pages manuscrites (sur 2 ff.) datée de Paris le 20 octobre 99: «Mon cher Hauser, Vous me demandez ce que je pense du féminisme littéraire. On ne peut songer à interdire la prose et la poësie au sexe faible. Dans l’écriture la femme laide trouve parfois un soulagement, le femme âgée une consolation. Ca et là, j’en conviens, de vrais talents surgissent. On déclare alors que ces talents sont «virils». C’est ce qui fut dit pour George Sand. Mais permettez-moi de me situer à un point de vue spécial. Quand je vois une femme, que son cœur, ses sens, une enveloppe aimable ont destiné à la passion, se servir d’un porte-plume autrement que pour écrire à l’absent des phrases délicieusement incohérentes, je me sens fort attristé. Que de biens perdus! L’amour, en effet, prime toute littérature. La vie est courte, et il n’y a pas de gloire au monde qui vaille l’échange d’un baiser sincère. Or on ne peut être à la fois une femme de lettres et une femme de tendresse. Mlle de Pougy elle-même n’a pu réaliser ce double idéal. Juliette – pas plus que Roméo d’ailleurs – n’a songé à écrire un recueil de sonnets et à faire antichambre chez un éditeur. Et la femme journaliste? Je n’évoque son spectre qu’avec terreur. Elle peut devenir une force; je préfèrerais qu’elle restât une adorable faiblesse […] ».; 1 L.A.S. d’une page, datée du 20 février 1906. Il s’excuse d’avoir dû rester s’occuper de sa mère souffrante; «Le directeur du [ … ] ne paraît pas décidé absolument à faire le Peuple Souverain. Et voici pourtant l’époque des élections. Il faudrait peut-être que vous, le principal auteur, donnassiez un coup d’épaule. Qu’en pensez-vous? [… ]»; 1 L.A.S. d’une page, datée du 13 décembre 1908: «Mon cher ami, Fernand Sarnette dépasse toutes les limites de l’impudence, vis-à-vis de moi et vis-à-vis d’autres. Si vous ne l’avez pas fait, veuillez lui écrire 14 rue des Sts Pères pour lui réclamer dans un délai de quatre jours Le Peuple Souverain, sinon nous aviserons la Société des Auteurs. Emile Rochard et moi en faisons autant de notre côté [ … ]»; 1 L.A.S. d’une page, datée du 29 janvier 1909: «Mon cher Hauser, [ … ] Sarnette fait le mort. Il faudrait, comme Rochard et moi, écrire un mot à M. Gangnat, agent général des Auteurs Dramatiques, [ … ] Henner, qui va convoquer le délinquant avant de le traduire devant la Commission»; avec 2 autres L.A.S.‎

‎[ Lot de 7 lettres autographes signées et d’un portrait photographique signé dont une très intéressant sur le «féminisme littéraire» ] L.A.S. d’une page datée au crayon par une autre main de 1882: «Mon Cher Hauser, ne trouvez-vous pas qu’il est temps que cette plaisanterie finisse? Suis-je trop exigeant en vous priant de veiller à ce que les tableaux confiés à vous ou à votre ami Mr. Bender soient [… ] chez ma mère, qui revient dans huit jours? Devrais-je faire le voyage exprès? Avec surprise, mais sans rancune»; 1 L.A.S. de 2 pages manuscrites (sur 2 ff.) datée de Paris le 20 octobre 99: «Mon cher Hauser, Vous me demandez ce que je pense du féminisme littéraire. On ne peut songer à interdire la prose et la poësie au sexe faible. Dans l’écriture la femme laide trouve parfois un soulagement, le femme âgée une consolation. Ca et là, j’en conviens, de vrais talents surgissent. On déclare alors que ces talents sont «virils». C’est ce qui fut dit pour George Sand. Mais permettez-moi de me situer à un point de vue spécial. Quand je vois une femme, que son cœur, ses sens, une enveloppe aimable ont destiné à la passion, se servir d’un porte-plume autrement que pour écrire à l’absent des phrases délicieusement incohérentes, je me sens fort attristé. Que de biens perdus! L’amour, en effet, prime toute littérature. La vie est courte, et il n’y a pas de gloire au monde qui vaille l’échange d’un baiser sincère. Or on ne peut être à la fois une femme de lettres et une femme de tendresse. Mlle de Pougy elle-même n’a pu réaliser ce double idéal. Juliette – pas plus que Roméo d’ailleurs – n’a songé à écrire un recueil de sonnets et à faire antichambre chez un éditeur. Et la femme journaliste? Je n’évoque son spectre qu’avec terreur. Elle peut devenir une force; je préfèrerais qu’elle restât une adorable faiblesse […] ».; 1 L.A.S. d’une page, datée du 20 février 1906. Il s’excuse d’avoir dû rester s’occuper de sa mère souffrante; «Le directeur du [ … ] ne paraît pas décidé absolument à faire le Peuple Souverain. Et voici pourtant l’époque des élections. Il faudrait peut-être que vous, le principal auteur, donnassiez un coup d’épaule. Qu’en pensez-vous? [… ]»; 1 L.A.S. d’une page, datée du 13 décembre 1908: «Mon cher ami, Fernand Sarnette dépasse toutes les limites de l’impudence, vis-à-vis de moi et vis-à-vis d’autres. Si vous ne l’avez pas fait, veuillez lui écrire 14 rue des Sts Pères pour lui réclamer dans un délai de quatre jours Le Peuple Souverain, sinon nous aviserons la Société des Auteurs. Emile Rochard et moi en faisons autant de notre côté [ … ]»; 1 L.A.S. d’une page, datée du 29 janvier 1909: «Mon cher Hauser, [ … ] Sarnette fait le mort. Il faudrait, comme Rochard et moi, écrire un mot à M. Gangnat, agent général des Auteurs Dramatiques, [ … ] Henner, qui va convoquer le délinquant avant de le traduire devant la Commission»; avec 2 autres L.A.S.‎


‎Intéressant lot d’autographes de l’écrivain Pierre Elzéar. Petit-fils du juriste Joseph Ortolan, frère du naturaliste Gaston Bonnier, Pierre Elzéar (1848-1916) verra l’un de ses poèmes publié dans le «Le Tombeau de Théophile Gautier», l’un des grands témoignages du mouvement parnassien. On peut le voir dans le célèbre tableau de Fantin-Latour, le Coin de table, où il est représenté, portant un haut-de-forme, debout à Gauche, aux côtés d'autres poètes comme Paul Verlaine et Arthur Rimbaud. Bon ensemble (prix du lot, non séparable). Les lettres sont adressés à l'écrivain de Toulon et félibre Fernand Hauser (1869-1941)‎

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EUR495.00 (€495.00 )

‎PELADAN Joséphin‎

Reference : 83475

(1905)

‎Lettre autographe signée adressée à Marius Richard lui recommandant une pièce pour enrichir sa programmation à l'amphithéâtre de Nîmes dont il s'occupe : "... On va jouer... un Adonis en un acte d'une jeune fille du monde, mademoiselle Blanche de Villery. Son oncle est mon intime ami & je trouve très décorative & propre au grand cadre nimois cette mort d'Adonis qui va du reste se jouer parmi les huit mille variétés de roses de M. Groveraux."‎

‎S.n., Villenoy s.d. (circa 1905), 12,5x16,5cm, un feuillet recto-verso.‎


‎Lettre autographe signée de Joséphin Peladan adressée à Marius Richard, le père de Carlo Rim (62 lignes à l'encre bleue, 4 pages sur un feuillet recto-verso). Le Sâr recommande à son ami Marius Richard, en charge de la programmation de l'amphithéâtre de Nîmes, l'Adonis créé par la nièce de l'un de ses meilleurs amis : Petites rousseurs en marges de la lettre, traces de pliures inhérentes à la mise sous pli. "Villenoy par Meaux Seine & Marne Mon cher ami, J'ai vu que vous alliez donner une oeuvre à l'amphithéâtre : vous ne doutez point qu'elle m'intéresse & je vous prie d'abord de m'envoyer la brochure puisque je ne pourrai pas vous applaudir. Je compte donc, au moins, vous lire : faites moi envoyer quelque compte rendu qui me donne la physionomie du spectacle & croyez que l'auteur de Semiramis sera avec vous, de coeur reconnaissant, le soir fatidique. Bien votre Peladan. Je rouvre ma lettre : ayant vu que vous faisez appel aux pièces en un acte de jeunes. On va jouer, à la Roseraie d'Haÿe, un Adonis en un acte d'une jeune fille du monde, mademoiselle Blanche de Villery. Son oncle est mon intime ami & je trouve très décorative & propre au grand cadre nimois cette mort d'Adonis qui va du reste se jouer parmi les huit mille variétés de roses de M. Groveraux. Je vais dire de vous envoyer cet acte : je l'ai entendu à la première répitition & j'en ai aimé les hymnes & les accents lyriques. Je ne crois pas qu'on vous offre mieux & je serais personnellement heureux de vous voir partager mon sentiment. En tout cas, je suis sûr que ma recommandation ne sera pas vaine & que vous lirez l'acte avec un peu de la partialité favorable que je souhaite. A vous.P. C'est Roch de la Comédie qui fera Adonis & pour des odéoniques que vous auriez à bon prix à moins que vous n'utilisiez votre troupe." - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎DUBOIS (Théodore).‎

Reference : 2584

(1908)

‎Né à Rosnay (Marne). 1837-1924. Compositeur, organiste et pédagogue. Directeur du Conservatoire de 1896 à 1905. Carte A.S. « Th. Dubois » à « Cher ami » [le compositeur Maurice Emmanuel]. Barbizon, 16 avril 1908. 2 pp. in-12 oblong. Traces de scotch. Carteà son adresse parisienne.Dubois vient d’apprendre le décès d’un ami et voudrait présenter ses condoléances … J’ignore l’adresse de Madame Dutert & ne puis lui écrire ; veuillez donc lui dire toute la part que je prends à la mort de son excellent frère…Théodore Dubois est maître de chapelle à l’Église Sainte-Clotilde puis à l’Église de La Madeleine où il succède à Saint-Saëns au Grand orgue. Maurice Emmanuel (1862-1938), compos‎

‎ 16/04/1908 Dubois vient dapprendre le décès dun ami et voudrait présenter ses condoléances …Jignore ladresse de Madame Dutert & ne puis lui écrire ; veuillez donc lui dire toute la part que je prends à la mort de son excellent frère…Théodore Dubois est maître de chapelle à lÉglise Sainte-Clotilde puis à lÉglise de La Madeleine où il succède à Saint-Saëns au Grand orgue. Maurice Emmanuel (1862-1938), compositeur français, élève de de Th. Dubois au Conservatoire. Maître de chapelle à l'église Sainte-Clotilde, il compose Prométhée enchaîné, tragédie lyrique d'après Eschyle.‎


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EUR50.00 (€50.00 )

‎DUMAS FILS Alexandre‎

Reference : 84509

(1866)

‎Lettre autographe signée adressée à un ami à propos du succès de son dernier ouvrage : "... certainement j'irai te voir à Etretat à la fin du mois... si je ne suis pas mort sous les coups de Barbey d'Aurevilly. Vivent les convertis."‎

‎Saverne 4 juillet 1866, 10,5x13,5cm, une page.‎


‎Lettre autographe datée et signée d'Alexandre Dumas fils adressée à son ami Collin le remerciant pour la critique bienveillante de son dernier ouvrage (28 lignes écrites à l'encre noire). Pliures inhérentes à la mise sous pli. Alexandre Dumas fils se montre ravi de la réussite de son dernier ouvrage, probablement L'affaire Clemenceau, Mémoire de l'accusé paru en 1866 : "... Enfin le voilà et je n'ai pas à me plaindre du succès. On est venu acheter 5000 francs la traduction en espagnol. Ceci est un indice..." Il promet à son ami de bientôt lui rendre visite en Normandie : "... certainement j'irai te voir à Etretat à la fin du mois... si je ne suis pas mort sous les coups de Barbey d'Aurevilly. Vivent les convertis." - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎FABRE, Ferdinand ; [ BOURDIER DE BEAUREGARD, Hermance ; ALBOIZE, Jean ]‎

Reference : 63978

(1863)

‎[ Ensemble de documents consacrés à Ferdinand Fabre, dont 6 lettres autographes signées et 2 cartes de visites avec mention autographe de Ferdinand Fabre ] 1 L.A.S. de 2 pages, datée de 1863 : "Mon Cher Levallois, Après avoir passé trois mois dans un village du Midi fort reculé et où ne parvient pas le moindre bruit des journaux, j'arrive à Paris et je lis le trop bienveillant article que vous avez bien voulu consacrer à "Julien Savignon". Recevez, je vous prie, l'expression un peu tardive de ma reconnaissance. Hélas ! Cher Monsieur Levallois, n'apprenant rien de moi après m'avoir traité d'une manière si flatteuse, ne m'aurez-vous pas accusé d'ingratitude ? Accusez Paris, accusez nos [...] travaux qui, à certaines heures, nous obligent à réclamer la solitude comme un impérieux besoin [ il évoque ensuite ses "Etudes cévenoles" et termine en annonçant son troisième roman : "Mademoiselle de Malavielle" ] ; [ On joint : ] 1 L.A.S.,1 page, non daté : "Cher Monsieur Augier, Voulez-vous et pouvez-vous répéter le 1er acte de l'aventurier demain matin mercredi à midi pour le quart. Un mot de réponse je vous prie [ ... ] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. datée du 12 mai 1870 : "Monsieur, J'autorise avec plaisir M. Ernest Chesneau à publier mon nom dans la liste des rédacteurs de la "Correspondance Générale" [... ] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. , 2 pages datées du 22 janvier 1877 [ adressée à Eugène Montrosier ] : "Cher Monsieur, Je vous remercie d'avoir bien voulu vous occuper, dans le Musée des Deux Mondes, des travaux de mon beau-frère. Mon ami Laurens demeure 73, rue Notre-Dame des Champs [... ] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. , 2 pages non datées : "Mille regrets, mon cher Monsieur, ; ma femme, en sa qualité d'Inspectrice des pensionnats, est appelée samedi à la commission d'examen et ne sera pas de retour aux Batignolles avant six heures [... ] ; [ On joint : ] 2 CDV enrichies de qq. mots de remerciements ; [ On joint : ] 2 L.A.S. et 3 cartes autographes signées de Mme Veuve Ferdinand Fabre , adressées à Jean Alboize, rédacteur à l'Artiste, pour l'hommage à son défunt mari ; [ On joint : ] Manuscrit autographe signé J. A. [ Jean Alboize ] de l'article consacré à Ferdinand Fabre dans le Journal l'Artiste à l'occasion de sa mort en février 1898, 2 pages ; [ On joint : ] Un recueil de coupures de presse consacrées à Ferdinand Fabre‎

‎[ Ensemble de documents consacrés à Ferdinand Fabre, dont 6 lettres autographes signées et 2 cartes de visites avec mention autographe de Ferdinand Fabre ] 1 L.A.S. de 2 pages, datée de 1863 : "Mon Cher Levallois, Après avoir passé trois mois dans un village du Midi fort reculé et où ne parvient pas le moindre bruit des journaux, j'arrive à Paris et je lis le trop bienveillant article que vous avez bien voulu consacrer à "Julien Savignon". Recevez, je vous prie, l'expression un peu tardive de ma reconnaissance. Hélas ! Cher Monsieur Levallois, n'apprenant rien de moi après m'avoir traité d'une manière si flatteuse, ne m'aurez-vous pas accusé d'ingratitude ? Accusez Paris, accusez nos [...] travaux qui, à certaines heures, nous obligent à réclamer la solitude comme un impérieux besoin [ il évoque ensuite ses "Etudes cévenoles" et termine en annonçant son troisième roman : "Mademoiselle de Malavielle" ] ; [ On joint : ] 1 L.A.S.,1 page, non daté : "Cher Monsieur Augier, Voulez-vous et pouvez-vous répéter le 1er acte de [ l'aventurier ? ] demain matin mercredi à midi pour le quart. Un mot de réponse je vous prie [ ... ] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. datée du 12 mai 1870 : "Monsieur, J'autorise avec plaisir M. Ernest Chesneau à publier mon nom dans la liste des rédacteurs de la "Correspondance Générale" [... ] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. , 2 pages datées du 22 janvier 1877 [ adressée à Eugène Montrosier ] : "Cher Monsieur, Je vous remercie d'avoir bien voulu vous occuper, dans le Musée des Deux Mondes, des travaux de mon beau-frère. Mon ami Laurens demeure 73, rue Notre-Dame des Champs [... ] ; [ On joint : ] 1 L.A.S. , 2 pages non datées : "Mille regrets, mon cher Monsieur, ; ma femme, en sa qualité d'Inspectrice des pensionnats, est appelée samedi à la commission d'examen et ne sera pas de retour aux Batignolles avant six heures [... ] ; [ On joint : ] 2 CDV enrichies de qq. mots de remerciements ; [ On joint : ] 2 L.A.S. et 3 cartes autographes signées de Mme Veuve Ferdinand Fabre , adressées à Jean Alboize, rédacteur à l'Artiste, pour l'hommage à son défunt mari ; [ On joint : ] Manuscrit autographe signé J. A. [ Jean Alboize ] de l'article consacré à Ferdinand Fabre dans le Journal l'Artiste à l'occasion de sa mort en février 1898, 2 pages ; [ On joint : ] Un recueil de coupures de presse consacrées à Ferdinand Fabre‎


‎Très intéressant ensemble de manuscrits et autographes consacrés à l'écrivain Ferdinand Fabre (1827-1898), dans lequel l'auteur cite ses deux romans "Jean Savignac" et "Mademoiselle de Malavielle", et fournit notamment l'adresse de son grand ami le peintre Jean-Paul Laurens, grand illustrateur de son oeuvre et auquel il dédiera son roman "l'Abbé Tigrane". ‎

Phone number : 09 82 20 86 11

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‎COPPEE François‎

Reference : 84138

(1898)

‎Lettre autographe datée et signée à son ami Léon Daudet à propos de la mort de son père Alphonse survenue quelques jours plus tôt : "... et je pense tendrement à la mémoire de mon cher Alphonse Daudet..."‎

‎S.n., s.l. (Paris) 3 Janvier 1898, 11,5x18cm, une feuille.‎


‎Lettre autographe datée et signée de François Coppée (12 lignes à l'encre noire) à son ami Léon Daudet. Traces de pliures inhérentes à la mise sous pli. François Coppée se montre touché par la dernière lettre que Léon Daudet lui a adressée et l'invite chez lui : "... Venez quand vous voudrez... pour que puissions causer tranquillement." Il partage le deuil et la tristesse de la famille Daudet après la mort (le 17 décembre 1897) d'Alphonse Daudet, son ami :"... et je pense tendrement à la mémoire de mon cher Alphonse Daudet..." - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎RIM Carlo‎

Reference : 82507

(1946)

‎Dessin original au feutre noir rehaussé à l'aquarelle représentant son grand ami Raimu sur son lit de mort‎

‎s.l. 20 Septembre 1946, 23x16cm, une feuille.‎


‎Dessin original signé au feutre noir rehaussé à l'aquarelle daté et signé de Carlo Rim représentant son grand ami Raimu sur son lit de mort de l'hôpital américain de Neuilly-sur-Seine. Le dessin est légendé et signé à l'encre bleue "20 sept. 1946 Carlo Rim" et "hôpital américain" au feutre noir, une mention "2me volume" est inscrite au feutre rouge en angle inférieur gauche du dessin. Carlo Rim fut un écrivain provençal,auteur de"Ma belle Marseille", un caricaturiste, un cinéaste et fut notamment l'ami de Fernandel, de Raimu et Marcel Pagnol mais aussi de Max Jacob et André Salmon qu'il rencontra à Sanary. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎RIM Carlo‎

Reference : 80903

(1946)

‎Dessin original au stylo bille bleu rehaussé au crayon noir représentant son grand ami Raimu sur son lit de mort‎

‎s.l. 1946, 27x21cm, une feuille.‎


‎Dessin original signé au stylo bille bleu rehaussé au crayon noir signé de Carlo Rim représentant son grand ami Raimu sur son lit de mort de l'hôpital américain de Neuilly-sur-Seine. Le dessin est légendé er signé à l'encre bleue "20 sept. 1946 Carlo Rim" et "hôpital américain" au feutre noir (les trois dernières lettres ayant bavé). Carlo Rim fut un écrivain provençal "Ma belle Marseille", un caricaturiste, un cinéaste et fut notamment l'ami de Fernandel, de Raimu et Marcel Pagnol mais aussi de Max Jacob et André Salmon qu'il rencontra à Sanary. - Photos sur www.Edition-originale.com - ‎

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‎Collectif ; LEGENDRE, Marie-Thérèse‎

Reference : 64564

(1914)

‎Album de photos et souvenirs de Marie-Thérèse Legendre, infirmière, née le 27 janvier 1884 à Talence (Gironde) [ Contient notamment : ] 2 cartes d'identité de personnel sanitaire (Association des Dames Françaises hôpital au 145 rue Saint Genès à Bordeaux et Société Française de Secours aux blessés militaires, Infirmière diplôméeMajor de lasalle II au grand séminaire 14 rue St Genès) - Portrait de groupe Château Bourran 1909 - Bordeaux St Genès 1913 - Souvenir de Noël d'Artenset de la Farge rappelé à Dieu au Costa-Rica en 1910 - Souvenir de Louis Rabot mort au Champs d'Honneur en 1915 - Mortagne sur Gironde 1901 - Mr Gilliard 1916 - St Genès 1913 - 15e Dragon 3e Escadron 4e ... avant le départ pour la Grande Guerre 1914 - Un vieux ménage Langon 1910 - Cherbourg Août 1916 - En écoutant la musique Chtale Guyon 24 juillet 1914 - Baptême de Paulette 12 Août 1904 - La Promenade Mortagne-sur-Gironde 1902 - Souvenir de Pauline de Fleurian née Legendre décédée à Soubise le 21 août 1908 - Souvenir de Victor Legendre, professeur du Lycée, Agrégé de l'Université, Officier d'Académie, décédé le 18 juin 1891 - La bonne Georgina, type de servante bordelaise - M. Thérèse et son ami Ponpon - Pessac 1900 - Pessac 1905 (à vélo) - Louis Lussaud - Photo de classe : Fénelon 1883 - Villa Cantharane à Arcachon - Château du Fougerais (Vendée) - Château de la Loge (Vendée) - Une amie de pension : Marie-Antoinette Pagès et son petit garçon Jean - Navire sur le bassin d'Arcachon - Pessac 1899 - Ambulance du Séminaire 1915 - En bateau en routepour Mécher près Royan - "Le journaliste" (lecteur du "Clamecycois") - Genevièvre Chabrat - Marie de la Guitière - Souvenir de Mère Stéphanie Vareilland - Partie de croquet 1898 - le bon Tonton Paul - René Julliot et sa petite famille (La Rochelle) - Repos dans les bois de Pessac (1915) - L'heure du massage - Le pansement - Henri de Fleurian - Soubise 1916 Réunion de famille (Charente Inférieure) - Souvenir de Louis Lussaud tombé héroïquement pour la France le 21 mai 1918 - Pale (Serbie) au buffet de la gare - Scutari d'Asie Vue prise du mont Boulgourlou dominant Constantinople - Aux mines de Kassandra (Grèce) En mineurs, au moment de descendre dans un puits - à Salonique - Split (Côte Dalmate) dans les ruines du Palais de Dioclétien - Au moment de l'embarquement pour l'Athos - etc.‎

‎1 carnet format 19 x 12 cm ; environ 55 ff. avec nombreuses images souvent contrecollées et parfois insérées : [ Contient notamment : ] 2 cartes d'identité de personnel sanitaire (Association des Dames Françaises hôpital au 145 rue Saint Genès à Bordeaux et Société Française de Secours aux blessés militaires, Infirmière diplôméeMajor de lasalle II au grand séminaire 14 rue St Genès) - Portrait de groupe Château Bourran 1909 - Bordeaux St Genès 1913 - Souvenir de Noël d'Artenset de la Farge rappelé à Dieu au Costa-Rica en 1910 - Souvenir de Louis Rabot mort au Champs d'Honneur en 1915 - Mortagne sur Gironde 1901 - Mr Gilliard 1916 - St Genès 1913 - 15e Dragon 3e Escadron 4e ... avant le départ pour la Grande Guerre 1914 - Un vieux ménage Langon 1910 - Cherbourg Août 1916 - En écoutant la musique Chtale Guyon 24 juillet 1914 - Baptême de Paulette 12 Août 1904 - La Promenade Mortagne-sur-Gironde 1902 - Souvenir de Pauline de Fleurian née Legendre décédée à Soubise le 21 août 1908 - Souvenir de Victor Legendre, professeur du Lycée, Agrégé de l'Université, Officier d'Académie, décédé le 18 juin 1891 - La bonne Georgina, type de servante bordelaise - M. Thérèse et son ami Ponpon - Pessac 1900 - Pessac 1905 (à vélo) - Louis Lussaud - Photo de classe : Fénelon 1883 - Villa Cantharane à Arcachon - Château du Fougerais (Vendée) - Château de la Loge (Vendée) - Une amie de pension : Marie-Antoinette Pagès et son petit garçon Jean - Navire sur le bassin d'Arcachon - Pessac 1899 - Ambulance du Séminaire 1915 - En bateau en routepour Mécher près Royan - "Le journaliste" (lecteur du "Clamecycois") - Genevièvre Chabrat - Marie de la Guitière - Souvenir de Mère Stéphanie Vareilland - Partie de croquet 1898 - le bon Tonton Paul - René Julliot et sa petite famille (La Rochelle) - Repos dans les bois de Pessac (1915) - L'heure du massage - Le pansement - Henri de Fleurian - Soubise 1916 Réunion de famille (Charente Inférieure) - Souvenir de Louis Lussaud tombé héroïquement pour la France le 21 mai 1918 - Pale (Serbie) au buffet de la gare - Scutari d'Asie Vue prise du mont Boulgourlou dominant Constantinople - Aux mines de Kassandra (Grèce) En mineurs, au moment de descendre dans un puits - à Salonique - Split (Côte Dalmate) dans les ruines du Palais de Dioclétien - Au moment de l'embarquement pour l'Athos - etc.‎


‎Marie-Thérèse Legendre, née à Talence le 27 janvier 1884, est la fille de Victor Legendre et Sophie Chrétien. Recueil de souvenirs intéressant Bordeaux et la Gironde (nombreux accrocs, découpages anciens, carnet en partie débroché). Prix de l'ensemble, non séparable. ‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR450.00 (€450.00 )

‎Maupassanr Guy‎

Reference : 100103413

(1982)

‎8 livres de maupassant / bel- ami -fort comme la mort -notre coeur -une vie -le horla -la maison tellier -le rosier de mme buisson -mont oriol‎

‎Philippe de maubuisson 1982 in8. 1982. reliure plein cuir dos et plats ornés. bel ami : illustrations de ferdinand Bac / fort comme la mort : : illustrations de André Brouillet / notre coeur : illustrations de rené lelong / une vie : illustrations de Leroux / le horla : illustrations de Julian-damazy / la maison tellier : illustrations de René lelong / le rosier de madame husson : illustrations de rottenbourg / mont oriol : illustrations de ferdinand bac Très bon état toute tranches dorées‎


Livres-sur-sorgue - Isle-sur-la-sorgue

Phone number : 04 90 26 49 32

EUR150.00 (€150.00 )

‎Collectif‎

Reference : R110600228

(1968)

‎Ecclesia, lectures chrétiennes n° 228 - Mon ami Pierre Veuillot, cardinal archevêque de Paris par Emile Berrar, Lyon eut son prophète : Victor Carlhian par Jean Guitton, Réflexions sur la mort par André Mairaux, Simone Weil et l'église par Gustave Thibon‎

‎Bureaux de la revue. Mars 1968. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 136 pages. Quelques illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 200-RELIGION‎


‎Sommaire : Mon ami Pierre Veuillot, cardinal archevêque de Paris par Emile Berrar, Lyon eut son prophète : Victor Carlhian par Jean Guitton, Réflexions sur la mort par André Mairaux, Simone Weil et l'église par Gustave Thibon et J.M. Perrin, En Terre Sainte, aujourd'hui par Paul Dreyfus Classification Dewey : 200-RELIGION‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR19.80 (€19.80 )

‎Collectif‎

Reference : R110390371

(1968)

‎Esprit n° 371 - Sur la mort d'un jeune ami par Albert Beguin, La chine a-t-elle une politique extérieure ? par L. Vandermeersch, Lapicque par R. Marteau et P. Boyer, Populorum progressio par Candido Mendès, Le socialisme tanzanien par René Dumont, Liberté‎

‎Bureau de la revue. Mai 1968. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 767 à 959.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎


‎Sommaire : Sur la mort d'un jeune ami par Albert Beguin, La chine a-t-elle une politique extérieure ? par L. Vandermeersch, Lapicque par R. Marteau et P. Boyer, Populorum progressio par Candido Mendès, Le socialisme tanzanien par René Dumont, Liberté pour la radio télévision par Roger Errera, Réponse a une question par Michel Foucault Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎

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‎Collectif‎

Reference : R320163283

(1962)

‎La vie des bêtes et l'ami des bêtes n°49 août 1962 - Extravagantes girafes - les bisons de la grande prairie - le lièvre et ses msytères - le miracle du chamois - la mort subite des mammouths - le role des oiseaux dans la forêts etc.‎

‎La vie des bêtes et l'ami des bêtes. 1962. In-Folio. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 50 pages agrafées - nombreuses photos en noir et blanc dans le texte - quelques annotations au stylo à l'intérieur de la revue sans conséquence sur la lecture.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : Extravagantes girafes - les bisons de la grande prairie - le lièvre et ses msytères - le miracle du chamois - la mort subite des mammouths - le role des oiseaux dans la forêts - le chien de montagne des Pyrénées - brookie la blairette approvoisée - histiore de petros de mykonos - le hamster gentil compagnon d'appartement - le moineau - chiens et caniches truffiers - les tigres du biberon à la férocité etc. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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Reference : R320163287

(1962)

‎La vie des bêtes et l'ami des bêtes n°38 septembre 1961 - Minuscule mais sanguinaire ogre toujours affame de chair fraiche le fourmi-lion - l'eland de Derby - l'éléphant - jusqu'a ce que mort s'ensuive vaillance contre venin le lézard vert etc.‎

‎La vie des bêtes et l'ami des bêtes. 1962. In-Folio. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 50 pages agrafées - nombreuses photos en noir et blanc dans et hors texte .. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : Minuscule mais sanguinaire ogre toujours affame de chair fraiche le fourmi-lion - l'eland de Derby - l'éléphant - jusqu'a ce que mort s'ensuive vaillance contre venin le lézard vert contre la vipere aspic - saute mouton au pays de galles - les cygnes d'elseneur - le boxer tel qui'il doit être - merous cerniers et loches etc. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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Reference : R110344142

(1933)

‎VOILA N° 142 - Place aux vieux par Marius Larique, One ne patine pas avec l'amour par Claude Lanoue, On aura tout vu, les gaités du cinéma par Paul Bringuier, Au pays de l'ami Fritz par Pierre Hamp, Auréoles en série par Pierre Scize, La vie et la mort‎

‎BUREAU DU JOURNAL. 9 décembre 1933. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages. Nombreuses photographies monochromes dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : Place aux vieux par Marius Larique, One ne patine pas avec l'amour par Claude Lanoue, On aura tout vu, les gaités du cinéma par Paul Bringuier, Au pays de l'ami Fritz par Pierre Hamp, Auréoles en série par Pierre Scize, La vie et la mort par Claude Blanchard, L'espion du Kaiser par Gustave Steinhauer Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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Reference : RO10087387

(1992)

‎PARIS MATCH N° 2255 - Emmanuelle Seigner : j'aime être la femme et le modèle de Roman Polanski, Michel Berger, une génération en deuil, il était l'ami de Coluche et de Balavoine, il venait de perdre son frère, et son père, depuis la mort le hantait‎

‎PARIS MATCH. 13 aout 1992. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 97 pages augmentées de nombreuses photos et illustrations en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte - 1er plat illustré d'une photo en couleurs. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : Emmanuelle Seigner : j'aime être la femme et le modèle de Roman Polanski, Michel Berger, une génération en deuil, il était l'ami de Coluche et de Balavoine, il venait de perdre son frère, et son père, depuis la mort le hantait, Franck David : papa, cet or, tout cet or, il est pour toi par Pierre Hurel Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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Reference : RO10085887

(1963)

‎PARIS MATCH N° 755 - Churchill et les grandes heures de notre destin, mon allié le plus difficile : De Gaulle, Mort d'un ami par Guillaume Hanoteau, Dans le sud c'est pire que la violence, Onze millions de maltraités : nos enfants, Il dit adieu‎

‎PARIS MATCH. 28 septembre 1963. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 149 pages augmentées de nombreuses photos et illustrations en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte - 1er plat illustré d'une photo en couleurs. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : Churchill et les grandes heures de notre destin, mon allié le plus difficile : De Gaulle, Mort d'un ami par Guillaume Hanoteau, Dans le sud c'est pire que la violence, Onze millions de maltraités : nos enfants, Il dit adieu a son bateau Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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Reference : R110074280

(1966)

‎LA REVUE LITTERATURE, HISTOIRE, ARTS ET SCIENCES DES DEUX MONDES N°18 - HORACE, MON AMI. G. D’ASPREMONT LYNDEN. L’ART MODERNE ET SON PUBLIC . PIERRE DE BOISDEFFRE. LA MORT DU DUC DE BERRY..MADELEINE PICARD. ANDRÉ BELLESSORT.. PROSPER JARDIN.‎

‎AU BUREAU DE LA REVUE DES DEUX MONDES. 15 SEPTEMBRE 1966. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 161 à 320.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : HORACE, MON AMI. G. D’ASPREMONT LYNDEN. L’ART MODERNE ET SON PUBLIC . PIERRE DE BOISDEFFRE. LA MORT DU DUC DE BERRY..MADELEINE PICARD. ANDRÉ BELLESSORT.. PROSPER JARDIN. GIBRALTAR.. PAUL MOUSSET.DE G. DEBURAU A C. CHAPLIN . CHAFFIOL-DEBILLEMONT. UN FAUX BONAPARTE. ANDRÉ GAVOTY.L’HEPTAMÉRON . MAURICE RAT. S.O.E. IN FRANCEMARC CASATI.LA RÉVOLUTION SILENCIEUSE.CLAUDE FONTAINEBIEN MAL ACQUIS. — Roman. FinFRANÇOIS PONTHIER. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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