94 cartes et LAS, auxquelles nous joignons quelques photos et quelques lettres postérieures. Belle correspondance personnelle adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917, adressée à Jean Bart, matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917
Passionnant ensemble, à analyser en profondeur. Prix de l'ensemble, non séparable.
P., La Renaissance du Livre, 1929, in-12, 229 pp, un portrait de Jean Bart en frontispice et 2 gravures hors texte une sur double page (le port de Dunkerque à la fin du XVIIe siècle), biblio, broché, qqs marques au crayon en marges, bon état (Coll. La Grande légende de la mer)
"Le souvenir de peu de grands hommes est chargé d'autant de superfétations que celui de Jean Bart; héros populaire, il s'est vu attribuer les exploits les plus inattendus, même quelques avatars surprenants à la Cour de Versailles. M. Henri Malo, l'historien des corsaires, suit son héros d'entreprise en entreprise, d'aventure en aventure et fait justice de mainte légende : la vie de Jean Bart, dépouillée d'un fatras anecdotique inconsistant, se révèle comme une page étonnante d'épopée. Il faut avoir lu ce livre pour croire à une pareille persévérance dans la recherche du danger, à une telle accoutumance à l'héroïsme. Les qualités de sang-froid, de décision, d'esprit d'organisation, nécessaires à un tel chef, forment un portrait très humain, très attachant et, toujours, extraordinairement étonnant. Au-dessus et autour de Jean Bart, M. Malo fait vivre tout le monde politique et militaire de la fin du XVIIe siècle : Louis XIV, attentif à tout, soucieux de son autorité, qu'il sait assortir de certains tempéraments, préoccupé du bien public qu'il met au-dessus de maintes formalités ; Vauban, le grand honnête homme ; Pontchartrain, et quelques autres. Des traits originaux montrent ce que pouvait être en ce temps-là l'administration dans ses rapports avec les marins navigants. A travers tout le récit s'agite la vie incroyable des gens de mer et des corsaires de tous pays. Tableau d'histoire, la plus précise, la plus minutieusement documentée, et en même temps roman d'aventures, les plus passionnantes qui se puissent imaginer. La présentation du livre, illustré de gravures remarquablement nettes, fait le plus grand honneur à la collection de La grande légende de la mer." (E. Coornaert, Revue d'histoire moderne, 1929)
Editions Marcel Daubin. 12 décembre 1947. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 4 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 386-Marine
Sommaire : A bord d'une sentinelle de la Sécurité Aérienne en Atlantique Nord par Yves Chenaie, Dernier hommage de la France au général Leclerc, L'évasion de Jean Bart, Dernière visite au Courbet, La caisse de poudre par Pierre Tardino, Généralités sur les armes par Y.C. Classification Dewey : 386-Marine
Reliure plein cuir de l'éditeur, tête dorée, signet, 21X14 cm, 1969, 345 pages, illustrations en noir, tome XVI de l'histoire générale des grands aventuriers de la mer, librairie commerciale et artistique. Bon exemplaire.
Le magasin est fermé jusqu'au 13 mai inclus, nous reprendrons les expéditions à cette date, merci.
Paris, Flammarion, (1957). Un vol. au format pt in-8 (213 x 153 mm) de 232 pp., broché.
Edition originale agrémentée d'illustrations hors-texte. Quelques rousseurs sur les plats et dans le texte. Papier légèrement oxydé. Du reste, bonne condition.
1829 Alais. J. Martin. 1829. 1 volume petit in-12, demi-basane verte, dos lisse orné. 106 pp.
Suivi d’un parallèle de Jean-Bart et de René Du Guay-Trouin et de pièces justificatives sur la famille de Jean-Bart.Trace de rongeur marginale en début d’ouvrage
Librairie commerciale et artistique collection histoire générale des aventuriers de mer. in 8. Sans date. reliure d'éditeur.
Très bon état
Paris A La Librairie Commerciale et Artistique 1970 in-16° Magnifique version en cuir deux couleurs , 1er plat et dos décoré d'écusson et de motifs floraux , le tout protégé d'un rhodoïd éditeur . Cartes en pages de gardes . Nombreuses Gravures , cul-de-lampes , lettrines et bandeaux . Gravure en couleurs dépliante . Texte original établi et rédigé par Pierre Accoce d'après les documents authentiques inédits . Collection " Histoire Générale des Aventuriers de la Mer " . Marine et voile . - 346 p., 750 gr.
Couverture rigide Comme neuf 1ère Édition
Somogy, Editions d'Art, Paris, 2002. In-4, broché sous couverture rempliée et illustrée en couleurs, 159 pp. Préface, par Michel Delebarre - Dunkerque, une place forte maritime stratégique, par Marie-Laure Griffaton - La guerre de course à Dunkerque et en Manche du XVIe siècle au milieu du XIXe siècle, par Patrick Villiers - Jean Bart : Un ...
Nombreuses illustrations en noir et en couleurs. --- Plus d'informations sur le site archivesdunord.com
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Coll. "L'air et la mer", Paris, éd. Baudinière, S.d. (pendant la Seconde Guerre mondiale), in-12, cartonnage toilé bleu auteur et titre dorés sur dos lisse, couverture d'origine conservée, reliure des années 60, 96 pp., quelques ill. en noir pleine page, L'histoire de corsaire français de la période de la Révolution française. Très bon état de la reliure, de la couverture et du papier
1947 Paris, Editions de Paris (Collection "Les Grands Marins"), 1947, petit in 8° broché, 243 pages ; couverture illustrée ; illustrations in et hors-texte.
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Nouvelle édition corrigée. Amsterdam. Paris. Belin. 1783. In-16 (85 x 136mm) pleine basane racinée, dos lisse entièrement orné, tranches et gardes marbrées, 144 pages. Reliure épidermée par endroits, sans le fx-titre, petite note manuscrite indiquant la provenance de l'ouvrage, ex-libris manuscrits dont un raturé, sinon bon exemplaire de cet ouvrage peu courant.
GEOGRAPHIE.VOYAGES.|MARINE.,MARINE.,HISTOIRE.,XVII°.,RÉGIONALISME.,FRANCE-NORD.,RÉGIONALISME.,NORD-PAS DE CALAIS.,NORD-Pas De CALAIS.,NORD.,LIVRES ANCIENS.,LIVRES DU XVIII°.
1913 Paris, Desclée de Brouwer, (1913), grand in 8° broché, 196 pages ; couverture rempliée illustrée.
Bel exemplaire. ...................... Photos sur demande ..........................
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P., Hachette, 1875, in 12, 247pp., demi basane ; rousseurs, cachets ; reliure très frottée.
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A Paris, Chez Belin, 1784. Petit in-12 de [8]-XXXVI-230-[2] pages, plein veau brun, dos lisse orné de filets et fleurons dorés, pièce de titre rouge et verte, roulette dorée sur les coupes, tranches rouges.
Illustré d'un joli portrait en frontispice gravé par Pelicier, figurant Jean-Bart l'épée en main, trois pistolets à la ceinture. Troisième édition de cette biographie de l'illustre corsaire français, précédée d'une courte dissertation sur la marine française, et qui se termine par un glossaire des termes de marine. Bel exemplaire.
Eau-forte sur chine appliquée sur papier blanc - XIXéme siècle - format 22,5 x 16 cm pour le papier de chine - rousseurs sur les marges de papier blanc -
Dessiné par Beranger - Gravé par Naigeot - Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -
Loez, André, conservateur du musée de Dunkerque et Moreel, Léon, président de la société des Amis du musée.
Reference : 533
Editions F. Tabeling, Dunkerque, 1956. In-8, brochure avec agrafes, 36 pp. Préface de l'amiral Lemonnier, secrétaire perpétuel de l'Académie de marine - Histoire d'une exposition par Léon Moreel - Catalogue de l'exposition par André Loez : peintures - miniatures - planches en cuivre - souvenirs de Jean Bart et de sa ...
Avec quatre illustrations en noir et blanc in texte. --- Plus d'informations sur le site archivesdunord.com
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Librairie Commerciale et Artistique, 1970, in-8°, 343 pp, texte original établi et rédigé par Pierre Accoce, gravures anciennes hors texte, ornements, lettrines, reliure simili-cuir fauve très ornée, premier plat orné d'un décor rouge et or (maquette de Michel Redon), rhodoïd, bon état
Paris Arthus Bertrand [Imprimerie de P. Didot l'aîné] 1807 in-8 demi-basane cerise, dos lisse orné de filets, guirlandes et éventails dorés, coins en toile, tranches marbrées [rel. du milieu du XIXe], réparation angulaire de papier aux ff. 125-26 et 127-28
2 ff.n.ch., pp. v-xix, 132 pp., 2 planches hors texte sous serpentes, dont un portrait-frontispice gravé par S. Desmaretz et Couché d'après Scheibler, une vignette en-tête par De Launay.Quérard, VII, 240. Polak, 7650. Unique édition de cette petite monographie très rare, publiée autant à la gloire de Dunkerque qu'à celle de Bart ; la seconde partie possède un titre propre : Coup-d'oeil sur Dunkerque, sa population progressive depuis 1685 jusqu'en 1789, et le grand nombre de ses célèbres marins qui ont précédé et suivi Jean-Bart.Avocat dunkerquois, Louis-Eugène Poirier (1753-1818) s'était signalé après la chute de Robespierre par une véhémente dénonciation des agissements de Joseph Lebon à Arras
ALFRED MAME ET FILS. 1892. In-8. Broché. Etat d'usage, Tâchée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 192 pages - Quelques illustrations en noir et blanc dans et hors texte, dont le frontispice. Dos legerement abimé.. . . . Classification Dewey : 925-Savants, explorateurs
NOTA : Jean Bart, en flamand Jan Bart ou Jan Baert, né le 21 octobre 1650 à Dunkerque et mort le 27 avril 1702 dans cette même ville, est un corsaire célèbre pour ses exploits au service de la France durant les guerres de Louis XIV. Classification Dewey : 925-Savants, explorateurs
1957 broché in-octavo, couverture recto ornée d'un portait de Jean Bart, non coupé, illustrations h-txt. et figures in-txt., 233 pages, 1957 Paris Flammarion Editeur,
collection " les grandes biographies " - bon état -
Editions Marcel Daubin. 4 février 1949. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 8 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 386-Marine
Sommaire : Sur la base des Glénans en suivant les essais du Jean Bart par Jean Raynaud, La Jeanne a New Orléans, Six navires de guerre portèrent deja le nom du grand corsaire dunkerques par M.L., L'infirmier par Machado de Assis, L'école de canonnage de Toulon par J.J.A. Classification Dewey : 386-Marine
Editions Marcel Daubin. 30 janvier 1948. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 4 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 386-Marine
Sommaire : En Indochine avec nos flottilles amphibies, M. Joannès Dupraz a Brest, A l'école navale, Inspection ministérielle du Jean Bart et du Richelieu, Au temps des boucaniers (suite et fin), Le discours de M. Joannes Dupraz, L'homme de la mer par Jean Merrien Classification Dewey : 386-Marine
PARIS. FLAMMARION. LES GRANDES BIOGRAPHIES. SANS DATE (1957). IN-8 BROCHE (21 X 15,5 CENTIMETRES) DE 1 FEUILLET + 238 PAGES, COUVERTURE ILLUSTREE DU PORTRAIT DE JEAN BART. ILLUSTRE DE 16 PLANCHES HORS-TEXTE. EDITION ORIGINALE SUR PAPIER D’EDITION (BRECOURT. 169). BON EXEMPLAIRE.
AU BUREAU DE LA REVUE DES DEUX MONDES. 15 AVRIL 1943. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 337 à 448.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues
Sommaire : DEUX CORSAIRES ET UNE VILLE. JEAN BART. — I. ROGER VERCELSAINT-DIDIER. — Première partie. EDOUARD LAVERGNE. LA RENAISSANCE ESPAGNOLE ET SAINT JEAN DE LA CROIX. Henry bordeaux.de l’Académie françaiseLE GENERAL GOURGAUD A SAINTE-HELENE. OCTAVE AUBRY.LES SOURCES DE SALAMMBO. RENE DUMESNIL. LE PONT TRAGIQUE DE'GIEN . RENEARMANDESSAIS ET NOTICES, — Y A-T-IL DE L'OR EN FRANCE ?..GABRIEL-ROBINET Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues