56 books for « ici le saint »Edit

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‎COLLECTIF‎

Reference : RO10085794

(1961)

‎PARIS MATCH N° 662 - Il enseigne l'évangile avec sa guitare, Dieu les avait choisis, est-ce visible en photo, Un jour comme les autres dans Oran la chaude, Ce n'est pas du cinéma : voici superman en famille, Tournoux : que va-t-il se passer d'ici la saint‎

‎PARIS MATCH. 16 décembre 1961. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 141 pages augmentées de nombreuses photos et illustrations en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte - 1er plat illustré d'une photo en couleurs. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : Il enseigne l'évangile avec sa guitare, Dieu les avait choisis, est-ce visible en photo, Un jour comme les autres dans Oran la chaude, Ce n'est pas du cinéma : voici superman en famille, Tournoux : que va-t-il se passer d'ici la saint Sylvestre, Bethléem sans tricher Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR29.80 (€29.80 )

‎[LES AVENTURES DU SAINT] - CHARTERIS (Leslie) - ‎

Reference : 200806591

‎Ici le saint ! ‎

‎Paris, Le livre de poche, 1971; in-12, 254 pp., broché, couverture illustr.‎


‎.‎

Phone number : 03 89 24 16 78

EUR7.00 (€7.00 )

Reference : 300022051

Démons et Merveilles - Joinville

Phone number : 07 54 32 44 40

EUR15.00 (€15.00 )

‎Leslie Charteris‎

Reference : 037441

(1956)

‎Les 3 Saints / Le Secret De La Vieille Maison - Le Saint et Les Mauvais Garçons - Ici Le Saint‎

‎ Librairie Arthème Fayard Jaquette en bon état Paris 1956 399 pages en format 14 - 19 cm - reliure rgide en percaline avec dessin et titre en dorure ‎


‎Très Bon État ‎

Phone number : 0032476413494

EUR14.40 (€14.40 )

‎CHARTERIS LESLIE.‎

Reference : R150048103

‎ICI LE SAINT!. LES AVENTURES DU SAINT N° 8.‎

‎FAYARD.. 1955.. In-12. Broché. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 220 pages. 1ère de couverture illustrée en couleurs.. . . . Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne‎


‎Adapté de l'anglais par E. Michel-Tyl. Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR10.95 (€10.95 )

‎CHARTERIS LESLIE‎

Reference : R150207544

(1956)

‎LES 3 SAINTS- LE SECRET DE LA VIEILLE MAISON- LE SAINT ET LES MAUVAIS GARCONS- ICI, LE SAINT!‎

‎FAYARD. 1956. In-8. Relié. Etat d'usage, Couv. partiel. décollorée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 399 pages. . . . Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne‎


‎ Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR24.90 (€24.90 )

‎CHARTERIS LESLIE‎

Reference : R150211286

(1948)

‎ICI LE SAINT!- N° 8- LES AVENTURES DU SAINT‎

‎FAYARD. 1948. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 220pages- 1er plat illustré en couleurs- 1 annotation à l'encre en page de garde. . . . Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne‎


‎Adapté de l'anglais par E. Michel-Tyl Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne‎

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EUR24.90 (€24.90 )

‎CHARTERIS LESLIE‎

Reference : R150211288

(1955)

‎ICI LE SAINT! - N° 8 - LES AVENTURES DU SAINT‎

‎FAYARD. 1955. In-8. Broché. Etat passable, 2ème plat abîmé, Dos abîmé, Intérieur frais. 220 pages- 1er plat illustré en couleurs. . . . Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne‎


‎Adapté de l'anglais par E. Michel-Tyl Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR24.90 (€24.90 )

‎CHARTERIS LESLIE‎

Reference : R150211289

(1948)

‎ICI LE SAINT!- N° 8 - LES AVENTURES DU SAINT‎

‎FAYARD. 1948. In-8. Broché. Etat d'usage, Tâchée, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 220 pages- 1er plat illustré en couleurs. . . . Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne‎


‎Adapté de l'anglais par E. Michel-Tyl Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR19.80 (€19.80 )

‎LESLIE CHARTERIS‎

Reference : 7164

(1955)

‎Ici le Saint.‎

‎ 1955 Librairie Arthème Fayard, collection les aventures du Saint, 1955, n°8, in12 broché, dos et coiffes abimés, coins frottés et cornés, dos scotché, etat moyen, 220 pages.‎


Phone number : 06.80.85.37.77

EUR4.00 (€4.00 )

‎Leslie Charteris‎

Reference : 500026456

‎Ici le saint‎

‎ Sans date.‎


‎Très bon état‎

Démons et Merveilles - Joinville

Phone number : 07 54 32 44 40

EUR25.00 (€25.00 )

‎Leslie Charteris‎

Reference : 000251

(1955)

‎Ici Le Saint‎

‎ Fayard Couverture illustrée 1955 Exemplaire de bibliothèque ‎


‎État Moyen ‎

Phone number : 0032476413494

EUR4.05 (€4.05 )

‎Leslie Charteris‎

Reference : 048990

(1964)

‎Ici Le Saint‎

‎ Arthème Fayard Couverture illustrée 1964 Exemplaire de bibliothèque ‎


‎Etat D'usage ‎

Phone number : 0032476413494

EUR5.40 (€5.40 )

‎CHARTERIS L‎

Reference : RO90076342

(1978)

‎ICI LE SAINT‎

‎EDITIONS LIVRE DE POCHE N° 3156. 1978. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 254 pages.. . . . Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne‎


‎Autres années disponibles : Traduction de M. E. Michel-Tyl. Couverture des ateliers Pierre Faucheux. Classification Dewey : 820-Littératures anglaise et anglo-saxonne‎

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EUR10.95 (€10.95 )

‎SOUBIRAN, Yvonne‎

Reference : 54723

(1928)

‎Journal Intime d'Yvonne Soubiran, élève au lycée français de Madrid puis à l'Institut Français de Madrid [ Du 16 mars 1928 au 8 mai 1928 puis du 16 février 1943 au 30 avril 1943 ] Remarquable document qui nous plonge dans la vie quotidienne et intellectuelle d'Yvonne Soubiran, 15 ans en mars 1928 ("j'ai quinze ans, c'est vrai"), une brillante lycéenne du Lycée Français de Madrid. Dans un premier cahier (daté de 1928), elle évoque sa vie quotidienne, et expose le détail de ses cours et des nombreuses conférences auxquelles elle prend plaisir à assister, telle celles de M. Lavedan sur les Hurdes. Elle évoque le cinéma Pardinas où elle se rend le 2 mai pour voir le film "El dos de Mayo". Surtout, elle parle (en date du 8 mai 1928) "d'une conférence très bien de Mr. Chevallier [le philosophe et ami de Bergson Jacques Chevalier ] au sujet de Bergson. Dans sa jeunesse, au sortir de l'école normale Bergson est positiviste. Un jour, professeur à Clermont-Ferrand, il explique à ses élèves la théorie d'Achille et de la Tortue. Pour les mathématiques, il est impossible de démontrer qu'Achille dépasse la tortue s'il part après elle, or dans la réalité il en est autrement. Ce trait donne à réfléchir au savant, il finit par conclure que le mouvement n'est pas une trajectoire mais une durée" [... ] "On pouvait se rendre compte de l'intérêt de la conférence par le silence absolu de la salle, on entendait les mouches voler. L'esprit était emporté vers des régions supérieures, on ne vivait plus qu'en extase, pendus aux mots du conférencier. [ ... ] Marie Louis et sa mère y étaient mais elles n'ont pas été très épatées, moi j'étais transportée, je l'aurai entendu pendant des heures. Maman me disait qu'elle avait ressenti la même impression en écoutant Bergson lui-même qui est venu à Madrid en 1916, pendant la guerre". Dans un second cahier (à partir du mardi 16 février 1943), elle évoque les nombreuses conférences auxquelles elle assiste à l'Institut Français de Madrid, notamment les conférences d'histoire de la littérature et surtout d'histoire de la poésie moderne par l'abbé Jobit (dont elle présente à chaque fois un compte-rendu détaillé, ainsi sur Mallarmé, Valéry ou Apollinaire), par le docteur Botella Llusia, par M. Mattei en philosophie ("un homme d'une culture supérieure, je regrette bien de ne pasl'avoir connu plus tôt") ainsi qu'aux concerts (par le pianiste Reuchsel, la violoniste Albina de Madinaveita, Reine Gianoli, etc...) ; elle se fait embaucher à l'Institut, fête le 15 mars 1943 son anniversaire ("j'ai trente ans aujourd'hui, cela me paraît impossible. Quand j'avais quinze ans il me semblait qu'on était vieux à cet âge, et maintenant je me trouve encore si peu de chose, si enfant par bien des côtés. Comme j'ai toujours vécu dans les jupons de maman, je n'ai pas l'habitude des responsabilités, et je ne sais pas me décider dans les choses sérieuses". Elle évoque les films qu'elle vient de voir (dont Rebecca avec Laurence Ollivier), un peu l'actualité : le recul des allemands devant Karkhov, "l'ambassadeur d'Allemagne von Molkte est mort en quelques jours à la suite d'une appendicite. Il y avait à peine deux mois qu'il était arrivé ici en remplacement de von Störer qui avait été dégommé. Cette mort subite a fait sensation ici et le pauvre chirurgien qui l'a opéré, le Docteur Cardenal a dû être bien embêté"... Elle relate l'arrestation d'un ami par la sûreté espagnole pour complicité dans le passage en fraude de deux voyageurs à la frontière basque. Enfermé à la Puerta del Sol, il est tout d'abord mis au secret dans une cellule microscopique : "le plus triste, c'est qu'on a commencé par lui flanquer une bonne volée pour essayer de le faire parler". Deux jours plus tard "Charles est toujours en prison. Mr Widhof est allé le rejoindre, car naturellement il a tout pris sur lui en disant que c'est lui qui l'avait envoyé à la frontière". Le 1er avril elle décrit l'imposant défilé militaire ; pour le vendredi Saint, les impressionnantes processions de pénitents‎

‎3 cahiers manuscrits dont deux brochés (l'un oblong), 1928, 40 ff. et 1943, 36 ff. et l'autre cartonné (recueil de citations). Rappel du titre complet : Journal Intime d'Yvonne Soubiran, élève au lycée français de Madrid puis à l'Institut Français de Madrid [ Du 16 mars 1928 au 8 mai 1928 puis du 16 février 1943 au 30 avril 1943 ] Remarquable document qui nous plonge dans la vie quotidienne et intellectuelle d'Yvonne Soubiran, 15 ans en mars 1928 ("j'ai quinze ans, c'est vrai"), une brillante lycéenne du Lycée Français de Madrid. Dans un premier cahier (daté de 1928), elle évoque sa vie quotidienne, et expose le détail de ses cours et des nombreuses conférences auxquelles elle prend plaisir à assister, telle celles de M. Lavedan sur les Hurdes. Elle évoque le cinéma Pardinas où elle se rend le 2 mai pour voir le film "El dos de Mayo". Surtout, elle parle (en date du 8 mai 1928) "d'une conférence très bien de Mr. Chevallier [le philosophe et ami de Bergson Jacques Chevalier ] au sujet de Bergson. Dans sa jeunesse, au sortir de l'école normale Bergson est positiviste. Un jour, professeur à Clermont-Ferrand, il explique à ses élèves la théorie d'Achille et de la Tortue. Pour les mathématiques, il est impossible de démontrer qu'Achille dépasse la tortue s'il part après elle, or dans la réalité il en est autrement. Ce trait donne à réfléchir au savant, il finit par conclure que le mouvement n'est pas une trajectoire mais une durée" [... ] "On pouvait se rendre compte de l'intérêt de la conférence par le silence absolu de la salle, on entendait les mouches voler. L'esprit était emporté vers des régions supérieures, on ne vivait plus qu'en extase, pendus aux mots du conférencier. [ ... ] Marie Louis et sa mère y étaient mais elles n'ont pas été très épatées, moi j'étais transportée, je l'aurai entendu pendant des heures. Maman me disait qu'elle avait ressenti la même impression en écoutant Bergson lui-même qui est venu à Madrid en 1916, pendant la guerre". Dans un second cahier (à partir du mardi 16 février 1943), elle évoque les nombreuses conférences auxquelles elle assiste à l'Institut Français de Madrid, notamment les conférences d'histoire de la littérature et surtout d'histoire de la poésie moderne par l'abbé Jobit (dont elle présente à chaque fois un compte-rendu détaillé, ainsi sur Mallarmé, Valéry ou Apollinaire), par le docteur Botella Llusia, par M. Mattei en philosophie ("un homme d'une culture supérieure, je regrette bien de ne pasl'avoir connu plus tôt") ainsi qu'aux concerts (par le pianiste Reuchsel, la violoniste Albina de Madinaveita, Reine Gianoli, etc...) ; elle se fait embaucher à l'Institut, fête le 15 mars 1943 son anniversaire ("j'ai trente ans aujourd'hui, cela me paraît impossible. Quand j'avais quinze ans il me semblait qu'on était vieux à cet âge, et maintenant je me trouve encore si peu de chose, si enfant par bien des côtés. Comme j'ai toujours vécu dans les jupons de maman, je n'ai pas l'habitude des responsabilités, et je ne sais pas me décider dans les choses sérieuses". Elle évoque les films qu'elle vient de voir (dont Rebecca avec Laurence Ollivier), un peu l'actualité : le recul des allemands devant Karkhov, "l'ambassadeur d'Allemagne von Molkte est mort en quelques jours à la suite d'une appendicite. Il y avait à peine deux mois qu'il était arrivé ici en remplacement de von Störer qui avait été dégommé. Cette mort subite a fait sensation ici et le pauvre chirurgien qui l'a opéré, le Docteur Cardenal a dû être bien embêté"... Elle relate l'arrestation d'un ami par la sûreté espagnole pour complicité dans le passage en fraude de deux voyageurs à la frontière basque. Enfermé à la Puerta del Sol, il est tout d'abord mis au secret dans une cellule microscopique : "le plus triste, c'est qu'on a commencé par lui flanquer une bonne volée pour essayer de le faire parler". Deux jours plus tard "Charles est toujours en prison. Mr Widhof est allé le rejoindre, car naturellement il a tout pris sur lui en disant que c'est lui qui l'avait envoyé à la frontière". Le 1er avril elle décrit l'imposant défilé militaire ; pour le vendredi Saint, les impressionnantes processions de pénitents‎


‎Très remarquable document qui nous plonge dans la vie quotidienne et intellectuelle d'Yvonne Soubiran, 15 ans en mars 1928 ("j'ai quinze ans, c'est vrai"), une brillante lycéenne du Lycée Français de Madrid. Dans un premier cahier (daté de 1928), elle évoque sa vie quotidienne, et expose le détail de ses cours et des nombreuses conférences auxquelles elle prend plaisir à assister, telle celles de M. Lavedan sur les Hurdes. Elle évoque le cinéma Pardinas où elle se rend le 2 mai pour voir le film "El dos de Mayo". Surtout, elle parle (en date du 8 mai 1928) "d'une conférence très bien de Mr. Chevallier [le philosophe et ami de Bergson Jacques Chevalier ] au sujet de Bergson. Dans sa jeunesse, au sortir de l'école normale Bergson est positiviste. Un jour, professeur à Clermont-Ferrand, il explique à ses élèves la théorie d'Achille et de la Tortue. Pour les mathématiques, il est impossible de démontrer qu'Achille dépasse la tortue s'il part après elle, or dans la réalité il en est autrement. Ce trait donne à réfléchir au savant, il finit par conclure que le mouvement n'est pas une trajectoire mais une durée" [... ] "On pouvait se rendre compte de l'intérêt de la conférence par le silence absolu de la salle, on entendait les mouches voler. L'esprit était emporté vers des régions supérieures, on ne vivait plus qu'en extase, pendus aux mots du conférencier. [ ... ] Marie Louis et sa mère y étaient mais elles n'ont pas été très épatées, moi j'étais transportée, je l'aurai entendu pendant des heures. Maman me disait qu'elle avait ressenti la même impression en écoutant Bergson lui-même qui est venu à Madrid en 1916, pendant la guerre". Dans un second cahier (à partir du mardi 16 février 1943), elle évoque les nombreuses conférences auxquelles elle assiste à l'Institut Français de Madrid, notamment les conférences d'histoire de la littérature et surtout d'histoire de la poésie moderne par l'abbé Jobit (dont elle présente à chaque fois un compte-rendu détaillé, ainsi sur Mallarmé, Valéry ou Apollinaire), par le docteur Botella Llusia, par M. Mattei en philosophie ("un homme d'une culture supérieure, je regrette bien de ne pasl'avoir connu plus tôt") ainsi qu'aux concerts (par le pianiste Reuchsel, la violoniste Albina de Madinaveita, Reine Gianoli, etc...) ; elle se fait embaucher à l'Institut, fête le 15 mars 1943 son anniversaire ("j'ai trente ans aujourd'hui, cela me paraît impossible. Quand j'avais quinze ans il me semblait qu'on était vieux à cet âge, et maintenant je me trouve encore si peu de chose, si enfant par bien des côtés. Comme j'ai toujours vécu dans les jupons de maman, je n'ai pas l'habitude des responsabilités, et je ne sais pas me décider dans les choses sérieuses". Elle évoque les films qu'elle vient de voir (dont Rebecca avec Laurence Ollivier), un peu l'actualité : le recul des allemands devant Karkhov, "l'ambassadeur d'Allemagne von Molkte est mort en quelques jours à la suite d'une appendicite. Il y avait à peine deux mois qu'il était arrivé ici en remplacement de von Störer qui avait été dégommé. Cette mort subite a fait sensation ici et le pauvre chirurgien qui l'a opéré, le Docteur Cardenal a dû être bien embêté"... Elle relate l'arrestation d'un ami par la sûreté espagnole pour complicité dans le passage en fraude de deux voyageurs à la frontière basque. Enfermé à la Puerta del Sol, il est tout d'abord mis au secret dans une cellule microscopique : "le plus triste, c'est qu'on a commencé par lui flanquer une bonne volée pour essayer de le faire parler". Deux jours plus tard "Charles est toujours en prison. Mr Widhof est allé le rejoindre, car naturellement il a tout pris sur lui en disant que c'est lui qui l'avait envoyé à la frontière". Le 1er avril elle décrit l'imposant défilé militaire ; pour le vendredi Saint, les impressionnantes processions de pénitents‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR590.00 (€590.00 )

‎COLLECTIF‎

Reference : RO10085781

(1961)

‎PARIS MATCH N° 649 - Bombe sur les neutres, Le match des 2 expos, ici Lenine, la bas Cyrano, 7e victime de la vallée blanche, le pilote cherche sa faute par Pierre Joffroy, Ici Saint Pierre, La, enfant malheureux, Jean Jourden avait rêvé de ce maillot arc‎

‎PARIS MATCH. 16 septembre 1961. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 110 pages augmentées de nombreuses photos et illustrations en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte - 1er plat illustré d'une photo en couleurs. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : Bombe sur les neutres, Le match des 2 expos, ici Lenine, la bas Cyrano, 7e victime de la vallée blanche, le pilote cherche sa faute par Pierre Joffroy, Ici Saint Pierre, La, enfant malheureux, Jean Jourden avait rêvé de ce maillot arc en ciel qu'il porte aujourd'hui, le petit chose du cyclisme Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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‎BART, Léo ; BART, Jean ; BART, Charlemagne‎

Reference : 55268

(1915)

‎Belle correspondance personnelle et originale, adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917. Jean Bart fut successivement matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car pour l'essentiel non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917‎

‎94 cartes et LAS, auxquelles nous joignons quelques photos et quelques lettres postérieures. Belle correspondance personnelle adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917, adressée à Jean Bart, matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917‎


‎Passionnant ensemble, à analyser en profondeur. Prix de l'ensemble, non séparable.‎

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EUR950.00 (€950.00 )

‎COLLECTIF‎

Reference : R240094004

(1955)

‎ICI LONDRES N°383 10 JUIN 1955 - premiers pas d'un étudiant d'oxford - chapman mortimer un écrivain méditerranéen - la manche vue d'ici et de la - les glaces du groenland - richmond saint germain en laye de londres et ham house etc.‎

‎BRITISH BRAODCASTING CORPORATION. 1955. In-4. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 8 pages - quelques mots soulignés au stylo sans conséquence sur la lecture - quelques illustrations en noir et blanc dans le texte - revue en anglais et en français.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Revue en anglais et en français - Sommaire : premiers pas d'un étudiant d'oxford - chapman mortimer un écrivain méditerranéen - la manche vue d'ici et de la - les glaces du groenland - richmond saint germain en laye de londres et ham house etc. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR24.90 (€24.90 )

‎SUIDRE [NEGOCIANT ARMATEUR NEGRIER A LA ROCHELLE]‎

Reference : 22350

(1790)

‎LETTRE DE MR SUIDRE [NEGOCIANT ARMATEUR NEGRIER] A LA ROCHELLE A SON GENDRE LOUIS ADMYRAUD NEGOCIANT ARMATEUR NEGRIER A LA ROCHELLE ADRESSEE A PARIS CHEZ MR VINCENT RUE SAINT JOSEPH : ICI ON NE CROIT PAS A LA GUERRE, CEPENDANT LA FLOTTE ANGLAISE ET CELLE DE HOLLANDE SONT EN MER, DES NOUVELLES FRAICHES DE PORT-AU-PRINCE (SAINT-DOMINGUE) PAR LE NAVIRE DE VAN HOOGWERFF [NEGOCIANT ARMATEUR NEGRIER A LA ROCHELLE] : 200 ML DE REMISES (SUR LA VENTE DES NEGRES) ET CHARGEMENT DU SUCRE PAR "LE BON PERE"(NAVIRE NEGRIER), LE RESTANT DU CHARGEMENT SERA DU CAFFE ET DU COTON, LA ROCHELLE, LE 10 JUILLET 1790,‎

‎La Rochelle 1790 une lettre (de 4 pages, une grande feuille pliée en deux) manuscrite à l'encre brune sur les 3 premières page sur papier velin bleuté ligné filigrané, format : 20 centimètres de large x 25,5 centimètres de haut, adresse de la lettre au centre de la 4ème page à l'encre brune : à Mr Louis Admyraud négociant de la Rochelle, Chez Mr Vincent, Rue St Joseph à PARIS, lettre signée SUIDRE , La Rochelle, le 10 Juillet 1790,‎


‎le navire Le Bon Père : parti de Rochefort, le 9 Avril 1789, ira d"abord sur la côte d'Angole pour faire provision d'Esclaves Noirs avant d'aller les vendre à SAINT DOMINGUE ou il arrivera en Avril 1790, Là il va vendre les esclaves et recharger en sucres, cotons et caffés pour rentabiliser son voyage de retour à La Rochelle ou il arrtivera en septembre 1790........EXTRAITS DE LA LETTRE : ICI ON NE CROIT PAS A LA GUERRE, CEPENDANT LA FLOTTE ANGLAISE ET CELLE DE HOLLANDE SONT EN MER, DES NOUVELLES FRAICHES DE PORT-AU-PRINCE (SAINT-DOMINGUE), 200 ML DE REMISES (SUR LA VENTE DES NEGRES) ET CHARGEMENT DU SUCRE PAR "LE BON PERE"(NAVIRE NEGRIER), LE RESTANT DU CHARGEMENT SERA DU CAFFE ET DU COTON........."............RARISSIME............en bon état (good condition). en trés bon état ‎

Phone number : 06 81 28 61 70

EUR460.00 (€460.00 )

‎SUIDRE [NEGOCIANT ARMATEUR NEGRIER A LA ROCHELLE]‎

Reference : 22352

(1790)

‎LETTRE DE MR SUIDRE [NEGOCIANT ARMATEUR NEGRIER] A LA ROCHELLE A SON GENDRE LOUIS ADMYRAUD NEGOCIANT ARMATEUR NEGRIER A LA ROCHELLE ADRESSEE A PARIS CHEZ MR VINCENT RUE SAINT JOSEPH : NOUVELLES DE SAINT-DOMINGUE RECUE PAR VOTRE NAVIRE "LE REVERSEAU", LEVASSEUR (SON CAPITAINE) N'ETAIT PAS AVANCE DANS SON EXPEDITION, LES RENTREES DE FONDS SE FONT DIFFICILEMENT DEPUIS LE DECRET ARRIVE, IL Y A BEAUCOUP DE MURMURES ENTRE LES BLANCS POUR FORMER LEUR MUNICIPALITE ET CELA RETARDE LES OPERATIONS, CELA N'AVANCERA PAS LE DEPART DU (NAVIRE NEGRIER) "LE BON PERE" QUE JE VOUDRAIS BIEN VOIR ICI, LES SUCRES ET CAFFES BAISSENT DE PRIX, LES NOUVELLES DE L'ETRANGER N'ENCOURAGENT PAS LES ACHATS, Mrs DOERNER & Cie (BANQUIERS A PARIS) M'ONT REMIS DE SUITE LES ASSIGNATS DEMANDES, LA ROCHELLE, LE 17 JUILLET 1790,‎

‎La Rochelle 1790 une lettre (de 4 pages, une grande feuille pliée en deux) manuscrite à l'encre brune sur les 3 premières page sur papier velin bleuté ligné filigrané, format : 20 centimètres de large x 25,5 centimètres de haut, adresse de la lettre au centre de la 4ème page à l'encre brune : à Mr Louis Admyraud négociant de la Rochelle, Chez Mr Vincent, Rue St Joseph à PARIS, Marque Postale : "LA ROCHELLE" en noir, lettre signée SUIDRE , La Rochelle, le 17 Juillet 1790,‎


‎CONTENU DE LA LETTRE : ".....Votre maison(de Saint-domingue) vous rend compte des nouvelle reçues par votre (Navire) «reverseau», levasseur (son Capitaine)nétait pas avançé dans son expédition, les rentrées de fonds se font difficilement depuis le décret arrivé, il y a beaucoup de murmures entre les BLANCS pour former leur Municipalité et cela retarde les opérations, cela navancera pas le départ du «Bon Père» que je voudrais bien voir ici, les Sucres et Caffés baisent de prix, les Nouvelles de létranger nencouragent pas les achats, Mrs DOERNER & Cie (Banquier à Paris) mont remis de suite les assignats demandés.".......RARISSIME.........EN TRES BON ETAT (very good condition). en trés bon état ‎

Phone number : 06 81 28 61 70

EUR360.00 (€360.00 )

‎Porté Dominique & Collectif‎

Reference : RO80252637

‎Ici et là, spécial n°3 : La Gironde par vignes et châteaux : La terre entre deux flots / A la Réole, l'âme des gabariers / A Saint-Emilion, la grotte de l'hermite / Les marchands, les moines et le bordeaux / L'estuaire de la Gironde, les eaux mêlées /...‎

‎Ici et là. Non daté. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 89 pages. Nombreuses photos en couleurs dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 908.447-Régionalisme : Aquitaine‎


‎Sommaire : La terre entre deux flots / A la Réole, l'âme des gabariers / A Saint-Emilion, la grotte de l'hermite / Les marchands, les moines et le bordeaux / L'estuaire de la Gironde, les eaux mêlées /... Classification Dewey : 908.447-Régionalisme : Aquitaine‎

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‎VERNON ELIE, DE LA LANDELLE G, DE LA BLANCHERE H‎

Reference : R110027156

(1875)

‎LA SEMAINE DES FAMILLES 17EME ANNEE N°26 - UN DINER AU PAVILLON SUR L'EAU DE ELIE VERNON, LE PREMIER TOUR DU MONDE DE G. DE LA LANDELLE, CE QUI NOUS ENTOUR ICI-BAS DE H. DE LA BLANCHERE, LE THEATRE DE SAINT-CYR DE ACHILLE TAPHANEL, MONSIEUR NOSTRADAMUS‎

‎Au bureau du journal.. 25 SEPT 1875. In-4. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 401 à 416. Lecture en colonnes. Illustrée de quelques gravures en noir et blanc.. . . . Classification Dewey : 70.4413-Magasin pittoresque, universel et mosaïque‎


‎Revue universelle. Sous la direction de Zenaïde Fleuriot. Sommaire : UN DINER AU PAVILLON SUR L'EAU DE ELIE VERNON, LE PREMIER TOUR DU MONDE DE G. DE LA LANDELLE, CE QUI NOUS ENTOUR ICI-BAS DE H. DE LA BLANCHERE, LE THEATRE DE SAINT-CYR DE ACHILLE TAPHANEL, MONSIEUR NOSTRADAMUS XXX DE ZENAIDE FLEURIOT. Classification Dewey : 70.4413-Magasin pittoresque, universel et mosaïque‎

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‎BOUNIOL BATHILD,FLEURIOT ZENAIDE,DE LA BLANCHERE H‎

Reference : R110027158

(1875)

‎LA SEMAINE DES FAMILLES 17EME ANNEE N°28 - JULES DE BLOSSEVILLE DE BATHILD BOUNIOL, MONSIEUR NOSTRADAMUS XXXIII DE ZENAIDE FLEURIOT, CE QUI NOUS ENTOURE ICI-BAS DE H. DE LA BLANCHERE, ISABELLE LA CATHOLIQUE DE ELIE VERNON, LE THEATRE DE SAINT-CYR‎

‎Au bureau du journal.. 9 OCT 1875. In-4. En feuillets. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 433 à 448. Lecture en colonnes. Illustrée de quelques gravures en noir et blanc.. . . . Classification Dewey : 70.4413-Magasin pittoresque, universel et mosaïque‎


‎Revue universelle. Sous la direction de Zenaïde Fleuriot. Sommaire : JULES DE BLOSSEVILLE DE BATHILD BOUNIOL, MONSIEUR NOSTRADAMUS XXXIII DE ZENAIDE FLEURIOT, CE QUI NOUS ENTOURE ICI-BAS DE H. DE LA BLANCHERE, ISABELLE LA CATHOLIQUE DE ELIE VERNON, LE THEATRE DE SAINT-CYR DE ACHILLE TAPHANEL, LE PREMIER TOUR DU MONDE DE G. DE LA LANDELLE. Classification Dewey : 70.4413-Magasin pittoresque, universel et mosaïque‎

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‎Collectif‎

Reference : R110389384

(1956)

‎Radar n° 384 - L'accueil de Paris aux souverains de Grèce, Le reportage a ses mystères, En famille a Saint Cloud, Drame animal : afin d'abréger ses intolérables souffrances, Edith Piaf : amis quand même, Le Mans : 1er anniversaire,ici la mort s'était ruée‎

‎Bureau du journal. 17 juin 1956. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎


‎Sommaire : L'accueil de Paris aux souverains de Grèce, Le reportage a ses mystères, En famille a Saint Cloud, Drame animal : afin d'abréger ses intolérables souffrances, Edith Piaf : amis quand même, Le Mans : 1er anniversaire, ici la mort s'était ruée sur nous Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎

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‎COLLECTIF‎

Reference : R200090207

‎"IMAGES QUEBEC - HISTOIRE DE VOIR .... : Ici la nature a bien fait les choses - Berceau de l'Amérique française - le ""majestueux"" fleuve Saint-Laurent,etc"‎

‎SYLVAIN HARVEY. NON DATE. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 50 pages. Nombreuses photos en couleurs dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 970-Histoire générale de l'Amérique du Nord‎


‎"SOMMAIRE : Ici la nature a bien fait les choses - Berceau de l'Amérique française - le ""majestueux"" fleuve Saint-Laurent,etc Classification Dewey : 970-Histoire générale de l'Amérique du Nord"‎

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