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‎BART, Léo ; BART, Jean ; BART, Charlemagne‎

Reference : 55268

(1915)

‎Belle correspondance personnelle et originale, adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917. Jean Bart fut successivement matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car pour l'essentiel non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917‎

‎94 cartes et LAS, auxquelles nous joignons quelques photos et quelques lettres postérieures. Belle correspondance personnelle adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917, adressée à Jean Bart, matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917‎


‎Passionnant ensemble, à analyser en profondeur. Prix de l'ensemble, non séparable.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR950.00 (€950.00 )

‎Pierrard, Pierre‎

Reference : 3651

‎Gens du Nord‎

‎Editions Arthaud, collection "Pays", Paris, 1985. In-8, broché sous couverture illustrée en couleur, 263 pp. Avant-propos - I. Gens de la terre : Censes et censiers. Florimond Desprez, le rénovateur de la betterave. Guislain Decrombecque, le "La tour d'Auvergne de l'agriculture française". Douceurs du maroilles - II. Gens de la mine et de l'usine : ...‎


‎ --- Plus d'informations sur le site archivesdunord.com‎

Phone number : 01 42 73 13 41

EUR17.00 (€17.00 )

‎Stil, André‎

Reference : 616

‎Paysages et gens du Nord‎

‎Editions du Chêne, collection "Terroirs", Paris, 1980. In-8 de format carré, cartonnage éditeur illustré en couleurs, non paginé [70 pp. env.]. Paysages et gens du Nord, par André Stil - carte - Légendes - Planches.‎


‎Avec 60 photographies en couleurs de José Dupont. --- Plus d'informations sur le site archivesdunord.com‎

Phone number : 01 42 73 13 41

EUR17.00 (€17.00 )

‎Pierrard (Pierre).‎

Reference : 2705

‎GENS DU NORD.‎

‎P., Arthaud, 1985. In-8 broché, 269 pages, illustrations h.t. ‎


‎Gens de la Terre, Gens de la Mine et de l'Usine, Gens de la Mer et du Sable, Notables, Gens de Science...‎

Au Chercheur d'Art - Etroeungt

Phone number : 03 27 61 47 95

EUR16.00 (€16.00 )

‎COLLECTIF‎

Reference : R110323034

(1966)

‎KEPI BLANC N° 234 - 2me R.E.I., dans le grand sud, les gens du nord, Puyloubier, le musée, Tahiti, le juillet, Route Cézanne, 3me R.E.I., nomadisation aux comores, 1re R.E., l'abbé Lemaitre, nouvel aumonier de la Légion, Les pelotons visitent Puyloubier‎

‎BUREAU DU JOURNAL. Octobre 1966. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 64 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 355-Art et science militaires, légion‎


‎La vie de la légion étrangère. Sommaire : 2me R.E.I., dans le grand sud, les gens du nord, Puyloubier, le musée, Tahiti, le juillet, Route Cézanne, 3me R.E.I., nomadisation aux comores, 1re R.E., l'abbé Lemaitre, nouvel aumonier de la Légion, Les pelotons visitent Puyloubier, 2me R.E.I., tir et natation, 3me R.E.I., concours de tir inter-compagnie Classification Dewey : 355-Art et science militaires, légion‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR29.80 (€29.80 )

‎COLLECTIF‎

Reference : RO10086471

(1975)

‎PARIS MATCH N° 1339 - Nos reporters ont photographié pour la première fois les combats de coqs qui passionnent les gens du Nord, Le service militaire en question ?, Les bidasses manifestent a Karlsruhe, ce qui s'est passé réellement, Un Chirac 2‎

‎PARIS MATCH. 25 janvier 1975. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 74 pages augmentées de nombreuses photos et illustrations en noir et blanc et en couleurs dans et hors texte - 1er plat illustré d'une photo en couleurs. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire : Nos reporters ont photographié pour la première fois les combats de coqs qui passionnent les gens du Nord, Le service militaire en question ?, Les bidasses manifestent a Karlsruhe, ce qui s'est passé réellement, Un Chirac 2 par Philippe Alexandre, Georges Marchais, un accident cardiaque, Les patronnes entrent a l'état major du c.n.p.f., Charmoz : dans un pays ou tout change, Le juge Dujardin : le secret de l'instruction est une hypocrisie Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR29.80 (€29.80 )

‎COLLECTIF‎

Reference : R200040264

‎LES AINES CHANTENT - l'angelus de la mer - l'ami bidasse - les blés d'or - c'est l'amour - etoile des neiges - les gens du nord - envoi de fleurs - madelon - maman - ma chaumière - je suis chrétien - je cherche le visage - les mains ouvertes - credo etc.‎

‎INCONNUE. NON DATE. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Coiffe en tête abîmée, Intérieur acceptable. 118 pages dactylographiées - pages de couleurs jaune et rose - textes sur deux colonnes sur nombreuses pages.. . . A l'italienne. Classification Dewey : 782.42-Chanson‎


‎Sommaire : l'angelus de la mer - l'ami bidasse - les blés d'or - c'est l'amour - etoile des neiges - les gens du nord - envoi de fleurs - madelon - maman - ma chaumière - je suis chrétien - je cherche le visage - les mains ouvertes - credo - un seul seigneur - o ma reine - vive jésus vive sa croix etc. Classification Dewey : 782.42-Chanson‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR29.80 (€29.80 )

‎SURGERS PILAR HELENE‎

Reference : RO30132195

(2008)

ISBN : 2753803315

‎LES GENS DU NORD ET LE CH'TI-ATTITUDE‎

‎EDITIONS ALPHEE. 2008. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos plié, Intérieur frais. 515 pages. . . . Classification Dewey : 908.4427-Régionalisme : Nord-Pas-de-Calais‎


‎ Classification Dewey : 908.4427-Régionalisme : Nord-Pas-de-Calais‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR49.50 (€49.50 )

‎PIERRARD Pierre‎

Reference : 20190

‎GENS DU NORD‎

‎Format moyen, couverture souple.268 pages.illustrations n/b. Une inscription sur la page de garde, pour le reste en bon Ètat 1985 arthaud‎


Occasion de lire - Aubin Saint Vaast

Phone number : 09 64 01 66 55

EUR10.00 (€10.00 )

‎Leblanc, Perrine‎

Reference : SVALIVCN-9782072924316

‎Gens du nord‎

‎Gallimard (2/2022)‎


‎LIVRE A L’ETAT DE NEUF. EXPEDIE SOUS 3 JOURS OUVRES. NUMERO DE SUIVI COMMUNIQUE AVANT ENVOI, EMBALLAGE RENFORCE. EAN:9782072924316‎

Bookit! - Genève
EUR28.62 (€28.62 )

‎Meersch Maxence Van Der‎

Reference : 500052563

(1993)

ISBN : 9782258001169

‎Gens du nord ; la maison dans la dune quand les sirenes se taisent invasion 14 l'empreinte de dieu la fille pauvre‎

‎Presses de la Cité 1993 1220 pages in8. 1993. Broché. 1220 pages.‎


‎Etat correct‎

Démons et Merveilles - Joinville

Phone number : 07 54 32 44 40

EUR18.00 (€18.00 )

‎Pierrard Pierre‎

Reference : RO30369599

(1985)

ISBN : 2700305302

‎Gens du Nord‎

‎Arthaud. 1985. In-8. Broché. Bon état, Coins frottés, Dos satisfaisant, Papier jauni. 268 pages. Quelques rousseurs. Quelques planches de photos en noir et blanc.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française‎


‎"Collection ""Pays"". Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française"‎

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EUR24.90 (€24.90 )

‎Van der Meersch Maxence‎

Reference : R200113503

(1993)

ISBN : 2258001161

‎Gens du nord : la maison dans la dune - quand les sirènes se taisent - invasion 14 - l'empreinte du dieu - la fille pauvre.‎

‎Presses de la cité. 1993. In-8. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 1220 pages.. . . . Classification Dewey : 840.8-Anthologies, recueils‎


‎Préface de Jacques Duquesne. Collection omnibus. NOTA : Maxence Van der Meersch, de son vrai patronyme Vandermeersch, né à Roubaix, le 4 mai 1907 et mort au Touquet le 14 janvier 1951, est un écrivain français, dont l'ouvre principale est L'Empreinte du dieu, Prix Goncourt en 1936. Classification Dewey : 840.8-Anthologies, recueils‎

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EUR39.80 (€39.80 )

‎ENRICO MACIAS‎

Reference : R130006375

‎DISQUE VINYLE 33T MON COEUR D'ATTAHCE, S'IL FALLAIT TOUT DONNER, MA PATRIE, MA DERNIERE CHANCE, LES GENS DU NORD, MON AMI MON FRERE, UN AIR DE FETE, ADIEU MON PAYS, JE T'AIMERAI POUR DEUX, NON JE N4AI PAS OUBLIE, JAMAIS DEUX SANS TROIS.‎

‎MFP. non daté. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Pochette en couleurs, orchestre, direction J.CLAUDRIC.. . . . Classification : 410-33 Tours‎


‎Disque n°2M 026 13333 STEREO Classification : 410-33 Tours‎

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EUR14.90 (€14.90 )

‎TOUSSAINT G DIRECTEUR DE LA PUBLICATION.‎

Reference : R150150106

(2007)

‎TRUCS ET ASTUCE HORS SERIE N°1. LE RAE DE MAREE CH TIS. 2 MAGAZINE + 1 BOITIER DVD OFFERT. SOMMAIRE: LES GENS DU NORD, LES MANIFESTATIONS, LE CARNAVAL, LE PAYSAGE...‎

‎ABYX.. 2007. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 30 + 64 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc et en couleurs dans le texte et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎ Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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‎VAN DER MEERSCH MAXENCE‎

Reference : R160172478

(1993)

ISBN : 2258037425

‎GENS DU NORD - LA MAISON DANS LA DUNE - QUAND LES SIRENES SE TAISENT - INVASION 14 - L'EMPREINTE DU DIEU - LA FILLE PAUVRE‎

‎PRESSES DE LA CITE. 1993. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. VII+1220 Pages. . . . Classification Dewey : 900-GEOGRAPHIE, HISTOIRE, SCIENCES AUXILIAIRES DE L'HISTOIRE‎


‎Préface de J. DUQUESNE Classification Dewey : 900-GEOGRAPHIE, HISTOIRE, SCIENCES AUXILIAIRES DE L'HISTOIRE‎

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EUR79.00 (€79.00 )

‎VAN DER MEERSCH MAXENCE‎

Reference : R320106787

(1993)

ISBN : 2258001161

‎GENS DU NORD -: LA maison dans la dune - Quand les sirènes se taisent - Invasion 14 - L'empreinte du dieu - Al fimme pauvre.‎

‎PRESSES DE LA CITE. 1993. In-8. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 1220 pages. Signet conservé - Signet conservé - . . . . Classification Dewey : 840.8-Anthologies, recueils‎


‎NOTA : Maxence Van der Meersch, de son vrai patronyme Vandermeersch, né à Roubaix, le 4 mai 1907 et mort au Touquet le 14 janvier 1951, est un écrivain français, dont l'œuvre principale est L'Empreinte du dieu, Prix Goncourt en 1936. Classification Dewey : 840.8-Anthologies, recueils‎

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EUR49.50 (€49.50 )

‎MACIAS ENRICO ET CLAUDRIC JEAN‎

Reference : RO50039408

‎LES GENS DU NORD‎

‎LES EDITION MAROUANI. non daté. In-8. En feuillets. Bon état, Livré sans Couverture, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Non paginé, environ 2 pages. Partition pour chant seul + paroles. Partition photocopiée. Couverture muette.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions‎


‎Paroles de Jacques DAMERNY et Enrico MACIAS. Classification Dewey : 780.26-Partitions‎

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EUR10.95 (€10.95 )

‎Pilar Hélène Surgers‎

Reference : 280004

(2008)

ISBN : 2753803315

‎Les Gens du Nord et la Ch'ti-attitude‎

‎Editions Alphée 2008 515 pages 24x15x3cm. 2008. Broché. 515 pages.‎


‎Etat proche du neuf jamais lu‎

Un Autre Monde - Val Couoesnon

Phone number : 07.69.73.87.31

EUR20.00 (€20.00 )

‎Collectif‎

Reference : RO30375393

(1950)

‎Voila n°3- 20e année- Avril 1950- Sommaire: L'age de la tentation par Yannick Bolsyvon- Le monstre aux yeux verts, par André Maurois- Les filles du Nord ont pardonné par Paul Vialar- Acheter une auto d'occasion n'est pas une loterie- il y a des gens bizar‎

‎Au bureau de la revue. 1950. In-4. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos fané, Papier jauni. 52 pages. Coins frottés. Rousseurs. Nombreuses photos en noir et blanc. Plusieurs colonnes de texte. Couverture jaunie.. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Sommaire: L'age de la tentation par Yannick Bolsyvon- Le monstre aux yeux verts, par André Maurois- Les filles du Nord ont pardonné par Paul Vialar- Acheter une auto d'occasion n'est pas une loterie- il y a des gens bizarres- concktail contre la douleur- ils dessinent comme ils sont- la guerre des cirques-etc. Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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EUR29.80 (€29.80 )

‎Collectif‎

Reference : RO10037488

(1892)

‎Journal des voyages et des aventures de terre et de mer n° 779 - Le Dahomey et ses habitants - Il est assommé par les gens du roi, Une razzia d'esclaves, Les français au pole nord, IX, M. Nebout, Le martyre de l'Irlande, II, La pêche du saumon en Amérique‎

‎LIbrairie illustrée.. 12 juin 1892. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 369 à 384. Quelques gravures en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70.4411-Le petit journal / Le journal illustré‎


‎Sommaire : Le Dahomey et ses habitants - Il est assommé par les gens du roi, Une razzia d'esclaves, Les français au pole nord, IX, M. Nebout, Le martyre de l'Irlande, II, La pêche du saumon en Amérique, Le rubis de Ceylan, IX, Nouveau remède africain Classification Dewey : 70.4411-Le petit journal / Le journal illustré‎

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‎Collectif‎

Reference : R110525420

(1992)

‎Le Pèlerin n° 5720 - Jeux Olympiques, la famille au grand complet, La famille des gens de la terre, Le Nil, cap au nord, Métier : la pierre manque de bras, Pour plus de sécurité, tous ceinturés, Camping et surveillance, Les plats en gelée sur un air‎

‎Bayard-Presse. 17 juillet 1992. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 72 pages. Quelques illustrations en couleurs et noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 200-RELIGION‎


‎Sommaire : Jeux Olympiques, la famille au grand complet, La famille des gens de la terre, Le Nil, cap au nord, Métier : la pierre manque de bras, Pour plus de sécurité, tous ceinturés, Camping et surveillance, Les plats en gelée sur un air de fête Classification Dewey : 200-RELIGION‎

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‎Collectif‎

Reference : RO70300250

(1924)

‎Guignol - nouvelle série - n° 45 - Juin 1924 - Le tartarin du Cap Nord - L'acte de naissance par Félix Godefroy - terre d'exil - Le sbraves gens par Jacques Angioux - ...‎

‎Petit Echo de la Mode. 1924. In-8. En feuillets. Etat d'usage, Plats abîmés, Agraffes rouillées, Papier jauni. 48 pages - illustrations et bandes dessinées en couleurs et en noir et blanc - texte sur 2 à 3 colonnes - déchirures au dos - accrocs sur les plats - couverture désolidarisée. . . . Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎


‎Le tartarin du Cap Nord - L'acte de naissance par Félix Godefroy - terre d'exil - Le sbraves gens par Jacques Angioux - ... Classification Dewey : 70.49-Presse illustrée, magazines, revues‎

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‎MERCIER-SIVADJIAN Eve (sous la direction de) ‎

Reference : 64701

(1983)

‎Pays et gens de Picardie, de Flandre et d'Artois. La Somme, l'Aisne, l'Oise, le Nord, le Pas-de-Calais - .‎

‎Couverture rigide. Cartonnage de l'éditeur. Nombreuses illustrations. 23, 5 x 29, 5 cm.‎


‎Livre. Editions Larousse Sélection du Reader's Digest (Collection : Pays et gens de France), 1983.‎

Librairie et Cætera - Belin-Beliet

Phone number : +33 (0) 5 56 88 08 45

EUR10.80 (€10.80 )

‎MERCIER-SIVADJIAN Eve (sous la direction de) ‎

Reference : 106195

(1983)

‎Pays et gens de Picardie, de Flandre et d'Artois. La Somme, l'Aisne, l'Oise, le Nord, le Pas-de-Calais - .‎

‎Couverture rigide. Cartonnage de l'éditeur. Nombreuses illustrations. 23, 5 x 29, 5 cm.‎


‎Livre. Editions Larousse Sélection du Reader's Digest (Collection : Pays et gens de France), 1983.‎

Librairie et Cætera - Belin-Beliet

Phone number : +33 (0) 5 56 88 08 45

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