38 books for « femmes sans hommes »Edit

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‎QUERLIN Marise ‎

Reference : 4222

‎Femmes sans hommes‎

‎Paris, Editions du Scorpion, 1953. In-12. Broché sous jaquette illustrée. 254 pages. Très bon état. ‎


Phone number : 33 49 48 63 073

EUR10.00 (€10.00 )

‎QUERLIN (Marise).‎

Reference : 44630

(1953)

‎Femmes sans hommes.‎

‎Paris Éditions du Scorpion 1953 1 vol. broché in-8, broché, jaquette, 252 pp. Édition originale de cette enquête sur l'homosexualité féminine, présentée sous une belle jaquette en couleurs (un peu défraîchie et restaurée au scotch), sinon ouvrage en bonne condition.‎


Vignes Online - Eymoutiers
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Phone number : 05 55 14 44 53

EUR20.00 (€20.00 )

‎QUERLIN Marise ‎

Reference : 99918614

(1953)

‎FEMMES SANS HOMMES ‎

‎ Editions du Scorpion 1953 Editions du Scorpion 1953, In-8 broché sous jaquette illustrée. 252 pages. Trés bon état.‎


‎ Toutes les expéditions sont faites en suivi au-dessus de 25 euros. Expédition quotidienne pour les envois simples, suivis, recommandés ou Colissimo. ‎

Phone number : 05 65 42 95 21

EUR10.00 (€10.00 )

‎QUERLIN Marise‎

Reference : RO40057481

(1953)

‎Femmes sans hommes‎

‎Scorpion. 1953. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur bon état. 254 pages.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française‎


‎ Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR19.80 (€19.80 )

‎QUERLIN MARSE‎

Reference : RO30050257

(1953)

‎FEMMES SANS HOMMES‎

‎LES EDITIONS DU SCORPION. 1953. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 254 pages. Nombreux passages soulignés. Ecritures sur la première page de garde. Manque sur le premier plat.. . . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle‎


‎ Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR19.80 (€19.80 )

‎MARISE QUERLIN‎

Reference : R240000389

(1931)

‎FEMMES SANS HOMMES choses vue‎

‎EDITIONS DE FRANCE 41e édition. 1931. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 215 pages. Coiffes de tête et de pied abîmée. Manque sur le 1er et 2e plats de couverture.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française‎


‎ Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR49.50 (€49.50 )

‎QUERLIN Marise‎

Reference : RO80134010

(1968)

‎Femmes sans Hommes‎

‎RABELAIS. 20 sept. 1968. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 252 pages.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française‎


‎ Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR10.95 (€10.95 )

‎QUERLIN MARISE‎

Reference : R240068342

(1953)

‎FEMMES SANS HOMMES.‎

‎LES EDITIONS DU SCORPION. 1953. In-8. Broché. Etat d'usage, Coins frottés, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 254 pages - jaquette conservée, illustrée en couleurs .. Avec Jaquette. . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle‎


‎ Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR39.80 (€39.80 )

‎QUERLIN (Marise).-‎

Reference : 77213

(1953)

‎Femmes sans hommes.‎

‎ 1953 Paris, Editions du Scorpion, 1953, in 8° broché, 254 pages ; jaquette illustrée. ‎


‎ ...................... Photos sur demande ..........................‎

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Phone number : 04 77 32 63 69

EUR18.00 (€18.00 )

‎Querlin, Marise.‎

Reference : LCI-658

(1931)

‎Femmes sans hommes‎

‎ 1931 1931 Paris Les Editions de France 1931 1 in 12 Reliure Demi-Basane dos à nerfs 215[pp] ‎


‎ Bon état de conservation , pages jaunies mais exemplaire agréable; dos avec quelques manques de couleur. Frais de port inclus vers France métropole au tarif normal, délai d'acheminement sous 72h, pour les commandes > à 80 euros et poids < 1kg. Disponibilité sous réserve de vente en Boutique. Frais de port inclus vers France métropole au tarif normal, délai d'acheminement sous 72h, pour les commandes > à 80 euros et poids < 1kg. Disponibilité sous réserve de vente en Boutique. Disponibilité sous réserve de vente en boutique, prix valable frais de port inclus pour commande > 90 € et poids < 1 Kg‎

Phone number : 07 86 26 13 25

EUR20.00 (€20.00 )

‎Nuit et Jour Directeur de la publication : André Beyler‎

Reference : 53670

Phone number : 04 78 38 32 46

EUR11.00 (€11.00 )

‎QUERLIN (Marise)‎

Reference : 54414

(1931)

‎Femmes sans hommes choses vues‎

‎Paris, les éditions de France , 1931 , in douze, 215 pp, broché, en bon état,‎


‎mention de 56 ème édition,. ‎

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Phone number : 01 42 96 06 24

EUR30.50 (€30.50 )

‎Marise Querlin‎

Reference : 8587

‎FEmmes sans hommes‎

‎1953 Editions du scorpion broché, jaquette, 254p. bon état‎


Phone number : 04 76 97 79 28

EUR12.00 (€12.00 )
Shipping price: €4.00

‎Collectif‎

Reference : R110640083

(1946)

‎Ambiance n° 83 - Une journée avec Aimé Barelli, Un record mondial depuis 20 ans, le premier Mackensie-King préside aux destinées du Canada, Grace et beauté c'est le couple Irmgard et Alan, Dans un pays sans hommes, ce sont les femmes qui reconstruisent‎

‎Société moderne d'Editions et de Publications. 17 juillet 1946. In-4. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 16 pages. Nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎


‎Sommaire : Une journée avec Aimé Barelli, Un record mondial depuis 20 ans, le premier Mackensie-King préside aux destinées du Canada, Grace et beauté c'est le couple Irmgard et Alan, Dans un pays sans hommes, ce sont les femmes qui reconstruisent la Pologne, Réception a Washington, quand Margaret Truman est invitée d'honneur Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR29.80 (€29.80 )

‎Ferdinand Reyna, Elie de Loches, Pierre Fontaine‎

Reference : R110376296

(1935)

‎Le miroir du monde n° 295 - Femmes d'Ethiopie par Ferdinand Reyna, Le conflit, vu de Djibouti par Elie de Loches, Le Japon et l'Océanie par Pierre Fontaine, La fin des capitulations ? par René Capitan, L'ile sans hommes par Alain de Caters, Hauptmann‎

‎Société d'édition du petit parisien. 26 octobre 1935. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. Paginé de 377 à 400. Nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎


‎Sommaire : Femmes d'Ethiopie par Ferdinand Reyna, Le conflit, vu de Djibouti par Elie de Loches, Le Japon et l'Océanie par Pierre Fontaine, La fin des capitulations ? par René Capitan, L'ile sans hommes par Alain de Caters, Hauptmann devant la petite porte verte par Harry Grey Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎

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EUR29.80 (€29.80 )

‎Collectif‎

Reference : R110393660

(1941)

‎La semaine n° 60 - Australie - Menzies, le Dempsey des kangourous quitte le ring du parlement australien, La Turquie carrefour de trois empires, De nouveau, le croissant de l'armée turque flotte sur les dardanelles, Femmes dévoilées, hommes sans fez‎

‎Le matin. 18 septembre 1941. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 32 pages. Nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎


‎Sommaire : Australie - Menzies, le Dempsey des kangourous quitte le ring du parlement australien, La Turquie carrefour de trois empires, De nouveau, le croissant de l'armée turque flotte sur les dardanelles, Femmes dévoilées, hommes sans fez, tout un peuple pleure Kemal Ataturk Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎

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EUR29.80 (€29.80 )

‎DE ROCHEFORT Marie-Laurence - ‎

Reference : 2610

‎Tout ce que vous voulez savoir sur les femmes sans jamais oser le demander - Un livre destiné aux hommes qui intéressera les femmes - Éditions Michel Lafon, Paris, 2005‎

‎ 14X22,5, broché, bon état, 260 pages, ISBN: 9782749902227‎


‎Un guide clair pour se comprendre et décrypter les comportements homme-femme. ‎

Librairie Marco Polo - Saint Ismier

Phone number : 04 76 52 56 20

EUR10.00 (€10.00 )

‎BART, Léo ; BART, Jean ; BART, Charlemagne‎

Reference : 55268

(1915)

‎Belle correspondance personnelle et originale, adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917. Jean Bart fut successivement matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car pour l'essentiel non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917‎

‎94 cartes et LAS, auxquelles nous joignons quelques photos et quelques lettres postérieures. Belle correspondance personnelle adressée aux deux frères Charlemagne et Jean Bart par leur frère Léo Bart, du 4 janvier 1915 au 21 août 1917, adressée à Jean Bart, matelot mécanicien à la Caserne Eblé au Havre, puis marin à l’Arsenal de Cherbourg, puis embarqué à bord du sous-marin Denis-Papin. Remarquable correspondance, car non soumise à la censure militaire, d’environ 94 lettres et cartes, auxquelles nous joignons quelques photos personnelles des protagonistes.La première lettre est datée du 29 septembre 1914 de Nomain Andignies, adressée des parents Bart à leur « Cher Fils », dont ils ont appris qu’il était blessé mais peu gravement. Ils racontent le passage des allemands, la fuite des habitants de Nomains vers Douai, « et les allemands sont restés pendant 15 jours à Orchies pour préparer leurs mauvais coups il y a eu des anglais qui sont venus les dénicher alors ils sont partis pour Valenciennes [ etc… ] depuis le 24 août nous n’avons plus de courrier nous sommes obligés de faire porter nos lettres à Lille. Nous avons été tranquille jusque le 24 septembre la nous avons eu un combat à Archies les français ont pris 3 auto et dans un fossé on a trouvé un officier tué avec un ordre dans la poche que l’on devait incendier Orchies à 7 heures du soir [… ] et le lendemain ils ont mis le fin à tout Orchies [ …] A l’heur ou je t’écrit on vient de nous dire qu’il y a des Hulans qui viennent reconnaître le terrain et ce matin nous avons vu deux aéroplanes une allemande et une française qui lui a fait la chasse [etc…] ». Il s’agit de l’unique lettre de l’ensemble provenant des parents de Jean Bart, Nomain ayant ensuite été occupée par les allemands.Un frère (manifestement Léo Bart) écrit le 7 décembre 1914 « je ne travaille plus pour l’armée depuis 8 jours car en général tous les patrons parisiens se figurent que parce que nous sommes des réfugiés nous devons subir toutes leurs humiliations et faire des bassesses. J’ai fait 3 boutiques depuis mon arrivée à Paris, et je rentre demain dans la 4e comme contremaître [… ] Je me suis fait inscrire pour passer le conseil mais j’ai bien stipulé « automobiliste » mais c’est une ressource car je ferai tout ce qu’il m’est possible de faire pour me faire réformer de nouveau et si je ne puis l’être au conseil j’aurai au moins la chance de l’être en arrivant au corps ».[ … ] je suis ici avec l’oncle de Germaine, le directeur de chez Thiriez. [ … ] Il a envoyé un télégramme à Germazine « par la voie d’un consul de Hollande » [… ] « tout ce que l’on sait c’est que les Allemands ont tout organisés comme s’ils étaient chez eux à Roubaix ils ont rouvert les écoles, il font marcher les usines en autres la maison Thiriez ». Il évoque la guerre qui va durer au moins l’hiver, s’inquiète de son frère : « Et ton bras, comment va-t-il ? Fais bien attention de ne plus retourner à cette orgie sanguinaire et si les mouvements de ton bras ne sont plus complets ils ne pourront certainement pas de renvoyer au feu si tu sais te débrouiller, maintenant si à force d’insister on voulait te réformer ne te laisse surtout pas réformer n°2 il faut te faire réformer n°1 c’est-à-dire avec pension car il ne faut pas que tous ces messieurs c’en tire à si bon compte [ … ] Maintenant je voudrais bien savoir l’état exact de ton bras, car je crois que tu ne me dis pas toute la vérité [ …] ». Il lui conseille de se faire inscrire comme décolleteur.Suivent deux autres CP datées du 20 puis du 28 décembre 1914. On y apprend que leur frère Charlemagne, blessé, est à Périgueux, et que lui-même, Léo, a dû abandonner côté allemand sa femme et sa fille…Le même écrit le 4 janvier 1915 (1914 par erreur sur la lettre) à Jean, depuis le Grand Hôtel du Pont du Cher, à Saint-Florent, et l’informe qu’il s’y trouve « non comme soldat, mais comme militarisé pour monter une usine pour la fabrication des gaines d’obus. Je suis ici dans un sale patelin et on s’y fait crever à travailer je t’assure que je préfèrerais être sur le front ». Il est sans nouvelles de sa femme et de sa petite-fille, restées à Loos. Le 12 février 1915, il s’inquiète pour son frère « il paraît que chaque fois que tu sors du bois et te rends malade ce n’est pas digne d’un jeune homme tel que toi, que dirais-je moi qui ait laissé ma femme et ma petite-fille à Loos », [ …], « prends patience un grand coup se prépare et avant 1 mois soit persuadé que tous ces bandits seront chassés de chez nous ». Le 9 juin 1915, automobiliste dans le secteur Postal 63, il lui reproche d’avoir fait « de la caisse ». Il sait bien que l’on souhaiterait savoir ce qui se passe sur le front ; leur frère Charlemagne « pourrait te raconter bien des choses, mais la guerre du mois d’août dernier n’était pas celle que l’on fait en ce moment. Je puis t’en causer car ce matin encore je suis allé à 1500 mètres des tranchées boches et je t’assure que ça barde quand tu vois des chevaux coupés en deux par des éclats d’obus il faut pas demander quand cela arrive dans groupe d’hommes [ …] ». Les 11 et 15 mars 1915, Léo Bart écrit à Jean, sur papier à en-tête de l’Hôtel franco-russe à Paris. Il est désormais automobiliste et compte « monter sur le front avec une auto-mitrailleuse ou une auto-canon ou auto-projecteur. Je te conseillerai de faire une demande pour être versé comme moi au 13ème Artillerie comme automobiliste car on en demande beaucoup » [ … ] Charlemagne me dit que tu désires aller voir comment ça se passe sur le front, ne fait jamais cette bêtise là moi j’en reviens j’y ai passé 8 jours et je t’assure que ce n’est pas amusant ». Le 17 mars, Léo lui envoie une des lettres les plus émouvantes : « Je reviens du front où j’ai fait des convois de chevaux et maintenant je suis automobiliste mais malheureusement je crois que je vais repartir bientôt comme auto-mitrailleur. Enfin si jamais j’y laissai ma peau je compte sur toi pour aller voir Germaine et l’embrasser pour moi. Surtout ne dit jamais que c’est moi qui ai demandé à partir, tu me le jureras dans ta prochaine lettre [ souligné six fois !] car je le regrette amèrement ». […] « Ne te fais pas de mousse pour moi, je ne suis pas encore parti et tu sais que je suis débrouillard ». Suivent six missives plus brèves adressées à Jean et Charlemagne (lequel est arrivé au centre des Convalescents de La Force en Dordogne). Léo est désormais au service du courrier.Le 17 juillet 1915, Léo écrit qu’il lui est « arrivé une sale blague, nous étions en train de discuter dans la cour de chez nous quand arriva le lieutenant un copain cria 22, ce lieutenant a peut-être cru que c’était moi qui avait crié et depuis 8 jours je suis sur les épines [ … ] figure toi que le fautif est parti en permission, mais je dois te dire que ce lieutenant est du Midi et soit certain qu’il ne doit pas gober les gens du Nord, et il n’est pas sans savoir que les Gars du Nord détestent les mauvais soldats du Midi. Mais vois-tu la Guerre finira un jour et il faut espérer qu’on les houspillera un peu car ils n’ont rien à souffrir ils sont les bienvenus dans les hautes sphères, ils sont en communication avec les leurs enfin ils ont tou pour être heureux tandis que nous, il nous manque tout cela et non content d’être ainsi favorisé ces salauds là rient de notre malheur et nous tourne en risées [… ] Lorsque j’ai demandé ma permission pour Bergerac au bureau ont ma demandé si c’était pour aller voir Cyrano, j’aurai bien pu leur répondre que s’ils étaient un peu moins fénéants et un peu plus patriotes nous pourrions faire comme eux aller embrasser les nôtres [ … ] ».Le 19 septembre il expose la manière de correspondre avec Lille (« l’enveloppe ne doit pas être cacheté et ne pas parler de la guerre »). Le 20 septembre, Léo annonce avoir reçu des nouvelles de sa femme et de sa fille. Le 22 octobre (à Charlemagne et Jean, tous deux à Cherbourg) : « hier ont a demandé des volontaires pour la Serbie, et je vous prie de croire que si je n’avais pas femme et enfant je me serai fait inscrire car j’en ai assez de vivre au milieu de tous ces salauds là. Qu’est-ce que c’est que la guerre pour eux, ce n’est rien au contraire ils font de l’automobile toute la journée, ils ont de l’argent plein leurs poches, ils font venir leurs femmes quand ils veulent. Tu vois que ces gens là voudraient bien que la guerre dure éternellement [ …] Maintenant dans notre secteur c’est plus calme depuis quelques jours les boches attaquent plus à l’Ouest du côté de Reims mais ils ramassent la purge [ … ] ces vaches là tiennent bon quand même et quand on fait des prisonniers c’est parce qu’ils sont prix par les tirs de barrages qui empêchent les vivres d’arriver sans cela il se font tuer jusqu’au dernier même étant prisonnier ils nous engueulent encore ».Le 1er novembre 1915 puis le 6 novembre, Léo écrit, précisant que « si je t’envoie un lettre par un civil, c’est pour ne pas que ma lettre passe à la censure militaire et farceur que tu es tu mets sur ton adresse pour remettre à un militaire farceur va enfin ça y est tout est arrivé à bon port [ … ] » Dans les lettres suivantes (novembre et décembre ), il essaie d’envisager la réunion des 3 frères à Cherbourg, mais avec prudence, car les mensonger exposent aux enquêtes de gendarmerie.Le 21 janvier 1916, il indique avoir reçu une photo de sa femme dont il est resté marqué, « elle fait pitié tellement elle a maigri ».Le 20 février 1916, il s’inquiète de ne plus recevoir de nouvelles. Il a appris par son oncle que l’explosion du dépôt de munition de la Porte des postes a causé des dégâts considérables, « tout le quartier de Moulins-Lille est rasé il y a 600 immeubles de démolis, 2000 victimes civiles et 300 soldats boches, tout cela demande confirmation bien entendu mais c’est le bruit qui coure ».Le 1er avril 1916 il écrit : « nous sommes de nouveau au repos et tu as dû lire la citation de tous les automobilistes du front de Verdun ». Le 19 mai 1916 il écrit (Motocycliste 551 T. M. Convois auto B.C.M. Paris) : « Pour le moment nous sommes très surmenés avec cette sacrée bataille de Verdun qui n’en fini pas, qui est très fatiguant pour nous car il faut marcher jour et nuit pour le transport des munitions ».Nous ne détaillons pas l’intégralité de la correspondance. En juillet 1916, il raconte que des « nuées d’avions sillonnent continuellement le ciel nuit et jour et les boches ne peuvent plus monter leurs saucisses car on les abat aussitôt ». Le 216 octobre 1916 il évoque un tuyau de l’Intendance anglaise prétendant que Lille sera repris pour la fin du mois. « Contrairement à ce que je t’avais dit, au lieu d’aller dans l’infanterie, c’est pour les tracteurs d’artillerie, ou dans les « Tancks » (crème-de-menthe ») et on relèvera jusqu’à la classe 1902. En novembre « j’ai bien peut d’être expédié à Salonique, car en ce moment c’est une vraie pétaudière ». La dernière lettre du temps de guerre date du 21 août 1917‎


‎Passionnant ensemble, à analyser en profondeur. Prix de l'ensemble, non séparable.‎

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‎FERVACQUES ; [ FERVACQUES ; DUCHEMIN, Léon ]‎

Reference : 64001

(1872)

‎[ Lettre autographe signée : ] 1 L.A.S. de 4 pages, sur papier à son chiffre : "Voici cher et illustre maître quelques esquisses parisiennes écrites sans prétention, au jour le jour, sur le coin d'une table ou griffonnées à la hâte sur la feuille d'un carnet. Vous avez bien voulu, au moment de leur apparition dans le Gaulois me dire que vous leur trouviez quelques mérites, et votre suffrage n'a pas peu contribué, je l'avoue, à m'encourager dans la tâche que j'ai entreprise de peindre notre curieuse époque comme l'illustre Saint-Simon a peint la sienne dans ses splendeurs Louis-Quatorzièmes. C'est peut-être la seule valeur de ce volume, le premier d'une série qui en comptera six ou huit si Dieu me prête vie - c'est qu'il retrace fidèlement, photographiquement les choses, les hommes et surtout les femmes du Second Empire et de la phase transitoire que nous traversons. Il me semble que si nous possédions aussi des mémoires intimes sur la Restauration et l'âge de Louis-Philippe, les romanciers et peut-être les historiens trouveraient de curieux matériaux Peut-être aussi me trompais-je et la passion que j'ai pour Paris, que j'aime "jusque dans ses verrues" m'aveugle t'elle" [etc... ] ‎

‎1 L.A.S. de 4 pages, sur papier à son chiffre, s.d. [circa 1872] : "Voici cher et illustre maître quelques esquisses parisiennes écrites sans prétention, au jour le jour, sur le coin d'une table ou griffonnées à la hâte sur la feuille d'un carnet. Vous avez bien voulu, au moment de leur apparition dans le Gaulois me dire que vous leur trouviez quelques mérites, et votre suffrage n'a pas peu contribué, je l'avoue, à m'encourager dans la tâche que j'ai entreprise de peindre notre curieuse époque comme l'illustre Saint-Simon a peint la sienne dans ses splendeurs Louis-Quatorzièmes. C'est peut-être la seule valeur de ce volume, le premier d'une série qui en comptera six ou huit si Dieu me prête vie - c'est qu'il retrace fidèlement, photographiquement les choses, les hommes et surtout les femmes du Second Empire et de la phase transitoire que nous traversons. Il me semble que si nous possédions aussi des mémoires intimes sur la Restauration et l'âge de Louis-Philippe, les romanciers et peut-être les historiens trouveraient de curieux matériaux Peut-être aussi me trompais-je et la passion que j'ai pour Paris, que j'aime "jusque dans ses verrues" m'aveugle t'elle" [etc... ] ‎


‎Rare L.A.S. de ce curieux personnage que fut le chroniqueur au Gaulois et romancier Léon Duchemin, alias Fervacques (1840-1876), surtout connu pour ses "Mémoires d'un Décavé" qui sera préfacé par Arsène Houssaye. Il est possible que le destinataire en soit Octave Feuillet, qui sera le dédicataire des "Nouveaux Mémoires d'un Décavé". S'il faut en croire Mirbeau, Fervacques serait notamment l'inventeur du mot "rastaquouère" !‎

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‎COLLECTIF‎

Reference : R110315577

(1943)

‎SIGNAL N° 14 - Est-ce du temps perdu ? Les concerts dans les usines allemandes, Les femmes et le génie inventif, La paix sans chomage par le professeur Dr Hunke, Tactique nouvelle - missions nouvelles, Dai Toa Kyoeiken - 500 millions d'hommes‎

‎DEUTSCHER VERLAG. JUILLET 1943. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 40 pages. Nombreuses photographies en noir et blanc et couleurs dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 940.53-Seconde Guerre mondiale 1939-1945‎


‎Sommaire : Est-ce du temps perdu ? Les concerts dans les usines allemandes, Les femmes et le génie inventif, La paix sans chomage par le professeur Dr Hunke, Tactique nouvelle - missions nouvelles, Dai Toa Kyoeiken - 500 millions d'hommes sous l'influence japonaise, La crise de Tchoung-King Classification Dewey : 940.53-Seconde Guerre mondiale 1939-1945‎

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‎Collectif‎

Reference : R110523597

(1957)

‎Le Pèlerin n° 3897 - L'intimité et le forum, 9 hommes pour 55 femmes devant la radio, L'A.E.F. entre la préhistoire et l'an 2000, Celui que j'aimais n°9 par Myriam Catalany, Une école (sans doute unique) pour les jeunes ouvriers ruraux, Soeur Angèle‎

‎Bureau de de la revue. 21 juillet 1957. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 32 pages. Quelques illustrations en couleurs et noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 200-RELIGION‎


‎Sommaire : L'intimité et le forum, 9 hommes pour 55 femmes devant la radio, L'A.E.F. entre la préhistoire et l'an 2000, Celui que j'aimais n°9 par Myriam Catalany, Une école (sans doute unique) pour les jeunes ouvriers ruraux, Soeur Angèle et le milliardaire n°8 par Henry Catalan Classification Dewey : 200-RELIGION‎

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‎VITET (AYMAR. 16..-17..). ‎

Reference : 3577

(1702)

‎TRAITE DES HERNIES DES HOMMES, DES FEMMES ET DES PETITS ENFANTS, DE LEURS CAUSES, ET DIFERENCES. LES MOYENS DE LES GUERIR SANS OPERATION, OU PAR L’OPERATION. AVEC LA MANIERE DE REMETTRE L’ABAISSEMENT DE LA MATRICE & LE DEPOUILLEMENT DES RUGOSITES DU VAGINA ET UN TRAITE DE LA GENERATION, PAR DEMANDES & REPONSES. FORT UTILE AUX CHIRURGIENS, & AUX SAGES-FEMMES DANS TOUTES SORTES D’ACCOUCHEMENTS, NATURELS, CONTRE NATURE & LABORIEUX.‎

‎A TREVOUX. CHEZ ETIENNE GANEAU, DIRECTEUR DE L’IMPRIMERIE DE S.A.S. MONSEIGNEUR LE DUC DU MAINE, PRINCE SOUVERAIN DE DOMBES. 1702. 2 PARTIES EN UN VOLUME IN-12 (8,5 X 15 X 2 CENTIMETRES ENVIRON) DE (12) + 143 + (1) ET 153 + (3) PAGES, RELIURE D'EPOQUE PLEIN VEAU, DOS A CINQ NERFS ORNE DE CAISSONS A FLEURONS DORES, TITRE DORE SUR ETIQUETTE MAROQUIN ROUGE. OUVRAGE RARE. DEFAUTS EXTERIEURS, DONT MANQUE DE CUIR SUR LE MORS INFERIEUR. ‎


Phone number : 05 61 87 90 67

EUR300.00 (€300.00 )

‎[VITET (Louis)]‎

Reference : 10703

(1701)

‎Traité des Hernies des Hommes, des Femmes et des Petits Enfans, de leurs causes, et differences, les moyens de les guérir sans opération ou par l'Opération avec la Maniere de remettre l'abaissement de la Matrice & le dépouillement des Rugosités du Vagina et Un Traité de la Génération, et de Maladies des Femmes Accouchées, & des petits Enfans, & des Remèdes nécessaires… enrichi de figures par M *** , Me chirurgien.‎

‎ 1701 modeste basane brune (mq. 1 partie du caisson inf., petit mq. à la p. de titre - un nom découpé). 2 parties en 1 vol. in-12, (6ff.), 143pp. et 308pp., 2 planches, (3ff. approb. et privil.), a6, A-T12, [[pi]]1 -12° Lyon Hilaire Baritel 1701,‎


‎Vives approbations des censeurs "… Son raisonnement est juste, sa maniere d'Operer, & de guérir n'a rien de commun, ses Bandages sont singuliers & de son invention…". Deux gravures sur cuivre montrent les appareils utilisés.Le Titre de départ de la 2e partie porte: Traité de la génération du foetus humain et des acouchemens [sic] naturels, contre nature et laborieux.1 exemplaire sous cette date au CCFR, 3 avec nom de l'auteur pour l'édition de Trevoux de 1702. ‎

Phone number : 33 (0)3 85 53 99 03

EUR300.00 (€300.00 )

‎Gilbert JOSEPH‎

Reference : AUB-559

(1982)

CHF25.00 (€25.59 )

‎MARTIN, Henry‎

Reference : 130087

(1911)

‎Le Boccace de Jean sans Peur, des Cas des nobles hommes et femmes : reproduction des cent cinquante miniatures du manuscrit 5193 de la bibliothèque de l'Arsenal‎

‎Bruxelles, Paris, G. Van Oest & Cie 1911 In-4 33,5 x 25,5 cm. En feuillets, sous chemise demi-toile grise à lacets, dos muet, 8auteur & titre en rouge et noir sur le premier plat, 6 ff., notes en bas de page, notices des planches, table des matières, 39 planches contenant 150 figures. Ouvrage tiré à 410 exemplaires. Celui-ci, N 105/400 exemplaires, texte et planches sur vélin, numérotés de 11 à 410. Manque 1 lacet. Exemplaire en bon état.‎


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