A. Durand & fils. XXème. In-4. Broché. Bon état, Tâchée, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 62 pages.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions
N°9551. Volume III. Op : 16, 28 et 33. Révision par Maurice Ravel. Partitions pour piano. Classification Dewey : 780.26-Partitions
Manuscrit signé de 12 feuillets in-8 oblong rédigés au recto, pour un article paru dans la Revue Européenne du 1er Juin 1860, tome IX, pp. 409-413 : Intéressant manuscrit autographe signé par l'écrivain et critique Emile Perrin (1814-1885), alors ancien directeur de l'Opéra Comique (1848-1857) et futur directeur de l'Opéra (1862-1871) puis Administrateur général de la Comédie Française (1871-1885). On relève les annotations d'imprimeur (noms des typographes). Son analyse de Fidelio et de sa réception en France sont très informées. "Le Théâtre-Lyrique avait inauguré par Orphée sa saison d'hiver, il vient d'ouvrir par Fidelio sa saison de printemps. Après avoir fêté tour à tour Weber, Mozart et Gluck, il a voulu rendre les mêmes honneurs à Beethoven. L'intention est également louable ; mais je crains que le succès ne soit point égal. Populaire en Allemagne, accueilli avec enthousiasme en Angleterre, la partition de Fidelio n'a jamais pu s'acclimater sur nos scènes françaises. Faut-il en accuser le goût de notre public ? [ ... ] C'est dans la faiblesse de la pièce sur laquelle Beethoven a écrit la partition de Fidelio qu'il faut donc chercher la cause de ce constant insuccès. Le triste mélodrame de Bouilly, mis d'abord en musique par Gaveaux, n'était pas de nature à inspirer Beethoven. Son génie plane sur les hauteurs sublimes de la Symphonie Pastorale, de la Symphonie Héroïque ; il étouffe emprisonné dans les murs étroits d'une fable vulgaire, sans vraisemblance, sans intérêt, sans passion." [ Suit une analyse de l'histoire de Fidelio et de sa réception par le public français ] "L'exécution de Fidelio est inférieure à l'exécution d'Orphée et des noces de Figaro. L'orchestre, sur lequel pèse ici une grande part de responsabilité, s'est montré parfois, notamment dans l'ouverture, au-dessous de sa tâche. Mme Viardot n'a pu trouver dans le rôle de Fidelio les puissants contrastes, la vive passion du rôle d'Orphée. [...] Le rôle entier paraît d'ailleurs écrit sur un registre trop élevé pour la voix de Mme Viardot, et bien que cette voix soit douée d'une étendue exceptionnelle, elle n'atteint cependant les notes les plus élevés qu'à l'aide d'un déchirement douloureux. Le personnage de Fidelio exige, en outre, de la jeunesse ; sous l'habit du jeune paysan qui surprend l'amour de la fille du geôlier, Mme Viardot nous a fait regretter l'art avec lequel elle portait la tunique, la chlamyde et le cothurne antiques. M. Battaille chante le rôle de Rocco en musicien consommé et avec un grand sentiment du style ; Mlle Faivre montre de l'intelligence et la finesse, mais une finesse qui touche parfois au maniéré ; les autres artistes ne sont point de taille se mesurer à cette partition. [...] L'artiste chargé de représenter Ludovic Sforza a failli plus d'une fois, par l'étrangeté de ses allures, amener dans ce sombre drame un élément tout à fait imprévu, l'élément comique. Quel que doive être le succès de Fidelio, il faut savoir gré au Théâtre-Lyrique de cette tentative. [...] Il est assez curieux de voir une scène musicale, qui marche au quatrième rang, donner aux autres cet exemple du sentiment de l'art et du respect au public dont on ne craint point ailleurs de flatter les caprices et les inexcusables fantaisies. Il semble pour cela que tous les moyens soient bons, et l'on a répondu à tout quand on a dit : cela fait de l'argent. Avec ce mot là on a voulu absoudre un scandale musical qui s'est produit l'autre semaine dans la salle Ventadour. Le Théâtre-Italien a représenté l'Orphée aux Enfers de M. Offenbach.[...]" Il évoque ensuite l'Opéra-Comique et M. Gevaërt, mais aussi Donizetti : "la gloire de Donizetti ne recevra pas non plus un nouveau lustre de la représentation du petit ouvrage inédit joué sous le nom de Rita ou le Mari battu. On peut même dire que la musique de Donizetti a passé presque inaperçu au milieu des rires provoqués par les plaisanteries, un peu au gros sel, dont la pièce et semée. Il est vrai que l'exécution musicale laisse beaucoup à désirer.. [...] Seule, Mme Faure-Lefebvre ne peut suffire à tout. Elle a joué avec infiniment de grâce et l'esprit, trop d'esprit peut-être, un rôle bien invraisemblable pour elle, puisque Rita a fait la double faute d'épouser à la fois un niais et un butor. [ ... ] On dit que le rôle de Rita sera le dernier rôle créé par Mme Faure-Lefebvre et qu'elle doit prochainement quitter le théâtre. Ce sera une grande perte pour l'Opéra-Comique."
Intéressant manuscrit autographe signé par l'écrivain et critique Emile Perrin (1814-1885), alors ancien directeur de l'Opéra Comique (1848-1857) et futur directeur de l'Opéra (1862-1871) puis Administrateur général de la Comédie Française (1871-1885). On relève les annotations d'imprimeur (noms des typographes). Son analyse de Fidelio et la présentation de sa réception en France sont celles d'un critique très informé. Manuscrit provenant du fonds Dentu (l'éditeur Edouard Dentu prit la direction de la Revue Européenne de 1859 à 1862).
Neuchâtel, éd. Victor Attinger s.d. (1940). Bel exemplaire broché, couverture ornée d'éd., in-8, 170 pages + planches. Exemplaire de presse.
Paris. Masson et Yonet. 1833. Petit in-12 (84 x 137 mm) pleine basane porphyre, dos lisse finement orné or, pièce de titre de maroquin noir, gardes et tranches marbrées, 216 pages. Gravure en frontispice, vignette sur le titre montrant Aglaé donnant une leçon de piano, à une fille noire, et 2 gravures hors texte. Coins un peu cornés, quelques rousseurs. Bon exemplaire.
Plancy, Société de Saint-Victor, 1849, in-16 (9x15cm), demi-reliure dos long, plats papier marbré, 207p. Frontispice. Bon exemplaire.
HEUGEL. 1924. In-4. Broché. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos abîmé, Quelques rousseurs. 123 pages de partitions. Page de titre illustrée en noir et blanc. Couverture de protection plastique transparente. Dos renforcé avec de l'adhésif. Tampon sur la page de titre ainsi que sur la première page. Quelques déchirures sur le bord des plats, ainsi qu'un léger manque sur le premier plat.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions
E.F.77. Classification Dewey : 780.26-Partitions
GOUNOUILHOU / ROUAM J. ET CIE. 1892. In-12. Broché. Etat d'usage, 2ème plat abîmé, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 301 pages illustrées de nombreuses gravures et lettrines - Augmenté d'u frontispice.. . . . Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle
Illustrations des premiers artisites / µPréface d'Ernest TOULOUZE - couverture de Léon FAURET. Classification Dewey : 840.08-XIX ème siècle
ENOCH ET CIE. NON DATE. In-4. Broché. Etat d'usage, 1er plat abîmé, Dos abîmé, Quelques rousseurs. 79 pages de partitions. Tampon sur la page de titre. Premier plat absent. Page de titre illustrée en noir et blanc. Dos renforcé avec de l'adhésif.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions
903 Classification Dewey : 780.26-Partitions
AUGENER'S. NON DATE. In-4. Broché. Etat d'usage, Plats abîmés, Dos abîmé, Quelques rousseurs. 139 pages de partitions. Dos renforcé. Quelques déchirures aux extrémités des pages.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions
12930 Classification Dewey : 780.26-Partitions
Schott. XIXème. In-4. En feuillets. Bon état, Couv. légèrement passée, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. Paginé de 6 à 9. Déchirure entre les plats.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions
S.F. 795. Op. 16, n°2. Partitions pour piano. Classification Dewey : 780.26-Partitions
EDITION ENOCH ET CIE. non daté. In-4. Broché. Etat d'usage, Tâchée, Dos abîmé, Intérieur frais. 80 pages. Partition pour piano solo. Tampon sur le premier plat et dernier plat détaché.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions
Collection LITOLFF N° 903 Classification Dewey : 780.26-Partitions
RICHAULT.. Non daté. In-4. Broché. Bon état, Livré sans Couverture, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 11 pages de partitions.. . . . Classification Dewey : 780.26-Partitions
577. R. Classification Dewey : 780.26-Partitions
Editions Victor Attinger, s.d. In 8, reliure demi-maroquin bleu, 170 pages, dédicace manuscrite de l'auteur, en parfait état