79 books for « elle et son mari »Edit

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‎Collectif‎

Reference : R110385511

(1975)

‎Détective n° 1511 - 6 maitresses par jour ne lui suffisaient pas, L'amant de sa femme était son propre frère, Chaque jour elle endormait son mari aux barbituriques pour rejoindre son amant, Le mari amoureux prête sa femme a son rival, Violée par son ex‎

‎Editions nuit et jour. 24 juillet 1975. In-12. Broché. Bon état, 2ème plat abîmé, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 28 pages. Nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎


‎Sommaire : 6 maitresses par jour ne lui suffisaient pas, L'amant de sa femme était son propre frère, Chaque jour elle endormait son mari aux barbituriques pour rejoindre son amant, Le mari amoureux prête sa femme a son rival, Violée par son ex mari 15 jours après leur divorce Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎

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‎Marc Picard, Gilles Lapraz, Francis Duriez‎

Reference : R110385654

(1978)

‎Détective n° 1654 - En lui restant fidèle elle condamne son mari a mort par Marc Picard, Baron Bracht : ils ont osé monnayer la vie d'un mort par Gilles Lapraz, Il refait sa vie et garde son ex femme comme maitresse par Francis Duriez, Il décide‎

‎Editions nuit et jour. 20 avril 1978. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 31 pages. Nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎


‎Sommaire : En lui restant fidèle elle condamne son mari a mort par Marc Picard, Baron Bracht : ils ont osé monnayer la vie d'un mort par Gilles Lapraz, Il refait sa vie et garde son ex femme comme maitresse par Francis Duriez, Il décide de supprimer sa femme le jour ou elle perd son amant par Dominique Cellura Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎

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‎Jean Paul Allard, Patrick Faure,Michel Szkaradek‎

Reference : R110385551

(1976)

‎Détective n° 1551 - Goldman par Jean Paul Allard, Une mère a osé vendre son enfant par Patrick Faure, Elle trompe son mari pour vengé la mort de son fils par Michel Szkaradek, Innocenté en plein tribunal par l'assassin qui l'a fait condamner‎

‎Editions nuit et jour. 29 avril 1976. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 31 pages. Nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎


‎Sommaire : Goldman par Jean Paul Allard, Une mère a osé vendre son enfant par Patrick Faure, Elle trompe son mari pour vengé la mort de son fils par Michel Szkaradek, Innocenté en plein tribunal par l'assassin qui l'a fait condamner par André Mathys Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎

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‎Francis Duriez, Michel Szkaradek,Christian Chardon‎

Reference : R110385609

(1977)

‎Détective n° 1609 - Elle volait son mari pour payer ses amants par Francis Duriez, L'assassin jouait les policiers sur les lieux de son crime par Michel Szkaradek, Quand il retrouva ses fils ils étaient adoptés par Jean Paul Hallard, Découvre un témoin‎

‎Editions nuit et jour. 9 juin 1977. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 31 pages. Nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎


‎Sommaire : Elle volait son mari pour payer ses amants par Francis Duriez, L'assassin jouait les policiers sur les lieux de son crime par Michel Szkaradek, Quand il retrouva ses fils ils étaient adoptés par Jean Paul Hallard, Découvre un témoin capital dans l'affaire de Broglie par Christian Chardon Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎

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‎Gilles Lapraz, Gérard Carles, Alain Moro‎

Reference : R110385664

(1978)

‎Détective n° 1664 - Elle prêtait son mari a sa rivale par Gilles Lapraz, Le paisible berger se transforme en sadique par Gérard Carles, Il veut refaire sa vie avec celle qu'il avait rejetée par Gérard Carles, Il fait payer a sa maitresse l'infidélité‎

‎Editions nuit et jour. 29 juin 1978. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 31 pages. Nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎


‎Sommaire : Elle prêtait son mari a sa rivale par Gilles Lapraz, Le paisible berger se transforme en sadique par Gérard Carles, Il veut refaire sa vie avec celle qu'il avait rejetée par Gérard Carles, Il fait payer a sa maitresse l'infidélité de son épouse par Alain Moro Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎

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‎Collectif‎

Reference : R110385527

(1975)

‎Détective n° 1527 - Les chiens fous du Sussex, Vendetta dans la Sarthe, Elle choisit son mari parmi les criminels d'une prison, Il viole une femme pour découvrir l'amour, La prostituée gisait nue, Modèles pour photographies, Pasolini : meurtre du maitre‎

‎Editions nuit et jour. 13 novembre 1975. In-12. Broché. Bon état, Tâchée, Dos satisfaisant, Mouillures. 32 pages. Nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎


‎Sommaire : Les chiens fous du Sussex, Vendetta dans la Sarthe, Elle choisit son mari parmi les criminels d'une prison, Il viole une femme pour découvrir l'amour, La prostituée gisait nue, Modèles pour photographies, Pasolini : meurtre du maitre de l'érotisme Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎

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‎Collectif‎

Reference : R110600164

(1962)

‎Ecclesia, lectures chrétiennes n° 164 - Disciples d'Emmaüs par Jean Guitton, J'ai visité une yechiva par Jean Toulat, Qu'est ce qu'un évêque ?, Les origines du syndicalisme chrétien par Daniel Rops, Elle quitta son mari et fut a Dieu par Mgr Cristiani‎

‎Bureaux de la revue. Novembre 1962. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 137 pages. Quelques illustrations en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 200-RELIGION‎


‎Sommaire : Disciples d'Emmaüs par Jean Guitton, J'ai visité une yechiva par Jean Toulat, Qu'est ce qu'un évêque ?, Les origines du syndicalisme chrétien par Daniel Rops, Elle quitta son mari et fut a Dieu par Mgr Cristiani, Poèmes de Novembre par Henriette Charasson, Lise changée en Lis par Marie Noel Classification Dewey : 200-RELIGION‎

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‎Collectif‎

Reference : R110385463

(1974)

‎Détective n° 1463 - Elle découvre qu'elle a épousé son demi frère, Jalouse elle rend son mari infidèle, Par contrat il prête son épouse a son meilleur ami, Son tendre fiancé était un dangereux proxénète, Les quatre miraculés du train de l'horreur‎

‎Editions nuit et jour. 22 aout 1974. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 28 pages. Nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎


‎ Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎

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Reference : 300025929

Démons et Merveilles - Joinville

Phone number : 07 54 32 44 40

EUR25.00 (€25.00 )

‎BERNAGE, Berthe.‎

Reference : 16945

‎Elle et son mari.‎

‎Lyon, Editions OPTIC (« Collection Claire »), 1948. in-12, 190 pages, broche, couv., jaquette illustree.‎


‎Bel exemplaire. [JJ-1] ‎

Phone number : 07 80 01 72 79

EUR18.00 (€18.00 )

‎Collectif‎

Reference : DCI64AP

ISBN : B0000DO4I0

‎A-t-elle empoisonné son mari? l'affaire lafarge‎


‎Générique Broché D'occasion bon état 26/03/2021 150 pages‎

Phone number : 01 43 29 11 00

EUR15.00 (€15.00 )

‎COLLECTIF‎

Reference : RO10076051

(1917)

‎LES ANNALES POLITIQUES ET LITTERAIRES N° 1761 Féminisme... - Elle remplace son mari mobilisé (Photo prise à B. en Lorraine).‎

‎Dubuisson. 25 Mars 1917. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 20 pages environ. Paginée de 269 à 292. Illustrée de quelques gravures en noir et blanc dans le texte. Texte sur trois colonnes.. . . . Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique‎


‎Journal Hebdomadaire. Sommaire : Les femmes rendent la justice aux Etats-Unis. Le Vote des Femmes, par Alexandre Dumas fils. Les Lettres de la Cousine - Cinéma, par Yvonne Sarcey. Le Livre du jour : Lazarine - L'adieu, par Paul Bourget. Un tour d'adresse (Dessin de Th.-Th. Heine). Chez l'ennemi : La disette. La Préparation militaire aux Etats-Unis, par Ferri-Pisani. La femme française et la guerre (Deux composition de Lucien Jonas). Au Musée du Val-de-Grâce, par J. Ernest-Charles. Les poèmes - L'ordre, par Louis Payen. Le salut aux blessés, par Amélie Murat. Lettre à l'aimée, par Capitaine Georges Rollin. Nuit de guerre, par rené Stévenin. Classification Dewey : 70.4-Journalisme, chronique‎

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‎BERNAGE Berthe‎

Reference : RO80134764

(1948)

‎Elle et son Mari‎

‎OPTIC. 15 oct. 1948. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur acceptable. 190 pages. Jaquette illustrée en couleurs.. Avec Jaquette. . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française‎


‎"Collection ""Claire"". Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française"‎

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‎BERNAGE BERTHE‎

Reference : RO20188003

(1936)

‎ELLE ET SON MARI / COLLECTION COEUR ET VIE N°11‎

‎MARIAGE ET FAMILLE. 1936. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos frotté, Intérieur frais. 223 pages - dos fendu.. . . . Classification Dewey : 306.8-Mariage et famille‎


‎ Classification Dewey : 306.8-Mariage et famille‎

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EUR24.90 (€24.90 )

‎BERNAGE BERTHE‎

Reference : RO20209000

(1948)

‎ELLE ET SON MARI‎

‎OPTIC. 1948. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Mors fendus, Intérieur frais. 190 pages - jaquette abîmée. Avec Jaquette. . . Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle‎


‎COLLECTION CLAIRE Classification Dewey : 840.091-XX ème siècle‎

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EUR24.90 (€24.90 )

‎Collectif‎

Reference : 38441

(1968)

‎Revue historia n° 256 / catherine II a t'elle tué son mari‎

‎Tallandier 1968 in8. 1968. Broché. Bon Etat nombreuses illustrations‎


Livres-sur-sorgue - Isle-sur-la-sorgue

Phone number : 04 90 26 49 32

EUR4.50 (€4.50 )

‎MARCHAL REBOUL, Ninette‎

Reference : 55717

(1978)

‎Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul. ‎

‎1 manuscrit illustré de 47 ff., avec nombreuses photos contrecollées (retirage de clichés anciens mais également plusieurs photos originales anciennes (Mathilde Müller, Fernand Marchal, Roger et Thérèse Ramspacher, Les Ormeaux à Epinal, Ninette Reboul), 1978-1980, et 1 vol. reprographié (Souvenirs de Fernand Marchal), 205 pp.. Rappel du titre complet : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul [On joint : Souvenirs 1886-1944. Jours de Gloire par son grand-frère Fernand Marchal ]. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fill à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Ropartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul. ‎


‎Ecrit avec style ("L'Aîné était un roi d'égoisme, l'autre la bonté la plus délicate" ; "Celle-ci épousa un alsacien qui la fit plus pleurer que rire..." etc...) ce manuscrit intéressera de manière très large, notamment les amateurs d'histoire de l'Alsace ou des Vosges. Nous joignons à ce manuscrit original les souvenirs reprographiés de son frère Fernand Marchal (souvenirs beaucoup mieux "construits" mais très complémentaires).Nous fournissons ci-après un résumé succinct et quelques extraits de ce manuscrit original : Souvenirs illustrés de famille de "Ninette" Marchal Epouse Reboul, née vers 1900. Le grand-père maternel, Frédéric Müller, était pasteur venu d'Alsace en Algérie vers 1860. Il eut 6 enfants dont Fritz, Edouard, Caroline et Mathilde, mère de la narratrice. "Voici donc la branche maternelle, un quart de vos vies décrite, l'autre quart est certainement plus amusante, c'est celle de mon père". Celui-ci était l'un des 12 enfants de Gédéon Marchal (né au ban de la Roche près de Rothau vers 1820) lequel fut ouvrier puis contremaître à l'usine Steinlein Dieterlein. Son patron lui ayant avancé les sommes nécessaires, il put acheter une petite usine à Laclaquette. Du côté de son mari Paul Reboul, ils descendaient par la femme de Henri Reboul, Marguerite Méjan, de huguenots ("famille très HSP"). Sa soeur Pauline devint la femme du pasteur Noël. Le dernier quart "est parfaitement terrien, des vignerons du midi, j'ai toujours entendu votre père dire que ces grands parents ne travaillaient que quelques jours par an et vivaient très bien". Henri Reboul avait un frère Elie qui un deux filles dont l'une épousa un Aimé Rabinel et l'autre devint Madame Perrier. Ce grand-père Henri-Esprit Reboul était parti à Nîmes pour devenir acteur ou peintre mais il était finalement devenu directeur de l'usine dont sa femme Marguerite Méjan avait hérité de ses parents "la première usine de pâte fondée en France". "Je crois que cet homme doué pour toutes sortes de choses, de voies artistiques, à dû souffrir de se consacrer à la fabrication des vermicelles et des macaronis". 'Pendant de nombreuses années les 6 frères et 3 soeurs de la famille Marchal (Paul, Gustave, Jules, Camille, Ernest, Alfred, Mathilde, Lina, Fanny) se sont parfaitement entendus [... ] Aujourd'hui en août 1978 je suis le seul enfant vivant de Camille [ ... ]""Papa, Camille, aimait raconter son enfance dans la grande propriété de Rothau, la façon de vivre dans cette vallée de la Brûche entre le travail et la Bible". Il épousa Mathilde Müller, rencontrée à Alger. Nous passerons sur mille détails racontés avec verve. L'auteur fut au collège de fille à Saint Dié puis à Epinal. Elle survécut à la grippe espagnol (son grand-père lui avait prédit qu'elle perdrait ses cheveux...) puis à l'armistice devint cheftaine d'éclaireuse ("sans aucune formation"). L'année suivante, elle se définit une règle de vie : "ne pas mentir (sauf dans certains cas où on ne peut éviter sans dommages de faire de la peine) ; écouter sans interrompre en essayant de comprendre ; défendre le personnage absent au lieu de l'accabler ; et oublier autant que possible ce qu'on vous a dit". Elle évoque les cours de Monsieur Melchior en littérature, les cours de diction de Daniel Michenot, professeur au Conservatoire de Strasbourg (cela vers 1917-1918). Elle y rencontre le directeur, Guy Rapartz. "Le quatuor Capet était fort à la mode, je fis la connaissance de Capet 1er violon chez les Pol". Elle reçut 15 demandes en mariage de divers soupirants avant de convoler avec Paul Reboul, etc...‎

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‎Alain Moro, Dominique Cellura, Gérard Carles‎

Reference : R110385637

(1977)

‎Détective n° 1637 - La maitresse du P.D.G. était un tueur a gages par Alain Moro, Elle paie de sa vie l'infidélité de son mari par Dominique Cellura, Elle avait pris a l'essai son futur mari par Gérard Carles, Elle refusait d'épouser le père de son enfant‎

‎Editions nuit et jour. 22 décembre 1977. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 27 pages. Nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎


‎Sommaire : La maitresse du P.D.G. était un tueur a gages par Alain Moro, Elle paie de sa vie l'infidélité de son mari par Dominique Cellura, Elle avait pris a l'essai son futur mari par Gérard Carles, Elle refusait d'épouser le père de son enfant par Michel Szkaradek Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎

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‎FAURE-DECAMPS Veuve DENTU, Mme Léonie ; BINOT DE VILLIERS‎

Reference : 44465

(1887)

‎[ La fin d'une Dynastie de Libraire-Editeur : Importantes archives réunissant 7 dossiers manuscrits datés de 1887 à 1892 relatifs à la liquidation de la Librairie Edouard Dentu ] I : Mémoire de Madame veuve Dentu [ Mémoire manuscrit autographe de Léonie Dentu, 8 pp. in-folio, circa 1887 : ] "Madame Veuve E. Dentu, mise en cause, en vertu d'insinuations dépourvues de tout fondement lui imputant des dépenses exagérées, et une gestion imprudente de ses biens et revenus personnels, croit devoir protester avec la dernière énergie contre les calomnies dirigées contre elle dans un but intéressé. Elle met ses adversaires au défi de fournir une seule preuve de tous les faits qu'ils ont allégués. Elle n'a pas d'autre réponse à faire que d'exposer la situation désastreuse qui lui a été créée par l'incurie des liquidateurs de la succession de son mari." [Suit tout le détail de la situation, depuis le décès d'Edouard Dentu le 13 avril 1884. On relève quelques passages :] " M. Sauvaître qui avait été institué administrateur judiciaire après le décès de M. Dentu, avait présenté au notaire liquidateur, sans livre, ni écriture de commerce, des inventaires et des bilans qui n'avaient aucun caractère d'authenticité. [...] Il n'a pu ou n'a voulu fournir aucune situation relativement à ses comptes ; il s'est refusé à dresser un nouvel inventaire, à ouvrir les livres exigés par la loi, à remettre aux employés comptables les pièces leur permettant de dresser les états qu'il ne voulait ou ne pouvait faire lui-même. De plus, par son imprévoyance il accumulait de nouvelles et lourdes charges pour la maison de librairie déjà durement éprouvée par la crise commerciale ; enfin il empiétait sur les prérogatives de Mme Dentu en traitant sans mandat les auteurs. Par exemple il faisait imprimer le livre "Le Gaga" et se hâtait de le mettre en vente malgré une défense expresse de Mme Dentu. Déjà blessée par l'attitude outrageante qu'il prenait à son égard, elle ne put se dispenser de le congédier après inutiles remontrances [ ... ] C'est ainsi que la reconstitution entière de la comptabilité et les rectifications d'écriture qui en étaient la conséquence n'ont pu être essayées qu'après le départ de M. Sauvaître à dater du 1er janvier 1886. Elles ont abouti en peu de temps à la constatation de la situation désastreuse qui avait été faite à Mme Dentu. [ Celle-ci se tourne en vain de tous côtés : ] Elle fit plusieurs versements pour une somme totale de 50000 fr. à la caisse de la librairie. Elle essaya en outre de s'associer des capitalistes. Dès le mois de juin 1886 un acquéreur présenté par M. de La Batut étudiait un projet d'achat dans des conditions paraissant avantageuses [ ... mais c'est l'échec. Elle souscrit un emprunt ] Mais malgré ses efforts et en raison des manoeuvres de concurrents et des ennemis acharnés surgissant de tous côtés contre elle, elle n'eut pu suffire à conjurer le péril d'une suspension de paiement si elle n'eût conclu en février 87 un acte d'association qui consacrait presque entièrement tous les avantages et toutes les prérogatives qu'on lui avait attribués lors du partage. Malheureusement la persistance de la crise commerciale et le danger de continuer les opérations qui pouvaient créer pour l'avenir des charges qu'elle n'eût été en état de supporter même partiellement l'obligèrent à conclure de nouveaux arrangements pécuniaires pour partager la responsabilité commerciale avec ceux des associés qui étaient mieux qu'elle en mesure d'en subir les conséquences, puis à se retirer entièrement, et définitivement par acte de cession du 1er octobre 87. [...] Sans entrer dans une discussion de chiffre quelconque, il est facile d'établir quelles sont les causes directes du déficit laissé par Dentu à son décès : ce sont exclusivement les dépenses personnelles engagées depuis l'année 1879 jusqu'à la fin de 1883, notamment l'achat de divers immeubles de plaisance, d'un prix élevé, coûteux d'entretien et sans revenus avec les frais d'aménagement d'installations et d'ameublement (sans parler de l'établissement de Mme de la Batut) ; les sommes déboursées pour ces différentes affaires dépassaient pour cette période 500000 fr., prélevés sur le compte courant du comptoir d'escompte c'est-à-dire les recouvrements effectués sur les clients de la librairie, le véritable actif commercial, qui n'était alors nullement disponible". [ etc.] II : Rapport d'arbitrage par Binot de Villiers daté du 26 novembre 1892. Contestation entre Madame Veuve Dentu Demanderesse d'une part et MM. Hippeau, Curel, Gougis, Richardin d'autre part [ Rapport d'arbitrage de 39 pp. manuscrites in-folio, détaillant avec grande clarté et précision le litige complexe opposant la Veuve Dentu à ses nouveaux associés, liés par divers contrats sur la seule année 1887. Remarquable document sur l'histoire de la librairie et de l'édition à la fin du XIXe siècle. On citera notamment ce passage : ] "Pour obtenir une avance de la librairie Dentu, un auteur promet d'apporter prochainement un manuscrit, et la librairie lui fait cette avance pour qu'il n'aille pas apporter son manuscrit ailleurs et c'est-à-dire pour s'assurer la préférence. Si l'auteur ne remplit pas sa promesse la librairie subit une perte presque toujours irrecouvrable. S'il remplit sa promesse, pas de difficultés si ce n'est qu'à ce moment on lui verse généralement le complément de ses droits d'auteur. Comme la librairie n'a d'espoir d'être remboursé que sur le produit de la vente et c'est ce qu'indique très clairement la convention du 13 octobre 1887, lorsqu'elle est édicte que le remboursement des avances se fera par voie de déduction sur les sommes auxquelles ont droit les auteurs, la librairie commence par déduire des droits d'auteur les avances déjà faites et ne se libère ensuite que contre remise du manuscrit. Elle ne court plus alors que le risque de l'insuccès de l'ouvrage." ; III : Liquidation de la Société Dentu & Cie dissoute le 30 juin 1887. Deuxième Compte [ 8 feuillets in-folio. Le rapport d'arbitrage indique : " à la date du 8 février 1887, une société était formée sous la raison sociale Dentu & Cie entre Mme Veuve Dentu et M. Hippeau, associés en nom collectif et M. Curel simple commanditaire ; mais quelques mois plus tard, c'est-à-dire le 16 juillet 1887, cette société était dissoute avec effet rétroactif aux 30 juin" ] ; IV : Compte Personnel de Mme Vve Dentu du 1er octobre 1887 au 30 Juin 1888 [ 1er et 2e compte, ensemble 4 feuillets in-folio ] ; V : Librairie Dentu. Société Curel Gougis et Cie. Compte Personnel de Madame Vve Edouard Dentu, période du 1er juillet au 8 novembre 1888 [ 4 ff. in-folio] ; VI : Lot d'une cinquantaine de feuillets d'inventaire, essentiellement Inventaire des Magasins de Ségur [ Comme le précise le rapport de l'arbitre, "Le magasin de l'avenue de Ségur n'était pas un magasin de vente était uniquement un lieu de dépôt choisi par Mme dentu dans une maison montée des propriétaires et elle seule avait la clé de ce dépôt où elle avait rassemblé les ouvrages qui n'étaient plus de vente courante."] ; VII : Compte Principal de Madame Dentu chez son mandataire M. Albert Baudry depuis le 10 décembre 1889 [ 4 feuillets in-4 sous chemise, daté du 31 mars 1892 ]‎

‎Important ensemble de 7 dossiers manuscrits datés de 1887 à 1892 relatifs à la liquidation de la Librairie Edouard Dentu ] I : Mémoire de Madame veuve Dentu [ Mémoire manuscrit autographe de Léonie Dentu, 8 pp. in-folio, circa 1887 : ] "Madame Veuve E. Dentu, mise en cause, en vertu d'insinuations dépourvues de tout fondement lui imputant des dépenses exagérées, et une gestion imprudente de ses biens et revenus personnels, croit devoir protester avec la dernière énergie contre les calomnies dirigées contre elle dans un but intéressé. Elle met ses adversaires au défi de fournir une seule preuve de tous les faits qu'ils ont allégués. Elle n'a pas d'autre réponse à faire que d'exposer la situation désastreuse qui lui a été créée par l'incurie des liquidateurs de la succession de son mari." [Suit tout le détail de la situation, depuis le décès d'Edouard Dentu le 13 avril 1884. On relève quelques passages :] " M. Sauvaître qui avait été institué administrateur judiciaire après le décès de M. Dentu, avait présenté au notaire liquidateur, sans livre, ni écriture de commerce, des inventaires et des bilans qui n'avaient aucun caractère d'authenticité. [...] Il n'a pu ou n'a voulu fournir aucune situation relativement à ses comptes ; il s'est refusé à dresser un nouvel inventaire, à ouvrir les livres exigés par la loi, à remettre aux employés comptables les pièces leur permettant de dresser les états qu'il ne voulait ou ne pouvait faire lui-même. De plus, par son imprévoyance il accumulait de nouvelles et lourdes charges pour la maison de librairie déjà durement éprouvée par la crise commerciale ; enfin il empiétait sur les prérogatives de Mme Dentu en traitant sans mandat les auteurs. Par exemple il faisait imprimer le livre "Le Gaga" et se hâtait de le mettre en vente malgré une défense expresse de Mme Dentu. Déjà blessée par l'attitude outrageante qu'il prenait à son égard, elle ne put se dispenser de le congédier après inutiles remontrances [ ... ] C'est ainsi que la reconstitution entière de la comptabilité et les rectifications d'écriture qui en étaient la conséquence n'ont pu être essayées qu'après le départ de M. Sauvaître à dater du 1er janvier 1886. Elles ont abouti en peu de temps à la constatation de la situation désastreuse qui avait été faite à Mme Dentu. [ Celle-ci se tourne en vain de tous côtés : ] Elle fit plusieurs versements pour une somme totale de 50000 fr. à la caisse de la librairie. Elle essaya en outre de s'associer des capitalistes. Dès le mois de juin 1886 un acquéreur présenté par M. de La Batut étudiait un projet d'achat dans des conditions paraissant avantageuses [ ... mais c'est l'échec. Elle souscrit un emprunt ] Mais malgré ses efforts et en raison des manoeuvres de concurrents et des ennemis acharnés surgissant de tous côtés contre elle, elle n'eut pu suffire à conjurer le péril d'une suspension de paiement si elle n'eût conclu en février 87 un acte d'association qui consacrait presque entièrement tous les avantages et toutes les prérogatives qu'on lui avait attribués lors du partage. Malheureusement la persistance de la crise commerciale et le danger de continuer les opérations qui pouvaient créer pour l'avenir des charges qu'elle n'eût été en état de supporter même partiellement l'obligèrent à conclure de nouveaux arrangements pécuniaires pour partager la responsabilité commerciale avec ceux des associés qui étaient mieux qu'elle en mesure d'en subir les conséquences, puis à se retirer entièrement, et définitivement par acte de cession du 1er octobre 87. [...] Sans entrer dans une discussion de chiffre quelconque, il est facile d'établir quelles sont les causes directes du déficit laissé par Dentu à son décès : ce sont exclusivement les dépenses personnelles engagées depuis l'année 1879 jusqu'à la fin de 1883, notamment l'achat de divers immeubles de plaisance, d'un prix élevé, coûteux d'entretien et sans revenus avec les frais d'aménagement d'installations et d'ameublement (sans parler de l'établissement de Mme de la Batut) ; les sommes déboursées pour ces différentes affaires dépassaient pour cette période 500000 fr., prélevés sur le compte courant du comptoir d'escompte c'est-à-dire les recouvrements effectués sur les clients de la librairie, le véritable actif commercial, qui n'était alors nullement disponible". [ etc.] II : Rapport d'arbitrage par Binot de Villiers daté du 26 novembre 1892. Contestation entre Madame Veuve Dentu Demanderesse d'une part et MM. Hippeau, Curel, Gougis, Richardin d'autre part [ Rapport d'arbitrage de 39 pp. manuscrites in-folio, détaillant avec grande clarté et précision le litige complexe opposant la Veuve Dentu à ses nouveaux associés, liés par divers contrats sur la seule année 1887. Remarquable document sur l'histoire de la librairie et de l'édition à la fin du XIXe siècle. On citera notamment ce passage : ] "Pour obtenir une avance de la librairie Dentu, un auteur promet d'apporter prochainement un manuscrit, et la librairie lui fait cette avance pour qu'il n'aille pas apporter son manuscrit ailleurs et c'est-à-dire pour s'assurer la préférence. Si l'auteur ne remplit pas sa promesse la librairie subit une perte presque toujours irrecouvrable. S'il remplit sa promesse, pas de difficultés si ce n'est qu'à ce moment on lui verse généralement le complément de ses droits d'auteur. Comme la librairie n'a d'espoir d'être remboursé que sur le produit de la vente et c'est ce qu'indique très clairement la convention du 13 octobre 1887, lorsqu'elle est édicte que le remboursement des avances se fera par voie de déduction sur les sommes auxquelles ont droit les auteurs, la librairie commence par déduire des droits d'auteur les avances déjà faites et ne se libère ensuite que contre remise du manuscrit. Elle ne court plus alors que le risque de l'insuccès de l'ouvrage." ; III : Liquidation de la Société Dentu & Cie dissoute le 30 juin 1887. Deuxième Compte [ 8 feuillets in-folio. Le rapport d'arbitrage indique : " à la date du 8 février 1887, une société était formée sous la raison sociale Dentu & Cie entre Mme Veuve Dentu et M. Hippeau, associés en nom collectif et M. Curel simple commanditaire ; mais quelques mois plus tard, c'est-à-dire le 16 juillet 1887, cette société était dissoute avec effet rétroactif aux 30 juin" ] ; IV : Compte Personnel de Mme Vve Dentu du 1er octobre 1887 au 30 Juin 1888 [ 1er et 2e compte, ensemble 4 feuillets in-folio ] ; V : Librairie Dentu. Société Curel Gougis et Cie. Compte Personnel de Madame Vve Edouard Dentu, période du 1er juillet au 8 novembre 1888 [ 4 ff. in-folio] ; VI : Lot d'une cinquantaine de feuillets d'inventaire, essentiellement Inventaire des Magasins de Ségur [ Comme le précise le rapport de l'arbitre, "Le magasin de l'avenue de Ségur n'était pas un magasin de vente était uniquement un lieu de dépôt choisi par Mme dentu dans une maison montée des propriétaires et elle seule avait la clé de ce dépôt où elle avait rassemblé les ouvrages qui n'étaient plus de vente courante."] ; VII : Compte Principal de Madame Dentu chez son mandataire M. Albert Baudry depuis le 10 décembre 1889 [ 4 feuillets in-4 sous chemise, daté du 31 mars 1892 ]‎


‎Important ensemble réunissant diverses pièces relatives au "naufrage" de la librairie Dentu, au lendemain du décès du grand éditeur Edouard Dentu. On notera un remarquable rapport d'arbitrage détaillant avec une grande clarté les litiges très complexes qui opposèrent la Veuve Dentu à ses nouveaux associés. L'arbitre plonge dans les arcanes de l'édition et de la librairie parisienne des années 1884-1890. Prix du lot, non séparable.‎

Phone number : 09 82 20 86 11

EUR1,400.00 (€1,400.00 )

‎Francis Duriez, Gilles Lapraz, Jean Marc‎

Reference : R110385627

(1977)

‎Détective n° 1627 - Elle refusait d'avoir pour amant un homme marié par Francis Duriez, Elle s'offre a l'assassin de son mari par Gilles Lapraz, L'oncle du petit Bruno était un monstre par Jean Marc, Elle recevait les lettres d'maour que son mari envoyait‎

‎Editions nuit et jour. 13 octobre 1977. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 31 pages. Nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎


‎Sommaire : Elle refusait d'avoir pour amant un homme marié par Francis Duriez, Elle s'offre a l'assassin de son mari par Gilles Lapraz, L'oncle du petit Bruno était un monstre par Jean Marc, Elle recevait les lettres d'maour que son mari envoyait a une autre par Jean Moho Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎

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Phone number : 05 57 411 411

EUR29.80 (€29.80 )

‎Collectif‎

Reference : R110385519

(1975)

‎Détective n° 1519 - Son mari la viole pour l'arracher a son amant, La fiancée du pédéraste voulait mourir dans les bras d'un amant, Elle croyait tenir un mari de vingt ans plus jeune qu'elle, Laisserons nous tomber Françoise Claustre ?, Vierge et perverse‎

‎Editions nuit et jour. 18 septembre 1975. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 28 pages. Nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎


‎Sommaire : Son mari la viole pour l'arracher a son amant, La fiancée du pédéraste voulait mourir dans les bras d'un amant, Elle croyait tenir un mari de vingt ans plus jeune qu'elle, Laisserons nous tomber Françoise Claustre ?, Vierge et perverse elle débauche le sexagénaire Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎

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‎Collectif‎

Reference : R110385825

(1979)

‎Qui ? Police n° 25 - Dévouée a son mari jusqu'au crime, Elle découvre qu'elle a sa mère pour rivale, Il avait fait d'une petite vendeuse une chatelaine, Abattu par sa maitresse le jour de son mariage, Séparé de sa femme il ne supporte pas‎

‎Editions nuit et jour. 28 juin 1979. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 32 pages.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎


‎Sommaire : Dévouée a son mari jusqu'au crime, Elle découvre qu'elle a sa mère pour rivale, Il avait fait d'une petite vendeuse une chatelaine, Abattu par sa maitresse le jour de son mariage, Séparé de sa femme il ne supporte pas qu'elle le trompe, Elle force son mari a lui être infidèle Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎

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‎Marc Picard, Dominique Cellura, Alain Moro‎

Reference : R110385636

(1977)

‎Détective n° 1636 - Elle se fait refaire le corps pour reconquérir son mari par Marc Picard, L'homme a femmes rend son épouse frigide par Dominique Cellura, Il était persuadé que l'ami de sa fille était l'amant de sa femme par Alain Moro, Elle tombe‎

‎Editions nuit et jour. 15 décembre 1977. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 31 pages. Nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎


‎Sommaire : Elle se fait refaire le corps pour reconquérir son mari par Marc Picard, L'homme a femmes rend son épouse frigide par Dominique Cellura, Il était persuadé que l'ami de sa fille était l'amant de sa femme par Alain Moro, Elle tombe amoureuse de son mari dans les bras de son amant par Alain Moro Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎

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‎Collectif‎

Reference : R110385515

(1975)

‎Détective n° 1515 - Elle cherchait un père pour son enfant elle trouve un amant, Elle se refuse a son mari 8 jours après leurs noces, Une femme lui offre son corps pour le sauver du suicide mais, Ruiné par une prostituée, il devient son protecteur‎

‎Editions nuit et jour. 21 aout 1975. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 28 pages. Nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎


‎Sommaire : Elle cherchait un père pour son enfant elle trouve un amant, Elle se refuse a son mari 8 jours après leurs noces, Une femme lui offre son corps pour le sauver du suicide mais, Ruiné par une prostituée, il devient son protecteur, L'explosion du dépot de carburant de Metz Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎

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Reference : R110385521

(1975)

‎Détective n° 1521 - Il cède sa femme a son rival, Elle s'offre a un homme sous les yeux de son amant, Elle prend son jardinier pour amant, Patricia Hearst fille de milliardaire et anarchiste, Reveillé au plaisir après vingt six ans de mariage, Son mari‎

‎Editions nuit et jour. 2 octobre 1975. In-12. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 28 pages. Nombreuses photographies en noir et blanc dans et hors texte.. . . . Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎


‎Sommaire : Il cède sa femme a son rival, Elle s'offre a un homme sous les yeux de son amant, Elle prend son jardinier pour amant, Patricia Hearst fille de milliardaire et anarchiste, Reveillé au plaisir après vingt six ans de mariage, Son mari était un travesti Classification Dewey : 70-Journalisme, édition. Journaux‎

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