Sans lieu, ni date, 1945 ; brochure in-4°, broché, couverture ocre illustrée aux 2 plats d'une photographie en noir , titre imprimée en orange au 1er plat; 8ff.nch( y compris la couverture) montrant des photographies légendées de la Libération de Stasbourg.
Très bon état.(CO1)
Paris Plon 1910 1 vol. relié in-12, demi-percaline rouge, pièce de titre de basane verte, couvertures conservées, 295 pp. Rousseurs éparses. Ex-libris gravé. Bon état.
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LES ARTS GRAPHIQUES. 1912. In-8. Relié. Etat d'usage, Couv. défraîchie, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 115 pages augmentées de nombreuses planches en couleurs, dont frontispice (sous serpente). . . . Classification Dewey : 908.44383-Régionalisme : Alsace
Classification Dewey : 908.44383-Régionalisme : Alsace
LES ARTS GRAPHIQUES. 1912. In-12. Cartonnage d'éditeurs. Etat d'usage, Couv. partiel. décollorée, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 117 pages. Frontispice en couleurs. Quelques planches illustrées en couleurs.. . . . Classification Dewey : 908.44383-Régionalisme : Alsace
"""Les Beaux Voyages"". Classification Dewey : 908.44383-Régionalisme : Alsace"
PLON. Sans date. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement pliée, Dos abîmé, Papier jauni. 295 pages. 20e édition. . . . Classification Dewey : 908.44383-Régionalisme : Alsace
Classification Dewey : 908.44383-Régionalisme : Alsace
LE VERGER. 1989. In-4. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 188 pages - Nombreuses photos en noir et blanc et en couleur dans le texte - TExte sur 2 colonnes - 1 illustration couleur contrecollée sur le 1er plat - Exemplaire N°151.. . . . Classification Dewey : 908.44383-Régionalisme : Alsace
Classification Dewey : 908.44383-Régionalisme : Alsace
Stasbourg, Oberlin, 1981-1985. Deux vol. in-8 oblong, cartonnage éditeur bleu-nuit sous jaquette ill., 174 et 174 pp., nombr. ill. in et h.-t. en noir et en coul., biblio. Bonne condition.
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Colmar, Alsatia, 1927, 173x252 mm., 246 pp., broché, quelques rares rousseurs, état correct.
Envoi hors de France : le tarif économique est réservé aux livres d'un prix maximum de 50 euros. Dans tous les cas, le prix du port est calculé selon la destination et le poids du colis.
LINROTT D OBERNAI OSCAR ET MATTES R.
Referencia : R150164775
(2003)
ISBN : 271910695X
VILO.. 2003. In-4. Cartonnage d'éditeurs. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 141 pages. Photo en couleurs en frontispice. Nombreuses photos en couleurs dans le texte et hors texte.. . . A l'italienne. Classification Dewey : 908.44383-Régionalisme : Alsace
Classification Dewey : 908.44383-Régionalisme : Alsace
Presses Universitaires de Strasbourg,1996.In-4 cartonné illustré de 528 pages avec Table des Matières.Reproductions de photos et de documents.
Etat neuf sauf dédicace signée du possesseur.
Presses universitaires de Strasbourg.1996.In-8,cartonnage éditeur ill.527 p.Ills.en noir.Dédicace de l'Auteur.
TBE.
Toulouse, Privat, 1983, gr. in-8° carré, 331 pp, 8 pl. de gravures et photos hors texte, 13 cartes et illustrations dans le texte, biblio, index, reliure pleine toile éditeur, sans la jaquette, bon état (Coll. Pays et villes de France)
Par Georges Livet, Georges Bischoff, Charles Bonnet, Gabriel Braeuner, Jean-Marie Schmitt, Lucien Sittler, Christian Wilsdorf. — "Le nom de Colmar viendrait du mot latin columbarium (colombier), mais à l'époque romaine le centre de peuplement, le camp fortifié d'Argentovaria, se situe sur l'emplacement du village actuel de Horbourg, un peu plus à l'Est. La première mention assurée de Colmar se trouve dans un diplôme de 823, accordé par Louis le Pieux. Une autre référence qualifie en 865 le lieu de villa : c'est le centre d'un grand domaine rural, qui est bientôt morcelé au profit d'institutions ecclésiastiques. La véritable entrée dans l'histoire est l'octroi du statut de ville en 1212 par Frédéric II, alors roi de Germanie. Un conseil gère la bourgade, qui prospère, et le prévôt Jean Roesselmann, un tanneur, mène la résistance contre les ambitions temporelles de l'évêque de Strasbourg. Une charte de franchises est accordée en 1278 par Rodolphe de Habsbourg, à qui les bourgeois ont envoyé douze tonneaux de leur meilleur vin ! Dans les troubles du XIVe siècle, l'union avec les autres villes impériales semble indispensable, des contacts sont pris et en 1354 Charles IV constitue officiellement la Ligue des dix villes, la fameuse Décapole. Au XVIe siècle, Colmar est ainsi décrite par Sébastien Munster comme «une plaisante cité... située en une plaine fertile... ayant de toutz costez grand quantité de vin et de bled, et la terre est principalement bonne à pourter frouments, oignons et aultres jardinages ». Le couvent des Dominicaines (Unterlinden) est réputé pour la qualité de sa vie spirituelle. Un grand artiste, Martin Schongauer, a illustré avec génie la dévotion mariale, tandis que Matthias Grunewald a peint son admirable retable pour le couvent proche d'Issenheim. Cependant en 1575 la ville passe au protestantisme, par la volonté de l'oligarchie municipale. Mais le régime confessionnel est bientôt remis en question par les péripéties de la Guerre de Trente Ans. Celle-ci a aussi pour effet d'introduire le roi de France dans les pays du Rhin. Il installe pour la première fois des troupes à Colmar en 1635 et il obtient au traité de Westphalie la cession de la Décapole et de toutes les possessions alsaciennes des Habsbourg. Le bourgmestre, présent à Munster, toujours avec des barriques, a lutté pour que la ville « ne soit pas réduite d'un libre État d'Empire en servitude et esclavage éternels ». Le maintien formel de l'immédiateté d'Empire est illusoire, il craque vite sous l'action des agents de Louis XIV. Et à partir de 1679, Colmar constitue le centre de l'influence française, avec une garnison que double la place de Brisach, avec une subdélégation qui administre l'Alsace moyenne, avec enfin en 1698 le Conseil souverain qui exerce la souveraineté judiciaire. La société se transforme : la culture française et la religion catholique prennent l'avantage, plus nettement qu'à Strasbourg. Comme Mulhouse reste encore une cité indépendante, c'est tout naturellement à Colmar que la Constituante établit le chef-lieu du haut Rhin quand elle partage l'Alsace en deux départements. Bientôt son plus illustre fils, le général Rapp, devient l'aide de camp et l'interprète de l'Empereur. Depuis un siècle, l'histoire de la ville a suivi l'histoire de la province et participé à ses épreuves. Elle s'est montrée une « capitale de la protestation » contre l'annexion allemande, par une série de scrutins comme par les fameuses gravures du caricaturiste Hansi, tandis que le sculpteur Bartholdi connaissait la gloire à Paris et à New- York. Mais, en réaction contre la centralisation parisienne, l'autonomisme y a aussi trouvé des partisans, autour de l'abbé Haegy et du député Rossé. L'industrie textile s'est développée au xtx* siècle et sensiblement diversifiée ensuite. Après 1945, la ville a beaucoup changé. De nouvelles usines ont été installées, des ensembles de logements ont été construits, sous l'impulsion d'un maire remarquable, Joseph Rey, populaire pour sa simplicité, son patriotisme et son efficacité, réélu sans interruption pendant trente ans de 1947 à 1977. Sept auteurs qualifiés se sont partagés cette fresque millénaire. Leur écrit vivant et précis se fonde sur une solide connaissance des sources et sur une riche bibliographie. Des gravures et des photographies évoquent les aspects successifs de la ville, des graphiques saisissent certaines données de sa croissance économique. Il est également présenté quelques plans." (Pierre Barral, Revue belge de philologie et d'histoire, 1987)
Toulouse, Privat, 1983, gr. in-8° carré, 331 pp, 8 pl. de gravures et photos hors texte, 13 cartes et illustrations dans le texte, biblio, index, reliure pleine toile éditeur, jaquette illustrée, bon état (Coll. Pays et villes de France). Edition originale, numérotée sur vélin spécial Pétrarque des Papeteries de la Rochette Cenpa
Par Georges Livet, Georges Bischoff, Charles Bonnet, Gabriel Braeuner, Jean-Marie Schmitt, Lucien Sittler, Christian Wilsdorf. — "Le nom de Colmar viendrait du mot latin columbarium (colombier), mais à l'époque romaine le centre de peuplement, le camp fortifié d'Argentovaria, se situe sur l'emplacement du village actuel de Horbourg, un peu plus à l'Est. La première mention assurée de Colmar se trouve dans un diplôme de 823, accordé par Louis le Pieux. Une autre référence qualifie en 865 le lieu de villa : c'est le centre d'un grand domaine rural, qui est bientôt morcelé au profit d'institutions ecclésiastiques. La véritable entrée dans l'histoire est l'octroi du statut de ville en 1212 par Frédéric II, alors roi de Germanie. Un conseil gère la bourgade, qui prospère, et le prévôt Jean Roesselmann, un tanneur, mène la résistance contre les ambitions temporelles de l'évêque de Strasbourg. Une charte de franchises est accordée en 1278 par Rodolphe de Habsbourg, à qui les bourgeois ont envoyé douze tonneaux de leur meilleur vin ! Dans les troubles du XIVe siècle, l'union avec les autres villes impériales semble indispensable, des contacts sont pris et en 1354 Charles IV constitue officiellement la Ligue des dix villes, la fameuse Décapole. Au XVIe siècle, Colmar est ainsi décrite par Sébastien Munster comme «une plaisante cité... située en une plaine fertile... ayant de toutz costez grand quantité de vin et de bled, et la terre est principalement bonne à pourter frouments, oignons et aultres jardinages ». Le couvent des Dominicaines (Unterlinden) est réputé pour la qualité de sa vie spirituelle. Un grand artiste, Martin Schongauer, a illustré avec génie la dévotion mariale, tandis que Matthias Grunewald a peint son admirable retable pour le couvent proche d'Issenheim. Cependant en 1575 la ville passe au protestantisme, par la volonté de l'oligarchie municipale. Mais le régime confessionnel est bientôt remis en question par les péripéties de la Guerre de Trente Ans. Celle-ci a aussi pour effet d'introduire le roi de France dans les pays du Rhin. Il installe pour la première fois des troupes à Colmar en 1635 et il obtient au traité de Westphalie la cession de la Décapole et de toutes les possessions alsaciennes des Habsbourg. Le bourgmestre, présent à Munster, toujours avec des barriques, a lutté pour que la ville « ne soit pas réduite d'un libre État d'Empire en servitude et esclavage éternels ». Le maintien formel de l'immédiateté d'Empire est illusoire, il craque vite sous l'action des agents de Louis XIV. Et à partir de 1679, Colmar constitue le centre de l'influence française, avec une garnison que double la place de Brisach, avec une subdélégation qui administre l'Alsace moyenne, avec enfin en 1698 le Conseil souverain qui exerce la souveraineté judiciaire. La société se transforme : la culture française et la religion catholique prennent l'avantage, plus nettement qu'à Strasbourg. Comme Mulhouse reste encore une cité indépendante, c'est tout naturellement à Colmar que la Constituante établit le chef-lieu du haut Rhin quand elle partage l'Alsace en deux départements. Bientôt son plus illustre fils, le général Rapp, devient l'aide de camp et l'interprète de l'Empereur. Depuis un siècle, l'histoire de la ville a suivi l'histoire de la province et participé à ses épreuves. Elle s'est montrée une « capitale de la protestation » contre l'annexion allemande, par une série de scrutins comme par les fameuses gravures du caricaturiste Hansi, tandis que le sculpteur Bartholdi connaissait la gloire à Paris et à New- York. Mais, en réaction contre la centralisation parisienne, l'autonomisme y a aussi trouvé des partisans, autour de l'abbé Haegy et du député Rossé. L'industrie textile s'est développée au xtx* siècle et sensiblement diversifiée ensuite. Après 1945, la ville a beaucoup changé. De nouvelles usines ont été installées, des ensembles de logements ont été construits, sous l'impulsion d'un maire remarquable, Joseph Rey, populaire pour sa simplicité, son patriotisme et son efficacité, réélu sans interruption pendant trente ans de 1947 à 1977. Sept auteurs qualifiés se sont partagés cette fresque millénaire. Leur écrit vivant et précis se fonde sur une solide connaissance des sources et sur une riche bibliographie. Des gravures et des photographies évoquent les aspects successifs de la ville, des graphiques saisissent certaines données de sa croissance économique. Il est également présenté quelques plans." (Pierre Barral, Revue belge de philologie et d'histoire, 1987)
Arthaud. 1966. In-8. Broché. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 243 pages. Nombreuses photos en noir et blanc et en couleurs hors texte + une carte dépliablee en fin d'ouvrage. Jaquette en couleurs, abimée.. Avec Jaquette. . . Classification Dewey : 908.44383-Régionalisme : Alsace
Coll ' le monde en images'. Classification Dewey : 908.44383-Régionalisme : Alsace
Arthaud. 1966. In-8. Broché. Très bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 243 pages. Nombreuses photos en noir et blanc et couleurs hors texte + une carte dépliable en fin d'ouvrage.. . . . Classification Dewey : 908.44383-Régionalisme : Alsace
coll. 'le monde en images'. Classification Dewey : 908.44383-Régionalisme : Alsace
PRIVAT. 1987. In-8. Relié. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 528 pages - nombreuses illustrations en noir et blanc dans et hors texte - déchirure et mouillure sur la jaquette.. Avec Jaquette. . . Classification Dewey : 908.44383-Régionalisme : Alsace
COLLECTION DERNIERES NOUVELLES D'ALSACE - EXEMPLAIRE N°229/5500. Classification Dewey : 908.44383-Régionalisme : Alsace
PRIVAT. 1987. In-8. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 528 pages - jaquette en bon état - quelques illustrations en couleurs et en noir et blanc dans et hors texte.. Avec Jaquette. . . Classification Dewey : 908.44383-Régionalisme : Alsace
EXEMPLAIRE N°4490/5500. Classification Dewey : 908.44383-Régionalisme : Alsace
1871 1 In-12, broché, couverture bleue d'origine comportant le nom du titulaire manuscrit. Nancy, Impr. Hinzelin, 1871.
Livret d'ouvrière appartenant à Elisa Marotte âgée de 16 ans, demeurant 51 rue Jacquard à Nancy engagée à la manufacture des tabacs de cette ville le 12 octobre 1875, comportant le timbre du commissaire central. Très bon exemplaire.
Número de telefono : 33 01 47 07 40 60
1877 1 In-12, broché, 20 p. et (8) f. pour les années 1879 à 1893, qqs rousseurs. Rambervillers, Impr. Ch. Méjeat jeune, 1877.
Livret d'une société de secours mutuels lorraine. Les statuts figurent aux pp. 3-20, suivis de 8 feuillets du détail des cotisations versées entre 1879 et 1893.
Strasbourg et P., Istra, 1926, grand in 8° broché, VIII-287pp. ; rousseurs.
PHOTOS sur DEMANDE. ****************Photos sur demande*************
Número de telefono : 04 77 32 63 69
Gautier-Languereau Si tu vas... Album cartonné 1984 In-8, (25.5x13.5 cm), album cartonné, plats illustrés, 45 pages, dessins en couleurs de Violayne Hulné ; petits chocs sur les coins et les coiffes, très bon état général. Nos envois des ouvrages de moins de 60 Euros se font par colissimo (tarif de La Poste), et en colissimo Recommandes au-dela sauf avis contraire de votre part.
Loetscher Michel, Kempf Christian, Spindler C.
Referencia : RO30319741
(2007)
ISBN : 2355780064
Place Stanislas. 2007. In-4. Relié. Bon état, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Intérieur frais. 221 pages. Jaquette correcte. Nombreuses photos en noir et blanc, dans et hors texte. Ex dono à l'ecnre en page de faux-titre.. Avec Jaquette. . . Classification Dewey : 908.44383-Régionalisme : Alsace
Classification Dewey : 908.44383-Régionalisme : Alsace
Paris, Office français d'édition, 1945. Broché, 24x16 cm(In 8), 349 pages. Avec 37 reproductions. Très bon état.
Frais de port offerts dès 20 euros d'achat pour la France métropolitaine
Kaysersberg, Éditions Printek, 1985-1994; 4 volumes in-4, 373 + 380 + 175 + 228 pp., pleine toile de l'éditeur, jaquettes illustrées conservées. Les 4 volumes. Édition originale complète de cette indispensable base documentaire, réalisée avec la collaboration de Joseph Fuchs, Léon Kieffer et René Metz. Importante iconographie, en couleurs. Petite faiblesse au dos du premier volume, sans gravité. Bon ensemble. 1985
Louis de Brancas (1672-1750) Maréchal de France (1740) ; il fut aussi ambassadeur de France en Espagne et gouverneur de Bretagne.
Referencia : 11496
(1742)
Belle lettre de recommandation signée par le maréchal Louis de Brancas. Arrivé en Bretagne "où j'auray souvent occasion de vous écrire et de vous recommander des officiers de cette province, qui s'adressent à moy pour solliciter les graces qu'ils demandent et qu'ils croient mériter par leur services [...]". M. de Tavignon de Ker Tanguy, commandant du Fort blanc à Strasbourg, neveude M. Le Marchal Dubourg. Il souhaite obtenir un bon poste en Bretagne, et remplacer M. de Vauborel " vieux et cassé" au Fort de Saint-Malo. "M. de Tavignon vous demande, Monsieur, la survivance de la maintenance du Roy de Saint Malo de M. de Vauborel, dont il remplacera les fonctions sans appointements [...]. Je scay, Monsieur, que le Roy & M. le Cardinal n'aiment pas à donner des survivances, mais c'est ici un cas particulier, un homme qui quitte un commandement actuel pour une simple survivance [...]". En1738, le marquis deBrancas fut nommégouverneur deNanteset commandant deBretagne.Louis XV le fit maréchal de France,en1740. François-Victor Le Tonnelier de Breteuil(1686-1743)futdeux foisministre de la GuerresousLouis XV. Il mourra trois mois après ce courrier.
Encre brune sur feuillet double de papier vergé avec deux grands filigranes.. Destinataire : M. le marquis de Breteuil. Date : 5 octobre 1742. Lieu : Rennes. Format : In-folio. Etat : Bon, pliures centrales. Nombre de documents : 1. Type de document : lettre signée. Nombre de pages : 4 pp.