Paris, Heugel, « Au ménestrel », 1896 Partition musicale de 2 bi-feuillets in-folio (270 x 350 mm). Broché. Sous étui-emboitage à rabats de Julie Nadot. Première édition. L'exemplaire offert à Marcel Proust. Envoi autographe signé : « à Marcel ; Hommage respectueux. R.H. [18]96 », sur la couverture.
Duo pour deux voix de femmes en choeur ou soli. La rencontre de Reynaldo Hahn avec Marcel Proust date de 1894, et déclenché un épisode passionné de deux ans environ, puis en une magnifique amitié qui ne prendra fin qu'avec la mort de l'écrivain, en 1922. Les Bretonnes sont préparée pour leur parution à la fin de l'année 1895, au plus fort de la relation entre les deux hommes qui voyagent ensemble, du 4 septembre au 27 octobre, sur les côtes bretonnes. D'abord à Belle-Ile-en-Mer, puis à Beg-Meil dans le Finistère, où ils logent à l'hôtel Fermont et rencontrent le peintre américain Alexander Harrison, l'un des premiers modèles d'Elstir. C'est pendant que Proust lit Splendeurs et misères des courtisanes et commence à écrire Jean Santeuil, dans lequel il dresse un portrait fidèle de Reynaldo Hahn : ce dernier, quant à lui, compose un trio et Là-bas, choeur breton, qui reprennent les choeurs profanes des Bretonnes, composées en 1892 - une commande, exécutée chez les commanditaires le 27 février 1892. Ce choeur n'avait jamais été repris depuis et encore moins publié, ce que Hahn voulait absolument rectifier. L'année 1896 est l'un des plus prolixes, avec onze lettres de Proust à Hahn. Une seule, dans l'autre sens, est connue pour cette année là. Durant les 29 années où les deux protagonistes se sont écrit, on trouve, pour Marcel Proust, environ 200 lettres et pour Reynaldo Hahn, le chiffre dérisoire de... 12 ! Une seule, écrite le 21 mai 1896, concerne la mésentente sentimentale qui amènera à la rupture de l'été. Les onze autres, de 1897 et 1922, amicales, sans grand intérêt. Cette dédicace sur Les Bretonnes fait donc partie des rares missives envoyées par Hahn à Proust -- et peut-être même la première connue puisque l'impression des Bretonnes date de février 1896, trois mois avant la première lettre de Hahn à Proust. Même si le ton tout en distance l'envoi peut laisser penser qu'il a été fait après la rupture de amoureuse de l'été. Provenance : Marcel Proust - Patricia Mante-Proust (coll. Sotheby's, mai 2016, lot 172)
1925 Manuscrit musical (1925). In-folio, sur papier, encre bleue, 39 et 245 p. montées sur onglets, demi-toile noire à coins de l’époque.
Précieuse partition manuscrite, en partie autographe, de cette comédie musicale en 3 actes consacrée à l’un des séjours parisiens de Mozart. Trois artistes de choix sont réunis : le compositeur, Reynaldo Hahn, Sacha Guitry, qui est à l’origine de l’œuvre voulue par son père Lucien et campe le rôle parlé du baron Grimm, et son épouse Yvonne Printemps, talentueuse chanteuse et actrice qui tient le rôle-titre. Après le refus catégorique de Messager, Sacha Guitry avait fait appel à R. Hahn en raison du succès de l’opérette Ciboulette (1923) qui était sa première pièce de musique légère. Guitry lui aurait écrit un mot spirituel commençant par « voulez-vous faire un four avec moi ? ». Ce fut au contraire un succès lors de la création au théâtre Edouard VII le 2 décembre 1925. Y vit-on se presser, comme pour Ciboulette, « tout le boulevard Saint-Germain » dont les « Comtesses, archiducs, postulantes au marquisat, barons et baronnes se pâment » (journal Bonsoir, 8 avril 1923) ?La pièce, en 3 actes, relate les fréquentations mondaines et amoureuses du jeune Mozart qui est le point de mire du salon de Mme d’Epinay et de son amant le baron Grimm, faisant tourner les têtes de toutes les femmes. Seconde incursion dans la musique légère qui devient la marque de l’art de Hahn dans l’entre-deux-guerres, la pièce alterne les passages parlés et les airs chantés par Y. Printemps : la « lettre » et l’air des « adieux ». On félicita Hahn d’avoir évité le pastiche du compositeur et réussi un mélange entre son propre style et celui de son modèle. Intériorité, frivolité, marivaudages, rêverie, tout y est. Le compositeur a su jouer sur la mémoire de son public qui connaît l’opéra mozartien : à l’acte I Hahn cite brièvement l’air de Figaro dans les Noces de Figaro (Non più andrai) et au début de l’acte II il utilise le thème de l’acte I de Don Juan (duo La ci darem la mano). C’est Yvonne Printemps qui fit le succès de l’œuvre, non sans douleur pour la vanité de Guitry : André Messager jugea qu'Yvonne Printemps "est la voix de Mozart même », reconnaissant que Hahn « a su trouver une musique qu’aurait aimée » le maître (cité par Ph. Blay, Reynaldo Hahn, Fayard, 2021, p. 387). La comédie a capté un peu de la grâce du XVIIIème : Jane Catulle-Mendès salua pour sa part « un tableau d’une mélancolie sœur de celle de Watteau » (cité par Ségot, C’était Guitry, 2009, p. 206). La pièce sera reprise avec succès à Londres en 1926, à La Madeleine en 1932 et durant la tournée desGuitry en octobre 1933 à New York, où Broadway lui fait un triomphe.Notre manuscrit est le conducteur d’orchestre complet qui a servi au compositeur, entémoigne certaines pages un peu malmenées lors des répétitions, quelques passages biffés. C’est un document vivant : l’Ouverture, entièrement autographe, présente quelques corrections de Hahn, témoignant des petits réglages et modifications encore à apporter : il choisit ainsi un rythme plus modéré, corrigeant l’indication de tempo « allegro molto » en « allegro animato » (p. 1), ajoutant ailleurs, au crayon, l’indication « sans presser » (p. 31). Un copiste est intervenu pour la suite, préparant les armatures et parties chantées et insérant le texte à sa place. Une réduction chant/piano a été publiée par la maison Heugel en 1926. Le manuscrit a été confié à la maison du Ménestrel (Henri Heugel) qui louait du matériel musical (cachet au premier feuillet), mettant à disposition la version orchestrale complète tout en en conservant les droits de reproduction.Important témoignage du travail inspiré de R. Hahn sur un texte de Guitry sublimé par Yvonne Printemps.Reliure frottée, des feuillets effrangés, manque angulaire (sans perte de texte) au 1er feuillet, quelques ratures et repentirs, petites rousseurs éparses.
Reynaldo HAHN, - (1875-1947). Célèbre compositeur, critique musical, spécialiste de l'art du chant et auteur français. --- Document signé Reynaldo Hahn à la couverture du programme du concert donné sous le patronage de «France Soir» au bénéfice des œuvres sociales de la Division Leclerc, sous la direction de Reynaldo Hahn, avec Lily Pons et l'orchestre de l'Opéra. Samedi, 13 avril 1946. ---- Paris, Publicité J.-R. Benoit, 1946. (28 cm) (20) pages, illustré de photos et publicités. Couverture cartonnée, illustrée d'un blason de la Croix de Lorraine embossé en relief. [ Outre la signature de Reynaldo Hahn, une autre signature illisible apparaît à la couverture.] Bel état.
S.n., s.l. (Paris) 1923, 10x18cm, une feuille.
Lettre autographe signée de Reynaldo Hahn, dandy, compositeur et grand amour de Marcel Proust (20 lignes à l'encre bleue) adressée à Marthe Daudet à propos de la mort tragique de son filsPhilippe qui se suicida à l'âge de 14 ans ; son père, Léon Daudet, accusant les milieux anarchistes ou la police de la Troisième République d'avoir maquillé ce "crime" en suicide. Trace de pliure inhérente à la mise sous pli. Reynaldo Hahn s'excuse de ne pas être aussi disponible qu'il le voudrait pour ses amis et regrette d'avoir raté chez elle sa correspondante : "... à aller vous dire tout ce que je ressens si vivement..." mais réitérera sa tentative bientôt :"je tâcherai d'être plus heureux samedi après-midi..." Reynaldo Hahn tient à montrer, dans les épreuves que traversent la famille, tout son attachement à elle et sa communion d'esprit : "... toute la part profonde que je prends à votre chagrin et combien j'ai partagé vos émotions douloureuses..." - Photos sur www.Edition-originale.com -
- L.A.S., 182 x 136, à l’adresse du 7, rue Greffulhe, VIIIe, cachet postal en date du 26 juin 1937. Amusante lettre dans laquelle Reynaldo Hahn insiste avec humour sur l’ignorance d’une infirmière : « Mais je renonce à faire comprendre mon nom à l’infirmière. J’ai beau dire R comme renoncule, e comme écorce, y comme Yvain, n comme nounou, a comme Alcofribas, l comme Laroche Jacquelin, d comme démon et o comme Horace, elle ne comprend pas ! » Compagnon puis ami fidèle de Marcel Proust, Reynaldo Hahn était très apprécié pour son élégance et sa culture. - Carte autographe signée, 103 x 147, cachet postal en date du 6 avril (19.. ?). Carte très lapidaire dans laquelle il s’enquiert de l’arrivée d’un mandat télégraphique.- Carte postale autographe signée, 105 x 150, cachet postal en date du 9 juillet 1931. Il donne de ses nouvelles à son amie : « Merci bien sincèrement de votre sympathique pensée. Je suis sur la route du retour, clopin clopant, et je pense que d’ici quelques semaines, je pourrai marcher à peu près comme tout le monde. – Je suis bien touché de votre lettre. »
PROUST, Marcel / LEMAIRE, Madeleine (ill.) / FRANCE, Anatole (préf.) / HAHN, Reynaldo (musique).
Reference : 8303
(1896)
1896 Paris: Calmann Lévy, 1896. In-4: 21 x 30.5 cm, 2 ff. n. chiff. [faux-titre, titre], X-272-[3] pp., + 14 pl. Précieuse édition originale du premier ouvrage de Marcel Proust, avec une préface dAnatole France, 76 composition originales de Madelaine Lemaire, dont 14 hors-texte imprimés sur fond crème et les pièces pour piano de Hahn regroupées sur 13 pages comprises dans la pagination. Luxueuse reliure en demi-maroquin vert à coins. Dos à trois nerfs avec titre en capitales dorées et caissons ornés de bouquets de fleurs. Mors et coins frottés. Sinon, très bel exemplaire, propre et grand de marges. Couverture dorigine rempliée bien préservée! Lun des principaux modèle de Madame Verdurin, laquarelliste Madeleine Lemaire (1845-1928) tenait salon à Paris où Proust fut reçu dès 1892. Cest chez elle quil rencontra Reynaldo Hahn et Robert de Montesquiou!
Langue
[Editions Alphonse Leduc] - GERAR, Marcelle ; HAHN, Reynaldo
Reference : 64575
(1938)
Préface de Reynaldo Hahn, 1 vol. in-12 br., Editions Alphonse Leduc, Paris, 1938, 124 pp.
Très rare exemplaire de l'édition originale de cet ouvrage de la soprano française Marcelle Gerar (1891-1970), préfacé par Reynaldo Hahn.
S.n., Monte-Carlo 24 Septembre s.d. (circa 1924), 13,5x20,5cm, une feuille recto verso.
Lettre autographe signée de Reynaldo Hahn, dandy, compositeur et grand amour de Marcel Proust (30 lignes à l'encre bleue depuis l'Hôtel de la Réserve de Monte-Carlo) adressée à Marthe Daudet, l'épouse du journaliste et écrivain monarchiste Léon Daudet, principal collaborateur de Charles Maurras à l'Action Française. Trace de pliure inhérente à la mise sous pli, l'encre de quelques lettres ayant bavé au verso. Depuis la mort de sa soeur, Reynaldo Hahn est inconsolable et se remémore les trop rares joies qu'il a vécues ces derniers temps. Il remercie Marthe Daudet qui a tempéré son abattement : "... que de tristesses depuis notre déjeuner à St Rémy ! C'est le dernier moment agréable que j'ai vécu depuis de longs mois, et je vous le dois..." Il se rappelle aussi les souffances de sa soeur défunte : "... c'est seulement à la fin qu'elle a connu quelque repos. Quel courage elle a montré depuis deux ans ! " et établit un parallèle avec la mort tragique de Philippe Daudet qui a ébranlé la famille Daudet : "... je pense bien souvent à lui (Léon Daudet) et à votre douloureuse épreuve." Le 23 Novembre 1923, circulant à bord d'un taxi, Philippe Daudet se suicida à l'âge de 14 ans, son père accusant les milieux anarchistes ou la police de la Troisième république d'avoir maquillé ce "crime" en suicide. - Photos sur www.Edition-originale.com -
S.n., s.l. (Paris) s.d. (1898), 10x15,5cm, une feuille.
Lettre autographe signée de Reynaldo Hahn, dandy, compositeur et grand amour de Marcel Proust (22 lignes à l'encre noire) à propos de la biographie que Léon Daudet a consacré à son père Alphonse en 1898. Trace de pliure inhérente à la mise sous pli. Reynaldo Hahn félicite Léon Daudet pour la pertinence et la clarté rationnelles de la biographie : "... où l'on retrouve tout ce qui était définissable et analysable en Alphonse Daudet..." en regrettant tout de même qu'il n'ait qu'imparfaitement cerné l'auteur des Lettres de mon moulin : " ... ce que vous n'avez pu fixer c'est le mystère brûlant et doux qui émanait de lui, et qui s'est évanoui à tout jamais..." Afin de tempérer cette critique, il tient à remercier chaleureusement Léon Daudet d'avoir évoqué dans l'ouvrage son amitié avec Alphonse Daudet: "... je suis si fier de l'affection qu'il me témoignait..." - Photos sur www.Edition-originale.com -
Ménestrel 1930 approx.
Bon état Petit format
Paris, J. B. Janin, (15 décembre) 1945 1 vol. (145 x 195 mm) de 302 pp. et [1] f., index. Broché. Edition originale. Exemplaire imprimé du service de presse (pas de grands papiers). Envoi signé : « Ma chère Suzy [Mante-Proust], ne vous croyez pas obligée de lire ce gros volume. Butinez-le en véritable abeille que vous êtes et bien qu'il ne soit pas uniquement composé de fleurs. Reynaldo Hahn ».
Thèmes variés est le dernier ouvrage publié par Reynaldo Hahn, un an avant sa mort (28 janvier 1947).
Paris 14 décembre 1925, 10,6x15,7cm, une page sur une carte lettre.
Billet autographe signé de Reynaldo Hahn adressé à Madame Serge André et rédigé sur une carte-lettre de papier blanc à l'encre bleue.Pliure centrale inhérente à l'envoi. Dominique André est une poétesse, romancière et dramaturge. Elle a notamment publié sous le pseudonyme de Claude Isambert. Reynaldo Hahn décline une invitation de son amie : "Est-ce possible, chère Madame ! Vous m'invitez àgoûter! Hélas, je ne pense pas aller nulle part dans la journée ! Un soir à l'Escargot d'Oron avait projeté de se voir : Lacretelle devait me faire signe - que sais-je ?" - Photos sur www.Edition-originale.com -
Cannes 24 novembre 1942, 14,7x10,6cm, une carte.
Carte autographe signée de Reynaldo Hahn adressée à Georges Hoog. Une dizaine de lignes rédigées à l'encre bleue. Intéressante carte évoquant l'opéraMireille:"Nous avons donné ici Mireille, la vraie Mireille, avec un éclat et un succès exceptionnels. J'attends patiemment le jour où ce chef-d'oeuvre pourra réintégrer, mais sans mutilations, le théâtre de l'Op. C." Composé par Charles Gounod d'après le poème provençal de Frédéric Mistral, l'opéra Mireille fut créé le 19 mars 1864 au Théâtre Lyrique. L'oeuvre fut remaniée à de nombreuses reprises et considéralement réduite. Il fallut attendre 1939 pour que la partition originale soit retrouvée, notamment grâce à l'aide de Reynaldo Hahn qui dirigea le 28 juin 1942 à Arles une représentation de la "vraie Mireille". - Photos sur www.Edition-originale.com -
AU MENESTREL,HEUGEL (1895),IN8 reliure demi toile,posterieure,95p., couverture ill.conservee,partitions,chant,piano sur des textes de V.Hugo,P.Verlaine,L.DIERX,Banville,etc
HEUGEL 8315-8329
AU MENESTREL, Heugel. 1891 - 1892. In-4 broche,couverture illustree lithographie en noir,. En feuillets. Bon état.Dos satisfaisant. Intérieur frais. 23 pages de partitions accompagnées de paroles. Poesies de Paul Verlaine mises en Musique par l"auteur : Chansons d"automne, L"allée est sans fin., En sourdine, L"heure exquise
bon etat
AU MENESTREL,HEUGEL (1895),IN8 broche,,95p., couverture couverture illustree lithographie ill.conservee,partitions,chant,piano sur des textes de V.Hugo,P.Verlaine,L.DIERX,Banville,etc
HEUGEL 8315-8329,dos renforce,non coupe,
AU MENESTREL,HEUGEL (1895),IN8 broche,,95p., couverture illustree lithographie ill.conservee,partitions,chant,piano sur des textes de V.Hugo,P.Verlaine,L.DIERX,Banville,etc
HEUGEL 8315-8329,non coupe,bon etat
AU MENESTREL,HEUGEL (1895),2 volumes IN8 broche,,95p.+86p, couvertures illustrees lithographie ill.conservee,de P.Borie,partitions,chant,piano sur des textes de V.Hugo,P.Verlaine,L.DIERX,Banville,Maurice Magre,Moreas;Dauphin,etc
HEUGEL 8315-8329,dos renforces,sans doute le premier tirage
S.D. Il sagit de la partition musicale dune mélodie de Gustave Nadaud transcrite par Hahn pour un ensemble instrumentale (violon, violoncelle, contrebasse et piano) accompagnant le chant. Hahn a inscrit sur la première page : « La Valse des Adieux Paroles et Musique de Gustave Nadaud Heugel et Cie ».Cest dabord dans les salons huppés (chez la princesse Mathilde, la comtesse de Guerne, Madeleine Lemaire), que Reynaldo Hahn chante ses mélodies en s'accompagnant au piano. Il s'illustrera brillamment dans ce genre musical durant la première partie de sa vie. Chez Madeleine Lemaire, en 1894, alors qu'il est invité pour chanter Les Chansons grises, il fait la connaissance de Marcel Proust dont il devient l'intime, jusqu'en 1896. Il entretiendra cette amitié jusqu'à la mort de l'écrivain.
Paris, Gallimard, 1937. In-12, broché, 286 pp.
Édition originale en service de presse sur papier courant (il n'a été tiré que 35 exemplaires numérotés). Bon exemplaire. Photos sur demande.
Hachette, Paris, 1930. In-12, broché, 192 pp. Avant-propos - Chapitre I. La Dame aux Camélias. Le jeu de la houppe. La Samaritaine. Une répétition de Julie. La Danse des ours - II. Traversée. Confidences. La chasse au tigre. Lysiane. Mlle George. L'orgue de barbarie. Chez le photographe. ...
Avec un portrait de Sarah Bernhardt dans le rôle de Phèdre en frontispice. --- Plus d'informations sur le site archivesdunord.com
Phone number : 01 42 73 13 41
Paris 25 novembre 1933, 11,4x14,5cm, une page sur une carte lettre.
Billet autographe signé de Reynaldo Hahn adressé à Madame Serge André et rédigé sur une carte-lettre de papier bleue à l'encre bleue.Pliure centrale inhérente à l'envoi. Dominique André est une poétesse, romancière et dramaturge. Elle a notamment publié sous le pseudonyme de Claude Isambert. Charmante missive de remerciements : "Merci, chère amie, de m'avoir envoyé ce bouquet de fleurs épineuses et embaumées de tant d'arômes divers." Le compositeur évoque également le recueil de poèmesCassandreque son amie publia la même année aux éditions du Divan : "Cassandre, si elle avait votre clairvoyancen'aurait pas votre philosophie triste et douce - ni votre esprit ! J'ai passé une heure mélancolique et charmante à respirer les émanations de votre pensée." - Photos sur www.Edition-originale.com -
Paris 6 avril 1931, 14,6x19,3cm, une page sur une carte lettre.
Billet autographe signé de Reynaldo Hahn adressé à Madame Serge André et rédigé sur une carte-lettre de papier blanc à l'encre bleue.Pliure centrale inhérente à l'envoi. Dominique André est une poétesse, romancière et dramaturge. Elle a notamment publié sous le pseudonyme de Claude Isambert. "J'ai trop tardé, chère Madame, à vous remercier de votre livre et du plaisir qu'il m'a procuré. Plaisiramer et trouble- mais rare. Ce qui est particulièrement remarquable en ces pages, c'est leur extrême distinction..." - Photos sur www.Edition-originale.com -
Gallimard, Paris 1937, 12x19cm, broché.
Edition originale, un des exemplaires du service de presse. Précieux envoi autographe signé de Reynaldo Hahn à Henri Béraud. Dos insolé, plats tachés, petites rousseurs affectant principalement les gardes. Provenance : de la bibliothèque rétaise d'Henri Béraud. - Photos sur www.Edition-originale.com -