Hermann et Cie, éditeurs à Paris Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1946 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur grise, titre en rouge et noir grand In-8 1 vol. - 191 pages
1 grand tableau dépliant (Tableau des noyaux stables et radioactifs), noir et couleurs, 23 figures dans le texte en noir et blanc 1ere édition, édition originale, 1946 Contents, Chapitres : Historique et introduction - Transformations radioactives, équilibre radioactif - Rayonnement des corps radioactifs - Les radioéléments naturels, minéraux et préparations de laboratoire, équilibres radioactifs - Uranium - Protactinium - Thorium - Ionium - Radium - Mésothorium, radiothorium, thorium X - Actinium, actinium X, radioactinium - Emanations, radon - Les produits terminaux des familles radioactives - Les méthodes de la radiochimie - Applications de la radiochimie Effets des rayonnements des radioéléments - Dosage des radioéléments - Matériel et technique de la chimie radioactive - Les radioéléments artificiels - Irène Joliot-Curie (12 septembre 1897 à Paris 13e - 17 mars 1956 à Paris 5e) est une chimiste, physicienne et femme politique française. Elle est la fille de Pierre et Marie Curie. Épouse de Frédéric Joliot, elle a obtenu avec lui le prix Nobel de chimie en 1935 pour la découverte de la radioactivité artificielle. Elle a aussi été sous-secrétaire d'État sous le Front populaire en 1936. En 1945, elle est l'un des six commissaires du nouveau Commissariat à l'énergie atomique (CEA) créé par de Gaulle et le GPRF. Elle meurt à Paris le 17 mars 1956 d'une leucémie aiguë liée à son exposition au polonium et aux rayons X, la même maladie qui avait emporté sa mère Marie Curie, en juillet 1934. - Irène et Frédéric travaillent ensemble au laboratoire Curie sur la radioactivité naturelle et découvrent la radioactivité artificielle en janvier 1934, phénomène qui consiste à transformer un élément stable en élément radioactif. Marie Curie a pu voir cette expérience mais elle meurt en juillet d'une leucémie, maladie habituelle à l'époque pour les gens travaillant à proximité d'éléments radioactifs. Or c'est cette découverte qui vaut l'attribution du prix Nobel de Chimie 1935 à Irène Curie et Frédéric Joliot « en reconnaissance de leur synthèse de nouveaux éléments radioactifs ». Dès lors le patronyme Joliot-Curie s'impose. Puis Frédéric Joliot travaille directement dès 1939 sur le projet d'une bombe atomique française (pour laquelle il dépose un brevet). Le programme nucléaire militaire français est le plus avancé de l'avant-guerre. Mais ce sont les Américains, avec le projet Manhattan, qui aboutissent le 16 juillet 1945 à l'explosion de la première bombe atomique dans le désert du Nouveau-Mexique. - En 1945, Charles de Gaulle, chef du Gouvernement provisoire de la République Française, crée le Commissariat à l'énergie atomique (CEA) sous la tutelle de son ministre de la Reconstruction Raoul Dautry pour reconstituer la puissance française : il confie à Frédéric Joliot le Haut commissariat et nomme une seule scientifique, Irène Joliot-Curie, commissaire parmi les cinq autres membres. Elle exerce cette mission jusqu'en décembre 1950, ayant contribué à faire « diverger » (fonctionner) la première pile atomique française, ZOE (Z zéro énergie, O oxyde d'uranium, E eau lourde) le 12 décembre 1948. (source : Wikipedia) bel exemplaire, couverture en très bon état, infimes traces de pliures aux coins sans gravité, intérieur frais et propre, papier legerement jauni, cela reste un bel exemplaire de cette édition originale de ce texte fondamental de Maurice Joliot-Curie - Near fine copy of this first Edition by Maurice Joliot-Curie, wrappers are fine except minor folding tracks (quite nothing), inside is fine, paper very lightly yellowing, it's still a rather fine copy, as published and very well conserved, no markings
CURIE (Madame P.), BECQUEREL (J.), BROGLIE (M. de), COTTON (A.), FABRY (Ch.), LANGEVIN (P.), MAUGUIN (Ch.), MOUTON (H.)
Reference : 93344
(1914)
Paris, Gauthier-Villars et Cie, 1914, in-8, (4), 242pp, 2 pl, br, On trouve dans cet ouvrage, les conférences faites en 1913-1914 :"La physique du discontinu" par M. Langevin; "Les progrès de nos connaissances concernant les rayons de Röntgen" par Maurice de Broglie; "Les cristaux liquides" par M. Mauguin; "Les radio-éléments et leur classification" par Marie Curie, etc. Cet ouvrage fait partie de la deuxième série de la collection de mémoires relatifs à la physique, de la Société française de Physique Couverture rigide
Bon (4), 242pp., 2 pl.
P., Hermann, 1935. In-8, 563pp., 170 fig. in-t., XXVI planches photographiques h.t., br.
Société Française de Physique - Jean Perrin - Paul Langevin - Edmond Bauer - Eugene Bloch - M. A. Blanc - L. Dunoyer - Madame Pierre Marie Curie - A. Debierne - Pierre Weiss - Henri Poincaré
Reference : 100455
(1913)
Gauthier-Villars à Paris , Collection de Mémoires Relatifs à la Physique Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1913 Book condition, Etat : Bon broché, sous couverture imprimée éditeur bleu-gris grand In-8 1 vol. - 371 pages
quelques figures dans le texte en noir 1ere édition, édition originale, 1913 "Contents, Chapitres : Texte, 370 pages, table, i - Jean Perrin : Les preuves de la réalité moléculaire (pages 1 à 53, 6 figures) - Paul Langevin : Les grains d'électricité et la dynamique électromagnétique (pages 54 à 114) - Edmond Bauer : Les quantités élémentaires d'énergie et d'action (pages 115 à 147) - Eugene Bloch : La théorie électronique des métaux - M. A. Blanc : L'ionisation par chocs et l'étincelle électrique - L. Dunoyer : Les gaz ultrararéfiés - Madame Pierre Marie Curie : Le rayonnement des corps radioactifs (pages 272 à 303)- A. Debierne : Les transformations radioactives - Pierre Weiss : Les moments magnétiques des atomes et le magnéton (pages 332 à 356) - Henri Poincaré : Les rapports de la matière et de l'éther (pages 357 à 370) - En 1907-1909, Jean Perrin publie une série d'articles sur le mouvement brownien dont il fait une synthèse sous le titre Mouvement brownien et réalité moléculaire publié dans les Annales de Chimie et de Physique en 1909. Cet article, immédiatement traduit en anglais, contribue à sa notoriété scientifique en France et à l'étranger. En 1910, Jean Perrin est promu professeur de chimie physique à la Sorbonne. En 1911, il est élu membre d'honneur de l'Institut de physique de l'université de Berlin. Il est aussi convié au premier congrès Solvay de physique qui se tient à Bruxelles. Ernest Solvay organise ainsi le premier congrès scientifique qui rassemble une vingtaine des plus grands physiciens de l'époque. Les congressistes doivent envoyer leur communication en avance pour qu'elles soient distribuées aux participants avant la réunion. La conférence de Jean Perrin, intitulée ""Les preuves de la réalité moléculaire"", est si claire et argumentée que tous les participants sont convaincus de l'existence des atomes, même les plus sceptiques. En particulier, Wilhelm Ostwald qui, comme chimiste, n'a pas participé à la réunion et qui avait été un opposant déterminé à l'atomisme défendu par son collègue Ludwig Boltzmann, s'est déclaré converti à la lecture de la communication de Perrin Henri Poincaré, jusqu'alors sceptique sur l'existence des atomes, avoue, après avoir entendu l'exposé de Perrin, que « l'atome des chimistes est devenu réalité ». (wikipedia) - Poincaré, décédé l'année de cette conférence en 1912, aborde les relations entre l'éther et la matière, très importantes dans la relativité restreinte (Loi de Rayleigh, action de la lumière sur les molécules ou l'inverses, par rapport aux travaux d'Einstein et aux quanta). - En 1906, Paul Langevin (1872-1946) prépare un cours sur la théorie électromagnétique pour le Collège de France et aboutit au résultat selon lequel l'inertie de l'électron serait une propriété de lénergie. Quelques mois plus tard, il a l'occasion de lire les publications d'Einstein sur la relativité restreinte et saisit le lien entre ses recherches et cette nouvelle théorie révolutionnaire. C'est à partir de ce moment qu'il passe une partie de son temps à répandre la théorie nouvelle. Il est le promoteur de cette théorie en France. Il enseigne pour la première fois la théorie de la relativité dans ses cours au Collège de France en 1910-1911. Il invente le paradoxe des jumeaux, qu'il présente pour la première fois au congrès de Bologne et à la Société française de philosophie en 1911. En 1922, il invite Einstein au Collège de France pour donner des conférences sur la relativité. Henri Bergson, qui avait assisté au congrès de Bologne et aux conférences d'Einstein au Collège de France, publie Durée et Simultanéité en 1922 et Émile Meyerson La Déduction relativiste en 1925. (wikipedia)" couverture propre, bords des plats à peine jaunis, le dos a été consolidé proprement et renforcé au bas du dos, dos un peu empoussiéré avec une légère déchirure sur le haut du dos et un manque de 1 cm sur le bas, le bord des plats a été collé aux pages de gardes sur 3 cms, l'intérieur est sinon très frais et propre, papier à peine jauni, le volume garde une belle allure malgré les défauts indiqués, ce volume regroupe un ensemble de conférences sur la matière avec l'élite de la physique française de l'époque, Poincaré, Curie (un an après le Nobel de 1911), Langevin, Perrin ou encore Edmond Bauer (Assistant de Perrin et collaborateur de Langevin) et Pierre Weiss (magnétisme et aimantation), André-Louis Debierne (Actinium), elles furent données à la Société de Physique, un an après le premier congrès Solvay de 1911 sur les quanta, et après la présentation de la structure atomique d'Ernest Rutherford en 1911.
Paris, Herman et Cie, 1935. 25,5 x 17 cm, 558 pp. (pagination continue). Broché, petits manques au bas des dos sinon bons exemplaires. En frontispice portrait photographique de Pierre et Marie Curie. Illustrations. Édition originale posthume. Tampon ex-libris d'Yves Gribaumont.
Braunschweig, Vieweg und Sohn, 1904. 8vo. Recent boards. Gilt lettering on spine. (4),132 pp., 14 textfigs. Clean and fine. (Die Wissenschaft. Sammlung naturwissenschaftlicher und mathematischer Monographien. Erstes Heft).
First German edition of Madame Curie's famous ""Recherches sur les substances radio-actives"",1903.(PMM, 394 - Dibner: 164 - Horblit: 19).
Paris Masson et Cie s.d. [mars 1910] in-4 broché
6 pp., texte à 2 colonnes, 1 f. volant (Notice sur le huitième volume de la revue).Aucun exemplaire au CCF. Très rare extrait de la revue Radium, publié l'année même où Marie Curie publiera son Traité de la radioactivité, dans lequel plusieurs chapitres seront consacrés aux méthodes de dosage