Stockholm, Zürich, London, New York. Neuer Verlag. 1947. 8°. 433 S., 1 S., 1 w. Bl. Originalleinwand mit Schutzumschlag.
Klawiter 2975. - Erste Ausgabe. - Schutzumschlag leicht berieben und stockfleckig sowie mit kleinen Einrissen. Einige Stockflecken am Rücken, sonst sehr schönes, praktisch ungelesenes Exemplar.
Le Grand Livre Du Mois 1998 226 pages in8. 1998. Cartonné. 2 volume(s). 226 pages.
Très Bon Etat de conservation
Neuchâtel, Victor Attinger, 1928. In-8°, 233p. Broché.
Edition originale sur papier ordinaire de la traduction française par Alzir Hella et Olivier Bournac. En parfaite condition.
Casterman Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 2012 Book condition, Etat : Bon relié, cartonnage éditeur, illustré d'un dessin en couleurs de Stefan Zweig avec sa femme (format B.D.) In-4 1 vol. - 88 pages
1ere édition, 2012 Contents, Chapitres : Stefan Zweig, né le 28 novembre 1881 à Vienne, en Autriche-Hongrie, et mort par suicide le 22 février 1942, à Petrópolis au Brésil, est un écrivain, dramaturge, journaliste et biographe autrichien. - Installé à Rio de Janeiro, Zweig parcourt le pays. Il se rend en Argentine et en Uruguay, pour une série de conférences, revient ensuite à New York en mars 1941, pour la dernière fois. Il y revoit Friderike, qui a réussi à émigrer aux États-Unis. Zweig demeure quelques mois là-bas, et fréquente ses vieux amis, expatriés comme lui. Le 15 mai, il prononcera sa dernière conférence. Désespéré et honteux du tort que cause lAllemagne, il réitère néanmoins sa confiance en lhomme, mais on le sent alors très désabusé. De retour au Brésil durant lété, il entreprend la rédaction de ses mémoires. Ce texte, dont il expédiera le manuscrit à son éditeur la veille de son suicide, sera publié deux ans après sa mort sous le titre Le Monde d'hier. Souvenirs d'un Européen, et constitue un véritable hymne à la culture européenne que Zweig considérait alors comme perdue. Il revient sur les principales étapes de son existence, marquant de son témoignage un monde en destruction, comme sil souhaitait quune trace de ce monde dhier quil chérissait soit conservée. Il déménage ensuite à Petropolis, où il fêtera le 28 novembre, loin de ses amis et des honneurs, son soixantième anniversaire. - Avec lentrée en guerre des États-Unis en décembre 1941, Zweig perd de plus en plus espoir. Il nen continue pas moins son uvre, dont Le Joueur déchecs, bref roman qui sera publié à titre posthume, et qui met précisément en scène un exilé autrichien que les méthodes d'enfermement et d'interrogatoire pratiquées par les nazis avaient poussé au bord de la folie. Au mois de février, en plein carnaval à Rio, il apprend la chute de Singapour, principale base militaire britannique en Extrême-Orient. Hanté par l'inéluctabilité de la vieillesse, ne supportant plus l'asthme sévère de Lotte, et moralement détruit par la guerre mondiale en cours, il décide quil ne peut plus continuer à assister ainsi, sans recours, à lagonie du monde. Il se rend à Barbacena, visite lécrivain Georges Bernanos, qui tente en vain de lui faire reprendre espoir. Le 22 février 1942, après avoir fait ses adieux et laissé ses affaires en ordre (il laissera un mot concernant son chien, qu'il confie à des amis), Stefan Zweig met fin à ses jours en s'empoisonnant au véronal (un barbiturique), en compagnie de Lotte qui refusa de survivre à son compagnon. Il aura droit à des funérailles nationales lors de son enterrement à Petrópolis, contrairement à ses vux. (source : Wikipedia) bel exemplaire, frais et propre de cette bande dessinée consacrée aux derniers jours de l'écrivain autrichien Stefan Zweig au Brésil qui s'inspire du roman homonyme de Laurent Seksik paru en 2011 chez Flammarion
Londres 26 décembre 1937 | 17.90 x 22.90 cm | une feuille
Lettre autographe signée de Stefan Zweig adressée à Alfred Cortot, deux pages sur un feuillet rédigées à l'encre violette. Superbe lettre autographe dans laquelle le fin collectionneur fait part de son acquisition de manuscrits inédits de Wagner à son ami Alfred Cortot qui lui-même doit à sa précoce découverte du compositeur allemand, sa carrière de chef d'orchestre. Cortot partageait en effet avec Zweig son « envoûtement quasi tyrannique [subi] avec autant d'ivresse que de ferveur » pour le compositeur. Zweig, qui parlait de sa collection comme « plus digne de me survivre que mes propres uvres » (Le Monde d'hier, 1942) refait pour son ami le détail de cette incroyable découverte de centaines de feuillets oubliés, comprenant de la correspondance intime de Wagner, des partitions et extraits de livrets d'opéras de sa main dont Le Hollandais volant, La sublime fiancée, Les Fées, La défense d'aimer (ou La Novice de Palerme) ainsi qu'une version orchestrale perdue de Rule Britannia. En ce mois de décembre 1937, alors qu'il est réfugié à Londres fuyant la terreur brune, Zweig s'enthousiasme pour des archives d'un temps où l'Europe intellectuelle vivait en parfait syncrétisme. L'écrivain pose un regard nostalgique sur les papiers de Richard Wagner, qui, comme lui, a passé sa jeunesse à parcourir les capitales européennes : «J'ai eu la chance extraordinaire de pouvoir mettre la main pendant un petit séjour à Vienne sur tout un lot de manuscrits musicaux et littéraires deRichard Wagnerde sa première époque (Leipzig, Magdebourg, Riga et Paris)». Parmi ces précieux manuscrits, se trouve entre autres le rarissime arrangement orchestral du chant patriotique anglaisRule Britannia, disparupendant plus de soixante ans. Partageant sa passion de Wagner avec son ami le pianiste Cortot, il lui annonce sa découverte avec cet émerveillement si familier aux collectionneurs devant une trouvaille exceptionnelle :" [...]Il contient des choses qui vous intéresseront spécialement par exemple la traduction complète (60pages) la version française (inédite (je crois) du texte du "Liebesverbot")entièrement de la main de Wagner, puis les manuscrits d'une chanson de vaudeville "Descendons la Courtille"(qu'il faisait dans sa misère la plus noire) [...]presque trente pièces du plus haut intérêtet justementde l'époque la plus rare. Tout cela était caché pendant 50 ans dans une collection privée et j'avais la chance de pouvoir acquérir le lot entierunjour avant que Bayreuth envoyait une personne de confiance". La lettre constitue un fascinant témoignage de la vie parallèle de Zweig, qui s'était forgé une réputation de collectionneur éclairé. Sa collection lui a par ailleurs inspiré une de ses plus belles nouvelles,La collection invisible (die Unsichtbare Sammlung) ainsi qu'un essai pionnier dans leDeutscher Bibliophilen Kalender (De la collection d'autographes considérée comme un art). Ses centaines d'autographes historiques, musicaux et littéraires du Moyen-Age au XXe siècle, étaient soigneusement répertoriés dans des catalogues et rassemblés dans la bibliothèque-musée de sa maison du Kapuzinerberg : "Dans cette bibliothèque, "lieu de culte", il exerce aussi une véritable activité d'expert en autographes [...] La bibliothèque attirera un nombre de savants professeurs, parfois accompagnés de leurs assistants, qui n'hésiteront pas à revenir y travailler au calme des jours d'affilée, voire des semaines" (Stefan Zweig, le voyageur des mondes,Serge Niemetz). Avec cette acquisition, Zweig voit se réaliser le rêve de tout collectionneur. Exilé depuis deux ans en Angleterre, et bravant la progressive fermeture des frontières de l'Europe, Zweig retourne à Vienne à temps et fait l'achat de ces documents exceptionnels, soustraits aux émissaires de Bayreuth qui rassemblaient déjà à l'époque une importante collection aujourd'hui gérée par le musée et la fondation Wagner. On reconnaît également dans cette lettre la curiosité insatiable de Zweig biographe,
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Stefan Zweig, Alzir Hella (Trad), Serge Niemetz
Reference : RO20274767
(2008)
ISBN : 2352360196
GUTENBERG. 2008. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 359 PAGES - 2 photos disponibles. . . . Classification Dewey : 830-Littératures des langues germaniques
"Stefan Zweig, Alzir Hella (Trad), Serge Niemetz (introduction) // "" Trois poètes de leur vie (1928) est la dernière des trilogies conçues par Stefan Zweig comme éléments des Bâtisseurs du monde, vaste «typologie de l'esprit» consacrée à divers modèles exemplaires de génies créateurs, étudiés selon une «méthode comparative» qui permettra d'accuser les reliefs. Cet ouvrage confronte des écrivains voués comme par nature à l'autobiographie : Stendhal, Casanova et Tolstoï, qui ont fait de leur propre existence leur sujet de prédilection. Ils ont en commun, entre eux et avec Zweig, d'être des «figures qui passent leur vie à se scruter elles-mêmes». Ils ont laissé trois autobiographies dont Zweig veut «essayer de fixer la véracité et le mensonge», compte tenu de cette contradiction : seul le poète peut parvenir à la connaissance de soi ; mais, justement, le poète est voué à transformer cette connaissance. La poésie va-t-elle servir la vérité ou la travestir ? Usant de cette empathie dont il est un maître, Stefan Zweig révèle en ces écrivains des personnages aussi problématiques que ceux de ses oeuvres de fiction. En une réflexion approfondie, nourrie par l'expérience, il explore pourquoi et comment des auteurs désireux de perpétuer leur souvenir par l'écriture ou de «s'analyser pour se connaître» sont irrésistiblement entraînés vers «le plus dangereux» de tous les genres littéraires."" Classification Dewey : 830-Littératures des langues germaniques"
Club des Libraires de France, 1954, fort in-8°, [8]-432 pp, traduit de l'allemand par Alzir Hella, dossier illustré en tête d'ouvrage, 13 documents hors texte, numéroté, exemplaire tiré sur Alfa, reliure pleine soie tricolore éditeur, premier plat orné d'un billet signé de Marie-Antoinette contrecollé, signet, tranche sup. lég. salie, bon état. Jolie édition
Vilipendée par les uns, sanctifiée par les autres, Marie-Antoinette fut sans doute la plus méconnue des reines de France. Il fallut attendre Stefan Zweig, en 1933, pour que la passion le cède enfin à la vérité. Faisant œuvre d'historien, Zweig a rassemblé avec une prodigieuse maîtrise tous les matériaux existants, en particulier la correspondance de Marie-Thérèse d'Autriche avec sa famille et les papiers du comte de Fersen. Mais en même temps, profond psychologue, il a su explorer les moindres recoins de l'âme humaine, et redonner vie aux statues bordant l'avenue de l'histoire. Il nous montre ainsi comment l'impuissance temporaire de Louis XVI a précipité Marie-Antoinette dans un tourbillon de distractions toujours plus onéreuses. Comment son amitié pour la comtesse de Polignac et l'affaire du Collier lui portèrent un tort fatal. Et comment la Cour se servit de tous ces éléments pour éloigner la reine du peuple. Stefan Zweig, surtout, est parvenu à évoquer, derrière la souveraine, la femme ordinaire et aimable, bientôt emportée par les événements, et dont le destin fut malgré elle héroïque. — Le cynisme de la boutade aura beaucoup fait pour la fâcheuse réputation de Marie-Antoinette. Des Parisiens affamés, elle aurait dit : « Ils n'ont pas de pain ? Qu'ils mangent de la brioche ! » Mot très certainement apocryphe, mais révélateur du portrait de femme futile et débauchée qui fut fait de l’ « Autrichienne » après la Révolution. Zweig, s'appuyant sur les archives de l'Empire autrichien, retrace avec pénétration l'évolution de cette trop jeune reine de 15 ans, que la faiblesse de Louis XVI va précipiter dans un tourbillon de fêtes avant de la vouer à la guillotine.
Stefan Zweig, Serge Niémetz (Préface), Henri Bloch
Reference : RO20274765
(2008)
ISBN : 235236020X
GUTENBERG. 2008. In-12. Broché. Etat d'usage, Couv. convenable, Dos satisfaisant, Quelques rousseurs. 209 PAGES - 3 photos disponibles. . . . Classification Dewey : 830-Littératures des langues germaniques
"Stefan Zweig, Serge Niémetz (Préface), Henri Bloch (Traduction), Alzir Hella (Traduction) // "" Ce volume réunit trois essais conçus d'abord séparément : le Balzac a paru en 1908, le Dickens en 1910 ; entrepris en 1910, le Dostoïevski est resté sur le métier jusqu'en 1919. Lorsqu'en 1920 Zweig publie Trois maîtres, ce volume est déjà devenu dans ses projets le premier élément d'une vaste architecture, Les Bâtisseurs du monde, ensemble de triptyques consacrés à divers types de génies qui ont édifié le monde de l'esprit. «Seuls grands romanciers du XIXe siècle», les trois «Maîtres» dressent face à la Création un nouveau cosmos régi par ses propres lois ; et en même temps, comme dans un miroir magique, ils transforment et enrichissent l'image que nous avons d'elle. En confrontant ces géants, Zweig cherche à élucider les traits communs et les caractéristiques individuelles de chacun tel qu'il se révèle dans ses personnages, ceux-ci se trouvant en retour éclairés par la vie de leur créateur. Mais ce ne sont pas seulement des raisons «objectives» qui font que Zweig les élit comme sujet d'étude; avec eux, il entretient un dialogue intime spécifique. Avec Balzac, le face-à-face s'étendra sur plus de trente-cinq ans ; l'ambition d'une «typologie de l'esprit humain» répond au même objectif de totalisation cohérente que l'«encyclopédie» balzacienne. L'univers de Dickens semble représenter pour le jeune Zweig le comble de l'exotisme, mais son étrangeté n'a rien qui puisse susciter l'enthousiasme, elle exclut toute exaltation du pathos : ce que le romancier peut faire de mieux, c'est rendre «intéressant et presque digne d'amour ce monde antipathique du rassasiement et de l'embonpoint». À l'autre bout du continent, dans une Russie où les bouleversements de la modernité se heurtent à la démesure des «forces élémentaires et éternelles», s'est dressé un type de génie diamétralement opposé à celui de Dickens : Dostoïevski, comme une part de Zweig lui-même, «n'aspire qu'à l'intensité». Analyste fin et passionné, Zweig se montre dans ces Trois maîtres tout à la fois conteur et critique hors pair."" Classification Dewey : 830-Littératures des langues germaniques"
Grasset, 1983, in-8°, 442 pp, traduit de l'allemand par Alzir Hella, broché, couv. illustrée, bon état
Vilipendée par les uns, sanctifiée par les autres, Marie-Antoinette fut sans doute la plus méconnue des reines de France. Il fallut attendre Stefan Zweig, en 1933, pour que la passion le cède enfin à la vérité. Faisant œuvre d'historien, Zweig a rassemblé avec une prodigieuse maÎtrise tous les matériaux existants, en particulier la correspondance de Marie-Thérèse d'Autriche avec sa famille et les papiers du comte de Fersen. Mais en même temps, profond psychologue, il a su explorer les moindres recoins de l'âme humaine, et redonner vie aux statues bordant l'avenue de l'histoire. Il nous montre ainsi comment l'impuissance temporaire de Louis XVI a précipité Marie-Antoinette dans un tourbillon de distractions toujours plus onéreuses. Comment son amitié pour la comtesse de Polignac et l'affaire du Collier lui portèrent un tort fatal. Et comment la Cour se servit de tous ces éléments pour éloigner la reine du peuple. Stefan Zweig, surtout, est parvenu à évoquer, derrière la souveraine, la femme ordinaire et aimable, bientôt emportée par les événements, et dont le destin fut malgré elle héroïque.
Grasset, 1960, in-8°, 444 pp, traduit de l'allemand par Alzir Hella, broché, couv. illustrée, bon état
Vilipendée par les uns, sanctifiée par les autres, Marie-Antoinette fut sans doute la plus méconnue des reines de France. Il fallut attendre Stefan Zweig, en 1933, pour que la passion le cède enfin à la vérité. Faisant œuvre d'historien, Zweig a rassemblé avec une prodigieuse maîtrise tous les matériaux existants, en particulier la correspondance de Marie-Thérèse d'Autriche avec sa famille et les papiers du comte de Fersen. Mais en même temps, profond psychologue, il a su explorer les moindres recoins de l'âme humaine, et redonner vie aux statues bordant l'avenue de l'histoire. Il nous montre ainsi comment l'impuissance temporaire de Louis XVI a précipité Marie-Antoinette dans un tourbillon de distractions toujours plus onéreuses. Comment son amitié pour la comtesse de Polignac et l'affaire du Collier lui portèrent un tort fatal. Et comment la Cour se servit de tous ces éléments pour éloigner la reine du peuple. Stefan Zweig, surtout, est parvenu à évoquer, derrière la souveraine, la femme ordinaire et aimable, bientôt emportée par les événements, et dont le destin fut malgré elle héroïque.
Bernard Grasset 1937 1937. Stefan Zweig - Joseph Fouché / Bernard Grasset 1937
Etat correct
Michel albin SA 2007 2007. Stefan Zweig - Balzac le roman de sa vie / Albin Michel 2007
Le Livre de Poche 1994 1994. Stefan Zweig - L'amour d'Erika Ewald / Le Livre de Poche 1994
Bon état
Le Livre de Poche 2010 2010. Stefan Zweig - Marie Stuart / Le Livre de Poche 2010
Bon état
Grasset Broché D'occasion état correct 01/01/1946 512 pages
Broché, 20X14 cm, 2016, 445 pages, illustrations en noir, éditions Grasset. Très bon état.
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1950 GRASSET 1950- IN8 br.couv.ill.288p.carte.
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Belfond, 2000 in-8°, 152 pp, traduit de l'allemand, broché, couv. illustrée, bon état
Ce recueil consacré au voyage rassemble dix-sept récits inédits en français, publiés essentiellement dans des journaux ou des revues entre 1902 et 1939. Grand voyageur, insatiable curieux de l'ailleurs, Stefan Zweig a passé des années à parcourir le monde. Jusqu'en 1914, il est un voyageur au pied léger, attentif, enthousiaste ; la fête est au cœur de ses récits dans “La Saison à Ostende”, “La Fête à Montmartre”. Après le début de la Première Guerre mondiale, l'Histoire et ses événements dramatiques viennent entraver le voyage. Le regard de Zweig se teinte alors de nostalgie, et c'est en fouillant le passé que le voyageur-écrivain cherche à appréhender le destin de Florence ou d'Anvers. De l'insolite “Visite au royaume des milliards”, plongée dans les entrailles de la Banque de France, jusqu'à la poignante “Maison des mille destins”, où le voyage devient synonyme d'exil pour les juifs persécutés, ces textes, dans leur diversité, nous font pénétrer plus avant dans l'œuvre de l'écrivain, mais aussi dans son univers intérieur.
Le Livre de Poche 1994 1994. Stefan Zweig : Vingt-quatre heures de la vie d'une femme / Le livre de poche 1994 LBN27
Bon état
<p>Collection "Les cahiers rouges".</p><div class="field field-name-hw-presentation-editoriale field-type-text-long field-label-hidden"><div class="field-items"><div class="field-item even">C'est sur un paquebot trop confortable, en route pour l'Amérique du Sud, que Stefan Zweig eut l'idée de cette odyssée biographique. Il songea aux conditions épouvantables des voyages d'autrefois, au parfum de mort salée qui flottait sur les bougres et les héros, à leur solitude. Il songea à Magellan, qui entreprit, le 20 septembre 1519, à 39 ans, le premier voyage autour du monde. Un destin exceptionnel... Sept ans de campagne militaire en Inde n'avaient rapporté à Magellan le Portugais qu'indifférence dans sa patrie. Il convainc alors le roi d'Espagne, Charles-Quint, d'un projet fou ; " Il existe un passage conduisant de l'océan Atlantique à l'océan Indien. Donnez-moi une flotte et je vous le montrerai et je ferai le tour de la terre en allant de l'est à l'ouest " (C'était compter sans l'océan Pacifique, inconnu à l'époque..). Jalousies espagnoles, erreurs cartographiques, rivalités, mutineries, désertions de ses seconds pendant la traversée, froids polaires, faim et maladies, rien ne viendra à bout de la détermination de Magellan, qui trouvera à l'extrême sud du continent américain le détroit qui porte aujourd'hui son nom. Partie de Séville avec cinq cotres et 265 hommes, l'expédition reviendra trois ans plus tard, réduite à 18 hommes sur un raffiot. Epuisée, glorieuse. Sans Magellan qui trouva une mort absurde lors d'une rixe avec des sauvages aux Philippines, son exploit accompli. Dans ce formidable roman d'aventures, Zweig exalte la volonté héroïque de Magellan, qui prouve qu'" une idée animée par le génie et portée par la passion est plus forte que tous les éléments réunis et que toujours un homme, avec sa petite vie périssable, peut faire de ce qui a paru un rêve à des centaines de générations une réalité et une vérité impérissables ".</div></div></div> Paris, 2003 Grasset 280 p., broché. 12 x 19
Neuf
<p>La publication de cette brève nouvelle de Stefan Zweig est un hommage à l'esprit du collectionneur. Le paradoxe nous fait découvrir un collectionneur aveugle, mais tout aussi amoureux de sa collection que n' importe quel autre amateur de belles images, voire même plus... Le texte de Zweig est accompagné par une sorte de portfolio idéal, réinventé par l'éditeur pour cette occasion, et qui nous donne à voir non pas l'intégralité des estampes mais des extraits, des bouts d'images qui échappent au regard.</p> Tesserete, 2015 Pagine d’arte 56 p., broché. 11 x 22
Neuf
Mercure de France | Paris décembre 1909 | 15 x 23 cm
Édition originale. Reliure en plein cartonnage souple gris souris, petites taches sur les plats, couvertures conservées, reliure de l'époque. Contributions de M. Logé, Colonel de Rochas "Les Idées de Vauban sur l'organisation de l'armée", E. Henriot "La Promenade vénitienne", Stefan Zweig "Le Drame Verhaerenien", R. Schwab, L. Larguier "L'Oeil d'émeraude", L. Dumont-Wilden "André-Gide", C. Enlart, A. Paupe "Stendhal et ses livres", E. Sicard "Les Marchands", R. de Gourmont, P. Quillard, Rachilde, A. Fontainas. Ouvrage orné de portraits de Colette et André Gide par A. Rouveyre. Agréable état intérieur. Le 'Mercure de France' est à l'origine une revue française, fondée au XVIIe siècle sous le nom de 'Mercure Galant', qui évoluera pour devenir, au XXe siècle, une maison d'édition. Sous l'impulsion de Rémy de Gourmont et d'Alfred Jarry, une revue littéraire reprend le nom de 'Mercure de France' en 1890 et propose des textes symbolistes, notamment de Jean Moréas, Ernest Raynaud, Jules Renard, Louis Dumur. Accédant progressivement à la reconnaissance, cette revue va publier aussi bien des Parnassiens parmi les plus grands (Baudelaire, Rimbaud, Verlaine, Mallarmé, Heredia, etc.) que voir l'éclosion de la Pataphysique de Jarry. La maison d'édition naît dans la foulée. Elle publie notamment les premières uvres de Gide et de Claudel, de Colette, d'Apollinaire, de Georges Duhamel? - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Nrf | Paris 1929 | 12 x 19 cm | broché
Edition originale écrite en collaboration par Jules Romains et Stefan Zweig pour "Volpone", un des 650 exemplaires numérotés sur pur fil, seuls grands papiers après les 109 réimposés. Agréable exemplaire. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
Im Selbstverlag des Verfassers | s. l. 1927 | 14.50 x 23 cm | reliure de l'éditeur
Édition originale imprimée à 440 exemplaires numérotés. Ouvrage illustré de 7 bois de Frans Masereel. Reliure de l'éditeur en demi cartonnage façon vélin à petits coins, dos lisse, tête dorée, ex-libris encollé sur un contreplat. Rare envoi autographe signé de Stefan Zweig à l'écrivain Max Spanier qui disparut dans l'enfer de l'Holocauste : "Im herzlicher Erkenntlichkeit" ("Avec une sincère gratitude"). - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85