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Divarication du Nouveau Testament en doctrine, parole de Dieu, histoire, parole de l'homme, par Thomas Wirgman,... . Traduit de l'anglais sur la 2e édition par A. F. Lambert
Paris, Ab. Cherbuliez, Libraire, Alex. Johanneau, impr. H. Fournier et Comp., à Paris 1838 In-8 22 x 13,5 cm. Broché, couverture bleue, titre en noir sur le dos et le premier plat, XVI-569 pp., bibliographie. Exemplaire bien complet du frontispice, un diagramme colorié expliquant le temps et l’éternité, et p. 331, d’une reproduction d’une curieuse médaille en or à l'effigie du Christ, qui passe pour avoir été frappée l'année même de sa mort par un de ses disciples pour les douze apôtres. Bon exemplaire, pages non coupées, de la première édition française d’un ouvrage d’une relative rareté, véritable traité de théosophie transcendante, à la lumière duquel l'auteur a pu élucider d'une façon pénétrante la doctrine essentielle des évangiles.
Bon état d’occasion
Divarication du Nouveau Testament en doctrine (Parole de Dieu) et histoire (Parole de l'Homme). Traduit de l'anglais sur la deuxième édition par A. F. Lambert.
Paris : Cherbuliez et Johanneau, 1838 In-8, XVI-569-(1) pages. Demi-veau moderne, dos à nerfs plats orné, plats de couverture conservés.
Première édition française de ce rarissime livre de fou. Le frontispice représente un diagramme en couleurs expliquant le temps et l'éternité. L'ouvrage était déjà tellement rare au temps d'Eliphas Lévi (l'ecclésiastique Alphonse-Louis Constant, 1810-1875), grande figure de l'occultisme, que celui-ci n'a pas hésité à reproduire et s'attribuer ce curieux diagramme en l'intitulant "la clef du Sepher Jetzirah".Ce livre, et c'est l'une des raisons qui l'ont fait détruire, reproduit, page 331, une curieuse médaille en or à l'effigie du Christ, qui passe pour avoir été frappée l'année même de sa mort par un de ses disciples pour les douze apôtres. La préface et l'introduction forment un véritable traité de théosophie transcendante, à la lumière duquel l'auteur a pu élucider d'une façon pénétrante la doctrine essentielle des Evangiles.L'orfèvre anglais Thomas Wirgman, qui fut un commentateur prolifique de l'oeuvre de Kant, dépensa 50 000 livres pour l'impression d'ouvrages "dont il ne vendait jamais plus d'une vingtaine d'exemplaires. Ce maniaque mourut dans le dénuement" (Blavier p. 85).
