4 books for « walker j b et al »Edit

‎The Genus Rhipicephalus (Acari, Ixodidae): A Guide to the Brown Ticks of the World.‎

‎2000 xii, 643 p., 279 figures, 74 distribution maps, 4to, hardbound. Library stamps, else a very good copy.‎

‎Science for the People - January-February 1978 - Volume 10 - n° 1 - Drug Abuse and the Medical Profession : The Lilly Connection‎

‎Science for the People Malicorne sur Sarthe, 72, Pays de la Loire, France 1978 Book condition, Etat : Bon paperback, original editor's illustrated wrappers In-4 1 vol. - 39 pages‎

‎few drawings Contents, Chapitres : Chapter and contacts About this issue - Letters - New notes - Michael Smith : The Lilly connection : Drug abuse and the medical profession - Tedd Judd : Naturizing what we do : A review of the film Sociobiology : Doing what comes naturally - California Agrarian Action Project : No hands touch the land : Automatic California farms - Al Gedicks : Mining spectre haunts Northern Wisconsin - Sue Tafler and Betsy Walker : Why boycott Nestlé - References for Biology as an ideological weapon - Tallahassee SftP : Resources - Progressive scientists needed in Mexico - Chapter reports few words at ink on the front-wrapper and on one page, else near fine‎

‎Le quart d'heure vaudois. ‎

‎Lausanne, Marguerat, 1976. In-4, pleine toile verte ornée d'une vignette de Géa Augsbourg, sous jaquette imprimée. Tout petits défauts à cette dernière, pour le reste en très belle condition. ‎

7 Images

‎Bien complet des 3 disques insérés dans le volume, pochettes illustrée encore par Géa, dont ont retrouve des dessins à pleine page. Belle iconographie in-texte en noir, donc plusieurs fac-similé. Santé, gloire et bossette ! ‎

‎Musiciens et amateurs. Le goût et les pratiques de la musique à Genève aux XVIIe et XVIIIe siècles. ‎

‎Genève, La Baconnière/Arts, 2017. In-8 broché, couverture à rabats. En belle condition. Abondamment illustré en noir et en couleurs. ‎

‎"Depuis la seconde moitié du XVIe siècle, Genève s'est imposée comme un centre intellectuel et religieux. Attirant une importante communauté de nobles étrangers, la ville ne reste pas à l'écart des goûts et des pratiques artistiques du temps. Si la place qu'y tenaient les beaux arts est aujourd'hui reconnue, il restait à évaluer celle de la musique. Ici comme ailleurs, les temps forts de la vie familiale et sociale sont inséparables des danses accompagnées par les instruments. Musiciens itinérants et maîtres de danse ont été les acteurs essen tiels de la diffusion des pratiques musicales. Au milieu du XVIIe siècle, on signale déjà que des "concerts de musique" se tiennent dans les temples et en 1718 une première société de concerts obtient l'amé nagement à l'Hôtel de Ville d'une salle où se produiront pendant plus d'un siècle les amateurs genevois et les artistes de passage. Loin de se limiter aux salons patriciens, la pratique de la musique se diffuse au sein de la bourgeoisie et dans le monde des artisans aisés de la Fabrique, offrant des occasions de travail aux maîtres de musique et de danse, aux luthiers, voire aux graveurs de musique. Cela explique que plusieurs musiciens étrangers se soient installés, parfois dura blement, dans la cité. Venant de pays et de cultures différentes, ils ont confronté leur bagage culturel et leur langage avec les artistes locaux, contribuant ainsi au développement d'une vie musicale floris sante en phase avec les grands courants stylistiques européens. " ‎