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Johannis Voet JCti & Antecessoris in Academiâ Lugduno-Batava Commentarius ad PANDECTAS. In quo praeter Romani Juris principia ac controversias illustriores, Jus etiam hodiernum, & precipuae Fori Quaestiones excutiuntur. Tomus Secundus, Continet octo & viginti libros libros posteriores. Editio ultima accuratior. Cum novo indice generali locupletissimo Materiarum in duobus Tomis contentarum, alioque Titulorum (tome 2 vendu seul)
Coloniae Allobrogum, Apud Fratres de TOURNES, 1778, 1 volume in-folio de 375x230x70 mm environ, tome 2 vendu seul, 2ff. (titres avec vignette à la devise de l'imprimeur "Quod tibi fieri non vis, alteri ne feceris", Admontio), 978 pages, 1f.blanc, pleine basane marbrée cognac, dos à 6 nerfs portant titres et tomaison dorés sur pièce de titre en maroquin bordeaux, tomaison noire, orné de caissons à fleurons et motifs dorés, coupes dorées, gardes marbrée, impression en 2 colonnes par page. Coins dénudés, manque de cuir sur les coupes et coiffes, fortes épidermures et galeries sur le cuir, des mouillures et pages brunies, petit trou dans le texte p. 265 (sans gêne pour la lecture). Il s'agit du Tome 2, vendu seul, des Commentaires sur les Pandectes, oeuvre célèbre et estimée du juriste Jean Voet, parue pour la première fois en 1698-1704. Impression genevoise, et non de Cologny en Suisse, des Frères Tournes. Texte en latin.
Jean Voët ou Johannes Voet, né le 3 octobre 1647 à Utrecht et mort le 11 septembre 1713 à Leyde, est un juriste néerlandais en droit civil et canon, lun des plus grands juristes de lUsus modernus pandectarum aux Pays-Bas et fréquemment rattaché à l'humanisme juridique. Merci de nous contacter à l'avance si vous souhaitez consulter une référence au sein de notre librairie.
Commentarius ad Pandectas.
1723 Hagæ.Comitum, Apud Abrahamum de Hondt, 1723.
2 volumes in-folio (33,5 cm x 20,5 cm), veau brun (reliure de ‘l'époque), dos à nerfs orné, pièce de titre rouge, tranches dorées, titre à l’encre rouge et noire, ex-libris manuscrit sur la première garde de J. Beeckinan[?], texte en latin sur deux colonnes, [20]-974-[62] ; 1180-[68] pages (complet). Frottements à la reliure, coiffes accidentées, 4 mors fendus (de 2 cm à 7 cm), quelques mouillures. Quatrième édition. Jean Voët ou Johannes Voet, (1647-1713), est un juriste néerlandais en droit civil et canon, l’un des plus grands juristes de l’Usus modernus pandectarum aux Pays-Bas et fréquemment rattaché à l'humanisme juridique. Son plus célèbre ouvrage est son Commentaire sur les Pandectes, fort estimé et plusieurs fois réédité. Bien qu'il montre des signes d’humanisme juridique, il peut également être considéré comme une forme néerlandaise d’usus modernus pandectarum. Traduit en allemand au xixe siècle, il constitue encore aujourd’hui une source importante de la loi sud-africaine. Voët souhaitait réunir la théorie et la pratique des droits romain et moderne. Contrairement à l’humanisme juridique, il ambitionnait d’expliquer le droit et non de se livrer à une critique philologique des textes. Au lieu de problématiser la genèse du corpus iuris civilis, il l’acceptait fondamentalement comme simple texte légal. Agréable exemplaire.
Commentarius ad Pandectas.
1723 Hagæ.Comitum, Apud Abrahamum de Hondt, 1723.
2 volumes in-folio (33,5 cm x 20,5 cm), veau brun (reliure de ‘l'époque), dos à nerfs orné, pièce de titre rouge, tranches dorées, titre à l’encre rouge et noire, ex-libris manuscrit sur la première garde de J. Beeckinan[?], texte en latin sur deux colonnes, [20]-974-[62] ; 1180-[68] pages (complet). Frottements à la reliure, coiffes accidentées, 4 mors fendus (de 2 cm à 7 cm), quelques mouillures. Quatrième édition. Jean Voët ou Johannes Voet, (1647-1713), est un juriste néerlandais en droit civil et canon, l’un des plus grands juristes de l’Usus modernus pandectarum aux Pays-Bas et fréquemment rattaché à l'humanisme juridique. Son plus célèbre ouvrage est son Commentaire sur les Pandectes, fort estimé et plusieurs fois réédité. Bien qu'il montre des signes d’humanisme juridique, il peut également être considéré comme une forme néerlandaise d’usus modernus pandectarum. Traduit en allemand au xixe siècle, il constitue encore aujourd’hui une source importante de la loi sud-africaine. Voët souhaitait réunir la théorie et la pratique des droits romain et moderne. Contrairement à l’humanisme juridique, il ambitionnait d’expliquer le droit et non de se livrer à une critique philologique des textes. Au lieu de problématiser la genèse du corpus iuris civilis, il l’acceptait fondamentalement comme simple texte légal. Agréable exemplaire.
