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‎Traviès de Villers,Charles Joseph‎

Reference : 25127

‎Conspiration dite : de la poële à frire - Lithographie originale sur Velin blanc.‎

‎ Conspiracy called: the frying pan Charles Joseph Traviès de Villers, dit Traviès (1804-1859). Caricature de presse. "Conspiration dite : de la poële à frire". Planche parue dans "La Caricature" du 2 janvier 1834. Lithographie.‎


‎Conspiracy called: the frying pan Charles Joseph Traviès de Villers, dit Traviès (1804-1859). ‎

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‎Traviès de Villers,Charles Joseph‎

Reference : 25129

(1834)

‎TETES D'EXPRESSIONS - Heads of expressions Charles Joseph Traviès de Villers, dit Traviès (1804-1859). Caricature de presse. "Têtes d’expressions". Planche parue dans "La Caricature" du 14 août 1834.Lithographie originale sur Velin blanc.‎

‎ 1834 Heads of expressions Charles Joseph Traviès de Villers, dit Traviès (1804-1859). Caricature de presse. "Têtes d’expressions".PL.412 Planche parue dans "La Caricature" du 14 août 1834. Lithographie. Dimensions: 260 mm X 340 mm - SUR PAPIER BLANC,pli central‎


‎Deux représentations caricaturales du roi Louis-Philippe, assis sur un fauteuil. La planche dénonce l’entrain avec lesquels Louis-Philippe procède à la répression des opposants au régime. Elle pointe également du doigt le manque de ressort du roi dans le traitement des affaires étrangères. ‎

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‎LINNÉ, Carl von ; VILLERS, Charles-Joseph de‎

Reference : 62604

(1789)

‎Entomologia, faunae suecicae descriptionibus aucta [...] curante et augente Carolo de Villers‎

‎Lyon, Delamolière, 1789, in-8, 4 vol, XVI-[4]-765-[1] + XVI-656 + [2]-657-[1] + 556-CXIII pp, 12 pl. et 12 tabl, Demi-basane violine du début du XIXe siècle, dos lisse ornés de fers romantiques, Unique édition, peu commune, de ce dictionnaire d'entomologie, dans lequel le naturaliste français, Charles-Joseph de Villers (1724-1810), "refond toutes les descriptions d'insectes que Linné avait répandues dans ses ouvrages" (Percheron), notamment dans la Faune de Suède. Il y ajoute les découvertes faites par Geoffroy, Scopoli, de Géer, Schranck et Fabricius : sous la forme, commode, de tableaux synthétiques, l'ouvrage permet une comparaison aisée des divergences de descriptions et de nomenclatures à propos d'une même espèce. Cette monumentale compilation forme le recueil le plus complet publié à la fin du XVIIIe siècle sur cette partie de l'histoire naturelle. Toutefois afin de rendre hommage au botaniste suédois, de Villers conserve les classifications et sous-classifications de Linné qui avait été remises en cause par Geoffroy et Fabicius. Les planches montrent de nombreux spécimens d'insectes (scarabées, papillons, phalènes, guêpes, mouches, etc.) ; les 12 tableaux, un pour chaque planche, donnent les noms scientifiques en latin et les noms usuels français des espèces décrites. Bel exemplaire à l'intérieur très frais. Couverture rigide‎


‎Bon 4 vol., XVI-[4]-765-[1] +‎

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‎Travies de Villers,Charles Joseph -TALLEYRAND‎

Reference : 24411

(1833)

‎Il serait plus facile d’arreter le soleil.Lithographie. ‎

‎ 1833 Planche HT double parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 6, 20 décembre 1833 (Planche 341-342)- Hauteur: 35.6cmxLargeur: 53cmDimensions - Image :Hauteur: 27.5cmx Largeur: 48cm - Titre en bas au centre : « IL SERAIT PLUS FACILE D’ARRÊTER LE SOLEIL. » ; indications : en ht à gauche : « La Caricature (Journal) N°163. », en ht à dte : « Pl. 341 et 342. »- Dans la lettre : « Chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur], « L. de Becquet, rue Furstemberg 6. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « C.J. Traviès. » [Charles-Joseph Traviès, dessinateur]Inscription - Sur les feuilles emballant les pierres, sous les roues du char, des inscriptions, de dte à gche : « Congrès », « Ste Alliance », « Légitimité // quasi-légitim […] légitimité », « ARMEES // PERMANANTES [PERMANENTES] », « INQUISITION // DE LA // PENSEE », « Inviolabilité // Royale », « Irrespon // sabilité [Irresponsabilité] // royale », « IMPÔTS », « PRIVILEGES // et // MONOPOLES ». Sur les cordes attachées au char et que tiennent les ministres : « PROCES A LA PRESSE », « attaques au jury AMENDES », des noms de prisons : « MONT St MICHEL. la Force » (2e câble), « illégalité état », « siège Conseils de guerre », « ecrivains [écrivains] [ ?] LEVES A leur juges [ ?] » (1e câble). Sur les papiers à terre sous les genoux de Talleyrand : « TRAITE D […] [DE] // 1815 // PROTOCOLE // 1833 », « il ne faut pas // flatter les peuples »La figure de la liberté, sous les traits d’une femme portant un bonnet phrygien décoré d’une cocarde tricolore, est debout dans un char, tenant une lance dans la main gche et les rênes des deux chevaux dans l’autre. Derrière, les ministres de la monarchie de Juillet et le roi tentent de retenir le char dans sa marche. Ils forment « la mauvaise queue de la contre-révolution » (in explication). Soult, d’Argout, Guizot, Montalivet et Persil tendent la première corde. (celle de l’illégalité, de l’état de siège, des conseils de guerre). Barthe, Humann, Dupin et Gisquet tirent le câble des attaques contre la presse, des amendes… Thiers s’accroche à la redingote du roi. Le bâton des « Procès à la PRESSE » a été jeté dans une des roues du char pour freiner son avancée. Talleyrand jette des pierres sur le chemin de la Liberté afin de ralentir le char. Elles sont emballées dans des feuilles portant des inscriptions mentionnant les diverses mesures prises pour contrecarrer l’avancée de la république. A quatre pattes par terre, sa main dte repose sur une pierre portant le projet d’une « 3e Restaura […] [Restauration] » pour la France. L’explication précise que « la Liberté se rit de ces vains efforts, qui en font que retarder un peu sa marche prudente, et passe par-dessus ces pierres d’achoppement, qui produisent à peine de légers cahots. ». Le corbeau, oiseau de mauvais augure, plane au-dessus de la scène. Il est annonciateur d’un destin funeste à cette entreprise qui vise à détruire la république et la liberté. La phrase de titre est significative de l’impossibilité de freiner la marche de la liberté qui « poursuit sa carrière, d’un pas lent, mais sûr » (in explication).‎


‎Personnages représentés :Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron; Bachasson, Marthe Camille, comte de Montalivet; Humann, Jean Georges; Dupin, André Marie Jean-Jacques (dit Dupin aîné); Thiers, Adolphe; Guizot, François; Persil, Jean-Charles; Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Talleyrand-Périgord, Charles-Maurice de; Barthe, FélixLa Liberte, radieuse sur son char tire par deux chevaux, avance lentement mais surement. Talleyrand, au premier plan, cherche a entraver la marche du char en placant des paves (impots, privileges etc...) sous ses roues. Derriere le char, Louis-Philippe aide par Thiers, cherche aussi a arreter le char ainsi que Soult, d’Argout, Guizot, Montalivet et Persil. Berthe, Humann, Dupin et Guisquet tirent le cable des attaques contre la presse. La Liberte se rit de ces vains e orts qui ne retardent sa marche que tres legerement.La Caricature. Journal. Morale, Religieuse, Littéraire, Scénique - La Caricature ( Journal) No.163, Plate 341–2. [Paris ] I. de Becquet for Maison Aubert [20 December 1833] Lithograph. Overall paper size 35.7 × 55.5 cm. Central vertical fold.Caricature of the forces of French reaction attempting in vain to halt the triumph of Liberty represented standing serenely on a chariot holding a spear in her left hand, whilst guiding two splendid stallions to advance. Behind the chariot, Louis-Philippe, his ministers, and judges are desperately trying to stop it moving forward; some are so exhausted, a crow is tempted to attack them from above. In the foreground, Talleyrand, crouching on old legislation, is trying to damage the spokes of the wheel by throwing rocks at it; nine rocks already thrown, bear the names of past issues between the king and the opposition. ‎

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‎Traviès de Villers,Charles Joseph - Talleyrand-Périgord,‎

Reference : 25130

‎Route de Pantin. Les hommes usés .Lithographie originale sur Velin blanc.‎

‎ Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique,La Caricature (Journal) N°214, 11 décembre 1834 ,Planche double n°446- 447, grandes marges,,pli verical,frais‎


‎Inscription - Titre en bas au centre : « Route de Pantin. // Les hommes usés. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°214 », en ht à dte : « Pl. 446 et 447. »Inscription - Dans la lettre : « Au bureau, chez Aubert. pass. Véro-Dodat. » [éditeur], « Lith. de Delaunois. r. du Bouloi 19. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « C.J. Traviès » [Charles-Joseph Traviès, dessinateur]Description iconographique:En file indienne, les "hommes usés" de la monarchie de Juillet sont menés à la décharge. Une borne indique qu'ils se trouvent sur le "chemin de la voirie", lieu où l'on portait les ordures, les immondices, les vidanges, les fumiers et les débris d'animaux. A Paris sur la route de Pantin, la "voirie de Montfaucon, à l'actuel emplacement des Buttes-Chaumont, servait à l'équarissage des chevaux et à l'enfouissement de leurs cadavres. Des corbeaux planent au-dessus des futurs cadavres et un crâne d'âne, non sans ajouter un sarcasme supplémentaire, préfigure leur sort. Louis-Philippe, "Le Systême" selon l'explication, en cocher, "conduit cette chaîne de squelettes à la grande voirie morale, dont il est appelé lui-même à faire les délices et l'ornement". Sur le tombereau, les "morts-né du 14 novem[bre] 1834" (cf Planche 441) et à leur côté Talleyrand. Attachés à la charette, de droite à gauche : Soult, Persil, d'Argout "armé de son gourdin d'assomeur", Lobau et son clystère, Viennet et sa lyre, Barthe, Madier de Montjau alias Madrier-Lonjeau, Guizot qui porte une guillotine, "l'argument le plus tranchant de la Doctrine", Thiers, un sac d'argent sur l'épaule, Sebastiani portant un étendard frappé de la devise : "L'ordre règne à Varsovie" et surmonté d'un lièvre. Ferment la marche : le "Constitutionnel", le "Journal des débats", Mortier, Dupin et la "foule de ces ombres vivantes qui traînent si tristement leur impopularité sur les bancs des deux chambres".Personne / Personnage représenté:Thiers, Adolphe; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Mortier, Edouard, maréchal, duc de Trévise; Dupin, André Marie Jean-Jacques (dit Dupin aîné); Madier de Montjau, Joseph Paulin; Persil, Jean-Charles; Sebastiani, Horace; Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Talleyrand-Périgord, Charles-Maurice de; Viennet, Jean Pons Guillaume; Guizot, François; Barthe, Félix; Mouton, Georges, comte de Lobau; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron ‎

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‎Travies de Villers,Charles-Joseph -TALLEYRAND‎

Reference : 24415

‎Theatre Royal des Marionettes.‎

‎ La Caricature. Journal. Morale, Religieuse, Littéraire, Scénique - La Caricature ( Journal) No. 204. Plate 426. [Paris] Delaunois for Maison Aubert [12 October 1834]. Lithograph. Overall paper size 33.3 × 26.2 cm.‎


‎Caricature of Louis-Philippe manipulating his ministers. The king is represented as puppet-master controlling his theatre below; he is pulling into action the recently appointed Marshal Gerard, who is standing in front of a table surrounded by seven other ministerial puppets; the rivals Thiers2 and Guizot3 are recognizable in the centre, whilst Talleyrand occupies a prominent position to the right supported on a crutch under his left shoulder. Some light traces of foxing.1 Etienne Maurice, Comte Gerard (1773–1852) had an exceptionally distin- guished military career throughout the Napoleonic period reaching the rank of divisional general. Louis-Philippe appointed him Minister of War and a Marshal of France. In this capacity he commanded the French army during the Belgian Revolution and briefly served as prime minister in 1834;2 LouisAdolpheThiers(1797–1877),politicianandhistorian,wasamemberof the liberal opposition during the reign of Charles X. He persuaded Louis- Philippe to act in 1830, and served as foreign minister to the July Monarchy in 1836 and in 1840. Thiers became Head of State after the Franco-Prussian War;3 Francois Pierre Guillaume Guizot (1787–1874), statesman and historian, was a liberal opponent to the reactionary Restoration government of Charles X. As Orleanist Minister of Education (1832–37), he established primary schooling. Guizot subsequently served as Orleanist foreign minister (1840–47) and prime minister (1847–48).Dwyer 763. ‎

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‎[VILLERS (Charles de)]‎

Reference : 21642

‎De la Liberté : son Tableau et sa Définition ; ce qu'elle est dans la Société ; Moyens de l'y conserver.‎

‎Metz, Collignon, 1791. 1 vol. in-12, demi-basane brune, dos lisse orné de doubles filets dorés, pièce de titre en basane fauve, tranches jaspées de brun. Reliure du temps, petite épidermure au dos. Bon exemplaire. 233 pp., (5) pp.‎


‎Edition originale de cet essai philosophique qui nuance avec beaucoup de subtilité et montre les paradoxes du concept de liberté érigé par les révolutionnaires. Charles de Villers montre à quel point les révolutions populaires, au nom de la liberté retrouvée, peuvent aboutir à tout le contraire. Il se veut mesuré, précosine de conserver le roi tout en l'entourant d'un conseil de sages. Villers émigra dès 1792. Il est connu pour avoir introduit en France, au début du XIXe s., la philosophie de Kant. Cioranescu, 63476; Barbier II, 1312; Quérard X, 204.‎

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‎Traviès de Villers,Charles Joseph ‎

Reference : 25152

‎La mort-aux-rats politiques. Lithographie par Charles-Joseph TRAVIES‎

‎ Lithographie originale par Charles-Joseph TRAVIES, 335 × 225, marges 340 × 265 , belle epreuve publiee le 4 decembre 1834,n° 445, plis , petite usure au niveau du pli central horizontal,tache claire en marge.‎


‎Le jeune marchand de mort- aux-rats a deja tue quelques rongeurs : Soult, Persil, Louis- Philippe et Thiers. Les produits mortels sont vendus par La Caricature et le Charivari. ‎

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‎Traviès de Villers,Charles Joseph ‎

Reference : 25172

‎Que droles de tetes. - lithographie originale coloriée‎

‎ Planche 138 de La Caricature N° 68.La Caricature, 16 fevrier 1832. Lithographie originale sur Velin blanc. coloriée sur velin blanc pli médian vertical,bon tirage bien noir,petite tache brune -‎


‎Titre en bas au centre : « Qué drôles de têtes !! » ; légende plus bas au centre : « Se vend chez l’éditeur à Ste Pélagie. / (Section Politique.) » ; indications : en ht au centre : « La Caricature (Journal) / (N°68) », en ht à dte : « Pl. 138. »- Dans la lettre : « Lith. de Delaporte. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » ; attribution : Charles-Joseph Traviès, dessinateur ? iconographie:Au premier plan, figuration de deux hommes, vus de trois quarts à dte. Ils sont représentés en train de marcher, se dirigeant vers la dte de la composition. Le premier, un homme ventripotent, en pantalon et redingote, tenant dans sa main gche un chapeau haut de forme orné de la cocarde tricolore. Sa tête n’est pas humaine mais est remplacée par une poire. Il s’agit du roi Louis-Philippe. Le second homme prend appui sur le bras du premier. Il s’agit de son fils aîné, le duc d’Orléans, en habit militaire. Sa tête, à lui non plus, n’est pas humaine, mais est remplacée par une courge ou un concombre. A l’arrière-plan, une foule de personnes regardant passer ces deux hommes étranges. On distingue un cavalier à dte. A gche, une femme et un enfant se détachent de la masse informe de la foule. L’enfant pointe du doigt les deux créatures hybrides. La poire est l’attribut caricatural fréquemment utilisé par La Caricature pour désigner le roi des Français. Un cucurbitacée se trouve également souvent associé au duc d’Orléans. Le remplacement de la tête, siège de la pensée, par un végétal, sert à mettre en lumière la bêtise des deux personnages. Sans doute l’idée de cette pl. vient-elle de Charles Philipon, au vu de la légende, celle-ci précisant le lieu de vente de la pl., c'est-à-dire la prison de Sainte-Pélagie, dans laquelle est alors enfermé le directeur de La Caricature depuis le 12 janvier 1832, condamné pour outrages à la personne du roi (à cause de la publication de la pl. 70 du numéro 35 ; 30 juin 1831). Cette pl. résonne alors comme une vengeance.Personnage représenté:Louis-Philippe Ier, roi des Français ‎

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‎Traviès de Villers,Charles Joseph‎

Reference : 25133

‎L'ADORATION DU VEAU D'OR.Lithographie originale sur Velin blanc.‎

‎ Planche parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 7, 8 mai 1834 (Planche n°384)‎


‎Inscription - Titre en bas au centre : « L’ADORATION DU VEAU D’OR. » ; légende plus bas au centre : « ………………………. // 8°. Ils se sont fait un veau d’or et ils l’ont adoré. // 9°. Le Seigneur dit encore à Moïse ; je vois que ce peuple a la tête dure. // (Exode // Chap : XXX11 [XXXII].) » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°183. », en ht à dte : « Pl. 384. »Inscription - Dans la lettre : « Au Bau., chez Aubert, pass. Véro-Dodat. » [éditeur], « Lith : Delaunois, rue du Bouloy, 19. » [imprimeur]Inscription - Les sacs portent les inscriptions : « MARCHES », « RECETTES GENERALE […] [GENERALES] // SINECURES », « TRAITEMENTS // DES // MINISTRES », « CONSEIL // D’ETAT », « DIRECTIONS // GENERALES », « FONDS // SECRETS », « RETRAITE ». A l’arrière de la redingote de Viennet sort un exemplaire de son Epître aux mules, rebaptisé par la pl. en « ANERIES ». A côté des portefeuilles des ministères, à terre au premier plan, gisent à terre les dossiers du « BUDGET // 1834 » et de la « PREFECTURE »Description iconographique:Parodie d’un épisode de l’Exode contenu dans l’Ancien Testament, lors duquel les Hébreux construisirent une idole, une statue de veau en or. Moïse, redescendu du mont Sinaï, les surprit adorant le veau. Le Troisième Commandement interdisant l’adoration des idoles, Moïse se mit en colère et décida de tuer ces hérétiques. La référence à l’adoration du veau d’or est fréquemment utilisée pour dénoncer une attitude idolâtre. Et c’est dans cette attitude que sont représentés les membres du gouvernement, adorant leur idole, laquelle est une très grande médaille ayant pour motif le profil du roi Louis-Philippe. Cette médaille est montée sur un monticule de sacs. La forme de ce tas s’apparente à celle d’une poire. D’après Le Men, « la silhouette poiréiforme de Louis-Philippe est une image arcimboldesque constituée d'une pile de sacs d'or, surmontée en guise de tête d'un louis d'or frappé de l'auguste profil royal ». D’après l’explication, « M. Viennet lui offre les émanations de son encensoir moral et infangeux ; M. Lobau lui fait hommage de son clysoir ; M. Persil de sa scie ; M. d’Argout fait sur son autel le sacrifice de son nez, lequel sacrifice n’est pas un simple holocauste, mais peut, à la rigueur, vu l’ampleur de la chose sacrifiée, passer pour une véritable hécatombe ». D’autres ministres sont présents : Barthe à gche, tenant sa toque de magistrat entre les mains, Madier de Montjau à l’extrême dte, les mains jointes en signe d’adoration, et Soult, au premier plan à dte, occupé à percer un sac pour récupérer avidement des pièces d’or. Derrière Persil, on aperçoit Thiers. A l’arrière-plan à dte, on aperçoit d’autres personnes à genoux, adoratrices de l’idole. Tout en se moquant de l’adoration de l’argent et des privilèges par les membres du gouvernement, la pl. prédit à ces derniers un avenir funeste, puisque l’adoration du veau d’or par les Hébreux les a conduits à leur perte. La légende de la pl. se compose d’une adaptation d’un extrait de la ligne 8 (dont le texte original est : « ils se sont fait un veau en fonte, ils l'ont adoré ») et d’une citation exacte de la ligne 9 « Le Seigneur dit encore à Moïse : Je vois que ce peuple a la tête dure » du chapitre 32 de l’Exode.Personnage représenté:Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Madier de Montjau, Joseph Paulin; Viennet, Jean Pons Guillaume; Barthe, Félix; Thiers, Adolphe; Persil, Jean-Charles; Mouton, Georges, comte de Lobau; Soult, Nicolas-Jean de Dieu ‎

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‎VILLERS, Charles de.‎

Reference : 105899

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‎Travies de Villers, Charles Joseph -TALLEYRAND‎

Reference : 24410

(1833)

‎ Le Char de l’Etat. Lithographie‎

‎ 1833 La Caricature. Journal. Morale, Religieuse, Littéraire, Scénique - La Caricature ( Journal) No.158, 14 November 1833, planche double,pli central - plates 330–1.planche double en noir- [Paris,] Lithograph. Overall paper size,33 × 55.5 cm. Vertical folds.‎


‎Le char de l'Etat se traîne péniblement sur la route de Cherbourg. Dans la voiture de l'argent ; le cocher est un anglais Louis Philippe est à côté. Talleyrand est à l'arrière. ‎

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‎Travies de Villers, Charles Joseph- TALLEYRAND‎

Reference : 24412

(1834)

‎Une Execution sous Louis Onze. (XI.) Lithographie‎

‎ 1834 La Caricature. Journal. Morale, Religieuse, Littéraire, Scénique - La Caricature ( Journal) No. 180, planche double -plate 378–9. [Paris] Delaunois for Maison Aubert, 17 April 1834. Lithograph. Overall paper size 32.6 × 40.9 cm. Horizontal and vertical fold.Caricature of the July Monarchy’s repressive measures against workers’ uprisings in Lyon and Paris, the so-called ‘April insurgents’. Louis-Philippe is compared to the late mediaeval king Louis XI, notorious for his cunning and cruelty. The print represents a pseudo- mediaeval execution scene with Liberty in a white dress and red cap standing in front of the gallows flanked by jailors. Louis-Philippe wearing a helmet with chain-mail is shown from behind standing on top of the dungeons of Ste Pelagie giving final instructions. To the left, lecherous monks and gloating courtiers are looking on; to the right a moustachioed Talleyrand dressed as a cardinal is in attendance with other ministers in ancient dress or armour. His surgical shoe is wrongly shown on his left foot. Armed mounted guards and a large fortress in the background complete the scene.‎


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‎Travies de Villers,Charles-Joseph - TALLEYRAND‎

Reference : 24416

‎Atelier de la Caricature et du Charivari (L’on garantit la parfaite ressemblance.)‎

‎ La Caricature. Journal. Morale, Religieuse, Littéraire, Scénique - La Caricature ( Journal) No.210. Plate 438. [Paris] Delaunois for Maison Aubert [13 November 1834] Lithograph. Overall paper size 26 × 33.7 cm.‎


‎A humorous view of the workshop serving the two famous satirical magazines, where perfect likeness is guaranteed to any victim of the caricaturist’s pen. It shows an artist with a cat-o’-nine-tails attached to his belt, taking a sketch of King Louis-Philippe seated in front of him wearing nothing but an overcoat; models of topical politicians abound, including one of Talleyrand in the centre striding with outstretched hands wearing a toga. ‎

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‎Traviès de Villers,Charles Joseph ‎

Reference : 25165

‎MON BEAU PERE - Lithographie par Charles-Joseph TRAVIES‎

‎ Lithographie parue dans le N° 196 du journal la Caricature du 7 aout 1834.,bon état ‎


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‎Traviès de Villers,Charles Joseph ‎

Reference : 25166

(1967)

‎HERCULE VAINQUEUR - Lithographie originale par Charles-Joseph TRAVIES‎

‎ 1967 Lithographie parue dans le N° 182 du journal la Caricature du 1 mai 1834.,planche double 382/383 - bon état ‎


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‎Travies de Villers, Charles Joseph- TALLEYRAND‎

Reference : 25988

(1834)

‎Une Execution sous Louis Onze. (XI.) Lithographie sur blanc - planche double ‎

‎ 1834 La Caricature. Journal. Morale, Religieuse, Littéraire, Scénique - La Caricature ( Journal) No. 180, planche double -plate 378–9. [Paris] Delaunois for Maison Aubert, 17 April 1834. Lithograph. Overall paper size 32.6 × 40.9 cm. Horizontal and vertical fold.Caricature of the July Monarchy’s repressive measures against workers’ uprisings in Lyon and Paris, the so-called ‘April insurgents’. Louis-Philippe is compared to the late mediaeval king Louis XI, notorious for his cunning and cruelty. The print represents a pseudo- mediaeval execution scene with Liberty in a white dress and red cap standing in front of the gallows flanked by jailors. Louis-Philippe wearing a helmet with chain-mail is shown from behind standing on top of the dungeons of Ste Pelagie giving final instructions. To the left, lecherous monks and gloating courtiers are looking on; to the right a moustachioed Talleyrand dressed as a cardinal is in attendance with other ministers in ancient dress or armour. His surgical shoe is wrongly shown on his left foot. Armed mounted guards and a large fortress in the background complete the scene.‎


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‎Grandville (Nancy, 15–09–1803 - Vanves, 17–03–1847) - Traviès de Villers, Charles Joseph (dit C. J. Traviès)‎

Reference : 25188

(1833)

‎Les feuilles publiques (Suite) et leurs souteneurs - Lithographie parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 6, 10 octobre 1833 (n°320 et 321)‎

‎ 1833 La Caricature politique, morale, littéraire et scénique (Titre de l'ensemble) = LES FeuILLES PUBLIQUES et leurs souteneurs. Lithographie par Jean- Ignace-Isidore Gerard dit GRANDVILLE et Charles-Joseph TRAVIES, 260 × 465, marges 350 × 550 (Villa 13.235),pl 315/316 , publiee le 26 septembre 1833, pli central, quelques piqures.Inscription - Titre en bas au centre : « LES FEUILLES PUBLIQUES (Suite) // et leurs souteneurs. » ; légendes en bas, de gche à dte : "La Gazette et son Vicomte. », « La France Nouvelle et son rédacteur. », « La Débats et son préfet. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°153. », en ht à dte : « Pl. 320 et 321. »Inscription - Dans la lettre : « Chez Aubert, Galerie véro dodat. » [éditeur], « L. de Becquet, rue Furstemberg 6. » [imprimeur]Description iconographique:Pl. n°3 et 4 de la série des "Feuilles publiques". Cf. pl. n°1 et 2 (pl. 315-316 du numéro 151).Dans le titre, jeu de mots entre « filles » et « feuilles » grâce à une différence de taille des lettres. Les journaux défenseurs du gouvernement sont alors assimilés à des prostituées peu avenantes, vieilles et défraîchies. A gche, la « GAZET […] [GAZETTE] // DE // FRAN […] [FRANCE] », journal légitimiste, incarné par une vieille prostituée grande et mince, portant une paire de lunettes. Elle tient dans la main gche une couronne. A son bras se tient un jeune homme pourvu d’un long cou. Il s’agit de la personnification de la « Jeunesse dorée » (in explication). Il tient une canne dont le pommeau est la tête de Chateaubriand, lequel est allé rendre visite à la famille royale à Prague de début septembre à début octobre 1833. Et justement, derrière eux, un panneau de bois indiquant le chemin pour la « ROUTE // DE PRAGUE ». Prague est la ville où émigra Henri V avec sa famille en 1832. La pl. met donc en scène les deux personnages sur le point de faire le pèlerinage pour cette ville. Au centre, le journal « FRANCE // NOUVELLE », incarné par une prostituée à l’embonpoint marqué. Elle porte un collier fait de croix de la légion d’honneur et une robe portant des motifs de poires. Elle porte une boucle d’oreille en forme de poire. Son tablier prend la forme d’un exemplaire de journal avec le titre de la revue et les lignes d’un article, illisibles. Louis-Philippe, qui finance ce journal et l’alimente d’informations, se tient face à la prostituée et porte sa main sous son menton. Il lui donne un billet portant l’inscription « article // communiqué ». Vu de dos, il porte une redingote, un bonnet et une plume sur l’oreille. Derrière eux se détache la silhouette de ce qui semble être la boutique du roi, assimilé à un écrivain public fournissant des articles au journal (« PEPIN (PHILIPPE) // ECRIVAIN // PUBLIQUE [PUBLIC] »). Une affiche est placardée sur le côté de l’échoppe, portant l’inscription « DEUX // ANNÉES DE // Regne [Règne] ». A dte, la prostituée du « JOURNAL // DES // DÉBATS », dont la versatilité et l’opportunisme politique sont dénoncés à travers les inscriptions sur le papier accroché à la robe : « VIVE LE // ROÂ !! », « VIVENT // les // Bourbon […] [Bourbons] », « VIVE // L’Emp […] [Empereur] ». La robe est décorée d’un aigle bicéphal et de la date d’instauration de la « […] ESTAURAT […] [RESTAURATION] » : « 1815 ». Son chapeau porte la cocarde tricolore et un médaillon orné d’une fleur de lys. Elle donne le bras à un préfet (Gisquet ?) ventripotent, qui met la main dte dans son veston. Sa redingote porte des distinctions honorifiques. Derrière eux, un canapé portant des motifs évocateurs de la monarchie de Juillet : une seringue à clystère, une toque de magistrat, une poire à face humaine, et plusieurs autres petites poires. Les accoudoirs sont sculptés de têtes humaines. On peut notamment reconnaître Soult.‎


‎A gauche, Louis-Philippe et le journal Le Moniteur (dont le vetement est decore d’aigles, de eurs de lys et de poires) ; au centre, Le Figaro avec M. de la Cour (mouchard ou policier) ; le Constitutionnel a droite, avec un naif a qui il fait voir des etoiles en plein midi. ‎

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‎Traviès de Villers,Charles Joseph‎

Reference : 25989

‎MARCHE DE LA BANLIEUE venant au secours des Cent mille hommes de troupe réglée assiégés par quelques centaines de lâches républicains -Lithographie originale en noir sur Velin blanc.pl.double‎

‎ Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 6, 1er août 1833, (Planche n°296-297) Hauteur: 26cm Largeur: 70cm;marge du haut rognée court au dessus du numéro,fente en marge au pli central-sinon bon.Titre en bas au centre : « Marche de la Banlieue venant au secours des Cent mille hommes de troupe réglée assiégés par quelques centaines de lâches républicains. » ; légende plus bas au centre : « (Cette caricature fut exécutée après les evènemens [événements] de Juin 1832. Nous en retardames [retardâmes] la publication pour ne pas envenimer les haines politiques aujourd’hui nous la donnons comme une bonne et vieille charge) » ; indications : en ht à gche : « La Caricature Journal (N°142) », en ht à dte : « Pl. 296, 297 »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Chilbert N°9. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « CJ Traviès. // 1832 » [Charles-Joseph Traviès, dessinateur], réagissant à l’insurrection républicaine à Paris des 5, 6 et 7 juin 1832. Traviès met en lumière l’énorme différence entre le faible nombre d’insurgés républicains et le nombre d’hommes de troupe (garde municipale, garde nationale) mobilisés pour briser la révolte.‎


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‎Traviès de Villers,Charles Joseph‎

Reference : 25128

‎Prosternez-vous, épiciers, devant ce pot de mélasse ! le pot de mélasse - Lithographie originale sur Velin blanc.‎

‎ Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique,N°78 volume 3, 26 avril 1832, (Planche n°157),taches en marge - Hauteur: 27cmx Largeur: 35.6cm - Image : Hauteur: 17.5cmx Largeur: 27cm - indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) / (N°78.) », en ht à dte : « Pl. 157. » - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert N°9 » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « CJ Traviès » [Charles-Joseph Traviès, dessinateur] - Sur le pot de mélasse, une étiquette indiquant : « MELASSE. »‎


‎iconographie:L’explication fournit un titre à la pl. : « Prosternez-vous, épiciers, devant ce pot de mélasse ! ». Sur une chaise affublée de pieds humains portant des chaussures, un pot de mélasse (sirop) est surmonté d’une poire présentant les traits de Louis-Philippe (des feuilles font office de toupet et de favoris). Cette création monstrueuse est entourée d’une foule de gens : gardes nationaux, gens du peuple, bourgeois, gendarmes, Mayeux ( ?)… ; mots-clé : scène d’extérieur, portrait du juste-milieu ‎

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‎Traviès de Villers,Charles Joseph ‎

Reference : 25176

(1788)

‎Monsieur harpagon voudrait tirer quelque chose de ses vieilles perruques, les achèteriez vous ? lithographie originale‎

‎ 1788 Planche 178 de La Caricature N° 88.La Caricature, 12 juillet 1832. Lithographie originale sur Velin blanc. en noir sur velin blanc pli médian vertical,bon tirage bien noir,petite tache brune - rare Un homme assis, jambes croisés, un peigne coincé dans les cheveux, regarde en faisant la moue la perruque que lui apporte un autre homme.‎

‎ Titre en bas au centre : « Monsieur harpagon voudrait tirer quelque chose de ses vieilles perruques, les achèteriez vous ? » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) // (N°88.) », en ht à dte : « Pl. 178. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. De Becquet, rue Childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur] ; attribution : Charles-Joseph Traviès, dessinateur?Description iconographique:La table des matières du 4e vol. de La Caricature apporte un complément au titre : « La vieille perruque d’Harpagon ». Athalin, debout à dte, de profil, présente une perruque, comprenant un toupet et des favoris (coiffure de Louis-Philippe) à un perruquier, lequel, assis, les jambes croisées, esquisse une moue perplexe. La pl. se moque de la coiffure du roi, et montre qu’elle est déjà démodée puisque le coiffeur n’en veut pas. Elle pointe également le doigt sur l’avarice du roi, surnommé Harpagon, protagoniste cupide de la pièce de Molière L’Avare. Il serait donc même prêt à vendre sa perruque.Personne / Personnage représenté:Louis-Philippe Ier, roi des Français ‎


Monsieur harpagon voudrait tirer quelque chose de ses vieilles perruques, les achèteriez vous ? lithographie originale. Traviès de Villers,Charles ... Monsieur harpagon voudrait tirer quelque chose de ses vieilles perruques, les achèteriez vous ? lithographie originale. Traviès de Villers,Charles ... Monsieur harpagon voudrait tirer quelque chose de ses vieilles perruques, les achèteriez vous ? lithographie originale. Traviès de Villers,Charles ...
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‎Traviès de Villers,Charles Joseph‎

Reference : 25217

‎Le Renard et les Corbeaux - Lithographie originale en noir sur Velin blanc.‎

‎ Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 8, 17 juillet 1834 (Planche n°405)- Hauteur: 27cmx Largeur: 35.5cm - Image :Hauteur: 22.5cmx Largeur: 28cm - Titre en bas au centre : « Le Renard et les Corbeaux. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°193. », en ht à dte : « Pl. 405. », en bas au centre : « Imprimé sur pierre française. »Inscription - Dans la lettre : « Au bureau, chez Aubert, pass. Véro-Dodat. » [éditeur], « Lith : Delaunois, r. du Bouloy 19. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « C. J. T. » [Charles-Joseph Traviès, dessinateur]Inscription - Le roi pose son pied droit sur le « PROGRAMME », allusion au prétendu programme de l’Hôtel de ville que Louis-Philippe aurait promis de suivre au début de son règne. Les journalistes de l’opposition lui reprochèrent fréquemment de ne pas avoir tenu les promesses contenues dans ce programme, le roi niant l’existence même de ce dernierDescription : La table des matières du 8e vol. de La Caricature précise le titre : « Le renard et les corbeaux. La Pensée immuable alléchant les nouveaux députés par des bourses et des épaulettes ». Il s’agit d’une parodie de la fable de Jean de La Fontaine Le corbeau et le renard (2e fable du livre I, édité pour la première fois en 1668). Louis-Philippe, de profil est représenté dans la partie gche de la composition. Il est reconnaissable à son toupet et ses favoris. Il incarne le renard, dont la grande queue (le seul élément de zoomorphisation. Le reste de son apparence étant tout à fait humaine) dépasse de la redingote. A son bras droit est suspendu un panier rempli de distinctions honorifiques (croix d’honneur, épaulettes), d’un bâton de maréchal, de postes attirants et convoités (postes à la « PREFECTURE », des « SINECURES ») et de promesses d’argent (« RECETTES // [ ?] » et « [ ?] »). Il tient dans la main gche le cordon d’une décoration ( ?) et le tend aux corbeaux se trouvant dans l’arbre à dte. Ces corbeaux sortent tout droit de la chambre des députés située à l’arrière-plan et viennent se poser sur les branches de l’arbre. D’autres sont en vol, au loin. Ces créatures ont un corps de corbeau et une tête humaine. Il s’agit d’une représentation satirique des députés. Le roi les appâte avec des récompenses dans le but d’obtenir de leur part un vote qui ira dans le sens impulsé par sa politique. Ce sont d’ailleurs des bulletins de « VOTE » que les corbeaux tiennent dans leur bec, à la place du fromage tenu dans le bec du corbeau dans la fable du XVIIe siècle. Ainsi, la pl. dénonce les moyens de corruption par lesquels le roi tente de rallier les députés à la cause du gouvernement. La pl. se moque de la vanité des députés, sur laquelle joue le roi afin d’obtenir ce qu’il désire. Dans la lettre, une indication en bas au centre précise que la pierre lithographique, due à Chevalier et compagnie, qui a permis de réaliser la pl., est d’origine française. Cela représente une avancée d’après les contributeurs du journal, car cela permettrait de n’être plus dépendant des pierres venant de l’étranger.Personne / Personnage représenté:Louis-Philippe Ier, roi des Français‎


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‎Traviès de Villers,Charles Joseph ‎

Reference : 25178

(1959)

‎La fête a été magnifique et l’allégresse universelle- lithographie originale‎

‎ 1959 Planche 195 de La Caricature N° 95.La Caricature, 30 aout 1832. Lithographie originale sur Velin blanc. en noir sur velin blanc pli médian vertical,bon tirage bien noir,petite tache brune - rare ‎

‎Titre en bas au centre : « La fête a été magnifique // et l’allégresse universelle. » ; légende plus bas à dte : « (Moniteur) » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) // N°95 », en ht à dte : « Pl. 195. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert N°9 » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, Galerie véro dodat » [éditeur] ; dans l’image, en bas à gche de l’image sup., signature : « CJ. Traviès » [Charles-Joseph Traviès, dessinateur]Deux images superposées. L’image au niveau sup. représente une fête donnée par Louis-Philippe, présent au centre de la composition, de dos. Autour de lui, la foule des courtisans. On y reconnaît, entre autres, d’Argout à gche, et Soult à l’extrême gche. A dte prennent place des convives buvant. L’un se précipite sur une boisson avec frénésie. L’image au niveau inf. montre de nombreux détenus entassés dans une prison souterraine et sombre. Contraste saisissant entre les deux scènes. Traviès dénonce ici les conditions déplorables de détention dans les prisons, en particulier celles de Sainte-Pélagie et de la Force. La révolte face à cette situation au sein de "La Caricature" est d’autant plus grande que Daumier venait de se faire emprisonner (à cause de la pl. représentant Louis-Philippe en Gargantua, laquelle a fortement déplu au gouvernement). L’explication propose de mettre en regard l’extrait d’un article du Moniteur évoquant la réception royale, et un texte évoquant les conditions déplorables réservées aux prisonniers (Ricart Farat mort en prison, Raspail et Bonias déplacés de prison en prison…). La décence aurait réclamé davantage de sobriété de la part du Moniteur décrivant la fête royale, eu égard aux conditions indignes des prisonniers. Et surtout, elle aurait désiré ne pas lire que l’allégresse avait été « universelle », puisque de nombreux prisonniers, eux, au même moment, croupissent en prison.Personne / Personnage représenté:Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron ‎


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‎Traviès de Villers,Charles Joseph ‎

Reference : 25175

(1748)

‎LEVEZ LE SIEGE polissons !.. lithographie originale‎

‎ 1748 Planche 176 de La Caricature N° 87.La Caricature, 5 juillet 1832. Lithographie originale sur Velin blanc. en noir sur velin blanc pli médian vertical,bon tirage bien noir,petite tache brune - rare ‎

‎Titre en bas au centre : « Levez le siège, polissons ! .... » ; indications, en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°87. », en ht à dte : « Pl. 176. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas à dte : « C.J.T. » [Charles-Joseph Traviès, dessinateur]Inscription - Le personnage de dte porte un chapeau pointu avec les dates des Trois Glorieuses (« 27 // 28 // 29 »)Description iconographique:La pl. montre, de gche à dte : Montalivet, d’Argout (monté sur un balai en guise de cheval), Soult (deux derniers personnages non identifiés) sous leurs traits d’adultes mais avec une taille d’enfants, jouant à la guerre, dans la salle du Conseil. Ils sont surpris par deux magistrats qui prononcent : « Levez le siège, polissons !.... ». Cette phrase est une allusion à l’état de siège qui fut décidé pour Paris par le Conseil des ministres le 6 juin 1832, à la suite de la grande insurrection républicaine (qui se déroula à Paris au début du mois de juin 1832), violemment réprimée par le gouvernement. Cette déclaration de l’état de siège, mesure exceptionnelle, permettait au gouvernement de faire passer les meneurs républicains devant le conseil de guerre, beaucoup plus sévère que les jurys d’assise. L’adoption de cette mesure est ici jugée inadmissible par La Caricature. La pl. dénonce ce qu’elle considère être l’irresponsabilité des ministres. Une autre interprétation peut être proposée : la pl. pourrait mettre les ministres dans la peau des révolutionnaires de 1789. « Les petits drôles jouaient à la Terreur. Moi, je ferai Robespierre ; toi, tu seras un Saint-Just… Mais pour jouer ces rôles, il fallait d’autres têtes et d’autres bras ! » (in explication)Personne / Personnage représenté:Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron; Bachasson, Marthe Camille, comte de Montalivet ‎


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‎Traviès de Villers,Charles Joseph‎

Reference : 25183

‎Très-haut, très-puissant, très-excellent, moutard royal, / Très-bas, très-vils, très-misérables fonctionnaires amovibles… - Lithographie originale en noir sur Velin blanc.‎

‎ Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 8, 28 août 1834 (Planche n°418)Titre en bas au centre : « Très-haut, très-puissant, très-excellent, moutard royal, // Très-bas, très-vils, très-misérables fonctionnaires amovibles…. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°200. », en ht à dte : « Pl. 418. »- Dans la lettre : « Au bureau, chez Aubert, pass. Véro-Dodat. » [éditeur], « Lith. Delaunois, rue du Bouloy, 19. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas au centre, signature : « C. J Traviès. » [Charles-Joseph Traviès, dessinateur] - Sur une borne, au premier plan à gche, l’indication du lieu : « ROUTE DE // BREST »Dans la campagne brestoise, à proximité d’un village dont on aperçoit une maison et une église à l’arrière-plan à dte, trois hommes se tiennent à genoux devant un enfant monté sur un cheval. Il s’agit de trois Brestois rendant hommage à François-Ferdinand d’Orléans, prince de Joinville, venu en visite à Brest. L’un d’eux lui présente les clés de la ville sur un plat d’argent, un autre lève les bras en le regardant les yeux remplis d’admiration, tandis que le troisième a posé son chapeau à terre et est à plat ventre devant lui, face contre sol. Au second plan, on distingue un enfant tenant dans ses mains son chapeau décoré de la cocarde tricolore. Il semble ébahi par la venue du prince car sa bouche est grande ouverte. La pl. exagère à dessein le côté puéril du prince en le représentant tel un très jeune enfant, alors qu’il a 16 ans en 1834. Ses jambes, trop petites, n’atteignent pas les étriers, et il est obligé d’avoir recours à des bottes de taille adulte pour y parvenir. Il suce son index tel un bébé, et transporte avec lui des jouets (une casserole et une maquette de bateau), accrochés à l’arrière-train du cheval. Le prince de Joinville s’était notamment rendu à Brest afin d’y passer des examens (il faisait des études de marine ; une ancre marine est d’ailleurs représentée sur le caparaçon du cheval). La pl. tourne en dérision de l’accueil réservé au prince de Joinville, reçu tel un grand monarque, et plus largement, ridiculise l’accueil réservé aux très jeunes princes. L’explication établit un parallèle entre cette pl., représentant d’après elle une « scène d’Auguste-Moutardolâtrie » et une phrase de Félicité Robert de Lamennais : « J’ai vu dans un berceau un enfant criant et bavant, et autour de lui étaient des vieillards qui lui disaient : Seigneur ! et qui, s’aguenouillant [s’agenouillant], l’adoraient ; et alors j’ai compris toute la misère de l’homme. » (Paroles d’un croyant, G. Rouiller, 1833, p. 35). Les hommages rendus à un jeune homme n’ayant encore rien accompli mais ayant uniquement le prestige de sa naissance sont jugés risibles. Sur le même sujet, cf. pl. 93 (numéro 46, 15 septembre 1831).Personnage représenté:Orléans, François Ferdinand Philippe d', prince de Joinville‎


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