État : Bon état - Année : 1900 - Format : in 8° - Pages : 320pp - Editeur : Victor Retaux, libraire-éditeur - Lieu d'édition : Paris - Type : Reliure demi-chagrin bordeaux, dos à cinq nerfs. - Divers : Coiffes et coins frottés. Deuxième édition. - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/pere-victor-delaporte-sj/3870-a-travers-les-ages-recits-et-legendes-troisieme-serie?lrb
Il est des trésors que l'on trouve au fond des bibliothèques. Celui-ci en est un, de ceux que l'on ne se lasse pas de lire et de relire pour bien se pénétrer de la gloire de nos aïeuls qui ont fait la France chrétienne. En une centaine de poèmes épiques, notre auteur, jésuite (1846-1910), nous retrace l'héroïsme des saints et héros de la chrétienté des temps bibliques au temps modernes. ˮle Pater des vendéensˮ: ˮDe Cholet à Torfou, du Bocage à la Loire, Ces laboureurs marchaient dans des sillons de gloire; leurs bataillons, armés de fourches et de faux, Epouvantaient les Bleuus pourvoyeurs d'échafauds.ˮ ˮJeanne d'Arc et la mortˮ: ˮLa France agonisait, haletante et meurtrie, O Jeanne, et Dieu, et par toi, ranima la patrie; La France allait mourir; Dieu, par toi, la sauva; En lui disant debout! Dieu, par toi, lui dit va!ˮ Ouvrage dans un parfait état intérieur, sans rousseurs, et établit dans une reliure d'époque en demi-chagrin bordeaux à cinq nerfs et dorures (coiffes et coins frottés).
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État : Bon état - Année : 1978 - Format : in 8° - Pages : 508pp - Editeur : Albin Michel - Lieu d'édition : Paris - Type : Broché-cousu - Divers : Coins légèrement cornés. Tranches très légèrement salie. Un très léger pli de lecture au dos. Intérieur bien propre et solide (cahiers cousus). - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/victor-barthelemy/6819-du-communisme-au-fascisme-l-histoire-d-un-engagement-politique?lrb
Militant communiste exemplaire pendant dix ans, devant l'emprise grandissante de Staline, il suivra Doriot dans sa scission et rejoindra le P.P.F pour en devenir son secrétaire général en 1939. Il le suivra pendant toute la période de la collaboration dans la lutte antibolchévique. Et cela jusqu'aux heures ultimes de la Seconde Guerre mondiale. C'est donc un itinéraire d'exception que restitue ce témoignage. Victor Barthélemy, qui n'a rien renié de ses options, nous le livre avec une sérénité totale. Fourmillant de faits, d'anecdotes, de révélations, d'entretiens exclusifs (avec Doriot, Laval, Darnand, Mussolini, Goering, etc...), il passionnera tous ceux qui s'intéressent à ces vingt-cinq ans, si riches en bouleversements, de notre histoire.
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Ernest Flammarion Éditeur 1927 392 pages in8. 1927. demi cuir dos à nerfs. 392 pages.
Bon état tranches dorées
État : Parfait état. - Année : 1975 - Format : in 8° - Pages : 115pp - Editeur : Arthaud - Lieu d'édition : Paris - Type : Cartonnage toile éditeur, jaquette illustrée - Collection : Le monde en images - Commander rapidement : https://www.bons-livres.fr/livre/victor-henri-debidour/1523-lyon-et-ses-environs?lrb
149 héliogravures et 8 planches couleur. Des textes de qualité au service d'une iconographie, en noir et en couleur, absolument remarquable, à la fois originale et très classique. Un voyage à Lyon et dans sa région pour découvrir les paysages, les monuments, les grands hommes mais également les petits ˮBouchonsˮ du vieux Lyon entre Rhône et Saône. Dans la très célèbre collection de chez Arthaud (ˮLe monde en imagesˮ) dont l'excellente réputation, justifiée, s'est faite autour de la qualité des photographies sans pour autant négliger le texte.
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GRANCHER 2006 250 pages 14 2x2x21 4cm. 2006. Broché. 250 pages.
Bon état
Guy Durier éditeur 1979 130 pages in8. 1979. Broché couverture rempliée. 130 pages.
Bon état
Ernest Flammarion 1931 287 pages in12. 1931. Broché reliure souple. 287 pages.
Bon état
Jean Jacques Pauvert 1968 459 pages in8. 1968. Reliure club simili cuir bordeaux. 459 pages.
Très bon état
Jean Jacques Pauvert 1968 473 pages in8. 1968. Relié club. 473 pages.
Bon état
Jean Jacques Pauvert 1968 494 pages in8. 1968. Relié club. 494 pages.
Très bon état
Editions Alsatia Paris 1948 180 pages in8. 1948. Broché couverture souple. 180 pages.
Etat correct
DeVecchi 2008 217 pages in8. 2008. Broché couverture souple. 217 pages.
Bon état
Editions beckers kalmthout-anvers 1979 291 pages grand in8. 1979. reliure editeur. 291 pages.
Très bon état
J.Hetzel & Cie 270 pages in12. Sans date. Reliure pleine toile rouge. 270 pages.
Bon état tampon librairie
Kessinger Legacy reprints 390 pages in8. Sans date. Cartonnage editeur. 390 pages.
Très bon état
Fasquelle Editeurs 1930 224 pages in12. 1930. broché. 224 pages.
Bon état pages non coupées tampon de bibliothèque
L.Schulz et fils 1878 400/432 pages in4. 1878. demi basane dos à nerfs. 2 volume(s). 400/432 pages.
Etat correct rousseurs
Michel Lévy frères | Paris 1873 | 15.50 x 24 cm | broché sous chemise et étui
Édition originale, mention de deuxième édition. Notre exemplaire est présenté sous étui et chemise avec dos de toile verte et plats de papier marbré, ex-libris H. Bradley Martin encollé en pied du verso du premier plat de la chemise. Nous joignons la couverture du catalogue de la vente de la bibliothèque de George et Maurice Sand en 1890 sur lequel a été encollée la fiche descriptive de notre exemplaire avec son prix d'adjudication au crayon de papier. Exceptionnel envoi autographe signé de Victor Hugo à George Sand. «?Mais que pensaient-ils l'un de l'autre, ces deux personnalités marquantes de la vie littéraire du 19è siècle?? Parce qu'ils ne se sont jamais rencontrés ces deux-là, pourtant ils étaient parfaitement contemporains?: Victor Hugo (1802-1885), George Sand (1804-1876). Certes il y eu les aléas de la vie?: George Sand ne publie réellement qu'en 1832, à un moment où Victor Hugo est déjà au fait de sa gloire ; et puis il y eut l'exil de Victor Hugo de 1851 à 1870, mais cela n'explique pas tout?! Au début, ils ne font pas vraiment parti de la même coterie?: Victor Hugo, Pair de France, soutien de Louis-Philippe d'un côté, George Sand socialiste de l'autre. Ils ne s'apprécient pas vraiment même si George Sand porte une certaine admiration agacée à Victor Hugo, traité de grandiloquent?: «?le plus bavard des poètes sublimes?» tandis que Hugo lui, trouve carrément que «?Sand ne sait pas écrire?»?! Puis, avec le coup d'état de Napoléon III, Victor Hugo évolue politiquement ; rapidement il déborde George Sand sur sa gauche, s'exile alors que George Sand s'accommode de l'exil intérieur. Leur relation ne se réchauffe que très, très faiblement?: «?George Sand a du talent, c'est tout?». En exil Victor Hugo publie Les Châtiments, uvre très critique qui est évidemment interdite en France. George Sand aimerait bien que Victor Hugo soit moins intransigeant dans ses écrits de façon à être publié. La publication des Contemplations en 1856, nettement moins polémique, est saluée par George Sand et marque une nouvelle phase de leurs relations. En fait, leur premier contact épistolaire ne concerne pas la vie littéraire. Nini la petite fille de George Sand meurt en 1855, Victor Hugo toujours très marqué par le décès de sa fille Léopoldine compatit ; la perte d'un être cher les rapproche. Les voici amis, George Sand devient un «?génie?», elle sera souvent invitée à Guernesey ... sans suite, leur relation ne sera jamais familière. Victor Hugo lui apporte son soutien lors de la parution des Beaux Messieurs de Bois Doré (1858), mais George Sand s'énerve quand il refuse l'amnistie de 1859 alors que de son côté elle cherche à adoucir la situation des proscrits. Lors de la publication des Misérables (1862) Victor Hugo cherche le soutien de George Sand mais ce soutien lui fera défaut. Victor Hugo en est attristé, George Sand affirmera préférer la poésie de Victor Hugo à son uvre en prose. Au retour d'exil, avec la Commune, voici une nouvelle incompréhension ; Victor Hugo soutient, George Sand est horrifiée?: légaliste et choquée par la violence, elle condamne avec des termes extrêmement durs cette Commune de Paris. Néanmoins, à partir de là, ces deux-là se soutiennent et se défendent dès que l'un ou l'autre est attaqué. En 1876, c'est Victor Hugo qui prononcera le célèbre éloge funèbre de George Sand?: «?Je pleure une morte, je salue une immortelle ...?» Les relations de George Sand et de Victor Hugo ont donc beaucoup évolué au cours de leur vie. C'est sans doute le reflet de leurs évolutions personnelles mais peut-être que leur entourage, les idées politiques ou l'opinion que l'autre avait de sa propre uvre interféraient aussi avec la critique littéraire ; même nos grandes personnalités sont sous influence?! «?Victor Hugo et George Sand, et s'ils s'étaient rencontrés???» Voilà une uvre de théâtre fictionnelle que nous propose Danièle Gasiglia. Mais peut-être que, comme le suggère Danièle Bahiaoui?: «?Tous les deux dans une même pièce, c'est u
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Paris, 3, rue des Grands-Augustins[1910 ],In-folio brochés, reliées avec couvertures illustrées reprise des numéros,109 -3e année. ;Jean Aicard / Victor Méric ; ill. couv. Aristide Delannoy. — Paris : Hommes du jour, 1910. — 12 p. : ill. — (Les Hommes du jour ; 109).N° du 19 févr. 1910-110 - Forain / Maurice Robin ; ill. couv. Aristide Delannoy. — Paris : Hommes du jour, 1910. — 8 p. : ill. — (Les Hommes du jour ; 110). N° du 26 févr. 1910. — 111 - Léon Bloy / Victor Méric ; ill. couv. Aristide Delannoy. — Paris : Hommes du jour, 1910. — 8 p. : ill. — (Les Hommes du jour ; 111).N° du 5 mars 1910. — 112 Mascuraud / Victor Méric ; ill. couv. Aristide Delannoy. — Paris : Hommes du jour, 1910. — 8 p. : ill. — (Les Hommes du jour ; 112). N° du 12 mars 1910. — 113 Joseph Lasies / Victor Méric ; ill. couv. Aristide Delannoy. — Paris : Hommes du jour, 1910. — 8 p. : ill. — (Les Hommes du jour ; 113).N° du 19 mars 1910. —114 Jean Cruppi / Victor Méric ; ill. couv. Aristide Delannoy. — Paris : Hommes du jour, 1910. — 8 p. : ill. — (Les Hommes du jour ; 114).-N° du 26 mars 1910. — 115 Alexandre Zévaès / Victor Méric ; ill. couv. Aristide Delannoy. — Paris : Hommes du jour, 1910. — 8 p. : ill. — (Les Hommes du jour ; 115). N° du 2 avr. 1910. —116 -Louis Lafferre / Victor Méris ; ill. couv. Aristide Delannoy. — Paris : Hommes du jour, 1910. — 8 p. : ill. — (Les Hommes du jour ; 116)N° du 9 avr. 1910. — 117Albert Sarrault / Victor Méric ; ill. couv. Aristide Delannoy. — Paris : Hommes du jour, 1910. — 8 p. : ill. — (Les Hommes du jour ; 117).N° du 16 avr. 1910. — 118 Joseph Ruau / Victor Méric ; ill. couv. Aristide Delannoy. — Paris : Hommes du jour, 1910. — 8 p. : ill. — (Les Hommes du jour ; 118).N° du 23 avr. 1910. — Chonoc : candidat universel / Victor Méric, Aristide Delannoy, Miguel Almereyda. — Paris : Hommes du jour, 1910. — [X] p. : ill. — (Les Hommes du jour ; Numéro spécial).N° spécial du 24 avr. 1910.119 Fernand de Ramel [Les Indépendants du socialisme : le Salon des Indépendants, le royaliste de Ramel ; les renégats du socialisme : Marius Devèze, Ulysse Pastre, François Fournier) / Vlan ; ill. couv. Aristide Delannoy. — Paris : Hommes du jour, 1910. — 8 p. : ill. — (Les Hommes du jour ; 119).N° du 30 avr. 1910. —120 Paul Painlevé / Victor Méric ; ill. couv. Aristide Delannoy. — Paris : Hommes du jour, 1910. — 8 p. : ill. — (Les Hommes du jour ; 120). N° du 7 mai 1910. —
Ephéméride Anarchiste :Lorsqu'Henri Fabre et Victor Méric créent en 1908 le journal "Les Hommes du jour", c'est Delannoy qui se charge de l'illustration de couverture. Le lancement du numéro 1 remporte un vif succès avec la tête de Clemenceau se balançant au bout d'une pique. Mais ses opinions libertaires valent à Delannoy d'être inscrit au "carnet B" et il est plusieurs fois inquiété par la police. Le 26 septembre 1908, il est condamné avec Victor Méric à un an de prison et trois mille francs d'amende, pour avoir caricaturé en boucher le général d'Amade (grand pacificateur du Maroc).De faible constitution, et miné par la tuberculose, il est libéré le 21 juin 1909. Mais la prison ayant aggravé sa maladie, il meurt à Paris le 5 mai 1911, à l'âge de 37 ans. Il nous laisse plus de 1200 dessins, dont les 150 couvertures des "Hommes du jour". Remise de 20% pour toutes commandes supérieures à 200 €
Poulet Malassis & De Broise | Paris 1859 | 11.50 x 18 cm | relié
Édition originale, dont il n'a été tiré que 500 exemplaires. Portrait de Théophile Gautier gravé à l'eau forte par Emile Thérond en frontisipice. Importante lettre préface de Victor Hugo. Reliure en plein maroquin rouge, dos à cinq nerfs sertis de filets noirs, date dorée en queue, gardes et contreplats de papier à la cuve, ex-libris baudelairien de Renée Cortot encollé sur la première garde, couvertures conservées, tête dorée. Pâles rousseurs affectant les premiers et derniers feuillets, bel exemplaire parfaitement établi. Rare envoi autographe signé de Charles Baudelaire?: «?à mon ami Paul Meurice. Ch. Baudelaire.?» Un billet d'ex-dono autographe de Victor Hugo adressé à Paul Meurice à été joint à cet exemplaire par nos soins et monté sur onglet. Ce billet, qui ne fut sans doute jamais utilisé, avait été cependant préparé, avec quelques autres, par Victor Hugo pour offrir à son ami un exemplaire de ses uvres publiées à Paris, pendant son exil. Si l'Histoire ne permit pas à Hugo d'adresser cet ouvrage à Meurice, ce billet d'envoi, jusqu'alors non utilisé, ne pouvait être, selon nous, plus justement associé. Provenance?: Paul Meurice, puis Alfred et Renée Cortot. * Cette exceptionnelle dédicace manuscrite de Charles Baudelaire à Paul Meurice, véritable frère de substitution de Victor Hugo, porte le témoignage d'une rencontre littéraire unique entre deux des plus importants poètes français, Hugo et Baudelaire. Paul Meurice fut en effet l'intermédiaire indispensable entre le poète condamné et son illustre pair exilé, car demander à Victor Hugo d'associer leurs noms à cette élégie de Théophile Gautier fut une des grandes audaces de Charles Baudelaire et n'aurait sans doute eu aucune chance de se réaliser sans le précieux concours de Paul Meurice. Nègre de Dumas, auteur de Fanfan la Tulipe et des adaptations théâtrales de Victor Hugo, George Sand, Alexandre Dumas ou Théophile Gautier, Paul Meurice fut un écrivain de talent qui se tint dans l'ombre des grands artistes de son temps. Sa relation unique avec Victor Hugo lui conféra cependant un rôle déterminant dans l'histoire littéraire. Plus qu'un ami, Paul se substitua, avec Auguste Vacquerie, aux frères décédés de Victor Hugo?: «?j'ai perdu mes deux frères ; lui et vous, vous et lui, vous les remplacez ; seulement j'étais le cadet ; je suis devenu l'aîné, voilà toute la différence.?» C'est à ce frère de cur (dont il fut le témoin de mariage au côté d'Ingres et Dumas) que le poète en exil confia ses intérêts littéraires et financiers et c'est lui qu'il désignera, avec Auguste Vacquerie, comme exécuteur testamentaire. Après la mort du poète, Meurice fondera la maison Victor Hugo qui est, aujourd'hui encore, une des plus célèbres demeures-musées d'écrivain. En 1859, la maison de Paul est devenue l'antichambre parisienne du rocher anglo-normand de Victor Hugo, et Baudelaire s'adresse donc naturellement, à cet ambassadeur officiel. Baudelaire connait bien Meurice depuis une première intercession en sa faveur auprès de Hugo qui lui valu un exceptionnel exemplaire des Fleurs du Mal en «? témoignage d'amitié ?». Mais les deux hommes partagentégalement un ami commun, Théophile Gautier, avec lequel Meurice travailla dès 1842 à une adaptation deFalstaff. Il est donc l'intermédiaire idéal pour s'assurer la bienveillance de l'inaccessible Hugo. Baudelaire avait pourtant déjà brièvement rencontré Victor Hugo. à dix-neuf ans, il sollicita une entrevue avec le plus grand poète moderne, auquel il vouait un culte depuis l'enfance?: «?Je vous aime comme on aime un héros, un livre, comme on aime purement et sans intérêt toute belle chose.?». Déjà, il se rêvait en digne successeur, comme il lui avoue à demi-mot?: «?à dix-neuf ans eussiez-vous hésité à en écrire autant à [...] Chateaubriand par exemple?». Pour le jeune apprenti poète, Victor Hugo appartient au passé, et Baudelaire souhaitera rapidement s'affranchir de ce pesant modèle. Dès son premier ouvrage, Le Salon de 1845, l'iconoclaste Ba
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Paris, 3, rue des Grands-Augustins[1909 ],In-folio brochés,serie reliée avec couvertures illustrées reprises des numéros,97 du 27 nov. 1909. au N°108 Méric, Victor. — Charles Albert / ill. couv. Aristide Delannoy. La Comédie française - Enseignement libre / ill. Hermann-Paul. Les Arts / Maurice Robin. Aprés boire / ill. Aristide Delannoy. — Paris : Hommes du jour, 1909. — 12 p. : ill. — (Les Hommes du jour ; 97. Deuxième année. Neuvième série).N° du 27 nov. 1909.— Victor Augagneur / ill. couv. Aristide Delannoy. La Comédie française - Civilisation / ill. Hermann-Paul. Civilisation-Syphilisation / ill. Aristide Delannoy. — Paris : Hommes du jour, 1909. — 12 p. : ill. — (Les Hommes du jour ; 98. Deuxième année. Neuvième série).N° du 4 déc. 1909.Béliard, Octave. — Docteur Doyen / ill. couv. Aristide Delannoy. La Comédie française - La lutte scolaire / ill. Hermann-Paul. La Régénération par la vie simple / ill. Aristide Delannoy. — Paris : Hommes du jour, 1909. — 12 p. : ill. — (Les Hommes du jour ; 99. Deuxième année. Neuvième série) N° du 11 déc. 1909.— Georges Courteline / ill. couv. Aristide Delannoy. [Sans titre] / ill. Aristide Delannoy. — Paris : Hommes du jour, 1909. — 12 p. : ill. — (Les Hommes du jour ; 100. Neuvième série).N° du 18 déc. 1909.Flax. — Feu Léopold II / ill. couv. Aristide Delannoy. Noël / ill. Aristide Delannoy. Préparatif - Le Réveillon / ill. Hermann-Paul. Les Arts / Maurice Robin. La Musique / Georges Pioch. — Paris : Hommes du jour, 1909. — 12 p. : ill. — (Les Hommes du jour ; 101. Neuvième série).N° du 25 déc. 1909.-102 Paul Robin / Victor Méric ; ill. couv. Aristide Delannoy. — Paris : Hommes du jour, 1909. — [12] p. : ill. — (Les Hommes du jour ; 102).N° du 1er janv. 1910. — Contient aussi : Charles-Louis Philippe / Élie Faure. Les Arts / Maurice Robin-103 Alfred Capus / Victor Méric ; ill. couv. Aristide Delannoy. — Paris : Hommes du jour, 1910. — 12 p. : ill. — (Les Hommes du jour ; 103).N° du 8 janv. 1910. —« Juge Jullio »t prévu d’après n° précédent et qui sera reporté plusieurs fois aux suivants ne paraitra finalement pas, faute de portrait disponible-104 Adolphe Odru / Victor Méric ; ill. couv. Aristide Delannoy. — Paris : Hommes du jour, 1910. — 12 p. : ill. — (Les Hommes du jour ; 104).N° du 15 janv. 1910. —105 Henry Chéron / Victor Méric ; ill. couv. Aristide Delannoy. — Paris : Hommes du jour, 1910. — 12 p. : ill. — (Les Hommes du jour ; 105).N° du 23 janv. 1910. — 106 Lucien Guitry / Georges Pioch ; ill. couv. Aristide Delannoy. — Paris : Hommes du jour, 1910. — 12 p. : ill. — (Les Hommes du jour ; 106).N° du 30 janv. 1910. — 107 Marcel Prévost / Victor Méric ; ill. couv. Aristide Delannoy. — Paris : Hommes du jour, 1910. — 12 p. : ill. — (Les Hommes du jour ; 107). N° du 5 févr. 1910. —108 -3e année. Madame Pierre Curie / Octave Béliard ; ill. couv. Aristide Delannoy. — Paris : Hommes du jour, 1910. — 12 p. : ill. — (Les Hommes du jour ; 108).N° du 12 févr. 1910. —
Ephéméride Anarchiste :Lorsqu'Henri Fabre et Victor Méric créent en 1908 le journal "Les Hommes du jour", c'est Delannoy qui se charge de l'illustration de couverture. Le lancement du numéro 1 remporte un vif succès avec la tête de Clemenceau se balançant au bout d'une pique. Mais ses opinions libertaires valent à Delannoy d'être inscrit au "carnet B" et il est plusieurs fois inquiété par la police. Le 26 septembre 1908, il est condamné avec Victor Méric à un an de prison et trois mille francs d'amende, pour avoir caricaturé en boucher le général d'Amade (grand pacificateur du Maroc).De faible constitution, et miné par la tuberculose, il est libéré le 21 juin 1909. Mais la prison ayant aggravé sa maladie, il meurt à Paris le 5 mai 1911, à l'âge de 37 ans. Il nous laisse plus de 1200 dessins, dont les 150 couvertures des "Hommes du jour". Remise de 20% pour toutes commandes supérieures à 200 €
Paris, 3, rue des Grands-Augustins[1910 ],In-folio broché - 121-Docteur Roux / Octave Béliard ; ill. couv. Aristide Delannoy. — Paris : Hommes du jour, 1910. — 10 p. : ill. — (Les Hommes du jour ; 121).N° du 14 mai 1910. —122 Jehan Rictus / Victor Méric ; ill. couv. Aristide Delannoy. — Paris : Hommes du jour, 1910. — 8 p. : ill. — (Les Hommes du jour ; 122).N° du 21 mai 1910. — 123 Gémier / Georges Pioch ; ill. couv. Aristide Delannoy. — Paris : H. Fabre, 1910. — 8 p. : ill. — (Les Hommes du jour ; 123).N° du 28 mai 1910. — Contient aussi : Danse macabre, 10 : le conquérant (dessin) / Hermann-Paul. Jules Renard / Jehan Rictus. Bavardages / Han Ryner. Les Arts / Maurice Robin-124 Pierre Loti / Victor Snell ; ill. couv. Aristide Delannoy. — Paris : Hommes du jour, 1910. — 8 p. : ill. — (Les Hommes du jour ; 124).N° du 4 juin 1910. — .125-Tom Mann / Miguel Almereyda ; ill. couv. Aristide Delannoy. — Paris : Hommes du jour, 1910. — 12 p. : ill. — (Les Hommes du jour ; 125).N° du 11 juin 1910. — 126-Professeur Metchnikoff / Octave Béliard ; ill. couv. Aristide Delannoy. — Paris : Hommes du jour, 1910. — 8 p. : ill. — (Les Hommes du jour ; 126).N° du 18 juin 1910. — 127-Roosevelt / Victor Snell ; ill. couv. Aristide Delannoy. — Paris : Hommes du jour, 1910. — 8 p. : ill. — (Les Hommes du jour ; 127). N° du 25 juin 1910. — Contient aussi : Notes de voyage / Jehan Rictus. Les Arts / Maurice Robin.-128-Alphome XIII / Charles Malato ; ill. couv. Aristide Delannoy. — Paris : Hommes du jour, 1910. — 8 p. : ill. — (Les Hommes du jour ; 128).N° du 2 juil. 1910. — Poires / Victor Snell. Déboires / Jehan Rictus. Les Arts / Maurice Robin.129-Me Henri Robert / Octave Béliard ; ill. couv. Aristide Delannoy. — Paris : Hommes du jour, 1910. — 8 p. : ill. — (Les Hommes du jour ; 129).N° du 9 juil. 1910. — 130-J.-H. Rosny / Han Ryner ; ill. couv. Aristide Delannoy. — Paris : Hommes du jour, 1910. — 12 p. : ill. — (Les Hommes du jour ; 130). N° du 16 juil. 1910. — .131-Gabriele D’Annunzio / Victor Snell ; ill. couv. Aristide Delannoy. — Paris : Hommes du jour, 1910. — 8 p. : ill. — (Les Hommes du jour ; 131).N° du 23 juil. 1910. — .132-Jacques Dhur / Maurice Harmel ; ill. couv. Aristide Delannoy. — Paris : Hommes du jour, 1910. — 8 p. : ill. — (Les Hommes du jour ; 132).N° du 30 juil. 1910. — Contient aussi : Vieilles chansons, chansons modernes / Jehan Rictus. Mélanie ou les mystères de l’Élysée / feuilleton de Victor Snell. Notes de voyage / Charles Malato. En Belgique / Eugène Barnavol.
Ephéméride Anarchiste :Lorsqu'Henri Fabre et Victor Méric créent en 1908 le journal "Les Hommes du jour", c'est Delannoy qui se charge de l'illustration de couverture. Le lancement du numéro 1 remporte un vif succès avec la tête de Clemenceau se balançant au bout d'une pique. Mais ses opinions libertaires valent à Delannoy d'être inscrit au "carnet B" et il est plusieurs fois inquiété par la police. Le 26 septembre 1908, il est condamné avec Victor Méric à un an de prison et trois mille francs d'amende, pour avoir caricaturé en boucher le général d'Amade (grand pacificateur du Maroc).De faible constitution, et miné par la tuberculose, il est libéré le 21 juin 1909. Mais la prison ayant aggravé sa maladie, il meurt à Paris le 5 mai 1911, à l'âge de 37 ans. Il nous laisse plus de 1200 dessins, dont les 150 couvertures des "Hommes du jour". Remise de 20% pour toutes commandes supérieures à 200 €
Michel Lévy frères | Paris 1872 | 11.50 x 18 cm | relié
Édition originale sur papier courant, il a été tiré 100 exemplaires sur Hollande en grands papiers. Reliure en demi chagrin rouge, dos à quatre fins nerfs sertis de pointillés dorés orné de fleurons dorés et de filets à froid, plats de papier marbré, gardes et contreplats de papier à la cuve, tranches mouchetées, reliure de l'époque signée de Derveaux fils. Rares rousseurs affectant principalement les marges de certains feuillets. Exceptionnel envoi autographe signé de Victor Hugo à son fils François-Victor sur la page de faux-titre: «À mon bien aimé Victor. V.» En 1872, seuls deux des cinq enfants que Victor Hugo a eus avec son épouse Adèle Foucher sont encore en vie: François-Victor, qu'il appelle simplement Victor et sur lequel il reporte son affection, et Adèle, emmurée dans la folie, qui vient d'être internée à son retour de la Barbade. Hugo note alors dans ses carnets: «Il y a tout juste un an, je partais pour Bordeaux avec Charles [son autre fils] qui n'en devait pas revenir vivant. Aujourd'hui je revois Adèle. Que de deuils!» Mais les tragédies continueront de frapper le vieil écrivain: le «bien-aimé» François-Victor succombera l'année suivante, en 1873, de la tuberculose. François-Victor Hugo est l'auteur d'une monumentale traduction des uvres complètes de William Shakespeare, la première respectueuse de la langue du dramaturge anglais: «Pour ceux qui, dans Shakespeare, veulent tout Shakespeare, cette traduction manquait», écrira avec émotion Hugo dans la préface. Agréable exemplaire enrichi d'une très émouvante dédicace de Victor Hugo à son fils. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
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Michel Lévy | Paris 1880 | 15.50 x 23.50 cm | relié
Edition originale. Reliure en demi chagrin vieux rouge comportant quelques discrètes restaurations, dos à cinq nerfs, date en queue, plats de papier à la cuve, contreplats et gardes doublés de papier peigné, couvertures conservées, tête rouge, reliure de l'époque Très précieux envoi autographe signé de Victor Hugo à Alphonse Daudet. Tampon de la bibliothèque de Madame Daudet sur la première garde. Victor Hugo représente pour Alphonse Daudet, comme pour les autres écrivains de sa génération, le maître incontesté du Panthéon des arts. Sa figure tutélaire parsème les uvres de Daudet, fréquemment convoquée aux côtés de celles de Rousseau, Byron, Sand et Delacroix. Si durant l'enfance et la jeunesse de Daudet, Hugo, géant exilé sur son île de Guernesey, demeure un idéal inaccessible, « presque en dehors de l'humanité », son retour en France lui permet de le rencontrer enfin. Aux alentours de 1875, peu après la parution de ses premiers ouvrages, Alphonse et Julia Daudet sont ainsi accueillis chez Hugo qui vit désormais avec Juliette Drouet. Ils deviendront dès lors des intimes de la maison jusqu'à la mort du poète. Victor Hugo participe à l'éducation du jeune Léon Daudet, meilleur ami du petit-fils de Hugo, Georges et, plus tard, époux éphémère de Jeanne. Dans ses Souvenirs d'un cercle littéraire, Julia Daudet évoque leur amitié de dix années avec l'« idole de toute la France poétique » : « Je vois Victor Hugo au grand bout de sa table ; le maître vieilli, un peu isolé, un peu sourd, trône avec des silences de dieu, les absences d'un génie au bord de l'immortalité. Les cheveux tout blancs, la tête colorée, et cet il de vieux lion qui se développe de côté avec des férocités de puissance ; il écoute mon mari et Catulle Mendès entre qui la discussion est très animée à propos de la jeunesse et de la célébrité des hommes connus et de leur séduction auprès des femmes. [...] Pendant le débat on est passé au salon, Victor Hugo songe au coin du feu, et célèbre, universel et demi-dieu, regrette peut-être sa jeunesse, tandis que Mme Drouet sommeille doucement. » L'amitié entre le dernier grand écrivain romantique et l'un des maîtres de l'école naturaliste naissante témoigne de l'acuité de Victor Hugo qui, au faîte de sa gloire, conserve une attention particulière et bienveillante pour la littérature moderne pourtant éloignée du lyrisme hugolien. Cette dédicace de Hugo à Daudet sur une uvre qualifiée, avec Le Pape et La Pitié suprême, de « testament philosophique» par Henri Guillemin, résonne symboliquement comme le legs à un fervent disciple de la responsabilité politique et morale de l'écrivain. Provenance: Alphonse Daudet, vente Sicklès (1990, IV, n°1200) puis vente Philippe Zoummeroff (2 Avril 2001). Extrait deSouvenirs d'un cercle littéraire par Julia Daudet : " Comment oublier cette première visite chez lui, rue de Clichy, dans le modeste appartement tellement disproportionné à sa gloire, à l'idée qu'on se faisait de cette gloire qui eût comblé des palais: Il se lève du siège qu'il occupait au coin du feu, en face de Mme Drouet, sa vieille amie, (...) je suis étonnée de sa petite taille, mais bientôt, quand il va m'accueillir et me parler, je le trouverais très grand, très intimidant. Et cette timidité que je ressentis alors, je l'éprouverai toujours en face d Victor Hugo, résultat de cette grande admiration, de ce respect, comme d'un dieu absent, que mes parents m'avaient inculqué pour le poète de génie. Je ne vaincrai jamais ce tremblement de la voix chaque fois que je répondrai à ses paroles obligeantes, et je m'étonnerai pendant près de dis ans d'entendre des femmes, admises auprès de lui, l'entretenir de leur intérieur et de leurs futilités habituelles. Ce soir-là, quand il m'eut présentée, toute confuse, à Mme Drouet, elle me dit avec une charmante bonne grâce : Ici, c'est le coin des vieux et vous êtes trop jeune pour nous. Mais M. Victor Hugo va vous présenter à sa bru, Mme Lockroy; lui seul a qualité pour c
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