Paris, Gallimard 1970, 180x110mm, 1503pages, reliure d'éditeur. Sous jaquettes rhodoïde.. Imprimé sur papier bible. Bel exemplaire.
Pour un paiement via PayPal, veuillez nous en faire la demande et nous vous enverrons une facture PayPal
Paris, chez Gabriel Quinet 1662, 150x85mm, reliure veau de l’époque, dos à nerfs,, titre et fleurons dorés, reliure de l’époque. Deuxième édition, la première à parue en 1634 (Brunet IV.1044).
frontispice, titre avec vignette, 2 ff., 219, Pour un paiement via PayPal, veuillez nous en faire la demande et nous vous enverrons une facture PayPal
Paris, 1963, 240x190mm, reliure parchemin avec lacets pour le fac-similé, sous chemise et emboîtage cartonné, format oblong. Exemplaire numéroté sur papier Hollande Van Gelder 48 / 520. Exemplaire à l'état de neuf.
fac-similé et brochure de 34 pages commentaires, Pour un paiement via PayPal, veuillez nous en faire la demande et nous vous enverrons une facture PayPal
Paris, Bernard Grasset, 1942. 254 g In-12 broché, 295-[1] pp., portrait de l'auteur en frontispice.. Edition originale, exemplaire du service de presse. Exemplaire contenant une carte imprimée ''de la part de la famille de Tristan Derême''. . (Catégories : Littérature, )
Paris, Alexandre Loewy 1962, 345x270mm, 26pages, en feuille sous couverture rempliée, chemise et emboitage toilé. Un des 90 exemplaires sur vélin de rives, numéroté n.° 18 / 100. Signés par l’auteur et par l’artiste au collophon. Bel exemplaire.
5 eaux-fortes en couleurs (collation effectué), Pour un paiement via PayPal, veuillez nous en faire la demande et nous vous enverrons une facture PayPal
Lausanne, La Guilde du Livre 1954, 280x220mm, 107pages, cartonnage sous jaquette de l’éditeur. Bel exemplaire.
photos en héliogravure, Pour un paiement via PayPal, veuillez nous en faire la demande et nous vous enverrons une facture PayPal
ANTOINE, A. - BERNARD, Tristan. - DAUDET, Léon. - DEKOBRA, Maurice. - HENRY-PATE.
Reference : 79613
Paris, Roger Dacosta pour le Laboratoire de l’Hépatrol sans date, vers 1934, 235x165mm, 80pages, illustrations en couleurs in et hors texte. En feuille, sous chemise avec jaquette. Bel exemplaire.
Pour un paiement via PayPal, veuillez nous en faire la demande et nous vous enverrons une facture PayPal
Paris, Calmann-Lévy 1966, 210x140mm, frontispice, 366pages, reliure toile de l’éditeur sous jaquette en rhodoïde. Trés bel exemplaire, comme neuf.
Pour un paiement via PayPal, veuillez nous en faire la demande et nous vous enverrons une facture PayPal
La Haye - Paris, Editions A. A. M. Stols 1947, 165x175mm, XV - 268pages, reliure percaline. Avec emboitage d’envoi. Bel exemplaire, hormis nom du possesseur sur le haut de la page de garde supérieure. Edition originale sur papier vergé de Hollande de la Papeteries G. H. Bührmann, numéroté n.° 61 / 665.
Pour un paiement via PayPal, veuillez nous en faire la demande et nous vous enverrons une facture PayPal
Moutier, Imprimerie Robert 1974, 240x220mm, broché. Catalogue de l’Exposition rétrospective de 1974 à l’Abbatiale de Bellelay, avec, à part, la liste des oeuvres et leur prix. Bel exemplaire.
photos couleurs et n/b, non paginé (env. 45 pages), Pour un paiement via PayPal, veuillez nous en faire la demande et nous vous enverrons une facture PayPal
Paris, Bernard Grasset, 1937. 260 g In-12 broché, 286 pp., [1] ff.. Edition originale. Envoi de l'auteur à Ernest Gaubert. Exemplaire du service de presse. Petites rongeures en bordure de la couverture. . (Catégories : Littérature, )
Paris, Editions Emile-Paul Frères, 1927. 145 g In-12 broché, 3]-161 pp., [1] ff.. Introduction et notes de M. Théodore Decalandre. Un des 500 exemplaires numérotés sur papier Alfa. Petits points de rousseurs. . (Catégories : Poésie, )
Paris, Cortial 1931, 250x180mm, 52pages, Relié demi-basane, titre doré au dos, plats papier marbré. Ex-libris. Bel exemplaire. Belle reliure.
Pour un paiement via PayPal, veuillez nous en faire la demande et nous vous enverrons une facture PayPal
Saint-Félicien-en-Vivarais, Au Pigeonnier, 1926. 135 g In-12 broché, 79-[1] pp.. Portrait et dessins par Jos. Jullien. Un des 770 exemplaires numérotés sur vergé Montgolfier d'Annonay. Edition originale. . (Catégories : Littérature, )
Paris, Grasset, 1938. 180 g In-8 broché, couvertures rempliées, 119-[1] pp., [4] ff.. Edition originale. Un des 230 exemplaires numérotés sur Alfa Outhenin-Chalandre. . (Catégories : Littérature, )
Paris, Editions Cercle d’Art 1956, 270x210mm, 70pages, broché. Couverture rempliée.
photos n/b, Pour un paiement via PayPal, veuillez nous en faire la demande et nous vous enverrons une facture PayPal
Neuchâtel, Imprimerie Centrale 1962, 210x150mm, 108pages, broché.
photos n/b, Pour un paiement via PayPal, veuillez nous en faire la demande et nous vous enverrons une facture PayPal
Paris, Hachette 1919, 200x135mm, XXXI - 134pages, broché. Exemplaire nominatif et numéroté sur papier Van Gelder 14/80. Bel exemplaire.
Couverture rempliée. Pour un paiement via PayPal, veuillez nous en faire la demande et nous vous enverrons une facture PayPal
Paris, Hachette 1917, 195x130mm, XLIX - 162pages, Un des soixante-cinq exemplaires sur papier Van Gelder, numéroté et parafés par le Secrétaire général de la Société. Exemplaire n° 14, de M. Gonzague de Reynold. Bel exemplaire.
Pour un paiement via PayPal, veuillez nous en faire la demande et nous vous enverrons une facture PayPal
Paris, Bernard Grasset, 1939. 270 g In-12 broché, 337-[1] pp.. Un des 90 exemplaires numérotés sur Alfa Navarre. Edition originale. . (Catégories : Littérature, )
Paris, Le Divan, 1927. 225 g Petit in-4 broché, 85 pp., [3] ff.. Préface de Théodore de Calandre. Un des 500 exemplaires sur papier de Rives blanc. Edition originale. . (Catégories : Littérature, )
P., La Bibliothèque Française, 1947, in-12, 296 pp, broché, bon état
"Flora Tristan, âpôtre du socialiste et du féminisme, est peu connue du grand public. Le livre que nous présente aujourd'hui Lucien Scheler a été élaboré très soigneusement, et ses lecteurs y trouveront à la suite d'une biographie passionnante, une anthologie de Flora Tristan qui donne une idée très suffisante de cette œuvre peu répandue. Lucien Scheler a choisi fort intelligemment ses morceaux dans les Pérégrinations d'une Paria (1838), dans les Promenades dans Londres (1840) et dans Union ouvrière (1843). Le premier de ces ouvrages est essentiellement autobiographique, mais contient aussi des aperçus pittoresques et instructifs sur la vie au Pérou vers 1830, alors que Flora Tristan y était venue tenter, auprès de l'aristocratique famille de feu son père, une démarche pour récupérer la succession de celui-ci. Les Promenades dans Londres (1840) contiennent d'intelligentes considérations et une grande masse de données sur l'Angleterre politique, économique, sociale, ouvrière, morale, etc... Dès lors la vocation de Flora Tristan s'est affirmée : le spectacle de la misère qu'elle sait observer et méditer lui découvre des vérités premières qu'elle va formuler dans son petit livre Union ouvrière (1843). Déjà les saint-simoniens avaient révélé l'existence des classes sociales, dont la classe ouvrière, la plus nombreuse, la plus utile, est la plus pauvre. Flora Tristan proclame, quatre ans avant Marx, que ces classes sont en lutte et que la classe ouvrière ne s'émancipera que par ses propres efforts. Mais l'apôtre, solidariste, souhaite que les autres classes sociales collaborent à cette émancipation, laquelle ne sera d'ailleurs possible que lorsque les ouvriers seront sortis de l'abjection dans laquelle ils croupissent, la plupart sans s'en douter. Reprenant et révisant les projets des réformateurs du compagnonnage, Flora Tristan entreprend de provoquer dans les milieux ouvrier ce noble désir de progrès laborieusement gagné. Après avoir fréquenté les miteux de l'Atelier et de la Ruche Populaire à Paris, ou telles autres élites ouvrières, elle part à travers la France, suivant l'itinéraire habituel des « Compagnons » ; d'avril à septembre 1844, elle prêche de ville en ville, le « nouvel évangile », signalée, surveillée par la police et parfois même inquiétée. Elle est diversement accueillie, obtenant çà et là des résultats qui l'enthousiasment, notamment à Lyon, à Marseille, à Toulon, à Carcassonne. Chemin faisant, elle cause avec des patrons, avec des bourgeois, avec des curés et des pasteurs ; quatre évêques lui accordent audience. Après quatre mois d'un voyage épuisant, voyage de propagande et aussi voyage d'études, elle vient mourir à Bordeaux en novembre 1844... Lucien Scheler a bien conté cette belle histoire, montrant avec exactitude les influences que notre apôtre avait subies, ou tout au moins les suggestions ; notamment les leçons d'outre-Manche : Robert Owen, les Chartistes, O'Connell. Il a aussi mis en valeur la tendance internationaliste de Flora Tristan. Je ne vois d'ailleurs aucune omission dans ce petit volume qu'il faudrait largement répandre. L'excellente étude donne une idée très exacte de l'apôtre." (Jules-L. Puech, Revue d'Histoire du XIXe siècle - 1848, 1949) — "Curieuse Flora Tristan. Elle meurt en 1844 à 41 ans, après un apostolat social de dix-huit mois qui n'a frappé « l'opinion » – celle qui lisait les journaux – que de façon marginale. Si elle a été l'amie de Victor Considérant, si elle a admiré Robert Owen, elle a brisé, vite, avec le Père Enfantin et le saint-simonisme, et les socialistes de sa génération qui lui survivront l'ignorent ; non seulement Marx, qu'elle aurait pu rencontrer pourtant à Paris, mais Proudhon qui, en elle, méprise d'abord la femme..." (Madeleine Rebérioux, Annales ESC, 1974) — "Ma grand'mère était une drôle de bonne femme. Elle se nommait Flora Tristan." (Paul Gauguin)
Le document | Paris 1933 | 15.50 x 20.50 cm | relié
Edition originale, un des 144 exemplaires numérotés sur vélin pur fil, seul tirage après 12 japon. Reliure en demi maroquin rouge à coins, dos à quatre nerfs, plats, gardes et contreplats de papier marbré, couvertures et dos conservés, tête dorée, reliure signée Lucie Weill. Exemplaire joliment établi. Rousseurs affectant principalement les tranches. En frontispice, ouvrage illustré par Don d'un portrait de Tristan Bernard. Envoi autographe signé de Tristan Bernard à son ami Carlo Rim : "A Carlo Rim je dédie ces purs accents d'une âme poétique." Nous joignons un bristol d'invitation de Jacques Duhamel, ministre des affaires culturelles,pour l'érection du buste de Tristan Bernard sur la place Tristan Bernard aux Ternes à Paris le Jeudi 18 Mai 1972 à 11h. Nous joigons un article de presse de Carlo Rim à propos de cet évènement culturel. Pendant l'Occupation, Tristan Bernard se réfugie à Cannes et réside à l'hôtel Windsor alors que son ami Carlo Rim lui propose en vain de séjourner chez lui afin qu'il soit à l'abri d'une dénonciation ou d'une arrestation ; ce à quoi Tristan Bernard, jamais avare de bons mots, lui répond :«À mon âge, on ne découche plus!» en ajoutant : «Savez-vous que je figure dans lePetit Larousse? On n'arrête pas quelqu'un qui figure dans lePetit Larousse» Il sera tout de même arrêté en septembre 1943 en tant que Juif et interné avec sa femme à Drancy puis libéré sur intervention de Sacha Guitry et Arletty le mois suivant. Son petit-fils François-René sera aussi arrêté commerésistantetdéportéàMauthausenoù il mourra. Provenance : de la bibliothèque de l'écrivain provençal, caricaturiste et cinéaste Carlo Rimqui fut notamment l'ami de Fernandel, de Raimu et Marcel Pagnol mais aussi d'André Salmon et Max Jacob. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
s. l. s. d. [circa 1942] | 7.50 x 12 cm | une feuille
Carte postale photographique manuscrite signée de Tristan Bernard adressée à son ami l'écrivain provençal, caricaturiste et cinéaste Carlo Rim qui fut notamment l'ami de Fernandel, de Raimu et Marcel Pagnol mais aussi d'André Salmon et Max Jacob (21 lignes à l'encre noire à l'en-tête de l'hôtel Windsor à Cannes). Un petit trou de punaise en tête de la photographie montrant toute l'affection que portait Carlo Rim à son vénérable ami Tristan Bernard, ayant certainement accroché cette carte postale chez lui. La carte postale représente Tristan Bernard de face avec sa belle et imposante barbe. Au verso, il a ajouté : Le monsieur du verso, c'est évident, c'est sûr... c'est le plus beau vieillard de la Côte d'Azur. Je vous embrasse bien affectueusement chère Alice et cher Carlo. Tristan Bernard." Pendant l'Occupation, Tristan Bernard se réfugie à Cannes et réside à l'hôtel Windsor alors que son ami Carlo Rim lui propose en vain de séjourner chez lui afin qu'il soit à l'abri d'une dénonciation ou d'une arrestation ; ce à quoi Tristan Bernard, jamais avare de bons mots, lui répond :«À mon âge, on ne découche plus!» en ajoutant : «Savez-vous que je figure dans lePetit Larousse? On n'arrête pas quelqu'un qui figure dans lePetit Larousse» Il sera tout de même arrêté en septembre 1943 en tant que Juif et interné avec sa femme à Drancy puis libéré sur intervention de Sacha Guitry et Arletty le mois suivant. Son petit-fils François-René sera aussi arrêté comme Résistant et déporté à Mauthausen où il mourra. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85
s. l. s. d. [circa 1942] | 13.50 x 21.50 cm | une feuille
Lettre autographe signée de Tristan Bernard adressée à son ami l'écrivain provençal, caricaturiste et cinéaste Carlo Rim qui fut notamment l'ami de Fernandel, de Raimu et Marcel Pagnol mais aussi d'André Salmon et Max Jacob (21 lignes à l'encre noire à l'en-tête de l'hôtel Windsor à Cannes). Tristan Bernard ne tarit pas d'éloges sur les talents de Carlo Rim en tant que feuilletoniste pour la radio: "Mercredi 22. Mon vieux Carlo, J'ai lu avec un très grand plaisir les sketches que vous m'avez envoyés, et j'ai apprécié tout particulièrement celui que vous m'avez dédié. Vous êtes un des rares individus qui aient compris parfaitement "la dramaturgie de la radio". Vous avez su, en écrivant, faire à l'écouteur une âme d'écouteur. C'est là une tâche que ne comprennent pas la plupart des auteurs dramatiques qui, lorsqu'ils écrivent pour le théâtre, prennent le spectateur pour un lecteur. Tachez de venir me voir bientôt, avec votre chère Alice. Moi, je ne me déplace pas facilement. Nous vous embrassons ainsi que le vénérable Babou. Tristan Bernard." Pendant l'Occupation, Tristan Bernard se réfugie à Cannes et réside à l'hôtel Windsor alors que son ami Carlo Rim lui propose en vain de séjourner chez lui afin qu'il soit à l'abri d'une dénonciation ou d'une arrestation ; ce à quoi Tristan Bernard, jamais avare de bons mots, lui répond :«À mon âge, on ne découche plus!» en ajoutant : «Savez-vous que je figure dans lePetit Larousse? On n'arrête pas quelqu'un qui figure dans lePetit Larousse» Il sera tout de même arrêté en septembre 1943 en tant que Juif et interné avec sa femme à Drancy puis libéré sur intervention de Sacha Guitry et Arletty le mois suivant. Son petit-fils François-René sera aussi arrêté comme Résistant et déporté à Mauthausen où il mourra. - Photographies et détails sur www.Edition-Originale.com -
Phone number : 01 56 08 08 85