46 books for « travies charles »Edit

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‎TRAVIES (Charles Joseph) de Villers‎

Reference : 16876

(1844)

‎Les Mystères de Paris.- 3. Le Chourineur et Fleur de Marie- 4. Histoire de la Goualeuse- 5. Le maître d'école et la Chouette- 6. La Goualeuse racontant son histoire.- 7. Le Tapis franc rue aux fèves.- 8. On me mène chez le commissaire….- 9. Comme je m'en retrournais bien triste…- 10 . Le grenier de la Chouette.‎

‎ 1844 qq. rousseurs marginales, autrement beau tirage. 7 lithographies de Traviès en ff. P. Lith. Bertault rue St Marc (1844)‎


‎Lithographies destinées à illustrer les Mystères de Paris d'E. Sue, dans une publication du Compilateur. ‎

Phone number : 33 (0)3 85 53 99 03

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‎Traviès de Villers,Charles Joseph‎

Reference : 25127

‎Conspiration dite : de la poële à frire - Lithographie originale sur Velin blanc.‎

‎ Conspiracy called: the frying pan Charles Joseph Traviès de Villers, dit Traviès (1804-1859). Caricature de presse. "Conspiration dite : de la poële à frire". Planche parue dans "La Caricature" du 2 janvier 1834. Lithographie.‎


‎Conspiracy called: the frying pan Charles Joseph Traviès de Villers, dit Traviès (1804-1859). ‎

Livres Anciens Komar - Meounes les Montrieux

Phone number : 33 04 94 63 34 56

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‎Traviès de Villers,Charles Joseph‎

Reference : 25129

(1834)

‎TETES D'EXPRESSIONS - Heads of expressions Charles Joseph Traviès de Villers, dit Traviès (1804-1859). Caricature de presse. "Têtes d’expressions". Planche parue dans "La Caricature" du 14 août 1834.Lithographie originale sur Velin blanc.‎

‎ 1834 Heads of expressions Charles Joseph Traviès de Villers, dit Traviès (1804-1859). Caricature de presse. "Têtes d’expressions".PL.412 Planche parue dans "La Caricature" du 14 août 1834. Lithographie. Dimensions: 260 mm X 340 mm - SUR PAPIER BLANC,pli central‎


‎Deux représentations caricaturales du roi Louis-Philippe, assis sur un fauteuil. La planche dénonce l’entrain avec lesquels Louis-Philippe procède à la répression des opposants au régime. Elle pointe également du doigt le manque de ressort du roi dans le traitement des affaires étrangères. ‎

Livres Anciens Komar - Meounes les Montrieux

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‎Grandville (Nancy, 15–09–1803 - Vanves, 17–03–1847) - Traviès de Villers, Charles Joseph (dit C. J. Traviès)‎

Reference : 25188

(1833)

‎Les feuilles publiques (Suite) et leurs souteneurs - Lithographie parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 6, 10 octobre 1833 (n°320 et 321)‎

‎ 1833 La Caricature politique, morale, littéraire et scénique (Titre de l'ensemble) = LES FeuILLES PUBLIQUES et leurs souteneurs. Lithographie par Jean- Ignace-Isidore Gerard dit GRANDVILLE et Charles-Joseph TRAVIES, 260 × 465, marges 350 × 550 (Villa 13.235),pl 315/316 , publiee le 26 septembre 1833, pli central, quelques piqures.Inscription - Titre en bas au centre : « LES FEUILLES PUBLIQUES (Suite) // et leurs souteneurs. » ; légendes en bas, de gche à dte : "La Gazette et son Vicomte. », « La France Nouvelle et son rédacteur. », « La Débats et son préfet. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°153. », en ht à dte : « Pl. 320 et 321. »Inscription - Dans la lettre : « Chez Aubert, Galerie véro dodat. » [éditeur], « L. de Becquet, rue Furstemberg 6. » [imprimeur]Description iconographique:Pl. n°3 et 4 de la série des "Feuilles publiques". Cf. pl. n°1 et 2 (pl. 315-316 du numéro 151).Dans le titre, jeu de mots entre « filles » et « feuilles » grâce à une différence de taille des lettres. Les journaux défenseurs du gouvernement sont alors assimilés à des prostituées peu avenantes, vieilles et défraîchies. A gche, la « GAZET […] [GAZETTE] // DE // FRAN […] [FRANCE] », journal légitimiste, incarné par une vieille prostituée grande et mince, portant une paire de lunettes. Elle tient dans la main gche une couronne. A son bras se tient un jeune homme pourvu d’un long cou. Il s’agit de la personnification de la « Jeunesse dorée » (in explication). Il tient une canne dont le pommeau est la tête de Chateaubriand, lequel est allé rendre visite à la famille royale à Prague de début septembre à début octobre 1833. Et justement, derrière eux, un panneau de bois indiquant le chemin pour la « ROUTE // DE PRAGUE ». Prague est la ville où émigra Henri V avec sa famille en 1832. La pl. met donc en scène les deux personnages sur le point de faire le pèlerinage pour cette ville. Au centre, le journal « FRANCE // NOUVELLE », incarné par une prostituée à l’embonpoint marqué. Elle porte un collier fait de croix de la légion d’honneur et une robe portant des motifs de poires. Elle porte une boucle d’oreille en forme de poire. Son tablier prend la forme d’un exemplaire de journal avec le titre de la revue et les lignes d’un article, illisibles. Louis-Philippe, qui finance ce journal et l’alimente d’informations, se tient face à la prostituée et porte sa main sous son menton. Il lui donne un billet portant l’inscription « article // communiqué ». Vu de dos, il porte une redingote, un bonnet et une plume sur l’oreille. Derrière eux se détache la silhouette de ce qui semble être la boutique du roi, assimilé à un écrivain public fournissant des articles au journal (« PEPIN (PHILIPPE) // ECRIVAIN // PUBLIQUE [PUBLIC] »). Une affiche est placardée sur le côté de l’échoppe, portant l’inscription « DEUX // ANNÉES DE // Regne [Règne] ». A dte, la prostituée du « JOURNAL // DES // DÉBATS », dont la versatilité et l’opportunisme politique sont dénoncés à travers les inscriptions sur le papier accroché à la robe : « VIVE LE // ROÂ !! », « VIVENT // les // Bourbon […] [Bourbons] », « VIVE // L’Emp […] [Empereur] ». La robe est décorée d’un aigle bicéphal et de la date d’instauration de la « […] ESTAURAT […] [RESTAURATION] » : « 1815 ». Son chapeau porte la cocarde tricolore et un médaillon orné d’une fleur de lys. Elle donne le bras à un préfet (Gisquet ?) ventripotent, qui met la main dte dans son veston. Sa redingote porte des distinctions honorifiques. Derrière eux, un canapé portant des motifs évocateurs de la monarchie de Juillet : une seringue à clystère, une toque de magistrat, une poire à face humaine, et plusieurs autres petites poires. Les accoudoirs sont sculptés de têtes humaines. On peut notamment reconnaître Soult.‎


‎A gauche, Louis-Philippe et le journal Le Moniteur (dont le vetement est decore d’aigles, de eurs de lys et de poires) ; au centre, Le Figaro avec M. de la Cour (mouchard ou policier) ; le Constitutionnel a droite, avec un naif a qui il fait voir des etoiles en plein midi. ‎

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‎Charles-Joseph Traviès, dessinateur]‎

Reference : 25245

‎Fœtus politiques morts-nés. Lithographie originale en noir sur Velin blanc.‎

‎ Lithographie - Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 8, 20 novembre 1834 (Planche n°441) - Œuvre : Hauteur: 27cmx Largeur: 35.5cm - Image: Hauteur: 19.2cmx Largeur: 26.5cm - Titre en bas au centre : « Fœtus politiques morts-nés. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°211. », en ht à dte : « Pl. 441 »- Dans la lettre : « Au bureau, chez Aubert, pass. Véro-Dodat. » [éditeur], « Lith : Delaunois, r. du Bouloi, 19. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « C. J. T » [Charles-Joseph Traviès, dessinateur]‎


‎iconographie:Constitué officiellement le 10 novembre, le Ministère Maret, dit "ministère des trois jours", démissionne le 13 novembre. Traviès représente quatre des ministres comme des "foetus politiques morts-né" conservés dans des bocaux. Sur des étiquettes, on peut lire "a vécu 3 jours". Bocal à gauche, marqué "n°34" : un papier sur lequel est inscrit : "budget / écono[mie] / Réduction de l'Armée", peut-être Hyppolyte Passy, ministre des Finances. Bocal marqué "n°34" : foetus en robe de magistrat, sans doute Persil, ministre de la Justice et des Cultes. Bocal au centre, marqué "n°31 A vécu 3 jours, 3 hres 35 min" : en bottes et arborant des décorations, probablement Hugues-Bernard Maret, duc de Bassano (1763-1839), président du Conseil et Intérieur. Sur un papier au fond du bocal : "Restauration de la révolution de Juillet". Bocal de droite, marqué "n°32 A vécu 3 jours 1m. 1/2" : tenant à la main une ancre brisée, sans doute Charles Dupin, minstre de la Marine et des Colonies, frère cadet d'André Dupin. La crise ministérielle, dans laquelle s'inscrit le"ministère des trois jours", fournit à "La Caricature" le sujet de plusieurs planches dans le mois de novembre 1834.Personnages représentés:Persil, Jean-Charles; Maret, Hugues Bernard, duc de Bassano; Dupin, Pierre Charles François, baron ‎

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‎Traviès de Villers,Charles Joseph - Talleyrand-Périgord,‎

Reference : 25130

‎Route de Pantin. Les hommes usés .Lithographie originale sur Velin blanc.‎

‎ Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique,La Caricature (Journal) N°214, 11 décembre 1834 ,Planche double n°446- 447, grandes marges,,pli verical,frais‎


‎Inscription - Titre en bas au centre : « Route de Pantin. // Les hommes usés. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°214 », en ht à dte : « Pl. 446 et 447. »Inscription - Dans la lettre : « Au bureau, chez Aubert. pass. Véro-Dodat. » [éditeur], « Lith. de Delaunois. r. du Bouloi 19. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « C.J. Traviès » [Charles-Joseph Traviès, dessinateur]Description iconographique:En file indienne, les "hommes usés" de la monarchie de Juillet sont menés à la décharge. Une borne indique qu'ils se trouvent sur le "chemin de la voirie", lieu où l'on portait les ordures, les immondices, les vidanges, les fumiers et les débris d'animaux. A Paris sur la route de Pantin, la "voirie de Montfaucon, à l'actuel emplacement des Buttes-Chaumont, servait à l'équarissage des chevaux et à l'enfouissement de leurs cadavres. Des corbeaux planent au-dessus des futurs cadavres et un crâne d'âne, non sans ajouter un sarcasme supplémentaire, préfigure leur sort. Louis-Philippe, "Le Systême" selon l'explication, en cocher, "conduit cette chaîne de squelettes à la grande voirie morale, dont il est appelé lui-même à faire les délices et l'ornement". Sur le tombereau, les "morts-né du 14 novem[bre] 1834" (cf Planche 441) et à leur côté Talleyrand. Attachés à la charette, de droite à gauche : Soult, Persil, d'Argout "armé de son gourdin d'assomeur", Lobau et son clystère, Viennet et sa lyre, Barthe, Madier de Montjau alias Madrier-Lonjeau, Guizot qui porte une guillotine, "l'argument le plus tranchant de la Doctrine", Thiers, un sac d'argent sur l'épaule, Sebastiani portant un étendard frappé de la devise : "L'ordre règne à Varsovie" et surmonté d'un lièvre. Ferment la marche : le "Constitutionnel", le "Journal des débats", Mortier, Dupin et la "foule de ces ombres vivantes qui traînent si tristement leur impopularité sur les bancs des deux chambres".Personne / Personnage représenté:Thiers, Adolphe; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Mortier, Edouard, maréchal, duc de Trévise; Dupin, André Marie Jean-Jacques (dit Dupin aîné); Madier de Montjau, Joseph Paulin; Persil, Jean-Charles; Sebastiani, Horace; Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Talleyrand-Périgord, Charles-Maurice de; Viennet, Jean Pons Guillaume; Guizot, François; Barthe, Félix; Mouton, Georges, comte de Lobau; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron ‎

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‎Traviès de Villers,Charles Joseph‎

Reference : 25989

‎MARCHE DE LA BANLIEUE venant au secours des Cent mille hommes de troupe réglée assiégés par quelques centaines de lâches républicains -Lithographie originale en noir sur Velin blanc.pl.double‎

‎ Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 6, 1er août 1833, (Planche n°296-297) Hauteur: 26cm Largeur: 70cm;marge du haut rognée court au dessus du numéro,fente en marge au pli central-sinon bon.Titre en bas au centre : « Marche de la Banlieue venant au secours des Cent mille hommes de troupe réglée assiégés par quelques centaines de lâches républicains. » ; légende plus bas au centre : « (Cette caricature fut exécutée après les evènemens [événements] de Juin 1832. Nous en retardames [retardâmes] la publication pour ne pas envenimer les haines politiques aujourd’hui nous la donnons comme une bonne et vieille charge) » ; indications : en ht à gche : « La Caricature Journal (N°142) », en ht à dte : « Pl. 296, 297 »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Chilbert N°9. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « CJ Traviès. // 1832 » [Charles-Joseph Traviès, dessinateur], réagissant à l’insurrection républicaine à Paris des 5, 6 et 7 juin 1832. Traviès met en lumière l’énorme différence entre le faible nombre d’insurgés républicains et le nombre d’hommes de troupe (garde municipale, garde nationale) mobilisés pour briser la révolte.‎


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‎Traviès de Villers,Charles Joseph ‎

Reference : 25178

(1959)

‎La fête a été magnifique et l’allégresse universelle- lithographie originale‎

‎ 1959 Planche 195 de La Caricature N° 95.La Caricature, 30 aout 1832. Lithographie originale sur Velin blanc. en noir sur velin blanc pli médian vertical,bon tirage bien noir,petite tache brune - rare ‎

‎Titre en bas au centre : « La fête a été magnifique // et l’allégresse universelle. » ; légende plus bas à dte : « (Moniteur) » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) // N°95 », en ht à dte : « Pl. 195. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert N°9 » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, Galerie véro dodat » [éditeur] ; dans l’image, en bas à gche de l’image sup., signature : « CJ. Traviès » [Charles-Joseph Traviès, dessinateur]Deux images superposées. L’image au niveau sup. représente une fête donnée par Louis-Philippe, présent au centre de la composition, de dos. Autour de lui, la foule des courtisans. On y reconnaît, entre autres, d’Argout à gche, et Soult à l’extrême gche. A dte prennent place des convives buvant. L’un se précipite sur une boisson avec frénésie. L’image au niveau inf. montre de nombreux détenus entassés dans une prison souterraine et sombre. Contraste saisissant entre les deux scènes. Traviès dénonce ici les conditions déplorables de détention dans les prisons, en particulier celles de Sainte-Pélagie et de la Force. La révolte face à cette situation au sein de "La Caricature" est d’autant plus grande que Daumier venait de se faire emprisonner (à cause de la pl. représentant Louis-Philippe en Gargantua, laquelle a fortement déplu au gouvernement). L’explication propose de mettre en regard l’extrait d’un article du Moniteur évoquant la réception royale, et un texte évoquant les conditions déplorables réservées aux prisonniers (Ricart Farat mort en prison, Raspail et Bonias déplacés de prison en prison…). La décence aurait réclamé davantage de sobriété de la part du Moniteur décrivant la fête royale, eu égard aux conditions indignes des prisonniers. Et surtout, elle aurait désiré ne pas lire que l’allégresse avait été « universelle », puisque de nombreux prisonniers, eux, au même moment, croupissent en prison.Personne / Personnage représenté:Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Louis-Philippe Ier, roi des Français; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron ‎


Livres Anciens Komar - Meounes les Montrieux

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‎Traviès de Villers,Charles Joseph ‎

Reference : 25152

‎La mort-aux-rats politiques. Lithographie par Charles-Joseph TRAVIES‎

‎ Lithographie originale par Charles-Joseph TRAVIES, 335 × 225, marges 340 × 265 , belle epreuve publiee le 4 decembre 1834,n° 445, plis , petite usure au niveau du pli central horizontal,tache claire en marge.‎


‎Le jeune marchand de mort- aux-rats a deja tue quelques rongeurs : Soult, Persil, Louis- Philippe et Thiers. Les produits mortels sont vendus par La Caricature et le Charivari. ‎

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‎Attribué à Traviès de Villers, Charles Joseph (dit C. J. Traviès) (Winterthour ou Winterthur, 21–02–1804 - Paris, 13–08–1859), dessinateur - BENARD ‎

Reference : 26361

‎Belles têtes, dit-il ; mais de cervelle point (Lafontaine.) -Lithographie originale sur Velin blanc.‎

‎ Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 7, 27 mars 1834 (Planche n°374)- Hauteur: 35.5cmx Largeur: 27cm - Image: Hauteur: 23.5cmx Largeur: 18.5cm - Titre en ht au centre : « Le Renard et les Masques » ; légende en bas au centre : « « Belle tête, dit-il ; mais de cervelle point. » // (Lafontaine [La Fontaine].) » ; indications : en ht à gauche : « La Caricature (Journal) N°177. », en ht à dte : « Pl. 374. »Inscription - Dans la lettre : « Chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur], « L. de Benard. » [imprimeur]Inscription - A côté du masque de Thiers, un livre dont le titre est en partie illisible. Il s’agit sans doute de la représentation d’un vol. de l’ « histoire [de la révolution française] » que Thiers écrivit entre 1823 et 1827. Derrière le masque de Lobau semble se trouver une seringue à clystère, son attribut caricatural traditionnel.‎


‎La pl. est une référence à la fable d’Esope Le renard et le masque : « Un renard s’étant glissé dans la maison d’un acteur, fouilla successivement toutes ses hardes, et trouva, entre autres objets, une tête de masque artistement travaillée. Il la prit dans ses pattes et dit : « Oh ! quelle tête ! mais elle n’a pas de cervelle. » ». Mais c’est la fable Le renard et le buste écrite par Jean de Lafontaine (14e fable du livre IV, 1668), inspirée de celle d’Esope, que La Caricature reproduit en explication, en changeant le terme « seigneurs » du dernier vers en « saigneurs » pour dénoncer la violence que fait subir le gouvernement aux Français. Tandis que la plupart des hommes peuvent se laisser facilement tromper par la belle apparence des choses et des personnes, le renard examine les choses plus profondément. Dans la pl., le renard représente les contributeurs de "La Caricature" et, plus largement, les hommes cherchant à décrypter la politique de la monarchie de Juillet. Le renard est malin et s’aperçoit que derrière les belles apparences trompeuses des masques des membres du gouvernement, il n’y a pas de cervelle, et donc aucune réflexion. Chez le fripier de la pl., ce sont des masques de Louis-Philippe, de Soult, de Lobau, de d’Argout et de Thiers que le renard analyse. Au mur du fond sont accrochés un costume de Pierrot et un costume de bergère, entre autres… A la fenêtre pendent des masques sur des fils. ‎

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‎Attribué à Traviès de Villers, Charles Joseph (dit C. J. Traviès)‎

Reference : 26371

‎Caligula fit son cheval président du Sénat- Lithographie originale sur Velin blanc.‎

‎ Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 8, 25 décembre 1834 (Planche n°451) :Lithographie - Oeuvre: Hauteur: 27cmx Largeur: 35.5cm - Image: Hauteur: 21cmx Largeur: 27cm- Titre en bas au centre : « Caligula fit son cheval président du Sénat. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°216. », en ht à dte : « Pl. 451. »- Inscription - Dans la lettre : « Chez Aubert, Galerie Vero-Dodat » [éditeur], « Litho. Delaunais, r. du Bouloi, 19. » [imprimeur]‎


‎La passion de l'empereur Caligula pour son cheval Incitatus est rapporté par Suetone (Vie de Caligula, LV) : "La veille des jeux du cirque, il ordonnait à des soldats d'imposer silence à tout le voisinage pour que rien ne troublât le repos de son cheval Incitatus. Il lui fit faire une écurie de marbre, une crèche d'ivoire, des housses de pourpre et des licous garnis de pierres précieuses. Il lui donna un palais, des esclaves et un mobilier, afin que les personnes invitées en son nom fussent reçues plus magnifiquement. On dit même qu'il voulait le faire consul." Bien que l'explication s'en défende ("Nous ne croyons pas que l'auteur de cette planche ait voulu faire allusion à quelque moderne présidence"), l'allusion à Louis-Philippe dans le rôle de Caligula et au maréchal Mortier dans celui d'Incitatus ne fait aucun doute. Dans une écurie, où l'on distingue en arrière-fond d'autres chevaux à visage humain, Louis-Philippe, vêtu à l'antique, désigne d'un geste de la main Mortier en cheval, tenant entre les dents la bride royale, portant autour du cou la croix de la légion d'honneur, une couverture marquée "PRESIDENCE" sur le dos. Le passé de Mortier sous l'Empire est rappelé par le "N" napoléonien sur sa croupe. Entre les le roi-Claigula et son ministre chevalin, on aperçoit, débordant d'une mangeoire, une croix de la légion d'honneur, un portefeuille et une bourse pleine d'argent. La planche donne à voir la "bêtise" du nouveau président du conseil. ‎

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‎Attribué à Traviès de Villers, Charles Joseph (dit C. J. Traviès)‎

Reference : 26376

‎Décidement ! l'arbre est pourri, il n’y a pas une branche de bonne - Lithographie originale sur Velin blanc.‎

‎ Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 6, 19 septembre 1833 (Planche n°313)Lithographie- Hauteur: 27.3cmx Largeur: 35.8cm - Image: Hauteur: 19cmx Largeur: 26.5cm - Titre en bas au centre : « Décidément ! // l’arbre est pourri, il n’y a pas une branche de bonne. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°150. », en ht à dte : « Pl. 313. »Inscription - Dans la lettre : « Chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur], « L. de Becquet, rue Furstemberg 6. » [imprimeur]‎


‎Dans un bois ou un jardin, deux bûcherons républicains portant le bonnet phrygien à cocarde tricolore sont occupés à couper le tronc d’un arbre. L’homme de gche s’apprête à porter un grand coup de hache, tandis que la figure de dte appuie sa hache par terre et s’adresse au spectateur en désignant le tronc. Ce tronc, dont les racines ne sont presque plus raccrochées au sol, porte des médaillons à motifs. La pl. peut être lue selon deux sens, d’après l’explication. D’abord, ce pourrait être un conseil donné aux Portugais qui hésitent à prendre comme roi Miguel et Pedro : la pl. est sans appel, l’un ne vaut pas mieux que l’autre. Ensuite, « la seconde allégorie consiste à voir dans le tronc de l’arbre, le principe monarchique, principe décrépit et qui tombe en poussière sous la hache de l’opinion ». Deux branches sont représentées sur cet arbre : la première, brisée déjà, représente la monarchie absolue, laquelle fut balayée par la révolution. Elle porte sur elle les profils des rois, à la manière de camées. La seconde, encore attachée à l’arbre, mais que le bûcheron s’apprête à couper, est celle de la monarchie de Juillet. Elle porte des macarons à motif de poires, symbole caricatural de Louis-Philippe, et plus largement des Orléans. ‎

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‎Traviès de Villers,Charles Joseph‎

Reference : 25128

‎Prosternez-vous, épiciers, devant ce pot de mélasse ! le pot de mélasse - Lithographie originale sur Velin blanc.‎

‎ Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique,N°78 volume 3, 26 avril 1832, (Planche n°157),taches en marge - Hauteur: 27cmx Largeur: 35.6cm - Image : Hauteur: 17.5cmx Largeur: 27cm - indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) / (N°78.) », en ht à dte : « Pl. 157. » - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert N°9 » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « CJ Traviès » [Charles-Joseph Traviès, dessinateur] - Sur le pot de mélasse, une étiquette indiquant : « MELASSE. »‎


‎iconographie:L’explication fournit un titre à la pl. : « Prosternez-vous, épiciers, devant ce pot de mélasse ! ». Sur une chaise affublée de pieds humains portant des chaussures, un pot de mélasse (sirop) est surmonté d’une poire présentant les traits de Louis-Philippe (des feuilles font office de toupet et de favoris). Cette création monstrueuse est entourée d’une foule de gens : gardes nationaux, gens du peuple, bourgeois, gendarmes, Mayeux ( ?)… ; mots-clé : scène d’extérieur, portrait du juste-milieu ‎

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EUR80.00 (€80.00 )

‎Charles-Joseph Traviès, dessinateur]‎

Reference : 25615

‎elle est vraiment enceinte !!!!- Lithographie sur blanc.‎

‎ Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 5, 7 mars 1833 (Planche n°254) - Lithographie - Œuvre: Hauteur: 35.8cmx Largeur: 27.3cm - Image: Hauteur: 18cmx Largeur: 20cm- Titre en bas au centre : « …………elle est vraiment enceinte !!!!....... » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°122. », en ht à dte : « Pl. 254. »Inscription - Dans la lettre : « L. de Becquet, rue childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat » [éditeur] ; dans l’image, en bas au centre, signature : « C.J. Traviès » [Charles-Joseph Traviès, dessinateur]- cf. explication de la pl. p. 973 ; description, analyse : un homme, vêtu d’habits d’ancien régime, est assis sur un fauteuil à dte de la composition. Un journal est posé sur une table à côté de lui au second plan. Ses yeux exorbités et ses mains semblent exprimer l’incompréhension et la surprise. Il semble atterré. Il s’agit d’un légitimiste bouleversé par la nouvelle qu’il vient de lire dans le « MONITEUR UNIVERSEL » du 29 février, qui publie une déclaration de la duchesse de Berry, datée du 22 février, dans laquelle elle déclare s’être mariée secrètement pendant son séjour en Italie (en 1831, avec Hector Lucchesi-Palli, duc della Grazia). La pl. se moque des légitimistes qui se sentent offensés et trahis par cette nouvelle. En outre celle-ci jette quelque peu le doute sur la légitimité du duc de Bordeaux lui-même, semant ainsi la confusion dans l’esprit des légitimistes.‎


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‎Charles-Joseph Traviès, dessinateur]‎

Reference : 25608

(1832)

‎Mauvaise charge.Lithographie originale en noir sur Velin blanc.‎

‎ 1832 Planche HT parue dans La Caricature morale, religieuse, littéraire et scénique, volume 4, 19 juillet 1832 (Planche n°180)- Lithographie - Œuvre: Hauteur: 35.8cmx Largeur: 27.3cm - Image: Hauteur: 27.3cmx Largeur: 20.5cm - Titre en bas au centre : « Mauvaise charge. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°89. », en ht à dte : « Pl. 180. » - Dans la lettre : « Lith. de Becquet rue childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas à dte, signature : « C. J. Traviès » [Charles-Joseph Traviès, dessinateur]Dans un paysage, un homme vu de dos, vêtu d’une redingote et d’un pantalon, est assis sur les épaules de deux autres figures. Une poire fait office de tête, dans la partie inf. de laquelle ont été ajoutées des favoris sur les côtés, la tige et les deux feuilles de la poire en guise de toupet. Il s’agit d’une représentation caricaturale de Louis-Philippe. Sa forte corpulence pèse lourdement sur les épaules de deux hommes du peuple (vraisemblablement des ouvriers). Celui de gche plie sous le poids et porte ses mains sur ses hanches pour pallier ses épaules défaillantes. Il esquisse une grimace de douleur. L’autre tient bon et porte ses mains sur une des jambes de Louis-Philippe. A l’arrière-plan à dte, un édifice, peut-être la représentation schématique du palais des Tuileries. Cette pl. propose une représentation métaphorique de la charge que représente le roi des Français pour les citoyens, contribuant à la richesse du budget par les taxes qui leur sont imposées. Elle utilise le mot « charge » dans son sens premier, afin d’illustrer toute la peine qu’ont les Français à supporter leur roi et les taxes qu’il lui impose. De plus, sans doute la pl. joue-t-elle également sur un deuxième sens du mot « charge » qui désigne le dessin caricatural. Ainsi, dans ce sens, c’est de manière ironique que le titre qualifie cette charge de « mauvaise ».Personne / Personnage représenté:Louis-Philippe Ier, roi des Français‎


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‎Traviès de Villers,Charles Joseph‎

Reference : 25183

‎Très-haut, très-puissant, très-excellent, moutard royal, / Très-bas, très-vils, très-misérables fonctionnaires amovibles… - Lithographie originale en noir sur Velin blanc.‎

‎ Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 8, 28 août 1834 (Planche n°418)Titre en bas au centre : « Très-haut, très-puissant, très-excellent, moutard royal, // Très-bas, très-vils, très-misérables fonctionnaires amovibles…. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°200. », en ht à dte : « Pl. 418. »- Dans la lettre : « Au bureau, chez Aubert, pass. Véro-Dodat. » [éditeur], « Lith. Delaunois, rue du Bouloy, 19. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas au centre, signature : « C. J Traviès. » [Charles-Joseph Traviès, dessinateur] - Sur une borne, au premier plan à gche, l’indication du lieu : « ROUTE DE // BREST »Dans la campagne brestoise, à proximité d’un village dont on aperçoit une maison et une église à l’arrière-plan à dte, trois hommes se tiennent à genoux devant un enfant monté sur un cheval. Il s’agit de trois Brestois rendant hommage à François-Ferdinand d’Orléans, prince de Joinville, venu en visite à Brest. L’un d’eux lui présente les clés de la ville sur un plat d’argent, un autre lève les bras en le regardant les yeux remplis d’admiration, tandis que le troisième a posé son chapeau à terre et est à plat ventre devant lui, face contre sol. Au second plan, on distingue un enfant tenant dans ses mains son chapeau décoré de la cocarde tricolore. Il semble ébahi par la venue du prince car sa bouche est grande ouverte. La pl. exagère à dessein le côté puéril du prince en le représentant tel un très jeune enfant, alors qu’il a 16 ans en 1834. Ses jambes, trop petites, n’atteignent pas les étriers, et il est obligé d’avoir recours à des bottes de taille adulte pour y parvenir. Il suce son index tel un bébé, et transporte avec lui des jouets (une casserole et une maquette de bateau), accrochés à l’arrière-train du cheval. Le prince de Joinville s’était notamment rendu à Brest afin d’y passer des examens (il faisait des études de marine ; une ancre marine est d’ailleurs représentée sur le caparaçon du cheval). La pl. tourne en dérision de l’accueil réservé au prince de Joinville, reçu tel un grand monarque, et plus largement, ridiculise l’accueil réservé aux très jeunes princes. L’explication établit un parallèle entre cette pl., représentant d’après elle une « scène d’Auguste-Moutardolâtrie » et une phrase de Félicité Robert de Lamennais : « J’ai vu dans un berceau un enfant criant et bavant, et autour de lui étaient des vieillards qui lui disaient : Seigneur ! et qui, s’aguenouillant [s’agenouillant], l’adoraient ; et alors j’ai compris toute la misère de l’homme. » (Paroles d’un croyant, G. Rouiller, 1833, p. 35). Les hommages rendus à un jeune homme n’ayant encore rien accompli mais ayant uniquement le prestige de sa naissance sont jugés risibles. Sur le même sujet, cf. pl. 93 (numéro 46, 15 septembre 1831).Personnage représenté:Orléans, François Ferdinand Philippe d', prince de Joinville‎


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‎Traviès de Villers,Charles Joseph ‎

Reference : 25169

‎LE JUSTE MILIEU SE CROTTE - lithographie originale coloriée‎

‎ Planche 144 de La Caricature N° 71.La Caricature, 8 mars 1832. Lithographie originale sur Velin blanc. coloriée sur velin blanc pli médian vertical,bon tirage bien noir,petite tache brune -‎


‎Titre en bas au centre : « Le juste milieu se crotte. » ; indications : en ht au centre : « La Caricature (Journal) / (N°71.) », en ht à dte : « Pl. 144 »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Delaporte. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert Galerie vero dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas au centre, signature : « C.J. Traviès. » [Charles-Joseph Traviès]Description iconographique:Lors d’un carnaval, deux hommes transportent, sur leur épaule, un bâton au milieu duquel une grosse poire est accrochée par le sommet. Il s’agit d’une incarnation du juste-milieu, c'est-à-dire de la politique menée par la monarchie de Juillet. Les deux transporteurs sont vêtus en costumes de carnaval. A gche, Périer, porte l’habit et le chapeau de Pierrot, et à dte, Louis-Philippe est travesti en Arlequin. Son visage est caché au spectateur car la tête est tournée vers l’arrière de la scène, mais il est reconnaissable aux favoris et à la forte corpulence. Ils pataugent dans la boue d’un égoût, et leurs vêtements, surtout celui du Pierrot, en sont maculés en partie inf. Un enfant du peuple, débraillé, poursuit les deux hommes et semble leur crier quelque chose, certainement une moquerie. Périer se retourne à peine et affiche un air inquiet et honteux, voire triste. Enfin, à l’arrière-plan se trouvent des silhouettes d’hommes portant des chapeaux haut de forme. Par le biais de cette pl., La Caricature se moque de la capacité qu’a le régime de juillet à se salir dans toutes les affaires auxquelles il participe. L’explication évoque les affaires étrangères de la Pologne, de la Belgique et de la Russie desquelles la France n’est pas sortie glorieuse, mais au contraire, couverte de honte et d’opprobre. Le peuple, voyant passer dans la ville ce cortège à travers les rues de Paris, se demanda ce que pouvait être cette masse transportée et, « ayant remarqué la boue qui la couvrait, on pensa que ce devait être le juste-milieu » (in explication). Ainsi c’est la saleté couvrant la forme qui permet de reconnaître en cette dernière l’incarnation du juste-milieu.Personne / Personnage représenté:Périer, Casimir; Louis-Philippe Ier, roi des Français ‎

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‎Traviès de Villers,Charles Joseph ‎

Reference : 25170

‎AH! Scelerate de poire pourquoi n’es tu pas une vérité !. - lithographie originale coloriée‎

‎ Planche 153 de La Caricature N° 76.La Caricature, 12 avril 1832. Lithographie originale sur Velin blanc. coloriée sur velin blanc pli médian vertical,bon tirage bien noir,petite tache brune -‎


‎Titre en bas au centre : « Ah ! scélérate de poire pourquoi n’es tu pas une vérité ! » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) / N°76. », en ht à dte : « Pl. 153. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert N°9 » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, Galerie Véro Dodat » [éditeur] ; dans l’image, en bas à gche : « CJ. Traviès. » [Charles-Joseph Traviès, dessinateur]Description iconographique:Un homme, Mayeux, en redingote, de profil, tient une poire de sa main gche et s’apprête à couper cette dernière de sa main dte tenant un couteau. Au second plan, une chaise ainsi qu’une table portant une bouteille de vin, un verre et une assiette avec une autre poire. Il s’agit d’une allusion parodique aux propos tenus par Louis-Philippe en août 1830 : « La Charte sera désormais une vérité ». Mayeux s’insurge contre les atteintes à la liberté de la presse, et se venge sur une poire. La poire étant devenu l’attribut caricatural privilégié du roi des Français, la menacer de la sorte constitue une véritable incitation au régicide.Personne / Personnage représenté:Mayeux (personnage littéraire); Louis-Philippe Ier, roi des Français ‎

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‎Attribué à Traviès de Villers, Charles Joseph (dit C. J. Traviès)‎

Reference : 25224

‎Orgue-Viennet Lithographie originale en noir sur Velin blanc.‎

‎ Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 6, 5 septembre 1833 (Planche n°310) - Dimensions - Œuvre : Hauteur: 27.3cmx Largeur: 35.8cm - Image Hauteur: 22.5cm x Largeur: 33cm - Titre en bas au centre : « Orgue-Viennet. » ; légendes sous la partition de musique sur laquelle se trouvent des notes : « Hi han ! hi han ! hi han ! hi han ! hi han ! hi han ! hi han ! »; indications: en ht à gauche: « La Caricature (Journal) N°148. », en ht à dte : « Pl. 310. »Inscription - Dans la lettre: « Chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur], « L. de Becquet, rue Furstemberg 6. » [imprimeur]Inscription - Sur la joue de chaque âne, notes de musique, de gauche à droite : « MI », « SOL », « LA », « SI », « UT ». « UT » marque également l’arrière train du premier âne‎


‎La pl. se moque des talents artistiques de Viennet, en faisant référence à son "Epître aux mules de Don Miguel" (1829). Cf. séjour, effectué par Viennet en août 1833 à Estagel (commune des Pyrénées-Orientales où il possèdait une forge ; l’explication de la pl. précise que la principale fabrique des « orgues-Viennet » se trouve justement dans la commune d’Estagel), largement critiqué et tourné en dérision par "La Caricature" dans des articles. La pl. présente Viennet, à gauche, tapant sur les touches d’un orgue. Le son des notes jouées sortent de la gueule de plusieurs ânes. Chaque âne représente une note de musique. Tandis que les mains du musicien activent des notes qui sortent des tubes de l’orgue, ses pieds activent un éperon qui vient toucher le ventre des ânes, lesquels braient. L’air joué est Où peut-on être mieux qu’au sein de sa famille ?: hymne national non officiel du Royaume de France durant la Première Restauration et la Seconde Restauration entre 1815 et 1830, cette chanson était principalement jouée lors de la présence de la famille royale. Le titre de la chanson a été souvent considéré comme faisant référence à l'Ancien Régime. Ainsi, dans ses Etats Français sur l'insurrection de Paris de 1832, Heinrich Heine cite la ligne, la plaçant en relation avec le Roi des Français Louis-Philippe : « Le Roi des Français est entouré des canons des Français : où peut-on être mieux qu'au sein de sa famille »Personnage représenté:Viennet, Jean Pons Guillaume ‎

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‎Traviès de Villers,Charles Joseph ‎

Reference : 25172

‎Que droles de tetes. - lithographie originale coloriée‎

‎ Planche 138 de La Caricature N° 68.La Caricature, 16 fevrier 1832. Lithographie originale sur Velin blanc. coloriée sur velin blanc pli médian vertical,bon tirage bien noir,petite tache brune -‎


‎Titre en bas au centre : « Qué drôles de têtes !! » ; légende plus bas au centre : « Se vend chez l’éditeur à Ste Pélagie. / (Section Politique.) » ; indications : en ht au centre : « La Caricature (Journal) / (N°68) », en ht à dte : « Pl. 138. »- Dans la lettre : « Lith. de Delaporte. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » ; attribution : Charles-Joseph Traviès, dessinateur ? iconographie:Au premier plan, figuration de deux hommes, vus de trois quarts à dte. Ils sont représentés en train de marcher, se dirigeant vers la dte de la composition. Le premier, un homme ventripotent, en pantalon et redingote, tenant dans sa main gche un chapeau haut de forme orné de la cocarde tricolore. Sa tête n’est pas humaine mais est remplacée par une poire. Il s’agit du roi Louis-Philippe. Le second homme prend appui sur le bras du premier. Il s’agit de son fils aîné, le duc d’Orléans, en habit militaire. Sa tête, à lui non plus, n’est pas humaine, mais est remplacée par une courge ou un concombre. A l’arrière-plan, une foule de personnes regardant passer ces deux hommes étranges. On distingue un cavalier à dte. A gche, une femme et un enfant se détachent de la masse informe de la foule. L’enfant pointe du doigt les deux créatures hybrides. La poire est l’attribut caricatural fréquemment utilisé par La Caricature pour désigner le roi des Français. Un cucurbitacée se trouve également souvent associé au duc d’Orléans. Le remplacement de la tête, siège de la pensée, par un végétal, sert à mettre en lumière la bêtise des deux personnages. Sans doute l’idée de cette pl. vient-elle de Charles Philipon, au vu de la légende, celle-ci précisant le lieu de vente de la pl., c'est-à-dire la prison de Sainte-Pélagie, dans laquelle est alors enfermé le directeur de La Caricature depuis le 12 janvier 1832, condamné pour outrages à la personne du roi (à cause de la publication de la pl. 70 du numéro 35 ; 30 juin 1831). Cette pl. résonne alors comme une vengeance.Personnage représenté:Louis-Philippe Ier, roi des Français ‎

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‎Traviès de Villers,Charles Joseph ‎

Reference : 25165

‎MON BEAU PERE - Lithographie par Charles-Joseph TRAVIES‎

‎ Lithographie parue dans le N° 196 du journal la Caricature du 7 aout 1834.,bon état ‎


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‎Traviès de Villers,Charles Joseph ‎

Reference : 25166

(1967)

‎HERCULE VAINQUEUR - Lithographie originale par Charles-Joseph TRAVIES‎

‎ 1967 Lithographie parue dans le N° 182 du journal la Caricature du 1 mai 1834.,planche double 382/383 - bon état ‎


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‎Traviès de Villers,Charles Joseph ‎

Reference : 25176

(1788)

‎Monsieur harpagon voudrait tirer quelque chose de ses vieilles perruques, les achèteriez vous ? lithographie originale‎

‎ 1788 Planche 178 de La Caricature N° 88.La Caricature, 12 juillet 1832. Lithographie originale sur Velin blanc. en noir sur velin blanc pli médian vertical,bon tirage bien noir,petite tache brune - rare Un homme assis, jambes croisés, un peigne coincé dans les cheveux, regarde en faisant la moue la perruque que lui apporte un autre homme.‎

‎ Titre en bas au centre : « Monsieur harpagon voudrait tirer quelque chose de ses vieilles perruques, les achèteriez vous ? » ; indications, en ht au centre : « La Caricature (Journal) // (N°88.) », en ht à dte : « Pl. 178. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. De Becquet, rue Childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur] ; attribution : Charles-Joseph Traviès, dessinateur?Description iconographique:La table des matières du 4e vol. de La Caricature apporte un complément au titre : « La vieille perruque d’Harpagon ». Athalin, debout à dte, de profil, présente une perruque, comprenant un toupet et des favoris (coiffure de Louis-Philippe) à un perruquier, lequel, assis, les jambes croisées, esquisse une moue perplexe. La pl. se moque de la coiffure du roi, et montre qu’elle est déjà démodée puisque le coiffeur n’en veut pas. Elle pointe également le doigt sur l’avarice du roi, surnommé Harpagon, protagoniste cupide de la pièce de Molière L’Avare. Il serait donc même prêt à vendre sa perruque.Personne / Personnage représenté:Louis-Philippe Ier, roi des Français ‎


Monsieur harpagon voudrait tirer quelque chose de ses vieilles perruques, les achèteriez vous ? lithographie originale. Traviès de Villers,Charles ... Monsieur harpagon voudrait tirer quelque chose de ses vieilles perruques, les achèteriez vous ? lithographie originale. Traviès de Villers,Charles ... Monsieur harpagon voudrait tirer quelque chose de ses vieilles perruques, les achèteriez vous ? lithographie originale. Traviès de Villers,Charles ...
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‎Traviès de Villers,Charles Joseph‎

Reference : 25217

‎Le Renard et les Corbeaux - Lithographie originale en noir sur Velin blanc.‎

‎ Planche HT parue dans La Caricature politique, morale, littéraire et scénique, volume 8, 17 juillet 1834 (Planche n°405)- Hauteur: 27cmx Largeur: 35.5cm - Image :Hauteur: 22.5cmx Largeur: 28cm - Titre en bas au centre : « Le Renard et les Corbeaux. » ; indications : en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°193. », en ht à dte : « Pl. 405. », en bas au centre : « Imprimé sur pierre française. »Inscription - Dans la lettre : « Au bureau, chez Aubert, pass. Véro-Dodat. » [éditeur], « Lith : Delaunois, r. du Bouloy 19. » [imprimeur] ; dans l’image, en bas à gche, signature : « C. J. T. » [Charles-Joseph Traviès, dessinateur]Inscription - Le roi pose son pied droit sur le « PROGRAMME », allusion au prétendu programme de l’Hôtel de ville que Louis-Philippe aurait promis de suivre au début de son règne. Les journalistes de l’opposition lui reprochèrent fréquemment de ne pas avoir tenu les promesses contenues dans ce programme, le roi niant l’existence même de ce dernierDescription : La table des matières du 8e vol. de La Caricature précise le titre : « Le renard et les corbeaux. La Pensée immuable alléchant les nouveaux députés par des bourses et des épaulettes ». Il s’agit d’une parodie de la fable de Jean de La Fontaine Le corbeau et le renard (2e fable du livre I, édité pour la première fois en 1668). Louis-Philippe, de profil est représenté dans la partie gche de la composition. Il est reconnaissable à son toupet et ses favoris. Il incarne le renard, dont la grande queue (le seul élément de zoomorphisation. Le reste de son apparence étant tout à fait humaine) dépasse de la redingote. A son bras droit est suspendu un panier rempli de distinctions honorifiques (croix d’honneur, épaulettes), d’un bâton de maréchal, de postes attirants et convoités (postes à la « PREFECTURE », des « SINECURES ») et de promesses d’argent (« RECETTES // [ ?] » et « [ ?] »). Il tient dans la main gche le cordon d’une décoration ( ?) et le tend aux corbeaux se trouvant dans l’arbre à dte. Ces corbeaux sortent tout droit de la chambre des députés située à l’arrière-plan et viennent se poser sur les branches de l’arbre. D’autres sont en vol, au loin. Ces créatures ont un corps de corbeau et une tête humaine. Il s’agit d’une représentation satirique des députés. Le roi les appâte avec des récompenses dans le but d’obtenir de leur part un vote qui ira dans le sens impulsé par sa politique. Ce sont d’ailleurs des bulletins de « VOTE » que les corbeaux tiennent dans leur bec, à la place du fromage tenu dans le bec du corbeau dans la fable du XVIIe siècle. Ainsi, la pl. dénonce les moyens de corruption par lesquels le roi tente de rallier les députés à la cause du gouvernement. La pl. se moque de la vanité des députés, sur laquelle joue le roi afin d’obtenir ce qu’il désire. Dans la lettre, une indication en bas au centre précise que la pierre lithographique, due à Chevalier et compagnie, qui a permis de réaliser la pl., est d’origine française. Cela représente une avancée d’après les contributeurs du journal, car cela permettrait de n’être plus dépendant des pierres venant de l’étranger.Personne / Personnage représenté:Louis-Philippe Ier, roi des Français‎


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‎Traviès de Villers,Charles Joseph ‎

Reference : 25175

(1748)

‎LEVEZ LE SIEGE polissons !.. lithographie originale‎

‎ 1748 Planche 176 de La Caricature N° 87.La Caricature, 5 juillet 1832. Lithographie originale sur Velin blanc. en noir sur velin blanc pli médian vertical,bon tirage bien noir,petite tache brune - rare ‎

‎Titre en bas au centre : « Levez le siège, polissons ! .... » ; indications, en ht à gche : « La Caricature (Journal) N°87. », en ht à dte : « Pl. 176. »Inscription - Dans la lettre : « Lith. de Becquet, rue Childebert N°9. » [imprimeur], « On s’abonne chez Aubert, galerie véro dodat. » [éditeur] ; dans l’image, en bas à dte : « C.J.T. » [Charles-Joseph Traviès, dessinateur]Inscription - Le personnage de dte porte un chapeau pointu avec les dates des Trois Glorieuses (« 27 // 28 // 29 »)Description iconographique:La pl. montre, de gche à dte : Montalivet, d’Argout (monté sur un balai en guise de cheval), Soult (deux derniers personnages non identifiés) sous leurs traits d’adultes mais avec une taille d’enfants, jouant à la guerre, dans la salle du Conseil. Ils sont surpris par deux magistrats qui prononcent : « Levez le siège, polissons !.... ». Cette phrase est une allusion à l’état de siège qui fut décidé pour Paris par le Conseil des ministres le 6 juin 1832, à la suite de la grande insurrection républicaine (qui se déroula à Paris au début du mois de juin 1832), violemment réprimée par le gouvernement. Cette déclaration de l’état de siège, mesure exceptionnelle, permettait au gouvernement de faire passer les meneurs républicains devant le conseil de guerre, beaucoup plus sévère que les jurys d’assise. L’adoption de cette mesure est ici jugée inadmissible par La Caricature. La pl. dénonce ce qu’elle considère être l’irresponsabilité des ministres. Une autre interprétation peut être proposée : la pl. pourrait mettre les ministres dans la peau des révolutionnaires de 1789. « Les petits drôles jouaient à la Terreur. Moi, je ferai Robespierre ; toi, tu seras un Saint-Just… Mais pour jouer ces rôles, il fallait d’autres têtes et d’autres bras ! » (in explication)Personne / Personnage représenté:Soult, Nicolas-Jean de Dieu; Argout, Antoine Maurice Apollinaire d', baron; Bachasson, Marthe Camille, comte de Montalivet ‎


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