L'EXCEPTION (groupe de réflexion dans le cinéma), MONDZAIN Marie José (dir.), DESANTI Jean-Toussaint,
Reference : 61974
Gallimard, Réfléchir le cinéma, 2003, 297 pp., broché, très bon état.
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S.l., s.e., 1766 ; in-12, 28-528 pp. + frontispice, reliure d'époque plein veau, dos lisse orné (coiffes déchirées) tranches ocre rouge (quelques traces de mouillure). Livre divisé en trois parties. François-Vincent Toussaint était un avocat et un écrivain français. Il traduisit également de nombreux ouvrages de l'anglais dont A Medecinal Dictionnary de Robert James avec Denis Diderot. Il publia Les Moeurs en 1748, livre qui produisit un grand scandale. En 1757, après une tentative d'assassinat de Louis XV, on considéra l’ouvrage comme un livre conduisant au régicide. Toussaint dut alors s'exiler à Bruxelles et à Berlin. Il mourut pauvre en 1772. Certaines parties de l'ouvrage furent réutilisées dans l'Encyclopédie. Bon état.
Lyon, Audin, 20 mai 1948. In-4, (23 x 28,5 cm), broché, couverture imprimée et rempliée, LXX pp (4) ff non paginés
Ce texte inédit composé en caractères Incunable est enrichi d'un portrait en couleurs par Vuillard reproduit au pochoir par Jacomet, et du fac-simile du message autographe de Jean Giraudoux et Franz Toussaint à " La Jeune Fille bleue ". Edition originale tirée à 1060 ex. Un des 400 exemplaires numérotés sur pur fil Johannot, deuxième papier après 50 sur Annam. Bel exemplaire. Photos sur demande.
Chambord sous toutes ses couleurs [Paris], Imprimerie de P. Didot l'aîné, [1821]. 1 vol. in-folio de 2 f. n. ch. (faux-titre et titre , présentant chacun une vignette lithographiée), 33 p. imprimées sur papier de différentes couleurs (vert, bleu, rose, crème), avec 3 vignettes lithographiées, 11 planches lithographiées (dont 2 plans) sur fond teinté et sur papiers de couleurs, avec rehauts de couleurs à la main. Demi-maroquin cerise, dos lisse orné de guirlandes et fleurons dorés, coins en vélin vert, couverture imprimée conservée. Unique édition de ce très bel album, établi au moment de la souscription nationale en faveur du duc de Bordeaux, futur comte de Chambord. Rarissime sinon unique exemplaire imprimé sur papiers de couleurs : les différentes parties du texte sont tirées sur papier vert, crème, rose et bleue, ainsi que les planches gravées, toutes rehaussées à la main. Les titres et têtes de chapitres sont également enluminées dans d'éclatants coloris, rendant cet exemplaire tout à fait exceptionnel : aucun autre exemplaire sur papier de couleur et rehauts n'est référencé. Onze planches et plans gravés, dessinés par Fragonard, Périé, Villeneuve, Dupré et Desmadryl.
Un symbole du pouvoir royal et de la puissance de la France : c'est ainsi que François Ier, son bâtisseur, a voulu Chambord, un palais surgit au coeur des terres marécageuses de Sologne. Le vaste domaine boisé de Chambord fut à l'originale acheté en 1392 aux comtes de Blois par la famille d'Orléans : lorsque le duc d'Orléans devient roi de France en 1498 sous le nom de Louis XII, le domaine de Chambord devient alors propriété de la Couronne. C'est à son retour d'Italie en 1516 que François 1er décide de réaliser l'édifice, dont le chantier s'ouvre en 1519, sur l'emplacement d'un ancien château fort. À partir de 1526, 1 800 ouvriers travaillent à la construction du château, qui va nécessiter quelques 220 000 tonnes de pierres de tuffeau. Elle s'achève après de multiples agrandissements en 1547, à la mort du roi, par l'aile des appartements royaux. Chambord n'est pas conçu pour être une résidence permanente : François Ier n'y passe que quelques semaines, pour quelques parties de chasse et pour démontrer à des souverains et ambassadeurs son pouvoir et affirmer sa puissance face à son rival, Charles Quint. Le plan du château et ses décors ont été conçus autour d'un axe central : le fameux escalier à doubles révolutions qui mène à l'immense terrasse supérieure et au foisonnement féérique des cheminées et chapiteaux sculptés qui la jalonnent. En 1639, Louis XIII offre Chambord à son frère Gaston d'Orléans, mais il faut attendre le règne de Louis XIV pour que l'édifice soit enfin achevé : ce dernier faire couvrir la chapelle et relie les quatre appartements du vestibule nord du premier étage en enfilade pour en faire son logis, avec la création d'en théâtre - une architecture intérieure que l'on retrouvera au château de Versailles : Molière y a donné sa première représentation du Bourgeois gentilhomme le 14 octobre 1670. Chambord sera relativement épargné par la Révolution : le château est pillé et le gouvernement révolutionnaire fait vendre le mobilier en 1792, mais le monument échappe à la destruction. Il connaît ensuite une longue période d'abandon avant que Napoléon n'en fasse don en 1809 au maréchal Berthier, prince de Neuchâtel et Wagram, en remerciement de ses services. Ce dernier n'y fait qu'un court séjour et sa veuve, Elisabeth de Bavière, demande en 1821 rapidement l'autorisation de vendre cette grande demeure en mauvais état. Grâce à une souscription nationale qui fait grand bruit, le domaine est offert au jeune Henri d'Artois, duc de Bordeaux - petit-fils du roi Charles X -, né l'année précédente, sept mois après l'assassinat de son père, le duc de Berry et, pour cette raison, baptisé «l'enfant du miracle». C'est à cette occasion qu'est réalisé l'ouvrage : il est imprimé par le maître-imprimeur de l'époque, Pierre Didot : c'est le fils de François-Ambroise Didot et le frère aîné de Firmin Didot, qui grave les caractères utilisés pour le volume. Le volume se compose d'un avant-propos (2 p.), d'une introduction (4 p.), de l'Origine et description du Château de Chambord (10 p.) et enfin des Anecdotes historiques sur le Château de Chambord (17 p.) : des textes qui rassemblent, pour la première fois, nombre de données passionnantes et de premières main sur l'histoire du Domaine et la construction du château. Son auteur est Jean-Toussaint Merle qui, à l'aube de la période romantique, se laissent aller à la « la légende des fées bâtisseuses» : «les historiens du XIXe se sont laissés prendre au piège de la vision de Chambord comme incarnation d'un rêve, réclamant le concours de puissances parallèles pour en comprendre la construction (...) Il est peu de monuments qui de tout temps aient aussi vivement impressionné l'imagination de ceux qui l'abordèrent [...]. Quant aux Romantiques, ils exultent, à commencer par les historiens du château, Merle et La Saussaye. C'est la demeure des fées, un « palais enchanté », un « château magique » [...]. Toute une légende s'est créée à son sujet et la réalité elle-même prend ici une allure de légende. On a voulu contre toute vraisemblance (surtout pour les deux premiers), y voir l'oeuvre de Vignole, du Primatice et de Léonard de Vinci." (cité par p. 33). Malgré cela, force est de constater le merveilleux de la réalisation : Merle et son dessinateur Périé, fascinés par la profusion sculptée des terrasses, expriment l'étendue de leur admiration en imaginant que seul un enchantement secret a pu permettre aux sculpteurs de venir à bout d'un si bel ouvrage : « Nous ne craindrions pas de dire qu'une seule niche, une seule cheminée, un seul couronnement de croisée, a dû coûter une année de soins au ciseau de l'artiste le plus exercé ; et comment l'imaginer cependant, quand on réfléchit qu'il serait impossible d'évaluer le nombre de ces prodigieux ornements ». A la suite des textes, onze planches viennent illustrer le recueil : elles sont l'oeuvre d'Antoine-Hilaire-Henri Périé de Senovert, mieux connu sous le nom d'Hilaire Périé : cet ancien élève de David sera, à partir de 1831, conservateur du Musée de beaux-arts de Nîmes : il donne les dessins in-texte, dont les célèbres Deux personnages de la cour se rencontrant en haut de l'escalier menant à la lanterne et le François Ier écrivant son célèbre distique sur une vitre, accompagné de sa soeur Marguerite de Valois, et plusieurs des gravures hors-texte : la Vue de lanterne qui termine le grand escalier, la Vue de l'escalier de l'aile d'Orléans, les Chapitaux et les Les Fragments d'architecture. On notera trois dessins de Jean-Honoré Fragonard : la Vue intérieure de la grande chapelle, celle de l'Oratoire de la Reine et celle du Grand escalier. Deux vues, celle du château prise du côté des appartements de François Ier la Vue de la façade du château, sont faites par Villenuve ; le plan du château est l'oeuvre de Dupré, le plan du parc de Chambord, qui clôt le recueil, est exécuté par le cartographe Narcisse Desmadryl. Toutes les planches sont gravées par Godefroy Engelmann, le futur lithographe du Faust de Goethe illustré par Delacroix. Il s'était installé dès 1816 à Paris, avec son beau-frère Pierre Thierry, pour créer leur imprimerie au 18, rue Cassette. Leur premier travail d'envergure est, en 1820, le Portefeuille géographique et ethnographique, qui rassemble diverses cartes géographiques, paysages, costumes et dessins scientifiques, qui leur apporte une première renommée que la publication sur Chambord viendra confirmer. Dès l'année suivante, ils seront associés au Voyages romantiques et pittoresques dans l'ancienne France dont le premier volume, consacré à la Normandie, paraît en 1822. Dès lors, Engelmann sera, sous la Restauration et la monarchie de Juillet, l'un des grands imprimeurs de prestigieuses entreprises lithographiques. L'ensemble du Domaine de Chambord est ensuite offert en 1821 par une souscription nationale au duc de Bordeaux, . Les événements politiques qui le conduisent en exil ne lui permettent pas d'habiter son château. Il ne le découvre qu'en 1871 à l'occasion d'un court séjour pendant lequel il rédige son célèbre « Manifeste du drapeau blanc » qui l'amène à refuser le drapeau tricolore, et par là-même le trône. À distance pourtant, le comte de Chambord est attentif à l'entretien du château et de son parc. Il fait administrer le domaine par un régisseur, entreprend de grandes campagnes de restaurations et ouvre officiellement le château au public. Après sa mort, en 1883, le domaine passe par héritage aux princes de Bourbon Parme, ses neveux. Le château et le parc sont propriétés de l'État depuis 1930 : le premier est le plus vaste des châteaux de la Loire, le second est le plus grand parc forestier clos d'Europe (5441 ha). Plusieurs épreuves séparées des gravures sont conservées au cabinet des Estampes de la Bibliothèque nationale de France - toutes sur papier vélin blanc -, ainsi qu'un exemplaire, sur le même papier vélin courant de l'édition, fortement piqué comme dans tous les exemplaires. L'exemplaire conservé aux Archives départementales du Loir-et-Cher est également dans cette même condition et l'ouvrage est manquant à la BnF. Aucun exemplaire avec les planches sur papier de couleurs et / ou rehaussé n'est connu. Aurore Montesi. Iconographie du château de Chambord : imaginaire et réalité. Art et histoire de l'art, Université de Lorraine, 2013 ; Dominique Lerch, Pour une histoire de la lithographie en France : Engelmann, un passage obligé, Le Vieux Papier, 2017.
1910 Paris. En souscription chez l’auteur. 1910. 1 volume in-folio en feuilles, sous chemise de demi-percaline blanche, titre imprimé contrecollé sur le premier plat, trace de lanières. 8 pp. ; 12 planches.
Recueil de 6 planches de Henri Toussaint paraphées au crayon, préfacées par Henry Havard. Il contient: L’Hotel Lambert, ïle St Louis. La Cour de Rohan. La Tourelle de l’Hôtel Barbette, rue vieille du temple. Le Square Notre-Dame. Le Pont-neuf. L’Abside de Saint-Merry et la rue Brisemiche.Ont été ajoutées 6 autres planches du même artiste, également paraphées:St Martin des champs. Hotel Lamoignon. Rue de Francs-bourgeois. Passage des patriarches. Hotel de Biron. Les Carmes de Vaugirard.Chemise salie.
Honoré Champion, Renaissances, 1995, 393 pp., édition bilingue, précédé de Humanisme et vérité par Stépahne Toussaint, broché, dos un peu jaunie, tranche inférieure tachée, gommette sur la deuxième de couverture, état général très correct.
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Paris, Editions de Minuit, (26 juillet) 1991 1 vol. (140 x 190 mm) de 158 pp. et [1] f. Broché. Edition originale. Un des 106 premiers exemplaires sur vergé de Vizille (n° 62).
Jean-Philippe Toussaint, distingué par le Prix Médicis, se souvient du jour où il a commencé ce livre : « C'était un matin d'octobre, ou de novembre, l'arrière-saison, (...) et j'étais depuis quelques jours dans ce village que, dans le livre, j'appellerai Sasuelo, avec l'idée de commencer un roman. J'avais fini le montage de mon film Monsieur depuis quelques semaines, et je ne savais encore rien du nouveau livre que je projetais d'écrire, si ce n'est que je parlerais de mon fils. » Au cours d'une promenade il découvrit le cadavre d'un chat et le photographia longuement. De retour à son bureau, il composa d'un trait l'incipit de son roman : « Ce matin, il y avait un chat mort dans le port, un chat noir qui flottait à la surface de l'eau, il était droit et raide, et il dérivait lentement le long d'une barque. » Les clichés pris ce jour-là contiennent tous les éléments de l'histoire...
Editions Max Fourny. 1976. Grand in-8°, reliure de fort cartonnage recouvert de papier doré, frappée sur le premier plat aux armes de Marguerite de Navarre. Nombreuses illustrations in et hors texte. 296 pages. E.O.
Très bon état.
P., Les Editions de Minuit, 2015; 1 vol. in-12, broché. 124 pp. (19 x 12 cm). Non coupé. Exemplaire à létat neuf.
EDITION ORIGINALE sur grand papier tirée à 67 exemplaires numérotés sur Vergé des Papeteries de Vizille (numéro 55). Jean-Philippe Toussaint livre un essai personnel dans lequel souvenirs autobiographiques et écriture se mêlent, faisant délicatement percevoir au lecteur la magie de ce sport qui sait convoquer, au-delà des partis déquipe, lenfance et ses souvenirs autant que les nuances multiples des émotions au fil de la vie.
Metz, Imprimerie Paul Even, 1948 ; grand in-8 (168 x 253 mm), 224 pp. + 3 pl. hors-texte, dont une dépliante, broché (dos de couverture décollé). Sommaire: Maurice TOUSSAINT, correspondant de la Commission des Monuments historiques (Fouilles et Antiquités classiques): Metz à l’époque gallo-romaine. – Préface d’Albert GRENIER, p.9. – Avant-propos, p.13. – Le Cadre géographique, p.21. – L’Oppidum gaulois, p.21. – Le Territoire des Médiatrices, p.22. – Les Faits historiques, p.28. – Les Découvertes archéologiques, p.34. – La Topographie de la ville, p.156. – Les Monuments publics: 168. – La Vie économiques et sociale, p.189. – La Vie religieuse, p.201. – Les Médiatrices en Gaule et hors de Gaule, p.213. – Conclusion, p.217.
Paris und Nyon, Ainé, Libraire, 1805. 8°. XIV, (2), 544 S. Lederband der Zeit mit reicher Rückenvergoldung.
Cicognara 276. – Barbier IV, 28. – Erste Ausgabe. Toussaint-Bernard (1755–1839), französischer Kunsthistoriker, studierte in seiner Heimatstadt Aiy-en-Provence, in Paris und vollendete sein Kunststudium in Italien. – Die Vorsätze blass leimschattig und angestaubt. Der Einband etwas berieben.
Bièvres, Pierre de Tartas, 1981 ; petit in-8. 125pp.-2ff. - 16 planches hors-texte en couleurs. Plein cuir fauve maroquiné, dos lisse orné, plats ornés d'une composition dorée et noire, encadré d'un décor de losanges et quatrefeuilles noirs complété aux angles de motifs floraux sur fond bordeaux. Tranches dorées. Roulette dorée sur les chasses. Contreplats et gardes doulés de moire bordeaux. Contenu dans un grand emboîtage de toile verte orné d'un décor doré de Bouddha et de bambou. Intérieur à encastrement doublé de suédine noire. Très bon état.
Edition tirée à 1900 exemplaires, un des 300 sur japon teinté vert avec l'état définitif des illustrations, ornée 16 aquarelles en couleurs et de dessins imprimés en ocre-jaune encadrant chaque page. La Flûte de jade est un poème chinois traduit et adapté par l'écrivain orientaliste Franz Toussaint, déjà paru chez Piazza en 1920, et empreint de sensualité. Il fut aussi le traducteur des "Robaïyat" de Omar Khayyam. (Pouillon, Dic. des orientalistes..., p.995).
Bièvres, Pierre et Philippe de Tartas, 1985. In-8, 176 pp. Reliure pleine basane maroquinée havane mosaïquée, richement décorée, 3 tranches dorées, dans une boite format in-4, reliure éditeur.
Cet ouvrage précieux édité par P et P de Tartas au Moulin de Vaubayen à Bièvres en Essone a été composé en Souvenir de corps 12 et achevé d'imprimer sur les presses de Daneil Odent pour le texte et sur les presses de Art-Estampe par Jean-Michel Machet et Alain Cosson pour les lithographies originales en couleurs. Tirage limité à 2.011 exemplaires. UN DES 30 EXEMPLAIRES SUR JAPON NACRE comportant les lithographies tirées sur soie, certaines sur double-page. Très bel exemplaire. Photos sur demande.
Paris, Editions de Minuit, 2002. In-8, broché, non coupé, 179 pp.
Edition orginale tirée à 67 exemplaires numérotés. Un des 60 ex sur Vergé de Vizille, n° 35, seul tirage en grand papier avec 7 hors-commerce. Etat neuf. Photos sur demande.
Paris, Editions de Minuit, 2012. In-12, broché, format oblong, non coupé, 106 pp.
Edition orginale. Un des 70 ex sur Vergé de Vizille, n°, seul tirage en grand papier avec 7 hors-commerce. N° 54. Etat neuf. Photos sur demande.
Paris, Editions de Minuit, 28 novembre 1988. In-8, broché, non coupé, 126 pp.
Edition originale. Un des 57 exemplaires numérotés sur vélin chiffon de Lana, seul tirage en grand papier. N° 19 bel exemplaire. Photos sur demande.
Paris, Editions de Minuit, 2015. In-8, broché, non coupé, 122 pp.
Edition orginale tirée à 67 exemplaires numérotés. Un des 60 ex sur Vergé de Vizille, n° 58, seul tirage en grand papier avec 7 hors-commerce. Etat neuf. Photos sur demande.
, , 1748. 3 tomes en 1 vol. in-8 à pagination continue de 1 frontispice gravé, (32)-122 pp. ; (2)-123-386 pp. ; (2)-387-547 pp., maroquin vert, dos lisse orné à froid, filet à froid sur les plats, tranches dorées (reliure de l'époque).
Deuxième édition publiée la même année que l'édition originale. Précieux exemplaire annoté à l'époque, restituant l'identité des pseudonymes choisis par Toussaint : Damis est l'abbé Aubourg, Lais, Mlle Gaussin de la Comédie française, Irène, reine de France élevée dans un couvent de Strasbourg, Cloé, la marquise de Pompadour, Cléon, feu le duc d'Orléans, Rosine, la duchesse du Maine, etc.Fernand Drujon, dans sa Bibliographie des livres à clefs, signale : « Il paraît que quelques contemporains essayèrent de lever les masques ; mais à moins de trouver un exemplaire annoté, nous ignorerons sans doute toujours qui étaient : Orgaste, Polydamas, Lysippe, Léonore, etc ».L'épitre dédicatoire est signé Panage, qui est la traduction de Toussaint en grec.« Les Moeurs, ouvrage qui parut sous le nom de Panage, en 1748, à Amsterdam, était accompagné d'une simple dédicace à Madame A.T.***. Il fut jugé par la Cour du Parlement de Paris comme « contraire aux bonnes moeurs, scandaleux, impie et blasphématoire » car « le but qu'on s'y propose est d'établir la Religion naturelle sur les ruines de tout culte extérieur et d'affranchir l'homme des lois divines et humaines, pour les soumettre uniquement à ses propres lumières ».Cette censure sévère eut pour conséquence de rendre le livre extrêmement populaire : « Je suis enfin parvenu à avoir le livre des Moeurs que l'arrêt du 6 mai a rendu bien rare et très cher », écrit Barbier. « Il faut dire que peu de personnes avaient songé à ce livre, au lieu qu'il n'y a personne à présent, dans un certain monde, hommes et femmes se piquant de quelque esprit qui n'ait voulu le voir. Chacun se demande : Avez-vous lu les Moeurs ? Un seul exemplaire passe rapidement dans cinquante mains » (t. III, p. 34) » (Dictionnaire des journalistes, 776).Toussaint est un avocat parisien qui en 1744, se consacre entièrement à l’activité littéraire. Outre la publication des Moeurs, il participe à la mise en oeuvre des premiers volumes de l’Encyclopédie de Diderot et d’Alembert et il dirige aussi deux revues prestigieuses, le Journal étranger et les Observations périodiques sur la Physique, l’Histoire Naturelle, & les Beaux Arts. En 1764, il fut appelé à Berlin par Frédéric II pour être intégré dans l’Académie des Nobles et l’Académie des Sciences. À partir de ce moment-là, Toussaint devient également l’un des principaux médiateurs entre les littératures allemande et française, menant d’abord à terme la traduction en prose des fables de Gellert et n’entamant qu’ensuite la version des premiers chapitres de l’Histoire de l’art de Winckelmann.Frontispice gravé en regard du titre, vignette gravée en tête de chaque partie, fleuron répété sur chaque titre. Bel exemplaire.Cohen - De Ricci, 995 ; Drujon, Les Livres à clefs, 646 ; Brunet III, 1788 ; Barbier III, 322 ; Françoise Weill, Livres interdits, Livres persécutés, 554.
Magnifique Gouache originale, sur papier, contrecollé sur carton fort, de Maurice Toussaint, pour la couverture du tome 2 de " La Dame de Monsoreau ", d'Alexandre Dumas, publié par Calmann-Levy. Format 27,5 x 19,5 cm. Œuvre originale signée en bas à gauche. Indications à l'encre et au crayon, pour l'imprimeur, au bas de la peinture et au verso. Rare. Superbe état.Augustin Gabriel Maurice Toussaint, né le 5 septembre 1882 à Fontenay-aux-Roses et mort le 3 décembre 1974 à Lyon est un peintre, dessinateur et un des plus importants illustrateur français, ayant œuvré dans tous les genres de la littérature. Il à réalisé de sublimes couvertures pour les collections populaires de science-fiction, d'aventures et de policier, surtout chez Ferenczi et Arthème Fayard et la Renaissance du Livre.
Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 8,50 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
Magnifique Gouache originale, sur papier, contrecollé sur carton fort, de Maurice Toussaint, pour la couverture du tome 2 de " La Dame de Monsoreau ", d'Alexandre Dumas, publié par Calmann-Levy. Format 285 x 19 cm. Œuvre originale signée en bas à gauche. Indications à l'encre et au crayon, pour l'imprimeur, au bas de la peinture et au verso. Rare. Superbe état.Augustin Gabriel Maurice Toussaint, né le 5 septembre 1882 à Fontenay-aux-Roses et mort le 3 décembre 1974 à Lyon est un peintre, dessinateur et un des plus importants illustrateur français, ayant œuvré dans tous les genres de la littérature. Il à réalisé de sublimes couvertures pour les collections populaires de science-fiction, d'aventures et de policier, surtout chez Ferenczi et Arthème Fayard et la Renaissance du Livre.
Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 8,50 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
Magnifique Gouache originale, sur papier, contrecollé sur carton fort, de Maurice Toussaint, pour la couverture du tome 2 des " Quarante-Cinq ", d'Alexandre Dumas, publié par Calmann-Levy. Format 30,5 x 21,5 cm. Œuvre originale signée en bas à gauche. Indications au crayon, pour l'imprimeur, au verso. Rare. Superbe état.Augustin Gabriel Maurice Toussaint, né le 5 septembre 1882 à Fontenay-aux-Roses et mort le 3 décembre 1974 à Lyon est un peintre, dessinateur et un des plus importants illustrateur français, ayant œuvré dans tous les genres de la littérature. Il à réalisé de sublimes couvertures pour les collections populaires de science-fiction, d'aventures et de policier, surtout chez Ferenczi et Arthème Fayard et la Renaissance du Livre.
Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 8,50 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
Magnifique Gouache originale, sur papier, de Maurice Toussaint, pour la couverture du tome 2 de " Joseph Balsamo ", d'Alexandre Dumas, publié par Calmann-Levy. Format 28,5 x 20 cm. Œuvre originale signée en bas à gauche. Indications au crayon, pour l'imprimeur, au verso. Rare. Superbe état.Augustin Gabriel Maurice Toussaint, né le 5 septembre 1882 à Fontenay-aux-Roses et mort le 3 décembre 1974 à Lyon est un peintre, dessinateur et un des plus importants illustrateur français, ayant œuvré dans tous les genres de la littérature. Il à réalisé de sublimes couvertures pour les collections populaires de science-fiction, d'aventures et de policier, surtout chez Ferenczi et Arthème Fayard et la Renaissance du Livre.
Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 8,50 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
Magnifique Gouache originale, sur papier, contrecollé sur carton fort, de Maurice Toussaint, pour la couverture du livre " Les Compagnons de Jéhu ", d'Alexandre Dumas, publié par Calmann-Levy. Format 27,2 x 20,3 cm. Œuvre originale signée en bas à gauche. Titre au crayon bleu dans la marge supérieurte. Indications au crayon, pour l'imprimeur, au verso. Rare. Superbe état.Augustin Gabriel Maurice Toussaint, né le 5 septembre 1882 à Fontenay-aux-Roses et mort le 3 décembre 1974 à Lyon est un peintre, dessinateur et un des plus importants illustrateur français, ayant œuvré dans tous les genres de la littérature. Il à réalisé de sublimes couvertures pour les collections populaires de science-fiction, d'aventures et de policier, surtout chez Ferenczi et Arthème Fayard et la Renaissance du Livre.
Vente exclusivement par correspondance. Le libraire ne reçoit, exceptionnellement que sur rendez-vous. Il est préférable de téléphoner avant tout déplacement.Forfait de port pour un livre 8,50 €, sauf si épaisseur supérieure à 3 cm ou valeur supérieure ou égale à 100 €, dans ce cas expédition obligatoire au tarif Colissimo en vigueur. A partir de 2 livres envoi en colissimo obligatoire. Port à la charge de l'acheteur pour le reste du monde.Les Chèques ne sont plus acceptés.Pour destinations extra-planétaire s'adresser à la NASA.Membre du Syndicat Lusitanien Amateurs Morues
Paris, AUDIN, 1948; in-4, LXXA, br. En très bon état broché - Edition originale est justifiée exemplaire sur pur fil Lana exemplaire n°733 -Audin Editeur, 1948, 1 volume de 230x185 mm environ, lxx pages, broché sous couverture rempliée. Feuillets non coupés, non rognés. Edition originale, Exemplaire N° 788, un des 600 exemplaires sur pur fil Lana, numérotés de 401 à 1000, enrichi d'un portrait en couleurs par Vuillard reproduit au pochoir par Jacomet, et du fac-similé autographe de Jean Giraudoux à Franz Toussaint à La Jeune Fille bleue. Couverture très légèrement insolée avec infimes frottements sur le haut et le bas du dos, sinon bon état. Franz Toussaint (1879–1955) est un écrivain et orientaliste français, également scénariste, auteur de nombreuses traductions de l'arabe et du persan, du sanskrit et du japonais. Sa traduction la plus connue, elle-même adaptée dans plusieurs autres langues, est celle des Rubaiyat d'Omar Khayyam.
En très bon état broché - Edition originale est justifiée exemplaire sur pur fil Lana exemplaire n°733 -Audin Editeur, 1948, 1 volume de 230x185 mm environ, lxx pages, broché sous couverture rempliée. Feuillets non coupés, non rognés. Edition originale, Exemplaire N° 788, un des 600 exemplaires sur pur fil Lana, numérotés de 401 à 1000, enrichi d'un portrait en couleurs par Vuillard reproduit au pochoir par Jacomet, et du fac-similé autographe de Jean Giraudoux à Franz Toussaint à La Jeune Fille bleue. Couverture très légèrement insolée avec infimes frottements sur le haut et le bas du dos, sinon bon état. Franz Toussaint (1879–1955) est un écrivain et orientaliste français, également scénariste, auteur de nombreuses traductions de l'arabe et du persan, du sanskrit et du japonais. Sa traduction la plus connue, elle-même adaptée dans plusieurs autres langues, est celle des Rubaiyat d'Omar Khayyam.