Marseille, Antoine Ricard, s.d. (1815); in-4, une page, en feuille.
D'une extrême naïveté rétrospective, ce quasi-placard émanant des milieux royalistes exaltés du Gard relate à sa façon la résistance du général Jacques-Laurent Gilly à La Gardonnenque, ainsi que les exactions commises contre des Protestants de la région : "Un instant après, plusieurs maisons ont été attaquées par la populace ; le pillage a été complet dans les dix meilleures maisons protestantes de la ville. Il y a eu aujourd'hui et hier plusieurs individus protestans de tués par suite des persécutions qu'ils avaient fait éprouver aux gens honnêtes de la ville ..." Où avait-on la tête, ils l'ont bien mérité ..Aucun exemplaire au CCF. - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT
Paris, J. G. Dentu, Delaunay [Imprimerie de P. Gueffier], septembre 1815 in-8, 47 pp., broché sous couverture d'attente de papier rose marbré.
Plaidoyer en faveur d'une répression sévère des menées hostiles à la monarchie, qu'elles émanent des Républicains ou des "Impérialistes", typique de la réaction qui a suivi les Cent-Jours et saisi nombre d'esprits par ailleurs rassis. L'exemple proposé à Louis XVIII est celui de Ferdinand VII de retour dans ses Etats, c'est dire ... - - VENTE PAR CORRESPONDANCE UNIQUEMENT