[Chez G. A. Dentu] - ANONYME ; [ SEZE, Etienne-Romain Comte de ]
Reference : 65827
(1831)
1 vol. petit in-12 reliure de l'époque demi-basane marron, dos estampé à froid, Chez G. A. Dentu, Paris, 1831, 2 ff., III-153 pp.
C'est au château de Holyrood en Ecosse que Charles X et la famille royale trouva refuge au lendemain de sa destitution. Bon état. Le livre de police de l'éditeur Dentu en situe l'impression au 8 août 1831, et indique un tirageà 1000 exemplaires.
[Paris 1826] in-8 de 24 pp. br., non coupé
Antoine Béril, ancien premier commis des finances ; Charles-François d'Aviau du Bois de Sanzay (1736-1826), archevêque de Bordeaux ; Marie-Louis Auguste comte de Marcellus (1776-1841), député de la Gironde, pair de France ; Raymond de Sèze (1748-1828), magistrat, homme politique, avocat du roi Louis XVI.
Reference : 010459
Antoine Béril, ancien premier commis des finances ; Charles-François d'Aviau du Bois de Sanzay (1736-1826), archevêque de Bordeaux ; Marie-Louis Auguste comte de Marcellus (1776-1841), député de la Gironde, pair de France ; Raymond de Sèze (1748-1828), magistrat, homme politique, avocat du roi Louis XVI. L.A.S., Bordeaux, 22 mars 1814, 2pœ in-folio. Intéressante lettre de cet ancien fonctionnaire demandant une rente au duc d'Angoulême. Il a tout perdu, notamment sa rente provenant d'un prêt de 12000 francs au roi Louis XVI lors de l'édit de 1787 portant création de 6 millions de rentes viagères. Il loge près de Sainte-Eulalie à Bordeaux. La lettre est contresignée par Dinety, curé de Sainte Eulalie et Sanzay, l'archevêque de Bordeaux. Note en tête de la première page : « renvoié à son excell. Mgr le ministre des finances par ordre de S.A.R » signé par le comte de Marcellus, membre du conseil du duc d'Angoulême depuis la visite de ce dernier à Bordeaux en 1814, par Raymond de Sèze, H Vignon ( ?) et à nouveau par le comte de Marcellus. Une note indique ensuite que la demande est prématurée. Signautre de M. Viallon ( ?). Beau document, belle réunion de signatures. [132bis]
In-8 (195 x 125 mm), broché, (2), 30 pages. Paris, Froullé, 1792.
Edition originale. Dans cet important complément à sa plaidoirie, l'avocat de Louis XVI affirme que la Convention nationale na pas qualité pour juger Louis XVI, puisquelle est à la fois juge et accusatrice. Il rappelle que la Constitution de 1791 déclarait le roi inviolable et irresponsable, rendant toute poursuite illégale et souligne aussi labsence de règles de procédure et de garanties élémentaires de défense, ce qui rend le procès nul. Enfin, il conclut que ce procès nest pas un acte de justice, mais une mesure politique contraire au droit.(Martin & Walter. IV, 11095. Tourneux, 3781).Bon exemplaire, bien conservé.
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DENTU E.. 1843. In-8. Broché. Etat d'usage, Couv. légèrement passée, Dos abîmé, Intérieur acceptable. 250 pages. Tranches salies.. . . . Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française
Classification Dewey : 840-Littératures des langues romanes. Littérature française