1761 In-12, broché, couverture papier bleu ancien (rel. postérieure), 47 p., (1) f. bl., titre inclus. Geneve, s.n., 1761.
Edition publiée un an après l'originale de cette imitation facétieuse de la 'Relation de la mort du P. Berthier' par Voltaire, composée par Nicolas Joseph Sélis. (Cf. Bengesco, IV, p. 343. Quérard, IX, 9, p. 39).Quelques rousseurs.Bon exemplaire.
Phone number : 33 01 47 07 40 60
Paris Garnery , l'An 1 er de la Liberté (1790), un volume in-12 de VIII-123 pages, demi basane à coins dos orné
"Lettres qui racontent un noviciat, tout en evoquant des themes religieux et histoire du monastère. Il y a un certain effort de mises en scène : des personnages sont presentés dans des dialogues ..."Ray L1*
, Londres, 1761. 1 vol. In-12 broché de 34 pp., couverture papier.
Édition originale. Opuscule satirique dans lequel Sélis (1737-1802) critique sévèrement le déclin moral et la frivolité de la nation française et la montée du rationalisme. « Toutes les nations nous lorgnent, pour observer nos papillotes, nos folies, & s'en moquer ; & nous avons encore la belle vanité de croire qu'elles nous admirent qu'on ne s'étonne pas que la France soit devenue la fable des nations dès lors que ses soldats posent des tapis dans les tranchées et ne savent plus distinguer entre la poudre à canon et la poudre de toilette ». Barbier II, 923. Trace de mouillure claire sur quelques feuillets.
Londres 1761 in-12 dérelié
62 pp., texte dans un double encadrement noir.Quérard IX, 39. Cioranescu, XVIII, 59 932. Edition originale de cette satire féroce de la superficialité française : "Ni les maladies secrètes, ni la petite vérole, ne firent jamais tant de ravages parmi nous que la frivolité".Très anti-voltairien, Nicolas-Joseph Sélis (1737-1802), ami de Gresset et de l'abbé Delille, fustigeait le déclin français perceptible déjà dans les défaites de la Guerre de Sept ans : en substance, qu'on ne s'étonne pas que la France soit devenue la fable des nations dès lors que ses soldats posent des tapis dans les tranchées et ne savent plus distinguer entre la poudre à canon et la poudre de toilette
Paris, Antoine Fournier, 1776. 1 vol. in-8°, basane écaille, dos lisse orné de fleurons dorés, pièce de titre verte, encadrement d'un triple filet doré sur les plats, tranches bleues jaspées de blanc. Reliure de l'époque, épidermure sur le plat sup. Bon exemplaire. lix-246 pp., (3) pp. 2 ff. rognés en biais en gouttière.
Edition originale, agréablement imprimée, de cette traduction, accompagnée d'abondantes notes explicatives et philologiques et d'une importante préface dans laquelle le traducteur donne des détails sur la vie de Perse et sur son style, fait un état de la critique littéraire sur le poète satirique et sur les différentes traductions qu'on en a faites. Le texte latin est imprimé en regard de la traduction (en prose). Cette traduction fit l'objet d'une polémique entre Sélis et l'abbé Le Monnier qui avait donné une traduction du même auteur en 1771. Quérard VII, 74; Cioranescu, 59937.
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Nicolas-Joseph Sélis (1737-1802), professeur de poésie au Collège de France, membre de l'Institut.
Reference : 015209
Nicolas-Joseph Sélis (1737-1802), professeur de poésie au Collège de France, membre de l'Institut. P.A. (poème), 12 octobre 1790, 1p in-4 oblong. « Écrivain courageux, citoyen plein de zèle, D'un trop injuste oubli lui seul ne se plaint pas : En faisant des heureux, il a fait des ingrats : Mais l'amitié lui fut fidèle ». Peu commun. [374]