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Les Fables de La Fontaine Filtrées par Aurélien Scholl. Illustrations de E. Grivaz.
Paris, Dentu, 1886 ; in-8 (238 mm), broché; [4], 62 pp., [1] f. achevé d’imprimer, 23 planches hors-texte, certaines gravées à l’eau-forte, couverture beige en couleurs.
Edition originale de ces fables qui ne manquent pas d’intérêt et d’humour. Edition tirée à petit nombre sur vergé de Hollande plus 25 sur Japon, non numérotées. Absence des rabats de la couverture? Petites traces d’usage sans aucune gravité malgré une tache au verso d’un planche. Peu courant.
Phone number : 06 60 22 21 35
Lettre Autographe Signée à "Mon cher Bérardi" -
1 page in8 - trés bon état -
Amusant billet: "Si vous ne venez pas déjeuner à Paris, j'irai trés volontiers déjeuner à Bruxelles" - Réouverture jeudi 11 avril 2024 - Nous traiterons vos commandes à ce moment là -
Lettre autographe signée à Alfred Busquet (1819-1883)
Aurélien Scholl (1833-1902), L.A.S., sd [janvier 1862], 3p in-12 (34 lignes). Beau courrier à Alfred Busquet (1819-1883), poète et journaliste à qui il demande une avance : « Cher Busquet, sauve-moi encore une fois. Le fisc me poursuit pour une somme de 160 frcs amende et frais du jugement dans l'affaire Osiris ». Il s'agit vraisemblablement des suites de son duel avec Daniel Iffla (1825-1901) dit Osiris. Lors de ce duel, fin 1861, Osiris fut blessé à l'épaule. Un des témoins de Scholl fut un autre grand duelliste, Henri Rochefort. Le journal La Causerie du 5 janvier 1862 nous apporte quelques précisions sur le procès et notamment la plaidoirie de Maître Crémieux, avocat de Scholl, se moquant de la blessure grave d'Osiris qui fut le soir même à l'Opéra. Scholl ne peut demander d'argent au Figaro ni à Hetzel, il va publier prochainement un roman. Il s'agit probablement de ses Aventures romanesques chez Hetzel. [118]
Lettre autographe signée à Alfred Busquet (1819-1883)
Aurélien Scholl (1833-1902), L.A.S., sd [avant 1857], 1p in-8 (15 lignes). Beau courrier à Alfred Busquet (1819-1883), poète et journaliste. « Cher ami, Je pars demain soir ou après-demain matin. Je descendrai chez les Goncourt. Je passerai chez vous 10 minutes après mon arrivée. Il me semble que M. [Jules] Lefèbre-Deumier ou [Eugène] Vivier peuvent facilement décider Abatucci, s'il hésite. [.] Mélanie pleure d'attendrissement. Elle veut vous voir ». Il doit s'agit d'un des avocats Abbatucci. Rare lettre du jeune Scholl, signée simplement Aurélien. [118]
Lettre autographe signée à Alfred Busquet (1819-1883)
Aurélien Scholl (1833-1902), L.A.S., sd [ca.1863], œp in-8 (5 lignes). Amusant courrier à Alfred Busquet (1819-1883), poète et journaliste : « Mon cher ami, il nous faut finir un foie gras. Tu es attendu demain matin 11 heures, 33 Tour d'auvergne. Tout à toi. Aurélien Scholl en tenant la patte du chat ». [118]
Lettre autographe signée à Alfred Busquet (1819-1883)
Aurélien Scholl (1833-1902), L.A.S. + enveloppe, sd [ca.1863], œp in-12 (2 lignes). Amusant billet à Alfred Busquet (1819-1883), poète et journaliste : « Ma bonne Busquetière, Ne songe plus à moi. J'ai trouvé. Ton Aurélien Scholl ». [118]
Manuscrit autographe signé
Aurélien Scholl (1833-1902), Manuscrit A.S., sd [1873], 9p in-8 (140 lignes). Intéressant article sur la loi du 23 janvier 1873 qui crée la répression de l'ivresse dans les lieux publics. Il considère la loi comme inutile, ne servant « qu'à encombrer les audiences du tribunal de simple police et de la chambre correctionnelle ». « Quoi qu'il en soit, la loi [sur la répression de l'ivresse publique] a un parfum américain qui me séduit. Nous aurons bientôt les sociétés de tempérance, et, pour peu que le nombre des ivrognes augmente dans les mêmes proportions qu'aux Etats-Unis, nous pourrons nous croire à New-York ». L'article est à l'avenant, toujours plein d'ironie, typique de Scholl. L'article a été écrit en 2 fois, Scholl ayant ajouté les pages 7 et 8, qui sont d'ailleurs moins amusantes que le reste de l'article. Très beau document.
Lettre autographe signée à Alfred Busquet (1819-1883)
Aurélien Scholl (1833-1902), L.A.S., sd [Mercredi], 1pœ in-8 (20 lignes). Beau courrier à Alfred Busquet (1819-1883), poète et journaliste. « Cher Busquet, Me v'la chez papa. J'occupe un superbe grenier orné de punaises. Ma moitié est à la campagne. J'irai peut-être l'y trouver, si elle ne revient aussitôt. ». Il demande ensuite à Busquet d'aller chez Ledoyen et mentionne « dans tous les cas, système Gautier, c'est-à-dire silence sur mes craintes ». Rare lettre du jeune Scholl que nous pensons écrite vers 1855. La signature n'a encore rien à voir avec la signature que l'on voit habituellement. [118]
Lettre autographe signée à Alfred Busquet (1819-1883)
Aurélien Scholl (1833-1902), L.A.S., sd, œp in-12 (2 lignes). Amusant billet à Alfred Busquet (1819-1883), poète et journaliste : « Tenez, misérable, voici ce que vous me demandez, à vous. Aur. Scholl ». [118]
Lettre autographe signée à Alfred Busquet (1819-1883)
Aurélien Scholl (1833-1902), L.A.S. + enveloppe, 14 juin 1863 [Dimanche], 2p in-8 (23 lignes). En-tête du Nain Jaune. Amusant courrier à Alfred Busquet (1819-1883), poète et journaliste. « Mon cher Busquet, As-tu toujours ma vieille montre ? Je voudrais bien la rechanger contre la tienne. Ta montre m'a déjà coûté trente francs de réparations et n'a jamais bien marché plus de trois jours de suite. Hier comme je la rapportais chez mon horloger, ce mécanicien m'a dit ceci : - Qu'avez-vous donc fait de votre ancienne montre ? Elle était plate et par conséquent démodée, mais elle était excellente. C'était une montre de 300f. Celle-ci est une montre de confection. Nous les vendons 140 francs toutes neuves. Ton but n'a donc pas été rempli. Ni le mien ! ». [118]
Lettre autographe signé
Aurélien Scholl (1833-1902), L.A.S., Samedi 23 juillet, 1p in-8 (10 lignes). Amusante lettre : « Cher maître et ami, Ne m'accusez pas de négligence ou de muflisme. J'ai eu une indigestion de glace ; Sans entrer dans les détails, je ne souhaite la même gêne à aucun de mes indifférents. Le mal de mer est une caresse à côté de cela ». Beau document. [108]
Aurélien SCHOLL (1833-1902) journaliste et écrivain français Alfred BUSQUET (1819-1883) journaliste français
Reference : DMI-1116
(1861)
Lettre autographe signée à deux mains au Docteur Gérard Piogey (1820-1894) à propos de l'agonie de l'écrivain Henry Murger (1822-1861)
Aurélien SCHOLL (1833-1902) journaliste et écrivain français Alfred BUSQUET (1819-1883) journaliste français Lettre autographe signée à deux mains au Docteur Gérard Piogey (1820-1894) à propos de l'agonie de l'écrivain Henry Murger (1822-1861) [Paris], [1861], 1 f., 1 p. Très intéressant document au sujet de la longue agonie de l'écrivain Henry Murger qui alimenta la chronique journalistique pendant les jours précédent sa mort, métaphorisée en mort de la bohème, et devint un véritable événement littéraire en 1861. C'est d'abord son ami Aurélien Scholl qui prend la plume : "Prière à M. le docteur Piogey de vouloir bien indiquer ce que notre ami Murger devra prendre, s'il éprouve cette nuit un étouffement qu'il parait redouter beaucoup. Aurélien Scholl / Alfred Busquet". Alfred Busquet ajoute ensuite en bas de page : "Allez le voir, mon cher Gérard, c'est un garçon très impressionnable. Il n'a pas l'habitude de souffrir. A. B." Le docteur Gérard Piogey était le médecin de Banville et de Charles Baudelaire. Bibliophile et collectionneur, il a également publié quelques ouvrages de médecine. Baudelaire lui offrit un exemplaire sur chine des Paradis artificiels (Correspondance, éd. Cl. Pichois, t. II, p. 56), et Sainte-Beuve dans une lettre à Baudelaire du 15 février 1866 le qualifia de « véritable médecin d’hommes de lettres ». Banville lui écrira une de ses Lettres chimériques (Charpentier, 1885), intitulée La Médecine et lui dédiera de nombreux poèmes. La collection du docteur Piogey fut dispersé à sa mort, en 1894. Très beau document.
SCHOLL (Aurélien), journaliste et romancier français (1833-1902).
Reference : HCJA220
Lettre autographe signée. En-tête du journal quotidien « L’Echo de Paris » dont il est le rédacteur en chef. Paris, 5 Juillet 1885. Une demie p. in-8.
Il propose un rdv à son correspondant « Pourriez-vous prendre la peine de passer soit chez moi 3 bis rue Labruyère, soit au bureau du journal, vers 5h ? ».
