C.A.S., sd, 8 lignes. Carte de remerciements adressés à son correspondant et une autre personne (nom difficile à déchiffrer) à qui il voudra le dire de vive voix.
Victorien Sardou (1831-1908), écrivain. L.A.S., sd [ca.1891], 1p in-8. Peut-être au docteur et écrivain Maurice de Fleury (1860-1931). « Mon cher confrère, La critique de la pièce par l'auteur lui-même, c'est un peu sa préface, et nous sommes si paresseux pour cette besogne, la plupart de mes confrères et moi (donc vous excepté) que [?] aura bien du mal à l'obtenir. Toutefois l'idée a du bon, et je ne dis pas qu'on ne puisse l'emporter utilement en s'y jouant à l'avance car c'est un travail délicat. Je ne dis pas que je ne le ferais pas pour Thermidor si j'en ai le temps. Pour vos réticences, c'est trop tard. Mais ne voyez vous pas qu'il y a quelque chose de plus piquant que la critique de la pièce par un spectateur ? [mot illisible] en donc à Magnard ! Mille amitiés. V Sardou Vous m'accusez de ne vous avoir pas reçu. Je suis très souffrant, ayant passé la nuit à veiller madame Sardou malade ». Sympathique courrier. [392]
Victorien Sardou (1831-1908), écrivain. L.A.S., sd, 1p in-8. Lettre amicale dans laquelle il indique à son ami comment venir le voir à Marly-le-Roi. [379]